Annie Ernaux Extérieurs. pptx. Exposition basée sur un livre .
La formation des mots
1. LA SÉMANTIQUE LEXICALE
FORMATION DES MOTS
SÉMANTIQUE DU Français. Consulter aussi:
http://www.lattice.cnrs.fr/sites/itellier/poly_info_ling/linguistique007.html
https://numeroatypique.jimdo.com/travaux/la-s%C3%A9mantique-lexicale-les-relations-du-sens-lexical/
http://j.poitou.free.fr/pro/html/gen/sem-lex.html
https://fr.wikisource.org/wiki/Comment_les_mots_changent_de_sens
Dra. En L. Georgia M.K. Grondin
2. POURQUOI CRÉER DES MOTS NOUVEAUX?
1. Désignation de réalités nouvelles, éventuellement éphémères, dans tous les domaines (scientifique,
technique, économique, politique, culturel, militaire, médical, etc.).
Exemples: le drône, Mondialisation vs Globalisation, Brexit, BRIC (et dérivés), ça roule?, crapahuter, alicament,
le tailleur se chiquise)
2. Remotivation d’un signe (nouveau signifié pour un signifiant existant).
Exemples: Souris (animal) > Souris (souris informatique)
Confinement, distanciation. Cherchez d’autres exemples.
3. Remplacement d’un signe par un autre pour un même référent,
soit en raison de l’usure ou la banalisation des lexèmes (argent: pognon, fric, sous, thunes),
soit en raison des connotations qu’ils ont acquise (gai(e) n’est plus utilisé car il ressemble à « gay »,
collaborateur n’est plus utilisé dans sa forme tronquée collabo à cause de la connotation acquise pendant la
2de GM.),
soit en raison de la recherche d’un terme plus transparent. Se divertir / s’amuser dans les communautés
hispanophones à cause de divertirse.
soit par souci identitaire, par phénomène de mode.
3. Limitation et temporalité
Loi Toubon (1994): Protéger le patrimoine linguistique français avec 3 objectifs:
L’enrichissement de la langue
L’obligation d’utiliser la langue francaise
La défense du français en tant que langue de la République
Limitation à la formation de mots
Une limitation forte à la création d’unités lexicales nouvelles est le principe de non-synonymie sous-
jacent au fonctionnement de la langue, mais on peut remplacer, dans une situation de discours
donnée, une unité lexicale par une autre ou une périphrase.
Formations occasionnelles et lexicalisation
La formation d’une nouvelle unité lexicale naît d’un besoin ponctuel. Mais tous les mots ainsi formés
n’entrent pas dans le lexique de la communauté. On distingue:
les formations occasionnelles (invention ministérielle comme fin de semaine ou temporelles comme bug de
l’internet) et
les formations lexicalisées disponibles dans l’inventaire lexical de la communauté linguistique (avec enregistrement
par les lexicographes dans le dictionnaire mais pas nécessairement adoptée par la communauté). Types de mots
formés: Principalement des substantifs, des verbes, des adjectifs.
La langue est vivante, elle évolue tout le temps, elle respire, change le sens des mots, les fait
glisser, les rends plus forts ou plus faibles selon les besoins et les modes.
4. Procédés de formation de nouvelles unités
lexicales
1. Formation de mots par combinaison
de matériel morphologique existant
a) Métaphore et métonimie
b) Remotivation et répartition
c) Élargissement du domaine référentiel
d) Glissement du domaine référentiel
e) Rétrécissement du domaine
référentiel
a) Intégration phonique
b) Intégration graphique
c) Intégration morphologique et /ou
syntaxique
d) Altérations sémantiques
a) Composition
b) Dérivation
c) Conversion
d) Abréviation
2. Néologismes sémantiques (signifié
nouveau pour un signifiant existant) 3. Intégration des mots étrangers
5. Séquence de mots ou unité lexicale
Dans l’énoncé « Prends un verre et une assiette dans le buffet », nous avons une séquence
de mots.
Mais il n’est pas possible de modifier la combinaison des mots dans « je t’invite à prendre
un verre au café du coin. ». Il s’agit ici d’une unité lexicale.
Substitution: s’il s’agit d’une unité lexicale, c’est toute l’unité qui peut être remplacée par un
mot ou une expression synonyme
Les contraires: s’il s’agit d’une unité lexicale, les mots ont rarement des contraires terme à
terme.
Séparation: on ne peut pas séparer les mots qui constituent une unité lexicale par d’autres
mots qui les modifient directement.
6. 1a. Formation de mots par combinaison de matériel
morphologique existant: LA COMPOSITION
https://www.ecolesuisse-fle.fr/jeux-vocabulaire-3-mots-composes
à forme simple
Gendarme
Velcro
Vinaigre
Bimensuel
Bonhomme et gentilhomme
Contrebande
Contrebasse
Mélomane
Quiproquo
Supermarché
à forme composée
Arc-en-ciel (nom + prep + nom)
Camion-citerne (nom + nom)
Pomme-de-terre (nom + prep + nom)
Clair-obscur (adj + adj)
Chaud-froid (adj + adj)
Beau-frère (adj + nom)
Rouge-gorge (adj + nom)
Cordon-bleu (nom + adj)
Table ronde (nom + adj)
Service-après-vente (nom + prep + nom)
Un va-et-vient (sur phrase)
Le qu’en dira-t-on (sur phrase)
Le sot-l’y-laisse (sur phrase)
Oto-rhino-laryngologie (thème savant)
Tire-bouchon (sur verbe)
Trente-et-un (sur cardinaux)
5 sur 5 (sur cardinaux)
4 x 4 (sur cardinaux)
Un 2 roues (sur cardinaux)
Au-dessus (sur particule)
Au-dessous (sur particule)
Au-devant (sur particule)
Le bla-bla (onomatopées)
Le tic-tac (onomatopées)
7. Exercice
distinguez unité lexicale et séquence de mots.
C’est une fine bouche
Il a une bouche fine
J’achète une table ronde pour mon salon
Je participe à une table ronde demain
Il a ouvert l’œil toute la nuit # il n’a pas fermé l’œil de toute la nuit
Un chemin rapide de fer / un chemin de fer
8. Les idées latentes du langage (Michel
Bréal, 1897)
Les mots tels quels ne suffisent pas à exprimer nos idées. Celles-ci se révèlent à
nous de manière complète grâce à l’effort d’interprétation que nous faisons
systématiquement pour les comprendre dans un contexte donné.
Les approximations de compréhension et d’interprétation dépendant de chaque
individu, il existe dans le langage une grande part de sous-entendu. Cette
caractéristique du langage est fondamentale pour décrire fidèlement le monde
changeant et les relations que l’homme y établit.
9. Le suffixe –ier veut dire arbre qui donne le
fruit
Figue – Figuier
Pomme –
pommier
Amande –
amandier
10. Les idées latentes du langage ou ellipse
intérieure (Michel Bréal , 1897)
Par dérivation, nous transformons un mot ou une base lexicale en un mot nouveau.
À l’époque de Bréal, l’un des suffixes de dérivation les plus utilisés était le suffixe –
ier.
Si l’on observe pomme, mangue, amande, figue + -ier, on pourrait croire que le
sens du suffixe –ier est: le mot dérivé produit l’objet exprimé par le mot primitif.
Ainsi pommier, manguier, amandier, figuier serait l’arbre qui le fruit de la pomme,
etc.
11. Exception et répétition du sens de –ier
grâce à un suffixe nouveau –er
Orange - oranger
Fraise – fraisier Pêche – pêcher
12. D’autres fruits répondent à une toute autre
logique
Actinidia – arbre à
Kiwis
Ananas Plante à pastèque
13. Le suffixe – ier ne marque pas la production mais le
contenant.
Encrier Huilier
Pigeonnier –
colombier
14. Parfois les relations imprimées par –ier
sont contradictoires
Prisonnier Prison ou geôle Geôlier
15. Il n’est pas souhaitable qu’une langue représente tout et avec exactitude notre
environnement parce qu’alors il faudrait infiniment de mots pour décrire le monde
(énorme effort de modifications constante de la réalité) et cognitivement nous
devrions faire toujours les mêmes opérations mentales pour décoder ces mots
nouveaux.
16. Les idées latentes du langage ou ellipse
intérieure (Michel Bréal , 1897)
Le suffixe -ier, comme plusieurs autres, cré une catégorie mentale pour décrire une
réalité et oblige l’usager de la langue à modifier sa catégorie chaque fois qu’il se
trouve en présence d’un mot nouveau où il reconnait un suffixe de dérivation.
Cet exercice est partie inhérente des langues comme le français, l’anglais et
l’espagnol.
Les suffixes sont des éléments linguistiques indispensable à la création de
vocabulaire. Contradictoirement, plus une langue vieillit, et bien que l’on cré des
mots régulièrement, moins il y a de nouveaux suffixes parce que ceux déjà existant
ont prouvé qu’ils étaient suffisemment utiles pour rendre compte des relations que
l’homme établit avec son entourage.
17. 1b et 1c. Formation de mots par combinaison de matériel
morphologique existant:
La dérivation et La conversion
Dérivation: formation un mot nouveau à
partir d’éléments dont l’un au moins n’a
pas d’existence
Par préfixation:
à travers: perforatrice, percolateur
Par suffixation:
Intensif: bravade, œillade, rigolade
Capacité: rétractile, fissile
Conversion: création d’un nouveau mot
par changement de la catégorie
morphosyntaxique
Le boire et Le manger
Une blonde, le beau
Un rien
Un devoir, le pouvoir, Des Savoir-faire
Des vivres
18. L’irradiation* dans la dérivation
Phénomènes qui consistent à faire glisser un sens attribué à un suffixe à d’autres
mots dont la forme graphique et/ou phonique est similaire.
Exemples:
Dans l’ancien français parce qu’on employait fréquemment adolesco, floresco et
senesco qui indiquait des actions lentes et graduelles, on a attribué ce même sens
par irradiation à maturesco et marcesco.
Il devait y avoir dans l’ancien français des mots qui ont donné leur sens péjoratif
aux mots formés avec –âtre, -ard, -aud, -aille, -ouille.
Cherchez et trouvez le sens commun à barbouiller, patouiller, gribouiller / connard,
bonnard, bâtard / marâtre, jaunâtre, saumâtre / canaille, marmaille, victuaille,
mangeaille.
19. Les fausses perceptions* dans la dérivation
Quand le phénomène d’irradiation viole la marque du suffixe, on parle de fausses
perceptions.
Mauviette (insulte) mais crevette est un petit crustacé
Connard (insulte) mais costard (familier) est un costume d’homme
Salaud (insulte) mais costaud (familier)
Marâtre mais théâtre ou psychiatre
Canaille (insulte, de l’italien canaglia = troupe de chien) donc bataille
20. 1d. Formation de mots par combinaison de matériel
morphologique existant: L’abréviation
L’ellipse (souvent des adjectifs qui deviennent des noms): le capitaine général, la ville
capitale, le boulevard périphérique, un Bourgogne, un Tournier.
La troncation:
métro, sympa, ciné, prof, pote, fac.
Car, bus, ricain, dingue.
Les sigles:
RATP, ONU, USA, BRIC,
BCBG, BD, ULM
21. L’analogie*
Pour Bréal, l’analogie es une cause mais pas un moyen. Il distingue 4 cas pour lesquelles la langue a
recours à l’analogie:
pour éviter les difficultés d’expression,
pour obtenir plus de clarté,
pour souligner une opposition ou une ressemblance et
pour appliquer une règle ancienne ou moderne.
Antoine Thomas conteste. L’analogie, ce phénomène consiste à appliquer par irradiation et
systématiquement la même règle à la déclinaison morphologique des verbes.
On conjugue pondre comme fondre, répondre, etc. alors que l’ancien français conjuguait pondre
comme semondre, coudre. On dit pondu, tendu, rendu et si l’on avait suivi le cours normal de
l’évolution des mots on aurait dû dire prendu. C’est par analogie que les enfants et les apprenants
peuvent conjuguer aller en j’alles, tu alles, j’ai pouvu, etc… même si la grammaire moderne désigne ces
formes comme non conforme.
22. 2a. Néologismes sémantiques. Signifié nouveau
pour un signifiant existant
Métaphore: donner à un mot un sens figuré (ou
dérivé) en fonction d’une comparaison implicite
Canard
Oiseau
Sucre trempé dans un liquide
Fausse note
Éclair
Lumière brève, intense, sinueuse, …
Moment de clarté intellectuel bref et
intense
Perle
petite bille de nacre
personne remarquable dans un domaine.
Métonymie: nommer un objet par le nom d’un
autre objet grâce à une contiguïté entre les
deux objets.
La cause pour l’effet: refroidir quelqu’un
L’artiste pour l’œuvre: un Picasso
L’instrument pour l’utilisateur: trois jeunes
tambours
La matière pour l’objet: les cuivres
Le contenant pour le contenu: il a mangé toute
la boite
Le lieu pour la chose: le cantal ou Vichy
Le signe pour la chose signifiée: la couronne
Le physique pour le moral ou la personne: faire
le joli cœur
L’attribut vestimentaire pour la personne: les
casques bleus, les cols blancs.
23. 2b. Néologismes sémantiques. Signifié
nouveau pour un signifiant existant
Spécialité, répartition et remotivation
24. La loi de spécialité*
Il y a dans le français des mots ou des suffixes qui remplissent une fonction
spéciale. Cette fonction qui vient avec le mot ou le suffixe fait faire à l’usager des
économies de langage (loi du moindre effort).
Exemples:
Plus, moins, autant et dérivés sont les mots spéciaux pour exprimer la
comparaison. Pire, moindre, meilleur sont les vestiges d’une morphologie
surannée; pour preuve, les petits français et les apprenants peuvent employer
erronément plus mauvais, plus petit, plus bon.
Les partitifs de, du, de la, de l’, des sont les mots spéciaux pour exprimer une
quantité approximative de quelquechose.
Se ou s’ sont les variantes d’un mot spécial qui indique le caractère réflexif d’un
verbe.
25. La loi de répartition*
Au fur et mesures des siècles, on recense dans le français des doublets*, sorte de
synonymes, qui ont finit par être utilisés dans des contextes déterminés pour ne pas
confondre les usagers de la langue.
Exemples:
Si la chaire désignait autrefois la chaise spéciale installée sur un piedestal où le
professeur s’asseyait pour faire la classe, et désigne aujourd’hui le poste de professeur
titulaire dans une université, elle ne s’emploit pas dans le même contexte que la chaise
sur laquelle s’asseoit le commun des mortels.
La partie qui donne le lait chez les mammifères femelles portent des noms différents
suivant que l’on parle d’un animal ou d’une personne. La vache le fait grâce à son pis et
la femme grâce à sa poitrine. Intervertir les mots pour désigner cette partie du corps
pourrait être insultant. De même, les animaux ont des pattes, mais les hommes des
jambes. On se sert une tranche de pain mais une part de gâteau.
27. 2. Néologismes sémantiques. Signifié
nouveau pour un signifiant existant
C) Élargissement du domaine référentiel
Panier = pour porter le pain
Le linge = tissu fait de lin
Le boucher = exclusivement viande de bouc
L’épicier = exclusivement des épices
Le bureau = la bure qui recouvre la table puis la pièce où se trouve cette table
28. 2. Neólogismes sémantiques. Signifié
nouveau pour un signifiant existant
d) Glissement de sens
Observer vilain, bourgeois, clerc. Chagrin, plume, garce
La gêne = le malheur
étonner = bouleverser
Enchantement, le charme = magique
Manie = folie
Merci = pitié
Navré = blessé à mort
Pondre = poser
29. 2. Neólogismes sémantiques. Signifié
nouveau pour un signifiant existant
E) Rétrécissement référentiel
Traire = tirer, aujourd’hui = tirer sur le pis de la vache pour en extraire du lait
Viande = nourriture, aujourd’hui = chair animale consommée par l’Homme
Etoffe = matière, aujourd’hui = tissu
Robe = tout type de vêtements, aujourd’hui = vêtement féminin
Neveu = toute la descendance, aujourd’hui = fils de la sœur ou du frère
Faon = le petit de tout animal sauvage, aujourd’hui = petit de la biche
Principe « minimax » : valeur sémantique maximale avec signifiant minimal (=
principe d’économie), formation d’un mot à la place d’une expression
syntaxique.(mettre en relation > relationnel, être / devenir bourgeois >
embourgeoiser, faire des économies > économiser)
30. Extinction des formes inutiles*
L’ancien français avait deux imparfait: ere et estoie
Temps de conjugaison: le passé simple, le passé surcomposé (ça a eu payé),
imparfait du subjonctif: « J’eusse été fâché que vous m’imputassiez cette
connerie. »
Les relatifs: dont + relatifs composés /qui et que.
Lexique en désuétude: la réalité change, les mots meurent.
Faites une recherche sur internet pour trouver quels mots ont été retiré du
dictionnaire
31. Les acquisitions nouvelles*
Naissance de l’article
La formation du futur ou du conditionnel
L’ajonction du h
Emprunts lexicaux (voir vignettes suivantes)
33. 3. Intégration des mots étrangers
AIDE
DE
CAMP
PHONIQUE
[Ɛ]= [e]
[kã] = [kan]
MORPHOLOGIQUE ET / OU SYNTAXIQUE
Masculin = féminin ou masculin
Altération sémantique
Officier au service d’un autre
officier = personne au service d’une
autre dans une action publique.
GRAPHIQUE
« AI » = E
34. À vous maintenant…
Le moustique vient de l’espagnol el mosquito
Le chocolat vient de l’espagnol el chocolate
Le biftek vient de l’anglais beef-steak
Le cutter vient de l’anglais
L’alcool, la jupe et le matelas viennent de l’arabe
D’où viennent la mayonnaise et le corbillard?
35. …. Et d’autres petits exercices
Décomposez et donnez le sens des mots suivants:
Paratonnerre, intraveineux, transhumance, chauvinisme, cuillerée, blanchiment,
RMIste.
Quel préfixe utiliser pour trouver un adjectif, un verbe ou un nom qui veuille dire:
Hors les murs, coupé autour, qui se sert de ses deux mains pareillement
Quel suffixe utiliser dans la construction d’adjectifs, noms ou verbes pour
dire/décrire:
Un chauffeur qui conduit mal, l’action de livrer, la possibilité d’accentuer
Faites l’analyse des adaptations qu’a subi « mariachi »
36. En conclusion et à mis chemin entre
sémantique et morphologie
Pour être capable d’animer le cours, lire le texte de Claire Michard accessible à
travers le lien:
http://www.cairn.info/revue-langage-et-societe-2003-4-page-63.htm
Découpage de lecture- compte-rendu:
du début jusqu’au titre le contenu scientifique
du contenu scientifique jusqu’aux présupposés idéologiques.
des présupposés idéologiques jusqu’aux propositions pour une analyse
matérialiste de la sémantique du genre.
des propositions pour une analyse matérialiste de la sémantique du genre
jusqu’à la fin.
37. Pour aller plus loin…
http://www.academie-francaise.fr/dire-ne-pas-dire
http://www.logilangue.com/public/Site/clicGrammaire/ListNomsAdjCompos.php
http://www.etudes-litteraires.com/lexicographie.php
http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/le-francais-aujourdhui
http://www.cairn.info/revue-langage-et-societe-2003-4-page-63.htm
http://andre.thibault.pagesperso-orange.fr/EmpruntsSemantiques.pdf
http://www.lexilogos.com/etymologie.htm
http://www.lexilogos.com/francais_langue_dictionnaires.htm