Conférence du cycle « La ville numérique à l'ère du développement durable » organisée par le réseau Eurosorbonne, association de l’Institut d’Études Européennes de l’Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3, Paris, France. (slides)
Pourquoi les territoires meurent?
Ce que nous apprend l’économie des territoires?
Des théories dominantes fausses
L’économie symbiotique : sortir du paradigme de la rareté
Des exemples parlants
De la conception « top down » à la conception « bottom-up »
Résilience et démocratie directe
30' pour demain - Quand le numérique renforce la congestion urbaine - Camille...Leonard
Camille Combe, chargé de missions à La Fabrique de la Cité, relève un paradoxe de la modernité : alors que le numérique promet de "déjouer le trafic", l'optimisation des temps de trajet individuels n’a pas permis d’infléchir l’augmentation tendancielle des embouteillages en ville. Et si le numérique renforçait la congestion ?
À consulter
- La vidéo de l'intervention de Camille Combe : https://youtu.be/wYCb-vSUoA0
- Le rapport "Pour en finir avec (la fin de) la congestion urbaine de La Fabrique de la Cité : https://www.lafabriquedelacite.com/publications/pour-en-finir-avec-la-fin-de-la-congestion-urbaine/
Pourquoi les territoires meurent?
Ce que nous apprend l’économie des territoires?
Des théories dominantes fausses
L’économie symbiotique : sortir du paradigme de la rareté
Des exemples parlants
De la conception « top down » à la conception « bottom-up »
Résilience et démocratie directe
30' pour demain - Quand le numérique renforce la congestion urbaine - Camille...Leonard
Camille Combe, chargé de missions à La Fabrique de la Cité, relève un paradoxe de la modernité : alors que le numérique promet de "déjouer le trafic", l'optimisation des temps de trajet individuels n’a pas permis d’infléchir l’augmentation tendancielle des embouteillages en ville. Et si le numérique renforçait la congestion ?
À consulter
- La vidéo de l'intervention de Camille Combe : https://youtu.be/wYCb-vSUoA0
- Le rapport "Pour en finir avec (la fin de) la congestion urbaine de La Fabrique de la Cité : https://www.lafabriquedelacite.com/publications/pour-en-finir-avec-la-fin-de-la-congestion-urbaine/
Ce projet d'Atelier à co-construire nous conduira à explorer, imaginer, appréhender l'impact de la "robomobilité" qui s'annonce dans toutes les dimensions de nos sociétés, à toutes les échelles. Par "robomobilité", on entend ici la mobilité sans conducteur (les "véhicules autonomes"), fret et voyageur, généralisée ou largement dominante à un horizon indéfini. On pressent là une disruption au moins comparable à l'apparition du smartphone, qui a bouleversé les usages, les business models et les relations sociales, bien au-delà du produit et de sa fonctionnalité initiale. On l'imagine vectrice de nombreux faisceaux d’innovations radicales, qui vont transformer en profondeur nos sociétés, les systèmes productifs, les systèmes de transports, l’organisation sociale, les modes de vie, le rapport au temps et à l’espace, l’aménagement du territoire, etc.
Bien au-delà des problématiques de trajectoires technologiques et industrielles ou de géomarketing, on entend élaborer, explorer, instrumenter, questionner et mettre en doute un flux de visions élaborées de cette "vie robomobile". Visions qui cristalliseront et s'infléchiront au cours de nos travaux et, sur la durée, à l'épreuve du réel.
Les concepteurs de l'Atelier (autour de la DGITM et de la DRI de ce Ministère : la DGALN à travers le PUCA, ainsi que l'IFSTTAR et le LAET) espèrent y embarquer et mettre en résonance, sur la durée, une large communauté multidisciplinaire mixant chercheurs et praticiens, industries et territoires, ouverte sur la coopération internationale. Et initier des processus de collaboration cycliques, productifs, qui alimenteront des rendez-vous périodiques en vue d'éclairer nos stratégies et politiques publiques. Ainsi l'Atelier entretiendra des interfaces avec la décision publique, via les instances de "Mobilité 3.0" et le support interministériel aux travaux de la NFI sur le véhicule autonome ; les ministères en charge de l'industrie, de la recherche et de la sécurité routière ont été associés à la délimitation du projet. Le tout moyennant une gouvernance légère, agile et évolutive, ainsi que des méthodes de production et de diffusion adaptées, certaines à inventer.
Au-delà de MaaS (Mobility as a Service), en intégrant tous les territoires, en traitant le rôle des données, en appréhendant les ruptures à venir (ex : véhicule autonome), explorer la recomposition des systèmes de mobilité et des usages.
SmartCity : La transformation digitale de la villeIsabelle Fedieu
Masterclass | MBA Digital Marketing & Business de l'EFAP
L'objet de cette Master Class est de comprendre la transformation digitale de la ville et de dégager ses enjeux.
Auteurs : Marie-Aimée Gaultier, Marine Peyrol, Céline Bathie, Stéphanie Cartier, Isabelle Fédieu.
Concevoir les villes au service de l’intérêt général à l'aune des données num...Gehan Kamachi
Grâce aux données numériques qu’ils exploitent, des acteurs privés issus du numérique sont désormais des producteurs de l’urbain, tant au niveau de son cadre bâti que de ses fonctions (se loger, se déplacer, se nourrir, se rencontrer…). Dans ce contexte, comment garantir l’intérêt général favorisant, notamment, la transition énergétique et écologique et l’inclusion sociale ?
La ville intelligente de demain sera-t-elle plus sûre ?Les Propulseurs
Débat organisé dans le cadre du salon Expoprotection 2016. Avec Michel Rousseau (Smart-C), David Assou (Cap Gemini), Sébastien Jardin (IBM sécurité France). Animé par Jacques Pary. Conception événementielle par Les Propulseurs.
Présentation devant les commissions thématiques du pôle Systematic : Pokemo Go a fini de le démontrer : le rôle historique du numérique est d’ajouter de la complexité à notre monde. Ca tombe bien pour la ville, qui se nourrit de complexité. Mais ça tombe mal pour la Smart City, qui ambitionnait de la réduire. Le projet de la Smart City est définitivement mort – même l’un de ses principaux promoteurs, IBM, l’abandonne. Pour autant, les technologies smart peuvent bien sûr apporter beaucoup de choses intéressantes à la city. Mais en s’inscrivant dans un agenda différent, « city-centrique » plutôt que techno-centrique…
Quelle place pour les collectivités dans un monde ubérisé ?Cap'Com
Séquence animée par Frédéric Theulé, chargé d'études "Projets de territoires" à la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin en Yvelines.
Mobilité (blablacar), logement (airbnb), financement (crowdfunding), culture (booxup), production contributive (fab labs)… de nouveaux services et modèles économiques basés sur le numérique apparaissent. Quelles opportunités offre l’économie collaborative pour le développement des territoires ? Les collectivités territoriales peuvent-elles s’en saisir pour imaginer de nouveaux services publics ? Quels sont leurs moyens d’action et / ou de régulation face au développement de l’économie collaborative ?
Damien Demailly, coordinateur du programme Nouvelle Prospérité à l'IDDRI, Sciences Po Paris
Les villes intelligentes: enjeux et stratégies pour de nouveaux marchés
Intervention d'ouverture du Congrès de CINOV-IT, le syndicat des PME du numérique.
De la "Mobility as a Service" à la "Mobility as Networks" - Movin'On 2017Ghislain Delabie
Conférence d'ouverture du cycle OuiShare - Mobility as Networks
Comment les villes peuvent répondre à 3 défis essentiels en changeant la mobilité et leur manière de travailler :
1/ Transition vers une société zéro carbone
2/ Pollution de l'air et impacts sanitaires
3/ Meilleure utilisation des infrastructures
http://ouishare.net/fr/events/ouishare-a-movin-on
Débat normatif des Smart cities : entre pragmatisme techno-économique et défe...Mokhtar Ben Henda
Enjeux des normes dans la gouvernance des Villes intelligentes : communication présentée à l'occasion du colloque international ORBICOM, Lima (Pérou) 7-9 mai 2018
La ville inteligente - La Ville Connectée - La Ville de demainSebastien Brison
Rencontres de la métropole intelligente
Avec de nombreux participants du secteur du digital, de la esanté, des objets connectés, du big data, des smart cities et smart grid...
COMMENT INCITER LES USAGERS À DEVENIR
ACTEURS DE LEUR CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE ?
QUELLE EXPÉRIENCE DE LA VILLE INTELLIGENTE
POUR LES PERSONNES EN RECHERCHE D'AUTONOMIE ?
COMMENT COMPRENDRE LA VILLE, S'Y REPÉRER ?
COMMENT PRÉVENIR ET LIMITER LES ÉPIDÉMIES
SUR LA BASE DES DONNÉES DE SANTÉ PUBLIQUE ?
COMMENT EXPLOITER LES DONNÉES URBAINES POUR AMÉLIORER LE SERVICE SANITAIRE LORS DE PICS DE POLLUTION ET DE PICS POLLINIQUES ?
Nous vivons dans un monde extrêmement chamboulé par des causes de diverses natures (naturelles, économiques, sociétales, environnementales…), qui nous amènent à repenser nos villes pour plus de durabilité, d’efficience, de résilience. Nous avons souhaité, dans cette étude, clarifier cette notion floue et complexe qu’est la Smart City et dresser un état des lieux non exhaustif des possibilités qu’offre la technologie pour une ville plus consciente, plus intelligente, plus pérenne.
Les Smart Cities, réelles solutions pour un futur désirable ou simple label m...Clément Caignol
Le terme, et label, « Smart City » est désormais internationalement reconnu et utilisé par les pouvoirs publics, les chercheurs et les entreprises privés qui œuvrent dans ce domaine. La popularité grandissante de ce concept a incité l’ensemble des pouvoirs publics et des administrations à utiliser ce terme lorsqu’il s’agit d’évoquer leurs politiques pour le développement futur des villes. De nombreuses définitions existent pour le terme « Smart City » mais il n’en existe aucune reconnue universellement, chacune possédant ces propres axes de développement spécifique. Cette étude a pour but de comprendre la philosophie et la composition du concept de Smart City afin d’en comprendre les intérêts mais également les limites. Dans un monde en constante évolution et qui va connaître de grands bouleversements démographiques, nous allons tenter de comprendre quel est l’avenir de nos villes ?
Les politiques publiques de données ouvertes (Open Data) se sont multipliées et renforcées à l’échelle mondiale, via des textes législatifs nationaux et des engagements internationaux. Mises en œuvre par des acteurs à différentes échelles comme les institutions internationales, les États, les régions et les métropoles, elles couvrent des domaines multiples dans la science, les transports, l’environnement, la culture. Elles répondent à l’engagement de transparence du pouvoir et sont pensées comme des outils du développement dans les pays émergents. La croissance exponentielle de ces données ouvertes, librement accessibles et exploitables, est une opportunité pour l’éducation. En contexte francophone - Canada, France, Suisse,… - comme anglophone, nous présenterons comment leur traitement numérique permet l’acquisition des savoirs et des capacités, mais aussi le développement des compétences douces comme la résolution de problème, la créativité et le travail collaboratif. Par ce traitement et les projets de réutilisation, on développe le regard critique et une méthodologie rigoureuse, ce qui participe à la construction de la citoyenneté numérique, notamment face au risque de désinformation. Initié à réfléchir sur l’articulation donnée-information-connaissance, l’élève peut alors lui-même devenir producteur de données et explorer des voies professionnelles liées à l’écologie, l’entreprenariat numérique, l’administration ou le ROSO (OSINT).
Ce projet d'Atelier à co-construire nous conduira à explorer, imaginer, appréhender l'impact de la "robomobilité" qui s'annonce dans toutes les dimensions de nos sociétés, à toutes les échelles. Par "robomobilité", on entend ici la mobilité sans conducteur (les "véhicules autonomes"), fret et voyageur, généralisée ou largement dominante à un horizon indéfini. On pressent là une disruption au moins comparable à l'apparition du smartphone, qui a bouleversé les usages, les business models et les relations sociales, bien au-delà du produit et de sa fonctionnalité initiale. On l'imagine vectrice de nombreux faisceaux d’innovations radicales, qui vont transformer en profondeur nos sociétés, les systèmes productifs, les systèmes de transports, l’organisation sociale, les modes de vie, le rapport au temps et à l’espace, l’aménagement du territoire, etc.
Bien au-delà des problématiques de trajectoires technologiques et industrielles ou de géomarketing, on entend élaborer, explorer, instrumenter, questionner et mettre en doute un flux de visions élaborées de cette "vie robomobile". Visions qui cristalliseront et s'infléchiront au cours de nos travaux et, sur la durée, à l'épreuve du réel.
Les concepteurs de l'Atelier (autour de la DGITM et de la DRI de ce Ministère : la DGALN à travers le PUCA, ainsi que l'IFSTTAR et le LAET) espèrent y embarquer et mettre en résonance, sur la durée, une large communauté multidisciplinaire mixant chercheurs et praticiens, industries et territoires, ouverte sur la coopération internationale. Et initier des processus de collaboration cycliques, productifs, qui alimenteront des rendez-vous périodiques en vue d'éclairer nos stratégies et politiques publiques. Ainsi l'Atelier entretiendra des interfaces avec la décision publique, via les instances de "Mobilité 3.0" et le support interministériel aux travaux de la NFI sur le véhicule autonome ; les ministères en charge de l'industrie, de la recherche et de la sécurité routière ont été associés à la délimitation du projet. Le tout moyennant une gouvernance légère, agile et évolutive, ainsi que des méthodes de production et de diffusion adaptées, certaines à inventer.
Au-delà de MaaS (Mobility as a Service), en intégrant tous les territoires, en traitant le rôle des données, en appréhendant les ruptures à venir (ex : véhicule autonome), explorer la recomposition des systèmes de mobilité et des usages.
SmartCity : La transformation digitale de la villeIsabelle Fedieu
Masterclass | MBA Digital Marketing & Business de l'EFAP
L'objet de cette Master Class est de comprendre la transformation digitale de la ville et de dégager ses enjeux.
Auteurs : Marie-Aimée Gaultier, Marine Peyrol, Céline Bathie, Stéphanie Cartier, Isabelle Fédieu.
Concevoir les villes au service de l’intérêt général à l'aune des données num...Gehan Kamachi
Grâce aux données numériques qu’ils exploitent, des acteurs privés issus du numérique sont désormais des producteurs de l’urbain, tant au niveau de son cadre bâti que de ses fonctions (se loger, se déplacer, se nourrir, se rencontrer…). Dans ce contexte, comment garantir l’intérêt général favorisant, notamment, la transition énergétique et écologique et l’inclusion sociale ?
La ville intelligente de demain sera-t-elle plus sûre ?Les Propulseurs
Débat organisé dans le cadre du salon Expoprotection 2016. Avec Michel Rousseau (Smart-C), David Assou (Cap Gemini), Sébastien Jardin (IBM sécurité France). Animé par Jacques Pary. Conception événementielle par Les Propulseurs.
Présentation devant les commissions thématiques du pôle Systematic : Pokemo Go a fini de le démontrer : le rôle historique du numérique est d’ajouter de la complexité à notre monde. Ca tombe bien pour la ville, qui se nourrit de complexité. Mais ça tombe mal pour la Smart City, qui ambitionnait de la réduire. Le projet de la Smart City est définitivement mort – même l’un de ses principaux promoteurs, IBM, l’abandonne. Pour autant, les technologies smart peuvent bien sûr apporter beaucoup de choses intéressantes à la city. Mais en s’inscrivant dans un agenda différent, « city-centrique » plutôt que techno-centrique…
Quelle place pour les collectivités dans un monde ubérisé ?Cap'Com
Séquence animée par Frédéric Theulé, chargé d'études "Projets de territoires" à la Communauté d'agglomération de Saint-Quentin en Yvelines.
Mobilité (blablacar), logement (airbnb), financement (crowdfunding), culture (booxup), production contributive (fab labs)… de nouveaux services et modèles économiques basés sur le numérique apparaissent. Quelles opportunités offre l’économie collaborative pour le développement des territoires ? Les collectivités territoriales peuvent-elles s’en saisir pour imaginer de nouveaux services publics ? Quels sont leurs moyens d’action et / ou de régulation face au développement de l’économie collaborative ?
Damien Demailly, coordinateur du programme Nouvelle Prospérité à l'IDDRI, Sciences Po Paris
Les villes intelligentes: enjeux et stratégies pour de nouveaux marchés
Intervention d'ouverture du Congrès de CINOV-IT, le syndicat des PME du numérique.
De la "Mobility as a Service" à la "Mobility as Networks" - Movin'On 2017Ghislain Delabie
Conférence d'ouverture du cycle OuiShare - Mobility as Networks
Comment les villes peuvent répondre à 3 défis essentiels en changeant la mobilité et leur manière de travailler :
1/ Transition vers une société zéro carbone
2/ Pollution de l'air et impacts sanitaires
3/ Meilleure utilisation des infrastructures
http://ouishare.net/fr/events/ouishare-a-movin-on
Débat normatif des Smart cities : entre pragmatisme techno-économique et défe...Mokhtar Ben Henda
Enjeux des normes dans la gouvernance des Villes intelligentes : communication présentée à l'occasion du colloque international ORBICOM, Lima (Pérou) 7-9 mai 2018
La ville inteligente - La Ville Connectée - La Ville de demainSebastien Brison
Rencontres de la métropole intelligente
Avec de nombreux participants du secteur du digital, de la esanté, des objets connectés, du big data, des smart cities et smart grid...
COMMENT INCITER LES USAGERS À DEVENIR
ACTEURS DE LEUR CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE ?
QUELLE EXPÉRIENCE DE LA VILLE INTELLIGENTE
POUR LES PERSONNES EN RECHERCHE D'AUTONOMIE ?
COMMENT COMPRENDRE LA VILLE, S'Y REPÉRER ?
COMMENT PRÉVENIR ET LIMITER LES ÉPIDÉMIES
SUR LA BASE DES DONNÉES DE SANTÉ PUBLIQUE ?
COMMENT EXPLOITER LES DONNÉES URBAINES POUR AMÉLIORER LE SERVICE SANITAIRE LORS DE PICS DE POLLUTION ET DE PICS POLLINIQUES ?
Nous vivons dans un monde extrêmement chamboulé par des causes de diverses natures (naturelles, économiques, sociétales, environnementales…), qui nous amènent à repenser nos villes pour plus de durabilité, d’efficience, de résilience. Nous avons souhaité, dans cette étude, clarifier cette notion floue et complexe qu’est la Smart City et dresser un état des lieux non exhaustif des possibilités qu’offre la technologie pour une ville plus consciente, plus intelligente, plus pérenne.
Les Smart Cities, réelles solutions pour un futur désirable ou simple label m...Clément Caignol
Le terme, et label, « Smart City » est désormais internationalement reconnu et utilisé par les pouvoirs publics, les chercheurs et les entreprises privés qui œuvrent dans ce domaine. La popularité grandissante de ce concept a incité l’ensemble des pouvoirs publics et des administrations à utiliser ce terme lorsqu’il s’agit d’évoquer leurs politiques pour le développement futur des villes. De nombreuses définitions existent pour le terme « Smart City » mais il n’en existe aucune reconnue universellement, chacune possédant ces propres axes de développement spécifique. Cette étude a pour but de comprendre la philosophie et la composition du concept de Smart City afin d’en comprendre les intérêts mais également les limites. Dans un monde en constante évolution et qui va connaître de grands bouleversements démographiques, nous allons tenter de comprendre quel est l’avenir de nos villes ?
Les politiques publiques de données ouvertes (Open Data) se sont multipliées et renforcées à l’échelle mondiale, via des textes législatifs nationaux et des engagements internationaux. Mises en œuvre par des acteurs à différentes échelles comme les institutions internationales, les États, les régions et les métropoles, elles couvrent des domaines multiples dans la science, les transports, l’environnement, la culture. Elles répondent à l’engagement de transparence du pouvoir et sont pensées comme des outils du développement dans les pays émergents. La croissance exponentielle de ces données ouvertes, librement accessibles et exploitables, est une opportunité pour l’éducation. En contexte francophone - Canada, France, Suisse,… - comme anglophone, nous présenterons comment leur traitement numérique permet l’acquisition des savoirs et des capacités, mais aussi le développement des compétences douces comme la résolution de problème, la créativité et le travail collaboratif. Par ce traitement et les projets de réutilisation, on développe le regard critique et une méthodologie rigoureuse, ce qui participe à la construction de la citoyenneté numérique, notamment face au risque de désinformation. Initié à réfléchir sur l’articulation donnée-information-connaissance, l’élève peut alors lui-même devenir producteur de données et explorer des voies professionnelles liées à l’écologie, l’entreprenariat numérique, l’administration ou le ROSO (OSINT).
Des métaphores de la ville pour comprendre les nouvelles formes d’intelligenc...Université Laval
Conférence donnée à la Universidad Catholica Boliviana de La Paz en Bolivie le 07 mai 2019 dans le cadre du Séminiare Hacking City.
Résumé: Le XXième siècle sera celui des villes. Les villes comme modes d’organisaion spatiale privilégiés des sociétés humaines sont au coeur de tous les débats. Les discours entourant l’idée de ville intelligente s’articulent autour de deux images urbaines souvent inconciliables: celle d’une part de la ville plateforme, structurée autour de réseaux technologiques et gouvernée par les données; et celle d’autre part, d’une ville centrée sur le citoyen, ouverte et transparente. Dans cette conférence, une série de métaphores sont proposées qui permettent de croiser des points de vue différenciés sur la ville et de mettre en évidence la pluralité de sens des concepts d’urbanité et d’intelligence urbaine.
Tech Days 2014 - Plénière J3 : Objets connectés, avez-vous donc une âme ?Microsoft Ideas
« Objets connectés, avez-vous donc une âme ? », Lamartine, égaré dans notre 21ème siècle n’aurait-il pas pu écrire ce vers ? Car après l’explosion des réseaux sociaux qui ont bouleversé les relations entre les hommes, les objets connectés envahissent nos vies. L’IDATE considère qu’en 2020, le nombre d’objets connectés pourrait atteindre 80 milliards dans le monde, soit environ 10 objets par personnes sur la terre. De façon générale, les analystes considèrent l’« Internet des Objets » comme une véritable révolution, de l’« Internet of Things » à l’« Internet of Everything »... En France, le gouvernement y voit un immense gisement de croissance ; les objets connectés font ainsi partie des 34 projets d’avenir, annoncés par le Président Hollande le 12 septembre dernier, visant à relancer l’industrie française. Ils ont également été retenus au cœur de plusieurs des 7 ambitions stratégiques sélectionnée par la commission « Innovation 2030 » dirigée par Anne Lauvergeon, qui leur a déclaré sa flamme: « La France a raté les smartphones, les tablettes. Elle ne doit pas rater l’Internet des objets ». Il est vrai que les projections des analystes laissent rêveur. Voitures autonomes et connectées, bâtiments et maisons intelligentes, maintien à domicile des personnes âgées, réseaux électriques intelligents, surveillance en temps réel des maladies chroniques et participation active des patients, nouvelles interfaces entre l’homme et la machine, assistants personnels, plantes et agriculture connectées… Voici quelques scénarios rendus possibles par les objets intelligents et communicants et le pouvoir conjugué du Cloud et du Machine learning. Tout en posant de nouvelles questions de sécurité et de respect de la vie privée, les objets connectés pourraient nous permettre de relever les défis auxquels notre humanité est désormais confrontée : vieillissement de la population et explosion des coûts de la santé, réchauffement climatique, alimentation et agriculture, saturation des transports dans un monde de plus en plus urbain, apprentissage et renouvellement en continu des connaissances… C’est encore Lamartine qui, fort joliment, poétisait : « Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, l’homme est un dieu tombé qui se souvient des cieux. » Grâce à son intelligence et à ces objets connectés qui, peu à peu, deviennent ses partenaires et ses compagnons…
Speakers : Frédéric Dittmar (Blue Solutions - Groupe Bolloré), Bernard Ourghanlian (Microsoft), Rafi Haladjian (Sense), Yves Ubelmann (Iconem), Henri Seydoux (Parott)
Programme du Forum à Rennes SMART CITIES l'expérience Chinoise de la ville in...BenBzh
France Chine International et l'institut Confucius de Bretagne organisent le forum : SMART CITIES, l'expérience Chinoise de la ville intelligente. Quelles opportunités, quelles coopérations ? Le 6 Mars de 16h00 à 20h30.
Ce Forum qui se déroulera pendant la semaine de la Chine du 28 Février au 7 Mars 2015 a pour objectif :
- d'expliquer les fondements, les enjeux, les stratégies et le mode de fonctionnement des "smart cities" chinoises
- de présenter les perspectives et les coopérations possibles qu'elles offres aux entreprises bretonnes
- de lancer le premier Centre Culturel et Economique Breton qui ouvrira ses portes à Shanghai en octobre 2015
Plus d'information et inscription :
http://france-chine-international.eu/
L’Insight Tank, c’est un collectif d’experts d’Ipsos pour rassembler les savoirs et les datas sur une sélection de sujets au fort potentiel business : En ciblant les enjeux à l’intersection de tous les secteurs et de tous les marchés. En affirmant le lien société et consommation, citoyens et consommateurs pour connecter les sujets marketing, opinion, médias… avec les grands phénomènes sociétaux et leurs impacts, et inversement. En associant les insights à des savoirs académiques hors Ipsos.
DataCités 2 : Accompagner la conception de data services urbains (Smart citi...Gehan Kamachi
Face à une transition numérique dont les effets sociétaux sont multiples pour les territoires, il est nécessaire de renforcer les capacités des collectivités en matière de développement et de gouvernance des data services urbains pour en faire des instruments de l'intérêt général favorisant la transition énergétique et écologique, la revitalisation et l’accessibilité des centres des villes petites et moyennes.
- Mais, comment aider les collectivités à concevoir, prototyper et expérimenter des data services urbains sur leur territoire ?
- Quels partenariats et quelles formes de gouvernance peuvent-elles mettre en oeuvre avec le secteur privé pour partager des données ?
- Comment les collectivités peuvent-elles accroître leurs capacités d’action pour s’affirmer comme partie prenante de la fabrique de la ville numérique ?
Vers des data services urbains d'interet généralGehan Kamachi
Conférence « Vers des data services urbains d’intérêt général » donnée par Jean-François LUCAS, le 27 mars 2019, lors du salon Niort Numeric 2019 (https://www.salon-niort-numeric.fr)
Pluralisme des politiques de données urbaines, par Dominique BoullierGehan Kamachi
Conférence donnée par Dominique Boullier lors de l'événement de lancement de l'exploration "DataCités 2" (www.datacites.eu).
Cette conférence a pour objet de proposer une analyse précise des différentes politiques de données urbaines pouvant être déployées dans les villes. Il s’agira alors de comprendre quelles sont les stratégies “data” des projets menés dans le cadre de DataCités 2.
Ces slides sont partagés avec l'accord de Dominique Boullier sous licence CC-by-nc (Attribution / Pas d’Utilisation Commerciale).
La démarche d'innovation MODIM : industrie, art et imaginairesGehan Kamachi
Conférence "La démarche d’innovation MODIM : industrie, art et imaginaires" donnée dans le cadre du colloque « De l'injonction à la créativité à sa mise en œuvre : quel parallèle entre monde de l'art et monde productif ? », 9-10 avril 2015, MSH Ange-Guépin, Nantes, France.
Les médiations socio-techniques de l’observation en ligne. Analyse réflexive ...Gehan Kamachi
Conférence "Les médiations socio-techniques de l’observation en ligne. Analyse réflexive et comparative de deux projets de collecte de traces d’utilisateurs de réseaux sociaux et de mondes virtuels", donnée dans le cadre du colloque d’automne de l'association pour la recherche qualitative (ARQ) – 28 octobre 2016
Les données numériques : porte-paroles des citoyens dans un processus de conc...Gehan Kamachi
Conférence donnée avec Stéphanie Hasler, CEAT, EPFL.
Conférence "Les données numériques : porte-paroles des citoyens dans un processus de concertation numérique ?" donnée dans le cadre du colloque "Les données urbaines, quelles pratiques, quels savoirs ?", le 13 décembre 2016.
Les mondes virtuels : de la fin des utopies à la réalisation de ses propres r...Gehan Kamachi
Conférence "Les mondes virtuels : de la fin des utopies à la réalisation de ses propres rêves ?" donnée dans le cadre du colloque "Entre ombre et lumière: les addictions. Drogues - Religions - Mondes virtuels", 27-28 janvier 2017
Le "build", mode d'engagement et médiateur de l'expérience narrative spatiali...Gehan Kamachi
Conférence "Le "build", mode d'engagement et médiateur de l'expérience narrative spatialisée dans les univers vidéoludiques" donnée dans le cadre du colloque "Penser (avec) la culture vidéoludique. Colloque sur le jeu vidéo", 5-7 octobre 2017, Université de Lausanne
Mondes virtuels et territoires hybriquesGehan Kamachi
Conférence "Mondes virtuels et territoires hybrides", donnée dans le cadre de l'atelier « Les univers en ligne persistants : de nouveaux espaces-temps numériques ? », cycle national 2014-2015 de l'Institut des hautes études pour la science et la technologie (IHEST), Paris, France.
Imaginaires, modeles et simulations de villes en 3DGehan Kamachi
Conférence "Imaginaires, modeles et simulations de villes en 3D", donnée dans le cadre du Iolloque « Imaginaire, Industrie et Innovation », Cerisy-la-Salle, 21-28 septembre 2015, Centre culturel international de Cerisy-la-Salle, France.
Repenser l'immersion dans les mondes virtuels en ligne : vers une théorie de ...Gehan Kamachi
Conférence "Repenser l'immersion dans les mondes virtuels en ligne : vers une théorie de l'habiter ?" donnée dans le cadre du séminaire de recherche du laboratoire d'Anthropologie prospective de l'Université de Louvain, Belgique (2014)
Le projet "Magic Ring" : analyse quali-quantitative des pratiques spatiales d...Gehan Kamachi
Conférence "Le projet "Magic Ring" : analyse quali-quantitative des pratiques spatiales des avatars de Second Life", donnée dans le cadre du séminaire MIC, le 6 mai 2014.
How to explore the "spatialities" of avatars in a virtual world?Gehan Kamachi
This document discusses exploring the spatial behaviors and movements of avatars in virtual worlds. It describes the "Magic Ring" project in Second Life that collected 29 variables like location every 5 seconds from 211 avatars over 6 months, resulting in 90 million data points. The project analyzed spatial practices, connection frequencies, and identified "hot spots" to gain new perspectives for sociological research methods. It encourages thinking about new approaches to studying how avatars move and interact in virtual spaces.
The practice of space in virtual worldsGehan Kamachi
Conférence "The practice of space in virtual worlds", donnée dans le cadre du séminaire "CRCA Exchange #3 : Alternative Realities", à l'université de Californie, San Diego, États-Unis. (2011)
Les figures de l’habiter dans les mondes virtuelsGehan Kamachi
Les figures de l’habiter dans les mondes virtuels.
Conférence donnée dans le cadre du colloque "A quoi nous engage le jeu ? », Bruxelles, 22 octobre 2016.
(animations du PPT manquantes)
Intervention hyperurbain.3 - Ville, réalité mixte et mondes virtuelsGehan Kamachi
Slide de mon intervention au colloque internationnal HyperUrbain.3, Troisième colloque sur les Technologies de l’Information et de la Communication en milieu urbain.
Thématique : "Villes hybrides et enjeux de l’aménagement des urbanités numériques"
Université de Montréal – Faculté d’Aménagement
Montréal, Canada : 26-28 Septembre 2011
---------
Merci de ne pas citer les propos de cette présentation, une publication sortira prochainement (voir http://bit.ly/qU2hgu).
Pour contacter directement l'auteur, merci de passer par le site : www.gehan-kamachi.net
Intervention hyperurbain.3 - Ville, réalité mixte et mondes virtuels
Smart City et développement durable.
1. Smart City
& développement durable
Jean-François LUCAS
Conférence : la ville numérique à l'ère du développement durable
12/02/19
Réseau Eurosorbonne
Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3
2. 2
Population urbaine et population mondiale
3
14
30
55
75
0
10
20
30
40
50
60
70
80
1800 1900 1950 2020 2050
% de la population urbaine
Source: Banque mondiale, Perspectives d'urbanisation du monde, selon Nations Unies :
http://donnees.banquemondiale.org/indicateur/SP.URB.TOTL.IN.ZS
En 2030 : 5 milliards d’urbains pour 8,3 milliards d’individus = +1 milliard
d’individus par rapport à 2017
4. 4
Les enjeux du développement urbain
Image Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_durable
Développement durable =
« développement qui répond
aux besoins du présent sans
compromettre la capacité des
générations futures de
répondre aux leurs propres
besoins »
rapport Brundtland, 1987
5. 5
Smart City – Emergence d’un concept
• Début des années 1990 : premières traces de la notion
• 2005 : Bill Clinton encourage
Cisco à développer des plans de
décongestion des villes afin de
« diminuer les émissions de
CO2 et économiser à la fois pour
les citoyens et les communautés
locales du temps et de l'argent ».
• 2008 : IBM lance son
programme Smarter Cities
6. 6
Smart City – Une définition
La Smart City (« ville intelligente ») est une ville dans
laquelle le quotidien des habitants a vocation à être
amélioré sur le plan environnemental, social,
économique ou encore politique, par la numérisation de
ses infrastructures, de ses réseaux et de ses services, et
leur optimisation par le recours au Big Data.
=
la technologie au service des habitants / citoyens /
usagers, etc.
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Ce que change le Big Data
+
Crédits : http://www.lgcnsblog.com/
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L’ambivalence des discours autour de la Smart City
Les discours qui accompagnent la
diffusion de la notion de Smart City
sont ambivalents.
Ils s’articulent principalement autour
de deux visions du monde : « d’un
côté, un optimisme quasi
messianique, porté par une croyance
éperdue dans le salut par la
technologie ; de l’autre, un
pessimisme décliniste, prophétisant
la surveillance généralisée par les Big
Brothers de la Silicon Valley »
(Haëntjens, 2018, 13).
10. En 2008, la stratégie d’IBM consiste ainsi à conquérir le marché du
« smart » pour la ville, alors que ce concept était jusqu’alors réservé
au domaine de l’environnement et du développement durable (Breux,
Diaz, 2017, 3).
Le principal objectif de la smart city est la recherche d’une
meilleure efficacité environnementale, qu’il s’agisse de diminuer sa
consommation d’énergie ou le volume d’ordures qu’elle génère (Picon,
Smart Cities, Théorie et Critique d’un idéal auto-réalisateur, 17),
10
Ville durable / ville…
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…énergivore
En 2018 : informatique et internet =
- Troisième pays pollueur
- 7% de l’énergie dépensée en électricité dans le monde en
2013 (9% en France). Prévision de51% en 2030 pour le
secteur informatique….
- x 1,5 fois plus polluant que le transport aérien.
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Les ambivalences de la Smart City
Sécurité VS. Cyber-attaque
Liberté VS. Big Brother
Partagée VS. Franchisée
Collaborative VS. Propriétaire
Sensible VS. Aseptisée
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Quelques pistes de réflexion pour se repérer dans
les pratiques et les représentations de la Smart City
Entre 2000 et 2030 : l’espace urbain devrait avoir triplé de surface et gagné 1,2 million de kilomètres carrés.
Soit deux fois plus que la superficie de la France métropolitaine.
Sur 30 ans : 1,2 million de km2 gagnés = 110 km2 par jour, soit à peu près la superficie de Paris !
En 2030, les deux-tiers des zones urbaines de 2030 n’existaient pas au début du siècle.
Source : http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/09/23/entre-2000-et-2030-espace-urbain-mondial-geographie-biodiversite
Les trois piliers du développement durable.
Dimension écologique / environnementale : Préserver, améliorer et valoriser l’environnement et les ressources naturelles sur le long terme, en maintenant les grands équilibres écologiques, en réduisant les risques et en prévenant les impacts environnementaux.
Dimension sociale : Satisfaire les besoins humains et répondre à un objectif d’équité sociale, en favorisant la participation de tous les groupes sociaux sur les questions de santé, logement, consommation, éducation, emploi, culture...
Dimension économique : Développer la croissance et l’efficacité économique, à travers des modes de production et de consommation durables
Début des années 1990 : premières traces de la notion, comme dans le livre L’informatisation des villes, de Gabriel Dupuy (1992, 122).
2005 : Bill Clinton encourage Cisco à développer des plans de décongestion des villes afin de « diminuer les émissions de CO2 et économiser à la fois pour les citoyens et les communautés locales du temps et de l'argent ».
2008 : IBM lance son programme Smarter Cities pour répondre aux problématiques et enjeux du développement des villes, en proposant un kit complet de dispositifs et de services numériques afin de fournir des outils d’aide à la décision pour favoriser le développement durable et économique des villes.
Volume = suivre des pratiques spatiales individuelles et collectives (corrélation)
Variété = diversité des sources (IOT, mais aussi téléphone portable… etc.)
Vélocité = temps réel
Ca change car internet mobile
HAËNTJENS J. (2018), Comment les géants du numérique veulent gouverner nos villes : La Cité face aux algorithmes, Paris, Rue de l'échiquier.
Gestion optimisée de la ville vs. / œil sur la ville
1992 : “Smart growth” Agenda 21 de la Conférence de l’ONU organisée sur Environnement et Développement à Rio de Janeiro »
la technologie panse les plaies engendrées par la consommation excessive, la pollution, le gaspillage énergétique.
Antoine Picon, Smart Cities, Théorie et Critique d’un idéal auto-réalisateur, Editions B2, 2013, p.17
Internet, le Cloud, les vidéos, les tweets, etc. = consommation de CO2
En 2018 : informatique et internet =
Troisième pays pollueur
7% de l’énergie dépensée en électricité dans le monde en 2013 (9% en France). On prévoit 51% en 2030 pour le secteur informatique….
x 1,5 fois plus que le transport aérien.
Source : Andrae Anders S. G. et Edler Tomas, 2015, “On Global Electricity Usage of Communication Technology: Trends to 2030”, Challenges 6, 2015, pp. 117-157
Agbogbloshie, banlieue d’Accra au Ghana, en Afrique de l’Ouest
https://mrmondialisation.org/des-images-a-peine-croyables-la-decharge-dagbogbloshie/
Crédit images : Romano Maniglia
A Lyon, Hikari, le premier îlot urbain à énergie positive
https://www.lemonde.fr/planete/article/2015/09/17/a-lyon-hikari-le-premier-ilot-mixte-intelligent-a-energie-positive_4761665_3244.html
Sans jeter la pierre, les discours sont-ils en accord avec les principes de développement durable
On va pas demander à des citoyens de gérer des réseaux techniques, mais on peut leur offrir un peu plus de transparence sur la manière dont c’est géré
+ quels usages
Une ville c’est :
De la centralité
De la diversité
De la densité
De la temporalité