2. Nous et notre projet…
La SCIC R2K est une initiative d’un groupement d’acteurs dont l’objet
est d’accompagner les publics en difficulté .
Notre but est de mettre en place des actions solidaires face à une
urgence sociale grandissante, avec pour priorité l’accès à l’emploi,
l’insertion et la formation, la lutte contre une société à deux vitesses en
nous appuyant sur le numérique, symbolisant la société d’aujourd’hui
et de demain.
Les fondateurs de la SCIC R2K sont les salariés de :
Réseau 2000 : centre de formation dans le numérique et spécialiste de l’accès à
l’emploi, aide au montage de projets
L’Atelier des Réseaux : Espace Public Numérique orienté vers les personnes à faible
revenu
La Ville des Gens : site internet participatif pour l’animation du Nord/Nord –Est
parisien, initiation des séniors au numérique
Réseau 19 : première entreprise d’insertion en France dans l’infogérance
informatique
3. Pourquoi une coopérative SCIC…
La SCIC R2K est une coopérative à gestion désintéressée qui associe les
acteurs pour produire des services d'intérêt collectif. Elle fonctionne
selon le principe coopératif « une personne = une voix » et est basée
sur la démocratie participative.
Nos sociétaires se divisent en quatre grandes catégories :
les fondateurs (ceux qui ont participé à la création de la SCIC)
les salariés
les bénéficiaires (associations, entreprises, collectivités…)
les usagers (tous ceux qui bénéficient directement ou indirectement
des services de la SCIC)
Le projet s’appuie sur le décloisonnement entre ces différents acteurs
du territoire, sur la mutualisation des moyens, des compétences de
ces acteurs, leur mise en réseaux et la mise en place de synergies
collaboratives utiles aux plus défavorisés.
4. L’organisation de la SCIC
Outre son principe de fonctionnement de coopérative, la SCIC est
juridiquement une SARL. Le capital est divisé en part d’une valeur de
25 euros chacune.
C’est la cadre légal propre aux SARL qui s’applique :
Les sociétaires dont le nombre se situe entre 2 et 100, sont
responsables financièrement à hauteur du montant de leurs parts
Les sociétaires se réunissent en assemblée générale
Un gérant est salarié et désigné par les membres du conseil
Un commissaire au compte est désigné pour certifier les comptes
chaque année
Deux organes sont prévus pour administrer la SCIC :
Un conseil d’évolution sur les orientations stratégiques
Un comité de gestion pour assister le gérant et/ou les co-gérants pour validation des
prévisions budgétaires
5. Coopérative R2K
Les sociétaires Le Conseil
Collège des Salariés 2 administrateurs 50% sur
et Fondateurs Salariés vote final
nomme
(constitution du capital
3 administrateurs
initial)
Fondateurs
Collège des
Bénéficiaires : 2 administrateurs 30% sur Président
nomme
Personnes morales Bénéficiaires vote final
(droit public ou privé)
Collège des Usagers : 2 administrateurs 20% sur
Utilisateurs des nomme Usagers vote final
services de la SCIC Option: 3 cooptations
Se réunit au moins 1 fois par trimestre en Assemblée Générale Ordinaire
désigne un Président à travers ses pairs (la voix de celui-ci est prépondérante en cas d’égalité
des voix) pour un premier mandat de 3 ans
3 membres peuvent être cooptés par le conseil pour 1 an
6. Coopérative R2K
LE CONSEIL D’EVOLUTION LE COMITE DE GESTION
Il délibère sur la stratégie Il se réunit régulièrement
générale de la société qui est pour assister le gérant et/ou
soumise à son approbation. les co-gérants pour validation
des prévisions budgétaires.
7. UNE ORGANISATION PAR
PÔLE D’ACTIVITE
L’ ACCOMPAGNEMENT
DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI
L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION
PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »
Les « SERVICES LOCAUX »
8. UNE ORGANISATION PAR
PÔLE D’ACTIVITE
L’ ACCOMPAGNEMENT
DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI
Le Pôle a pour mission d’accompagnement les publics les plus éloignés de l’emploi, développer leur
employabilité. Il s’adresse de façon prioritaire :
aux jeunes sortis prématurément du système scolaire
aux travailleurs en situation de handicap
aux chômeurs longue durée
aux personnes en situation fragile (monoparentalité, en besoin d’alphabétisation, …)
Des prestations basées sur plusieurs
dynamiques :
La mobilisation
L’orientation
L’accès à l’emploi et à la qualification
L’accès à la culture artistique & scientifique
L’accès aux droits
…
9. L’ ACCOMPAGNEMENT
DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI
L’UFA – cursus de formation en alternance aux métiers du numérique
Chaque année, nous amenons environ 20 jeunes non diplômés, sortis prématurément du système
scolaire, vers des métiers d’avenir (community manager, documentaliste numérique, …) et leur
permettons d’entrer sur le marché du travail avec une expérience significative de deux années et
un titre professionnel homologué par l’Etat de niveau Bac+1.
Nos partenaires de l’UFA:
- L’APROGED (association des professionnels du numérique),
- L’ANSA (Association Nationale des Solidarité Active)
- Le CFA PAE
- Les entreprises d’accueil des apprentis : Generali, Banctec, Areva, PC Presse, SSII
SNCF….
10. L’ ACCOMPAGNEMENT
DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI
La formation en partenariat avec la Région Ile-de-France
PAVE (Parcours d’accompagnement vers l’emploi) dans l’Assistance et la Maintenance
informatique
Cette formation débouchant sur le Titre Professionnel du CATIC – Conseiller Assistant en
TIC(homologué niveau Bac) inclut une période d’immersion en entreprise de 7 à 8 semaines en
fin de formation.
Chantier-Ecole dans le Multimédia : Production, diffusion et gestion de contenu numérique
L’objectif étant de mobiliser les capacités des stagiaires pour une réalisation collective définie au
préalable, de les mener vers un premier niveau de professionnalisation tout en garantissant un
suivi socio-professionnel individualisé.
11. L’ ACCOMPAGNEMENT
DES PUBLICS ELOIGNES DE L’EMPLOI
Des dispositifs sous convention
Un référent PLIE
Le référent PLIE coordonne les parcours des personnes en situation précaire, et travaille en
collaboration avec les services sociaux et les professionnels de l’emploi.
12. UNE ORGANISATION PAR
PÔLE D’ACTIVITE
L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION
PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »
Le Pôle Ingénierie de l’Insertion par l’Activité Economique aura pour mission :
L’appui aux structures d’insertion : aide au montage ou reprise de chantier / entreprise
d’insertion
Services de mutualisation de l’accompagnement social, de la comptabilité, de la gestion des
ressources humaines
Des prestations basées sur 2 dynamiques :
L’expertise en IAE de nos équipes
…
Les partenariats dynamiques et la mutualisation des compétences et
moyens permis par le concept de SCIC
13. L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION
PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »
Expertise et aide au montage de projets sur la base d’un chantier d’insertion
C’est grâce à l’expertise de Réseau 2000 que la Ville des Gens a vu le jour, un site internet
associatif et participatif, pour l’animation du Nord et du Nord-Est Parisien. Fruit d’un chantier
d’insertion, la Ville des Gens est devenu pérenne et a depuis diversifié ses activités : initiation des
séniors au numérique, mise en ligne du journal local Quartiers Libres, construction du premier
Mémorial de la Résistance numérique…
Reprise de chantiers ou entreprises d’insertion
Réseau 2000 a repris en 2011 et pérennisé l’Association d’Insertion « La Licorne », spécialisée
dans le bâtiment second œuvre et qui travaille essentiellement à la rénovation de parties
communes dans les logements sociaux de la Ville de Paris.
14. L’ ACCOMPAGNEMENT DES JEUNES DESCOLARISES
L’AIDE AUX STRUCTURES D’ « INSERTION
PAR L’ACTIVITE ECONOMIQUE »
Mutualisation des services d’accompagnement social, comptabilité, ressources humaines :
La coopérative proposera à ses sociétaires (associations, entreprises, professions libérales) de
bénéficier de support sur les fonctions d’accompagnement social, mais aussi sur la gestion
comptable, financière, des ressources humaines.
Création de structures pour développer l’économie locale :
Réseau 2000 a créé Réseau 19, une SSII (Société d’Ingénierie Informatique) qui emploie des
salariés en contrats aidés. Réseau 19 propose des services d’infogérance et de réparation de
matériel informatique à des associations, à des collectivités (Les PLIE, le 104, ACV, le théâtre de la
Bastille, la Fédération des Centres sociaux…..). Depuis 2011, Réseau 19 a ouvert une boutique
accessible aux habitants ayant besoin de matériel ou de réparation informatique à un tarif peu
élevé.
15. UNE ORGANISATION PAR
PÔLE D’ACTIVITE
Les « SERVICES LOCAUX »
Des services locaux seront proposés à tous :
Aux habitants : espaces publics numériques pour tous, pour les séniors, services de proximité
Aux créateurs d’entreprises : espace de co-working et ressources partagées
Aux entreprises : appui et conseil en formation et recrutement dans le cadre des politiques
de diversité et d’engagement sociétal
…
16. Les « SERVICES LOCAUX »
Aux habitants
L’Atelier des Réseaux : un espace public numérique
L’Atelier des Réseaux est un EPN créé par Réseau 2000 qui a pour vocation d’initier et former les
personnes au numérique. Notre préoccupation première reste un accès pour tous, avec une
participation financière très modérée pour les plus démunis.
Un Espace Public Numérique pour les séniors
Depuis 2010, La Ville des Gens a initié et formé des séniors à l’informatique. Nous souhaitons
poursuivre cette initiative qui a rencontré un vif succès en ouvrant un espace de partage,
d’échange et d’apprentissage qui leur sera exclusivement dédié.
Des services de proximité
Lors de nos interventions dans notre quartier, nous recueillons des demandes d’habitants qui ne
trouvent pas certains services correspondant à leurs besoins et à leurs moyens financiers
(courses, garde d’animaux, démarches administratives…). Nous proposerons des services qui
viendront en aide à ces personnes et qui auront également pour vocation de créer du lien social.
17. Les « SERVICES LOCAUX »
Aux créateurs d’entreprise
Un espace de travail en co-working et l’accès à des ressources commune
L’espace de travail se situe dans nos locaux, il prévoira un poste de travail avec internet et des
équipements mis en commun (une imprimante, un photocopieur, une ligne de téléphone, salle de
réunion…) Un espace ressources sera mis en place (accès à notre réseau d’entreprise,
d’associations… et informations sur la création /gestion d’activité)
Un service comptable et un hébergement du siège social
Nous fournirons un cadre légal et comptable à l’entrepreneur pour ses démarches
administratives et la tenue de sa comptabilité.
Une politique de formation
Les créateurs d’entreprise bénéficieront des formations que nous proposons par ailleurs,
notamment dans le numérique, l’accès aux droits.
18. Les « SERVICES LOCAUX »
Aux entreprises
La gestion des ressource s humaines
Nous souhaitons nous engager auprès d’entreprises partenaires pour les assister dans leurs
besoins en matière de recrutement et de formation.
La mise en réseau de nos bénéficiaires et des employeurs
Nos activités nous amènent à côtoyer un volant important de jeunes en recherche d’emploi, que
nous avons par ailleurs formés, et qui constitueront une base de recrutement pour les
employeurs
19. « Le développement local»
La Place du projet
La une somme d’initiatives individuelles prises sur un territoire ne suffit pas à créer un
mouvement durable. Il faut pour cela un projet d’ensemble, appuyé sur un groupe de
partenaires qui l’incarne, une stratégie et des outils.
Le projet est un ensemble d’objectifs à long terme, donnant une perspective aux forces
vives d’un territoire. Il doit intégrer les dimensions culturelles et sociales autant
qu’économiques, valoriser les ressources humaines au niveau local. Il peut devenir alors
facteur essentiel d’identités collectives. Son élaboration demande du temps, un effort
de formation et de communication.
La stratégie est la traduction du projet en termes de programmes, d’opération et de
processus. Elle s’élabore à partir d’un diagnostique du territoire avec ses ressources, et
ses points faibles, ainsi que des opportunités traduites en projets précis et
opérationnels.
20. « Le développement local»
La Place du projet
Le point de départ de la dynamique locale pourra être de nature économique, mais aussi sociale ou
culturelle, le caractère global de la démarche n’étant réalisé que progressivement, par approches
successives, et partant d’opportunités réelles. Chaque initiative est donc évaluée en fonction du
projet d’ensemble.
Le territoire pertinent est celui où peut s’instaurer une telle dynamique. Ses limites peuvent être
différentes de celles du bassin d’emploi, et a fortiori, de l’arrondissement ou du département
21. « Le développement local»
Comment ils définissent le développement local
« Ni mode, ni modèle, le développement local est une dynamique qui met en évidence l’efficacité des
relations non exclusivement marchandes entre les hommes pour valoriser les richesses dont ils
disposent. »
BERNARD PECQUEUR
« Un processus de diversification et d’enrichissement des activités économiques et sociales sur un
territoire à partir de la mobilisation et de la coordination de ses ressources et de ses énergies. »
XAVIER GREFFE
« Le développement local est fondé sur la mobilisation des ressources et des savoir-faire, et met
l’accent sur le développement des initiatives locales, le renforcement des solidarités
intercommunales et les prises en compte des aspirations et des besoins de la population dans les
domaines économiques, social et culturel. »
Région Alsace, n° 7, juin 1988
22. « Le développement local»
Comment ils définissent le développement local
“*…+ construction of a “better” society where “better” is defined by the people who are part of it and
who become consciously and actively involved in helping to bring this “better” society about.”
E. A. CEBOTAREV
« *…+ Le développement local vise à recréer un espace structuré par des pôles, relativement
autonomes, capables de négocier avec l’extérieur. L’objectif du développement local est de créer, ou
de faire exister à nouveau, un partenaire avec des atouts de négociation dans le jeu économique,
social et culturel de la société globale. »
JACQUELINE MENGIN
23. « Le développement local»
Comment ils définissent le développement local
« *…+ le développement local *…+ une intervention structurée, organisée, à visée globale et continue,
dans un processus de changement des sociétés locales en proie à des déstructurations et des
restructurations. »
DATAR
« Le défi le plus important du développement local, c’est sa capacité à changer les mentalités, à
passer des mentalités d’échecs et d’assister à des mentalités d’acteurs sociaux et économiques, à des
mentalités de créateurs. »
PIERRE NARDIN
24. « Le développement durable»
« Dans la pratique, introduire les préoccupations du développement durable conduit à prendre en
compte de façon croisée :
4 dimensions (ou clefs d'entrée thématiques)
l'économie plurielle - c'est-à-dire une approche économique prenant en compte des différents types
d'acteurs impliqués dans la création de "richesses" (qu'elles soient monétaires ou non, qu'elles se
situent en termes de revenus, d'emplois, de bénéfices sociaux et environnementaux),
soit : le marché (échanges financiers), l'Etat (redistribution), la société civile (réciprocité) ;
la cohésion sociale - faire de la cohésion sociale l'un des fils conducteurs des projets, ce qui passe par
la reconnaissance de la diversité (culturelle, sociale, …) des individus et des groupes, le
développement des solidarités et du principe d'équité ;
25. « Le développement durable»
la mise en valeur et la sauvegarde de l'environnement – Protéger et revitaliser les ressources
naturelles, favoriser les fonctions productives environnementales (quand protéger l'environnement
devient source d'activité et de richesses"), promouvoir la qualité de la vie (cadre de vie et santé dans
et par le logement, l'activité, l'espace public, …) ;
la gouvernance, c'est-à-dire l'organisation du débat entres les différentes parties prenantes, de la
coopération, de la "confrontation bienveillante", voire de la contractualisation entre les différentes
parties prenantes (ex. pouvoirs publics, acteurs économiques, autres composantes de la société
civile).
.
26. 6 principes complémentaires
la précaution (analyser les incertitudes, par exemple scientifiques, et tenter d'éviter les risques) ;
La prévention (anticiper les risques pour les réduire autant que faire se peut ; se préparer à gérer
les éventuelles situations de crise) ;
l'optimisation des ressources et des moyens (utiliser de façon économe et optimale les "biens" du
territoire) ;
la responsabilité - faire en sorte que chaque acteur anticipe les conséquences de ses actes et
prenne en charge les impacts directs et/ou indirects de son intervention – Illustration : appliquer
le principe "pollueur-payeur" dans tous les domaines
la subsidiarité - négocier une répartition des rôles et compétences (juridiques, fonctionnelles,
professionnelles, …) qui soit cohérente, lisible et la plus efficiente possible
la réversibilité - prédéfinir pour chaque intervention à conduire les conditions qui garantissent, en
cas, que la situation obtenue, en cas d'arrêt de l'action ou à son achèvement, sera au moins
équivalente, et si possible meilleure, qu'avant l'intervention (c'est-à-dire qu'aucun dommage ne
sera constaté en termes d'atteinte aux ressources naturelles ou humaines, au cadre de vie, aux
capacités de coopération, … )
27. « Le développement durable»
la prise en compte de 6 conditions sine qua non (sans lesquelles "cela ne marche pas" !)
le partenariat (lisibilité des systèmes d'acteurs et renforcement des coopérations)
la transversalité (décloisonnement des "cultures" et des organigrammes, dans une logique "balle
de flipper")
l'articulation des échelles (géographiques, temporelles,…)
le droit à l'initiative (pouvoir "oser" et faire ses preuves par l'action)
le pilotage de projet (être en capacité de procéder aux ajustements nécessaires)
l'évaluation et la capitalisation Il ne s'agit pas de substituer les logiques verticales (notamment
hiérarchiques), par des pratiques horizontales, mais de favoriser des rencontres interdisciplinaires,
interhiérarchiques, …
.
28. « L’entreprise solidaire»
trois vocations s’articulent (certes à des degrés différents en fonction de la nature de l'activité, des
projets ou du statut) à savoir:
1. une vocation "d'intérêt de service public" (services collectifs et/ou à la personne, services liés à
l’environnement, aux transports, à l'éducation, …), traduite par des missions de proximité
territoriale, qui doivent pouvoir faire l'objet de contractualisation (à leur juste prix) entre les
entrepreneurs de la société civile et les politiques publiques (ce qui reste encore parfois difficile à
obtenir),
2. une vocation "d'insertion sociale et professionnelle", que les politiques contractualisent plus
aisément, quel que soit le statut de l’entreprise.
3. une vocation "commerciale", qui passe par la vente de produits ou de services aux particuliers,
aux collectivités ou aux entreprises, … l'acte commercial pouvant se réaliser au prix du marché ou
en élargissant l’accès à des clientèles moins solvables.
Et c'est bien le CARACTÈRE INDISSOCIABLE DES TROIS VOCATIONS qui fait l’originalité de l’économie
solidaire, qui "fait sens" et permet de s'inscrire dans la revendication d'une économie plurielle.