Retrouvez la synthèse de l'IREP - France Pub concernant la situation du marché publicitaire au 1er semestre 2015 et les perspectives d’évolution pour l’ensemble de l’année.
Au premier semestre 2015, les recettes publicitaires nettes des médias enregistrent une baisse de -1,6% pour atteindre 5 585 millions €. A titre de comparaison, le marché publicitaire avait baissé de -2,6% au 1er semestre 2014. Le ralentissement de la baisse, amorcé au 1er semestre 2013, se poursuit donc avec un différentiel de 1 point sur le périmètre total pris en compte par l’IREP.
Cette relative amélioration se retrouve sur le total Médias historiques + Internet : -0,7% au 1er semestre 2015 vs -1,5% au 1er semestre 2014
Principales évolutions :
Même si le second trimestre 2015 a été légèrement moins bon que le premier, la télévision confirme son redressement avec une croissance de +2% de ses recettes publicitaires (à comparer au -0,8% du 1er semestre 2014). En ce qui concerne le digital, la progression est de +3,6% au 1er semestre 2015 (vs 1er semestre 2014), légèrement inférieure à celledu 1er Les dépensesemestre 2014 (+4% vs 1er semestre 2013).
« Advertising Expenditure Forecasts - Focus France » ZenithOptimedia Mars 2015yann le gigan
>>Les investissements publicitaires mondiaux devraient croître de 4,4% en 2015, notamment grâce à la vidéo en ligne
[zenithOptimedia 30.03.15]
Vers une stabilisation progressive du marché publicitaire français
Les résultats du marché publicitaire 1er semestre 2016 – Irep / France Pub yann le gigan
Les résultats du marché publicitaire au 1er semestre 2016 : Le marché renoue avec la croissance
[irep.asso.fr 23.09.16]
Les recettes publicitaires des médias selon l’IREP
Les dépenses de communication des annonceurs selon FRANCE PUB
http://www.irep.asso.fr/download.php?id=115&module=news&type=file
Retrouvez la synthèse de l'IREP - France Pub concernant la situation du marché publicitaire au 1er semestre 2015 et les perspectives d’évolution pour l’ensemble de l’année.
Au premier semestre 2015, les recettes publicitaires nettes des médias enregistrent une baisse de -1,6% pour atteindre 5 585 millions €. A titre de comparaison, le marché publicitaire avait baissé de -2,6% au 1er semestre 2014. Le ralentissement de la baisse, amorcé au 1er semestre 2013, se poursuit donc avec un différentiel de 1 point sur le périmètre total pris en compte par l’IREP.
Cette relative amélioration se retrouve sur le total Médias historiques + Internet : -0,7% au 1er semestre 2015 vs -1,5% au 1er semestre 2014
Principales évolutions :
Même si le second trimestre 2015 a été légèrement moins bon que le premier, la télévision confirme son redressement avec une croissance de +2% de ses recettes publicitaires (à comparer au -0,8% du 1er semestre 2014). En ce qui concerne le digital, la progression est de +3,6% au 1er semestre 2015 (vs 1er semestre 2014), légèrement inférieure à celledu 1er Les dépensesemestre 2014 (+4% vs 1er semestre 2013).
« Advertising Expenditure Forecasts - Focus France » ZenithOptimedia Mars 2015yann le gigan
>>Les investissements publicitaires mondiaux devraient croître de 4,4% en 2015, notamment grâce à la vidéo en ligne
[zenithOptimedia 30.03.15]
Vers une stabilisation progressive du marché publicitaire français
Les résultats du marché publicitaire 1er semestre 2016 – Irep / France Pub yann le gigan
Les résultats du marché publicitaire au 1er semestre 2016 : Le marché renoue avec la croissance
[irep.asso.fr 23.09.16]
Les recettes publicitaires des médias selon l’IREP
Les dépenses de communication des annonceurs selon FRANCE PUB
http://www.irep.asso.fr/download.php?id=115&module=news&type=file
Adex Report - Investissements publicitaires plurimédias - Kantar Media - Sept...Ad6 Media
Baromètre Adex Report septembre 2012 : Un mois de septembre en berne La rentrée de septembre n’est pas encourageante (-4,5%) et contribue nettement à tirer le marché vers le bas. Aussi, en cumul annuel, les recettes du marché publicitaire brut se stabilisent à +1%. Seul média à connaître une évolution légèrement positive en valeur (+3,3%), la télévision enregistre des volumes à peine stables sur le mois (-0,8%). La TNT est toujours dynamique en recettes brutes (+12,9%) malgré une durée publicitaire en baisse (-1,6%). Ce mois-ci, les indicateurs volume et valeur des chaînes historiques sont en hausse contrairement à ceux des chaînes thématiques. Au cumul, le média présente une croissance à +4,6% mais une durée publicitaire en recul sur tous ses segments. La radio accuse une chute de ses recettes brutes (-3,4%) et de sa durée publicitaire (-2,8%) sur la rentrée. Les stations généralistes et les stations musicales sont à la peine en volume comme en valeur. Seuls les programmes locaux émergent légèrement sur le mois (+3,7% en valeur). Au cumul, la radio présente une évolution en valeur de +4,1% et une stabilité en volume (-0,4%). Le display marque le pas en septembre (-5,6%). Le secteur financier est en grande partie responsable de ce recul puisqu’il se désengage de -27,4% sur le mois. Au cumul toutefois, le média se maintient à +4,1% d’évolution en valeur. Le mois de septembre est en fort retrait pour la presse en volume (-18,4%) comme en valeur (-13%). Les quotidiens nationaux sont encore plus à la baisse que les magazines sur les 2 items. Tous les secteurs significatifs du média se désengagent. Au cumul les recettes publicitaires du média chutent (-2,5%) et la pagination diminue fortement (-6,3%). Les afficheurs* enregistrent pour le 9ème mois consécutifs une baisse de leurs recettes brutes (-4,5%) soit un recul de -7,5% à fin septembre. *(voir annotation sur les offres « JC Decaux Large). Enfin, le cinéma est aussi en chute sur le mois (-7,2%) et présente une stabilité de ses recettes brutes en cumul (+0,1%). Septembre est d’habitude marqué par une large communication de la part des distributeurs sur leurs offres de rentrée. En 2012, ils se sont désengagés de la période et ont diminué leurs budgets publicitaires de -8,8%. Les acteurs de l’hygiène beauté, de la finance et des télécommunications présentent la même tendance sur le mois. Seuls les constructeurs automobiles (+5,2%) et les acteurs de l’alimentaire (+4,6%) investissent davantage ce mois-ci mais ne suffisent pas à compenser un mois de septembre très morose pour la publicité.
Kantar Media Ad Intelligence- Annee de pub 2012Ad6 Media
Le Pôle Publicité de KANTAR MEDIA Ad intelligence recense et valorise les
campagnes publicitaires plurimédias (presse, radio, télévision, publicité
extérieure, cinéma, internet) par secteur, par annonceur, par marque et par
support.
Le volume publicitaire est valorisé sur la base des plaquettes tarifaires en euros
(valeur brute), hors taxes et hors dégressifs.
KANTAR MEDIA Ad intelligence effectue la mesure des investissements
publicitaires en propre pour la presse, la radio, la télévision et centralise les
déclaratifs des régies de la publicité extérieure, du cinéma, d’internet.
L’analyse est réalisée hors auto-promotion et abonnements des supports.
Sur la base d’un univers constant.
Résumé Analytique Adspend Forecasts - ZenithOptimedia - Juin 2013Romain Fonnier
Le nouveau rapport Advertising Expenditures Forecasts de ZénithOptimédia (Groupe Publicis) fait état d’une nouvelle baisse des prévisions d’évolutions des investissements publicitaires mondiaux pour l’année 2013, qui passent de +3,9% à +3.5% après avoir été évalués à +4,1% fin 2012. Cette nouvelle dégradation est attribuée à deux faits majeurs : la poursuite de la récession dans la zone euro et les inquiétudes liées à la sécurité nationale en Corée du Sud.
La reprise reste toujours au programme, comme en attestent les révisions légèrement à la hausse des prévisions mondiales pour 2014 (0,1 point, de +5,0% à +5,1%) et 2015 (0,2 point, de +5,6% à +5,8%). Une perspective influencée par les investissements sur le média Internet, prévus à +15% par an jusqu’en 2015 en contribuant au deux tiers (66%) de la progression globale, notamment portés par l’Internet Mobile dont la croissance moyenne est évaluée à +51% par an d’ici à 2015 et qui progresse cinq fois plus vite que l’Internet Fixe, confirmant la tendance attendue par le marché depuis plusieurs années.
Selon Sébastien Danet, président de ZenithOptimedia France, «le marché publicitaire mondial continue d'avoir une croissance régulière, il est sur la voie de la reprise. La publicité par Internet stimule la croissance des investissements publicitaires et, après plusieurs années durant lesquelles le marché l'a espéré, la publicité sur les mobiles en est devenue le fer de lance. Les terminaux mobiles font désormais partie intégrante de la vie de nombreux consommateurs dans le monde entier, mais ils représentent pour les marques un potentiel énorme non encore exploité pour toucher le consommateur de façon personnalisée, interactive et hautement efficace».
Sur le marché français, les prévisions pour 2013 sont elles aussi une nouvelle fois dégradées, après être passées de -1,4% en décembre 2012 à -2,0% en mai 2013 elles sont annoncées à -2,5% en raison d’un premier trimestre encore plus faible que prévu.
L’agence prévoit une «reprise timide» pour 2014 avec +0,3% et pour 2015 avec +0,8%.
Chiffres cles des annonceurs Edition 2012Ad6 Media
Après la reprise de 2010, les investissements des annonceurs enregistrent en 2011 une progression
limitée à 1,9 % tous vecteurs confondus. Elle ne permet au marché de la communication – évalué
à 31,4 milliards d’euros – que de retrouver son poids de 2004. La part des investissements en
communication rapportée au PIB de la France reste en 2011 à son niveau historiquement le plus bas,
atteint en 2009 (1,56 % vs 2,07 % en 2000), témoignant du faible dynamisme actuel du marché.
Comme chaque année, les principales données chiffrées du marché de la communication sont regroupées dans un document unique, qui permet à chacun de faire le point sur les investissements en communication des annonceurs et leurs évolutions. On trouvera notamment, dans les « Chiffres clés 2011 » des évaluations des investissements locaux et régionaux en communication, le classement des marques sur les réseaux sociaux ou encore celui des premiers annonceurs dans le monde.
12 tendances fortes de 2012 vue d'Omnicom Media Group - Janvier 2012Romain Fonnier
Après la publication des prévisions d’investissements publicitaires pour 2012 et 2013, Omnicom
Media Group s’intéresse en ce début d’année aux 12 tendances consommateurs emblématiques de
cette période de crise, pour dessiner des comportements média différenciant sur l’année à venir.
Présentation PwC : perspectives de croissance de l'industrie des médias et de...François Guillot
Présentation de PricewaterhouseCoopers sur les perspectives de l'industrie des médias et des loisirs (Global Entertainment and Media Outlook) sur la période 2008 - 2012.
Adex Report - Investissements publicitaires plurimédias - Kantar Media - Sept...Ad6 Media
Baromètre Adex Report septembre 2012 : Un mois de septembre en berne La rentrée de septembre n’est pas encourageante (-4,5%) et contribue nettement à tirer le marché vers le bas. Aussi, en cumul annuel, les recettes du marché publicitaire brut se stabilisent à +1%. Seul média à connaître une évolution légèrement positive en valeur (+3,3%), la télévision enregistre des volumes à peine stables sur le mois (-0,8%). La TNT est toujours dynamique en recettes brutes (+12,9%) malgré une durée publicitaire en baisse (-1,6%). Ce mois-ci, les indicateurs volume et valeur des chaînes historiques sont en hausse contrairement à ceux des chaînes thématiques. Au cumul, le média présente une croissance à +4,6% mais une durée publicitaire en recul sur tous ses segments. La radio accuse une chute de ses recettes brutes (-3,4%) et de sa durée publicitaire (-2,8%) sur la rentrée. Les stations généralistes et les stations musicales sont à la peine en volume comme en valeur. Seuls les programmes locaux émergent légèrement sur le mois (+3,7% en valeur). Au cumul, la radio présente une évolution en valeur de +4,1% et une stabilité en volume (-0,4%). Le display marque le pas en septembre (-5,6%). Le secteur financier est en grande partie responsable de ce recul puisqu’il se désengage de -27,4% sur le mois. Au cumul toutefois, le média se maintient à +4,1% d’évolution en valeur. Le mois de septembre est en fort retrait pour la presse en volume (-18,4%) comme en valeur (-13%). Les quotidiens nationaux sont encore plus à la baisse que les magazines sur les 2 items. Tous les secteurs significatifs du média se désengagent. Au cumul les recettes publicitaires du média chutent (-2,5%) et la pagination diminue fortement (-6,3%). Les afficheurs* enregistrent pour le 9ème mois consécutifs une baisse de leurs recettes brutes (-4,5%) soit un recul de -7,5% à fin septembre. *(voir annotation sur les offres « JC Decaux Large). Enfin, le cinéma est aussi en chute sur le mois (-7,2%) et présente une stabilité de ses recettes brutes en cumul (+0,1%). Septembre est d’habitude marqué par une large communication de la part des distributeurs sur leurs offres de rentrée. En 2012, ils se sont désengagés de la période et ont diminué leurs budgets publicitaires de -8,8%. Les acteurs de l’hygiène beauté, de la finance et des télécommunications présentent la même tendance sur le mois. Seuls les constructeurs automobiles (+5,2%) et les acteurs de l’alimentaire (+4,6%) investissent davantage ce mois-ci mais ne suffisent pas à compenser un mois de septembre très morose pour la publicité.
Kantar Media Ad Intelligence- Annee de pub 2012Ad6 Media
Le Pôle Publicité de KANTAR MEDIA Ad intelligence recense et valorise les
campagnes publicitaires plurimédias (presse, radio, télévision, publicité
extérieure, cinéma, internet) par secteur, par annonceur, par marque et par
support.
Le volume publicitaire est valorisé sur la base des plaquettes tarifaires en euros
(valeur brute), hors taxes et hors dégressifs.
KANTAR MEDIA Ad intelligence effectue la mesure des investissements
publicitaires en propre pour la presse, la radio, la télévision et centralise les
déclaratifs des régies de la publicité extérieure, du cinéma, d’internet.
L’analyse est réalisée hors auto-promotion et abonnements des supports.
Sur la base d’un univers constant.
Résumé Analytique Adspend Forecasts - ZenithOptimedia - Juin 2013Romain Fonnier
Le nouveau rapport Advertising Expenditures Forecasts de ZénithOptimédia (Groupe Publicis) fait état d’une nouvelle baisse des prévisions d’évolutions des investissements publicitaires mondiaux pour l’année 2013, qui passent de +3,9% à +3.5% après avoir été évalués à +4,1% fin 2012. Cette nouvelle dégradation est attribuée à deux faits majeurs : la poursuite de la récession dans la zone euro et les inquiétudes liées à la sécurité nationale en Corée du Sud.
La reprise reste toujours au programme, comme en attestent les révisions légèrement à la hausse des prévisions mondiales pour 2014 (0,1 point, de +5,0% à +5,1%) et 2015 (0,2 point, de +5,6% à +5,8%). Une perspective influencée par les investissements sur le média Internet, prévus à +15% par an jusqu’en 2015 en contribuant au deux tiers (66%) de la progression globale, notamment portés par l’Internet Mobile dont la croissance moyenne est évaluée à +51% par an d’ici à 2015 et qui progresse cinq fois plus vite que l’Internet Fixe, confirmant la tendance attendue par le marché depuis plusieurs années.
Selon Sébastien Danet, président de ZenithOptimedia France, «le marché publicitaire mondial continue d'avoir une croissance régulière, il est sur la voie de la reprise. La publicité par Internet stimule la croissance des investissements publicitaires et, après plusieurs années durant lesquelles le marché l'a espéré, la publicité sur les mobiles en est devenue le fer de lance. Les terminaux mobiles font désormais partie intégrante de la vie de nombreux consommateurs dans le monde entier, mais ils représentent pour les marques un potentiel énorme non encore exploité pour toucher le consommateur de façon personnalisée, interactive et hautement efficace».
Sur le marché français, les prévisions pour 2013 sont elles aussi une nouvelle fois dégradées, après être passées de -1,4% en décembre 2012 à -2,0% en mai 2013 elles sont annoncées à -2,5% en raison d’un premier trimestre encore plus faible que prévu.
L’agence prévoit une «reprise timide» pour 2014 avec +0,3% et pour 2015 avec +0,8%.
Chiffres cles des annonceurs Edition 2012Ad6 Media
Après la reprise de 2010, les investissements des annonceurs enregistrent en 2011 une progression
limitée à 1,9 % tous vecteurs confondus. Elle ne permet au marché de la communication – évalué
à 31,4 milliards d’euros – que de retrouver son poids de 2004. La part des investissements en
communication rapportée au PIB de la France reste en 2011 à son niveau historiquement le plus bas,
atteint en 2009 (1,56 % vs 2,07 % en 2000), témoignant du faible dynamisme actuel du marché.
Comme chaque année, les principales données chiffrées du marché de la communication sont regroupées dans un document unique, qui permet à chacun de faire le point sur les investissements en communication des annonceurs et leurs évolutions. On trouvera notamment, dans les « Chiffres clés 2011 » des évaluations des investissements locaux et régionaux en communication, le classement des marques sur les réseaux sociaux ou encore celui des premiers annonceurs dans le monde.
12 tendances fortes de 2012 vue d'Omnicom Media Group - Janvier 2012Romain Fonnier
Après la publication des prévisions d’investissements publicitaires pour 2012 et 2013, Omnicom
Media Group s’intéresse en ce début d’année aux 12 tendances consommateurs emblématiques de
cette période de crise, pour dessiner des comportements média différenciant sur l’année à venir.
Présentation PwC : perspectives de croissance de l'industrie des médias et de...François Guillot
Présentation de PricewaterhouseCoopers sur les perspectives de l'industrie des médias et des loisirs (Global Entertainment and Media Outlook) sur la période 2008 - 2012.
La croissance du commerce mondial est à son plus bas niveau depuis 2009Société Tripalio
La croissance du commerce mondial n'est pas à sa meilleure forme en 2016. Il ressort d'une étude de l'Insee, que la croissance du commerce mondial enregistré en 2016 est la plus faible depuis 2009.
Comme chaque année, les principales données chiffrées du marché de la communication sont regroupées dans un document unique, qui permet à chacun de faire le point sur les investissements en communication des annonceurs et leurs évolutions. On trouvera notamment, dans les « Chiffres clés 2012 » des évaluations des investissements locaux et régionaux en communication, le classement des marques sur les réseaux sociaux ou encore celui des premiers annonceurs dans le monde.
Répartition des dépenses publicitaires par media on/offline 2012 vs. 2011, pa...WSI Business Performance
Le marketing internet est le seul véhicule de communication en croissance +6% (10% des dépenses publicitaires tous secteurs confondus) alors que tous les autres media sont en perte de vitesse -3%. Benchmarkez vos dépenses publicitaires totales et en ligne dans votre industrie!
Comme chaque année, les principales données chiffrées du marché de la communication sont regroupées dans un document unique, qui permet à chacun de faire le point sur les investissements en communication des annonceurs et leurs évolutions. On trouvera notamment, dans les « Chiffres clés 2013 » des évaluations des investissements locaux et régionaux en communication, le classement des marques sur les réseaux sociaux ou encore celui des premiers annonceurs dans le monde.
Les investissements en communication des annonceurs en France ont atteint 31 milliards d’euros en 2012, soit 1,3 % de moins qu’en 2011, tous vecteurs confondus. Ils ont représenté ainsi 1,48 % du PIB national, soit le ratio le plus bas de ces vingt dernières années.
Cette étude[2] de référence, initiée par le SRI en 2009, analyse l’évolution et la répartition du chiffre d’affaires de la publicité digitale en France. Ce semestre, l’étude s’attache à analyser l’impact du COVID19 sur le marché et donne, pour la première fois, une projection pour l’ensemble de l’année.
ZenithOptimedia - Résumé analytique Adspend Forecasts Juin 2013Ad6 Media
ZenithOptimedia prévoit que les investissements publicitaires mondiaux progresseront de 3,5% en 2013, pour atteindre 505 milliards de dollars US d'ici la fin de l'année. Il s'agit d'une révision à la baisse des 3,9% que nous annoncions au premier trimestre. Nos prévisions concernant la reprise en 2014 et en 2015 sont, elles, plus optimistes, relevées de 0,1 et 0,2 points respectivement.
Croissance des investissements publicitaires et du PNB 2012-2015 (%)
Source: ZenithOptimedia/FMI
Comme c'est le cas depuis le début de la récession en 2007, cette croissance sera emmenée par les marchés émergents*, dont nous prévoyons qu'ils connaîtront une croissance moyenne de 8,6% par an entre 2012 et 2015, tandis que les marchés développés ne progresseront que de 2,8% en moyenne.
Nous avançons deux raisons pour notre révision à la baisse de notre prévision pour 2013 : la poursuite de la récession au sein de la zone euro et les inquiétudes quant à la sécurité nationale en Corée du Sud.
La reprise économique que les économistes espéraient pour la zone euro au cours du second semestre de 2013 semble désormais reportée à la fin de l'année, l'impasse politique dans laquelle s'est trouvée l'Italie et le sauvetage très critiqué de Chypre ayant mis en lumière les faiblesses institutionnelles de la zone. Nous prévoyons désormais un recul de 3,9 % des investissements publicitaires dans la zone euro en 2013, plus important que la prévision de -1,6 % que nous annoncions en avril, mais toujours meilleure que le recul de 5,2 % des investissements publicitaires qu'a connue la zone euro en 2012. Si ce consensus parmi les économistes se vérifie et que l'économie entame sa reprise en fin d'année 2013 ou en début d'année 2014, nous prévoyons que les investissements publicitaires se stabiliseront en 2014 –avec 0,8 % de croissance- avant d'entamer une lente reprise en 2015, avec 1,8 % de croissance.
Magnite - taking action on identity in europe - april 2021Romain Fonnier
The Identity and 3rd party cookie commotion has reached a critical point in Europe - and recent announcements from Google (and the ensuing industry chatter) have created an atmosphere of fear and confusion within the programmatic ecosystem.
It's time to clear up the confusion and move forward. This webinar aims to:
• Provide context and clarity to the confusion
• Highlight the key areas of focus
• Show publishers the collaborative path forward - timelines and actionable steps
ID5 - the state of digital identity - 2021Romain Fonnier
Dépendre des cohortes et des signaux déterministes n’est pas suffisant pour permettre au secteur de prospérer dans un avenir sans cookies ; le rapport d’ID5 sur l’identité le démontre
Pour son deuxième rapport, le fournisseur de solutions d’identité a sondé le secteur afin d’évaluer l’importance de l’identité dans la publicité numérique et la manière dont les perspectives sur l’identité ont évolué au fil du temps. Le dernier rapport révèle que l’identité est de plus en plus prioritaire dans le paysage de la publicité numérique : 82 % des personnes interrogées ont déclaré qu’elles considéraient l’identification numérique des utilisateurs comme « très importante » pour leur entreprise. L’adoption de solutions d’identité universelle est sur une trajectoire ascendante, 43 % des répondants du secteur déclarant être déjà impliqués avec des fournisseurs d’identité universelle et 43 % supplémentaires déclarant être en phase d’évaluation.
Audio programmatique panorama des acteurs technologiques sell side - iab fr...Romain Fonnier
PANORAMA DES ACTEURS DE LA PUBLICITÉ AUDIO PROGRAMMATIQUE EN FRANCE, ETAT DES LIEUX ET PERSPECTIVES 2021
Webinar organisé le vendredi 22 Janvier de 15h à 15h45
Cette année, le Salon de la Radio a été remplacé par le RadioWeek, qui s'est tenu 100% en ligne durant 5 journées thématiques du 18 au 22 janvier 2021.
A cette occasion, l'IAB France a organisé un webinar autour de l'Audio Programmatique afin de présenter les travaux de la Task Force Audio Digital et les perspectives 2021.
Le barometre du programmatique - IAB France - 2021Romain Fonnier
L'IAB France publie son 1er Baromètre Programmatique. Vendredi 5 Février 2021- L'Interactive Advertising Bureau France (IAB France) crée le 1er Baromètre Programmatique qui présente l’évolution du marché en 2020 (vs 2019) et les niveaux d’investissements programmatiques en France sur l’ensemble des environnements publicitaires excluant les wall garden, le social et le search.
Cette 1e édition du Baromètre Programmatique a été réalisée dans le cadre des travaux de la Task Force Programmatique pilotée par Philippe Framezelle, Directeur de la Régie Adverline et présentée le 4 février lors d’un webinaire.
Destiné à l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur, ce baromètre a pour objectif d’apporter plus d’insights et de lisibilité au marché par un suivi régulier de l’état des achats programmatiques en France.
Les données partagées dans ce baromètre ont fait l’objet d’une analyse approfondie menée par Adomik, technologie d’analyse de la data. Le Baromètre met en avant la répartition des achats programmatiques par format, device, type de deal et offre une vue sur les CPM, les top annonceurs et top bidders. Sur le périmètre mesuré, les investissements 2020 sont en diminution de -4,3% et le CPM moyen en programmatique se situe à 0,96€.
Pour la 1ère fois, le mobile est le device en tête des achats programmatiques.
On constate une chute des CPM lors du premier confinement qui n’a pas été confirmé lors du second avec une remontée des CPM sur le dernier trimestre.
La publicite TV segmentée - IAB France - Octobre 2020Romain Fonnier
L’AF2M, l’IAB France et le SNPTV s’associent pour publier un Guide sur « La publicité segmentée » destiné aux annonceurs
Elaboré par les experts des groupes de travail de l’IAB, de l’AF2M et du SNPTV, ce guide s’adresse à tous les annonceurs désireux de mieux comprendre les spécificités de cette nouvelle opportunité TV.
Les lecteurs y découvriront l’architecture technologique mise en place, ainsi que le calendrier de mise en œuvre jusqu’à fin 2021 avec les différentes étapes successives, les modes de réception compatibles avec ce type de publicité et enfin les échanges nécessaires entre les opérateurs de télécommunication et les éditeurs de chaînes de télévision. Par ailleurs, afin de clarifier et faciliter la compréhension de tous, un glossaire a été élaboré, reprenant les termes utilisés en matière de TV segmentée.
Ce Guide est disponible et téléchargeable dès maintenant sur les sites des 3 associations contributrices.
« Ce Guide a été construit afin d’aider les annonceurs à mieux comprendre la complémentarité entre la TV traditionnelle et la TV segmentée. Il exprime bien les nouvelles possibilités offertes aux marques sachant que les limites actuelles seront levées progressivement pour permettre le développement d’un nouveau marché. ». Isabelle Vignon, Déléguée Générale SNPTV.
« Nous sommes très heureux de nous être associés à l’AF2M et au SNPTV pour publier ce guide qui nous a semblé nécessaire alors que nous sommes au démarrage de la phase de convergence entre Télévision et Digital. Ce n’est que le début d’une nouvelle expérience publicitaire que tous les acteurs de l’adtech suivent avec attention. » Jacques Cazin, CEO Adways et responsable de la Task Force Vidéo & TV segmentée de l’IAB France.
« La Télévision, grâce au Digital et à la forte implication des Opérateurs, va offrir de nouvelles possibilités aux marques pour toucher leurs cibles. Opportunités qui feront naître, à n’en pas douter, de nouvelles approches ou stratégies de communication de la part d’annonceurs, grands ou petits. » Natalie Jouen Arzur, Déléguée Générale de l’AF2M.
Guide cookieless - Quel futur pour le cookie ? - IAB france - 2020Romain Fonnier
L’IAB France publie un guide sur le futur du ciblage sans cookies tiers
Elaboré par les experts du groupe de travail « Identity Cokieless » de l’IAB France, ce guide s’adresse principalement aux acteurs de l’industrie du marketing et de la communication en ligne qui s’interrogent sur l’avenir du cookie tiers et le devenir du ciblage publicitaire. Ce guide à vocation pédagogique s’adresse à un public désireux de mieux comprendre le fonctionnement des cookies, comment ils sont recueillis et activés à des fins de communication en ligne.
Les experts de la Task Force Identity Cookieless ont fait le point sur les solutions aujourd’hui envisagées à date. L’ensemble de ces réflexions est rassemblé dans un guide.
Une architecture claire et simple sous la forme d’intercalaires qui permet au lecteur de trouver rapidement les informations liées à chaque solution.
Augustin Decré, pilote de la Task Force Identity Cookieless et Managing Director Southern Europe d'Index Exchange précise: "Alors que beaucoup d’acteurs de l’industrie évoquent déjà la fin du cookie tiers pour 2022, il n’existe actuellement pas de solution idéale pour remplacer cet identifiant, qui reste, depuis 25 ans, une infrastructure essentielle pour l’ensemble de la publicité digitale. »
A ce jour, des questions subsistent encore, les entreprises de l’industrie restent mobilisées, sur le plan européen et international via le projet REARC de l’IAB, pour apporter de nouvelles solutions viables sur le long terme.
Des mises à jour régulières seront effectuées selon les nouvelles approches envisagées.
Un webinar sur le même thème, a été organisé par l’IAB France le 10 décembre dernier. Plus de 150 participants ont été réunis autour des 10 experts membres et pilotes des groupes de travail de la TF Identity Cookieless afin de présenter les grandes lignes du guide cookieless.
Smart lance son « Identity Indicator »
Dans un contexte où l’industrie de la publicité se prépare à un avenir sans cookie, Smart dévoile son Smart Indicator (disponible ici), un rapport conçu à destination des acheteurs médias et des éditeurs pour mieux comprendre l’impact de la dépréciation des cookies tiers et des ID mobile en temps réel. L’« Identity Indicator » de Smart offre un regard trimestriel sur les tendances émergentes autour du consentement et de l’identité, dans la transition vers un écosystème de publicité numérique privilégiant la confidentialité.
Toutes les données de ce rapport proviennent du SSP de Smart et ont été collectées du 8 au 28 mars 2021 sur l’inventaire web et/ou mobile de tous les éditeurs de Smart dans les marchés suivants : le Brésil, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Mexique, l’Espagne, le Royaume-Uni et les États-Unis.
Strategies and Opportunities for a Cookie-less World - Pubmatic - April 2021Romain Fonnier
Publishers and buyers agree: While the future of alternative solutions to the third-party cookie is still uncertain, there is tremendous opportunity for an addressable open internet and addressing the issue is a priority for many in 2021.
With the ad tech industry still evolving around the change in identity resolution, both publishers and buyers are taking stock of what their options are moving forward.
Le guide de la brand safety et brand suitability - SRI - 2021Romain Fonnier
En mars 2020, le marché publicitaire digital s’est resserré : le confinement a provoqué une réduction des campagnes, mais aussi une généralisation des filtres bloquant la publicité dans les contextes liés au Covid19. Cela a eu un impact conséquent sur la monétisation publicitaire des contenus premium. Cet épisode, qui a pénalisé directement les éditeurs et leurs régies, a révélé un grand besoin de clarification et de pédagogie en matière de brand safety. Dans cette perspective, les experts du SRI ont rassemblé leurs connaissances et pratiques du sujet dans un nouveau ‘Pense pas bête’ : le Guide de la brand safety et de la brand suitability.
Face à la dispersion des campagnes digitales, les annonceurs et leurs agences doivent s’assurer que les contextes de diffusion sont appropriés aux marques et que leurs campagnes ne financent pas des contenus universellement jugés indésirables (contenus illégaux, pornographiques ou incitant à la haine par exemple). Si ces pratiques ne sont pas nouvelles, les outils et les technologies de filtrage utilisés se sont récemment multipliés et complexifiés, et leur gestion induit parfois des effets contre-productifs. Les marques, pour ne pas associer associer leurs campagnes à des contenus inappropriés, peuvent actionner ces filtres à différents niveaux de la chaine publicitaire, notamment sur la base de mots clés, appelés aussi blacklists ou blocklists. Mais leur emploi, parfois maladroit, redondant ou excessif, impacte directement les volumes d’inventaires publicitaires disponibles sur les sites et de la même manière, l’efficacité des campagnes.
Aussi, comme il l’a déjà fait avec le programmatique, les cookies ou l’efficacité, le SRI propose dans un nouveau ‘Pense pas Bête’ de considérer cette légitime préoccupation des marques pour en donner une vue d’ensemble claire et pédagogique. Ce document est basé sur des entretiens avec de nombreuses parties prenantes - éditeurs, agences & tech - et réconcilie les visions sell side et buy side. En effet, pour que chacun puisse jouer efficacement son rôle dans la chaîne, il est essentiel de s’accorder sur une vision commune. C’est l’objet de ce guide qui permet de partager des définitions, de clarifier les rôles de chacun, de comprendre le fonctionnement des outils et de rassembler quelques bonnes pratiques et recommandations.
2019 Programmatic Advertising Ecosystem Europewww.improvedigital.comSales Houses & Ad NetworksAn outsourced capability to advertisers, agencies and content providers to sell and buy media. Sales Houses often work on an exclusive basis for content providers, selling both standard and customized advertising to advertisers and agencies. Ad networks may have a general approach or specialise in a certain area such as retargeting, audience targeting, mobile, video or affiliate marketing. Data Providers & TechnologiesData providers collect, compile and sell (anonymous) data on (online) consumers. The data management platforms manage, protect and collect the data from different online and offline sources and turn it into actionable information that can be used by buyers and sellers.AgenciesAn advertising agency or media agency is a service business dedicated to creating, planning, and handling advertising (and sometimes other forms of promotion) for its clients. An ad agency is independent from the client and provides an outside point of view to the effort of selling the client’s products or services. An agency can also handle overall marketing and branding strategies and sales promotions for its clients. (source: Wikipedia) Delivery Systems, Tools, Analytics, Verification & PrivacyDelivery systems, tools and analytics are the technologies that provide specific features to the advertising ecosystem. They ensure different types of ads are served, measured & validated, provide safety and privacy features to advertisers and content providers, offer unique targeting methods for advertising campaigns, provide simplified tag management or billing support. Agency Trading DesksThe specialised arms of larger media buying agency groups that use either proprietary technology or a demand side platform (DSP) to buy and optimise media and audiences, often in real time, on ad exchanges, ad networks, sell side platforms (SSPs) and other available inventory sources they are connected with.Selling TechnologiesTechnology platforms focused on enabling media owners to automate the selling of online media in real-time and maximizing their revenue. They offer an efficient, automated and secure way to tap into the different sources of demand that are available, manage yields and provide insight into the various revenue streams and audiences.
Le champ des possibles en matière d’optimisation des
performances susceptibles de rendre les campagnes
de publicité plus efficaces, est pour les annonceurs
comme pour les prestataires très étendu.
Chose inconcevable avec la publicité offline.
Ainsi, afin de pouvoir suivre les statistiques d’une
campagne online, un annonceur va intégrer à ses
liens de redirection des trackings qui permettront par
la suite l’étude des résultats sur un outil d’analyse
approprié et il pourra également arriver que
l’annonceur utilise deux outils d’analyse statistique,
voire, si un prestataire est impliqué dans la gestion
de la campagne, que ce dernier ajoute également son
propre outil d’analyse.
Malheureusement, il est très rare que l’on puisse
coordonner les différents outils de mesure afin de
permettre l’obtention d’informations communes.
De fait, les données varient le plus souvent au niveau
des clics et des impressions. Cela peut être parfois
source de désaccord entre les deux entités que sont
l’annonceur et le prestataire, tous deux impliqués
au même titre dans la campagne publicitaire.
Bien évidemment, force est de constater qu’il n’y a
pas d’outil d’analyse meilleur qu’un autre, et si les
données obtenues diffèrent souvent, c’est d’abord
que les méthodes et les facteurs d’analyse divergent
beaucoup d’un outil à l’autre.
À partir de quand faut-il essayer de comprendre
l’écart de statistiques ? Nous le verrons au travers de
ce document.
L'édition 2019 du Black Friday a été une fois encore le temps fort du secteur Retail
sur la fin d'année, véritable rampe de lancement de la période englobant Noël et
les soldes d'hiver. De plus en plus plébiscité par les marques et les internautes
(62% des internautes profitent du Black Friday selon un sondage BVA de novembre 2019), le Black Friday 2019 s'est distingué avec un démarrage précoce pour
certains marchands, anticipant d'une semaine la date "officielle" de lancement
afin de couper l'herbe sous le pied de la concurrence en proposant des offres très
agressives d'entrée de jeu.
De façon encore plus visible que lors des précédentes éditions, les soldes continuent de perdre en importance au profit du Black Friday, notamment sur les
secteurs de l'Habillement et de la High tech.
Le volume de business généré à l'occasion de ce temps fort en fait un moment clé
dans la stratégie d'affiliation des marchands qui peuvent s'appuyer à cette occasion sur des verticaux puissants et déclencheurs d'achat pour démultiplier leurs
ventes. L'écosystème des Editeurs a été tout particulièrement dynamique cette
année et a fait la part belle à l'innovation en proposant des dispositifs puissants
alliant personnalisation et performances.
Dans la présente étude, vous trouverez une analyse des principaux indicateurs
clés de performance par secteur d'activité ainsi qu'une vision affinée sur les 3
temps forts qui se se sont dégagés du Black Friday 2019: la semaine précédant le
jour J, le week-end du Black Friday et la CyberWeek qui a suivi.
Le Baromètre du Lead du CPA vous est présenté par les membres du Collège Lead du CPA, acteurs du
marketing digital et spécialistes de la génération de leads. Tous les résultats proviennent d’une étude menée
par les rédacteurs du Baromètre sur une période d’analyse des chiffres de Septembre 2018 à Août 2019 inclus.
Résultats – SONDAGES IAB / CPA – « Les conséquences économiques de la crise c...Romain Fonnier
Résultats des sondages IAB / CPA : «Les conséquences économiques de la crise covid-19»
A l’image de nombreux pays à travers le monde adoptant des mesures pour lutter contre la propagation du virus COVID-19 dont le confinement, l’économie française est gravement touchée et le digital ne fait pas exception. De nombreux secteurs ont besoin d’un soutien public pour traverser ces moments difficiles. Les gouvernements prennent des mesures de soutien de l’économie et d’anticipation de la reprise d’activité. Le digital ne doit pas en être exempté.
Dans le cadre de la crise sanitaire que nous traversons (Covid 19), le CPA et l’IAB ont réalisé un sondage auprès de leurs adhérents, afin de comprendre les principales préoccupations de l’industrie et les conséquences économiques de cette crise mondiale. Plus de 100 dirigeants d’entreprises représentatives des acteurs du marketing et de la publicité digitale en France (éditeurs, régies, agences, adtech, etc.) ont répondu au questionnaire entre le 7 et le 27 avril dernier.
Tracking : 7 points à vérifier pour comprendre les écarts statistiquesRomain Fonnier
Les annonceurs sont confrontés à des écarts de comptages croissants entre les technologies qu’ils utilisent dans le cadre de leurs campagnes marketing online. Ces écarts brouillent la mesure et l’analyse des performances des opérations mais posent aussi des soucis de facturation de plus en plus fréquents. Afin d’aider tous les acteurs de la chaine marketing digital à mieux cerner les raisons qui sont à l’origine de ces écarts et de leur donner les conseils de première urgence pour les réduire, nous, membres du Collège Technologie du CPA, avons rédigé ces fiches. Elles ont pour but de contribuer à faciliter la compréhension de notre industrie et, en expliquant les phénomènes, de poser des bases permettant à tous d’avoir un repère commun.
Baromètre de l'affiliation - Edition 2020 - CPA FranceRomain Fonnier
Le Baromètre de l’affiliation 2020 est l’outil de référence pour piloter et optimiser sa stratégie d’affiliation, tout au long de l’année.
Cette nouvelle édition de notre, désormais, incontournable baromètre de l’affiliation se veut
plus riche que jamais. Portée par les membres du CPA (Collectif Pour les Acteurs du marketing
digital), elle recouvre les 15 principaux secteurs d’activités de l’e-commerce en France.
L’affiliation est au cœur de la plupart des stratégies digitales d’acquisition et fidélisation des
annonceurs. Ce baromètre apporte donc un éclairage indispensable pour bien appréhender ce
levier clé du mix marketing à la performance.
IAB Europe european-programmatic-ad-spend-2018-report-sept-2019Romain Fonnier
European Programmatic Ad Spend Report 2018
The latest IAB Europe Programmatic Ad Spend Report reveals that programmatic revenue grew by 33 percent in 2018, topping €16.7bn, with more than 70 percent of display and more than 50 percent of video now traded via programmatic methods. Social media buying dominates programmatic, but when this medium is removed the market saw impressive growth of 26.6 percent, to a total of €5.5bn.
IAB Europe Attitudes-to-programmatic-advertising-report Sept-2019Romain Fonnier
IAB Europe Attitudes-to-programmatic-advertising-report-2019 sept-2019
Attitudes to Programmatic Advertising Report 2019
IAB Europe’s annual Attitudes to Programmatic Advertising Report is a comprehensive analysis of the European programmatic landscape, covering strategies and adoption trends, drivers of and barriers to growth, and forecasts for the future for 31 markets. The study, now in its fifth year, was developed by the IAB Europe Programmatic Trading Committee. The key findings of the 2019 study include:
There is a continued push for a quality and safe advertising environment
Ads.txt is well established amongst publishers but awareness and adoption on the buy-side is low
Talent and skills remain a barrier to investment
Supply chain transparency is still an issue
The number of advertisers with in-house operations for programmatic is now higher than the number that outsource to an agency
Programmatic continues to be a catalyst for delivering brand campaigns at scale
In light of GDPR, stakeholders are looking to use more first party data, private marketplaces and contextual targeting
21eme observatoire de l'e pub - sri - 2019Romain Fonnier
Cette étude de référence, initiée par le SRI et réalisée par le cabinet de conseil et d’audit PwC, en partenariat avec l’UDECAM, donne un éclairage indispensable sur le marché publicitaire digital et son écosystème, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices[1].
Le marché français de la publicité digitale atteint 4 876 M€de chiffre d’affaires net sur l’ensemble de l’année 2018, en progression de +17% par rapport à 2017.
Depuis 2008, le marché n’a cessé de croître et d’évoluer, au rythme soutenu de la digitalisation des médias, des audiences, des organisations et des annonceurs.
En 2018, la publicité digitale retrouve une vigueur jamais observée depuis 2009
Avec une croissance de 17% par rapport à 2017, le marché de la publicité digitale[2]compte pour 4 876M€ en 2018. En 10 ans, le marché a été multiplié par 2,5[3].
Sur l’ensemble de l’année :
Le Search progresse de 11%, il représente 45% du marché global et un CA net de 2 275M€
Le Display global connaît une croissance de 30% (1974M€), il représente 40% du digital mais son évolution est très contrastée :
Display Social : +63, soit 22% du marché global et un CA net de 1 088M€
Display hors Social : +5%, soit 18% du marché global et un CA net de 886M€
Les « Autres Leviers »sont quant à eux en croissance de +6%, ils représentent 15% du marché global, et leur CA net s’élève à 735M€ :
Affiliation : +7,5%
Comparateurs : + 6%
Emailing : +2%)
Les Médias dits « Historiques »représentent 16% du Display global et 36% du Display hors Social[4]
L’IAB France publie son premier guide sur la data qui fournit aux annonceurs, agences et éditeurs une vision claire des meilleures pratiques de la data. Qu’est-ce qu’une donnée ? A quels objectifs de campagne répond-t-elle ? Quels en sont les usages ? Les tendances ?
Dans un monde où les consommateurs et citoyens sont de plus en plus connectés, la data représente un enjeu majeur et un véritable levier de digitalisation pour les entreprises. La consommation des données et leur utilisation sont au coeur des préoccupations actuelles et représente un avantage concurrentiel pour les acteurs du marché ; la mise en place du RGPD en est la preuve et il nous a semblé pertinent de produire ce guide afin d’aider les lecteurs à identifier les bonnes méthodologies d’usages de la data.
Fruit de l’expertise et de la collaboration des entreprises expertes du réseau IAB France, ce guide présente une approche claire et simple des données pour en comprendre leur valeur et leurs usages dans les stratégies de marketing en ligne.
Perspectives du marché publicitaire 2012-2013 selon Omnicom Media Group
1. ONMEDIA
Dossier Décembre 2011
2012-2013 : perspectives du marché publicitaire
selon Omnicom Media Group
2011-2012 : croissance mondiale au ralenti
Dans son rapport publié en septembre dernier, le FMI prédit aux pays
occidentaux une croissance morose et craint, en envisageant le
scénario du pire, que la crise de la dette ne déstabilise le système
financier mondial. L'institution table au niveau mondial sur 4% en 2011
et en 2012 (contre 4,3% et 4,5% dans ses dernières prévisions de juin).
L’institution a abaissé ses prévisions pour Prévisions de croissance annuelle du PIB
la quasi-totalité des régions du Monde. 2011 et 2012 Source : FMI, septembre 2011
Parmi ses sources d'inquiétude, la zone
euro et les Etats-Unis se placent en
première ligne.
Aussi, par rapport à juin, les prévisions de
croissance ont été fortement abaissées
pour les USA (désormais 1,5% en 2011
contre 2,5 projetés il y a 3 mois) et la zone
euro (1,6% contre 2% en 2011 et 1,1 % en
2012 contre 1,7 %).
Les prévisions de croissance pour la
France sont également revues à la baisse :
1,7 % en 2011 (contre 2,1 %) et 1,4 % en
2012 (contre 1,9 %).
1
Ailleurs, la croissance est plus solide, mais
l’essoufflement aux États-Unis et dans la
zone euro pèse sur les perspectives.
Ce mois-ci, Anne THETIER - Directeur Général en charge du
Trading d’Omnicom Media Group - nous livre ses
prévisions d’investissements publicitaires pour 2012
& 2013 aux vues de différents scénarios.
Retrouvez également, de façon plus prospective, la vision de
Bertrand BEAUDICHON - Vice-président d’Omnicom
Media Group – sur le marché publicitaire.
2. En France, le manque de visibilité et la fragilité de l’économie
n’encouragent pas les annonceurs
L’été 2011 a été marqué par un regain d’incertitude en Europe (crise de la dette), ce qui
a entraîné une multitude d’éléments défavorables (montée des tensions sur les marchés
interbancaires, chute des bourses mondiales, dégradation du climat des affaires).
A cela s’ajoutent un ralentissement de l’économie Française, une montée du chômage 2
et une progression des dettes publiques… qui ont poussé le gouvernement à revoir
sa prévision 2012 de croissance : 1% vs 1,72%.
Le manque de visibilité de l’environnement économique crée de nombreuses
incertitudes. Les annonceurs sont aujourd'hui pris entre 2 stratégies opposées :
- Réduire les dépenses pour protéger l’équilibre financier de la société. Les dépenses
en communication étant souvent en première ligne.
-Renforcer la puissance de leurs marques pour gagner des parts de marché.
Dans ce contexte les annonceurs sont plus attentistes ne sachant pas forcément quelle
stratégie adopter. Ils attendent des prévisions plus fiables sur les évolutions des
tendances de consommation avant toute décision.
3. 2011 en France : le marché publicitaire se stabilise
Données Irep portant sur les recettes nettes des media
(après remises commerciales)
1er semestre 2011 : confirmation d’une reprise en douceur
+2,1% vs le 1er semestre 2010
• Le retour à un niveau d’investissement comparable à l’avant crise, semble se faire
plus lentement que prévu. Le marché prendra certainement plusieurs années pour
se remettre de la crise de 2009…
1er sem 2011 en M€ Evol. vs 1er sem.10
Télévision 1 720 +3,9%
Pub. Extérieure 602 +0,4%
Magazines 585 +1,3%
PQR 472 +1,1%
Internet 304 +15%
Radio 287 -0,5%
247 -11%
Presse gratuite
67 +11,3% TV : écrans et parrainage ;
Presse Spécialisée 203 -1,2% Magazines : publicité hors
Petites Annonces ; PQR :
PQN 129 -5,7% publicité + PA ; Internet :
PHR 65 +1,3% display ; Radio : Publicité
nationale ; Presse gratuite :
Cinéma 40 +40,5% dont presse info ; Presse
Total 4 721 +2,1% Spécialisée : Publicité + PA
; PQN : Publicité + PA ;
Mobile 16 +44,3% PHR : Publicité + PA ;
Total avec mobile 4 737 +2,2% Mobile : display
3
• Le marché publicitaire pour le moment n’a pas été impacté par la crise de cet
été : pour les membres de l’IREP, le mois de septembre s’orienterait de manière
favorable.
Au détail des secteurs, néanmoins, plusieurs dynamismes (base : données
brutes Kantar Media) : fort ralentissement des investissements publicitaires de la
grande consommation sur le mois de septembre, surtout en TV (fortes baisses
constatées en brut pour les secteurs Alimentation, Entretien & Boissons ; stabilité du
secteur Hygiène-beauté). Parallèlement : dynamisme des secteurs Automobile-
transport, Distribution (discours prix) et Etablissements financiers.
France Pub privilégie, sur le 2nd semestre, une tendance à la
continuité qui se traduirait par une hausse globale 2011 de
1% des dépenses de communication media des annonceurs.
4. 2012-2013 en France : quelles perspectives
pour le marché publicitaire ?
2012 sera une année riche en évènements, susceptibles de
dynamiser fortement les investissements publicitaires :
- Les Jeux Olympiques, mais surtout l’Euro de football, grands moments de
rassemblement, devraient booster les Français et leur consommation media (à l’image
de la Coupe du Monde de rugby cette année).
- L’arrivée du nouvel opérateur mobile Free dynamisera les investissements du
secteur Télécommunications.
- Des élections présidentielles françaises qui peuvent maintenir une période
d’attentisme sur le 1er semestre 2012…
Il ne faut donc pas s’attendre à une année 2012 très positive
pour le marché publicitaire.
Omnicom Media envisage 2 scénarios pour 2012 :
- Un scénario de stabilité modérée. Une meilleure tenue du marché au 2nd
semestre 2012 (boosté par l’Euro de Football, une reprise de l’économie européenne et
mondiale) permet de compenser le vide de communication du 1er semestre du aux
élections présidentielles.
-Scénario de poursuite de la crise. L’activité publicitaire, déjà peu dynamique sur
le début d’année, continue de fléchir à un rythme moyen soutenu jusqu’à la fin de 2012.
Si l’année 2012 se déroulait de cette façon, l’année 2013 devrait 4
être une année de reprise avec des niveaux d’investissements plus
soutenus.
Prévisions 2012 Prévisions 2013
Scénario de Scénario de
Scénario de reprise
stabilité modérée crise
TOTAL MEDIA 0,8% -1,5% 2,4%
Informations à caractère prévisionnel. Ces informations restent subordonnées à de nombreux facteurs et
incertitudes, qui pourraient conduire à ce que les chiffres qui seront constatés diffèrent significativement de
ceux présentés à titre prévisionnel. Omnicom Media Groupe ne prend aucun engagement de mettre à jour ou
de réviser les informations à caractère prévisionnel présentées dans cette présentation.
5. 2012-2013 en France : quelles perspectives
pour le marché publicitaire ?
Anne THETIER - Directeur Général en charge du Trading
d’Omnicom Media Group
« Des perspectives économiques courts termes peu rassurantes, un
référent 1er semestre 2011 avec notamment un janvier-février en très
forte évolution vs n-1 rendent peu encourageantes les prévisions
d’investissements sur la 1ère moitié de l’année 2012.
En effet , les annonceurs vont, à notre sens se monter extrêmement prudents dans
leurs engagements financiers avec cette conjoncture de fébrilité économique,
phénomène accentué par les élections présidentielles qui sont historiquement des
périodes où la volonté de visibilité dans les media est amoindrie.
Nous prévoyons donc des investissements ralentis en 2012 de façon plus ou moins
marquée suivant le contexte du 2nd semestre. Cependant les différents media ne
seront pas impactés de la même façon.
Ainsi le media internet devrait continuer à être le media qui connait la plus forte
évolution (avec notamment une forte croissance des investissements sur la vidéo) et le
nouveau canal, le mobile devrait voir doubler ses investissements en 2012.
Le media le plus investi, la TV pourrait, si le scenario de crise se poursuit sur le
second semestre connaître une évolution négative et dans tous les cas de figure une
progression peu importante.
La presse et l’affichage, media déjà les plus attaqués par la montée du web
pourraient connaître une décélérations encore plus marquée.
La radio , « media de crise » devrait au pire stabiliser ses investissements ». 5
Prévisions 2012 Prévisions 2013
Sc. de stabilité modérée Scénario de crise Scénario de reprise
TV 1,5% -1% 2,5%
Cinéma 25% 10% 30%
Radio 1% 0% 2%
Internet 7% 5% 8%
Presse -1% -3% 0%
Pub. Ext 0% -1% 1%
Mobile 100% 50% 50%
TOTAL 0,8% -1,5% 2,4%
Informations à caractère prévisionnel. Ces informations restent subordonnées à de nombreux facteurs et
incertitudes, qui pourraient conduire à ce que les chiffres qui seront constatés diffèrent significativement de
ceux présentés à titre prévisionnel. Omnicom Media Groupe ne prend aucun engagement de mettre à jour ou
de réviser les informations à caractère prévisionnel présentées dans cette présentation.
6. La vision d’Omnicom Media Group
Bertrand BEAUDICHON
Vice-président d’Omnicom Media Group
« On ne sait pas comment l’économie mondiale va se comporter dans les mois qui
viennent. On ne sait pas comment la crise de la dette Européenne va impacter
durablement la croissance de la vieille Europe. On ne sait pas si les paradoxes actuels,
faisant qu’on considère un pays comme l’Italie ou la France comme moins solvable que
nos concitoyens souscrivant un prêt immobilier, au regard des taux d’intérêts appliqués
aux uns et aux autres, vont perdurer. On ne sait pas quelle recette pour le
désendettement ressortira en France des élections présidentielles. Enfin, on ne sait pas
à quel point la croissance des pays émergents va permettre de financer le
ralentissement des autres économies.
On ne sait au fond vraiment que deux choses : il y a toujours eu un lien direct entre le
développement du PIB et les dépenses de communication, représentant environ 2% du
PIB français en 2010, et l’attentisme en matière de dépenses de communication peut
générer, pour l’économie nationale, l’accélération de la décroissance, et pour les
Marques, l’affaiblissement pour le moyen terme.
On l’a bien vu pendant la crise de 2009, les Marques qui ont maintenu leurs
investissements sont celles qui, aujourd’hui, sont les plus fortes devant les incertitudes
qui se présentent pour 2012. Et les résultats de ces marques-là sont aujourd’hui
suffisamment solides pour affronter au mieux les incertitudes qui se présentent. 6
La crise à venir ne changera pas cette donne : 100% des gagnants auront tenté
leur chance, et désinvestir aujourd’hui réduirait les ventes de demain, et le capital
de Marque pour après demain ».
En charge de ce dossier et à votre disposition pour répondre à vos questions :