Bilan 2015 et perspectives 2016 du marché immobilier résidentiel françaisMeilleursAgents
Comme chaque année, MeilleursAgents fait la synthèse de l’évolution du marché immobilier à Paris et dans les plus grandes villes de France. Cette synthèse nourrit l’analyse pour comprendre les dynamiques du marché et anticiper les perspectives de l’année 2016.
Bilan 2015 et perspectives 2016 du marché immobilier résidentiel françaisMeilleursAgents
Comme chaque année, MeilleursAgents fait la synthèse de l’évolution du marché immobilier à Paris et dans les plus grandes villes de France. Cette synthèse nourrit l’analyse pour comprendre les dynamiques du marché et anticiper les perspectives de l’année 2016.
Immobilier en France : y a-t-il un pilote dans l'avion ?Empruntis
Immobilier en France : y a-t-il un pilote dans l'avion ? Taux, prix, pouvoir d'achat immobilier... où va le marché en 2013 ?
Conférence de presse - Paris, 24/09/2013
C'est la presentation PowerPoint (PPT) du memoire de sortie intitule: Les canaux de transmission de la politique monetaire en Haiti: Une approche narrative (1996-2016)
Plaidoyer pour une recherche sur le paludisme urbain en Afrique - Conférence de la 1ère édition du Cours international « Atelier Paludisme » - ROBERT Vincent
Tendem Plasmodium – anophele - Conférence du 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - ELISSA Nohal - Mayotte - nohal.elissa@sante.gouv.fr
Immobilier en France : y a-t-il un pilote dans l'avion ?Empruntis
Immobilier en France : y a-t-il un pilote dans l'avion ? Taux, prix, pouvoir d'achat immobilier... où va le marché en 2013 ?
Conférence de presse - Paris, 24/09/2013
C'est la presentation PowerPoint (PPT) du memoire de sortie intitule: Les canaux de transmission de la politique monetaire en Haiti: Une approche narrative (1996-2016)
Plaidoyer pour une recherche sur le paludisme urbain en Afrique - Conférence de la 1ère édition du Cours international « Atelier Paludisme » - ROBERT Vincent
Tendem Plasmodium – anophele - Conférence du 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - ELISSA Nohal - Mayotte - nohal.elissa@sante.gouv.fr
Définition des populations à risque palustre en fonction du niveau d'endemie - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - AHMED Haoudhoit - MINISTERE de la SANTE de l'UNION des COMORES - Chargée du laboratoire au CSK de Mvouni - haoumed@hotmail.com
Indices paludométriques - Présentation de la 1ère édition du Cours international « Atelier Paludisme » - LABBO Rabiou, Adjoint Chef d'Unité de Parasitologie, CERMES, Niger du RIIPIA.
Indices paludométriques - Présentation de la 2e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - SAID SALIM Zahara - MINISTERE de la SANTE de l'UNION des COMORES - Chargée des données statistiques au PNLP - said_salim_zahara@yahoo.fr
Les indices paludométriques dans des publications de la dernière decennie - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Tabue Ngomdjum Raymond - Cameroun - tnraymon@yahoo.fr
La revue de presse de la semaine du 25 au 31 janvier 2016
La revue de presse de la semaine du 9 au 15 mai 2016
1. La revue de Presse KYLIA
1
LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 9 au 15 mai 2016
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Les pros de l’immobilier confiants sur la
reprise du marché
Le 09/05/2016
Le Crédit foncier ausculte chaque trimestre, depuis janvier 2015, le moral des professionnels
de l’immobilier. Sa dernière livraison, lundi 9 mai, montre qu’il est au plus haut. Ils sont ainsi
74 % (des 400 agents immobiliers, lotisseurs, promoteurs, constructeurs de maisons,
gestionnaires de patrimoine interrogés, du 29 mars au 5 avril, par l’institut CSA) à se dire
optimistes sur l’avenir du marché, contre 59 %, il y a un an. Et, logiquement, les pessimistes ne
sont plus que 24 %, contre 40 % l’an dernier. Nicolas Pécourt, directeur de la communication
du Crédit foncier, l’explique :
« L’inversion de la tendance a eu lieu en mai 2015 et elle s’accentue enquête après enquête. »
Cette confiance se nourrit d’abord de la faiblesse du coût de l’argent : « Entre 2008, quand les taux
d’emprunt immobilier dépassaient 5 %, et ce printemps 2016 où ils sont à moins de 2 %, les
2. La revue de Presse KYLIA
2
acquéreurs ont, à mensualité et durée constante, gagné 25 % de pouvoir d’achat », mesure
M. Pécourt.
Des mesures qui commencent à porter leur fruit
La stabilité des prix concourt aussi à soutenir le marché : 78 % des sondés ne prévoient pas de
hausse des tarifs dans le neuf, et 82 %, dans l’ancien.
Enfin, les récentes mesures gouvernementales commencent à produire leurs effets : la prolongation
d’un an du dispositif dit « Pinel » d’aide à l’investissement locatif, jusqu’à fin 2017, annoncée par le
président François Hollande, en déplacement à Romainville (Seine-Saint-Denis), le 8 avril, conforte
les projets et les ventes des promoteurs ; l’élargissement, à partir du 1
er
janvier 2016, des conditions
d’accès et d’emprunt du Prêt à taux zéro pour les primo-accédants devrait, lui, permettre de financer
120 000 acquisitions, en 2016, contre 60 000 en 2015. « Cet objectif paraît réaliste étant donné le
succès enregistré depuis janvier », note le Crédit foncier, l’un des principaux distributeurs de ce prêt,
avec le Crédit agricole.
Le Crédit foncier, banque spécialiste de l’immobilier table, en 2016, sur une hausse de 8 % des
ventes de logements et, dans l’ancien, de 3 % (après le bond de 15 % enregistré en 2015). Les bons
chiffres de la construction, publiés le 28 avril, viennent en renfort : le nombre de permis de construire
accordés durant les douze mois précédant le 31 mars 2016 est en hausse de 7,7 % par rapport à
l’année précédente, tandis que les mises en chantier progressent, sur la même période, de 3 %.
Générateur d’activité
Jacques Chanut, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), pronostique ainsi :
« Une progression de l’investissement des ménages de 2,5 %, due, notamment, à l’acquisition de
logements, ce qui, pour nous, contribuerait pour 0,2 point à la croissance de l’économie française, au
final plus proche de 1,4 % que des 1,2 % généralement admis. »
L’achat de logements anciens, qui entraîne autant de déménagements, d’achats de meubles, de
travaux de rénovation – plus d’un quart des nouvelles cuisines sont installées à la suite d’un
emménagement –, est également générateur d’activité, sans oublier les droits de mutation encaissés
par les collectivités locales, qui leur apportent, les bonnes années, quelque 10 milliards d’euros
d’argent frais, prêt à investir.
Source: Le Monde.fr
3. La revue de Presse KYLIA
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acquéreurs ont, à mensualité et durée constante, gagné 25 % de pouvoir d’achat », mesure
M. Pécourt.
Des mesures qui commencent à porter leur fruit
La stabilité des prix concourt aussi à soutenir le marché : 78 % des sondés ne prévoient pas de
hausse des tarifs dans le neuf, et 82 %, dans l’ancien.
Enfin, les récentes mesures gouvernementales commencent à produire leurs effets : la prolongation
d’un an du dispositif dit « Pinel » d’aide à l’investissement locatif, jusqu’à fin 2017, annoncée par le
président François Hollande, en déplacement à Romainville (Seine-Saint-Denis), le 8 avril, conforte
les projets et les ventes des promoteurs ; l’élargissement, à partir du 1
er
janvier 2016, des conditions
d’accès et d’emprunt du Prêt à taux zéro pour les primo-accédants devrait, lui, permettre de financer
120 000 acquisitions, en 2016, contre 60 000 en 2015. « Cet objectif paraît réaliste étant donné le
succès enregistré depuis janvier », note le Crédit foncier, l’un des principaux distributeurs de ce prêt,
avec le Crédit agricole.
Le Crédit foncier, banque spécialiste de l’immobilier table, en 2016, sur une hausse de 8 % des
ventes de logements et, dans l’ancien, de 3 % (après le bond de 15 % enregistré en 2015). Les bons
chiffres de la construction, publiés le 28 avril, viennent en renfort : le nombre de permis de construire
accordés durant les douze mois précédant le 31 mars 2016 est en hausse de 7,7 % par rapport à
l’année précédente, tandis que les mises en chantier progressent, sur la même période, de 3 %.
Générateur d’activité
Jacques Chanut, président de la Fédération française du bâtiment (FFB), pronostique ainsi :
« Une progression de l’investissement des ménages de 2,5 %, due, notamment, à l’acquisition de
logements, ce qui, pour nous, contribuerait pour 0,2 point à la croissance de l’économie française, au
final plus proche de 1,4 % que des 1,2 % généralement admis. »
L’achat de logements anciens, qui entraîne autant de déménagements, d’achats de meubles, de
travaux de rénovation – plus d’un quart des nouvelles cuisines sont installées à la suite d’un
emménagement –, est également générateur d’activité, sans oublier les droits de mutation encaissés
par les collectivités locales, qui leur apportent, les bonnes années, quelque 10 milliards d’euros
d’argent frais, prêt à investir.
Source: Le Monde.fr
4. La revue de Presse KYLIA
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Sur les premiers mois de l’année, les agents immobiliers, promoteurs, constructeurs et
commercialisateurs interrogés ont été 81% à estimer que le marché du logement prenait la bonne
direction, soit en considérant qu’il s’est amélioré (44 %) ou stabilisé (37 %) début 2016. Une
perception là encore en rupture par rapport à 2014 où 61 % des professionnels estimaient alors que le
marché s’était détérioré.
Et l’avenir? Là encore, plutôt favorable. Dans le neuf, 69 % des répondants anticipent une stabilisation
des prix (contre 61 % précédemment) contre 15% voyant une hausse (et 9% une baisse). Côté
volume, 44 % pensent que le nombre de transactions va se stabiliser, 39% anticipant encore une
hausse. Quant à l’ancien, les professionnels tablent majoritairement sur une stabilisation des prix
(pour 57 % d’entre eux), 25% entrevoyant une hausse (et 10% une hausse). Une majorité d’entre eux
(50 %) estime aussi que le volume de transactions va se stabiliser, contre 31% prédisant une hausse
(et 10% une baisse).
Source : Le Figaro.fr
5. La revue de Presse KYLIA
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Pourquoi les étudiants londoniens ne paient
plus leur loyer
Le 09/05/2016
Une jeune fille dans une manifestation contre les frais universitaires organisée par un mouvement
d'étudiants anti-austérité, le 19 novembre 2014 à Londres. (AFP PHOTO/JUSTIN TALLIS)
Le plafond leur tombe sur la tête, les loyers coûtent de plus en plus cher, et on leur explique
que c'est une fatalité.
Etranglés financièrement par leur loyer, ils ont décidé d'arrêté de payer. 1.000 étudiants londoniens
ont déjà rejoint le mouvement de grève pour protester contre le prix qu'ils doivent débourser chaque
trimestre pour se loger dans un des "halls of residence", ces résidences étudiantes gérées par leur
université. Le mot d'ordre des grévistes : "Cut the Rent" (ou "réduisez le loyer").
Quelque 750 étudiants de l'University College London (UCL), soit 15% des résidents de ses halls, se
sont engagés à ne pas payer leur loyer du troisième trimestre. Les chambres en résidence y sont
les deuxièmes plus chères de Londres, après celles de la prestigieuse London School of Economics.
Pour s'y loger, un étudiant peut avoir à dépenser jusqu'à 262 livres par semaine (335 euros).
Et le mouvement s'étend : selon "Pi Media", journal en ligne des étudiants de l'UCL, 300 étudiants de
l'Université Goldsmiths ainsi que des dizaines de Roehampton et de l'Institut Courtauld se sont aussi
engagés à ne pas payer la note.
6. La revue de Presse KYLIA
6
Au total, un million de livres pourraient ne pas rentrer dans les caisses de leurs universités ce
trimestre.
Des bouts de plafond qui tombent
A l'UCL, la campagne Cut the Rent a débuté en octobre 2014, "lorsque les étudiants se sont rendu
compte que les loyers avaient augmenté de près de 50% depuis 2010", explique à
"l'Obs" David Dahlborn, un membre du mouvement. Selon lui, "tout le monde – étudiants,
universitaires et parents – est en faveur d'une baisse des loyers".
Car, malgré leur prix, les logements proposés sont loin d'être des palaces. Il arrive que des bouts de
plafond s'effondrent dans des chambres ou des couloirs. En novembre 2015, des étudiants de
l'UCL ont même reçu une compensation de 300.000 livres (près de 380.000 euros) parce que leurs
chambres étaient trop bruyantes et infestées de rats.
Dans ces conditions, difficile pour les étudiants d'encaisser le fait que l'université empoche une marge
de 45% sur les loyers versés.
L'université assure que tout cet argent est réinvesti dans l'entretien et la rénovation des résidences. Et
rappelle que les tarifs proposés aux étudiants pour les chambres universitaires restent plus bas que
dans le parc privé londonien.
Maigre consolation pour les étudiants, qui demandent une réduction des loyers de 40%. David
Dahlborn :
"Même si les loyers de la plupart des chambres de l'UCL sont plus bas que les prix du marché,
la plupart restent inabordables pour la majorité des étudiants."
Il craint que l'augmentation des loyers ne conduise à un "nettoyage social" dans des universités où le
coût des études est déjà élevé.
Une université pour les riches
Dans un tiers des universités outre-Manche, les étudiants doivent débourser le montant maximum des
frais de scolarité, soit 9.000 livres par an (plus de 11.000 euros). Une étude récente a ainsi montré
qu'à la fin de ses études universitaires, un étudiant britannique serait endetté de 44.500 livres en
moyenne. Pour les étudiants les plus défavorisés, la dette pourra s'élever à 50.000 livres.
7. La revue de Presse KYLIA
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A Londres, le coût des études se conjugue aussi avec une crise du logement sans précédent. Entre
décembre 2014 et décembre 2015, le prix moyen d'un bien à Londres a augmenté de 12%, et de
nombreux habitants doivent renoncer à acheter autre chose que des placards sous l'escalier.
La campagne Cut the Rent ne vise donc pas seulement à faire dépenser moins d'argent aux étudiants
actuels, mais aussi à faire en sorte qu'aller à l'université à Londres ne soit pas le privilège de quelques
uns.
C'est ce que Joe, étudiant à Goldsmiths, explique au "Guardian" :
"Beaucoup renoncent à étudier à Londres car le prix des loyers y est trop élevé. Nous pensons
ce doit être un devoir pour les universités, où qu'elles se trouvent, de faire en sorte que
l'argent ne soit pas une barrière à l'éducation."
"De nombreux étudiants en grève doivent travailler en plus de leurs études, qui prennent parfois 40
heures par semaine", explique David Dahlborn. Avec deux ou trois emplois à temps partiel, cela peut
conduire à des semaines "de 50 ou 60 heures".
Et le coût de la vie n'affecte pas seulement les études des étudiants, mais aussi leur santé
mentale. Une étude récente menée au Royaume-Uni a montré que 63% d'entre eux s'inquiètent de
leurs finances tout le temps ou très souvent, et que 36% disent être tellement inquiets que cela a un
impact sur leur santé mentale.
Une fatalité ?
"Le coût de la vie à Londres est un défi pour l'ensemble de l'université", assure-t-on à l'UCL.
En février, Andrew Grainger, le responsable du parc de logements de l'UCL, semblait pourtant
considérer le fait que certains ne puissent pas se loger à Londres était une fatalité. Il expliquait alors :
"Nous n'établissons pas les loyers en fonction des étudiants les moins riches. Certaines
personnes ne peuvent simplement pas se permettre d'étudier à Londres, c'est une réalité."
Si la direction de l'université ne semble pas prête à envisager une baisse des loyers de 40%, un porte-
parole affirme que 30% des loyers du parc immobilier de l'UCL seraient soient réduits soit gelés
l'année prochaine. Les universités de Roehampton et Goldsmiths ont aussi annoncé un gel des loyers
de certains types de chambres.
De leur côté, les membres du mouvement Cut the Rent disent "maintenir leur position.
8. La revue de Presse KYLIA
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"Jusqu'ici, la direction a légèrement infléchi sa position qui était de refuser de baisser les
loyers, et nous attendons qu'ils reviennent autour de la table pour des négociations
sérieuses."
Pour le moment, c'est une autre réduction qui a été annoncée par l'UCL pour l'année universitaire à
venir : celle des bourses accordées aux étudiants les plus modestes.
Source. NouvelObs.com
10. La revue de Presse KYLIA
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Quatre départements à l'essai pour le chèque énergie
D'autre part, est paru le décret n° 2016-555 du 6 mai 2016 relatif au chèque énergie. Entrant en
vigueur dès ce lundi 9 mai 2016, il définit les conditions de mise en œuvre du chèque énergie, ce
dispositif d'aide au paiement des dépenses d'énergie qui se substituera, à l'issue d'une période
expérimentale, aux tarifs sociaux de l'énergie qui prennent fin au 31 décembre 2017. Sont concernés
par ce décret, les personnes en situation de précarité, les fournisseurs d'énergie, les professionnels
de la rénovation énergétique des logements, les bailleurs sociaux et les gestionnaires de logements-
foyers.
Pour rappel, le chèque énergie sera attribué sur la base d'un critère fiscal unique, en tenant compte
du niveau de revenu et de la composition des ménages. Il permettra à ses bénéficiaires de régler leur
facture d'énergie, quel que soit leur moyen de chauffage (électricité, gaz, fioul, bois…) et même, s'ils
le souhaitent, de les utiliser pour financer une partie des travaux d'économie d'énergie qu'ils engagent
dans leur logement.
Jusqu'à 227 € de réduction
Le revenu fiscal de référence annuel par unité de consommation doit être inférieur à 7.700 €, au titre
de la résidence principale. Ce montant peut être réévalué par arrêté des ministres chargés de
l'économie et de l'énergie. Le chèque énergie est ainsi émis au titre d'une année civile, sur un support
papier ou sous forme dématérialisée, sa valeur faciale étant déterminée par les revenus et la
composition du ménage. Le montant peut aller de 48 € (pour un revenu compris entre 6.700 et 7.700
€ pour un ménage d'une personne) à 227 € pour un ménage aux revenus inférieurs à 5.600 € et
composé de deux personnes ou plus.
Avec le chèque énergie, un ménage pourra ainsi effectuer une dépense de fourniture d'énergie liée au
logement, ou une dépense liée à l'acquisition ou à l'installation dans le logement d'équipements,
matériaux ou appareils qui ouvrent droit au crédit d'impôt mentionné à l'article 200 quater du code
général des impôts. C'est l'Agence de services et de paiement qui fera connaître au demandeur,
après examen de son dossier, avant le 1er février de chaque année, le montant prévisionnel de l'aide
auquel il aura droit pour l'année en cours.
Il entre, ce jour, en phase d'expérimentation dans les départements de l'Ardèche, de l'Aveyron, des
Côtes d'Armor et du Pas-de-Calais.
Source : Batiactu.com
11. La revue de Presse KYLIA
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Copropriétaires : voici vos nouvelles et vos
futures obligations
Le 10/05/2016
Les convocations aux assemblées générales, ainsi que les procès-verbaux peuvent désormais être
envoyées par voie électronique.
Getty Images/iStockphoto/JohnnyH5
Les modifications des règles de fonctionnement des copropriétés (loi Alur du 24 mars 2014 et
loi Macron du 6 août 2015) entrent progressivement en application. Etat des lieux des
principaux changements effectifs ou à venir pour tous les copropriétaires.
Les mesures déjà en vigueur
Convocations et mises en demeure par voie électronique. Sous réserve de l'accord préalable des
destinataires, les convocations aux assemblées générales (AG), les procès-verbaux d'AG ainsi que
les mises en demeure, à l'exception de celle préalable à une inscription d'hypothèque, peuvent être
envoyées par lettre recommandée électronique (article 42-1 de la loi de 1965, modifié par un décret
du 21 octobre 2015). Cet accord est révocable à tout moment par les copropriétaires. Corrélativement,
le recours au fax est supprimé. Des obligations spécifiques s'appliquent au contrôle des comptes.
Contrat et mise en concurrence du syndic. Le contrat de syndic conclu ou renouvelé depuis le 2
juillet dernier doit être conforme à un contrat type détaillé en annexe du décret n° 2015-342 du 26
12. La revue de Presse KYLIA
12
mars 2015. Cela concerne tous les syndics, y compris bénévoles. Le contrat type est basé sur le
principe du "tout sauf". Cela signifie que seules les prestations du syndic limitativement énumérées
dans le contrat l'autorisent à facturer un supplément. Toutes les autres sont réputées couvertes par le
forfait annuel de gestion courante. Le contrat donne, en annexe, des exemples de prestations incluses
dans le forfait.
Y figurent notamment les tâches liées à la tenue de l'assemblée générale annuelle, la gestion
financière de la copropriété, la déclaration des sinistres ou encore la gestion du personnel de la
copropriété. Les frais de photocopie sont compris dans le forfait de base, mais pas les frais
d'affranchissement. Le tarif des prestations facturées en plus, comme les réunions ou visites non
prévues dans le forfait, est libre. Le conseil syndical est tenu tous les trois ans de mettre en
concurrence plusieurs contrats avant l'assemblée générale appelée à désigner un syndic, sauf
dispense accordée par la précédente AG. Par ailleurs, tout copropriétaire a désormais la possibilité de
convoquer une assemblée générale en vue de la désignation d'un syndic dans le cas où la copropriété
en est dépourvue, par exemple à la suite de l'expiration du mandat du syndic en place ou de la perte
de sa carte professionnelle. Rappelons que le syndic qui démissionne doit respecter un préavis de
trois mois.
Chauffage, fibre et extranet. Les immeubles dotés d'un chauffage collectif ont l'obligation de
s'équiper, au plus tard le 31 mars 2017, de compteurs individuels lorsque cela est techniquement
possible et rentable, ou sinon de répartiteurs, moins précis. Le syndic est tenu, depuis le 17 février
2016, de mettre à l'ordre du jour de l'AG la question des travaux d'individualisation des frais de
chauffage et de présenter les devis élaborés à cet effet.
Par ailleurs, depuis le 8 août 2015, l'ordre du jour doit comporter un point donnant mandat au conseil
syndical pour se prononcer sur toute proposition d'un opérateur d'installer la fibre optique. Depuis le
1er janvier 2015, le syndic professionnel est tenu de mettre en place un service extranet pour les
copropriétés, espace privé et sécurisé sur Internet permettant aux copropriétaires d'accéder à
distance aux documents mis à leur disposition par le syndic. L'étendue des documents dématérialisés
qui doivent être mis en ligne par le syndic n'est toutefois pas clairement définie. L'AG peut s'opposer à
la mise en place de ce service.
Compte bancaire séparé. Le syndic dont le mandat a été conclu ou renouvelé à partir du 24 mars
2015 est tenu d'ouvrir un compte séparé au nom du syndicat, sans dispense possible pour les
copropriétés de plus de 15 lots. Le choix entre compte séparé et compte commun reste ouvert aux
seules copropriétés de 15 lots au plus gérées par un syndic professionnel, après un vote de
13. La revue de Presse KYLIA
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l'assemblée générale. Dans ce cas, il est interdit au syndic de proposer des honoraires différenciés
selon que l'assemblée opte, ou non, pour un compte séparé.
Majorité pour travaux. Depuis le 27 mars 2014, les règles de majorité sont assouplies afin de
favoriser les prises de décision pour certains travaux. Des décisions qui relevaient autrefois de la
majorité absolue des voix (article 25, tous les copropriétaires présents, représentés ou absents),
comme les modalités de réalisation des travaux rendus obligatoires par la loi ou un règlement,
peuvent être adoptés à la majorité simple (article 24, copropriétaires présents ou représentés, sans
prise en compte des abstentionnistes et des votes blancs). D'autres, qui relevaient auparavant d'un
vote à la double majorité (article 26, tous les copropriétaires présents, représentés ou absents
détenant les deux tiers des voix), par exemple des travaux de transformation, peuvent être adoptées à
la majorité absolue.
Les informations autour de l'AG. Les modalités selon lesquelles le syndic est tenu de mettre les
pièces justificatives des charges de copropriété à la disposition des copropriétaires avant la réunion
de l'assemblée générale (AG) sont fixées par un décret du 30 décembre 2015 pour les assemblées
"appelées à connaître des comptes" convoquées à partir du 1er avril 2016. Le lieu, le ou les jours et
les heures de consultation des pièces justificatives des charges doivent être indiqués dans la
convocation. Dans les trois mois suivant la tenue de l'AG, le syndic est chargé de porter à la
connaissance des occupants de l'immeuble, locataires compris, les décisions prises par les
assemblées générales.
Ce qui vous attend dans les prochains mois
La mise en place d'un fonds de travaux. A partir du 1er janvier 2017, les copropriétaires d'un
immeuble achevé depuis plus de cinq ans seront tenus de participer à un fonds de travaux pour faire
face aux chantiers importants à venir (rénovation énergétique, réfection des toitures, etc.).
L'assemblée peut toutefois décider à l'unanimité de ne pas constituer ce fonds lorsque l'immeuble
comporte moins de dix lots. Echappent aussi à cette obligation les copropriétaires qui ont effectué un
diagnostic technique global ne faisant apparaître aucun besoin de travaux dans les dix années à
venir. Ce fonds fait l'objet d'un compte bancaire séparé que le syndic doit ouvrir dans le même
établissement que le compte séparé du syndicat des copropriétaires.
Registre national et fiche synthétique des copropriétés. Après la mise en place, prévue pour la fin
de l'année, d'un registre national d'immatriculation des copropriétés comportant notamment des
données financières sur les syndicats de copropriétaires, le syndic sera tenu, sous peine d'astreinte,
d'immatriculer le syndicat, avant le 31 décembre 2016 pour les copropriétés de plus de 200 lots, avant
14. La revue de Presse KYLIA
14
le 31 décembre 2017 pour celles de plus de 50 lots et avant le 31 décembre 2018 pour les autres.
Cette immatriculation conditionne les aides publiques, notamment en matière de rénovation
énergétique. Le syndic devra créer, selon le même échéancier, sous peine de révocation, une fiche
synthétique recensant les données financières et techniques de la copropriété. Son contenu sera
précisé par décret. Le syndic est fondé à percevoir une rémunération pour l'immatriculation initiale de
la copropriété, mais pas pour la mise à jour du registre d'immatriculation, ni pour l'établissement de la
fiche synthétique qui relèvent de la gestion courante.
Les décisions à inscrire à l'ordre du jour. A compter du 1er janvier 2017, l'assemblée générale
devra se prononcer sur la question de faire réaliser un diagnostic technique global portant sur
l'immeuble, dont le contenu sera présenté à la première assemblée qui suit sa réalisation. Le syndic
sera tenu également d'inscrire à l'ordre du jour la question de l'installation d'emplacements sécurisés
pour vélos.
Source : L’Express.fr
15. La revue de Presse KYLIA
15
Public et privé, responsables de la hausse des
prix
Le 11/05/2016
Public et privé, responsables de la hausse des prix
Les politiques locales de l'habitat ne favorisent pas la baisse des prix.
Mais elles n'en sont pas les seules responsables.
Construire ensemble n'est pas toujours un long fleuve tranquille. Et le discours consensuel sur la
collaboration à tous les étages dissimule souvent des pratiques moins apaisées. Le 6 avril dernier, la
ville de Nanterre a présenté sa charte « Qualité des constructions neuves », qui détaille, sur une
vingtaine de pages, la manière dont les promoteurs doivent faire leur métier et à quel prix ils doivent
vendre leurs logements. Histoire de ne pas être définitivement évincés de ce marché de
16. La revue de Presse KYLIA
3
Optimiste comme un agent immobilier
Le 09/05/2016
INFOGRAPHIE - Jamais les professionnels de l’immobilier n’avaient autant vu l’avenir en rose. Selon
un baromètre Crédit Foncier/CSA, 74% d’entre eux sont optimistes pour l’année à venir et entrevoient
(à 70%) une stabilisation des prix.
Si le moral des ménages stagne dans la grisaille (en avril dernier il était toujours à 6 points en
dessous de sa moyenne de 1987 à 2015), les professionnels de l’immobilier, eux, semblent en pleine
forme. Selon la dernière livraison du baromètre Crédit Foncier / CSA, les trois quarts des membres de
la profession sont confiants dans l’avenir. Ils n’étaient pourtant que 35% à être dans ce cas en janvier
2015.
Depuis cette période, l’optimisme des professionnels n’a cessé de gagner du terrain. Il se nourrit
principalement des niveaux de taux d’intérêt de crédit qui ne cessent d’atteindre de nouveaux
planchers (pour 88 % des professionnels), mais aussi des dispositifs de soutien à l’achat immobilier
(69 %) ainsi que des mesures liées au PTZ (67 %). Le pessimisme n’a évidemment pas disparu pour
autant, les plus inquiets justifiant leurs sombres pronostics par le contexte économique (92 %) et le
niveau du pouvoir d’achat des ménages (77 %).
Stabilisation des prix et des volumes
17. La revue de Presse KYLIA
3
Optimiste comme un agent immobilier
Le 09/05/2016
INFOGRAPHIE - Jamais les professionnels de l’immobilier n’avaient autant vu l’avenir en rose. Selon
un baromètre Crédit Foncier/CSA, 74% d’entre eux sont optimistes pour l’année à venir et entrevoient
(à 70%) une stabilisation des prix.
Si le moral des ménages stagne dans la grisaille (en avril dernier il était toujours à 6 points en
dessous de sa moyenne de 1987 à 2015), les professionnels de l’immobilier, eux, semblent en pleine
forme. Selon la dernière livraison du baromètre Crédit Foncier / CSA, les trois quarts des membres de
la profession sont confiants dans l’avenir. Ils n’étaient pourtant que 35% à être dans ce cas en janvier
2015.
Depuis cette période, l’optimisme des professionnels n’a cessé de gagner du terrain. Il se nourrit
principalement des niveaux de taux d’intérêt de crédit qui ne cessent d’atteindre de nouveaux
planchers (pour 88 % des professionnels), mais aussi des dispositifs de soutien à l’achat immobilier
(69 %) ainsi que des mesures liées au PTZ (67 %). Le pessimisme n’a évidemment pas disparu pour
autant, les plus inquiets justifiant leurs sombres pronostics par le contexte économique (92 %) et le
niveau du pouvoir d’achat des ménages (77 %).
Stabilisation des prix et des volumes
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centaine d’agences dans l’Hexagone. Et ce n’est que le début, promet l’enseigne qui annonce vouloir
atteindre les 500 agences d’ici à 2020. Des objectifs ambitieux.
Ce démarrage n’efface pas, cependant, les critiques et les craintes que l’animateur s’attire depuis la
création de son réseau. Bernard Cadeau, président du réseau Orpi, avait par exemple expliqué au
Figaro la gêne occasionnée. «Ce qui me gêne, c’est la position de M6 qui investit plusieurs millions
d’euros dans ce réseau risquant ainsi un conflit d’intérêts, souligne-t-il. En tant que patron de réseau,
j’aurai du mal à regarder la chaîne du même œil pour y placer de la publicité.» Et s’il apprécie
«l’éclectisme» de Stéphane Plaza et «sa contribution au nouveau regard porté sur le métier d’agent
immobilier», le montage financier de son enseigne aura toujours du mal à passer. Le mélange des
genres ne fait pas bon ménage...
L’animateur non plus, ne plaisante pas avec son nom: en 2014, il avait attaqué en justice un agent
immobilier et lui avait réclamé 70.000 euros. Le problème? Ce dernier avait déposé à l’INPI (Institut
national de la propriété industrielle) la marque «Plaza Immobilier» avant lui, espérant surfer sur le
succès de son nom...
Source : Le Figaro.fr
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Paris réfute qu’il s’agit là d’un appel à la délation envers les contrevenants qui risquent, eux, une
amende de 25.000 euros.
Du côté des plateformes, l’heure est à la contre-attaque puisque Airbnb vient de lancer auprès de ses
"membres" une pétition en ligne contre le projet de loi sur le numérique actuellement en discussion au
Parlement. Un texte qui prévoit que toute municipalité pourra obliger tous les bailleurs à déclarer leurs
activités de location saisonnière, y compris, et c’est nouveau, ceux qui louent leur résidence
principale. Ce qui obligera les propriétaires à un fastidieux enregistrement auprès de leur mairie.
Source : Capital.fr
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Euro 2016 : Welcome to... une campagne pour
inciter les commerçants à jouer le jeu
Le 12/05/2016
L'Euro est un enjeu sportif et touristique. La France, indique Atout France, doit accueillir plus de 1,5
million de visiteurs internationaux entre le 10 juin et le 10 juillet. Cette gestion des flux touristiques
aura des répercussions sur l'image touristique de la France dans les mois et année qui suivront. Une
campagne, baptisée « Welcome to… » va être lancée pour inciter les professionnels à jouer à fond la
carte de l'accueil. La France va devoir montrer son savoir-faire et créer un mouvement amical envers
tous les supporterus estiment les institutionnels. L'opération, initiée par le ministère des Affaires
étrangères et du Développement international, Atout France, le Club des Sites d'accueil de l'Euro
2016, CCI France et la DGE sera relayée par plusieurs villes hôtes. « Partant de l'idée qu'un
professionnel de l'accueil se cache derrière chaque Français, elle mettra en valeur l'enthousiasme et
la volonté de tous les acteurs de la chaîne d'accueil (commerçants, cafés, restaurateurs, hôteliers,
etc.) de recevoir au mieux les visiteurs internationaux. Les affiches conçues seront ainsi visibles chez
plus de 31 000 commerçants au sein des villes hôtes. Des sets de table, des sachets à pains, des
stickers vitrine aux couleurs de la campagne seront également mis à leur disposition ainsi qu'un kit de
communication dédié aux réseaux sociaux. Des affiches génériques Welcome to France seront aussi
diffusées sur les camps de base où logeront les équipes nationales ainsi que par les partenaires de la
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campagne. En complément, les CCI ont souhaité accompagner les professionnels du tourisme et les
commerçants pour améliorer la qualité de l'accueil. Basé sur le programme High Hospitality Academy,
CCI France et la DGE proposent une vidéo de sensibilisation ainsi qu'un guide pratique de l'accueil. »
Source : lhotellerie-restauration.fr
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Tous au Restaurant : une 7e édition qui vise les
1 500 restaurants
Le 12/05/2016
Du 19 septembre au 2 octobre, l'opération Tous au Restaurant devrait une fois encore attirer plus de 1
000 restaurateurs qui en profiteront pour remplir leur restaurant.
"En sept ans, Tous au Restaurant s'est imposé auprès des professionnels et des amoureux de belle
cuisine comme le grand rendez-vous de la rentrée. En démontrant la vitalité de la restauration
d'aujourd'hui, nous construisons un avenir prometteur pour la cuisine française de demain", dit Alain
Ducasse, parrain de l'événement.
Avec 575 000 repas vendus en 2015, Tous au restaurant a fait ses preuves. Le principe aussi : un
menu offert pour un menu « Tous au Restaurant » payant. Le contenu du menu, son prix, le nombre
de tables allouées à l'opération ainsi que les jours, tout est maîtrisé par le professionnel. Pas de
surprise.
Au fil des éditions, l'opération a convaincu les professionnels qui sont plus nombreux chaque année à
y participer et qui connaît un taux de réinscription très élevé parmi ceux qui y ont goûté. 998
restaurants (99 étoiles Michelin et 26 tables d'exception) se sont inscrits en 2015. L'objectif 2016 ? +
50%, soit 1500 restaurants. Le Top 3 des régions participantes : Ile-de-France, Rhône-Alpes et PACA.
Un million de visiteurs sur le site internet
Au départ, l'idée était d'attirer de nouveaux clients pendant une période ralentie après la saison, mais
aussi de fidéliser sa clientèle en lui permettant de revenir avec une offre alléchante, et surtout de
communiquer sur son établissement. De le mettre en lumière avec une animation relayée au niveau
national par une campagne de publicité et de très nombreux articles dans les journaux (966 en 2015).
Le site internet (www.tousaurestaurant.com), qui présente tous les restaurants, a enregistré 1 million
de visiteurs et 14 millions de pages vues. Les inscriptions sont désormais ouvertes sur le site.
Aussi, de trois jours, elle est passée à deux semaines et les professionnels comme les clients en
redemandent (98 % des clients souhaitent en profiter en 2016). Aussi, le rendez-vous de la rentrée
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avec son lancement à la mairie de Paris est inscrit dans le calendrier.
En attendant, Tous au Restaurant entreprend un tour de France à la rencontre des restaurateurs et
autres professionnels de la restauration dans sept grandes villes de mai à juin 2016. Chaque date
sera l'occasion d'expliciter l'opération, de donner des conseils pour en tirer le plus de bénéfices, mais
aussi d'assister à des démonstrations réalisées par les chefs ambassadeurs ou de participer à des
débats d'actualité : la restauration responsable, la transmission et l'emploi, et le digital. Il sera aussi
question de la nouveauté 2016 : « fromage compris ». Il s'agit pour les restaurateurs d'intégrer le
fromage dans leur menu Tous au Restaurant et de valoriser la diversité de notre patrimoine, en
association avec l'interprofession.
Tous au Restaurant 2016
Alain Ducasse, parrain de l'événement : « Pour des convives plus attentifs que jamais à leur choix
de table, c'est devenu un repère crédible pour s'orienter dans une offre foisonnante ».
Sébastien Sanjou, Le Relais des Moines, aux Arcs-sur-Argens (83), participe depuis la première
édition : « Tous au Restaurant est pour moi un événement essentiel. Tout d'abord, cela permet à
une clientèle qui ne connaît nos maisons d'en pousser la porte, de se rendre compte de ce qu'est
réellement une maison étoilée contemporaine et par conséquent de faire tomber certains clichés qui
trop souvent encore nous collent à la peau. C'est également le moyen de remercier nos clients
habitués en leur faisant profiter de cette offre ».
Le tour de France 2016
Bordeaux : Le Prince Noir / Vivien Durand : le 25 mai 2016
Lille : Restaurant Clément Marrot : le 31 Mai 2016
Strasbourg : La Maison Kammerzell : Le 2 juin 2016
Nantes : Château des Ducs de Bretagne / jean Yves Gueho : le 9 juin 2016
Lyon : Le 33 Cité / Christophe Marguin et Frédéric Berthod
Marseille : L'Epuisette / Guillaume Sourrieu : le 13 juin 2016
Paris : Ecole de Cuisine Alain Ducasse : le 20 juin 2016
Source : lhotellerie-restauration.fr
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Depuis ses fourneaux, Christophe Bibard observe son pays d'adoption et ses spécificités, le marché,
les attentes de la clientèle… Son but ? Se mettre à son compte. "Le visa le plus simple à obtenir est
celui pour les investisseurs. Il faut compter entre 50 000 et 80 000 $ minimum, mais cela se joue aussi
en fonction de chaque cas", précise-t-il. L'avocat de l'immigration qui s'occupe de son dossier lui
déniche un local, situé dans un condominium (une résidence fermée). Un pari risqué. "Le local ne
possède aucune visibilité depuis la rue. Il faut donc travailler sur internet, être présent sur des sites
comme Tripadvisor ou Yelp… Les Américains regardent beaucoup les commentaires, c'est très
important ici", souligne le Français.
Tendance bistronomique
L'Edito ouvre finalement ses portes il y a un an. Pour faire fonctionner ce restaurant de 35 places
assises, Christophe Bibard commence seul aux fourneaux, tandis que sa compagne gère la salle. La
cuisine est de style international, afin de toucher une clientèle la plus large possible. "On propose
aussi bien des escargots et de la soupe à l'oignon que du couscous ou des plats d'origine asiatique.
Mais notre best-seller reste le boeuf bourguignon, même par 40 degrés !", s'amuse-t-il.
Le bouche à oreille fait vite son oeuvre, et en haute saison, l'établissement affiche complet tous les
soirs. Les prix modérés expliquent en partie ce succès. "Le ticket moyen se situe entre 30 et 40 $
[environ 26 à 35 € NDLR], boisson comprise. Les clients trouvent souvent que ce n'est pas assez
cher. Miami est une grosse ville touristique, et beaucoup de restaurants en profitent. Nous, nous
avons un loyer peu élevé, nous sommes une petite équipe et nous le répercutons sur nos prix",
explique le chef. En parallèle, L'Edito surfe sur la vague de la bistronomie. "On travaille beaucoup sur
la présentation de l'assiette, ce que ne font pas les autres restaurateurs. 90 % de nos clients prennent
des photos de nos plats, cela fait plaisir !", note-t-il.
Un avenir incertain
Encouragé par ces résultats prometteurs, Christophe Bibard espère ouvrir un fast good, un service
traiteur et peut-être même une adresse plus gastronomique. Cependant, rien n'est gagné. Certes, la
Floride est très peu taxée, mais d'autres difficultés jalonnent le parcours de l'expatrié. "Ici, l'offre de
produits est ultra-limitée. Il y a une dizaine de poissons différents seulement. Le veau, la viande de
faisan, de caille ou de pigeon sont introuvables", constate-t-il.
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La question des ressources humaines s'avère elle aussi épineuse. "Pour le personnel, c'est encore
plus compliqué qu'en France. Les gens manquent souvent d'une bonne formation et il y a une
véritable absence de professionnalisme. Il arrive souvent que des employés ne viennent pas travailler,
sans même vous prévenir", déplore-t-il. Le volet administratif, quant à lui, n'est pas à prendre à la
légère. "Il faut respecter les règles à la lettre et payer les taxes en temps et en heure. Tout est
contrôlé - les taxes, les ventes d'alcool… - de manière très pointilleuse. De plus, les papiers sont
difficiles à obtenir et temporaires. Par exemple, je suis en train de renouveler mon visa, mais rien ne
me garantit à 100 % que ma demande sera acceptée…"
Source : lhotellerie-restauration.fr
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A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses
agents immobiliers.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT Caroline PILATO / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18