La Garillère est un quartier de Saint-Sebastien-sur-Loire (44) issu d'un lotissement créé dans les années 50. Les riverains ont entretenu entre eux des liens étroits et particuliers qui leur ont donné envie de créer en 2017 leur association de quartier. Le "Projet de la Garillère" a été élaboré par les habitants eux même au sin d'ateliers créatifs le 9 décembre 2017. Il fait part de leurs envies de maintenir la convivialité, l'entraide, le partage, l'échange, et la qualité d’accueil des nouveaux arrivants. Il se dopnne pour perspective d'aller vers un quartier ecoresponsable et résidentiel (régulation de la circulation, végétalisation de la rue, espaces verts partagés et vivants).
Le Projet 2018 comporte 12 actions concrètes qui seront mises en oeuvre par les riverains eux-même.
Petit-déjeuner / débat
Jardins partagés,des jardins multiples.
Le mardi 14 mai, 9h-11h , à l’Hôtel de Région, Toulouse
Toutes les infos sur la matinée : http://petitsdejeuners.arpe-mip.com/jardins-partages/
"Un tourisme en quête de sens. Pratiquer un tourisme responsable, c'est facile ! A condition de se poser les bonnes questions et de faire les bons choix."
Sortir des sentiers battus
Même s’il y a des sites incontournables que l’on aimera toujours découvrir, il n’est pas interdit de se montrer imaginatif.
« Nous emmenons les clients dans des pays moins visités, comme le Bénin où nous avons créé notre premier voyage. Mais, même au Vietnam, nous essayons de faire autre chose que ce que font la majorité des 8 millions de touristes qui visitent chaque année ce pays…», explique Antoine Richard, qui a compris que l’autre point clé du tourisme durable réside dans la taille du groupe. Les séjours de Double Sens rassemblent souvent moins de huit personnes de manière à favoriser la convivialité et les échanges. « C’est important pour préserver l’authenticité locale, d’autant que nous passons la moitié du séjour au sein d’une communauté, à nous rendre utiles autour d’un projet que nous avons élaboré avec elle, poursuit-il. Les voyageurs qui partent avec nous ont envie de participer, de découvrir des modes de vie et de passer du temps avec les gens du pays. » En effet, le cofondateur et gérant de Double Sens en est sûr : « Chacun, à son échelle, peut changer la vie d’un village. Les personnes qui voyagent avec nous s’étonnent de l’impact positif de leur voyage ; elles voient qu’il a généré des revenus pour les habitants, que de l’activité y est développée…Et il arrive souvent que nos voyageurs poursuivent cette action chez eux. » De Double Sens est née l’association Frères de sens : elle regroupe d’anciens voyageurs qui s’engagent à aider un projet précis sur une durée déterminée de retour en France. « On revient forcément changé d’un voyage, on a fait des rencontres, on souhaite qu’il y ait un après pour ne pas en rester là », témoigne Astrid de Kermel, la nouvelle présidente de l’association, partie au Bénin avec l’agence en 2014.
Petit-déjeuner / débat
Jardins partagés,des jardins multiples.
Le mardi 14 mai, 9h-11h , à l’Hôtel de Région, Toulouse
Toutes les infos sur la matinée : http://petitsdejeuners.arpe-mip.com/jardins-partages/
"Un tourisme en quête de sens. Pratiquer un tourisme responsable, c'est facile ! A condition de se poser les bonnes questions et de faire les bons choix."
Sortir des sentiers battus
Même s’il y a des sites incontournables que l’on aimera toujours découvrir, il n’est pas interdit de se montrer imaginatif.
« Nous emmenons les clients dans des pays moins visités, comme le Bénin où nous avons créé notre premier voyage. Mais, même au Vietnam, nous essayons de faire autre chose que ce que font la majorité des 8 millions de touristes qui visitent chaque année ce pays…», explique Antoine Richard, qui a compris que l’autre point clé du tourisme durable réside dans la taille du groupe. Les séjours de Double Sens rassemblent souvent moins de huit personnes de manière à favoriser la convivialité et les échanges. « C’est important pour préserver l’authenticité locale, d’autant que nous passons la moitié du séjour au sein d’une communauté, à nous rendre utiles autour d’un projet que nous avons élaboré avec elle, poursuit-il. Les voyageurs qui partent avec nous ont envie de participer, de découvrir des modes de vie et de passer du temps avec les gens du pays. » En effet, le cofondateur et gérant de Double Sens en est sûr : « Chacun, à son échelle, peut changer la vie d’un village. Les personnes qui voyagent avec nous s’étonnent de l’impact positif de leur voyage ; elles voient qu’il a généré des revenus pour les habitants, que de l’activité y est développée…Et il arrive souvent que nos voyageurs poursuivent cette action chez eux. » De Double Sens est née l’association Frères de sens : elle regroupe d’anciens voyageurs qui s’engagent à aider un projet précis sur une durée déterminée de retour en France. « On revient forcément changé d’un voyage, on a fait des rencontres, on souhaite qu’il y ait un après pour ne pas en rester là », témoigne Astrid de Kermel, la nouvelle présidente de l’association, partie au Bénin avec l’agence en 2014.
Haitian Art - Destination Haïti en 2030 - Projet touristique durable innovantGuillaume CROMER
Noëlie FOUSSE, Chelo FORSTIN, Lila KADI, Céline TETOT, étudiantes au sein de l'ISEE Sup' de Tourisme à Paris ont décidé de créer un projet touristique innovant, intégrant les principes du développement durable autour d'un projet en Haïti autour de l'art haïtien.
International Tourism Fair Madagascar 2012 (ITM) aux 3ès Assises internationales du Tourisme Durable et Ethique:
Accueil touristique et Développement du territoire d’accueil par les villageois en Vakinankaratra
9/10 Salon du Végétal 2011 : Changeons le métier !Hortea
De nouvelles fonctions et de nouveaux usages pour les végétaux d’ornement émergent.
6 domaines à explorer pour adapter l'offre aux courants porteurs de nouvelles tendances.
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Les interventions complètes du RDV du CAUE 85 du 04 décembre 2018 sur le thème "La ville nourricière : mythe ou réalité?". Interventions 3 et 4: Antoine Gasnet, conseiller municipal délégué à l'environnement de la ville de Saint Gilles Croix de Vie.
Michèle TRAMOY et Jean-Paul BOUFFET, membres du collectif des Incroyables Comestible « L’incroyable jardin de M. Torterue ».
Le projet tourisme rural paysan" un modèle de gestion associatif du "commun" MediterLMI
Wahiba Boudraa : Etude de cas et méthodologie (session 3)
Cette présentation a été faite à l'occasion de l'école-chercheurs qui s'est déroulée à Azrou (Maroc) du 9 au 15 avril 2018. Le thème de cette école était le suivant : "Évolution et gouvernance des communs : enjeux méthodologiques, comparatifs et pluridisciplinaires". Cette formation, réunissant une cinquantaine de personnes dont 30 doctorants de divers horizons, a été imaginée et organisée par le LMI MediTer (Maroc / Tunisie), en association étroite avec les LMI PATEO (Sénégal) et MESO (Mexique), ainsi qu'avec le RIAM, sans oublier l'appui de l'IRD au Maroc, du centre culturel d'Azrou et de la FLSH de l'UM5-Rabat.
L’architecture durable sur le chemin du développement régénératifFabrice Berrahil
Présentation de Vanessa Grob sur l’architecture durable sur le chemin du développement régénératif dans le cadre de l'ICEB Café du 24 novembre 2014 qui portait sur la démarche bioclimatique en Amérique latine.
Événement organisé par l'ICEB (Institut pour la Conception Eco-responsable du Bâti.
A1. Communiquer en direction des élus non communautairesCap'Com
Les élus des communes membres de l’intercommunalité constituent un public - relais important. Suite à sa fusion / extension, et dans l'objectif de mieux expliquer le rôle et les fonctions de la nouvelle intercommunalité, la Communauté de communes Aunis Sud a organisé une journée porte ouverte à destination des élus municipaux. La devise de cette journée était : " on a tout à gagner à mieux se connaître ! ". Enjeux, organisation, budget, bilan... décryptage de cette opération de communication innovante pour une structure intercommunale.
Caroline Sagnier, responsable communication et tourisme de la CC Aunis Sud
Programme électoral de la liste CDH+ (Auderghem 2012)viroman
Ce 14 octobre 2012, le cdH+ présentera sous le numéro ‘6’ une liste menée par Muriel Koch pour défendre un programme de coeur. Découvrez-le si le coeur vous en dit!
1. LE PROJET DE LA GARILLÈRE
Ils sont venu avec leurs idées pour construire ensemble le Projet
Rencontre de la Garillère du 9 décembre 2017 9h-12h
2. CONTEXTE
« Si vous aviez à décrire le quartier de la Garillère en quelques mots à un ami, vous diriez quoi? »
➤ Mixité générationnelle, sociale, quartier qui se renouvelle en gardant ses
spécificités
➤ La nature au cœur du quartier, un square commun, un côté campagne
➤ Relation entre les personnes : convivialité, entraide, le partage, échange, qualité
d’accueil des nouveaux arrivants
➤ Le calme, le silence, la tranquillité.
➤ Un village au sein de la ville, quartier pavillonnaire, identité propre, maisons et
jardins, une histoire singulière, un îlot préservé, un patrimoine commun, une
transmission de l’histoire du quartier
➤ Proximité avec Nantes, commodités à proximité. Proximité du busway
notamment.
3. CONTEXTE
« Quelles sont selon vous, et en fonction de votre vécu, les forces-faiblesses du quartier de la Garillère, les menaces pesant sur lui, et les
opportunités à saisir ? »
FORCES
fêtes des voisins Bi-annuelles, proximité entre voisins, bénévolat, soutien entre voisins, échanges inter-générationnels
(goûter des anciens au milieu de l’hiver par exemple), entretien des trottoirs, solidarité de voisinage l’été (ouverture-
fermeture des volets, attention aux chiens et chats, veille sur les rondes suspectes), une envie de faire des choses,
FAIBLESSES
Circulation rue Mercoeur trop rapide, les enfants jouent dans la rue avec une sécurité insuffisante, le réseau numérique est
trop faible, accueil trop informel des nouveaux arrivants, modes de vie et travail qui freine les disponibilités des personnes
pour agir.
MENACES
Construction d’immeuble venant dénaturer les relations de voisinage et rendre la circulation et le stationnement impossible,
risque de perdre les relations d’entraide et de solidarité. Problème de sécurité : vols trop fréquents. La suppression de la
ligne de bus Nº 30 qui rendra la desserte de St Jacques et du bourg plus difficile. La suppression éventuelle de la poste de St
Jacques.
OPPORTUNITÉS
La création de l’association, défendre nos points forts, partager des projets, protéger le caractère pavillonnaire, transmettre
des savoir-faire (écologie, bricolage, musique, etc.), soigner l’accueil des nouveaux arrivants, mutualiser des achats, travailler
sur l’arrivée de la fibre, rendre la circulation plus douce dans le quartier,
4. CONTEXTE
La priorité de l’association pour l’année 2018
« ce qui est le plus important pour l’association de la Garillère est ... »
➤ Structurer les relations entre habitants pour faciliter le mieux vivre ensemble
(entraide, convivialité, relationnel, fêtes, aides pour les courses, échanges de clé, vigilance
pendant les vacances, respect du stationnement, etc)
- FREINS : le temps, le nombre de personnes investies, l’individualisme
- ACCÉLÉRATEUR : la communication, la création d’une plateforme internet d’échange,
le journal, mieux connaître les attentes des riverains (faire un questionnaire), établir un
planning d’actions, le respect, la mise en place d’une médiation collective
➤ Accélérer la mise en place de la fibre
- FREINS : trouver les bons interlocuteurs
- ACCÉLÉRATEUR : faire du lobbying, faire une pétition, s’appuyer sur ceux qui ont
une entreprise dans le quartier.
5. DEMANDES / BESOINS
« De mon point de vue, et compte tenu de mes attentes, l’association de la Garillère aura réussi sa mission si dans 10 ans on peut raconter les
choses suivantes qui se sont passées dans le quartier».
Ma vie, ma famille
Les enfants ont joué tous ensemble, il y a des activités communes pour les enfants, les personnes seules vivent moins seules, la vie est plus
facile, les personnes qui le voulaient ont appris des choses nouvelles et pratiques, je passe du temps avec mes voisins et j’y prends plaisir, je
trouve facilement une baby-sitter pour sortir le samedi soir, je peux vieillir chez moi sans aller en maison spécialisée (grâce à l’entraide)
Mes relations avec les autres
On connaît tout le monde, je les salue chaque fois que je les vois, il y a de nombreuses occasions de rencontre et d’échange (plantes, taille
de jardin, outils, machine à coudre, livres, etc.) , il y a un véritable partage de connaissances (jardinage, bricolage, atelier couture-tricot,
etc.), ces relations se sont étendues aux quartiers riverains (place liberté, école du Douet, Lion d’or, etc.), et nous avons mis en place un
partage d’automobiles,
Ma maison / la maison de mes voisins
C’est toujours une maison individuelle avec jardin, je ne mets plus de pesticides dans mon jardin, je n’ai pas abattu les grands arbres que j’ai
dans mon jardin (je les ai élagué régulièrement), il y a de l’habitat partagé et coopératif dans le quartier, mon débit internet est de qualité,
j’ai amélioré la qualité bio-climatique de ma maison (isolation, récupération d’eau de pluie, toilette sèche, énergie durable, etc.)
Les espaces partagés : rues, parc
Le quartier a renforcé son identité, il y a au cœur du quartier (à l’emplacement du transfo électrique) un espace partagé avec micro-jardin
géré par l’association et tableau d’affichage , il y a des arbres dans les 4 rues qui ont été végétalisées, on est allé vers des rues quasi-
piétonnes, les riverains ont moins de voitures, les voitures ne peuvent rouler qu’à 10 km/h, notre quartier est devenu un eco-quartier
exemplaire (zéro pesticide, compost, etc.), des vendeurs itinérants à cheval viennent me livrer le pain et le lait et des légumes bio,
l’association gère de l’énergie durable partagée du quartier, il y a des toilettes sèches dans le square, nous produisons notre miel dans le
square, celui-ci est géré en jardin partagé, avec un composteur et des poules.
6. BESOIN PRINCIPAL
Compte tenu de ce contexte, le besoin principal auquel doit
répondre l’association est :
➤ Urbanisme : pas d’immeuble dans le quartier
➤ Améliorer le cadre de vie des habitants du quartier :
convivialité, tranquilité, entraide, vie plus facile.
➤ Donner une identité au quartier : aller vers un quartier eco-
responsable et résidentiel (régulation de la circulation par
dos-d’âne, végétalisation de la rue, s’approprier le
transformateur et y installer un panneau d’affichage et un
espace vert)
7. IDÉES ET PROJETS
« comment pourrions-nous donner une identité au quartier ? »
Porter la voix de l’association pour que le projet de rénovation de la Cure soit conforme à l’identité pavillonnaire du
quartier.
Permettre à l’association de s’approprier l’espace autour du transfo, installer un panneau d’affichage (affichage vie du
quartier, petites annonces) et construire un projet à plus long terme de réaménagement de l’espace (installer un banc,
jardin partagé, poule, compostage partagé, ruche, etc.). Disposer d’un lieu qui permette d’être reconnu.
Permettre à l’association de s’approprier le parc de la Garillère (l’association disposerait du double des clefs et serait
responsable de ce qui se passe dans le jardin)
Mieux accueillir les nouveaux habitants : organiser une rencontre annuelle (à Noël?), le Bureau de l’association va à leur
rencontre dans le mois de leur arrivée.
Créer un affichage aux entrées du quartier donnant le nom du quartier et s’inspirant de la mention « voisins vigilants » >
proposition : « voisins bienveillants »?
Organiser des soirées-débat sur des sujets permettant de renforcer l’identité du quartier et des intervenants extérieurs :
gestion raisonnée des espaces vert, entretien des jardins sans pesticide et produits phytosanitaires, respect de la nature,
taille des arbres, compostage, isolation thermique des maisons, énergie renouvelable, entretien de le faune sauvage du
quartier (insectes, oiseaux, hérissons, etc.), diffusion de documentaires sur des aménagements de quartier exemplaires.
Créer un ou plusieurs événements annuels ouverts à l’extérieur et donnant une identité au quartier (vide garage, cinéma de
plein air dans le parc de la Garillère)
Écrire l’histoire de la Garillère en allant interviewer les anciens
Concevoir avec les habitants du quartier un projet de long terme « Garillère exemplaire » tenant compte de : reconfiguration
de la circulation, de l’aspect paysager, végétalisation des rues, etc
8. IDÉES ET PROJETS
« comment pourrions-nous améliorer le cadre de vie des habitants du quartier ? »
Projet fibre : mettre en place une action de fond pour désenclaver le quartier : pétition, interventions, presse.
Créer une plateforme de partage sur internet : favoriser l’échanges de compétences, le partage d’objets (prêts de livres, échanges de
plantes ), faciliter le co-voiturage
Organiser du covoiturage au sein du quartier : faire des courses, aller à la déchèterie, faire une ballade, aller à la gare, emmener les
personnes âgées à la mer, emmener les personnes âgées faire des courses
Aller à la rencontre des habitants de la Garillère avec un questionnaire permettant d’identifier les besoins et les compétences.
Faire une parution trimestrielle du journal de la Garillère : y insérer une rubrique enfants, infos du quartier, utiliser le journal du
quartier pour diffuser les bonnes pratiques des uns et des autres
Créer un comité des fêtes avec pour mission d’organiser plusieurs événements annuels : fête de Noël (vin chaud, accueil des
nouveaux habitants), galette des rois, pic nic des voisins, fête de la musique, amener les enfants à faire des spectacles pour les
parents.
Créer une rencontre mensuelle entre habitants sur le partage de bonnes pratiques et reposant sur les expertises des riverains :
atelier couture, travail de l’osier, jardinage, bricolage, etc. Se rapprocher d’association comme la coopérative énergie. Intervenir
auprès des centres sociaux et culturels voisins (allée verte?) pour s’appuyer sur leur savoir-faire (échanges, jardinage, etc
Mettre en place un groupement pour des achats groupés : énergie, broyeuse (pour se dispenser d’aller déposer en déchèterie les
déchets verts),sorties culturelles à tarif préférentiel, sorties groupées.
Faire des portraits photo des habitants et créer une expo photo et/ou un album des habitants, faire un trombinoscope, faire un
album des animaux du quartier
Relancer le pédibus pour aller vers l’école du Douet.
Obtenir du sponsoring pour certaines de nos actions
9. PROJET 2018
Nos priorités pour 2018, nos 12 travaux d’Hercule
Compte tenu de l’ensemble de ces propositions, le Bureau de
l’association a retenu un projet 2018 comportant 12 actions concrètes à
mettre en œuvre en 2018 et s’articulant autour des 2 problématiques
suivantes :
➤ Urbanisme : conserver l’identité pavillonnaire de la Garillère
➤ Vie quotidienne : améliorer le cadre de vie des habitants du
quartier
Ce plan d’action a été presenté aux riverains lors de la Galette du
12 janvier 2018.
10. PROJET 2018 - 1) CONSERVER L’IDENTITÉ PAVILLONNAIRE DU QUARTIER
ACTIONS
1. CONSTRUCTION. Porter la voix de l’association pour que le
projet de rénovation de la Cure soit conforme à l’identité
pavillonnaire du quartier.
2. INFORMATION. Permettre à l’association de s’approprier
l’espace autour du transfo EDF, installer un panneau
d’affichage.
3. PROJET. Concevoir avec les habitants du quartier un projet de
long terme « Garillère exemplaire » tenant compte de :
reconfiguration de la circulation, aspect paysager,
végétalisation des rues, etc.
11. PROJET 2018 - 2) AMÉLIORER LE CADRE DE VIE DES HABITANTS DU QUARTIER
ACTIONS
4. ANIMATIONS. Permettre à l’association de s’approprier le Parc de la Garillère. Organiser des rencontres sur des
sujets concourant au cadre de vie, au partage de bonnes pratiques et à l’identité du quartier : faire venir des
intervenants extérieurs sur des sujets comme la gestion raisonnée des espaces vert, l’entretien des jardins sans pesticide
et produits phytosanitaires, le respect de la nature, la taille des arbres, le compostage, l’isolation thermique des
maisons, les énergies renouvelables, l’entretien de le faune sauvage du quartier (insectes, oiseaux, hérissons, etc.),
s’appuyer sur les expertises des riverains pour des ateliers couture, jardinage, bricolage, etc.
5. ACCUEIL. Mieux accueillir les nouveaux habitants : organiser une rencontre annuelle (à Noël?), aller à leur
rencontre dans le mois de leur arrivée.
6. SÛRETÉ. Renforcer la sûreté dans le quartier et diminuer les incivilités
7. ÉVÉNEMENTS. Mettre en place un Comité des fêtes organisant des événements, pouvant être ouverts à l’extérieur
et concourant au cadre de vie et à l’identité du quartier : fête de Noël (vin chaud, accueil des nouveaux habitants),
galette des rois, pic nic des voisins, fête de la musique, spectacles d’enfants pour les parents, vide-garage, etc.
8. PROJET FIBRE. Mettre en place une action de fond pour désenclaver le quartier.
9. ÉCHANGES. Créer une plateforme de partage sur internet : favoriser l’échanges de compétences, le partage d’objets
(prêts de livres, échanges de plantes ), faciliter le co-voiturage.
10. JOURNAL. Faire une parution trimestrielle du journal de la Garillère.
11. ACHATS. Mettre en place un groupement pour des achats groupés : énergie, sorties culturelles à tarif préférentiel,
sorties groupées.
12. TROMBI. Faire des portraits photo des habitants et de leurs animaux domestiques.
12. CONTACT
➤ Vous souhaitez participer ou
contribuer à une action de
l’association?
Contactez-nous à l’adresse
suivante :
Association de la Garillère
13 rue des Roses
44230 St Sébastien s/ Loire
contact@lagarillere.fr
Suivre nos actions sur Twitter :
@LaGarillere