Extrait de La douceur angevine, roman de Blandine Cain : chapitres 1 à 4Blandine Cain
Quatrième de couverture :
Olivia et Sylvestre, c’est tout un poème. Depuis leur rencontre passionnée, leur couple ne tient qu’à un fil.
Ajoutez à cela l’arrivée inopinée d’un bébé, et leur équilibre vacille. Heureusement, une joyeuse tribu hétéroclite les entoure : Tyarah la solaire, Constantin le lunaire, Pénélope l’activiste, Lucie la femme-enfant et tant d’autres, qui composent une puissante famille de cœur.
Vous avez aimé cet extrait ?
Retrouvez le roman complet « La douceur angevine » de Blandine Cain sur Amazon :
en format ebook : https://www.amazon.fr/dp/B08Q8J62Y7
en format broché : https://www.amazon.fr/dp/B08QDPMWLM
Vous pouvez aussi partager votre ressenti avec l’auteur en lui écrivant un mail à : contact@blandinecain.fr
4e de couverture : Une petite fille aux étranges pouvoirs vient au monde. Autour d'elle, c'est l'Espagne du Moyen Âge, barbare autant que raffinée, à la fois religieuse et brutale, où la reine Isabelle la Catholique s'apprête à chasser tous les Juifs du royaume. La petite Alma, celle qui parle avec Dieu, deviendra-t-elle le guide dont son peuple a besoin, ou bien sera-t-elle comme tant d'autres balayée par le vent mauvais de l'Histoire ? L'épouvante se mêle au comique, les destins s'enchevêtrent, aussi grandioses que pitoyables, dans un récit haletant, à la force d'une légende.
Chemin faisant - Contes et pistes pédagogiquesmo_ment
Pour les jeunes, un dossier pédagogique, entièrement didactisé, avec de très beaux contes sur plusieurs sujets : les émotions, les sentiments, les attitudes, les conflits sociaux, la nature, la découverte de soi-même et des autres, les questions éthiques, les choix...
Mike, la quarantaine en crise, tourmenté par une hypocondrie inspiratrice, décide de consulter un éminent virologue. Cette rencontre singulière bouleverse le cours de son existence et le précipite dans l’univers déjanté du couple formé par le docteur Ernst Richmond et sa femme Charlène, succube incarnée.
Découvrez en avant première le prologue et les 2 premiers chapitres !
Cortèges existe en version brochée et numérique. Il est en vente sur http://www.amazon.fr/Cort%C3%A8ges-Olivier-Sourisse-ebook/dp/B01AWIDPX8?ie=UTF8&qid=&ref_=tmm_kin_swatch_0&sr=
EXTRAIT du roman « Sang blanc » de Noémi KrynenTaurnada
4e de couverture : Alors qu'une série de meurtres teinte de rouge la si belle campagne enneigée du Vercors, Édouard, dentiste, revient dans son village après la mort de ses parents. Il y retrouve Renaud, un vieil ami d'enfance, et se lie avec Anna, une jeune serveuse. Édouard pensait connaître ses parents, mais il n'est pas au bout de ses surprises... Ce séjour qui ne devait être qu'une simple formalité administrative va peu à peu glisser vers l'abîme du passé et bouleverser définitivement son avenir...
Extrait de La douceur angevine, roman de Blandine Cain : chapitres 1 à 4Blandine Cain
Quatrième de couverture :
Olivia et Sylvestre, c’est tout un poème. Depuis leur rencontre passionnée, leur couple ne tient qu’à un fil.
Ajoutez à cela l’arrivée inopinée d’un bébé, et leur équilibre vacille. Heureusement, une joyeuse tribu hétéroclite les entoure : Tyarah la solaire, Constantin le lunaire, Pénélope l’activiste, Lucie la femme-enfant et tant d’autres, qui composent une puissante famille de cœur.
Vous avez aimé cet extrait ?
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4e de couverture : Une petite fille aux étranges pouvoirs vient au monde. Autour d'elle, c'est l'Espagne du Moyen Âge, barbare autant que raffinée, à la fois religieuse et brutale, où la reine Isabelle la Catholique s'apprête à chasser tous les Juifs du royaume. La petite Alma, celle qui parle avec Dieu, deviendra-t-elle le guide dont son peuple a besoin, ou bien sera-t-elle comme tant d'autres balayée par le vent mauvais de l'Histoire ? L'épouvante se mêle au comique, les destins s'enchevêtrent, aussi grandioses que pitoyables, dans un récit haletant, à la force d'une légende.
Chemin faisant - Contes et pistes pédagogiquesmo_ment
Pour les jeunes, un dossier pédagogique, entièrement didactisé, avec de très beaux contes sur plusieurs sujets : les émotions, les sentiments, les attitudes, les conflits sociaux, la nature, la découverte de soi-même et des autres, les questions éthiques, les choix...
Mike, la quarantaine en crise, tourmenté par une hypocondrie inspiratrice, décide de consulter un éminent virologue. Cette rencontre singulière bouleverse le cours de son existence et le précipite dans l’univers déjanté du couple formé par le docteur Ernst Richmond et sa femme Charlène, succube incarnée.
Découvrez en avant première le prologue et les 2 premiers chapitres !
Cortèges existe en version brochée et numérique. Il est en vente sur http://www.amazon.fr/Cort%C3%A8ges-Olivier-Sourisse-ebook/dp/B01AWIDPX8?ie=UTF8&qid=&ref_=tmm_kin_swatch_0&sr=
EXTRAIT du roman « Sang blanc » de Noémi KrynenTaurnada
4e de couverture : Alors qu'une série de meurtres teinte de rouge la si belle campagne enneigée du Vercors, Édouard, dentiste, revient dans son village après la mort de ses parents. Il y retrouve Renaud, un vieil ami d'enfance, et se lie avec Anna, une jeune serveuse. Édouard pensait connaître ses parents, mais il n'est pas au bout de ses surprises... Ce séjour qui ne devait être qu'une simple formalité administrative va peu à peu glisser vers l'abîme du passé et bouleverser définitivement son avenir...
produit québécois
Septembre ~ Octobre 2014
Gratuit
TOP 3
Blogs littéraires
Vos coups de coeur
Inspiré comme jamais!
#VLE à Découvrir
Photos: patrick lemay &
Renaud Vinet-Houle
Marie-Claude Charland
Marylène Pion
Nicolas Paquin
Blé
Patrice Cazeault
La Rencontre [en francais] (por: carlitosrangel)Carlos Rangel
(déc.2010) Exquis conte pythagorean de l'écrivain et sculpteur espagnol Teo San José qui, dans le langage le plus simple nous partage des profonds enseignements.
Production originale: Carlos Rangel
EXTRAIT du roman « Renaissance » de Jean-Baptiste DethieuxTaurnada
4e de couverture : Le psychiatre m'avait pourtant prévenu. Il ne fallait pas tenter cette plongée dans les abîmes, tout seul. Surtout pas ! Vouloir remonter le temps ou plutôt le dérouler sans l'aide d'un compagnon de route, d'un guide de haute montagne aguerri, grand connaisseur du terrain et de tous les pièges que représente cette virée dans les recoins de ma mémoire, c'était de la folie !
Em. Swedenborg, AR.880-881 :
-- "De même que beaucoup d'autres, j'ai moi aussi été gratifié du privilège de percevoir et voir l'EGISE CELESTE, ainsi représentée et révèlée".
-- "Alongside others, thus was I also priviledged to see The CHURCH CELESTIAL, represented, in revelation and perception".
-- "... Per Hierosoymam intelligatur Ecclesia... ... et non Hierosolyma in Terra Canaane a Judaeis habitata... quod prorsus deperdita sit, et quod destruenda... ...
Et hanc, si desiderant et orant ad Dominum, vident ut Virginem in pulchritudine et amictu secundum quale Ecclesiae ; ita quoque mihi datum est Ecclesiam videre".
*****
Les Conteurs a la Ronde _ Dodobuzz.weebly.comKarim Senoun
[En Français] Charles John Huffam Dickens (prononcé [ˈtʃɑrlz ˈdɪ.kɪnz]), né à Landport, près de Portsmouth, dans le Hampshire, le 7 février 1812 et mort à Gad's Hill Place, Higham, Kent, le 9 juin 1870, est considéré comme le plus grand romancier de l'époque victorienne. Dès ses premiers écrits, il est devenu immensément célèbre, sa popularité ne cessant de croître au fil de ses publications.
L'expérience marquante de son enfance, que certains considèrent comme la clef de son génie, a été, peu avant l'incarcération de son père pour dettes à la Marshalsea, son embauche à douze ans chez Warren où il a collé des étiquettes sur des bouteilles de cirage pendant plus d'une année. Bien qu'il soit retourné presque trois ans à l'école, son éducation est restée sommaire et sa grande culture est essentiellement due à ses efforts personnels.
Il a fondé et publié plusieurs hebdomadaires, composé quinze romans majeurs, cinq livres de moindre envergure (novellas en anglais), des centaines de nouvelles et d'articles portant sur des sujets littéraires ou de société. Sa passion pour le théâtre l'a poussé à écrire et mettre en scène des pièces, jouer la comédie et faire des lectures publiques de ses œuvres qui, lors de tournées souvent harassantes, sont vite devenues extrêmement populaires en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
| Description extraite de Wikepédia |
| http://Dodobuzz.weebly.com |
Projet de scénario original : L’Exilé malgré lui / Loin des murs du front Cédric Mouats
Ce travail est une écriture originale autour du pitch suivant :
" Maman dit que tu es parti faire un long voyage, papa dit qu'il ne faut pas pleurer. Mais moi, je ne pleure jamais. Mais Tu sais, c'est pas poli de s'en aller sans dire au revoir. "
J’ai opté pour une manière différente dans l’écriture du scénario et le développement de ce projet.
CONTRE LE HOLD UP SOCIAL : MOBILISATION GÉNÉRALE
Gouvernement et patronat s’entendent sur une chose
: imposer des mesures d’austérité au prétexte d’une crise
économique. Il s’agit là d’une succession de réformes visant à remettre en cause l’ensemble des acquis
sociaux des travailleurs-euses
produit québécois
Septembre ~ Octobre 2014
Gratuit
TOP 3
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Vos coups de coeur
Inspiré comme jamais!
#VLE à Découvrir
Photos: patrick lemay &
Renaud Vinet-Houle
Marie-Claude Charland
Marylène Pion
Nicolas Paquin
Blé
Patrice Cazeault
La Rencontre [en francais] (por: carlitosrangel)Carlos Rangel
(déc.2010) Exquis conte pythagorean de l'écrivain et sculpteur espagnol Teo San José qui, dans le langage le plus simple nous partage des profonds enseignements.
Production originale: Carlos Rangel
EXTRAIT du roman « Renaissance » de Jean-Baptiste DethieuxTaurnada
4e de couverture : Le psychiatre m'avait pourtant prévenu. Il ne fallait pas tenter cette plongée dans les abîmes, tout seul. Surtout pas ! Vouloir remonter le temps ou plutôt le dérouler sans l'aide d'un compagnon de route, d'un guide de haute montagne aguerri, grand connaisseur du terrain et de tous les pièges que représente cette virée dans les recoins de ma mémoire, c'était de la folie !
Em. Swedenborg, AR.880-881 :
-- "De même que beaucoup d'autres, j'ai moi aussi été gratifié du privilège de percevoir et voir l'EGISE CELESTE, ainsi représentée et révèlée".
-- "Alongside others, thus was I also priviledged to see The CHURCH CELESTIAL, represented, in revelation and perception".
-- "... Per Hierosoymam intelligatur Ecclesia... ... et non Hierosolyma in Terra Canaane a Judaeis habitata... quod prorsus deperdita sit, et quod destruenda... ...
Et hanc, si desiderant et orant ad Dominum, vident ut Virginem in pulchritudine et amictu secundum quale Ecclesiae ; ita quoque mihi datum est Ecclesiam videre".
*****
Les Conteurs a la Ronde _ Dodobuzz.weebly.comKarim Senoun
[En Français] Charles John Huffam Dickens (prononcé [ˈtʃɑrlz ˈdɪ.kɪnz]), né à Landport, près de Portsmouth, dans le Hampshire, le 7 février 1812 et mort à Gad's Hill Place, Higham, Kent, le 9 juin 1870, est considéré comme le plus grand romancier de l'époque victorienne. Dès ses premiers écrits, il est devenu immensément célèbre, sa popularité ne cessant de croître au fil de ses publications.
L'expérience marquante de son enfance, que certains considèrent comme la clef de son génie, a été, peu avant l'incarcération de son père pour dettes à la Marshalsea, son embauche à douze ans chez Warren où il a collé des étiquettes sur des bouteilles de cirage pendant plus d'une année. Bien qu'il soit retourné presque trois ans à l'école, son éducation est restée sommaire et sa grande culture est essentiellement due à ses efforts personnels.
Il a fondé et publié plusieurs hebdomadaires, composé quinze romans majeurs, cinq livres de moindre envergure (novellas en anglais), des centaines de nouvelles et d'articles portant sur des sujets littéraires ou de société. Sa passion pour le théâtre l'a poussé à écrire et mettre en scène des pièces, jouer la comédie et faire des lectures publiques de ses œuvres qui, lors de tournées souvent harassantes, sont vite devenues extrêmement populaires en Grande-Bretagne et aux États-Unis.
| Description extraite de Wikepédia |
| http://Dodobuzz.weebly.com |
Projet de scénario original : L’Exilé malgré lui / Loin des murs du front Cédric Mouats
Ce travail est une écriture originale autour du pitch suivant :
" Maman dit que tu es parti faire un long voyage, papa dit qu'il ne faut pas pleurer. Mais moi, je ne pleure jamais. Mais Tu sais, c'est pas poli de s'en aller sans dire au revoir. "
J’ai opté pour une manière différente dans l’écriture du scénario et le développement de ce projet.
CONTRE LE HOLD UP SOCIAL : MOBILISATION GÉNÉRALE
Gouvernement et patronat s’entendent sur une chose
: imposer des mesures d’austérité au prétexte d’une crise
économique. Il s’agit là d’une succession de réformes visant à remettre en cause l’ensemble des acquis
sociaux des travailleurs-euses
a droite et le FN ont tiré profit de la politique antisociale du gouvernement et de sa pédagogie du renon-
cement. Celle-ci a rendu trop de citoyens peu sûrs de l’efficacité de leur engagement. Néanmoins, leur
retrait, bien que favorable à la droite et à l’extrême droite, signe un refus des retombées de cette politique.
La Presse Nouvelle Magazine numero 310 novembre 2013Tikoun38
IL Y A 75 ANS , les boucs émissaires du national-socialisme allemand, qui allait se propager sur l’Europe, étaient les juifs.
AUJOURD 'HUI, Français, en-fants d'immigrés, de clan-destins, de naturalisés...
- Nous sommes solidaires de tous ceux que menace la haine de l'Autre, victimes des arrestations en milieu scolaire, des expulsions de lieux de vie, des reconduites arbitraires à l’étranger...
- Nous nous opposons à la remise en cause du droit du sol.
Geneviève, c'est notre Véritable Eglise Perdue... Elle est la représentation, la personification de l'Elise Primitive, de l'Eglise Apostolique, de l'Eglise de la dévotion envers Denys l'Aréopagite et nos Véritables Traditions ... Geneviève est la représentation, la personnification de nos Véritables Traditions, lesquelles sont Aréopagitiques... ... Personnification de cette Véritable Tradition, Elle transpose Celle-Ci pour les siècles subséquents à l'époque Apostolique (1-325), afin de La perpétuer si possible jusqu'aujourd'hui ... .. Survient alors la Crise totale des XVIIe et XVIIIe siècles (rejet de Denys l'Aréopagite, apostasie de l'Eglise sur sa Véritable Doctrine et ses Véritables Traditions... Fin XIXe, l'Eglise persévère en son apostasie).. .. [livre reconstitué à partir de photocopies effectuées en bibliothèque]
À l’occasion d’un reportage sur la noblesse pour 24h01, Pierre Paulus, Maxence Dedry et moi-même avons tenté de pénétrer les sphères aristocratiques de la Belgique.
1. Liberté du Judaïsme
La lettre de L.D.J.
N° 90 Mai-juin 2007
Le numéro 2,30€
La première association laïque et humaniste
en France et dans la communauté juive
(Le Monde, 4/3/1990)
Siège social 1 rue Pixérécourt 75020 Paris 01 47 97 30 63
Sommaire
ÉDITORIAL
TRANSMISSION
Le peuple juif est une chaîne, qui se transmet de
génération en génération. Mais toute chaîne est
fragile. Un chaînon peut s’abîmer voire se rompre.
Certes, le judaïsme est une religion.
Pourtant, même l’étudiant d’une yeshiva peut
perdre la foi ou plutôt la confiance en Dieu. Et que
dire des parents trop assimilés pour transmettre ce
que leurs pères ou leurs grands-pères leur ont
appris.
Le judaïsme n’est pas seulement une
religion. Il est aussi histoire, un ensemble de
cultures, une éthique, une sagesse que nous devons
transmettre de génération en génération.
Etre Juif aujourd’hui et comment être juif
est un choix. Mais ce choix n’est possible que
lorsqu’on acquiert un savoir de la richesse d’un
judaïsme ouvert et pluriel.
L.D.J. est une association juive laïque qui
a pour objectif la transmission des multiples
aspects non religieux du judaïsme. Ses adhérents
et ses sympathisants sont athées, agnostiques ou
encore proches des traditions d’autrefois. Si vous
voulez réparer le chaînon abîmé, retrouver le
chaînon manquant, rejoignez nous. Le peuple juif
est peu nombreux. Mais il vit. Tout retour au
peuple juif est possible.
Bon courage !
Doris Bensimon
Éditorial…………...………………….....p. 1
L'incroyable destin.....………….……......p. 1
Israël, carnet de voyage..……………..…p. 3
Coin des livres..........……………....…....p. 4
Activités…………………………………p. 6
L’INCROYABLE DESTIN
D’UN VIEUX SAC
EN PAPIER MARRON
Histoire courte et vraie en deux chapitres
Première partie
L’une des activités que ma mère
affectionnait, à l’intérieur de sa maison, était le
nettoyage des placards. Elle disait, avec quelque
raison, « le nettoyage à fond ». J’ai d’ailleurs
grandi dans la religion et la servitude du
« nettoyage à fond » ! Avec cette vie coloniale que
le Maroc nous offrait, ma mère était toujours
assistée d’une ou de deux aides, qui, après avoir
tout vidé sur le carrelage, les chaises et les lits,
savonnaient les portes, les murs, les étagères,
lavaient les tissus qui les recouvraient, les
amidonnaient, les repassaient, pendant que ma
mère assurait le travail de direction et de décision,
dépliant et repliant draps brodés, nappes et couvrelits.
Sur la plus haute planche de l’un de ces
placards se trouvait un sac de papier volumineux
que l’on descendait, mais que l’on ne vidait pas…
Ce qu’il contenait était entouré d’un tissu rose, qui
1
2. le rendait invisible, et ma mère disait toujours ;
« c’est la robe de mariée de ma belle-mère ».
j’ai vidé sur un grand lit ce qui a été le costume de
la mariée de ma grand-mère.
Elle ajoutait : « c’est une robe berbère »
(elle disait en espagnol « la Berberisca »), nous
expliquant que dans ce temps-là, les jeunes filles
la revêtaient le jour de leur mariage, et cela de
mère en fille…
Dans la soirée, il s’est passé quelque
chose. Nos amis Lyonel et Arlette ont donné, à
l’occasion du mariage de leur fils, une soirée
andalouse. Je les connais depuis très longtemps
puisque nous étions tous les trois professeurs
d’Anglais à Casablanca. Lyonel est un homme à la
double culture : tout en étant professeur de
littérature élisabéthaine à la Sorbonne, il attache
une
grande
importance
aux
coutumes
traditionnelles de notre milieu dont il connaît bien
l’histoire. Il m’a rappelé que, plus que tout autre
endroit, l’Andalousie a été la terre des trois
religions, avec, souvent, une prédominance de la
civilisation berbère, ce qui explique le nom de ces
robes de cérémonie.
Elle se contentait alors d’y mettre quelques
boules de naphtaline, et le sac était de nouveau
hissé à sa place.
Quand mes parents ont quitté Casablanca
pour Paris, ils ont d’abord vécu dans un petit
logement. Le sac en papier a fait partie du
déménagement. A Paris, les placards étaient moins
nombreux et les plafonds plus bas, mais le sac a
trouvé sa place sur une étagère élevée.
Ils sont ensuite allés dans un appartement
plus vaste, et le sac vieillissant, qui s’affaissait, et
qui contenait la robe de mariée berbère de la bellemère de ma mère, - c’est- à-dire de ma grand-mère
paternelle-, a traversé la Seine avec eux, pour
retrouver une cachette à laquelle il devait se
résigner.
Lorsque j’ai perdu mes parents, j’ai eu le
douloureux privilège d’avoir à vider leur
appartement.
Là-haut, le sac attendait depuis maintenant
plus de trente ans, un peu plus affaissé, un peu
plus ridé, un peu plus ventru. Ayant du mal à faire
face au travail à accomplir, j’ai failli l’abandonner
sur un trottoir du XV° arrondissement. J’en ai été
dissuadée, presque empêchée, et arrivée à
Montrouge, est-ce par manque d’esprit d’initiative,
par épuisement, ou encore à cause de la contrainte
des comportements héréditaires… je l’ai posé sur
la plus haute planche de mon grand placard dont
j’ai refermé la porte.
Avant de clore cette première partie, je
vous dirai quelque chose dont vous vous doutez :
ce vieux sac dédaigné, oublié, devait un jour
prendre sa revanche !!!
Deuxième partie
Quelques années ont passé. Nous sommes
en 95 ou 96, je ne sais pas exactement. Tard dans
la nuit, j’ai libéré mon vieux sac de sa prison et
La future belle-fille de mes amis portait ce
soir-là une robe andalouse. En rentrant, je n’ai pas
attendu. Et me voilà découvrant ce costume. Il est
composé de trois parties : une jupe de velours
brodée de fils d’or, un plastron et un boléro.
L’ensemble est froissé, chiffonné, les doublures
souvent en lambeaux…
Pourtant, quelques jours plus tard, aidée
par mes frères et mes cousins, je le confie à une
spécialiste du Musée Galliera, qui l’accepte et
mettra plusieurs mois à le restaurer. Cette jeune
fille nous avait dit : « c’est une pièce superbe qui a
au moins cent cinquante ans !» J’étais demeurée
sceptique. Mais quand le costume revient, il est
méconnaissable, c’est la métamorphose. Le
velours bleu foncé de la jupe, qui a été brossé et
aspiré, a retrouvé son lustre et met en valeur le
décor que forment les fils dorés ; ils imitent un arc
solaire. Quant à doublure, elle a été conservée –
les parties détériorées, simplement renforcées ou
entourées d’un tissu de lin (comme les poches).
Certains fils dorés ont été remplacés. Quant au
boléro, du même velours que la jupe, brodé avec
les mêmes fils dorés, qui forment des rosaces sur
les épaules, il exprime la gloire des Princes
d’Andalousie. Sur l’épaule gauche, deux petites
zones sont ternies et ne retrouveront pas leur éclat
d’antan. Ce défaut est comme une blessure, qui
ajoute à l’authenticité du vêtement et lui donne
une touche plus modeste.
Mais voilà, la robe n’est plus chez moi.
Elle ne m’appartient plus. Elle a été sélectionnée
2
3. par le tout nouveau Musée d’Art et d’Histoire du
Judaïsme pour représenter l’artisanat des Juifs du
Maroc espagnol à la fin du XIX° siècle. Je suis
allée la voir. Elle se trouve au deuxième étage,
dans une vitrine que l’on maintient dans la
pénombre. Je ne suis pas sûre qu’elle soit vraiment
mise en valeur. Sur les épaules, on a cru bon de
poser un petit châle blanc, trop blanc. D’autre part,
le mannequin porte des bijoux, certainement de
valeur et authentiques, mais je ne peux pas
imaginer ma grand-mère parée de boucles d’oreille
et de colliers. Petite silhouette frêle, minuscule,
toujours vêtue de noir, n’enlevant jamais sa coiffe
noire, elle faisait penser aux femmes austères des
Pères Pèlerins, qui débarquèrent en Nouvelle
Angleterre au début du XVII° siècle pour ne pas
devenir Anglicans.
Personne ne pourra plus me raconter
l’histoire de cette robe. Où a-elle été
confectionnée ? A Tétouan, à Méllila, à Séville ?
Je sais que toutes les filles d’une même famille
portaient la même robe pour leur mariage. On la
prêtait même aux amies quand elles ne pouvaient
pas s’en offrir une !
Jamais mon père ne nous a dit un mot à
son sujet. Ce qui est conforme à son silence total
sur son passé. Mais tout de même, tout au long de
sa vie errante, qui l’a conduit de Berkane à
Casablanca et à Paris, ce vieux sac, il ne l’a jamais
jeté à la poubelle !!!
Alors, peut-être que sous sa chape de
plomb qu’il portait en lui, il avait conservé avec
son enfance difficile un lien, ou même un
attachement.
Maryse SICSU
INTERNET
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ISRAËL
Carnet de voyage
Chaque année, je passe une semaine en
Israël pour voir des amis. Cette fois, j’ai été
invitée par une famille au premier Seder de
Pessah. J’ai pris l’avion quatre jours avant le
début de la fête. A Tel-Aviv, comme d’habitude,
je logeais dans un hôtel que je fréquente depuis de
nombreuses années.
L’important pendant les jours qui
précèdent Pessah est le nettoyage de la maison, la
recherche de la moindre trace du chametz, des
restes de la levure du pain. Les murs de l’hôtel
étaient déjà repeints et dès mon premier petit
déjeuner, on mangeait des matzoth, le pain azyme.
Ce nettoyage est un travail considérable. Aussi, de
nombreux Israéliens préfèrent le séjour en hôtel :
le mien était bondé. Joyeux, des petits enfants
couraient partout.
En Israël, plus qu’ailleurs, la famille est un
refuge. Face aux incertitudes du lendemain, on
constate un certain repli sur elle.
Le rêve d’une société égalitaire est brisé.
600.000 personnes vivent en dessous du seuil de la
pauvreté. A l’opposé, une minorité des riches jouit
d’un luxe qui étonne dans ce pays. La vie
quotidienne des classes moyennes est un combat
de chaque jour. Elle est trop chère pour les faibles
salaires qu’on complète par l’exercice de plusieurs
emplois.
A l’issue du service militaire, les jeunes
veulent étudier. L’enseignement supérieur a connu
un développement considérable depuis une
vingtaine d’années. Les universités se sont
multipliées, mais les études sont particulièrement
onéreuses. Pendant plusieurs années, ces jeunes
adultes dépendent du soutien de leurs parents et
éventuellement de l’oncle d’Amérique ou d’un
autre pays de la diaspora.
La mémoire de la dernière guerre, celle au
Liban de l’été 2006, et les menaces d’un attentat
sont présentes, même si l’on préfère de ne pas en
parler. L’Israélien est fier et courageux : son
attachement à son pays est une réalité que
personne ne pourra lui arracher.
3
4. Je connais Israël depuis plusieurs
décennies. Les contrastes de la société israélienne
sont de plus en plus visibles. Par exemple, le
shabbat, Jérusalem est enveloppée dans le silence.
Dans cette ville dominée par les religieux, il est
difficile de trouver un taxi ou un restaurant ouvert.
A Tel-Aviv, la ville laïque, la circulation est
intense. Vendredi soir, les jeunes fréquentent
dancings et discothèques. L’opposition entre
religieux et laïques est l’une des tensions majeure
de la société israélienne.
Les Israéliens aiment les discussions et les
débats contradictoires. Dès mon arrivée, j’ai
l’habitude d’ouvrir la télévision et d’acheter des
journaux.
Depuis la guerre au Liban de l’été 2006,
Israël est plongé dans une crise morale et
politique. A la télévision, les débats entre les
personnalités politiques sont particulièrement
violents. Mais en guise d’antidote, des émissions
culturelles et la musique sont apaisantes. Même la
publicité se joint à cet effort. Des femmes
charmantes vantent les produits destinés à cette
société de la consommation.
Dans ce pays en permanente menace de
guerre, la presse est libre et très critique à l’égard
des dirigeants politiques. Des enquêtes concernant
la corruption du Premier ministre, Ehud Olmert et
de plusieurs membres de son gouvernement sont
en cours. La commission chargée des
investigations sur les erreurs commises par les
militaires et par le gouvernement pendant la guerre
au Liban commence timidement la communication
de ses conclusions. Mais le peuple israélien reste
sceptique : il veut connaître toute la vérité.
En même temps, fin avril, à l’initiative de
l’Arabie Saoudite, des Etats arabes ont offert à
Israël la paix et la normalisation de leurs relations
avec cet Etat. Les conditions sont connues depuis
longtemps : la fin de l’occupation des territoires
palestiniens et une solution négociée du problème
des réfugiés. Dans des interviews publiées par la
presse, Ehud Olmert affirme qu’il voudrait
rencontrer le roi Abdullah de l’Arabie Saoudite.
Selon les sondages, la majorité des Israéliens se
prononce en faveur d’une réponse à cette
proposition des Arabes.
Mais Ehud Olmert est un chef d’Etat très affaibli.
Aura-t-il la force de négocier et surtout de faire
accepter un douloureux compromis par le peuple
israélien ?
De plus, sous la pression des Américains et
des Européens, Ehud Olmert doit rencontrer
régulièrement Mahmoud Abbas, le président de
l’Autorité palestinienne, pour trouver une solution
au conflit avec les Palestiniens. Or Mahmoud
Abbas est contesté par le Hamas majoritaire en
Cisjordanie et à Gaza évacué depuis l’automne
2005.
Pourtant, des portes semblent s’ouvrir.
C’est un tournant historique menacé par les
extrêmises des deux côtés. Mais ne perdons pas
l’espoir. Des nouveaux dirigeants pourraient
trouver la force de mettre fin au conflit, qui
perdure depuis soixante ans. « Il y a un temps pour
la guerre, il y a un temps pour la paix » disent nos
Sages. Epuisés par les guerres et les violences
quotidiennes, les peuples israélien et palestinien
s’approchent peut-être du temps de la paix.
Doris Bensimon
Bureau de L.D.J.
Doris BENSIMON, présidente
Flora NOVODORSQUI, vice-présidente
Simone SIMON, secrétaire générale
Anna Sarfati, secrétaire générale adjointe
Noémie FISCHER, trésorière
Vous pouvez toujours contacter L.D.J. Au 01.47.97.30.63
COIN DES LIVRES
Bailly (Danielle), Enfants cachés. Analyses et
Débats, Paris, L’Harmattan, Collection Judaïsmes,
2006, 217 p.
Dans La Lettre de L.D.J. de novembre
décembre 2004, nous avons recensé le livre
coordonné par Danielle Bailly Traqués, cachés,
vivants. Des Enfants juifs en France (1940-1945).
Dix-huit enfants, âgés à cette époque de un à dix
ans, ont témoigné de leur expérience vécue
d’enfant caché.
4
5. En 2005, Danielle Bailly et ce groupe de
survivants ont organisé une Journée d’Etudes avec
des
historiens,
des
sociologues,
des
psychanalystes, qui avaient lu ces témoignages.
Leurs interventions ont été suivies par des débats
très animés.
On ne peut pas résumer les Actes de cette
Journée d’Etudes. J’en dégagerai seulement
quelques thèmes, qui peuvent nourrir la réflexion
des lecteurs de La Lettre de L.D.J., surtout si euxmêmes n’ont pas été des enfants cachés.
Pendant plusieurs décennies, les anciens
enfants cachés gardaient le silence en tant que
groupe spécifique de survivants de la persécution
par les Allemands et l’Etat de Vichy. Mais dans
les années 1990, dans le contexte de l’accent mis
sur l’importance de la mémoire de la Shoah, se
fondent, en France et dans d’autres pays occupés
par les Allemands, des associations d’anciens
enfants cachés. En France, le sauvetage a été
important. En clandestinité, des organisations
juives et chrétiennes, parfois seulement un homme
ou une femme ont sauvé des enfants de la
déportation. Aujourd’hui, officiellement, ces
Justes sont honorés.
Les parents voulaient mettre leurs enfants
en sécurité. Mais la nécessité de cette séparation
n’était pas comprise par les plus jeunes et
l’arrachement à la famille était une terrible douleur
pour les aînés.
Les enfants étaient munis de faux papiers.
Ils devaient oublier leurs prénoms et les noms de
leurs familles. On leur répétait qu’ils devaient
absolument cacher leur judéité.
La plupart des enfants étaient des citadins.
Subitement, ils étaient transplantés en milieu rural.
Ils devaient s’y adapter. Les enfants en âge
scolaire allaient à l’école, mais surtout ils étaient
associés aux travaux agricoles parfois très pénibles
pour eux.
Traqués, les enfants vivaient dans une
angoisse permanente. Souvent, ils devaient être
transférés d’un cache à une autre.
Pourtant, ces enfants ont survécu. A la fin
de la guerre, les plus chanceux ont retrouvé leurs
parents ou un autre membre de leur famille.
D’autres étaient accueillis dans des maisons
d’enfants rescapés. Les plus âgés devenus
adolescents devaient se débrouiller tout seuls.
Les récits de vie de ces enfants cachés
recueillis par Danielle Bailly ont été analysés, lors
cette Journée d’Etudes, par des historiens, des
sociologues et des psychanalystes qui évoquent
des cas différents. Les membres du groupe
interrogé par Danielle Bailly ont reconstruit leur
vie. Ils ont fondé leurs familles, ils ont bâti leur vie
professionnelle. Mais pendant quarante ans, ils
préféraient rester silencieux sur leur expérience
d’enfant caché face à leurs enfants ou leurs petits
enfants. Pourtant ce souvenir ne passe pas. Arrivés
à l’âge de la retraite, certains s’engagent dans la
transmission à des élèves de la mémoire de
l’affreuse période, qui leur a volé l’enfance. Ils
sont devenus des témoins. D’autres sont encore en
quête de leur judéité.
Les intervenants et leur public ont
beaucoup discuté des traumatismes, qui marquent
toujours ces anciens enfants cachés. Ils
transmettraient leurs angoisses à leurs enfants.
Leur expérience deviendrait-elle un phénomène
intergénérationnel ?
Les Juifs ne peuvent pas se détacher de
leur histoire. Mais ils oublient parfois que les
persécutions sont seulement un aspect de cette
histoire et que l’autre est celui de leur capacité
d’adaptation et de leur force de créativité.
Doris Bensimon
Appel aux cotisations
Il n’est jamais trop tard pour régler votre cotisation ou
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(septembre 2006 à août 2007). Vous pouvez aussi nous
rejoindre pour la première fois. L.D.J. vit seulement de
vos cotisations. Envoyez votre chèque à notre trésorière
Noémie Fischer, 119-119 bis rue d’Avron 75020 Paris
Pendant les vacances en juillet août, nous ne publions pas
La Lettre de L.D.J. Vous recevrez la prochaine début
septembre
Mais vous pouvez toujours nous contacter par E-mail :
ldj@col.fr ou ldb@col.fr et éventuellement au
téléphone : 01.47.97.30.63
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6. ACTIVITÉS DE L.D.J.
Mercredi 9 mai 2007
Conférence-débat
13 rue du Cambodge 75020 Paris
Accueil 19 h 30 – conférence 20 h
L’ALLIANCE ISRAÉLITE UNIVERSELLE
HIER ET AUJOURD’HUI
par Jean-Jacques Wahl, directeur général de l’A.I.U.
SÉMINAIRE MAÏMONIDE AVERROÈS
organisé par des associations juives laïques
dont L.D.J.
Venez nombreux à la prochaine séance :
son programme est chargé
Samedi 28 avril 2007 Accueil 9 h30
10 h précises : Projection du film égyptien de
Youssef Chahine « LE DESTIN » sur la vie
d’Averroès.
La projection sera suivie d’un débat avec le public
Ensuite nous vous présenterons la synthèse des trois
séances organisées depuis janvier 2007 et nous vous
inviterons à une nouvelle discussion.
Samedi 2 juin 2007 - 10 heures Maïmonide
vu
par
Yeshayahou
Leibowitz,
conférence de Gérad Haddad, psychanalyste
Dimanche 13 mai 2007
16 h 30 Cercle de lecture
Edgar Morin, Le monde moderne et la question juive
Éd. du Seuil, 2006, 263 p.
Réunion chez Maryse Sicsu
téléphonez-lui au 01.46.55.73.83
une semaine avant la réunion.
Dimanche 3 juin 2007
Exposition
REMBRANDT ET LA NOUVELLE
JÉRUSALEM. JUIFS ET CHRÉTIENS À
AMSTERDAM AU SIÈCLE D’OR
RDV à 14 heures précises dans le hall d’entrée du
Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme
71 rue du Temple 75003 Paris
Téléphonez à Doris Bensimon 01.47.97.30.63.
C’est indispensable pour nous retrouver.
Mercredi 13 juin 2007
Conférence-débat
13 rue du Cambodge 75020 Paris
Accueil 19 h 30 Conférence 20 h
Hélène et Daniel Oppenheim,
psychanalystes, présenteront leur livre
HÉRITIERS DE L’EXIL ET DE LA SHOAH
Entretiens avec des petits-enfants de Juifs venus de
Pologne.
Lieu : Centre Medem-Arbeiter Ring
52 rue René Boulanger 75010 Paris.
Inscription chez Alain Moutot
tel. : 01.45.43.88.05
E-mail : alain.moutot@wanadoo.fr
LITTÉRATURE YIDDISH
Depuis janvier 2007, Irène Wekstein et Martine
Grimberg vous proposent d’aller à la rencontre d’une
œuvre de la littérature yiddish.
Prochaines réunions : 18h à 20h
Mercredi 16 mai 2007 : Varsovie de Sholem Ash
Mercredi 20 juin 2007 : Terre brûlante de Aaron
Zeitline
Lieu : Maison de la Culture yiddish
18 Passage de Pierre Amelot 75011 Paris
Irène Wekstein tel. : 01.47.70.47.23
E-mail : iwekstein@free.fr
Le CLEJ fêtera son 60ème anniversaire en mai 2007.
Il recherche des anciens du SKIF et du CLEJ ainsi que des
témoignages, des photos, des documents.
Contactez Miriam Fihman-Perez 06.09.85.20.26
ou corvol@wanadoo.fr
UNE QUESTION
Voulez-vous recevoir LA LETTRE DE L.D.J
par Internet ?
Si oui, envoyez un mail à ldj@col.fr
La Lettre de L.D.J./ Mai-juin 2007
Rédaction et administration
1 rue Pixérécourt, 75020 PARIS Tél. : 01 47 97 30 63
Directeur de la publication : Doris Bensimon
Comité de lecture: Doris Bensimon, Mireille Florent-Saül,
Flora Novodorsqui, Simone Simon
Dépôt légal à la parution ISSN 1145-084
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