On observe en France un recul sur le long terme des effectifs d’ovins allaitants. Cependant, la
production de viande ovine est relativement stable depuis plusieurs années. La filière française
continue d’importer une grande partie de la viande ovine consommée et reste donc un pays
déficitaire. Du côté des brebis laitières, le cheptel se maintient. Il demeure très concentré dans les
bassins de production AOP dans lesquels il existe des collectes structurées mais tend aussi à se
développer en dehors de ces bassins sur des élevages le plus souvent en transformation fermière.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
Enquête téléphonique réalisée par l’Institut Médiamétrie
du 7 au 25 septembre 2015.
- 3 681 dirigeants d’établissements de moins de 500 salariés en Ile-de-France
- 719 dirigeants d’établissements de moins de 500 salariés sur les autres régions
- 101 dirigeants d’établissements de 500 salariés et plus en Ile-de-France
- 102 dirigeants d’établissements de 500 salariés et plus sur les autres régions
On observe en France un recul sur le long terme des effectifs d’ovins allaitants. Cependant, la
production de viande ovine est relativement stable depuis plusieurs années. La filière française
continue d’importer une grande partie de la viande ovine consommée et reste donc un pays
déficitaire. Du côté des brebis laitières, le cheptel se maintient. Il demeure très concentré dans les
bassins de production AOP dans lesquels il existe des collectes structurées mais tend aussi à se
développer en dehors de ces bassins sur des élevages le plus souvent en transformation fermière.
Pour chaque système laitier suivi, le résultat courant 2020 est estimé en baisse. Celle-ci paraît limitée pour les élevages des montagnes de l'Est spécialisés en AOP. Mais elle est beaucoup plus forte pour les systèmes mixtes avec cultures notamment. Les explications sont multiples, depuis l'érosion du prix payé pour le lait hors SIQO (il est stable en bio) jusqu'aux effets des sécheresses estivales récurrentes. Côté produits, ceux de la viande sont en baisse (prix de veau nourrisson et de la réforme laitière), y compris dans les ateliers joints (prix des jeunes bovins ou des broutards quand il y a des vaches allaitantes), de même que les ventes de céréales, faute de rendement. Côté charges, la baisse des prix des carburants et engrais a été loin de compenser la hausse des achats de fourrages, de concentrés voire de paille suite à la sécheresse. D'autant qu'aucune aide exceptionnelle du fond calamités au titre de 2020 n'avait encore été décidée au moment du bouclage de ce chapitre !
Enquête téléphonique réalisée par l’Institut Médiamétrie
du 7 au 25 septembre 2015.
- 3 681 dirigeants d’établissements de moins de 500 salariés en Ile-de-France
- 719 dirigeants d’établissements de moins de 500 salariés sur les autres régions
- 101 dirigeants d’établissements de 500 salariés et plus en Ile-de-France
- 102 dirigeants d’établissements de 500 salariés et plus sur les autres régions
Résumé de la note
# Managem a pu redresser significativement ses ratios opérationnels durant 2009 après avoir subi d'importantes pertes sur les exercices 2007 et 2008.
# La reprise des marchés des métaux confirmée en 2010 serait de bonne augure quant à l'évolution des résultats de Managem.
# Cependant et malgré ces signaux positifs, nous jugeons que le cours actuel évoluant autour des 503 DH (soit +110% depuis le début de l'année) dépasse largement (soit +20%) le niveau de notre cours théorique de 400 DH.
# Ainsi, nous renouvelons notre recommandation de VENDRE si toutefois le cours reste supérieur à 460 DH.
Rencontrez les sur les stands I-5 19 à 23
BRETAGNE FILIERES
ELVOR - SOFIVO
GROUPE BRETAGNE LASER
LABBE ROTIEL
SODALEC DISTRIBUTION - SODIS
SPACE
VILOFOSS CALCIALIMENT
MX
Intervention de Ph. Chotteau (responsable du département Economie - GEB) au CA idele du 14/04 2022
La forte hausse des prix des matières premières tout au long de l’année 2021 et début 2022 s’est transformée en véritable flambée au lendemain de l’invasion russe de l’Ukraine. La présente note vise à évaluer l’impact de la hausse des coûts sur 3 postes particuliers : aliments achetés ; carburant et travaux par tiers ; engrais de synthèse sur les différents systèmes d’élevage ruminant.
Face à la volatilité des marchés, nous avons choisi de construire 2 jeux d’hypothèses de prix et d’en calculer l’impact toutes choses égales par ailleurs sur les élevages spécialisés : bovins lait ; bovins viande ; ovins viande ; ovins lait et caprins, au sein de l’échantillon des élevages suivis dans le Réseau INOSYS. Rappelons à ce sujet que cet échantillon est construit pour sélectionner des fermes aux performances technico-économiques bien supérieures à la moyennes des fermes françaises.
Ces impacts sont établis en € par 1000 l de lait ou par kg de viande. Ils sont aussi comparés aux revenus par UMO estimés en 2021. Enfin, pour faciliter les calculs selon les variations ultérieures des cours des matières premières, ils sont exprimés relativement à une variation de 10 cts/l de GNR, ou de 100 € par tonne d’aliment acheté ou d’engrais azoté.
La filière automobile française est confrontée à des défis considérables : le changement de regard que la société porte à une mobilité qui doit devenir « durable », les progrès technologiques indispensables pour aboutir au véhicule « propre » et la concurrence mondiale de plus en plus pressante.La transition sera réussie si elle permet simultanément de faire face aux difficultés immédiates rencontrées par les constructeurs français sur le territoire national et de se préparer au futur de l’automobile.Les recommandations de cet avis s’attachent ainsi tout particulièrement à la mise en synergie des efforts de l’ensemble des acteurs concernés au sein d’une véritable filière au service d’un maintien du site de production France et donc de l’emploi.
Oz et Pumagri sont des robots testés ou développés par les Chambres d'agriculture pour désherber mécaniquement les cultures et réduire la pénabilité.
Intervenant / Structure : Frédéric Gauhtier Chambres d'agriculture
"L’Evo Cleaner, fabriqué par la société Suédoise Envirologic, est un robot de lavage connecté qui fonctionne en mode «par apprentissage». Bien
programmé, il pourra laver jusqu’à 95 % d’une salle (plafond compris). Moyennement programmé, il lavera tout de même au moins 70 %."
Intervenant / Structure : Yannick HERVÉ RV BIOTECH
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Similaire à Session Chambre d'agriculture du Morbihan 25 septembre 2012
Résumé de la note
# Managem a pu redresser significativement ses ratios opérationnels durant 2009 après avoir subi d'importantes pertes sur les exercices 2007 et 2008.
# La reprise des marchés des métaux confirmée en 2010 serait de bonne augure quant à l'évolution des résultats de Managem.
# Cependant et malgré ces signaux positifs, nous jugeons que le cours actuel évoluant autour des 503 DH (soit +110% depuis le début de l'année) dépasse largement (soit +20%) le niveau de notre cours théorique de 400 DH.
# Ainsi, nous renouvelons notre recommandation de VENDRE si toutefois le cours reste supérieur à 460 DH.
Rencontrez les sur les stands I-5 19 à 23
BRETAGNE FILIERES
ELVOR - SOFIVO
GROUPE BRETAGNE LASER
LABBE ROTIEL
SODALEC DISTRIBUTION - SODIS
SPACE
VILOFOSS CALCIALIMENT
MX
Intervention de Ph. Chotteau (responsable du département Economie - GEB) au CA idele du 14/04 2022
La forte hausse des prix des matières premières tout au long de l’année 2021 et début 2022 s’est transformée en véritable flambée au lendemain de l’invasion russe de l’Ukraine. La présente note vise à évaluer l’impact de la hausse des coûts sur 3 postes particuliers : aliments achetés ; carburant et travaux par tiers ; engrais de synthèse sur les différents systèmes d’élevage ruminant.
Face à la volatilité des marchés, nous avons choisi de construire 2 jeux d’hypothèses de prix et d’en calculer l’impact toutes choses égales par ailleurs sur les élevages spécialisés : bovins lait ; bovins viande ; ovins viande ; ovins lait et caprins, au sein de l’échantillon des élevages suivis dans le Réseau INOSYS. Rappelons à ce sujet que cet échantillon est construit pour sélectionner des fermes aux performances technico-économiques bien supérieures à la moyennes des fermes françaises.
Ces impacts sont établis en € par 1000 l de lait ou par kg de viande. Ils sont aussi comparés aux revenus par UMO estimés en 2021. Enfin, pour faciliter les calculs selon les variations ultérieures des cours des matières premières, ils sont exprimés relativement à une variation de 10 cts/l de GNR, ou de 100 € par tonne d’aliment acheté ou d’engrais azoté.
La filière automobile française est confrontée à des défis considérables : le changement de regard que la société porte à une mobilité qui doit devenir « durable », les progrès technologiques indispensables pour aboutir au véhicule « propre » et la concurrence mondiale de plus en plus pressante.La transition sera réussie si elle permet simultanément de faire face aux difficultés immédiates rencontrées par les constructeurs français sur le territoire national et de se préparer au futur de l’automobile.Les recommandations de cet avis s’attachent ainsi tout particulièrement à la mise en synergie des efforts de l’ensemble des acteurs concernés au sein d’une véritable filière au service d’un maintien du site de production France et donc de l’emploi.
Similaire à Session Chambre d'agriculture du Morbihan 25 septembre 2012 (20)
Oz et Pumagri sont des robots testés ou développés par les Chambres d'agriculture pour désherber mécaniquement les cultures et réduire la pénabilité.
Intervenant / Structure : Frédéric Gauhtier Chambres d'agriculture
"L’Evo Cleaner, fabriqué par la société Suédoise Envirologic, est un robot de lavage connecté qui fonctionne en mode «par apprentissage». Bien
programmé, il pourra laver jusqu’à 95 % d’une salle (plafond compris). Moyennement programmé, il lavera tout de même au moins 70 %."
Intervenant / Structure : Yannick HERVÉ RV BIOTECH
Le Peek enregistre des images et vidéos des animaux, et est équipé de capteurs : température, hygrométrie, pression atmosphérique, CO2, NH3, vitesse d’air, luminosité. Ces données de capteurs sont
transmises en permanence sur la plateforme de Copeeks pour élaborer des synthèses enrichies de l’exploitation. Un système de notification permet d’alerter des dépassements de seuil.
Les contenus multimedia permettent de garder un oeil à distance
Intervenant/Structure : Julie Champion COPEEK
"Par analyse d’images, le smart Tracking permet de géolocaliser les porcs en temps réel dans leurs
parcs. Il est ainsi possible d’analyser le comportement des porcs : calculer la distance parcourue par chacun, déterminer leur vitesse de déplacement, mesurer le temps passé à se nourrir, à dormir et déclencher une alerte quand des signes avant-coureurs de problèmes
(agressions, maladies, blessures…) ont été détectés."
Intervenant/Structure :Yannick HERVÉ RV BIOTECH
La traite est une activité majeure en élevage laitier et elle est source de questionnement. Elle constitue l’astreinte prioritaire et a un impact sur la santé du trayeur, la santé des animaux, et l’économie de l’exploitation. Son automatisation totale est possible et réalisée depuis de nombreuses années. Cela n’est pas sans conséquence sur l’organisation du travail, la pression mentale liée au fonctionnement continu, sur les coûts de fonctionnement et la possibilité de maintenir une part de pâturage importante.
Intervenant/Structure : Sébatien Guiocheau Chambres d'agriculture
Le Pig’insight est un concept regroupant plusieurs automates commercialisé par la société Asserva. Co-developpé avec l’Ifip, le premier objectif est de rendre possible la détection précoce de pathologie. Le concept est basé sur l’enregistrement des comportements individuels d’abreuvement et d’alimentation des porcelets, en plus de leur poids.
Intervenant/Structure : Michel Marcon - IFIP
Avec l’émergence de l’agriculture de précision, un certain nombre de techniques sont déjà devenues accessibles. Par exemple, le GPS-RTK qui équipe les tracteurs est de plus en plus courant. Cependant, pour
passer vers une autonomie totale des équipements, des verrous techniques existent encore : comme la gestion de la sécurité en environnement ouvert.
Intervenant/Structure : Frédéric Gauthier Chambres d'agriculture
"Le numérique n’est pas en reste dans le projet de ce jeune éleveur. Comptage de l’eau et de l’aliment, pesage automatique des volailles, températures, hygrométrie, dioxyde de carbone, sont autant d’indicateurs qu’il faut prendre en compte dans le pilotage d’un tel élevage. Un gros travail d’analyse statistique des données issues des capteurs reste à faire pour faire progresser la filière et cette révolution numérique devrait permettre de mettre au point de nouveaux outils prédictifs.
Intervenant/Structure : Jeremy Choquet ELEVEUR
"Les évolutions en cours sur la station de Crécom vont dans le sens de collecter un maximum de données sur les animaux et les bâtiments . Cet objectif repose sur
l’identification individuelle de tous les animaux pour générerdes fichiers de performance sindividuelles en lien avec les équipements connectés. L’installation de logiciels de supervision permet également de piloter finement les bâtiments. L’accès permanent aux données est possible depuis des smartphones. "
Intervenant/Structure : Frédéric Kergourlay Chambres d'agriculture
Applifarm est une plateforme permettant la collecte, l’organisation et l’exploitation des données agricoles. Applifarm a souhaité proposer une plateforme de traçabilité dédiée au bien-être anima. Elle permet de simplifier la mise en oeuvre des projets consacrés au bien-être animal, de numériser les audits terrain qui peuvent êtreautoalimentés par les données de fournisseurs de service ou d’objets connectés, de suivre l’avancement des audits, de piloter des plans de progrès ou des tableaux de bord.
Intervenant/Structure : Emmanuel Etesse APPLIFARM
En maitrisant toute la chaine de valeur (du capteur à l’éleveur), Tuffigo Rapidex a développé tout un panel de services sécurisés à destination de l’éleveur et de ses partenaires. Permettant d’accéder aux données, l’éleveur dispose d’un tableau de bord disponible sur smartphone ou ordinateur lui permettant de suivre en temps réel plusieurs paramètres clés de son élevage : mesures d’ambiance, stock d’aliment, consommations (aliment, eau, gaz, électricité) et poids des animaux. L’éleveur peut aussi piloter à distance ses bâtiments et envoyer des instructions aux ordinateurs.
Intervenant/Structure : Philippe ROSLAGADEC TUFFIGO RAPIDEX
ALAMO est une Gateway IoT (Internet of Things pour objetsconnectés), une passerelle, un concentrateur multi-protocole radio, évolutive, en d’autres termes une centrale de raccordement pourtous les équipements connectés de l’exploitation quelle quesoit la marque.
Intervenant/Structure : Christophe Le Gouestre - Euro Process
Passionné par le numérique et les objets connectés, Olivier PENN s’est équipé de différents capteurs et systèmes de surveillance des cultures, afin de réduire les intrants et optimiser les rendements sur des sols hétérogènes. Ces divers équipements ont un coût, qui est couvert par la réduction d’intrants de synthèse. Cette agro technologie sert à l’environnement, améliore le confort en réduisant le temps de travail, et donc à la multi-performance de l’entreprise.
Intervenant/Structure : Olivier Penn -AGRICULTEUR
"L’identification des boucles électroniques fait partie des instruments de
modernisation de l’élevage : automatisation, fiabilisation, sécurité et
rapidité des prises de données, gestion d’un individu, etc."
Intervenant/Structure : Rémi Monnet – ALLFLEX Livestock Intelligence
Le projet Kemtag a débuté lors d’une rencontre avec la FRCUMA et des responsables de CUMA. Pour répondre au besoin du terrain, la société Kemtag a décidé de concevoir un système complet de suivi d’activité des outils agricoles.
Intervenant/ Structure : David Vandenberghe KEMTAG
Le choix des capteurs par un même intervenant pourra répondre à différents besoins pour : un contrôle ponctuel ou un enregistrement en continu ; un seul bâtiment ou mobilisable sur plusieurs sites d’élevage et le pilotage ou une vérification règlementaire. Une bonne définition des besoins conditionnera la bonne valorisation des données collectées
Intervenant / structure : Paul Robin et Melinda Hassouna INRA
En s'inscrivant dans l'agriculture de précision, les agriculteurs abordent l'approche systémique de l'exploitation. Où en sommes-nous sur l'acquisition des données #IOT, sur le stockage #BIGDATA et l'utilisation de l'intelligence artificielle #IA.
Intervenant / structure: Xavier l'hostis ADVENTIEL
Le maraîchage se caractérise par la production d’une gamme importante de légumes sur une petite surface de production et est en général basé sur un mode de commercialisation en circuits courts.
Les maraîchers étant au contact direct des consommateurs sont très régulièrement ques-tionnés sur leurs pratiques phytosanitaires. Ils souhaitent pour la plupart réduire l’usage des produits de traitement pour répondre à cette demande sociétale ainsi qu’aux enjeux environne-mentaux et de santé dont ils ont pleinement conscience.
S’engager dans des projets de 3 ans pour modifier ou consolider les pratiques et viser à la fois des objectifs économiques, environnementaux et sociaux.
Utiliser le groupe et les échanges entre agriculteurs comme source d’innovations, de solutions et de progrès.
Travailler sur une thématique prioritaire et chercher les solutions adaptées aux contraintes et objectifs des exploitations.
S’enrichir d’apports extérieurs et diffuser les résultats du groupes le plus largement possible.
Concevoir, expérimenter et évaluer des systèmes de vergers agroécologiques visant la double performance économique et environne-mentale.
Réduire les fongicides qui représentent la part la plus importante des traitements.
Verger cidricole de demain : effets des mélanges variétaux sur la maîtrise de...
Session Chambre d'agriculture du Morbihan 25 septembre 2012
1. Chambre d’Agriculture du Morbihan
SESSION du 25 Septembre 2012 )
BILAN ET PERSPECTIVES DE LA
FILIERE AVICOLE FRANCAISE
Préparer les terrains de l’avenir
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
2. La filière avicole française
dans le contexte européen et
mondial
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
3. Production mondiale
Production mondiale de viandes :
la volaille franchit les 100 MT en 2011
Porc
120
110 MT
Volailles
100
101 MT
80
Bœuf
60
65 MT
40
20
0
65 70 75 80 85 90 95 00 05 10
Source : ITAVI novembre 2011
Formation avicole – 7 septembre 2012
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
4. La Production Française
Déclin sur 10 ans de la production française
Source : ITAVI , commission européenne , SSP
Formation avicole – 13 Janvier 2012 d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
Session Chambre
5. 4 grands bassins de production
Répartition départementale de la Evolution production
production de volailles de chair en 2008 2000/2010
+3%
Le grand bassin Le Nord :
Ouest : • 7 % de la production
• 73 % de la • Majorité de la
production production abattue en
• Poids important Belgique et Allemagne
de la dinde (30 %)
- 22 %
Le Sud-Ouest :
- 26 %
• 7 % de la
production
Le Sud-Est :
- 18 % • La moitié de la
• 11 % de la
production de
production
poulet est sous
label • 20 % de poulets
Source ITAVI : caractéristique des exploitations avicoles en 2008 label
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
6. Illustration de la perte de vitesse
de la France
En 10 ans :
France, -20 %
Allemagne, +70 %
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
7. Déclin structurel en lien avec la perte
de marchés dans l’UE et les pays tiers
Solde des échanges commerciaux français sur 12 mois glissant
téc
1 200 000
1 000 000
800 000
600 000
400 000
200 000
0
ju 96
ju 97
jui 8
jui 9
ju 00
ju 01
ju 02
jui 3
jui 4
ju 05
ju 06
ju 07
jui 8
j u 09
dé 10
j u 10
dé 11
11
dé 97
dé 98
dé 99
dé 00
dé 01
dé 02
dé 03
04
05
dé 06
dé 07
dé 08
09
9
9
0
0
0
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
c-
-
c-
-
c-
-
-
n-
n-
-
-
-
n-
n-
-
-
-
n-
in
in
in
in
in
in
in
in
in
in
dé
dé
dé
dé
Solde Exportations Importations
Source : CA 56 d’après Agreste
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
8. Les Echanges Français
Dégradation des échanges français
Déficit des échanges de volailles en intra UE
TEC
600 Solde UE
Milliers
500 Solde Pays tiers
400
300
200
100
ECHANGE EXCEDENTAIRE
ECHANGE
-100 DEFICITAIRE
-200
97 98 99 00 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10
Source : ITAVI , commission européenne , SSP
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
9. La Consommation Française
En 2010 un Français consomme:
-24.8 kg de volaille /an
-14.8 Kg de poulet, 5 kg de dinde, 3.1 kg de canard
Progression des achats de 4.4 % en 2010, 0.4 % en 2011
Une progression qui profite à l’importation
Export / production poulet
60%
Import / conso poulet
50%
40%
30%
20%
10%
0%
90 92 94 96 98 00 02 04 06 08 10
Formation avicole – 13 Janvier : 2012 douanes du Morbihan du 25.09.2012
Source ITAVI ,
Session Chambre d’Agriculture
10. Echanges français de dinde
Source : FranceAgriMer d’après Douanes
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
11. Evolution du solde des échanges de la dinde
française (1 000 tec)
• Forte baisse de la production française de dinde, passant de 750 000 tec en
2001 à 409 000 tec en 2010
• Plus des 2/3 de cette baisse est due à une baisse à l’export
2001 2010
315
300
UE
200
100 76
Pays
UE
tiers
0
Pays
Source : CA 56 d’après Agreste tiers
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
12. Exportations françaises de poulet
Source : FranceAgriMer d’après Douanes
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
13. Le poulet en France en 2010 (1 000 tec)
Production Consommation
Exportations Importations
française française
52
1 046 994
UE -50 M€ UE
134
358
437 385
Pays tiers
303
609 609 Pays tiers
27
Source : CA 56 d’après Agreste Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
14. Evolution du solde des échanges du poulet
français (000 tec)
• Le poulet a connu un effondrement de son solde avec l’UE
2001
2010
300 283
UE
200
Pays Pays
100 tiers tiers 52
Solde
0
100
UE
200
Source : CA 56 d’après Agreste Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
15. Solde des échanges français de
poulet avec l’UE à 27
Source : FranceAgriMer d’après Douanes
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
16. Importations françaises de
poulet vers L’UE à 27
Source : FranceAgriMer d’après Douanes
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
17. Comparaison des coûts – volaille
La France reste compétitive sur le coût du vif
malgré des performances techniques moyennes médiocres.
Elle perd son avantage concurrentiel.
Pays Bas Allemagne France
Coût de l'aliment €/T 262 262 250
Poussin 1 j
30,10 31,00 28,80
€/100 poussins
Poids Vif kg 2,17 2,13 1,90
IC 1,69 1,74 1,83
Mortalité 4,10% 4,00% 4,20%
Coûts totaux
78,5 82,1 80,4
Centimes €/kg vif
Source : ITAVI , LEI donnée 2009
Formation avicole – 13 Janvier 2012 d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
Session Chambre
18. Comparaison des coûts – volaille
La France mal placée sur les coûts aval
Pays Bas Allemagne France
Coûts totaux
78,5 82,1 80,4
Centimes €/kg vif
Centimes €/kg mort Pays Bas Allemagne France
Coûts vif 112 117 115
Couts d'abattage 30 30 40
Total Général 142 147 155
Indice PB 100% 103% 109%
Source :enquete ANDI ITAVI , LEI donnée 2009,
Formation avicole – 13 Janvier 2012 d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
Session Chambre
19. En résumé
• Une consommation mondiale et française en croissance
• La production française, largement en tête de l’UE en 2000, est
aujourd’hui rattrapée par l’Allemagne
• La filière poulet a maintenu ses exportations (en congelé) vers les
pays tiers mais a vu ses importations en provenance de l’UE croître
fortement
• La filière dinde a vu ses exportations baisser vers l’UE et les pays
tiers
• Une des principales causes de ce déclin : la concurrence d’autres
pays de l’UE, plus compétitifs, notamment au niveau du maillon
industriel
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
20. Situation de la filière
avicole bretonne en 2012
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
21. Production bretonne de viandes
de volailles de chair
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
23. Situation du Parc bâtiment breton de 2000 à
2010
6 000 000 m2 en 2010
Par département
Total par Moyenne/
bâtiment bâtiment
Morbihan 1.554.671 m2 1 834 m2
Côtes 1 080 997 m2 1727 m2
4.240 500 m2 d’Armor
en 2010 Finistère 1 059 558 m2 2392 m2
Ille et Vilaine 541 297 m2 1114 m2
Source RA 2010
Le Morbihan représente
Perte 1.759 500 m2 36 % du Parc Bâtiment Régional
- 30 % en 10 ans
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
24. Les sept 1ers groupes volaillers
français en 2010
Nom CA volaille Tonnage Nombre de Marques Présence en
Millions € sites Bretagne
LDC 1 981 630 000 50 dont 4 en Le Gaulois, Volailles fermières de Loué, de X
Bretagne l'Argoat, La Toque Angevine, Maître Coq etc.
Doux 1 407 19 dont 6 en Doux, Père Dodu, Cœur de Bretagne, Volailles X
Bretagne Fermières d'Auvergne etc.
Gastronome 745 191 531 14,dont 2 enen
14 aucun Douce France, Gastronome, Volailles
X
Bretagne Fermières d'Ancenis etc.
Euralis 460 20 000 5, aucun en Monfort, Rougié, Bizac
Gastronomie Bretagne
Glon Volailles 278 121 650 5, tous en Marques clients X
Bretagne
Delpeyrat 225 21 500 8, aucun en Delpeyrat, Sarrade
Bretagne
Ronsard 175 58 000 6 dont 3 en Ronsard, Le Minaret, Volailles Fermières de X
Bretagne Bretagne etc.
Source : Chambre d’Agriculture 56 d’après Filières avicoles mai 2011
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
25. Cinq filières avicoles bretonnes
plutôt qu’une seule
• Filière « poulet export pays tiers »
• Filière « poulet marchés France et UE »
• Filière « dinde marchés France et UE »
• Filière « autres espèces »
• Filière « produits élaborés de volaille »
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
26. Des implications différentes des entreprises
selon les filières
Poulet
Dinde
Filières avicoles Poulet frais Autres Produits Effectif
France -
bretonnes export France - espèces élaborés Groupe
UE
UE
DOUX X X X X X 2 296
LDC X X X X 1 285
GLON X X X 902
TRISKALIA X X X 756
TERRENA X X 592
TILLY-SABCO X 313
DUC X 233
PORHOËT VOLVICO X X 223
SOCAVOL X X 117
BELDIS PENALAN X X 122
EVEN X 141
SAVEL X 106
Volailles du Poher X 85
INTERMARCHE X 43
CECAB X 33
ARNAL X 17
Source : Observatoire économique des IAA de Bretagne, 2011
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
27. Répartition des emplois industriels
dans les 5 filières volailles
Produits élaborés de Poulet export pays
volailles tiers
25% 13%
Poulet marchés
France et UE
21%
Autres espèces
14%
Dinde marchés France
et UE
27%
Source : Estimation Observatoire économique des IAA de Bretagne, 2011
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
28. Abattage, transformation de la viande
de volaille : évolution de l’emploi
• Environ 6500 emplois permanents en 2011 (hors produits
élaborés)
• Environ 4 000 emplois perdus en 10 ans
Série CVS
120
110
Indice 100 en série brute au 4ème trimestre 2001
100
90
Entre fin 2001
80
et mi-2011 :
70
- 41,5 %
60
50
2001Q4
2002Q1
2002Q2
2002Q3
2002Q4
2003Q1
2003Q2
2003Q3
2003Q4
2004Q1
2004Q2
2004Q3
2004Q4
2005Q1
2005Q2
2005Q3
2005Q4
2006Q1
2006Q2
2006Q3
2006Q4
2007Q1
2007Q2
2007Q3
2007Q4
2008Q1
2008Q2
2008Q3
2008Q4
2009Q1
2009Q2
2009Q3
2009Q4
2010Q1
2010Q2
2010Q3
2010Q4
2011Q1
2011Q2
Source : Insee, estimations d'emploi Source : Observatoire économique des IAA de Bretagne, CRAB
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
29. Filière volaille :
principaux acteurs en 2011 Doux
LDC
Glon
Triskalia
Terrena
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30. 30
Les 6 caractéristiques de l’aviculture
Morbihannaise
1. La filière avicole : un rôle majeur dans l’aménagement
du territoire.
2. Une dualité marquée sur le profil d’exploitation et de
production par espèce.
3. Une démographie «équilibrée » porteuse d’avenir.
4. Des bâtiments âgés et peu rénovés.
5. Des revenus variables par atelier.
6. Un retard dans la restructuration des ateliers vis-à-vis
de la filière laitière ou porcine.
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
32. 32
Une dualité marquée sur le profil d’exploitation
et la production par espèce.
2.1 Deux profils types pour des exploitations avicoles morbihannaises
50% en spécialisés, 50 % en mixte.
Système d’exploitation Potentiel de production
Profil Vol. Chair Nombre SAU Surf. moyenne
Autres
Exploitations moyenne Bâtiments 11.8%
Spécialisés VC 372 33.8 ha 2 077 m2
Bovins + Vol. Chair 373 75.1 ha 1 609 m2
Autres + Vol. Chair 116 69.2 ha 1 566 m2
Total Morbihan 861 56.4 ha 1 816 m2
Spécialisés Mixte : Lait + Vol. Chair
Mixtes : Spécialisés
Lait + V. Chair 49.9%
• 2 bâtiments ou plus • Plutôt 1 bâtiment, parfois 2
38.3%
• Surface d’exploitation • Du Foncier représentant
correspondant à la moitié de la SAU 110% de la moyenne
moyenne départementale
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33. 33
Une dualité marquée sur le profil d’exploitation
et la production par espèce
2.2 Deux espèces avicoles coude à coude la dinde et le poulet.
Surface en m2 en production annuelle
1 000 000
Aviculture de chair :
875 789 Evolution des surfaces en m² par
800 000
713 019
2006 espèce
602 661 2007
600 000 2009 Evolution en m2 de 2006 à 2009
400 000 338 225
Poulets Export 18.2%
200 000 107 067
138 317 134 538
113 827
Poulets 78.2%
-
Canards Dindes Poulets Poulets Export
-18.6% Dindes
Baromètre
pluriannuel de la -22.6% Canards
production
-40.0% -20.0% 0.0% 20.0% 40.0% 60.0% 80.0% 100.0%
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
34. 34
Une démographie équilibrée, porteuse
d’avenir.
« les moins de 40 ans » plus nombreux que les « plus de 55 ans »
Bretagne Filière avicole
56 29
Age moyen des chefs 47 ans 46.2 ans 48 ans
d’exploitation
Dont moins 40 ans 19 % 18 % 14 %
+ 55 ans 25 % 16 % 27 %
Entre 55 et 60 ans 15 % NSP 21 %
Indice de vieillissement
Rapport + 55 1.3 0.9 1.8
ans/moins de 40 ans
Le Morbihan avicole compte 1 396 chefs d’exploitations et conjoints.
Part des plus de 58 ans : 42 exploitations, soit 65 000 m² soit 4 % du
parc bâtiment (NB moyenne : 1 547 m²)
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35. 35
Des bâtiments âgés et peu rénovés
Session Chambre d’Agriculture du Morbihan du 25.09.2012
36. Des revenus variables par atelier
30 ans d’enquête avicole Grand Ouest
Une amélioration liée :
1. à la réduction du poste annuité, mais
synonyme de manque
d’investissement
2. À une meilleure marge poussin –
aliment.
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37. 5 ans d’évolution du résultat courant
par le CER France Bretagne
Résultat courant de 27 260 € en 2010
14% du produit global (208 239 €)
Soit 13,8 € par m2
30000 27260
25000 Les avis du CER France
21870
19920 - Une meilleure rentabilité
20000
15720 au-delà de 2000 m2
15000
10950 - Un avantage poulet sur la
8860
10000 dinde
5000 - Une meilleure marge brute
sur les bâtiments les plus
0
récents.
2005 2006 2007 2008 2009 2010
Les résultats sont en hausse sensible depuis 2007
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38. 38
Un net retard de restructuration des ateliers
filière lait ou porc
Taille des ateliers Facteurs explicatifs
Indice de
Filière 2000 2010 2000 – 2010 vers 2015
restructuration
Transfert Accélération
autorisé à avec fin des
Laitière 210 000 l 350 000 l 166 quota 56 quotas ?
constant
Blocage en Evolution en
ZES ZES ou ZVR ?
127 166
Porc TNE
truies truies
131 Restructuration
limitée depuis
2004
Blocage en
Poulailler ZES Evolution ZES
en m2
1507m2 1738 m2 115 restructuration en ZVR ?
marginale
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39. Nos orientations préférentielles de la filière
avicole
Harmonisation des règles européennes.
Rénovation du parc bâtiments.
Au niveau
européen Modernisation des outils de l’abattage –
et découpe – conditionnement.
Français
Maintien des restitutions.
Réduction de la gamme de produits
référencés.
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40. Au niveau du Morbihan
Une conviction : l’aviculture est un atout majeur de l’économie
agricole Morbihannaise
Le marché est porteur, la demande est soutenue et durable
a) La consommation française : 25.4 kg/habitant/an.
Stable depuis 10 ans.
b) Demande mondiale : + 3% par an ;
Les exportations de poulet entier congelé sur le moyen orient ont
atteint leur niveau le plus élevé sur les dix dernières années (204 800
tec en 2010 pour 125 000 tec en 2006).
c) Les Produits d’entrée de gamme, c’est-à-dire standard, sont des
valeurs sûres et représentent 65% de la consommation française.
NB : le bio et le label se développent peu.
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41. Au niveau du Morbihan :
Force et Faiblesse de notre filière Avicole
Nos points forts :
Notre filière avicole est dense, expérimentée avec des bonnes
performances techniques.
Nos points faibles :
Le sous investissement en bâtiment compte tenu d’un parc âgé
(22 ans en moyenne).
Une vétusté et une sous utilisation des abattoirs.
Une gamme de produits transformés trop large.
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42. Pour le Morbihan : notre plan d’actions avicole
professionnel.
3 axes de développement :
1er axe : développer et restructurer la production en levant 2 verrous
Environnementaux
le blocage des ateliers en ZES en donnant de la respiration
économique aux exploitants
l’équilibre du phosphore par une meilleure valorisation des effluents
avicoles (épandage et d’exportation )
2ème axe : Professionnaliser les aviculteurs
renforcer la spécialisation du métier d’aviculteur.
Développer l’attractivité de la filière avicole
Contribuer au renouvellement des générations
par l’installation des jeunes
former l’ensemble des actifs de cette filière
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43. 3ème axe : rendre compétitif et performant le parc bâtiment en engageant
deux actions :
a) Des rénovations lourdes du parc existant
le parc vieillit et a 22 ans d’âge moyen
Il faut renouveler activement ce parc et poursuivre les rénovations
liées au plan de performance énergétique.
Il faut investir dans des sites existants déjà autorisés
b) Une construction de bâtiments neuf très performants
Objectif : construire plus de 25 000 m2/an
Cibler sur des tailles d’atelier s’inscrivant dans la logique du PAD
(3600 m2 par actif).
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