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Intelligence collective dans les environnements numériques : pourquoi et comment ?

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Intelligence collective dans les environnements numériques : pourquoi et comment ?

  1. 1. Intelligence collective, dans les environnements numériques pourquoi et comment ? Isabelle GUYOT, Décembre 2014
  2. 2. Définir et organiser un projet
  3. 3. Intelligence ? « Çà alors, des dentifrices intelligents ! Et pourquoi pas du « PQ intelligent » , hein ? Christian FAURÉ, Les objets intelligents, 11/11/2014.
  4. 4. Elles sont brutes. Elles sont transmises par une machine ou présentes sur un document. Sciences de l’Information Données 4
  5. 5. Elles sont brutes. Elles sont transmises par une machine ou présentes sur un document. Les données ne deviennent de l’Information qu’après des opérations de : - Cryptage (par exemple le recours à un alphabet), - Codage (l’utilisation d’une langue), - Cadrage (l’angle de vue que l’on donne à ce qui est transmis). L’Information est donc un ensemble de données traitées. Sciences de l’Information Information Données + contexte 5
  6. 6. Elles sont brutes. Elles sont transmises par une machine ou présentes sur un document. Les données ne deviennent de l’Information qu’après des opérations de : - Cryptage (par exemple le recours à un alphabet), - Codage (l’utilisation d’une langue), - Cadrage (l’angle de vue que l’on donne à ce qui est transmis). L’Information est donc un ensemble de données traitées. Une notion de vérité doit être ajoutée à l’Information pour pouvoir parler de Connaissance. L’Information est une Connaissance si elle est incorporée au corpus d’informations que l’on possède déjà. Sciences de l’Information Information Données + contexte Connaissance + Rapport à la vérité 6
  7. 7. Elles sont brutes. Elles sont transmises par une machine ou présentes sur un document. Les données ne deviennent de l’Information qu’après des opérations de : - Cryptage (par exemple le recours à un alphabet), - Codage (l’utilisation d’une langue), - Cadrage (l’angle de vue que l’on donne à ce qui est transmis). L’Information est donc un ensemble de données traitées. Une notion de vérité doit être ajoutée à l’Information pour pouvoir parler de Connaissance. L’Information est une Connaissance si elle est incorporée au corpus d’informations que l’on possède déjà. Le Savoir est un su théorique, un acquis qui indique une pérennité et une appropriation de certaines connaissances. Le savoir-faire est pratique. Sciences de l’Information Information Données + contexte Connaissance + Rapport à la vérité Savoir + pérennité 7
  8. 8. Données Information Connaissance (dont Savoir et savoir-faire) Compétence Intelligence La compétence est la somme des connaissances, ajoutée à une évaluation (une applicabilité). L’Intelligence représente la capacité à mettre en œuvre des compétences. C’est l’adaptabilité de l’individu en situation par des actions de hiérarchie de l’important et du secondaire, de sélection, de combinaison, de simplification ou de développement. Sciences de l’Information Modèle de Jean-Yves PRAX 8
  9. 9. Que permet le collectif ? 9
  10. 10. 10 Partage, Animation, Action, Réaction, Mouvement… Ainsi, grâce à l’action collective, on peut faire de l’intelligence à partir du PQ.
  11. 11. Les connaissances
  12. 12. Nature des contenus porteurs de connaissances Fichiers (texte, feuille de calcul, présentation, pdf, image…), Lien, Mail, Idée, Contact… 12
  13. 13. Production de connaissances en interne Apport de connaissances brutes Veille écosystème Veille scientifique et technique (académique) Veille éco., pol., juridique Etudes, fiches, synthèses, benchmarks… Production de connaissances pour l’extérieur Rapports d’étonnement Supports de formation Documents de fonctionnement d’une structure, procédures Bilan annuel, communication aux actionnaires Gestion documentaire et record management Knowledge management Conf., colloq., salons… Gestion collaborative de projets GED/Serveur de fichiers Print : plaquettes, affiches, catalogue, documentation produits/services… Présentations internes, séminaires Notes techniques, rapports d’analyse Présentations intervenants ext. GED/Serveur de fichiers Site internet, réseaux sociaux, salons, évènements Retours d’expérience projets et terrain Usages et mouvements de connaissances (exemple) 13
  14. 14. Interactions autour des contenus porteurs de connaissances Tags, Commentaires, Messages, Approbations, Recherches, Liaisons, Alertes, Sélections… 14
  15. 15. Objectifs de l’intelligence collective : Créer de la valeur ajoutée à partir des connaissances
  16. 16. Rassembler avec une économie de temps et de moyens, une masse de connaissances éparses 16
  17. 17. Capitaliser et réassembler des connaissances partagées par différents utilisateurs 17
  18. 18. Créer des connaissances 18
  19. 19. Marchandiser des connaissances (avec la rémunération des participants) 19
  20. 20. Exploiter des connaissances (sans le consentement et sans la rémunération des participants) 20
  21. 21. Surveiller un groupe de personnes 21
  22. 22. Favoriser la génération d’externalités positives 22
  23. 23. 3 types d’infrastructures pour un projet
  24. 24. Infrastructure physique : des câbles sous-marins aux terminaux de consultation 24
  25. 25. 25 Infrastructure logique : logiciels, médias qui relient, gèrent et sécurisent les actions des participants
  26. 26. Infrastructure politique : contexte du projet 26
  27. 27. Organiser les connaissances et l’intelligence
  28. 28. « La légende ne deviendra-t- elle pas l’élément essentiel du cliché ? » Walter BENJAMIN, Petite Histoire de la photographie, 1931 Penser aux métadonnées : pas uniquement aux arborescences 28
  29. 29. L’approche sémantique est de plus en plus fondamentale dans les environnements numériques 29
  30. 30. Multiplier les mots-clés : même si certains ne sont utilisés qu’une seule fois 30 « Cataloguer, c’est s’approprier une collection », Patrick PECCATTE Mots-clés de la longue traine Mots-clés précisMots-clés génériques FaibleconcurrenceForteconcurrence
  31. 31. Prévoir une diversification des accès aux connaissances : pour éviter que 80% des recherches donnent accès à seulement 20% des résultats possibles 31
  32. 32. Citer les auteurs et les sources, respecter les licences 32
  33. 33. Garder à l’esprit que l’environnement va (et doit) rester mouvant 33
  34. 34. Utilisateurs
  35. 35. 35 Ouvrir le projet à un maximum de personnes
  36. 36. Tout le monde n’intervient pas au même moment 36
  37. 37. Tout le monde n’a pas le même rôle : sponsors, animateurs et/ou participants 37
  38. 38. Mettre en œuvre un projet
  39. 39. Précision et Pérennité de l’accès aux contenus
  40. 40. Codage - Support d'expression : texte, photographie, musique, vidéo, expression corporelle...
  41. 41. Codage - Couleurs, typographie, mise en page/scène, circuit de lecture... 41
  42. 42. Codage - Langue, registre de langue, codes rhétoriques... 42
  43. 43. Codage - Un « détail » peut tout changer 43
  44. 44. 1885 1985-1992 2008 2012 Cadrage - Temporel, Socio-culturel 44 1910 1930 1950 1970 2000
  45. 45. Cadrage - Géographique, Socio-culturel 45
  46. 46. Profils des utilisateurs
  47. 47. Ne pas oublier les spécificités individuelles 47
  48. 48. Communication Appropriation Penser global, agir local « C’est qui François ? » - « C’est le responsable de la LOB SVM dans la BU DIM ». - « … ».
  49. 49. Ce qui est simple ou évident pour vous ne l’est pas forcément pour tousCe qui est simple ou évident pour vous ne l’est pas forcément pour tous 49
  50. 50. Ce qui ne vous atteint pas peut blesser profondément d’autres personnes 50
  51. 51. Penser qu’il n’y a pas que la vision de chef de projet technique (qualité, coûts, délais) 51
  52. 52. Déployer et évaluer un projet
  53. 53. Actions correctives Éloge de la bêtise individuelle (et collective)
  54. 54. Sur les contenus : être attentif aux différentes formes de désinformation 54
  55. 55. Encourager l’expression des différents points de vue et l’esprit critique 55
  56. 56. Désamorcer des conflits : un projet et/ou un outil sont des révélateurs et des catalyseurs de conflits existants et peuvent en déclencher de nouveaux 56
  57. 57. Canaliser les trolls et les saboteurs et penser « destruction créatrice ». 57
  58. 58. Les difficultés relationnelles et de communication sont souvent plus importantes que des difficultés techniques. 58
  59. 59. Évaluer
  60. 60. Prendre de la hauteur sur les effets de masse 60
  61. 61. Professionnel vs amateur - Quantité vs qualité 61
  62. 62. Les contenus les plus recherchés sont ceux qui servent le plus souvent mais ne sont pas forcément ceux qui ont le plus de valeur ajoutée. 62
  63. 63. Épiphénomènes et phénomènes de masse : à repérer, à ne pas stigmatiser 63
  64. 64. Algorithmes vs observation : ne pas oublier les interactions 64
  65. 65. Table des illustrations Couverture Définir et organiser un projet Intelligence ? Que permet le collectif ? Batman’s PQ Les connaissances Nature et interactions Objectifs de l’intelligence collective Photos Normandie What’s in my yogurt Capitaliser, réassembler The Spiral Anarchy Sell your Data Big Idea Group Open Innovation Internet slave L’esclavage moderne Jonathan ZITTRAIN Panopticon France Open Data France Université Numérique Infrastructures Infrastructure physique Infrastructure logique Infrastructure politique Organiser les connaissances et l’intelligence Penser aux métadonnées Capture d’écran recherche Google 14/11/2013 Longue traine Loi des 80-20 Environnement mouvant Citer ses sources Utilisateurs Ouvrir le projet à tous Chacun à un moment Chacun son rôle Table des illustrations
  66. 66. Table des illustrations Mettre en œuvre un projet Pérennité de l’accès aux contenus Support d’expression Mise en scène : Les particules élémentaires au théâtre, LE MANS, 2014 (cliché personnel) Registre de langue Détail : Exposition Jeff KOONS au Centre Pompidou PARIS, 2014 (cliché personnel) Cadrage socio-temporel : MAC GIVER, SARKOZY, Bel Ami, Moustache, Coiffure Cadrage géographique Profils d’utilisateurs Spécificités individuelles Communication, appropriation Simplicité : carte de complémentaire santé, 2014 (cliché personnel) Blessure Visions Déployer et évaluer un projet Actions correctives Désinformation : Le Gorafi, Martine, Chocolat, Amsterdam Esprit critique Conflits Sabotage : Exposition Damage control, MUDAM, Luxembourg, 2014 (cliché personnel) Confiance : affiche de l’armée, 2014 (cliché personnel) Évaluer Prendre de la hauteur Professionnel vs amateur Contenus les plus recherchés Phénomènes : CMC, CSD, ST Algorithmes : étalage de revues, 2014 (cliché personnel) Table des illustrations
  67. 67. Merci de votre attention Contact : guyotisabelle@free.fr @HYGER

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