Pour en savoir plus sur la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits , sur les « chercheurs d’humanité » (non-violence, alternatives économiques, écologie, changement sociétal, spiritualité) : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Les dures réalités de la condition humaine. Les moyens de faire face et d'avancer. Le changement tridimensionnel. Débusquer le mal. Devenir un être libre. Mieux se connaître pour mieux-vivre et mieux agir. Le travail sur soi. Pour devenir un être libre. Mieux se connaître pour mieux vivre et mieux agir. Les types de savoir nécessaires pour être une personne autonome, responsable et citoyenne.
Ce diaporama a été mis à jour.
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Diaporama de présentation de la non-violence et des concepts de base (conflit, force, combat, agressivité, violence, etc), philosophie et stratégie de la non-violence
Pour en savoir plus sur la violence, la non-violence et sur la résolution non-violente de conflits, sur les « chercheurs d’humanité » (non-violence, alternatives économiques, écologie, changement sociétal, spiritualité) : www.irnc.org, rubrique « Diaporamas »
Diaporama sur les causes et les manifestations de la violence
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Les dures réalités de la condition humaine. Les moyens de faire face et d'avancer. Le changement tridimensionnel. Débusquer le mal. Devenir un être libre. Mieux se connaître pour mieux-vivre et mieux agir. Le travail sur soi. Pour devenir un être libre. Mieux se connaître pour mieux vivre et mieux agir. Les types de savoir nécessaires pour être une personne autonome, responsable et citoyenne.
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Diaporama sur les causes et les manifestations de la violence
L’intelligence émotionnelle au service de la communication. Par Jean-Yves Girin.Sarah Thielens
Les erreurs de décision proviennent le plus souvent, au-delà de leurs strictes causes techniques, de conflits émotionnels ou culturels, de négligences des conséquences d’une décision à long terme ou d’excès d’arrogance » Pierre Drion – Ancien patron de Petercam. Dès lors, comment agir par rapport aux émotions? Comment évaluer et améliorer nos comportements sous pression? Comment construire et partager sa vision aux collaborateurs? Comment se positionner de façon constructive vis à vis de notre rapport à l’échec? Un coach en entreprise, comédien improvisateur, consultant et formateur en communication tentera de répondre à ces questions.
L’intelligence émotionnelle au service de la communication. Par Jean-Yves Girin.Sarah Thielens
Les erreurs de décision proviennent le plus souvent, au-delà de leurs strictes causes techniques, de conflits émotionnels ou culturels, de négligences des conséquences d’une décision à long terme ou d’excès d’arrogance » Pierre Drion – Ancien patron de Petercam. Dès lors, comment agir par rapport aux émotions? Comment évaluer et améliorer nos comportements sous pression? Comment construire et partager sa vision aux collaborateurs? Comment se positionner de façon constructive vis à vis de notre rapport à l’échec? Un coach en entreprise, comédien improvisateur, consultant et formateur en communication tentera de répondre à ces questions.
L'esprit en désordre: les tendances de la fausse motivation de l'être humain Christophe LECOCQ
Une modélisation du chaos psychologique de l'être humain déformé par la fausse motivation. Paul Diel a détaillé dans son oeuvre méconnue les déformations psychiques de nos sociétés dites économiquement développées. Sa vision inédite du psychisme humain contribue à l'évolution de l'espèce.
Série "Je suis" :
Je suis ce que je ressens ! Quel est notre rapport aux émotions aujourd'hui ?
Savons-nous accepter, identifier, exprimer nos émotions ? Et celles des autres ?
La communication non violente, c'est quoi ?
Conf epsylon Pascal Nouvel Les grandes questions éthiques posées par la préve...Laboratoire Epsylon
L'éthique est le domaine de réflexion qui traite de l'agir humain. Elle est souvent considérée comme l'aboutissement de la philosophie. Cependant, certains grandes questions de l'éthique se voient éclairées d'une manière neuve et inattendue par les progrès récents des sciences biologiques et psychologiques. C'est un de ces progrès qu'on s'attachera plus particulièrement à suivre dans cette conférence. On montrera ainsi que la question que posaient les philosophes stoïciens dans l'antiquité ¨C Sénèque, notamment, dans son De la colère, De Ira ¨C (« qu'est-ce que la colère et comment la contrôler ? ») est aujourd'hui reprise avec des accents différents par certains courants de la biologie et de la psychologie qui demandent : « Les comportements colériques sont-ils sous la dépendance d'un déterminisme génétique ou d'un déterminisme culturel ? Comment distinguer la part respective de chacune de ces deux contributions possibles dans un comportement donné ¨C colérique ou autre ? Et, le cas échéant, comment prévenir certains des effets de ces comportements ? »
Derrière une différence évidente de formulation se laisse apercevoir une même préoccupation. Toutefois l'introduction du thème de l'opposition entre nature et culture, si typique de la philosophie scientifique dont nous sommes les héritiers, modifie aussi considérablement le point de vue sur les questions que posaient les philosophes stoïciens. On analysera ces différences à la lumière de deux contributions récentes : l'une, qui plaide en faveur d'une origine culturelle des comportements colériques, a été développée par le philosophe Peter Sloterdijk dans son livre Colère et temps paru en 2007 (Sloterdijk, 2007)`. Sloterdjik y explique que la civilisation occidentale, dans son ensemble, est coléro-centrique : la culture occidentale a toujours, selon lui, accordé une place centrale à la colère (qu'elle soit divine ou humaine). L'autre, qui plaide en faveur d'une explication en partie génétique des comportements colériques, a été développée par une équipe de chercheurs de l'Université de Bonn et a été publiée en 2009 (Reuter, Weber, Fiebach, Elger, & Montag, 2009)`. Elle affirme qu'un des gènes du génome humain peut se présenter sous plusieurs formes et que l'une de ces formes se trouve être majoritaire chez des personnes au tempérament notoirement colérique (ce que les média résument volontiers en parlant de « gène de la colère »).
Le rapprochement de ces deux contributions, celle du philosophe et celle des scientifiques, sera l'occasion d'ouvrir le débat très controversé entre les explications génétiques et culturelles d'un comportement, de peser les arguments qui sont présentés en faveur de chacune des deux thèses et de présenter, finalement, les travaux qui sont en cours de réalisation, dans le laboratoire Epsylon (en collaboration avec Nathalie Blanc), pour contribuer à éclairer ce débat.
Série "JE-NOUS" :
JE m'engage dans NOTRE société ?
Comment agir, comment s'impliquer, comment "y croire" : sans promesse, sans savoir, dans la complexité, dans les conflits, en situation, ici et maintenant, sans fin...
Quel moteur et quels outils ?
Définitions
Votre ressenti du jour
Constat sur l’époque
Des situations exemples
Un jour, je suis engagé…
Là, je ne suis pas engagé…
Pistes
Série "Je suis" :
Je suis bien élevé !
Il n'y a pas de parent parfait : l'histoire de nos enfants commence par la nôtre...
Et si on (re) parlait des fessées ?
Et si on parlait d'éducation relationnelle et émotionnelle, de l'accompagnement des émotions chez l'enfant ?
vbvgvggggggggggggggggggggggggggggggggggggggggffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffdddddddddddddddd
Chaque niveau constitue une manière particulière de voir le monde et d’agir de la façon la plus appropriée dans une situation donnée. Notre développement personnel comme l’évolution / involution des sociétés / civilisations, s’effectue par étapes, qui nous permettent de nous situer au sein du modèle de la Spirale Dynamique. Nos diverses visions du monde, nos croyances, nos identités mêmes, sont représentées sur la Spirale par huit niveaux d’existence (liés à des systèmes de valeurs), qui s’appliquent autant aux individus qu’à des cultures entières (famille, entreprise, pays, civilisation, etc.).
Chaque niveau constitue une manière particulière de voir le monde et d’agir de la façon la plus appropriée dans une situation donnée. Notre développement personnel comme l’évolution / involution des sociétés / civilisations, s’effectue par étapes, qui nous permettent de nous situer au sein du modèle de la Spirale Dynamique. Nos diverses visions du monde, nos croyances, nos identités mêmes, sont représentées sur la Spirale par huit niveaux d’existence (liés à des systèmes de valeurs), qui s’appliquent autant aux individus qu’à des cultures entières (famille, entreprise, pays, civilisation, etc.).
Chaque niveau constitue une manière particulière de voir le monde et d’agir de la façon la plus appropriée dans une situation donnée. Notre développement personnel comme l’évolution / involution des sociétés / civilisations, s’effectue par étapes, qui nous permettent de nous situer au sein du modèle de la Spirale Dynamique. Nos diverses visions du monde, nos croyances, nos identités mêmes, sont représentées sur la Spirale par huit niveaux d’existence (liés à des systèmes de valeurs), qui s’appliquent autant aux individus qu’à des cultures entières (famille, entreprise, pays, civilisation, etc.).
Les blondes sont elles plus susceptibles? recherche
1. Les blondes sont-ellesLes blondes sont-elles
plus susceptibles?plus susceptibles?
NONNON
Hélène Dubrulle
Marie Gauton
2. SommaireSommaire
I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
II. De l’irritabilité à la colère, l’agressivitéII. De l’irritabilité à la colère, l’agressivité
III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
IV. Les différences intra-individuellesIV. Les différences intra-individuelles
4. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Pour Leyens,Pour Leyens,
« les stéréotypes sont des croyances« les stéréotypes sont des croyances
partagées concernant les caractéristiquespartagées concernant les caractéristiques
personnelles d’un groupe de personnes »personnelles d’un groupe de personnes »
5. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Processus de catégorisation:Processus de catégorisation:
On catégorise les gens et les objets quiOn catégorise les gens et les objets qui
nous entourent en fonction de l’idée selonnous entourent en fonction de l’idée selon
laquelle ils possèderaient la même nature.laquelle ils possèderaient la même nature.
6. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Score de stéréotypieScore de stéréotypie
Activation quasi-automatiqueActivation quasi-automatique
Stéréotype ≠ PréjugéStéréotype ≠ Préjugé
7. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Les préjugés sont des attitudesLes préjugés sont des attitudes
défavorables envers une ou plusieursdéfavorables envers une ou plusieurs
personnes en raison de leur appartenancepersonnes en raison de leur appartenance
à un groupe particulier.à un groupe particulier.
Forte hostilité et charge affectiveForte hostilité et charge affective
8. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Les stéréotypes apparaissent comme:Les stéréotypes apparaissent comme:
Une définition du groupeUne définition du groupe
Une réalitéUne réalité
9. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Selon Leyens,Selon Leyens,
« le stéréotype, la réputation dont les groupes« le stéréotype, la réputation dont les groupes
font l'objet, aurait un effet direct sur lesfont l'objet, aurait un effet direct sur les
performances du groupe et notammentperformances du groupe et notamment
quand il est rendu saillant, activé ».quand il est rendu saillant, activé ».
On parle alors de « la menace du stéréotype ».On parle alors de « la menace du stéréotype ».
10. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
Les stéréotypes pourraient donc entrainer:Les stéréotypes pourraient donc entrainer:
Des pensées interférentesDes pensées interférentes
Une sur-prudenceUne sur-prudence
11. I. Les stéréotypesI. Les stéréotypes
D’après le dictionnaire le petit Larousse enD’après le dictionnaire le petit Larousse en
couleur (1991), la susceptibilité est lacouleur (1991), la susceptibilité est la
« disposition à se vexer », et le trait de« disposition à se vexer », et le trait de
« caractère de celui qui s'offense facilement ».« caractère de celui qui s'offense facilement ».
Synonymes: Sensibilité, Amour-propre, IrritabilitéSynonymes: Sensibilité, Amour-propre, Irritabilité
et Excitabilité.et Excitabilité.
12. II. De l’irritabilité vers laII. De l’irritabilité vers la
colère, l’agressivitécolère, l’agressivité
13. II. De l’irritabilité vers la colère,II. De l’irritabilité vers la colère,
l’agressivitél’agressivité
14. II. De l’irritabilité vers la colère,II. De l’irritabilité vers la colère,
l’agressivitél’agressivité
Moqueries,Moqueries,
blaguesblagues
VexationVexation
Irritabilité
15. II. De l’irritabilité vers la colère,II. De l’irritabilité vers la colère,
l’agressivitél’agressivité
La colère est appropriée quand:La colère est appropriée quand:
Les situations où des buts personnels ou les droitsLes situations où des buts personnels ou les droits
de la personne sont menacés.de la personne sont menacés.
L'expression de colère permet de rétablir sonL'expression de colère permet de rétablir son
honneur.honneur.
16. II. De l’irritabilité vers la colère,II. De l’irritabilité vers la colère,
l’agressivitél’agressivité
Indignation légitimeIndignation légitime Réaction d'orgueilRéaction d'orgueil
AgressivitéAgressivité
Lors de blessures narcissiques «qui sont fréquemment
rencontrées dès lors que l'on pense être digne et méritant»
(Morf & Rhodewalt, 2001).
18. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Une des conclusions les plus constantesUne des conclusions les plus constantes
sur les différences entre les hommes etsur les différences entre les hommes et
les femmes concerneles femmes concerne l'expressivitél'expressivité
émotionnelleémotionnelle..
19. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Ursula Hess et al., Emotional expressivity inUrsula Hess et al., Emotional expressivity in
men and women: Stereotypes and self-men and women: Stereotypes and self-
perceptions,perceptions, Cognition and EmotionCognition and Emotion, 2000., 2000.
20. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Les croyances stéréotypées concernantLes croyances stéréotypées concernant
les émotions sont:les émotions sont:
• spécifiques à la culturespécifiques à la culture
• un reflet des notions communes relatives à laun reflet des notions communes relatives à la
prévalence de certains sentiments etprévalence de certains sentiments et
comportementscomportements
21. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Dans les cultures occidentales:Dans les cultures occidentales:
Les femmes sont supposées êtreLes femmes sont supposées être
émotionnellement plus expressives que lesémotionnellement plus expressives que les
hommes.hommes.
Les hommes sont censés manifester plusLes hommes sont censés manifester plus
d’expression émotionnelle seulement en termesd’expression émotionnelle seulement en termes
de colère et d’agressivité physique.de colère et d’agressivité physique.
22. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Dans l’étude d’Ursula Hess et al., trois expériences ontDans l’étude d’Ursula Hess et al., trois expériences ont
été menées.été menées.
Hypothèses:Hypothèses:
• Les femmes sont plus susceptibles de réagir avecLes femmes sont plus susceptibles de réagir avec
beaucoup de tristesse à des événements négatifs.beaucoup de tristesse à des événements négatifs.
• Elles seraientElles seraient plus susceptibles de réagir avec beaucoupplus susceptibles de réagir avec beaucoup
de tristesse, de pleurer et se retireraient plus face àde tristesse, de pleurer et se retireraient plus face à
l'expérience d’événements émotionnels négatifs.l'expérience d’événements émotionnels négatifs.
23. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Hypothèses (suite):Hypothèses (suite):
• Les hommes réagiraient avec plus deLes hommes réagiraient avec plus de
« bonheur » et de sérénité face à une situation« bonheur » et de sérénité face à une situation
émotionnelle négative. Il seraient donc plusémotionnelle négative. Il seraient donc plus
détendus, et présenteraient beaucoup plus dedétendus, et présenteraient beaucoup plus de
rire et de sourire face à la situation négative.rire et de sourire face à la situation négative.
24. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Résultats:Résultats:
• Les jugements des participants pour chaque sexeLes jugements des participants pour chaque sexe
sont de niveaux comparables pour chacune dessont de niveaux comparables pour chacune des
émotions.émotions.
• Pour la tristesse, la peur, la honte et la culpabilité,Pour la tristesse, la peur, la honte et la culpabilité,
- soit pas de différences importantes entre les- soit pas de différences importantes entre les
sexessexes
- soit les femmes ont déclaré ressentir ces- soit les femmes ont déclaré ressentir ces
émotionsémotions avec une probabilité plus élevée que lesavec une probabilité plus élevée que les
hommes.hommes.
25. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Résultats (suite):Résultats (suite):
• Les hommes sont plus susceptibles d’avoir duLes hommes sont plus susceptibles d’avoir du
mépris que les femmes, et de présenter unmépris que les femmes, et de présenter un
comportement qui pourrait être interprété commecomportement qui pourrait être interprété comme
agressif en réponse à une insulte.agressif en réponse à une insulte.
• Les hommes reportent des événements présentantLes hommes reportent des événements présentant
plus de colère alors que les femmes déclarer desplus de colère alors que les femmes déclarer des
événements présentant plus tristesse.événements présentant plus tristesse.
26. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Les hommes sont plus susceptiblesLes hommes sont plus susceptibles
d’être irrités face à une situationd’être irrités face à une situation
négative.négative.
27. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Selon Timmers et al. (2003):Selon Timmers et al. (2003):
Les différences émotionnelles de genre sontLes différences émotionnelles de genre sont
dues à des normes spécifiques de genre.dues à des normes spécifiques de genre.
Mais aucune étude n’a pu le prouver.Mais aucune étude n’a pu le prouver.
28. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Femmes:Femmes:
• Pas juste plus émotivesPas juste plus émotives
• Plus susceptibles d’exprimer leurs émotionsPlus susceptibles d’exprimer leurs émotions
positivespositives
• Exprimeront leurs émotions négatives seulement siExprimeront leurs émotions négatives seulement si
cela ne blesse personne.cela ne blesse personne.
Buck & al., 1974 et Kring & Gordon, 1998.Buck & al., 1974 et Kring & Gordon, 1998.
29. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Hommes:Hommes:
• Moins émotifsMoins émotifs
• Moins l’autorisation d’exprimer des émotionsMoins l’autorisation d’exprimer des émotions
négativesnégatives
• Plus d’émotions de puissance.Plus d’émotions de puissance.
30. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Buts:Buts:
• Identifier le type de croyances (subtiles ou flagrant).Identifier le type de croyances (subtiles ou flagrant).
• Etudier le contenu de ces croyances.Etudier le contenu de ces croyances.
Nouvelle norme émotionnelle dans la cultureNouvelle norme émotionnelle dans la culture
occidentale:occidentale:
Il est important d’exprimer ses sentiments véritablesIl est important d’exprimer ses sentiments véritables
dans les interactions sociales.dans les interactions sociales.
31. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
Croyances descriptives:Croyances descriptives: le stéréotypele stéréotype
des femmes « émotionnelles » et desdes femmes « émotionnelles » et des
hommes « raisonnables » existe toujours.hommes « raisonnables » existe toujours.
Croyances prescriptives:Croyances prescriptives: « les« les
normes émotionnelles concernant lenormes émotionnelles concernant le
caractère approprié de l’expression descaractère approprié de l’expression des
émotions sont plus détachées du genre. »émotions sont plus détachées du genre. »
32. III. Les différences de genreIII. Les différences de genre
0
0,5
1
1,5
2
2,5
3
3,5
4
4,5
5
émotions de
puissance
émotions
d'impuissance
émotions de
puissance
émotions
d'impuissance
croyances prescriptives croyances descriptives
hommes
femmes
D’après Timmers et al., 2003. Ability versus vulnerability: Beliefs about men’s and women’s emotional behavior. Cognition and
Emotion, 17, 41-63.
33. IV. D’autres différencesIV. D’autres différences
liées à l’expression de laliées à l’expression de la
colèrecolère
34. IV. D’autres différences liées àIV. D’autres différences liées à
l’expression de la colèrel’expression de la colère
La gestion des émotions:La gestion des émotions:
pouvoir percevoir, discriminer et nommer lespouvoir percevoir, discriminer et nommer les
sentiments.sentiments.
être capable de gérer les émotions en accordêtre capable de gérer les émotions en accord
avec les règles sociales, selon les émotionsavec les règles sociales, selon les émotions
et situations.et situations.
35. IV. D’autres différences liées àIV. D’autres différences liées à
l’expression de la colèrel’expression de la colère
Cette capacité dépend de la personnalitéCette capacité dépend de la personnalité
de chacun car elle se base sur:de chacun car elle se base sur:
Nos butsNos buts
Sur la connaissance de soiSur la connaissance de soi
Son environnement socialSon environnement social
36. IV. D’autres différences liées àIV. D’autres différences liées à
l’expression de la colèrel’expression de la colère
Les stéréotypes de genre peuvent êtreLes stéréotypes de genre peuvent être
expliqués par les normes socialesexpliqués par les normes sociales
qu’imposent la société aux individus.qu’imposent la société aux individus.
Emotion incompatible à ces normesEmotion incompatible à ces normes
SanctionSanction
37. IV. D’autres différences liées àIV. D’autres différences liées à
l’expression de la colèrel’expression de la colère
« Ces conséquences négatives incitent les« Ces conséquences négatives incitent les
individus à se comporter de manièreindividus à se comporter de manière
cohérente avec le stéréotype de genre »cohérente avec le stéréotype de genre »
d’après Lafrance et Hecht, 2000.d’après Lafrance et Hecht, 2000.
38. IV. D’autres différences liées àIV. D’autres différences liées à
l’expression de la colèrel’expression de la colère
Transmission par les parents et l’école entreTransmission par les parents et l’école entre
autres.autres.
Birnbaum et Croll, en 1984: Les parentsBirnbaum et Croll, en 1984: Les parents
encouragent :encouragent :
Garçons à exprimer des émotions telle que la colèreGarçons à exprimer des émotions telle que la colère
et à contenir l’expression de leurs sentiments.et à contenir l’expression de leurs sentiments.
Les filles lors d’émotions féminine tel que la tristesseLes filles lors d’émotions féminine tel que la tristesse
mais les découragent à montrer de la colère ou demais les découragent à montrer de la colère ou de
l’agressivité.l’agressivité.
39. IV. D’autres différences liées àIV. D’autres différences liées à
l’expression de la colèrel’expression de la colère
Selon notre culture, les émotions ont desSelon notre culture, les émotions ont des
degrés différents.degrés différents.
Japonais vs. Américains et Européens.Japonais vs. Américains et Européens.
L’injustice chez les américains et lesL’injustice chez les américains et les
européens renvoie plus à la colère que chezeuropéens renvoie plus à la colère que chez
les japonais (Kitayama et al., 2005).les japonais (Kitayama et al., 2005).
41. ConclusionConclusion
Les blondes ne sont donc pas plusLes blondes ne sont donc pas plus
susceptible que les autres car lessusceptible que les autres car les
différences se trouvent au niveau:différences se trouvent au niveau:
CulturelCulturel
Du genreDu genre
Des normes socialesDes normes sociales
De la capacité à gérer ses émotionsDe la capacité à gérer ses émotions
BiologiqueBiologique
42. OuvertureOuverture
« Blond like me »: Les hommes ont des« Blond like me »: Les hommes ont des
capacités intellectuelles plus faibles face à unecapacités intellectuelles plus faibles face à une
blonde.blonde.
DémentieDémentie
d’Aaron & Selld’Aaron & Sell
43. BibliographieBibliographie
Shaver, P., Schwartz, J., Kirson, D., & O’Connor, C. (1987). Emotion
knowledge : Further exploration of a prototype approach. Journal of Personality
& Social Psychology, 52, 1061.
Bry, C. , Follenfant, A., Meyer, T. (2008). Blonde like me: When self-construals
moderate stereotype priming effects on intellectual performance. Journal of
Experimental Social Psychology, 44, 751-757.
Brebner, J.L., Martin, D. & Macrae, C.N. (2009). Dude looks like a lady:
Exploring the malleability of person categorization. European Journal of Social
Psychology, 39, 1109-1119.
Hess & al. (2000). Emotional expressivity in men and women: Stereotypes and
self-perceptions. Cognition and emotion, 14, 609-642.
Brody, L. (1997). Gender and Emotion: Beyond Stereotypes. Journal of Social
Issues, 53, 369-394.
Timmers, M., Fischer, A.H. & Manstead, S.R. (2003). Ability versus Vulnerability:
Beliefs about men’s and women’s emotional behaviour. Cognition and emotion,
17, 41-63.
http://www.psychologie-sociale.com/
Niedenthal, P.M., Krauth-Gruber, S. & Ric, F. (2008). Comprendre les émotions,
Perspectives cognitives et psycho-sociales. Wavre: Mardaga.
Sander, D. & Scherer, K.R. (2009) Traité de psychologie des émotions. Dunod, p
376-377.