Les entreprises du secteur alimentaire sont elles aussi impactées par la transition numérique : Mise en place d’ERP, site web e-commerce, réseaux sociaux ou encore conduite du changement… de nombreux projets de formation peuvent encore être financés pour l’année 2018.
Jusqu’au 30 octobre 2018, OPCALIM Bretagne, Pays de la Loire et Normandie mobilisent 1.9 M d’euros pour accompagner les entreprises du secteur alimentaire dans leur digitalisation liée à cette transition numérique et économique. Il ne reste que quelques mois pour profiter de Mut’Eco : un financement bien en phase avec les attentes des entreprises qui veulent se former et réussir leurs mutations technologiques.
www.eo4.me/muteco-opcalim
OPCALIM des fonds exceptionnels pour passer le cap de la transformation numérique
1. Contact presse Esperluette & Associes : Valérie Kugler valerie@agence-lesperluette.com 07 77 92 08 19
Communiqué de presse juin 2018
OPCALIM des fonds exceptionnels pour
passer le cap de la transformation numérique
Les entreprises du secteur alimentaire sont elles aussi impactées par la transition numérique : Mise
en place d’ERP, site web e-commerce, réseaux sociaux ou encore conduite du changement… de
nombreux projets de formation peuvent encore être financés pour l’année 2018.
Jusqu’au 30 octobre 2018, OPCALIM Bretagne, Pays de la Loire et Normandie mobilisent 1.9 M
d’euros pour accompagner les entreprises du secteur alimentaire dans leur digitalisation liée à cette
transition numérique et économique. Il ne reste que quelques mois pour profiter de Mut’Eco : un
financement bien en phase avec les attentes des entreprises qui veulent se former et réussir leurs
mutations technologiques.
www.eo4.me/muteco-opcalim
UN DISPOSITIF EXCEPTIONNEL
OPCALIM Bretagne, Pays de la Loire et Normandie
proposent des financements exceptionnels pour
accompagner les entreprises du secteur alimentaire Ce
dispositif s’adresse en priorité aux entreprises de moins de
250 salariés, coopératives agricoles, industries
agroalimentaires, et toutes les entreprises ou artisans des
métiers de bouche, hors bouchers.
Objectif : financer leurs projets de formations en lien avec les mutations technologiques, concrètement voici
le top 5 des formations 2018 liées à la transformation numérique.
TÉMOIGNAGE : ZOOM SUR LA MAISON BEUCHER
Artisan charcutier, entreprise familiale créée il y a
120 ans, la Maison Beucher compte 3 points de
vente autour de Rennes, une activité de grossiste
et emploie 40 collaborateurs. Elle a bénéficié de
l’aide d’OPCALIM, Julien Beucher actuel dirigeant
témoigne : « Nous avons mis en place un ERP,
spécialisé dans l’alimentaire, avec les modules :
Comptabilité, gestion, de stock et préparation de
commandes. Ce module nous a permis de gagner en
réactivité, gestion de stock et qualité de vie au travail. »
2. Contact presse Esperluette & Associes : Valérie Kugler valerie@agence-lesperluette.com 07 77 92 08 19
Est-ce compliqué à mettre en place ?
« Un peu oui, nous sommes partis de très loin. Nous avions une méthode papier et de la transmission orale
pour nos commandes ou la gestion de stock. Le digital nous a permis de gagner en maturité et à faciliter notre
quotidien. 5 personnes ont été formées par l’organisme puis 5 autres … C’est un projet relativement lourd pour
une structure comme la nôtre. OPCALIM nous a aidés financièrement en prenant en charge une partie de la
formation grâce au financement Mut’Eco. Nous avons pu franchir le pas et décider d’intégrer cet ERP dans
notre entreprise. »
Quelle est la soute de ce projet ?
« La suite naturelle du projet est la dématérialisation des factures pour gagner en efficacité et OPCALIM nous
a déjà informés qu’ils acceptaient de financer notre projet pour 2018. »
Interview complète à retrouver sur https://www.youtube.com/watch?v=LL0Hg6n18Bc
LE DISPOSITIF
Les entreprises peuvent se renseigner pour en bénéficier sur www.eo4.me/muteco-opcalim
Soucieux d’être au plus proches des TPE /PME, OPCALIM a mené une étude en 2017 afin d’étudier l’impact
des mutations numériques sur les 3 grandes familles qu’elle accompagne :
L’alimentation de détail
Les industries alimentaires
Les coopérations agricoles
Ce diagnostic, validé par les partenaires sociaux, a démontré que le secteur alimentaire, à tous les niveaux,
est bien impacté par cette révolution technologique. Fort de cette étude OPCALIM a répondu à un appel à
projets du Fonds Paritaire de Sécurisation des Parcours Professionnels sur la mutation économique et
technologique, afin de lever des fonds pour accompagner les entreprises et les salariés dans leurs
transformations.
Concrètement cette levée de fonds permet :
La prise en charge des salaires à hauteur de 13€/h, pour les entreprises de < 250 salariés qui
n’appartiennent pas à un groupe et qui ont un chiffre d’affaires de < 50M€.
La prise en charge de 70 % des coûts pédagogiques
Éligibilité de l’action sous réserve :
Que l’action vise à accompagner les conséquences sur l’emploi et les compétences des
mutations économiques et technologiques.
Que l’action ait une durée minimale de 3.5 heures
Que les salariés concernés par l’action soient rattachés à une entreprise ou un établissement
adhérent d’OPCALIM implanté en Bretagne ou Pays de la Loire,
Que le solde de l’enveloppe dédiée à ce projet permette la prise en charge de l’action.
Une priorité sera par ailleurs donnée aux PME de moins de 250 salariés.
3. Contact presse Esperluette & Associes : Valérie Kugler valerie@agence-lesperluette.com 07 77 92 08 19
À PROPOS D’OPCALIM
Trois enjeux stratégiques définissent les priorités d’OPCALIM
Assurer un service de Qualité et de Proximité au profit de la performance de toutes les entreprises
du secteur alimentaire et du développement des compétences de leurs salariés.
Développer les actions à destination des TPE PME avec un accompagnement spécifique et
régionalisé.
Formuler des réponses sur-mesure aux enjeux RH-Formation des entreprises, de l’insertion à la
reconvention des salariés et des publics prioritaires.
Chiffres Clés
220 collaborateurs, au siège & en régions
29 conventions collectives (CCN)
37 380 entreprises adhérentes
575 582 salariés concernés
265 millions d’euros de collecte