Witness curriculum 5-los cuatro pasos de la producción-2011
Witness curriculum 13-documentation et archivage d'une vidéo sur fichier section a-2011
1. Documentation et archivage
d’une vidéo sur fichier
Section A : Gestion et
documentation des fichiers
WITNESS vous invite à utiliser, remix et de partager ce programme.
Tous les matériaux sont sous ”Creative Commons Attribution-Non-Commercial
ShareAlike 3.0 License”.
06/25/12 pouvez trouver plus de matériels de sensibilisation sur la planification du plaidoyer vidéo
Vous 1
à www.witness.org.
2. Objectif
• Familiariser les participants avec
l’importance de documenter et de
bien organiser le matériel.
• Cerner la meilleure manière de
documenter et d’organiser le
matériel pour l’utiliser dans la
production, la post-production et
au-delà.
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3. Exposé général
• Pourquoi documenter le matériel ?
• Documentation
– Lors de l’installation, à la caméra et en post-production
• Déchargement du matériel
• Copies de secours
• Organisation de votre matériel
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5. Pourquoi documenter ?
• Pour enregistrer l’information
contextuelle nécessaire à la
compréhension du métrage brut.
• Pour enregistrer toutes les
restrictions de sécurité sur le
contenu.
• Pour permettre la vérification ; votre
fiabilité, votre crédibilité et votre
loyauté en sera accrue.
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6. Documentation à la caméra
• Réglez la date et l’heure sur votre
caméra. Cette information sera
incorporée dans vos fichiers de
matériel.
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7. Documentation à la caméra
• En option : quelques caméras vous
permettent aussi de régler/récupérer
la situation géographique, mais tenez
compte des problèmes éventuels de
sécurité et de protection.
• Désactivez cette fonction en cas de
risques pour la sécurité.
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8. Documentation à la caméra
• Le consentement éclairé :
Documentez les interviewés qui
donnent leur consentement éclairé.
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9. Documentation à la caméra
• Identification : à moins de risques
pour la sécurité, les personnes
devraient s’identifier à la caméra en
donnant leur nom et en l’épelant.
L’intervieweur/cadreur devrait aussi
s’identifier.
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10. Documentation à la caméra
• Contexte : l’intervieweur/cadreur
devrait fournir une description
détaillée à la caméra de l’événement,
en incluant la date et le lieu.
« Ici Ray Ibarra. Nous sommes le 17
juillet 2005. Je suis à la frontière de
l’Arizona, à 40 km au sud-ouest de
Tombstone, en Arizona. Je travaille
comme observateur juridique pour
contrôler et décourager les activités
de justiciers qui s’opposent aux
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migrants. »
11. Déchargement du matériel
• La façon de décharger le matériel
dépendra de la caméra, du système
d’exploitation de l’ordinateur et du
logiciel ou du programme utilisés.
Familiarisez-vous avec les
spécifications de chacun.
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12. Déchargement du matériel
• Selon le logiciel de montage utilisé,
vous pourriez avoir besoin de
transcoder (c.-à-d. changer le
format) votre métrage avant de
pouvoir le monter.
• Si vous faites un transcodage,
gardez un exemplaire de vos fichiers
originaux.
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13. Les copies de secours
• Ayez toujours une copie de
secours de votre métrage !
• Lors du déchargement ou de la
réorganisation de votre matériel sur
un lecteur, par exemple, gardez le
métrage original dans votre caméra.
• Ne l’effacez pas de la caméra avant
d’avoir créé une copie de secours
ailleurs.
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14. Les copies de secours
• Après avoir organisé vos fichiers,
créez une copie de secours dans un
lecteur autre que votre lecteur de
montage.
• Les copies de secours peuvent être
emmagasinées sur un support moins
coûteux comme un disque dur
externe. On peut aussi utiliser des
DVD, mais ils sont moins fiables.
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15. L’organisation du matériel
— les fichiers —
• Renommer les fichiers : peut-être
aurez-vous besoin de renommer vos
fichiers pour éviter de dupliquer les
noms dans votre projet (exemple,
deux fichiers nommés VID0001)
• Conseil : vous pouvez renommer vos
fichiers par lots en utilisant un
logiciel d’application ou un
programme de montage tiers.
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16. L’organisation du matériel
— les fichiers —
• Gardez le nom du fichier original
dans le nouveau nom de fichier.
Ajoutez la date de tournage (le lieu
et l’artisan, si nécessaire).
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17. L’organisation du matériel
— les fichiers —
Conseils :
• Soyez cohérents dans votre façon de
renommer vos fichiers.
• N’utilisez aucun caractère spécial
(exemple @#$%&*:”’<>?/) dans
vos noms de fichiers
• Utilisez le format de datation
aaaammjj ou aaaa-mm-jj
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18. L’organisation du matériel
— les fichiers —
• Organisation des dossiers :
Organisez vos fichiers de matériel
dans des dossiers.
• Utilisez un système qui retient l’ordre
original et qui a une signification
pour votre projet, par exemple, par
date, lieu et nom de l’artisan.
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19. L’organisation du matériel
— les fichiers —
• Conseil : l’ordre original préserve le
sens contextuel du métrage et sa
valeur probante.
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20. L’organisation du matériel
— les fichiers —
• Nommer les dossiers : Nommez
les dossiers de façon cohérente selon
la méthode utilisée pour organiser
vos fichiers, par exemple Date_Lieu
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21. Documentation — Résumé
• Créez un Résumé du matériel pour
chaque dossier.
• Résumé du matériel – documentation
écrite qui comprend :
– L’information de base/contexte
– La description du motif
– Les noms et affiliations des sujets
– Les restrictions de sécurité ou de protection
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22. Documentation — Résumé
• Créez un formulaire de résumé.
- Voir un exemple dans le cahier
d’exercices
• Même si vous n’avez pas de
formulaire standard, enregistrez
l’information quelque part (note
manuscrite, courriel (email), etc.)
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23. Documentation — Résumé
Information essentielle à inclure dans
un résumé de matériel :
• Date – La date ou les dates exactes
de tournage.
• Lieux – Le lieu ou les lieux exacts de
tournage. Soyez le plus précis
possible.
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24. Documentation — Résumé
• Cadreur/organisation – la source
du métrage.
• Cette information vous permet :
– D’établir la chaîne de possession
– D’avoir un contact pour des renseignements
additionnels sur le métrage au besoin
– De témoigner de la véracité et de la crédibilité
du métrage
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25. Documentation — Résumé
• Description – Un résumé complet
du métrage à la fois sur le visuel et
le contenu.
• Mettez en évidence tout contenu
important ou toutes questions
relatives à la qualité.
• Incluez les noms de toute personne
ou tous groupes interviewés ou
montrés.
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26. Documentation — Résumé
• Restrictions de sécurité – Y a-t-il
des restrictions sur une partie du
métrage ? Des noms, des visages ou
des lieux devraient-ils être déguisés
ou camouflés ?
• Consentements – On doit recueillir
des formulaires de consentement ou
des consentements à la caméra pour
toutes les entrevues et tous les
sujets et les soumettre avec le
WITNESS.org
métrage.
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27. Documentation – Journal de
bord
• Créez des j o u r n a u x d e b o r d de
vos fichiers de vidéo/plans de coupe.
• Journal de bord : Une description
détaillée, souvent plan par plan ou
verbatim des contenus du métrage. Aussi
appelé « transcription ».
• Si vous n’avez pas le temps de tout
consigner, n’entrez que le métrage le plus
important ou les entrevues.
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28. Documentation – Journal de
bord
• Créez un formulaire de journal de bord.
Voir un exemple dans le cahier d’exercices
• Éléments de base :
– Nom du plan de coupe
– C ode temporel
– Description visuelle
– Audio/Transcription
– Image/Qualité du son
– Restrictions
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29. Documentation – Journal de
bord
• Code temporel : un signal électronique
qui identifie chaque séquence de la vidéo.
Utilisé pour la synchronisation et comme
référence pendant toute la
post-production.
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30. Documentation – Journal de
bord
• Les caméras n’utilisent pas toutes un
code temporel. S’il n’y en pas,
servez-vous simplement du
totalisateur du visualiseur pour la
consignation au journal
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31. Documentation – Journal de
bord
• Raccourci pour décrire les plans :
• TGP Très gros plan
• GP Gros plan (Close-up)
• PM Plan moyen
• PG Plan général
• PL Plan large
• PV Plans variés
• NAT Son naturel
• EXT Extérieur
• INT Intérieur
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32. Résumé
• Documentez votre vidéo à la caméra
et à l’aide des résumés de matériel
et des journaux de bord.
• Ayez toujours une copie de secours
de votre métrage.
• Organisez votre métrage en dossiers
par date, lieu ou source. Renommez
vos fichiers au besoin.
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Notes de l'éditeur
La documentation et l ’ archivage de vidéos sur fichiers : Notes de présentation de l ’ animateur Les termes soulignés sont définis dans le Glossaire Le texte en italique renvoie au texte qui pourrait nécessiter des modifications dans le cas où l ’ on n ’ utiliserait pas les exemples fournis par WITNESS. Diapositive 2 OBJECTIF Familiariser les participants avec l ’ importance de la documentation et de l ’ archivage Cerner la meilleure manière de documenter, d ’ ordonner et de gérer le matériel de la production à la postproduction et au-delà. Diapositive 3 EXPOSÉ GÉNÉRAL Pourquoi documenter le matériel ? Documentation Lors de l ’ installation, à la caméra et en postproduction Déchargement du matériel Copies de secours Organisation de votre matériel Diapositive 4 QU ’ EST-CE QUE LA DOCUMENTATION ? Documenter, c ’ est enregistrer de manière systématique ses observations sur une situation ou un événement donné, tel que l ’ enregistrement vidéo d ’ une éviction forcée d ’ une communauté, ou transcrire un compte rendu à la première personne de violations de droits de l ’ Homme. Dans un plaidoyer vidéo, la forme primaire de documentation est, bien sûr la vidéo elle-même. Cependant, l ’ image seule peut rarement transmettre le contexte nécessaire à la compréhension du métrage et en authentifier le contenu. [Changer le texte en italique ci-dessous si vous n ’ utilisez pas l ’ image fournie] Cette image vidéo d ’ hommes rassemblés dans un champ ne nous dit pas grand-chose (sauf la date à laquelle elle a été tournée). Le fait de savoir que ces hommes sont d ’ anciens patrouilleurs civils (PAC) impliqués dans le massacre de Mayas au Guatemala dans les années 80 et qui surveillaient encore les activités des survivants quand cette vidéo a été tournée, rend ce métrage beaucoup plus important. Pour pouvoir utiliser cette vidéo dans un travail de défense de droits, cette information doit être documentée quelque part. La documentation de vidéos devrait être enregistrée de façon à capter l ’ information contextuelle essentielle comme la date, le lieu, une description de l ’ événement ou de la situation et les noms des sujets et des auteurs de la vidéo. Si toutefois cette information ne peut pas être incluse dans la vidéo elle-même, l ’ alternative serait d ’ accompagner la vidéo d ’ autres formes de documentation, telle que des documents écrits. Diapositive 5 POURQUOI DOCUMENTER VOTRE VIDÉO ? Enregistrer et conserver la documentation adéquate sur toute vidéo ou image que vous filmez revêt une importance capitale. La documentation explique ce qui est décrit dans votre métrage et la raison pour laquelle vous le filmez. Elle enregistre le consentement éclairé des sujets, de sorte que les futurs utilisateurs du métrage sauront ce qui peut et ne peut pas être partagé pour des motifs de sécurité et de respect de la vie privée. La documentation adéquate des sources, ou de la provenance , permet de placer les événements dans des contextes connus et à vérifier, ce qui est essentiel à l ’ utilisation de métrage comme preuve crédible non seulement pour des procédures judiciaires, mais aussi pour le travail de documentaire et de travail de défense de droits. Diapositive 6 DOCUMENTATION À LA CAMÉRA Il existe trois façons de documenter votre vidéo – à la caméra, dans un résumé écrit du matériel et dans un journal de bord ou transcription. La documentation à la caméra se fait avant et pendant le tournage. Avant de commencer le tournage, assurez-vous que l ’ heure et la date sont bien réglées à votre caméra. Les caméras numériques vous permettent d ’ incorporer les informations date/heure dans les fichiers de matériel qu ’ elles génèrent. On appelle ce type d ’ information sur votre vidéo des métadonnées . Vous ne verrez pas cette information sur l ’ image réelle, mais elle est sauvegardée comme partie intégrante du fichier numérique. Le programme ou logiciel, tel votre logiciel de montage, s ’ en servira. Diapositive 7 Quelques caméras permettent aussi d ’ incorporer ou de récupérer la situation géographique par système de localisation GPS. Cette information est potentiellement très utile, mais assurez-vous que cela ne compromet pas votre protection et votre sécurité ou celles d ’ autres personnes. Si la sécurité est une préoccupation, assurez-vous de désactiver cette caractéristique sur votre caméra. Diapositives 8 et 9 Quand vous commencez à tourner, enregistrez vos sujets lorsqu ’ ils accordent le consentement éclairé. À moins de risques pour la sécurité, les personnes devraient s ’ identifier à la caméra en donnant leur nom et en l ’ épelant, leur position ou titre, le lieu, la date et l ’ heure. Le cadreur (caméraman) et les autres participants devraient aussi s ’ identifier. Diapositive 10 Le cadreur devrait préciser le contexte ou le motif de l ’ enregistrement. Exemple : « Ici Ray Ibarra. Nous sommes le 17 juillet 2005. Je suis à la frontière de l ’ Arizona, à 40 km au sud-ouest de Tombstone, en Arizona. Je travaille comme observateur juridique pour contrôler et décourager les activités de justiciers qui s ’ opposent aux migrants. » Diapositive 11 DÉCHARGEMENT DU MATÉRIEL Une fois le tournage terminé, vous devez décharger le métrage de votre caméra de façon à pouvoir vous en servir. Le procédé utilisé pour transférer le matériel de la caméra dépendra de la caméra, du logiciel et du système d ’ exploitation de l ’ ordinateur que vous utilisez. [RÉFÉREZ-VOUS À LA DOCUMENTATION SUR LE DÉCHARGEMENT DU MATÉRIEL] Diapositive 12 À l ’ heure actuelle, il existe de nombreux formats de divers types de vidéo numérique. Malheureusement, ils ne sont pas tous compatibles avec le logiciel et le matériel que vous utiliserez pour monter et partager votre vidéo. Il faudra peut-être alors transcoder ou changer le format de votre vidéo pour l ’ utiliser avec votre logiciel ou programme de montage ou pour rendre votre métrage utilisable à d ’ autres fins. [RÉFÉREZ-VOUS À LA DOCUMENTATION SUR LE TRANSCODAGE ET LES FORMATS] Diapositive 13 LES COPIES DE SECOURS Les fichiers numériques peuvent être accidentellement effacés ou s ’ altérer. Ayez toujours une copie de secours de votre vidéo ! Lors du déchargement ou de la réorganisation de votre matériel sur un lecteur, par exemple, gardez le métrage original dans votre caméra. Ne l ’ effacez pas de la caméra avant d ’ avoir créé ailleurs une copie de secours des fichiers réorganisés du matériel déchargé. Diapositive 14 Vos copies de secours devraient toujours être séparées du lecteur que vous utiliserez pour le montage. Vous pouvez la (ou si possible les) conserver sur médium moins coûteux — un disque dur externe par exemple ou des DVD. Notez que les DVD ne sont pas très fiables, alors ils ne devraient être utilisés que lorsqu ’ aucune autre option ne s ’ offre à vous. Diapositive 15 ORGANISATION DU MATÉRIEL – RENOMMER LES FICHIERS Quelques caméras créent de nouveaux fichiers chaque fois que vous commencez ou cessez l ’ enregistrement. En conséquence, vous pourriez vous retrouver avec un grand nombre de fichiers lors du déchargement de votre matériel. Les noms de fichiers doivent être uniques. Si vous dupliquez des noms de fichiers, par exemple deux fichiers intitulés VID00001, vous aurez probablement besoin de les renommer pour éviter de générer une confusion dans votre système d ’ exploitation et votre logiciel ; cela empêche également de réécrire accidentellement sur vos fichiers. Certains systèmes de caméras permettent de renommer les fichiers lors du déchargement du matériel si vous utilisez le logiciel qui accompagne la caméra. Si vous ne pouvez l ’ utiliser, vous pouvez renommer vos fichiers manuellement ou à l ’ aide d ’ un parallèle comme Automator (sur Mac) pour les renommer par lots. Diapositive 16 Lorsque vous renommez des fichiers, conservez le nom du fichier original tel que généré à la caméra, dans le nouveau nom. C ’ est important pour des raisons de preuve et d ’ information ; cela vous aidera à identifier la source du fichier et la façon dont il s ’ insère dans le contexte des autres fichiers (si les fichiers sont identifiés par nombres par exemple). Renommez les fichiers en annexant une information importante au nom de fichier original, comme la date, le lieu ou la personne qui l ’ a filmé. Diapositive 17 Les pratiques exemplaires : - Établir un système et soyez cohérents dans votre façon de renommer vos fichiers. - N ’ utiliser aucun caractère spécial (@#$%&*: ”’ <>?/) dans vos noms de fichiers - Pour les dates, utilisez le format aaaammjj ou aaaa-mm-jj Exemple : Diapositives 18 et 19 ORGANISATION DU MATÉRIEL – LES DOSSIERS Ordonnez vos fichiers de matériel brut dans des dossiers d ’ une manière qui convient à votre projet et qui conserve l ’ ordre original des fichiers (tel que la date, le lieu, ou la personne qui a filmé). Tout comme le nom original des fichiers a une valeur probante et informative, la séquence dans laquelle les fichiers ont été enregistrés est importante. Tout comme avec les fichiers, établissez un système et soyez cohérents dans votre façon de nommer vos dossiers et n ’ utilisez pas de caractères spéciaux (comme @#$%&*: ”’ <>?/). Exemple : Diapositive 21 RÉSUMÉ DU MATÉRIEL Créez un résumé du matériel pour chaque dossier. Un résumé de matériel est une documentation écrite sur le métrage, comme l ’ information de base, le contexte, la description détaillée du motif, les noms et les restrictions de sécurité ou de protection. Diapositive 22 Vous voudrez peut-être créer un formulaire pour vous assurer que vous captez la même série d ’ information pour tout votre métrage. Si vous n ’ avez pas à votre disposition des formulaires de résumé ou de journal de bord, utilisez tout genre de document en votre possession. Enregistrer cette information revêt une importance capitale. Cependant, elle peut-être notée par écrit ou envoyé en message électronique. [FAITES LE LIEN AVEC LE MODÈLE DE RÉSUMÉ FOURNI EN EXEMPLE] Si vous utilisez le formulaire Excel de WITNESS, veuillez noter qu ’ il y a 2 fiches : la page 1 est le résumé et la 2 est utilisée pour le journal de bord ou transcription. Exemple : Résumé du matériel Nom du partenaire STAND Langue(s) anglais Date (s) de tournage 2009-09-21 Nom du fichier de répertoire 20090921_DC_Dallaire Génération x Fichiers originaux/caméra Fichiers transcodés pour montage Numéro des fichiers dans le répertoire 3 sorties (fichiers exportés du logiciel de montage) Titre [entrevue avec le lieutenant-général Roméo A. Dallaire] Format (s) du fichier DV Titre ID WITNESS Standard vidéo x NTSC Vidéaste Ryan Kautz PAL Intervieweur Chris Michael Type x Brut Lieux de tournage Pays US Monté État/Province/Région/ Notes additionnelles Ville Washington DC Autre Résumé du contenu Entrevue avec le lieutenant-général Roméo A. Dallaire, ancien Commandant de la Mission d ’ aide de l ’ ONU au Rwanda, sur l ’ importance d ’ introduire une loi globale contre le génocide. PMR de la tête de Dallaire sur arrière-plan gris uni. Dallaire argue que la prévention des génocides va dans le sens des intérêts de l ’ Amérique. Les États qui failliront à la tâche causeront des mouvements de population, des pandémies et une limite d ’ accès aux ressources naturelles. De plus, les conflits engendrent des coûts, de la souffrance humaine et des intentions malveillantes qui peuvent conduire au terrorisme. Dallaire presse les politiciens de considérer la réaction à l ’ insécurité dans les régions éloignées comme faisant partie de leur responsabilité envers leurs commettants au pays. Il affirme que c ’ est un très mauvais plan d ’ affaires que de n ’ intervenir que lorsque la situation est catastrophique, puisque cela coûte énormément au plan de l ’ aide et de la sécurité pour rétablir un État qui s ’ est effondré. Les recommandations de la Force opérationnelle de prévention du génocide sauveront des vies et économiseront de l ’ argent. Veuillez fournir une description des événements sur la cassette dont l ’ information de base, le contexte, le motif les noms des sujets principaux Sécurité Veuillez décrire toute restriction sur le plan de la sécurité ou de la protection concernant ce métrage (besoin de déguiser des visages, des noms ou des lieux par exemple) Aucune restriction sur le plan de la sécurité. Nom/Affiliation Utilisation du nom permis ? Utilisation du visage permis ? Renonciation aux droits signée Consentement à la caméra Roméo A. Dallaire x Oui x Oui x Oui Oui Non Non Non x Non Diapositives 23, 24, 25, 26 L ’ information la plus importante à inclure dans votre résumé est la suivante : DATE (AAAA-MM-JJ) – la (les) date (s) exacte (s) du tournage de la vidéo. LIEUX – Le (s) lieu (x) exact (s) du tournage. Soyez le plus précis possible ; par exemple, Camp de réfugiés Waterloo, Freetown, Sierra Leone Prison Santa Rosa de Copan, Tegucigalpa, Honduras CADREUR (CAMERAMAN)/ORGANISATION – Connaître la source du métrage est important pour un certain nombre de raisons : établir la chaîne de possession à des fins de preuve ; prendre contact pour des renseignements supplémentaires sur le métrage, au besoin ; témoigner de la véracité et de la crédibilité du métrage. Assurez-vous de référencer le nom du fichier (c.-à-d. répertoire du fichier) sur le formulaire. DESCRIPTION et CONTEXTE – Décrivez visuellement le métrage et le sujet qui y est traité. Incluez ici les noms de toutes personnes ou tous groupes interviewés ou montrés. Quelle était la raison du tournage de cette séquence ? Y a-t-il autre chose d ’ important à ajouter sur la façon dont on l ’ a obtenu ? Par exemple, la séquence a-t-elle été tournée en secret ou passée à l ’ insu des forces de sécurité ? RESTRICTIONS DE SÉCURITÉ – Y a-t-il des parties du métrage sur lesquels il y aurait des restrictions quelconques (sécurité, protection, confidentialité, dignité) ? Devrait-on déguiser ou camoufler les noms, les visages, les lieux ? CONSENTEMENTS – Indiquez si vous avez recueilli un consentement écrit ou à la caméra du sujet. On devrait aussi consigner au journal de bord « Vidéo avec restrictions », mais notez-le toujours clairement dans le résumé. Diapositive 27 JOURNAL DE BORD OU TRANSCRIPTION Le journal de bord ou transcription est une description détaillée, souvent plan par plan ou verbatim des contenus du métrage. Les journaux de bord et les transcriptions sont très utiles à l ’ étape de la postproduction et du montage, mais servent aussi comme de bonnes formes de documentation. Du point de vue de la documentation, l ’ inscription au journal et la transcription ne sont pas essentielles et peuvent être faites ultérieurement par quelqu ’ un qui n ’ était pas présent au tournage. Du point de vue de la production cependant, vous voudrez probablement consigner au journal le plus tôt possible si vous planifiez utiliser le métrage lors du montage. Si le temps vous manque pour consigner toute la vidéo au journal, établissez des priorités : consigner les séquences les plus importantes ou les entrevues. Diapositive 28 Créez ou utilisez un modèle pour décrire votre métrage plan par plan, en utilisant des colonnes pour le nom du fichier, le code temporel, les éléments visuels, le son/transcription, la qualité de l ’ image et du son et les restrictions. [LIEN AVEC L ’ ÉCHANTILLON DE MODÈLE DE JOURNAL DE BORD] Exemple : Répertoire du fichier 20090921_DC_Bell Titre Date Consigné par Journal de bord/Transcription Nom de la séquence Code temporel Éléments visuels Son Transcription Qualité image/Son Restrictions 20090921_Bell_0430VK 0:00:00 PMR Sam Bell Nous n ’ avons pas de système en place, plein de bonnes personnes de bonne volonté, mais nous n ’ avons pas le cadre qui permettrait aux leaders qui s ’ en soucient une réelle exécution bonne 0:01:12 Nous avons besoin d ’ une meilleure boîte à outils… nous savons pertinemment que le Congrès s ’ en préoccupe parce que nous avons entendu dire… 20090921_Bell_0429WO 0:00:00 GP Sam Bell La raison de l ’ existence du GPTF et pour laquelle ce groupe bipartisan s ’ est rassemblé c ’ est qu ’ il n ’ existe pas de système Son bas Diapositives 29 et 30 Le code temporel est un signal électronique qui identifie avec précision chaque séquence de la vidéo – en heures:minutes:secondes:format de séquences. Il est utilisé pour la synchronisation et comme référence pendant la postproduction. Malheureusement, toutes les caméras n ’ utilisent pas le code temporel. Si votre caméra ne dispose pas de cet élément, utilisez simplement le totaliseur de votre visualiseur pour indiquer de manière approximative les minutes:secondes lorsque vous consignez vos séquences au journal. Diapositive 31 Utilisez ces sigles pour décrire vos plans ou groupes de plans similaires ou répétitifs : TGP Très gros plan GP Gros plan (Close-up) PM Plan moyen PG Plan général PL Plan large PV Plans variés NAT Son naturel EXT Extérieur INT Intérieur ECU Diapositive 32 RÉSUMÉ Documentez votre vidéo à la caméra et à l ’ aide de résumés de matériel et de journaux de bord. Ayez toujours une copie de secours de votre métrage. Ordonnez votre métrage en dossiers par date, lieu ou source. Renommez vos fichiers au besoin.
Utilisez une photo qui semble très particulière, mais dont le sens n ’ est pas visuellement évident.
Définition élémentaire du transcodage : conversion d ’ un fichier numérique, d ’ un encodage (c.-à-d. format de fichier) à un autre. Cette opération a pour but de rendre votre fichier compatible avec votre logiciel ou votre appareil ; permet aussi d ’ ajuster la taille de votre fichier au besoin.