Quels seront les changements concrets pour les élus ?
Quid de l’utilisation des heures de délégation ?
Comment pourrez-vous utiliser le budget ?
Quel cadre légal pour la passation entre le CE et le CSE ?
Châteauroux, Orthez, chroniques de drames annoncésRéseau Pro Santé
Revue "PHARe" n° 70 Décembre 2014
À chaque drame qui émaille nos existences, la question qui se pose a posteriori à chacun de nous est : pourquoi et comment cela a-t-il été possible ? si la réponse à pourquoi semble souvent complexe et nous laisse passifs, il semble plus pertinent de tenter de répondre à comment.
Comment tel ou telle personne en est-t-elle arrivée là, quel processus de son existence l’a conduite à des impasses, quelles situations l’ont contrainte au point d’aboutir au geste extrême ? Quand la question se pose à un syndicat tel que le SNPHAR-E, quelles réponses se doit-il d’apporter ? Trois façons de répondre ont présidé ensemble à la conduite de notre syndicat :
- dénoncer
- prévenir
- accompagner
DÉNONCER
Depuis la dérive néo-libérale opérée par les pouvoirs publics pour gérer la santé publique, le SHPHAR-E ne cesse de stigmatiser les conséquences néfastes de la T2A et de la loi HPST sur les conditions de travail et au sens donné à celui-ci. C’était déjà le cas dans l’ouvrage publié par ses soins [1]. La nouvelle loi de santé [2] ne semble hélas pas apporter une quelconque inflexion à cette façon de soumettre le fonctionnent de l’hôpital public au système épicier des recettes et des dépenses.
reseauprosante.fr
Tribune Gazette du palais 09 octobre 2012 n 281-283 p. 11benjamincliquet
La « passerelle » entre le doctorat et le CRFPA n’est pas un « passe-droit », par le Collectif pour une valorisation professionnelle du doctorat en droit - Tribune Gazette du palais 09 octobre 2012 n 281-283 p. 11
Conférence du CCRE 35 :
Présentation, explications et analyses sur la réforme, en cours, du Code du travail.
5 ordonnances, 160 pages, 36 mesures... pour modifier une partie des 3000 pages du Code du travail, cela nécessite sans doute un peu d'explications concrètes pour comprendre les modifications que cela entraîne pour nos entreprises et nos collaborateurs.
En présence d'avocats spécialisés et d'un défenseur syndical au Conseil des prud'hommes, questions-réponses sur les répercutions concrètes de la réforme.
Connaître les règles du jeu permet à chacun de situer son action et remplir ses fonctions avec professionnalisme.
10 Lois à connaître au travail : Réforme Formation 2014 - Employabilité - Obligation de sécurité - Pénibilité - Harcèlement - Discrimination - Égalité de traitement - Travail dissimulé - Délit d'entrave - Pouvoir disciplinaire et droits des salariés.
Quels seront les changements concrets pour les élus ?
Quid de l’utilisation des heures de délégation ?
Comment pourrez-vous utiliser le budget ?
Quel cadre légal pour la passation entre le CE et le CSE ?
Châteauroux, Orthez, chroniques de drames annoncésRéseau Pro Santé
Revue "PHARe" n° 70 Décembre 2014
À chaque drame qui émaille nos existences, la question qui se pose a posteriori à chacun de nous est : pourquoi et comment cela a-t-il été possible ? si la réponse à pourquoi semble souvent complexe et nous laisse passifs, il semble plus pertinent de tenter de répondre à comment.
Comment tel ou telle personne en est-t-elle arrivée là, quel processus de son existence l’a conduite à des impasses, quelles situations l’ont contrainte au point d’aboutir au geste extrême ? Quand la question se pose à un syndicat tel que le SNPHAR-E, quelles réponses se doit-il d’apporter ? Trois façons de répondre ont présidé ensemble à la conduite de notre syndicat :
- dénoncer
- prévenir
- accompagner
DÉNONCER
Depuis la dérive néo-libérale opérée par les pouvoirs publics pour gérer la santé publique, le SHPHAR-E ne cesse de stigmatiser les conséquences néfastes de la T2A et de la loi HPST sur les conditions de travail et au sens donné à celui-ci. C’était déjà le cas dans l’ouvrage publié par ses soins [1]. La nouvelle loi de santé [2] ne semble hélas pas apporter une quelconque inflexion à cette façon de soumettre le fonctionnent de l’hôpital public au système épicier des recettes et des dépenses.
reseauprosante.fr
Tribune Gazette du palais 09 octobre 2012 n 281-283 p. 11benjamincliquet
La « passerelle » entre le doctorat et le CRFPA n’est pas un « passe-droit », par le Collectif pour une valorisation professionnelle du doctorat en droit - Tribune Gazette du palais 09 octobre 2012 n 281-283 p. 11
Conférence du CCRE 35 :
Présentation, explications et analyses sur la réforme, en cours, du Code du travail.
5 ordonnances, 160 pages, 36 mesures... pour modifier une partie des 3000 pages du Code du travail, cela nécessite sans doute un peu d'explications concrètes pour comprendre les modifications que cela entraîne pour nos entreprises et nos collaborateurs.
En présence d'avocats spécialisés et d'un défenseur syndical au Conseil des prud'hommes, questions-réponses sur les répercutions concrètes de la réforme.
Connaître les règles du jeu permet à chacun de situer son action et remplir ses fonctions avec professionnalisme.
10 Lois à connaître au travail : Réforme Formation 2014 - Employabilité - Obligation de sécurité - Pénibilité - Harcèlement - Discrimination - Égalité de traitement - Travail dissimulé - Délit d'entrave - Pouvoir disciplinaire et droits des salariés.
Nos professions - Quelle responsabilité dans le cadre de l’équipe pluridiscip...Réseau Pro Santé
Revue "Espace Santé au travail" n°54 - Novembre 2016
Dr Bernard SALENGRO Expert confédéral CFE-CGC Pôle santé au travail, conditions de travail, handicap Président du syndicat CFE-CGC santé au travail
" Cher Confrère, Cher Collègue Notre service de santé au travail est doté d’une Commission médico-technique comme cela est prévu par les textes de loi.
Ci-dessous, vous trouverez les missions de la CMT telles que mentionnées dans notre règlement intérieur :
• En fonction des dispositions de l’article L. 4622-13 du code du travail, la Commission Médico Technique du Service de Santé au Travail Interentreprises a pour mission de formuler des propositions relatives aux priorités et aux actions à caractère pluridisciplinaire conduite par ses membres.
• En fonction des dispositions de l’article L. 4622-14, la Commission Médico Technique du Service de Santé au Travail Interentreprises élabore un projet de service qui définit les priorités d’actions pluriannuel du service conduites par ses membres. dans le cadre du contrat d’objectifs et de moyens prévu à l’article L. 4622-10. Le projet est soumis à l’approbation du conseil d’administration.
• En fonction des dispositions de l’article D. 4622-28, la Commission Médico Technique prévue à l’article L. 4622-13 élabore le projet pluriannuel de service. Elle est informée de la mise en œuvre des priorités du service et des actions à caractère pluridisciplinaire. Elle est en outre consultée sur les questions relatives :
o A la mise en œuvre des compétences pluridisciplinaires au sein du Service de Santé au Travail ;
o A l’équipement du service ;
o A l’organisation des actions en milieu de travail, des examens médicaux et des entretiens infirmiers ;
o A l’organisation d’enquêtes et de campagnes.
Aux modalités de participation à la veille sanitaire ; elle peut également être consultée sur toute question relevant de sa compétence.
(...) "
http://www.reseauprosante.fr/
Suite aux élections sociales, quels sont les rôles de base du conseil d'entreprise (CE), du comité de prévention et de protection au travail (CPPT) et comment baliser un minimum le cadre du dialogue social, un fonctionnement efficient de ces instances?
Propositions pour l'emploi des seniors et des jeunes dans l'espace Européen.José manuel BOUDEY
Propositions pour l'emploi des seniors et des jeunes dans l'espace Européen.
Proposition élaborées par l'Observatoire national des Seniors (ONC) Observatoire indépendant
L'observatoire National des Seniors (O.N.C) est la plate forme de réflexion et d'échange des Seniors en activité professionnelle. il regroupe en un seul lieu l'information sur l'emploi au niveau national et international. il intègre des données statistiques quantitatives et qualitatives sur cette catégorie socio-professionnelle. L'observatoire étudie le rôle des seniors dans la société du XXIème siècle face au travail et son degré d'employabilité. l'Observatoire National des Seniors propose toutes les études et rapports qui les concernent. il fait un état permanent de la place des Seniors dans la société face aux marchés de l'emploi et les contraintes auxquels, les Seniors doivent faire face au niveau sociologique et sociétal. Par complémentarité, l'ONC observe les bonnes pratiques et le niveau d'intégration en entreprises de ces catégories ( niveau des salaires, contrats seniors) l'ONC est force de proposition au sein des organismes paritaires (Syndicats patronaux et Syndicats de salariés) ainsi qu'auprès du Conseil Economique et Social et Environnemental et du Conseil Economique, Social et Environnemental & Français Européen; plus largement toutes les instances de l'Etat qui s'attachent à l'intégration dans la société Française des Seniors et leur accompagnement.
Site Institutionnel http://observatoirenation.wix.com/observatoireseniors
Blog ONC : http://observatoirenationalcnior.over-blog.com/
C comme C'NIOR C comme Copyright
Le Comité Social et Economique (CSE) doit remplacer les différentes instances représentatives du personnel d'entreprise.
Qu’est-ce que le CSE : Comité social et économique ?
C’est la fusion des IRP (instances représentatives du personnel), DP (délégués du personnel), CE (comité d’entreprise) et CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail).
François Cochet, président de la FIRPS (Fédération des intervenants en risques psychosociaux) et directeur des activités santé au travail au sein de la SECAFI, répond à nos questions sur le fonctionnement des CHSCT. il nous éclaire aussi sur la tâche qui incombe à une société d’audit telle que SECAFI, lorsqu’il s’agit du règlement d’un conflit.
PHAR-E : Quel est le rôle des CHSCT ? Peut-on leur attribuer un véritable rôle de médiation ?
François Cochet : Le CHSCT est le lieu où doivent être posées et débattues toutes les questions sur les conditions de travail de tous ceux qui oeuvrent dans un établissement. Les projets importants qui ont un impact sur le travail des personnels doivent y être présentés et le CHSCT doit donner un avis éclairé sur les risques pour la santé des personnels. Un CHSCT qui fonctionne bien permet d’anticiper nombre de difficultés qui, dans le cas contraire, sont autant de sujets sur lesquels des médiations doivent être ensuite engagées.
PHAR-E : Pourriez-vous nous parler du périmètre réglementaire des CHSCT ? À quel niveau peuvent-ils intervenir ?
FC : Les CHSCT ont des droits étendus qui sont malheureusement parfois méconnus ou mal utilisés. Beaucoup d’informations leur sont dues. Ils peuvent visiter les services, procéder à des enquêtes, alerter sur les situations dangereuses. L’enjeu est qu’ils centrent leurs actions sur les conditions de travail, prises au sens le plus large. La loi leur donne un large pouvoir d’initiatives et les invite à faire des propositions de nature à préserver la santé et les conditions de travail de tous les personnels. Lorsque ces propositions sont précises, concrètes, étayées, il devient très difficile de les ignorer complètement, même dans le contexte de terrible disette budgétaire que connaissent nombre d’établissements. Pour autant, il ne doit pas y avoir de confusion, c’est l’employeur, et lui seul, qui est responsable de la santé des salariés de son établissement.
reseauprosante.fr
Le proces-verbal-des-reunions-des-delegues-du-personnel-dossier questions-rep...Gilbert Kossi
Questions et réponses relatives aux procès verbaux des réunions des délégués du personnel. Nécessaires pour les procédures de licenciement d'une partie du personnel dans une entreprise de plus de onze salariés.
INSTANCE NATIONALE CONSULTATIVE
Nous souhaitons que le statut de PH et l’arrêté sur la permanence des soins soient revus de fond en comble. Pour cela, pour des raisons réglementaires, sur demande du Conseil d'Etat, il faut créer une nouvelle instance nationale représentative des praticiens hospitaliers où ce sujet pourrait être abordé. La création de cette instance sera précisée par la Loi de santé et plusieurs rencontres à ce sujet se sont déjà déroulées à la DGOS. Cela pose la question de la représentativité des syndicats au sein de cette instance et donc de la définition des critères de la représentativité syndicale médicale. C'est une question complexe où se mêlent les corps (hospitalier et hospitalo-universitaire), les statuts (titulaires, contractuels, et autres) et les spécialités. L'équation n'est pas simple à résoudre et pourrait être fratricide.
Nous souhaitons que les PH aient toute leur place dans cette instance. Il reste 2 ans et demie pour que cette instance prenne vie, car on ne sait pas ce que sera le prochain Gouvernement, et s’il aura autant la volonté de nous écouter, à défaut de nous entendre vraiment.
Il y a aussi derrière cette question celle des moyens syndicaux en temps et en argent. Les syndicats médicaux vivotent des cotisations de leurs adhérents pendant que d’autres corps hospitaliers ont des locaux en plein Paris financés par les pouvoirs publics. Une telle différence de traitement est inacceptable.
reseauprosante.fr
Votre participation au CHSCT contribue à la protection de vos collègues en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail. Vous disposez de plusieurs outils pour vous informer, alerter et agir sur les conditions de travail.
Activités syndicales - Compte-rendu des réunions 12 et 13 septembre 2016Réseau Pro Santé
Revue SNIA, n° 205, Novembre 2016
Journée du 12 septembre
Fin des concertations sur l’exercice professionnel et sur le futur décret. Tout d’abord, rappelons qu’initialement le ministère n’avait envisagé qu’un simple listage des pratiques que nous pourrions revendiquer, qu’elles soient anciennes ou nouvelles.
La parution d’un véritable décret rénové à la hausse et officialisant nos pratiques réelles de terrain a donc été obtenue.
Notre nouvel interlocuteur remplaçant Mme Lenoir-Salfati, M. Mathias Albertone, a tenu à rappeler à la fois le contexte et l’historique des réunions et notamment expliquer le pourquoi du retard des réunions qui avaient été annoncées pour l’été. Son explication est conforme à ce que nous en savons et les choses avançant, il n’y a pas lieu de s’appesantir.
Il a été de suite réaffirmé que l’exclusivité d’exercice en anesthésie-réanimation ne serait pas remise en cause et que le mot « seul » de l’expression « est seul habilité à » du décret resterait. Dont acte. Pour la suite, il n’est pas possible de communiquer à ce jour le projet de décret puisque des négociations entre les différents partenaires ayant eu lieu, les représentants souhaitent légitimement tous informer leur structure de leur évolution de position avant que le texte ne soit rendu public.
Mais surtout : une remise en forme du texte doit avoir lieu de même qu’une validation finale par les organisations et seule cette version sera proposée ensuite aux instances. Pour autant, il est possible de dire que, pour l’anesthésie-réanimation, les IADE n’appliqueront plus, dans les textes, de simples protocoles mais suivront la stratégie anesthésique fixée par le MAR en CPA afin d’atteindre des objectifs. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
L’accord cadre avec le ministère une avancée syndicale mais la vigilance s’...Réseau Pro Santé
Le 23 décembre, la CMH (Coordination Médicale Hospitalière, intersyndicale dont le SCH est membre) et le SNAM-HP (Syndicat National des Médecins, Chirurgiens, Spécialistes, Biologistes et Pharmaciens des Hôpitaux Publics), réunis au sein de Convergences HP (Convergences-Hôpital Public), ont signé un « Accord Cadre » sur l’exercice médical à l’hôpital. Ont également signé ce jour là les syndicats d’internes de médecine générale et de spécialité, ainsi que le syndicat des chefs de clinique, et nous ne pouvons que nous féliciter de voir nos jeunes collègues associés à cet accord. Une nouvelle séance plus solennelle, en présence du ministre et des intersyndicales retardataires a eu lieu début janvier.
L’historique : de nombreuses séances techniques avaient eu lieu depuis fin août sur le Compte Epargne Temps (CET), l’Indemnité d’engagement de service public exclusif (IESPE), le statut des attachés, celui des temps partiels et la retraite des Hospitaliers Universitaires (HU). Ces discussions, initialement menées seulement avec la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS), ont été à notre demande reprises conjointement avec la DGOS et le cabinet du ministre. Sur tous ces points, des avancées ont été obtenues, avec parfois des points durs et des négociations difficiles marquées par des coups de chaud, comme cela a été le cas pour les CET. Dans le même temps, des négociations avec le ministère sur un « Accord Cadre » portant sur « L’exercice médical à l’hôpital » avaient lieu et ont fini par intégrer ces discussions techniques. Le 19 décembre, a donc été présenté un texte largement inspiré par les conclusions et réflexions du rapport de la commission sur l’exercice médical à l’hôpital public (rapport piloté par Mme Danielle Toupillier).
reseauprosante.fr
Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Décembre 2016
Dans le précèdent numéro du Mag, j’avais tracé les grandes lignes de l’action syndicale.
Construire en syndicaliste c’est savoir faire des choix :
♦ En acceptant ou non des propositions d’évolution de nos conditions d’exercice, de promotion de nos professions, d’amélioration de l’attractivité.
♦ Pour faire ces choix, nous tenons bien entendu compte de la situation politique et économique de notre pays.
♦ Nous jugeons si un mouvement social cherchant à obtenir plus ou mieux (une grève pour faire simple) sera suivi, bien compris, correctement accepté par la population.
Tout ce travail de réflexion nous a conduit à retenir les proposions faites fin octobre par le gouvernement ainsi que les termes du protocole de travail, document que nous avons signé avec l’assurance de sa mise en œuvre dans les mois à venir par la signature de Marisol Touraine.
Lors du précédent Mag, je m’inquiétais que le Ministère n’engageait plus sa signature, craignant qu’il n’y ait plus d’encre dans le stylo de la Ministre. Me voilà rassuré !
Au terme d’années de réunions, de rapports, de discussions, nous sommes arrivés à une étape pour la mise en œuvre de mesures concernant l’attractivité des carrières hospitalières publiques. (...)
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Nos professions - Quelle responsabilité dans le cadre de l’équipe pluridiscip...Réseau Pro Santé
Revue "Espace Santé au travail" n°54 - Novembre 2016
Dr Bernard SALENGRO Expert confédéral CFE-CGC Pôle santé au travail, conditions de travail, handicap Président du syndicat CFE-CGC santé au travail
" Cher Confrère, Cher Collègue Notre service de santé au travail est doté d’une Commission médico-technique comme cela est prévu par les textes de loi.
Ci-dessous, vous trouverez les missions de la CMT telles que mentionnées dans notre règlement intérieur :
• En fonction des dispositions de l’article L. 4622-13 du code du travail, la Commission Médico Technique du Service de Santé au Travail Interentreprises a pour mission de formuler des propositions relatives aux priorités et aux actions à caractère pluridisciplinaire conduite par ses membres.
• En fonction des dispositions de l’article L. 4622-14, la Commission Médico Technique du Service de Santé au Travail Interentreprises élabore un projet de service qui définit les priorités d’actions pluriannuel du service conduites par ses membres. dans le cadre du contrat d’objectifs et de moyens prévu à l’article L. 4622-10. Le projet est soumis à l’approbation du conseil d’administration.
• En fonction des dispositions de l’article D. 4622-28, la Commission Médico Technique prévue à l’article L. 4622-13 élabore le projet pluriannuel de service. Elle est informée de la mise en œuvre des priorités du service et des actions à caractère pluridisciplinaire. Elle est en outre consultée sur les questions relatives :
o A la mise en œuvre des compétences pluridisciplinaires au sein du Service de Santé au Travail ;
o A l’équipement du service ;
o A l’organisation des actions en milieu de travail, des examens médicaux et des entretiens infirmiers ;
o A l’organisation d’enquêtes et de campagnes.
Aux modalités de participation à la veille sanitaire ; elle peut également être consultée sur toute question relevant de sa compétence.
(...) "
http://www.reseauprosante.fr/
Suite aux élections sociales, quels sont les rôles de base du conseil d'entreprise (CE), du comité de prévention et de protection au travail (CPPT) et comment baliser un minimum le cadre du dialogue social, un fonctionnement efficient de ces instances?
Propositions pour l'emploi des seniors et des jeunes dans l'espace Européen.José manuel BOUDEY
Propositions pour l'emploi des seniors et des jeunes dans l'espace Européen.
Proposition élaborées par l'Observatoire national des Seniors (ONC) Observatoire indépendant
L'observatoire National des Seniors (O.N.C) est la plate forme de réflexion et d'échange des Seniors en activité professionnelle. il regroupe en un seul lieu l'information sur l'emploi au niveau national et international. il intègre des données statistiques quantitatives et qualitatives sur cette catégorie socio-professionnelle. L'observatoire étudie le rôle des seniors dans la société du XXIème siècle face au travail et son degré d'employabilité. l'Observatoire National des Seniors propose toutes les études et rapports qui les concernent. il fait un état permanent de la place des Seniors dans la société face aux marchés de l'emploi et les contraintes auxquels, les Seniors doivent faire face au niveau sociologique et sociétal. Par complémentarité, l'ONC observe les bonnes pratiques et le niveau d'intégration en entreprises de ces catégories ( niveau des salaires, contrats seniors) l'ONC est force de proposition au sein des organismes paritaires (Syndicats patronaux et Syndicats de salariés) ainsi qu'auprès du Conseil Economique et Social et Environnemental et du Conseil Economique, Social et Environnemental & Français Européen; plus largement toutes les instances de l'Etat qui s'attachent à l'intégration dans la société Française des Seniors et leur accompagnement.
Site Institutionnel http://observatoirenation.wix.com/observatoireseniors
Blog ONC : http://observatoirenationalcnior.over-blog.com/
C comme C'NIOR C comme Copyright
Le Comité Social et Economique (CSE) doit remplacer les différentes instances représentatives du personnel d'entreprise.
Qu’est-ce que le CSE : Comité social et économique ?
C’est la fusion des IRP (instances représentatives du personnel), DP (délégués du personnel), CE (comité d’entreprise) et CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail).
François Cochet, président de la FIRPS (Fédération des intervenants en risques psychosociaux) et directeur des activités santé au travail au sein de la SECAFI, répond à nos questions sur le fonctionnement des CHSCT. il nous éclaire aussi sur la tâche qui incombe à une société d’audit telle que SECAFI, lorsqu’il s’agit du règlement d’un conflit.
PHAR-E : Quel est le rôle des CHSCT ? Peut-on leur attribuer un véritable rôle de médiation ?
François Cochet : Le CHSCT est le lieu où doivent être posées et débattues toutes les questions sur les conditions de travail de tous ceux qui oeuvrent dans un établissement. Les projets importants qui ont un impact sur le travail des personnels doivent y être présentés et le CHSCT doit donner un avis éclairé sur les risques pour la santé des personnels. Un CHSCT qui fonctionne bien permet d’anticiper nombre de difficultés qui, dans le cas contraire, sont autant de sujets sur lesquels des médiations doivent être ensuite engagées.
PHAR-E : Pourriez-vous nous parler du périmètre réglementaire des CHSCT ? À quel niveau peuvent-ils intervenir ?
FC : Les CHSCT ont des droits étendus qui sont malheureusement parfois méconnus ou mal utilisés. Beaucoup d’informations leur sont dues. Ils peuvent visiter les services, procéder à des enquêtes, alerter sur les situations dangereuses. L’enjeu est qu’ils centrent leurs actions sur les conditions de travail, prises au sens le plus large. La loi leur donne un large pouvoir d’initiatives et les invite à faire des propositions de nature à préserver la santé et les conditions de travail de tous les personnels. Lorsque ces propositions sont précises, concrètes, étayées, il devient très difficile de les ignorer complètement, même dans le contexte de terrible disette budgétaire que connaissent nombre d’établissements. Pour autant, il ne doit pas y avoir de confusion, c’est l’employeur, et lui seul, qui est responsable de la santé des salariés de son établissement.
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Le proces-verbal-des-reunions-des-delegues-du-personnel-dossier questions-rep...Gilbert Kossi
Questions et réponses relatives aux procès verbaux des réunions des délégués du personnel. Nécessaires pour les procédures de licenciement d'une partie du personnel dans une entreprise de plus de onze salariés.
INSTANCE NATIONALE CONSULTATIVE
Nous souhaitons que le statut de PH et l’arrêté sur la permanence des soins soient revus de fond en comble. Pour cela, pour des raisons réglementaires, sur demande du Conseil d'Etat, il faut créer une nouvelle instance nationale représentative des praticiens hospitaliers où ce sujet pourrait être abordé. La création de cette instance sera précisée par la Loi de santé et plusieurs rencontres à ce sujet se sont déjà déroulées à la DGOS. Cela pose la question de la représentativité des syndicats au sein de cette instance et donc de la définition des critères de la représentativité syndicale médicale. C'est une question complexe où se mêlent les corps (hospitalier et hospitalo-universitaire), les statuts (titulaires, contractuels, et autres) et les spécialités. L'équation n'est pas simple à résoudre et pourrait être fratricide.
Nous souhaitons que les PH aient toute leur place dans cette instance. Il reste 2 ans et demie pour que cette instance prenne vie, car on ne sait pas ce que sera le prochain Gouvernement, et s’il aura autant la volonté de nous écouter, à défaut de nous entendre vraiment.
Il y a aussi derrière cette question celle des moyens syndicaux en temps et en argent. Les syndicats médicaux vivotent des cotisations de leurs adhérents pendant que d’autres corps hospitaliers ont des locaux en plein Paris financés par les pouvoirs publics. Une telle différence de traitement est inacceptable.
reseauprosante.fr
Votre participation au CHSCT contribue à la protection de vos collègues en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail. Vous disposez de plusieurs outils pour vous informer, alerter et agir sur les conditions de travail.
Activités syndicales - Compte-rendu des réunions 12 et 13 septembre 2016Réseau Pro Santé
Revue SNIA, n° 205, Novembre 2016
Journée du 12 septembre
Fin des concertations sur l’exercice professionnel et sur le futur décret. Tout d’abord, rappelons qu’initialement le ministère n’avait envisagé qu’un simple listage des pratiques que nous pourrions revendiquer, qu’elles soient anciennes ou nouvelles.
La parution d’un véritable décret rénové à la hausse et officialisant nos pratiques réelles de terrain a donc été obtenue.
Notre nouvel interlocuteur remplaçant Mme Lenoir-Salfati, M. Mathias Albertone, a tenu à rappeler à la fois le contexte et l’historique des réunions et notamment expliquer le pourquoi du retard des réunions qui avaient été annoncées pour l’été. Son explication est conforme à ce que nous en savons et les choses avançant, il n’y a pas lieu de s’appesantir.
Il a été de suite réaffirmé que l’exclusivité d’exercice en anesthésie-réanimation ne serait pas remise en cause et que le mot « seul » de l’expression « est seul habilité à » du décret resterait. Dont acte. Pour la suite, il n’est pas possible de communiquer à ce jour le projet de décret puisque des négociations entre les différents partenaires ayant eu lieu, les représentants souhaitent légitimement tous informer leur structure de leur évolution de position avant que le texte ne soit rendu public.
Mais surtout : une remise en forme du texte doit avoir lieu de même qu’une validation finale par les organisations et seule cette version sera proposée ensuite aux instances. Pour autant, il est possible de dire que, pour l’anesthésie-réanimation, les IADE n’appliqueront plus, dans les textes, de simples protocoles mais suivront la stratégie anesthésique fixée par le MAR en CPA afin d’atteindre des objectifs. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
L’accord cadre avec le ministère une avancée syndicale mais la vigilance s’...Réseau Pro Santé
Le 23 décembre, la CMH (Coordination Médicale Hospitalière, intersyndicale dont le SCH est membre) et le SNAM-HP (Syndicat National des Médecins, Chirurgiens, Spécialistes, Biologistes et Pharmaciens des Hôpitaux Publics), réunis au sein de Convergences HP (Convergences-Hôpital Public), ont signé un « Accord Cadre » sur l’exercice médical à l’hôpital. Ont également signé ce jour là les syndicats d’internes de médecine générale et de spécialité, ainsi que le syndicat des chefs de clinique, et nous ne pouvons que nous féliciter de voir nos jeunes collègues associés à cet accord. Une nouvelle séance plus solennelle, en présence du ministre et des intersyndicales retardataires a eu lieu début janvier.
L’historique : de nombreuses séances techniques avaient eu lieu depuis fin août sur le Compte Epargne Temps (CET), l’Indemnité d’engagement de service public exclusif (IESPE), le statut des attachés, celui des temps partiels et la retraite des Hospitaliers Universitaires (HU). Ces discussions, initialement menées seulement avec la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS), ont été à notre demande reprises conjointement avec la DGOS et le cabinet du ministre. Sur tous ces points, des avancées ont été obtenues, avec parfois des points durs et des négociations difficiles marquées par des coups de chaud, comme cela a été le cas pour les CET. Dans le même temps, des négociations avec le ministère sur un « Accord Cadre » portant sur « L’exercice médical à l’hôpital » avaient lieu et ont fini par intégrer ces discussions techniques. Le 19 décembre, a donc été présenté un texte largement inspiré par les conclusions et réflexions du rapport de la commission sur l’exercice médical à l’hôpital public (rapport piloté par Mme Danielle Toupillier).
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Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Décembre 2016
Dans le précèdent numéro du Mag, j’avais tracé les grandes lignes de l’action syndicale.
Construire en syndicaliste c’est savoir faire des choix :
♦ En acceptant ou non des propositions d’évolution de nos conditions d’exercice, de promotion de nos professions, d’amélioration de l’attractivité.
♦ Pour faire ces choix, nous tenons bien entendu compte de la situation politique et économique de notre pays.
♦ Nous jugeons si un mouvement social cherchant à obtenir plus ou mieux (une grève pour faire simple) sera suivi, bien compris, correctement accepté par la population.
Tout ce travail de réflexion nous a conduit à retenir les proposions faites fin octobre par le gouvernement ainsi que les termes du protocole de travail, document que nous avons signé avec l’assurance de sa mise en œuvre dans les mois à venir par la signature de Marisol Touraine.
Lors du précédent Mag, je m’inquiétais que le Ministère n’engageait plus sa signature, craignant qu’il n’y ait plus d’encre dans le stylo de la Ministre. Me voilà rassuré !
Au terme d’années de réunions, de rapports, de discussions, nous sommes arrivés à une étape pour la mise en œuvre de mesures concernant l’attractivité des carrières hospitalières publiques. (...)
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Cercles de qualité … Abrutissement CADENCES …
Connexion Déconnexion … Amiante
Poumons … Profits - CADENCES
EXPLOITATION
m a i 2 0 1 7
Le travail use, fatigue et tue …
Un peu … Beaucoup … Passionnément … A la folie … Et parfois pas du tout … mais là c’est une autre histoire !
Et le CHSCT dans tout cela ?
C’est précisément la raison et l’objet du présent numéro de La Plume.
Son rôle est aujourd’hui central et d’aucuns souhaiteraient sans doute le faire taire ou à tout le moins limiter sa ca-
pacité de « nuisance ». Il y a quelques années déjà, un article titrait « Le CHSCT, la nouvelle bête noire des entreprises ».
C’est tout dire, et ne l’oubliez pas !
Olivier Cadic, Directeur du département assistance et conseil
2. La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
Evelyn BLEDNIAK, Avocat associé
Amélie KLAHR, Juriste
CHSCT
Des Moyens limités
pour des compétences
sans cesse élargies
Ces dernières années, le rôle du CHSCT n’a cessé de prendre
de l’importance, par l’extension de ses domaines de compé-
tences (risques psychosociaux, santé publique et environne-
ment, pénibilité…) sous l’impulsion de l’obligation de sécu-
rité de résultat portée depuis les arrêts Amiante de 2002.
Revenons aux missions confiées par la loi. La loi confie trois
missions au CHSCT, outre d’assurer le respect des dispositions
légales en matière de santé et sécurité :
- Contribuer à la protection de la santé physique et mentale
et de la sécurité des travailleurs,
- Contribuer à l’amélioration des conditions de travail,
- Contribuer à l’adaptation et à l’aménagement des postes
de travail afin de faciliter l’accès des personnes handicapées à
tous les emplois et de favoriser leur maintien dans l’emploi au
cours de leur vie professionnelle (nouvelle mission issue de la
loi du 8 août 2016).
Le choix du verbe n’est pas anodin : on attend du CHSCT qu’il
AGISSE et pas seulement d’être informé/consulté.
Et qu’il agisse urgemment dans des domaines sensibles et qui
ont pu faire l’objet de scandales sanitaires : amiante, suicides au
travail, santé mentale (stress au travail, risques psychosociaux et
nouvelles pathologies du travail telles que le burn-out) et d’autres
à venir sans aucun doute, comme certaines peintures…
Et qu’il agisse dans des domaines de plus en plus larges : bien-
être au travail, qualité de vie au travail, impacts des nouvelles
technologies sur la santé des salariés (vidéo surveillance, GPS,
outils de communications…), entretiens annuels d’évaluation,
nouveaux outils…
Qu’il intervienne dans l’entreprise, mais aussi hors de l’entre-
prise. Ainsi depuis la loi du 16 avril 2013, le CHSCT peut déclencher
> 2
numéro
speciaL
CHSCT
une alerte s’il constate ou s’il est informé par un travailleur que des
produits ou procédés de fabrication utilisés ou mis en œuvre par
l’établissement font peser un risque grave sur la santé publique ou
l’environnement.
Enfin, qu’il intervienne au quotidien dans le cadre des réorgani-
sations multiples, restructurations, déménagements que connais-
sent aujourd’hui les entreprises.
La gestion de crises, d’évènements et du quotidien tant sur les
actions de prévention que sur des actions curatives font du rôle
des membres du CHSCT un rôle lourd et chronophage qui né-
cessiterait des moyens adaptés.
Tel n’est pas le souci du législateur qui n’a rien modifié.
Certes, le CHSCT peut réaliser des enquêtes, des inspections,
recourir à des experts mais le nombre d’heures de délégation,
l’absence de moyens financiers, la difficulté ne serait-ce que de
se rendre sur des sites en cas d’entreprise éclatée pour réaliser
des inspections et tout simplement rencontrer les salariés sont
autant de freins à l’action effective de cette instance dont cer-
tains souhaiteraient peut-être qu’elle se dissolve dans le CE, via
par exemple la DUP élargie.
Le pire n’est jamais sûr, mais un homme averti en vaut 2.
Afin de mieux comprendre les problématiques aux-
quelles ils sont confrontés, les membres du CHSCT
peuvent accéder gratuitement à une documentation
technique sur :
http://www.inrs.fr/
https://www.anact.fr/
CHSCT
3. La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
numéro special / CHSCT
3 <
Le CHSCT au sein de la nouvelle DUP
Une nécessité : avoir de la méthode !
Etendue aux entreprises comptant jusqu’à 299 salariés, la délégation unique du personnel, issue de la loi n° 2015-994 du 17 août 2015,
consiste à regrouper, sur les mêmes personnes, l’ensemble des prérogatives des délégués du personnel, du CE et du CHSCT.
BienqueleCHSCTconservel’ensembledesesattributions(droitd’alerte,inspections,expertiseCHSCT,l’ensembledesconsultations…),
certaines modalités de son fonctionnement ont été aménagées, ce qui appelle à la vigilance.
Des réunions reposant sur un
ordre du jour commun et une
périodicité réduite
En effet, l’employeur est tenu de réunir la délégation unique une
fois tous les deux mois. Sur ces 6 réunions, au moins 4 doivent, en
totalitéoupourpartieseulement,comporterdespointsrelatifsaux
prérogatives du CHSCT.
Non seulement, l’ordre du jour est commun mais aussi tout se
tient au cours d’une seule et même réunion.
Comment l’organiser quand les participants
peuvent varier suivant les sujets ?
Laquestionseposefondamentalementpourlesmembresdedroit
extérieursauCHSCT(Inspectiondutravail,médecin,préventeur…)
Un conseil : interroger ces intervenants avant de fixer les
horaires et l’ordre dans lesquels seront abordés les points.
Il peut être opportun, à notre sens, de commencer par les ques-
tions CHSCT, afin de libérer les extérieurs sans pour autant limi-
ter le temps de réunion consacré aux questions, ce qui serait
non seulement préjudiciable aux droits de l’instance et à la qua-
lité des débats mais encore irrégulier.
Concilier un ordre du jour étoffé et une périodicité de réunions
moins fréquente est donc le défi posé aux membres de la nou-
velle DUP. Sauf à tenir les réunions sur plusieurs jours, le temps
consacré à chaque instance risque de se réduire mettant ainsi à
mal la garantie du maintien de l’ensemble de leurs prérogatives
respectives.
Quid des réunions extraordinaires ?
Chaque instance conserve, selon ses propres règles, la possi-
bilité de demander des réunions extraordinaires. Mais quelle
procédure adopter lorsque le point relève à la fois du CHSCT
et du CE ? Dans le silence des textes, nous préconisons de pri-
vilégier les règles du CE.
En revanche lorsque la demande de réunion ne concerne que
le CHSCT, la demande doit être formulée par 2 élus, et pour le
CE à la majorité des membres titulaires.
Un avis motivé unique
à différencier
Lorsque le sujet soumis à consultation relève à la fois du CHSCT
et du CE, la DUP doit alors rendre un avis unique. A terme, ce pro-
cédé pourrait impliquer un risque de déperdition des prérogatives
des 2 instances. Dès lors, nous vous recommandons de s’attacher
à distinguer, au sein d’un même avis, un 1er
volet axé sur les consé-
quences en matière d’hygiène, de sécurité et conditions de travail
et un 2nd volet axé sur les conséquences sociales, économiques et/
oustratégiques.Nepasoublierquel’avispeutultérieurement servir !
Sur les délais d’information/consultation,
voir l’article page 6.
Quid des PV de réunion ?
MêmelorsquelaréunionportesurdespointsrelevantduCEet
duCHSCT,deuxPVdistinctsdevraientenprincipeêtreélaborés
et adoptés. Néanmoins, si vous faites le choix d’un PV unique,
nous vous recommandons d’indiquer très distinctement les
points relevant de chacune des instances (ou des deux), puis
de l’adopter et de le diffuser selon les règles applicables au PV
du CE. En parallèle, le registre des DP devra être tenu.
Quels moyens de formation ?
Faute de disposition particulière, les membres de la DUP béné-
ficient :
- En qualité de membres titulaires CE du congé économique
prévu à l’article L. 2325-44 du Code du travail. Le coût péda-
gogique est imputé sur le budget de fonctionnement du CE ;
- En qualité de membres CHSCT de la formation prévue à l’ar-
ticle L. 4614-14 du Code du travail. Le budget du CE n’étant
pas étendu au CHSCT, le coût pédagogique et les frais an-
nexes restent pris en charge par l’employeur dans les limites
fixées par voie règlementaire.
Une question : la DUP a pour effet de créer des suppléants au
CHSCT.Or,lesdispositionsduCodedutravailrelativesàlaformation
des membres CHSCT n’envisagent pas cette hypothèse. Convient-il
alors de réserver, comme pour le congé de formation économique,
le bénéfice de la formation CHSCT aux seuls titulaires ? A notre
sens, les suppléants pourraient tenter de se prévaloir d’un droit à
formation CHSCT dans la mesure où la législation actuellement en
vigueur ne limite pas l’accès aux seuls membres titulaires.
Floriane Burette, Juriste
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ENLEVER LA CASQUETTE ROUGE, SVP ?
4. D OSSI E R P R A T I Q U E
La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
4 > 5
La loi du 8 août 2016 (loi El Khomri), a introduit
un délai de 15 jours de contestation de l’expertise
CHSCT, à compter de la délibération du CHSCT
décidant du recours à l’expert (contestation de
la nécessité de l’expertise du CHSCT, de la dé-
signation de l’expert, du coût prévisionnel, de
l’étendue ou du délai de l’expertise).
Au titre de cette saisine du juge par l’employeur,
laquelle a vocation à suspendre la réalisation de
l’expertise ainsi que la consultation du CHSCT
jusqu’à la notification du jugement (C. trav. art.
L4614-13), si le juge donne raison à l’employeur,
la délibération du CHSCT est annulée et l’expertise
n’a pas lieu.
numéro special / CHSCT
Pour se faire il n’y a pas d’élément déterminant mais un faisceau
d’indices qui permettra de s’assurer de la validité du cadre de la
désignation de l’expertise.
Ainsi, le risque grave doit notamment être actuel et identifié
(Cass. soc. 25-11-2015 n° 14-11.865 FS-PB) et constaté dans l’éta-
blissement (Cass. soc. 3-4-2001 n° 99-14.002).
Concernant le projet important, le caractère important sera déter-
minéeparlanatureetlaportéedesesincidencessurlesconditions
d’hygiène, de sécurité ou de travail (portée du changement).
Nous vous renvoyons ici notamment à l’article paru dans le numéro
de mars 2017 de La Plume où nous précisions la question de la
preuve en la matière.
De façon récurrente, l’argumentaire développé par les employeurs
dans le cadre des contestations d’expertise CHSCT, vise l’inexis-
tence du risque grave et/ou du projet important, ou à tout le
moins l’absence de démonstration/preuve apportée par le
CHSCT. Par ailleurs, l’employeur évoque souvent dans la même
logique, des « irrégularités » dans la désignation (absence de
point à l’ordre du jour, absence d’explications complètes et pré-
cises du CHSCT, absence de réel débat avant vote, absence de
désignation valable…).
Il est donc fondamental qu’en amont de la désignation, le CHSCT
se prépare.
Pour mémoire, le CHSCT peut faire appel à un expert agréé
dans les cas suivants :
lorsqu’un risque grave, révélé ou non par un accident du
travail ou une maladie professionnelle ou à caractère profes-
sionnel, est constaté dans l’établissement
(C. trav. art. L 4614-12, 1°) ;
en cas de projet important modifiant les conditions de santé
et de sécurité ou les conditions de travail
(C. trav. art. L 4614-12, 2°) ;
en cas de projet de restructuration ou de compression des
effectifs (C. trav. art. L 4614-12-1).
Dans les deux premiers cas de recours, en l’absence de défini-
tions légales, toute la difficulté est de déterminer si la situation
relève bien d’au moins un des cas de figure.
Le CHSCT doit donc au préalable de sa désignation vérifier que
les conditions de cette dernière sont remplies.
Ceci est d’autant plus important qu’en cas de contestation judi-
ciaire par l’employeur, la charge de la preuve de l’existence d’un
risque grave ou d’un projet important pèse sur le CHSCT.
NB : contrairement à une idée reçue, il n’existe pas de cas
d’expertise pour RPS (risques psychosociaux), cette expertise
ne peut être envisagée que parce que le risque psychosocial
est grave ou lorsque il relève d’un projet important.
OUPS !
ALORS, MAÎTRE…
VOUS PENSEZ QU’ON
A PLUTÔT AFFAIRE À
UN RISQUE GRAVE OU
À UNE COMPRESSION
DE PERSONNEL ?
[…]
Expertises CHSCT
Prévoir pour ne pas subir
5. D OSSI E R P R A T I Q U E
La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
En résumé, les étapes de la désignation de l’expert CHSCT pour-
raient être les suivantes :
Identification et vérification que les conditions de la désigna-
tion de l’expertise sont remplies : existence d’un risque grave
et/ou d’un projet important.
Il est utile, voire nécessaire, de faire appel à un avocat et/ou à
l’expert pressenti, afin qu’il puisse aider le CHSCT a valider les
conditions de l’expertise, mais aussi son intérêt, son utilité et
donc les différentes étapes ci-après.
Inscription à l’ordre du jour de la réunion CHSCT (Cass.soc.22-
1-2008 n°06-18.979) : « Désignation d’un expert en application de
l’article 4614-12, 1° ou 4614-12,2° du Code du travail ».
Préparation de la résolution portant désignation de l’expert.
La résolution doit être complète. Comporter d’une part, les élé-
ments de démonstration de l’existence du risque grave (quel
risque, quelle gravité, nombre de salariés courant le risque…),
ou du projet important (quel projet important, en quoi il a des
conséquences importantes sur les conditions de travail, d’hygiène
ou de sécurité, nombre de salariés impactés…). D’autre part,
une mention de la nécessité et de l’utilité du recours à l’expert
(en quoi ce travail ne peut être mené à bien par les élus dans le
cadre de leurs prérogatives - aspects techniques…). Enfin, les
éléments du cadre de la mission de l’expert (ce qui lui est de-
mandé).
NB : attention, en matière d’expertise risque grave, la mission
ne peut jamais être celle de déterminer les risques graves,
puisque l’existence du risque grave est la condition préalable
à l’intervention de l’expert.
A ce stade, l’employeur pourra comprendre la pertinence et la
validité de la démarche. A défaut, s’il conteste, le CHSCT sera
d’autant plus prêt à développer sa défense devant le juge.
Lise BIANNIC, Juriste
Diego PARVEX, Avocat Associé
numéro special / CHSCT
Règlement intérieur du CHSCT
Un outil pour renforcer les moyens de l’instance
- Une aide à la rédaction du PV,
- Une augmentation du nombre
d’élus,
- La mise à disposition d’un local
propre au CHSCT,
- La prise en charge d’un accès
à une documentation technique
et juridique complète,
- La prise en charge des frais de
déplacement lors d’inspections et
enquêtes, surtout si le CHSCT est
national et que les salariés sont dissé-
minés sur le territoire.
Concernant la mise en place du règlement in-
térieur, son adoption se fait en réunion par un vote à
la majorité des présents. Le président peut participer mais il n’a
pas de droit de veto ou de « voix compte double ».
En revanche, les élus ne peuvent imposer à l’employeur des
obligations supra légales ou qui viendraient empiéter sur ses
prérogatives de président. Ainsi, pour que le règlement inté-
rieur permette effectivement de renforcer l’efficacité de l’ins-
tance, l’argumentation que vous développerez pour obtenir
des moyens supplémentaires doit s’appuyer sur les spécificités
de votre entreprise.
Justin SAILLARD-TREPPOZ, Juriste
A l’instar du comité d’entreprise, il est
désormais obligatoire pour le CHSCT
d’adopter un règlement intérieur.
Le Code du travail prévoit ainsi que
« le CHSCT détermine, dans un rè-
glement intérieur, les modalités de
son fonctionnement et l’organisation
de ses travaux ».
Ce document est essentiel. Il va
notamment permettre au comité de
poser par écrit le fonctionnement de
l’instance, de clarifier ses règles de fonc-
tionnement, de les adapter à la structure et
à l’activité de l’entreprise.
Mais, il permet également de rappeler les droits du
CHSCT. Sa rédaction est l’occasion de négocier avec l’em-
ployeur un renforcement des moyens de l’instance pour la
rendre plus efficace.
Plusieurs points peuvent être demandés en fonction des be-
soins de l’instance et de la spécificité de l’entreprise.
Citons par exemple :
- Une augmentation du crédit d’heures de délégation pour
notamment :
• Faciliter les déplacements des membres du CHSCT
• Tenir des réunions préparatoires
• Renforcer les prérogatives d’inspection, d’enquête
CHSCT
Règlement
intérieur
6. La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
numéro special / CHSCT
Délais de consultation applicables
aux CHSCT et à l’ICCHSCT
Avis des CHSCT et ICCHSCT
Rien n’interdit à l’employeur de solliciter l’avis des instances avant
le terme du délai.
Ce n’est que si les membres du CHSCT et/ou de l’ICCHSCT es-
timent ne pas être en capacité de remettre un avis éclairé et
motivé, au moment où l’employeur le sollicite qu’ils pourront
repousser la remise de leur avis dans les limites du délai préfix.
Si le CHSCT et/ou l’ICCHSCT ne remettent pas d’avis au plus tard
dans les délais négociés, ou à défaut dans les délais précités, ils se-
ront alors réputés avoir été consultés et avoir rendu un avis négatif.
Anne-Lise Massard, Juriste
Alors que les consultations du CE sont encadrées dans des délais depuis l’entrée
en vigueur de la loi de sécurisation de l’emploi du 14 juin 2013, le législateur
semblait avoir omis de prévoir des règles similaires pour les consultations CHSCT.
C’est, désormais, chose rectifiée avec la loi Rebsamen et son décret d’application
du 29 juin 2016.
Consultations du CHSCT et/ou de l’ICCHSCT
encadrées dans des délais
Toutes les consultations obligatoires ou ponctuelles du CHSCT
et/ou de l’ICCHSCT sont désormais encadrées dans des délais,
excepté celles pour lesquelles la loi a fixé un délai spécifique.
Début de la procédure CHSCT/ICCHSCT
Le délai de consultation du CHSCT et/ou de l’ICCHSCT court
à compter de la communication par l’employeur des informa-
tions prévues par le Code du travail pour la consultation ou, de
l’information par l’employeur ou, de leur mise à disposition dans
la base de données économiques et sociales.
Le délai est un délai calendaire. Il se calcule donc de date à
date.
*sauf délai spécifique négocié avec les délégués syndicaux ou, à défaut, de délégués syndicaux dans l’entreprise par la majorité des membres du comité et l’employeur
** Ni la loi, ni la jurisprudence ne précisent, pour l’heure, si en cas de consultation des CHSCT et de l’ICCHSCT, des délais sont applicables aux CHSCT. La loi précise uniquement
qu’en cas de consultation des CHSCT et de l’ICCHSCT, les avis des CHSCT doivent être remis au plus tard 7 jours avant la fin du délai imparti à l’ICCHSCT pour remettre son avis.
La question se pose donc de savoir si en cas de consultation des CHSCT et de l’ICCHSCT, les CHSCT sont également encadrés dans des délais préfix.
> 6
Délais de
consultation
applicables
au CHSCT
Délai pour être informé et consulté
Début procédure AVIS CHSCT
En principe* 1 mois
2 mois en cas de recours à expert
CHSCT
Délais de
consultation
applicables
à l’ICCHSCT
Délai pour être informé et consulté
Début procédure AVIS ICCHSCT
En principe* 1 mois
3 mois en cas de recours à expert
ICCHSCT
Articulation des
délais en cas de
consultation
des CHSCT et
de l’ICCHSCT
CHSCT** Délai pour être informé et consulté
Délai pour être informé et consulté
Début procédure
AVIS
ICCHSCT
AVIS
CHSCT
7
JOURS
(délai négocié, à défaut délai d’1 mois ou 3 mois si recours à expert)ICCHSCT
Le délai de 15 jours de contestation de l’expertise CHSCT court à
compter de la délibération, c’est à dire de la réunion et non du
Procès-verbal (TGI Evreux - 3 mai 2017)
JURISPRUDENCE ATLANTES
7. La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
numéro special / CHSCT
Désignation des membres du CHSCT
possible avec deux scrutins séparés
Cass. soc. 18 janv. 2017 n°15-27730
La délégation du personnel au CHSCT doit comporter un cer-
tain nombre de sièges réservés au personnel de maîtrise et cadre.
Le collège désignatif (membres du Comité d’entreprise et délé-
gués du personnel) a la possibilité de procéder à sa désignation
par deux scrutins séparés, un pour chacune des deux catégories
de sièges à pourvoir.
Toutefois, pour que ce mode de scrutin soit valide, la Cour de
cassation pose un principe : le vote doit être concomitant pour
chaque scrutin et le dépouillement doit intervenir à l’issue de
tous les votes.
Ainsi, les résultats du premier scrutin ne doivent pas être connus
avant la fin du second scrutin.
Pas de modification du périmètre
d’implantation des CHSCT sans accord
entre le CE et l’employeur
Cass. soc. 22 fév. 2017 n°16-10770
Selon l’article L4613-4 du Code du travail, dans les établisse-
ments d’au moins 500 salariés, le CE détermine, en accord avec
l’employeur, le nombre de CHSCT constitués. A cette fin, ils doi-
vent prendre en compte la nature, la fréquence et la gravité des
risques, les dimensions et la réparation des locaux ou groupes
de locaux, ainsi que le nombre de travailleurs occupés dans ces
locaux et les modes d’organisation du travail.
En cas de désaccord, le nombre de CHSCT et les mesures de
coordination sont fixés par l’inspecteur du travail.
La Cour de cassation rappelle qu’il ne peut être procédé à aucune
modification du périmètre d’implantation des CHSCT autrement
que par l’une de ces deux voies. Dans cette affaire, ce sont les
CHSCT eux-mêmes qui avaient fixés, par accord, le nombre de
CHSCT.
Marine AZAIS, Juriste
Seule une OS représentative peut désigner
un représentant au CHSCT
Cass. soc. 22 fév. 2017 n°15-25591
Le Code du travail ne prévoit pas de désignation de représen-
tants syndicaux au CHSCT. En revanche, l’article 23 de l’accord-
cadre du 17 mars 1975 sur l’amélioration des conditions de tra-
vail, étendu par arrêté 12 janvier 1996, permet aux organisations
syndicales de désigner un représentant syndical au CHSCT, dans
les établissements d’au moins 300 salariés.
Même si l’accord-cadre ne le prévoit pas, la Cour de cassation
a tranché sur le point de savoir quelles organisations syndi-
cales sont habilitées à procéder à cette désignation : elle a jugé
que seules les OS représentatives peuvent désigner des RS au
CHSCT. Elle avait déjà opté pour cette solution dans un précé-
dent arrêt (Cass. soc. 29 oct. 2008, n° 07-43.578).
Le CHSCT ne peut imposer à l’employeur
la prise en charge d’un prestataire pour
établir les PV
Cass. soc. 22 fév. 2017, n°15-22392
Le CHSCT ne peut pas imposer à l’employeur la prise en charge
d’un prestataire extérieur pour rédiger les procès-verbaux de
réunions.
Au titre de l’article L4614-9 du Code du travail, le CHSCT reçoit
de l’employeur « les moyens nécessaires à la préparation et à l’or-
ganisation des réunions », puisqu’il ne bénéficie pas d’un budget
de fonctionnement. Pour autant, cela ne lui permet pas de dé-
cider unilatéralement la prise en charge, par l’employeur, d’un
prestataire pour rédiger les PV.
Dans cette affaire, le CHSCT n’avait pas démontré « l’insuffi-
sance des nombreux moyens supplémentaires alloués » par
l’employeur pour faire face au retard dans l’élaboration des
PV.
JURISPRUDENCE < 7
8. La plume de l’alouette I Atlantes I Mai 2017
Atlantes, en partenariat avec Secafi,
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