Depuis que Steve Jobs, le 9 Janvier 2007 annonçait fièrement : « Today Apple is going to reinvent the phone » le mobile est devenu protéiforme et cristallise la convergence de la plupart des nouveaux usages.
Depuis 10 ans, Apple et Google se sont lancés dans une course folle aux nouvelles fonctionnalités, éliminant tous les concurrents sur leur passage, pour proposer toujours plus d’usages et permettre aux éditeurs d’applications d’en faire autant, mettant l'écosystème mobile en ébullition permanente.
Ce rythme effréné, imposé par les deux géants, entraîne nécessairement un impact sur la façon de réaliser nos applications mobiles.
Nous vous avons proposé de revenir sur la création de deux services mobiles : celui des applications de la BNP, orientées grand public, et celui du projet COSMO de la SNCF, pour ses agents de contrôle :
Quelles particularités distinguent l’approche à mener pour réaliser ces projets ?
En quoi ces applications exploitent les spécificités de leur plateforme mobile ?
Y a-t-il des points communs entre une application B2C et B2E ?
Enfin, nous avons partagé notre vision de la transformation des usages mobiles en vous présentant nos convictions sur leurs évolutions.
Se présenter !
Pourquoi ce thème ?
Magritte : Trahison des images
Depuis l’arrivée dans le paysage IT des premiers smartphones, le mobile a beaucoup évolué :
Nous sommes passé à des tablettes, des montres, des lunettes, des télés, des voitures, dans les maisons…
Aujourd’hui le mobile est avant tout un écosystème. Donc nous n’allons pas vous parler d’un appareil, d’un smartphone, mais de l’écosystème mobile.
Vécu parfois par la DSI comme un mal nécessaire
Nécessaire :
* Tout le monde s’en sert tout le temps
* Amazon : + de 70% de ses ventes en 2017 se faisait sur un appareil mobile
Mal : problématique pour gérer ces projets mobiles qui ont leurs particularités. Le mobile n’est pas un front comme les autres
Nous allons donc vous partager notre expérience et notre façon de faire des projets mobiles.
BNP et SNCF
Je remercie Marylène de s’être joint à nous pour vous parler du projet COSMO.
Partage de notre méthodologie commune à deux projets radicalement différent.
Nous allons vous parler de comment nous adaptons nos process aux différentes contraintes
Mais aussi vous parler des enjeux de ces projets qui vont bien au delà de simplement afficher une information issue du SI.
Au travers de ces enjeux, nous allons aussi vous exposer des principes méthodologiques particuliers au mobile et comment y répondre.
Une autre raison de la trahison des images est croire que le mobile n’est qu’un front, n’est qu’une UI de plus à gérer.
Bien que l’UI ait retrouvé ses lettres de noblesse avec le mobile…
Ce petit déjeuner fait suite à la Google I/O, conférence annuelle de Google, et précède la WWDC, conférence annuelle d’Apple.
Bien que le contenu et le pitch du petit déjeuner était établi avant la Google I/O, il lui fait écho et très certainement nous allons précéder Apple sur ces mêmes sujets.
Ces deux géants du mobile montrent qu’ils poussent toujours plus loin leurs propres applications, au travers d’évolution de leur propre système.
Duplex
Maps VR
Google News
…
Les utilisateurs vont s’attendre demain à l’intelligence proposé aujourd’hui par Google et Apple soit partout
Nous allons vous partager nos convictions sur les usages que devront fournir vos prochaines applications en utilisant les capacités des OS.
Je laisse la parole à Gabriel et Dorian pour nos retours d’expérience
Intro
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Nous allons vous raconter l’histoire de 2 projets, a priori en commun que le refonte + mobile :
Une banque / un transporteur
Un pour le grand public / l’autre pour ses employés
Une multitude de smarthPhone / tab / montre connecté vs 1 seul device
Différences et similitudes peuvent vous servir dans vos réflexions pour vos projets actuels et futurs
Nous tenons également à vous proposer une « Boite à outil » Méthodo et Technique qui seront on l’espère activables sur vos projets respectifs
Marylène Pochard, directrice du projet COSMO
Qu’est-ce qui motivé le projet COSMO ?
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L’outil actuelle fonctionne
2 types se synchro : référentiels et temps-réel : un OK et l’autre pose + de problème
Pareil : à l’époque scroll n’existait pas, voir si avec les possibilités des smartphone actuels, UX – lourde
Que veut-on améliorer ? Synchronisation Temps Réel=> architecture cible
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Différence entre les 2 produits : d’un côté un choix matériel à faire, de l’autre on vise tous les devices possibles : téléphone/tablette/montre.
Pour BNPP, la version minimale d’Android requise permet de cibler 99.7% des devices (stats de début Mai 2018)
COSMO : besoin device endurci / bcp de batterie + fonctionnalité hardware spécifiques + TPE + imprimantes =>
Concentré sur Android : beaucoup de constucteurs et de produit dispo
Entreprise d’état, fonctionnement par appel d’offre
On a fonctionné par note : prix/techno/avis des utiisateurs (ma collègue UX en parlera après)
Juste un mot ->
Si plusieurs acteurs répondent aux contraintes de qualité et de prix : le facteur humain prend une part non négligeable sur le choix final.
Si vous vous retrouvez en appel d’offre, au dela de la qualité du produit, votre posture est fondamentale
Durée du projet à mettre après
Durée du projet à mettre après
Durée du projet à mettre après
Synchro faites pendant le POC par un outil doit être faite à la main
-> avoir entièrement le contrôle sur ce mécanisme clé
Architecture en couche -> isoler / compartimenter
On en reparle + tard
Implémentation de l’architecture vue précédemment
Sur Imop, le besoin d’avoir 2 apps qui partagent un socle commun a poussé à choisir une archi qui facilite l’intégration de code commun
Langage : Java avant officialisation de kotlin
Lib utilisées ne vont cesser d’évoluer pendant les 10 ans
On veut s’assurer que l’usage des frameworks et des lib soient isolées
500 agents attendus --> 1 150 rencontrés
535 questionnaires récoltés
Résultats concluants : un matériel fait l'unanimité avec 85% des voix, 1 challenger ... et les autres loin derrière --> de la matière terrain qui fera son poids dans l'appel d'offres !
Le plus handicapant dans ce cas n’est pas le fait d’avoir plusieurs prestataires mais plutôt la désynchro
On a du faire avec, et les seuls leviers qui restent sont la communication et challenger les choix d’UX quand nécessaire
Ici cela se passe plutôt bien car les équipes marketing sont sensible à nos retours, et le dialogue se fait facilement
Faire un rappel sur ce qu’est un MDM
Airwatch, MobileIron, Android Enterprise
Android enterprise -> nécessité d’être enrollé. Moins de flexibilité pour les développeurs. Utilisation d’hockey app
MC : environ 850k utilisateurs mensuels
HB : environ 75k utilisateurs mensuels
Mercredi 24 octobre, Hello bank! v2 a été déployée auprès de 50% des utilisateurs, et comme tout s’est bien passé, elle a été déployée à 100% dès le lendemain. #YOLO
Pour le deuxième bullet point, parler du contexte multi app qui nous apparaît complexe à posteriori
FAV rebondit sur le 2e point pour évoquer les modifications d’imop par rapport aux setup initial
Fort de son succès, imop rayonne et attire de plus en plus de sponsors, ce qui, mécaniquement, introduit plus de features
Qui dit nouvelles features à ajouter dit plus de pain sur la planche.
A cette période, le but initial de la refonte est atteint : on a mis sur les stores une nouvelle version iso-fonctionnelle des apps BNP
On quitte la phase de build pour entrer dans celle du run : la maintenance et l’évolution de ces apps
Pour ça, on a décidé de prendre du recul, on a analysé la situation et on s’est demandé si il n’était pas nécessaire de revoir nos pratiques, afin de les adapter à la nouvelle ère dans laquelle entrait le projet.
La grande interrogation étant : Comment s’organiser pour gérer au mieux le run ?
A la BNP, une grande réflexion a été lancée suite à la mise en prod des 2 applications :
Ce à quoi nous avons répondu : mettons en place un release-train, et organisons des squads
Poser la question si des gens dans l’assemblée connaissent le release-train
Comment marche le release-train ?
Imaginez que vous avez une locomotive, qui représente la prochaine mise à jour de votre app (dans notre cas, il a été décidé de faire des livraisons mensuelles)
Cette locomotive, elle va embarquer tous les grands pans fonctionnels de l’application, eux-mêmes découpés en features unitaires (par exemple, vous avez le pan fonctionnel des virements, qui est découpé en plein de features différentes qui concerne les virements : différents écrans, etc)
Derrière la locomotive, il y a le tendeur : c’est le stock de ce qu’on va mettre dans la locomotive. Il contient tous les pans fonctionnels qui ont été priorisés et découpés.
A chaque fois qu’une feature unitaire est développée et validée, elle est intégrée à la locomotive, mais un système de feature-flipping l’empêche d’être active.
Une fois que toutes les features unitaires d’un pan fonctionnel sont terminées et embarquées dans la locomotive, on peut enfin activer le tout, et le domaine fonctionnel sera disponible aux utilisateurs pour la prochaine mise en production.
Une fois que la mise à jour est déployée, le stock des fonctionnalités du mois suivant est ajouté au tendeur, aux côtés de ce qui reste à développer des mois précédents.
C’est un système qui marche bien, mais par contre, d’expérience, il y a un petit travail de préparation à opérer en amont :
Il faut faire comprendre aux commanditaires qu’un bloc fonctionnel prioritaire peut être livré après d’autres blocs moins importants, parce qu’ils auront mis moins de temps à être développés et recettés.
Histoire des BD dans les ascenseurs ?
Pas détaché de l’équipe : faire partie d’un squad ne veut pas dire qu’on ne participera pas au reste du projet
Mini standup : pas forcément journalier, mais plutôt quand y en a besoin
Matérialisé sur le board : indiquer la lane sur la photo, dire que c’est aussi faisable dans Jira
Il est indéniable qu’aujourd’hui, le mobile a transformé et inventé de nouveaux usages
Il est indéniable qu’aujourd’hui, le mobile a transformé et inventé de nouveaux usages :
* Paiement mobile ou faire ses achats
* Commander un taxi ou louer une voiture
* S’orienter au travers du mobile (Remplacer les cartes pour s’orienter)
* Prendre des photos de tout et n’importe quoi et les envoyer à n’importe qui
Reposent sur des fonctionnalités du téléphone
Ici, faible…
« Là, j’aimerai prendre le temps de faire la distinction entre les usages et les fonctionnalités »
// Il faut faire attention à distinguer « usages » de « fonctionnalités ».
Définition de fonctionnalités du mobile
Géants innovent sur leur apps, au travers d’évolution de leur plateforme Accessible aux autres
Car autant de nouveaux usages ont su être créés, et nous venons d’en voir quelques uns, mais de nouvelles fonctionnalités arrivent régulièrement également, …
Les géants du mobile innovent perpétuellement sur leurs propres applications mobiles, les rendant de plus en plus intelligente et en augmentant leurs capacités.
Ces innovations se font au travers d’évolutions de leur propre plateforme. Evolutions qui trainent de nouvelles fonctionnalités
Parmi les usages cités précédemment, la géolocalisation est l’une des plus utilisés
On en connait d’autres qui ont vite vu un taux d’adoption élevé par les nouveaux services digitaux
* Push notification également
* Tellement populaire que ces deux usages sont désormais même adapté sur le web
* Mais il y en a pleins d’autres
Démarche inverse de la celle que nous préconisons en UX : de nouveaux usages en exploitant les capacités du mobile.
Saviez vous que vous pouvez :
* adapter la couleur de votre interface en fonction de la luminosité, de la vitesse de déplacement, de la température ?!
* Adapter vos services en fonction de la localisation de votre utilisateur (geofencing, ibeacon), de l’orientation du téléphone ?!
* → context aware
Plus de « homepage » le mobile propose automatiquement la fonction la plus adéquate en fonction du contexte de l’utilisateur (déplacement, localisation, position du téléphone).
Enfin, le mobile est avant tout un appareil qui communique. Il est capable de communiquer, en proximité, avec différents systèmes et de service , au delà du SI (autre mobile, télé, IoT)
A l’heure où on parle du bitcoin et de la décentralisation des données, on peut se demander pourquoi un appareil capable de manière inné de communiquer en peer-to-peer ne le fait que si rarement.
On imagine souvent les API comme unique façade de communication du SI avec l’extérieur.
Mais les applications mobiles sont un autre point d’entrée.
L’intérêt peut être de vouloir désengorger les requêtes sur son propre SI, facilité l’authentification de l’action en usant de la popup d’autorisation système adressée à l’utilisateur.
Exemple : Facebook, COSMO
Ce ne sont que des exemples de fonctionnalités qui existent depuis plusieurs années.
Il est rare de les voir exploiter, pourtant elles permettent déjà d’offrir d’autres usages ou d’améliorer l’ergonomie
Parlons maintenant des nouveautés que poussent sans cesse les géants du mobile
Bonjour à tous, ce qu’on observe depuis 10 ans, c’est qu’il y a toujours eu des grandes phases d’évolution, depuis quelques années, Apple et Google mise désormais sur l’intelligence artificielle pour rendre le mobile plus intelligent et toujours plus simple à utiliser.
C’est un fait, l’IA est désormais au cœur des systèmes mobiles :
Les assistants, Siri sur iOS, Google Assistant sur Android
Dans les apps du système d’Apple et Google
Les recommandations au sein du système de navigation des OS:
Les applications à utiliser en fonction des habitudes de l’utilisateur, le moment de la journée, sa position
Dans la proposition de contacts
La Home de notre mobile va complêtement changer en fonction de l’utilisateur, de l’heure, de l’habitude de l’utilisateur …
Au dela de l’IA dans leur système, Apple et Google mette à disposition des développeurs les solutions techniques pour amener l’IA dans nos apps notamment sur 3 axes : Réalité augmentée / Assistants / Machine Learning
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Si on parle de réalité augmentée, qui n’est pas à proprement parlé de l’IA mais généralement associé à l’IA dans ses usages, ce qu’on peut dire
Si on parle de réalité augmentée, qui n’est pas à proprement parlé de l’IA mais généralement associé à l’IA dans ses usages, ce qu’on peut dire
C’est une technologie qui n’est pas nouvelle mais qui a longtemps eu du mal à s’imposer, les usages n’étant pas évident d’un point de vue expérience dans les applications utilisés au quotidien.
Pourtant, Apple et Google poussent pour démocratiser cette technologie en fournissant les développeurs les outils pour intégrer facilement la réalité augmentée dans nos apps. Et en intégrant eux meme de la réalité augmentée dans leurs apps.
Ce qu’on observe aujourd’hui c’est l’émergence de uses cases réalité augmentée
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Le domaine des jeux vidéos sur mobile est précurseur en matière de réalité augmentée.
Le domaine des jeux vidéos sur mobile est précurseur en matière de réalité augmentée.
Aujourdh’ui on observe une multiplication de la sortie de jeux vidéos.
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On observe également de nombreuses expérimentations en entreprise.
On observe également de nombreuses expérimentations en entreprise.
Cela permet de fournir des outils pour améliroer la productivité en proposant des solutions peu chères et facilement déployable par rapport à des solutions professionnelles
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Enfin, les retailers testent des solutions basés sur la réalité augmentée
Enfin, les retailers testent des solutions basés sur la réalité augmentée
Des solutions qui permettent pour certaines de ramener l’utilisateur vers le support digital lors de la visite en magasin
Mais également de préparer sa visite en magasin chez lui
En enfin de l’accompagner après l’achat avec du support en après vente avec des manuell interactifs
Pour l’instatnt même si il y a de nouveaux uses cases, ça reste le domaine de l’IA qui se déploie le moins vite
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Pour les assitants, l’intégration dans les applications est différente
Pour les assitants, l’intégration dans les applications est différente
Les opportunites sont ici plus limités pour les éditeurs d’applications.
iOS et Android ne permettent pas d’intégrer directement Siri ou Google Assistant dans nos applications mais offent d’autres possiblités en permettant d’enrichir les résultats fournis par les assistants avec des données et des actions issues des applications.
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Pour integrer notre app dans l’assistant, prenons l’exemple d’un use case de résa de taxi
Pour integrer notre app dans l’assistant, prenons l’exemple d’un use case de résa de taxi
L’utilisateur télécharge l’application, si elle est capable d’effectuer une action à la demande de l’assitant (comme réserver un taxi), elle le déclare lors de son installation. C’est cette déclaration qui constitue la brique à développer par l’intermédiaire des outils fournis par Apple / Google.
Plus tard lorsque l’utilisateur demande un taxi, l’assitant va à la fois essayer de répondre lui-même à la demande, s’il n’en est pas capable, il va rechercher les applis qui savent le faire (qui ont déclarés savoir le faire) et enfin proposer à l’utilisateur des applications sur les stores qui savent le faire.
Certains regretterons ce choix d’intégrer mais cela permet de laisser un unique point d’accès à l’assitant pour l’utilisateur et de permettre l’intégration de nos apps via les assistants dans d’autres devices comme Google Home.
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Enfin le dernier type de solutions techniques est le machine learning et certainement le domaine dans lequel Appe et Google avance le plus rapidement.
Enfin le dernier type de solutions techniques est le machine learning et certainement le domaine dans lequel Appe et Google avance le plus rapidement pour fournir des solutions.
Le machine learning, c’est des algorithmes qui à partir de données permettent de faire des prédictions sur de nouvelles données, par exemple de la reconnaissance d’images à partir de jeu de données, de la maintenace prédictive, de la détection de spam dans les mails …
Le machine learning fonctionne en 2 phases : Il y a une phase d’entrainement pendant laquelle le modèle de ML va être construit à partir de données existantes et la 2ème phase qui est l’utilisation du modèle.
Ce qui en train de changer sur le mobile, c’est que l’utilisation du modèle peut désormais être réalisé côté mobile la où avant cela c’était réalisé côté serveur, ce qui permet de faire du ML en offline ou de garder les données de l’utilisateur coté mobile et de ne pas les envoyer sur le serveur
Les domaines d’application du machine leraning sont relativement variés.
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Parmi ces domaines, le m commerce utilise depuis quelques longtemps les algorithmes de Machine Learning notamment avec les systèmes de recommadations qui recommendant des produits en fonction de ce que consomment les autres utilisateurs.
Parmi ces domaines, le m commerce utilise depuis quelques longtemps les algorithmes de Machine Learning notamment avec les systèmes de recommadations qui recommendant des produits en fonction de ce que consomment les autres utilisateurs.
La différence aujourd’hui c’est que ces recommandations pourront désormais être réalisés par le mobile sans que les données de l’utilisateur soient envoyés au serveur.
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L’autre force du mobile c’est la capacité à combiner plusieurs technologies ensemble.
La force du mobile c’est la capacité à combiner plusieurs technologies ensemble.
Et c’est notammenent le cas avec le Machine Learning ou on va pouvoir utiliser les données issues des catpeurs de nos mobiles pour être utiliser par des algorithmes de machine learning.
Et un des domaines qui peut profiter de cette caractéristique c’est la santé où les applications vont utiliser les données collectés par le mobile pour faire de la prévention en détectant des potentiels pathologies.
Sachant que la particularité du mobile c’est que c’est le terminal digital au plus proche de l’utilisateur qui a accès aux données propres à l’utilisateur.
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Mais notre vision c’est qu’audela des nouvelles fonctionnalités que le machine learning sur mobile va apporter on est convaincu que le ML peut apporter beaucoup dans l’améliroation de l’expérience utilisateur.
Mais notre vision c’est qu’audela des nouvelles fonctionnalités que le machine learning sur mobile va apporter on est convaincu que le ML peut apporter beaucoup dans l’améliroation de l’expérience utilisateur.
Et qu’assez simplement on va pouvoir simplifier l’utilisation de parcours complexes ou limiter les appels réseaux avec certains pré-traitements effectués coté mobile sachant qu’on sait tous que le temps d’attente sur mobile a un impact directe sur le taux de transforamtion, de désinstallation et d’engagment
SI on prend l’exemple d’un parcours de souscription à un service qui nécessite un nombre important d’informations, on pourra pré-remplir certains champs pour accélérer le parcours, soit en prédisant des informations en fonction des précédentes informations saisies ou en scannant des documents, c’est ce qu’on voit dans certaines applications d’assurance pour la réalisation de devis.
Enfin on pourrait également imaginer un modèle, un peu plus complexe mais réalisable avec les outils fournis par Apple et Google, permettant de prédire le parcours utilisateur en fonction des parcours des autres utilisateurs pour réaliser le préchargement des contenus ou également détecté qu’un utilisateur va quitter l’application.
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Pour conclure
Pour conclure, je dirais que Ce qu’on voit c’est qu’Apple et Google sont en train de mettre la barre vraiment haute en terme d’expérience via l’IA, et que les utilisateurs vont progressivement s’habituer à ces standards et attendre ce même niveau dans nos apps.
Et qu’en meme temps, L’émergence des uses cases comme ceux qu’on a vu montre qu’on s’oriente vers des applications qui vont plus qu’un front et que nous nous devons de les rendre toujours plus intelligentes parceque c’est ce qui va être attendu par les utilisateurs