La prise de décision partagée (PDP) se définit comme un processus nécessitant la participation conjointe du patient
et de son médecin. Ce processus décisionnel doit reposer sur des données scientifiques éprouvées et mettre en
évidence les risques et les bénéfices de toutes les options disponibles, y compris celle de s’abstenir associée à une
observation prudente. Intégrer la PDP dans sa pratique clinique permet d’améliorer la qualité de sa pratique et
d’évaluer la pertinence d’un acte médical. Instruite par plus de 20 ans d’études et de programmes de formation dans
ce domaine, les conférenciers présenteront les étapes essentielles à la prise de décision, pour qu’à la fin de l’atelier
les participants puissent discerner les cas cliniques qui lui sont propices. Pendant l’atelier, les participants utiliseront
un outil d’aide à la décision et avec lequel ils seront tous interpellés à jouer un rôle fondé sur des cas cliniques issus
de la pratique médicale spécialisée (p. ex. : urgence, soins intensifs, pneumologie). D’autres outils d’aide à la décision
seront également présentés (p. ex. : recours à des antibiotiques, prescription de statines, traitement de l’asthme) et
la séance se terminera par une discussion réflexive.
PowerPoint de Bernard Charlin et Nicolas Fernandez (Université de Montréal) présenté dans le cadre d'un atelier sur les Formations par concordance lors du 7e Forum international francophone de pédagogie des sciences de la santé à Québec le 27 mai 2016.
[ Titre de l'atelier ]
Les formations par concordance (FpC): des méthodes d’apprentissage en ligne pour préparer à la complexité et l’incertitude de la pratique
[ Intervenants ]
Bernard Charlin et Nicolas Fernandez du CPASS de la Faculté de médecine de l'Université de Montréal
[ Objectifs ]
À la fin de l'atelier, les participants seront aptes à :
- Décrire les principes éducatifs des FpC;
- Concevoir un cas de format FpC et décrire les étapes requises pour le mettre en ligne;
- Citer les réactions des étudiants quant à cette nouvelle approche.
[ Déroulement ]
Deux exemples de FpC seront présentés :
1. Formation au raisonnement clinique chez des étudiants de première année (hématologie);
2. Développement du jugement professionnel et éthique (étudiants à l'externat). Les participants discuteront et commenteront les principes éducationnels et le fonctionnement général des FpC présentées.
Dans le cadre du développement des pratiques de télémédecine en France, la téléconsultation médicale est remboursable par l’Assurance Maladie au même titre qu’une consultation classique depuis le 15 septembre 2018. Dans ce contexte, Livi a sollicité Harris Interactive afin de réaliser une enquête visant à mieux comprendre la perception qu’ont les Français de cette pratique en plein essor.
Les Français connaissent-ils la téléconsultation ? Sont-ils bien informés sur cette pratique et ses enjeux ? Envisagent-ils d’y avoir recours ? Quels bénéfices et quels inconvénients lui associent-ils ?
Conférence du Dr Bernard Charlin (Faculté de médecine, Université de Montréal) présentée le 16 mai 2016 dans le cadre de la 2e Journée de la recherche et de l’innovation en éducation des sciences de la santé à l'Université de Montréal.
Résumé:
En se basant sur des travaux de recherche menés à l’Université de Montréal, nous avons conçu un système de formation en ligne qui place les participants devant des situations complexes et leur demande de donner un sens aux informations complémentaires qui leur sont fournies. En répondant, les participants ont accès aux réponses et aux justifications données par un panel de praticiens expérimentés, suivies par des messages clés amenés par un expert du domaine. L’ensemble forme un système de formation interactif ancré sur la pratique qui donne un feedback automatisé permettant de former au raisonnement clinique et au jugement en matière de professionnalisme.
Cette exemple de feuille de réponse correspond au neuvième webinaire de la série club de lecture en ligne, « Lower-Risk Cannabis Use Guidelines: A Comprehensive Update of Evidence and Recommendations »
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Joignez-vous au Dr Anthony Levinson et au Dr Richard Sztramko alors qu’ils explorent iGeriCare.ca, un didacticiel gratuit en ligne sur la démence destiné aux proches aidants de personnes atteintes de démence mis au point à l’Université McMaster. Entre autres fonctionnalités, iGeriCare propose dix leçons multimédias et des ressources sélectionnées. Le portail héberge des activités en direct et en ligne qui permettent aux internautes d’échanger directement avec des experts du domaine de la démence et de la gériatrie.
Le 17 novembre 2015, la faculté de la Collaboration canadienne des USI a lancé un appel national afin de déterminer quelle serait l’Initiative nationale d’amélioration en 2016. Deux sujets y ont été présentés : Dre Yoanna Skrobik a prôné les notions de douleur, d’agitation et de délirium; Dr Claudio Martin et Mme Cathy Mawdsley, quant à eux, faisaient valoir le travail de soins de fin de vie. Les intervenants ont voté à la fin de cet appel et ont choisi le nouveau sujet apporté par la Dre Skrobik : La gestion de la douleur, de l’agitation et du délirium chez vos patients en SI : évaluation, traitement et prévention.
PowerPoint de Bernard Charlin et Nicolas Fernandez (Université de Montréal) présenté dans le cadre d'un atelier sur les Formations par concordance lors du 7e Forum international francophone de pédagogie des sciences de la santé à Québec le 27 mai 2016.
[ Titre de l'atelier ]
Les formations par concordance (FpC): des méthodes d’apprentissage en ligne pour préparer à la complexité et l’incertitude de la pratique
[ Intervenants ]
Bernard Charlin et Nicolas Fernandez du CPASS de la Faculté de médecine de l'Université de Montréal
[ Objectifs ]
À la fin de l'atelier, les participants seront aptes à :
- Décrire les principes éducatifs des FpC;
- Concevoir un cas de format FpC et décrire les étapes requises pour le mettre en ligne;
- Citer les réactions des étudiants quant à cette nouvelle approche.
[ Déroulement ]
Deux exemples de FpC seront présentés :
1. Formation au raisonnement clinique chez des étudiants de première année (hématologie);
2. Développement du jugement professionnel et éthique (étudiants à l'externat). Les participants discuteront et commenteront les principes éducationnels et le fonctionnement général des FpC présentées.
Dans le cadre du développement des pratiques de télémédecine en France, la téléconsultation médicale est remboursable par l’Assurance Maladie au même titre qu’une consultation classique depuis le 15 septembre 2018. Dans ce contexte, Livi a sollicité Harris Interactive afin de réaliser une enquête visant à mieux comprendre la perception qu’ont les Français de cette pratique en plein essor.
Les Français connaissent-ils la téléconsultation ? Sont-ils bien informés sur cette pratique et ses enjeux ? Envisagent-ils d’y avoir recours ? Quels bénéfices et quels inconvénients lui associent-ils ?
Conférence du Dr Bernard Charlin (Faculté de médecine, Université de Montréal) présentée le 16 mai 2016 dans le cadre de la 2e Journée de la recherche et de l’innovation en éducation des sciences de la santé à l'Université de Montréal.
Résumé:
En se basant sur des travaux de recherche menés à l’Université de Montréal, nous avons conçu un système de formation en ligne qui place les participants devant des situations complexes et leur demande de donner un sens aux informations complémentaires qui leur sont fournies. En répondant, les participants ont accès aux réponses et aux justifications données par un panel de praticiens expérimentés, suivies par des messages clés amenés par un expert du domaine. L’ensemble forme un système de formation interactif ancré sur la pratique qui donne un feedback automatisé permettant de former au raisonnement clinique et au jugement en matière de professionnalisme.
Cette exemple de feuille de réponse correspond au neuvième webinaire de la série club de lecture en ligne, « Lower-Risk Cannabis Use Guidelines: A Comprehensive Update of Evidence and Recommendations »
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Joignez-vous au Dr Anthony Levinson et au Dr Richard Sztramko alors qu’ils explorent iGeriCare.ca, un didacticiel gratuit en ligne sur la démence destiné aux proches aidants de personnes atteintes de démence mis au point à l’Université McMaster. Entre autres fonctionnalités, iGeriCare propose dix leçons multimédias et des ressources sélectionnées. Le portail héberge des activités en direct et en ligne qui permettent aux internautes d’échanger directement avec des experts du domaine de la démence et de la gériatrie.
Le 17 novembre 2015, la faculté de la Collaboration canadienne des USI a lancé un appel national afin de déterminer quelle serait l’Initiative nationale d’amélioration en 2016. Deux sujets y ont été présentés : Dre Yoanna Skrobik a prôné les notions de douleur, d’agitation et de délirium; Dr Claudio Martin et Mme Cathy Mawdsley, quant à eux, faisaient valoir le travail de soins de fin de vie. Les intervenants ont voté à la fin de cet appel et ont choisi le nouveau sujet apporté par la Dre Skrobik : La gestion de la douleur, de l’agitation et du délirium chez vos patients en SI : évaluation, traitement et prévention.
Joignez-vous aux lauréates des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Melissa MacKay, candidate au doctorat, Santé publique, Université de Guelph – Maintenir la confiance grâce à une communication de crise efficace lors de l’apparition de nouvelles maladies infectieuses.
Alexa Ferdinands, Ph. D., Promotion de la santé et sciences sociocomportementales, Université de l’Alberta – Collaborer avec les jeunes pour combattre la stigmatisation associée au poids dans les soins de santé, dans le milieu de l’éducation et à la maison.
Shannon Bird, M.P.H., Université Brock – L’art comme outil de promotion de la santé publique et environnementale : un plan pédagogique pour les professionnels de l’éducation en matière d’écojustice.
Le fait de collaborer de façon significative et active avec des patients et des membres du public pour planifier, réaliser et diffuser des revues rapides aide à faire en sorte que leurs points de vue seront pris en compte dans les priorités de recherche ainsi que dans la production des données probantes et la détermination des soins qu’ils reçoivent. Retrouvez des membres du CCNMO et de l’Alliance pour des données probantes de la Stratégie de recherche axée sur le patient, ainsi que des patients et des membres du public agissant comme partenaires, dans une séance interactive qui vous permettra de découvrir des manières d’impliquer véritablement des citoyens à titre de partenaires dans vos revues rapides. Nous présenterons un éventail de stratégies permettant d’impliquer des partenaires du public et nous partagerons des leçons apprises pour optimiser ces bonnes occasions. Des patients et des membres du public seront aussi présents et vous feront part de leur point de vue et de leurs expériences.
Dans le cadre du salon PharmagoraPlus qui aura lieu les 30 et 31 mars 2019 à Paris, Pharmacie Référence Groupe, Pharmactiv et Réseau Santé ont sollicité Harris Interactive afin de réaliser une enquête visant à mieux comprendre la façon dont les Français perçoivent les pharmaciens aujourd’hui. Quelle image les Français ont-ils des pharmaciens ? Quel regard portent-ils sur leurs missions ? Quelles sont leurs attentes prioritaires pour l’avenir ?
Les interventions en ligne offrant des rétroactions personnalisées pour la pe...Health Evidence™
Health Evidence a organisé un webinaire de 60 minutes afin d’examiner les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
Anna Haste, chercheuse associée à l’Université de Newcastle, a animé la séance et a présenté les résultats de son récent examen systématique :
Sherrington, A, Newham, J, Bell, R, Adamson, A, McColl, E, & Araujo-Soares, V. (2016). Systematic review and meta-analysis of internet-delivered interventions providing personalized feedback for weight loss in overweight and obese adults. Obesity Reviews, 17(6), 541-551.
http://www.healthevidence.org/view-article.aspx?a=systematic-review-meta-analysis-internet-delivered-interventions-providing-29586
Alors que la prévalence de l’obésité augmente, les interventions classiques en matière de perte de poids démontrent l’existence d’obstacles à la mise en œuvre et des résultats mitigés en ce qui concerne l’efficacité. Cette revue systématique et méta-analyse examinent l’impact des interventions livrées sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses, par rapport au groupe témoin ne recevant pas de rétroaction personnalisée. Douze essais contrôlés randomisés, comptant un total de 3547 participants, sont inclus dans cet examen. Les données probantes suggèrent que les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée augmentent la perte de poids de 5 % après 3 et 6 mois, et diminuent l’IMC et le tour de taille après 3, 6 et ≥ 12 mois. Ce webinaire a présenté un aperçu de l’efficacité des interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
ROBINS-I : un outil d’évaluation du risque de biais dans les études non randomisées d’interventions
L’outil ROBINS-I peut servir à évaluer les études non randomisées qui comparent les effets sur la santé d’au moins deux interventions. Il s’applique à plusieurs modèles d’études observationnelles comme les études de cohorte, les essais quasi randomisés, les études cas-témoins et les études transversales. Joignez-vous à nous pour découvrir l’outil ROBINS-I dans le cadre d’un webinaire!
Cet outil a été conçu par une équipe de l’Université de Bristol.
Comment l’outil ROBINS-I peut-il vous aider?
Plusieurs types de modèles d’études qui évaluent des interventions en santé publique n’ont pas recours à la randomisation. L’outil ROBINS-I fournit une démarche unique pouvant servir à évaluer ces différentes sortes de données probantes. Cela favorise l’usage des données probantes pour formuler des recommandations et concevoir des actions de santé publique.
L’outil ROBINS-I consiste en un cadre d’évaluation en sept domaines. Il offre aussi plusieurs explications de la notation, des termes, des définitions et de la théorie.
Ce webinaire comprend un survol de l’outil ROBINS-I par ses concepteurs, Jonathan Sterne et Julian Higgins, et une présentation par les utilisateurs Judy Brown et Duvaraga Sivajohanathan.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils sur l’outil : http://www.nccmt.ca/resources/search/281
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Dans le cadre du développement des pratiques de télémédecine en France, la téléconsultation médicale est aujourd’hui une pratique encouragée par les pouvoirs publics. Après une première étude en 2019, Livi a sollicité Harris Interactive afin de réaliser une seconde vague d’enquête de son baromètre visant à mieux comprendre la perception qu’ont les Français de cette pratique en plein essor.
Un an plus tard, comment a évolué la perception de la téléconsultation ? Les Français la connaissent-ils mieux qu’auparavant ? Ont-ils davantage l’intention d’y avoir recours ? Quels freins restent à lever la concernant ?
Enquête : Les médecins généralistes et leurs perceptions des discussions avec...Haute Autorité de Santé
Congrès de la médecine générale – Nice 24 juin 2011
Table ronde « Plus de deux Français sur trois sur Internet : quel impact pour vous, généralistes? »
L’enquête a pour objet de répondre à la question « comment les médecins ressentent-ils les discussions où les patients font état de leurs recherches sur Internet? ».
– Les médecins sont-ils « pro-actifs » sur le sujet?
– Les patients leur parlent-ils de leurs recherches sur Internet?
– Les médecins pensent-ils que ces discussions sont utiles aux patients?
– Les médecins ressentent-ils une gêne?
– Les médecins ont-ils le sentiment d’apprendre quelque chose?
Un échantillon représentatif de 200 médecins généralistes français, exerçant en France métropolitaine hors Corse et DOM-TOM, a été interrogé par téléphone entre avril et juillet 2010.
Le CCNMO se réjouit d’organiser son populaire webinaire étudiant sur la prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP) dans les programmes de santé publique. Dans ce webinaire, des étudiants et de récents diplômés montreront les manières dont ils utilisent des outils et des ressources en matière de PDÉDP. Les habiletés en matière de PDÉDP sont très recherchées sur le marché du travail. Participez à ce webinaire pour découvrir les manières dont les ressources accessibles et enrichissantes du CCNMO peuvent vous soutenir dans vos cours, vos stages et votre future carrière en santé publique. Profitez de cette occasion d’apprendre d’autres étudiants et de récents diplômés. Ce webinaire fera participer des étudiants actuels et de récents diplômés de programmes de maîtrise en santé publique (M.P.H.) au Canada qui parleront de leurs expériences d’utilisation des données probantes dans leur travail.
Conférence présentée le 20 mai 2015 dans le cadre de la Journée de la recherche et de l’innovation en éducation des sciences de la santé à l’Université de Montréal.
Conférencières:
Nathalie Caire Fon (médecine)
Françoise Crevier (pharmacie)
Anne Charbonneau (dentaire)
Résumé:
Le raisonnement clinique étant un processus cognitif complexe et implicite, les apprenants se l’approprient difficilement et les enseignants ont de la difficulté à l’expliquer et à repérer les erreurs des apprenants. Afin de faciliter les apprentissages dans ce domaine et soutenir les enseignants, des représentants de cinq facultés en sciences de la santé de l’Université de Montréal ont collaboré à la création d’un MOOC présentant le processus de raisonnement clinique de façon vulgarisée.
Vous aimeriez en savoir plus sur un outil permettant d’évaluer tous les types de données de santé publique?
Évaluez-vous des données en santé publique? Aimeriez-vous avoir un outil unique capable d’évaluer différents types de données et modèles de recherche? Soyez des nôtres pour le webinaire sur MetaQAT.
Cet outil a été développé par la santé publique de l’Ontario.
En quoi le MetaQAT peut-il vous aider?
De nombreux types de données probantes et de modèles de recherche peuvent être utilisés pour répondre à une seule question de santé publique. Le MetaQAT constitue un processus unique qui peut être utilisé pour évaluer ces différents types de données. Il favorise le recours aux données probantes pour la formulation de recommandations et le développement d’actions de santé publique.
Le MetaQAT se compose d’un cadre d’évaluation comprenant quatre domaines : la pertinence, la fiabilité, la validité et l’applicabilité. Une série d’outils d’accompagnement spécifiques au modèle ont été choisis pour fournir d’autres lignes directrices devant servir à évaluer la validité des modèles courants.
Ce webinaire comprend un aperçu du MetaQAT présenté par sa développeuse, Laura Rosella, et sera suivi d’une présentation de Catherine Bornbaum, qui a utilisé le MetaQAT pour effectuer un examen systématique.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur l’outil : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/243
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Le cadre de référence GRADE : évaluer la qualité des données probantes et la force des recommandations
Le cadre de référence GRADE (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) note la qualité (c.-à-d. le degré de confiance ou de certitude) des données probantes et la force des recommandations des revues systématiques et des guides de pratique clinique. Le système GRADE classe la qualité des données probantes et leur attribue un classement global pouvant être « données probantes de très faible qualité », « données probantes de faible qualité », « données probantes de qualité moyenne » ou « données probantes de haute qualité ». Le classement de la qualité des données probantes dépend d’une synthèse de différents facteurs.
Comment le cadre GRADE peut-il vous aider?
La méthode GRADE est utile lorsqu’on répond à des questions qui portent sur des interventions, ainsi que lorsqu’il faut prendre des décisions fondées sur des données probantes et émettre des recommandations. Élaborée à l’origine pour les interventions cliniques, la méthode GRADE vise à évaluer la qualité des données probantes des essais contrôlés randomisés et des études observationnelles. Un outil d’évaluation standard peut servir à déterminer le risque de biais dans les études individuelles colligées dans une revue systématique. Toutefois, le système GRADE juge la qualité d’un ensemble de données probantes et non d’études individuelles.
Cliquez ici pour accéder au cadre de référence GRADE : http://www.nccmt.ca/fr/referentiels-de-connaissances/interrogez-le-registre/304
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
This document summarizes recommendations from a panel discussion on engaging patients in emergency medicine (EM) research. The panel reviewed literature on patient engagement and conducted interviews with EM researchers. They recommend that EM researchers adopt patient engagement to improve research relevance and impact. Specifically, they recommend that the Canadian Association of Emergency Physicians (CAEP) create resources and guidelines to support patient engagement at all stages of research. This includes establishing a national patient council, training materials, and making patient engagement eligible for funding. The panel also provides best practices for the preparatory, execution and translation phases of research that engages patients.
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Joignez-vous aux lauréates des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Melissa MacKay, candidate au doctorat, Santé publique, Université de Guelph – Maintenir la confiance grâce à une communication de crise efficace lors de l’apparition de nouvelles maladies infectieuses.
Alexa Ferdinands, Ph. D., Promotion de la santé et sciences sociocomportementales, Université de l’Alberta – Collaborer avec les jeunes pour combattre la stigmatisation associée au poids dans les soins de santé, dans le milieu de l’éducation et à la maison.
Shannon Bird, M.P.H., Université Brock – L’art comme outil de promotion de la santé publique et environnementale : un plan pédagogique pour les professionnels de l’éducation en matière d’écojustice.
Le fait de collaborer de façon significative et active avec des patients et des membres du public pour planifier, réaliser et diffuser des revues rapides aide à faire en sorte que leurs points de vue seront pris en compte dans les priorités de recherche ainsi que dans la production des données probantes et la détermination des soins qu’ils reçoivent. Retrouvez des membres du CCNMO et de l’Alliance pour des données probantes de la Stratégie de recherche axée sur le patient, ainsi que des patients et des membres du public agissant comme partenaires, dans une séance interactive qui vous permettra de découvrir des manières d’impliquer véritablement des citoyens à titre de partenaires dans vos revues rapides. Nous présenterons un éventail de stratégies permettant d’impliquer des partenaires du public et nous partagerons des leçons apprises pour optimiser ces bonnes occasions. Des patients et des membres du public seront aussi présents et vous feront part de leur point de vue et de leurs expériences.
Dans le cadre du salon PharmagoraPlus qui aura lieu les 30 et 31 mars 2019 à Paris, Pharmacie Référence Groupe, Pharmactiv et Réseau Santé ont sollicité Harris Interactive afin de réaliser une enquête visant à mieux comprendre la façon dont les Français perçoivent les pharmaciens aujourd’hui. Quelle image les Français ont-ils des pharmaciens ? Quel regard portent-ils sur leurs missions ? Quelles sont leurs attentes prioritaires pour l’avenir ?
Les interventions en ligne offrant des rétroactions personnalisées pour la pe...Health Evidence™
Health Evidence a organisé un webinaire de 60 minutes afin d’examiner les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
Anna Haste, chercheuse associée à l’Université de Newcastle, a animé la séance et a présenté les résultats de son récent examen systématique :
Sherrington, A, Newham, J, Bell, R, Adamson, A, McColl, E, & Araujo-Soares, V. (2016). Systematic review and meta-analysis of internet-delivered interventions providing personalized feedback for weight loss in overweight and obese adults. Obesity Reviews, 17(6), 541-551.
http://www.healthevidence.org/view-article.aspx?a=systematic-review-meta-analysis-internet-delivered-interventions-providing-29586
Alors que la prévalence de l’obésité augmente, les interventions classiques en matière de perte de poids démontrent l’existence d’obstacles à la mise en œuvre et des résultats mitigés en ce qui concerne l’efficacité. Cette revue systématique et méta-analyse examinent l’impact des interventions livrées sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses, par rapport au groupe témoin ne recevant pas de rétroaction personnalisée. Douze essais contrôlés randomisés, comptant un total de 3547 participants, sont inclus dans cet examen. Les données probantes suggèrent que les interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée augmentent la perte de poids de 5 % après 3 et 6 mois, et diminuent l’IMC et le tour de taille après 3, 6 et ≥ 12 mois. Ce webinaire a présenté un aperçu de l’efficacité des interventions sur Internet offrant une rétroaction personnalisée pour la perte de poids chez les adultes en surpoids et obèses.
ROBINS-I : un outil d’évaluation du risque de biais dans les études non randomisées d’interventions
L’outil ROBINS-I peut servir à évaluer les études non randomisées qui comparent les effets sur la santé d’au moins deux interventions. Il s’applique à plusieurs modèles d’études observationnelles comme les études de cohorte, les essais quasi randomisés, les études cas-témoins et les études transversales. Joignez-vous à nous pour découvrir l’outil ROBINS-I dans le cadre d’un webinaire!
Cet outil a été conçu par une équipe de l’Université de Bristol.
Comment l’outil ROBINS-I peut-il vous aider?
Plusieurs types de modèles d’études qui évaluent des interventions en santé publique n’ont pas recours à la randomisation. L’outil ROBINS-I fournit une démarche unique pouvant servir à évaluer ces différentes sortes de données probantes. Cela favorise l’usage des données probantes pour formuler des recommandations et concevoir des actions de santé publique.
L’outil ROBINS-I consiste en un cadre d’évaluation en sept domaines. Il offre aussi plusieurs explications de la notation, des termes, des définitions et de la théorie.
Ce webinaire comprend un survol de l’outil ROBINS-I par ses concepteurs, Jonathan Sterne et Julian Higgins, et une présentation par les utilisateurs Judy Brown et Duvaraga Sivajohanathan.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils sur l’outil : http://www.nccmt.ca/resources/search/281
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Dans le cadre du développement des pratiques de télémédecine en France, la téléconsultation médicale est aujourd’hui une pratique encouragée par les pouvoirs publics. Après une première étude en 2019, Livi a sollicité Harris Interactive afin de réaliser une seconde vague d’enquête de son baromètre visant à mieux comprendre la perception qu’ont les Français de cette pratique en plein essor.
Un an plus tard, comment a évolué la perception de la téléconsultation ? Les Français la connaissent-ils mieux qu’auparavant ? Ont-ils davantage l’intention d’y avoir recours ? Quels freins restent à lever la concernant ?
Enquête : Les médecins généralistes et leurs perceptions des discussions avec...Haute Autorité de Santé
Congrès de la médecine générale – Nice 24 juin 2011
Table ronde « Plus de deux Français sur trois sur Internet : quel impact pour vous, généralistes? »
L’enquête a pour objet de répondre à la question « comment les médecins ressentent-ils les discussions où les patients font état de leurs recherches sur Internet? ».
– Les médecins sont-ils « pro-actifs » sur le sujet?
– Les patients leur parlent-ils de leurs recherches sur Internet?
– Les médecins pensent-ils que ces discussions sont utiles aux patients?
– Les médecins ressentent-ils une gêne?
– Les médecins ont-ils le sentiment d’apprendre quelque chose?
Un échantillon représentatif de 200 médecins généralistes français, exerçant en France métropolitaine hors Corse et DOM-TOM, a été interrogé par téléphone entre avril et juillet 2010.
Le CCNMO se réjouit d’organiser son populaire webinaire étudiant sur la prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP) dans les programmes de santé publique. Dans ce webinaire, des étudiants et de récents diplômés montreront les manières dont ils utilisent des outils et des ressources en matière de PDÉDP. Les habiletés en matière de PDÉDP sont très recherchées sur le marché du travail. Participez à ce webinaire pour découvrir les manières dont les ressources accessibles et enrichissantes du CCNMO peuvent vous soutenir dans vos cours, vos stages et votre future carrière en santé publique. Profitez de cette occasion d’apprendre d’autres étudiants et de récents diplômés. Ce webinaire fera participer des étudiants actuels et de récents diplômés de programmes de maîtrise en santé publique (M.P.H.) au Canada qui parleront de leurs expériences d’utilisation des données probantes dans leur travail.
Conférence présentée le 20 mai 2015 dans le cadre de la Journée de la recherche et de l’innovation en éducation des sciences de la santé à l’Université de Montréal.
Conférencières:
Nathalie Caire Fon (médecine)
Françoise Crevier (pharmacie)
Anne Charbonneau (dentaire)
Résumé:
Le raisonnement clinique étant un processus cognitif complexe et implicite, les apprenants se l’approprient difficilement et les enseignants ont de la difficulté à l’expliquer et à repérer les erreurs des apprenants. Afin de faciliter les apprentissages dans ce domaine et soutenir les enseignants, des représentants de cinq facultés en sciences de la santé de l’Université de Montréal ont collaboré à la création d’un MOOC présentant le processus de raisonnement clinique de façon vulgarisée.
Vous aimeriez en savoir plus sur un outil permettant d’évaluer tous les types de données de santé publique?
Évaluez-vous des données en santé publique? Aimeriez-vous avoir un outil unique capable d’évaluer différents types de données et modèles de recherche? Soyez des nôtres pour le webinaire sur MetaQAT.
Cet outil a été développé par la santé publique de l’Ontario.
En quoi le MetaQAT peut-il vous aider?
De nombreux types de données probantes et de modèles de recherche peuvent être utilisés pour répondre à une seule question de santé publique. Le MetaQAT constitue un processus unique qui peut être utilisé pour évaluer ces différents types de données. Il favorise le recours aux données probantes pour la formulation de recommandations et le développement d’actions de santé publique.
Le MetaQAT se compose d’un cadre d’évaluation comprenant quatre domaines : la pertinence, la fiabilité, la validité et l’applicabilité. Une série d’outils d’accompagnement spécifiques au modèle ont été choisis pour fournir d’autres lignes directrices devant servir à évaluer la validité des modèles courants.
Ce webinaire comprend un aperçu du MetaQAT présenté par sa développeuse, Laura Rosella, et sera suivi d’une présentation de Catherine Bornbaum, qui a utilisé le MetaQAT pour effectuer un examen systématique.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur l’outil : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/243
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Le cadre de référence GRADE : évaluer la qualité des données probantes et la force des recommandations
Le cadre de référence GRADE (Grading of Recommendations Assessment, Development and Evaluation) note la qualité (c.-à-d. le degré de confiance ou de certitude) des données probantes et la force des recommandations des revues systématiques et des guides de pratique clinique. Le système GRADE classe la qualité des données probantes et leur attribue un classement global pouvant être « données probantes de très faible qualité », « données probantes de faible qualité », « données probantes de qualité moyenne » ou « données probantes de haute qualité ». Le classement de la qualité des données probantes dépend d’une synthèse de différents facteurs.
Comment le cadre GRADE peut-il vous aider?
La méthode GRADE est utile lorsqu’on répond à des questions qui portent sur des interventions, ainsi que lorsqu’il faut prendre des décisions fondées sur des données probantes et émettre des recommandations. Élaborée à l’origine pour les interventions cliniques, la méthode GRADE vise à évaluer la qualité des données probantes des essais contrôlés randomisés et des études observationnelles. Un outil d’évaluation standard peut servir à déterminer le risque de biais dans les études individuelles colligées dans une revue systématique. Toutefois, le système GRADE juge la qualité d’un ensemble de données probantes et non d’études individuelles.
Cliquez ici pour accéder au cadre de référence GRADE : http://www.nccmt.ca/fr/referentiels-de-connaissances/interrogez-le-registre/304
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Similaire à 13e Journées de formation interdisciplinaire 2020: Atelier décision partagée (20)
This document summarizes recommendations from a panel discussion on engaging patients in emergency medicine (EM) research. The panel reviewed literature on patient engagement and conducted interviews with EM researchers. They recommend that EM researchers adopt patient engagement to improve research relevance and impact. Specifically, they recommend that the Canadian Association of Emergency Physicians (CAEP) create resources and guidelines to support patient engagement at all stages of research. This includes establishing a national patient council, training materials, and making patient engagement eligible for funding. The panel also provides best practices for the preparatory, execution and translation phases of research that engages patients.
Étude de la nomenclature utilisée pour classifier les outils de transfert des...Patrick Archambault
This poster explores the different taxonomies to classify knowledge tools. It also assessed the quantity of knowledge tools currently stored in WikiTrauma, a wiki used at the Centre intégré en santé et en services sociaux de Chaudière-Appalaches (n=1844).
Adaptation of DECISION+: a Training Program in Shared Decision Making on the ...Patrick Archambault
Poster presented at the 2016 Canadian Association of Emergency Physicians conference about the adaptation of the Decision+ program about using antibiotics for upper respiratory infections developed in primary care for the context of Emergency Medicine
In this session, I will review the literature on virtual communities of practice and wikis in emergency medicine. I will propose a new model for knowledge translation to link emergency physicians from across Canada in the creation of a novel open-source and free database of shared resources that can be reused and adapted to local contexts. Finally, I will provide a glimpse of a new era in knowledge translation in the era of the Semantic Web.
Learning Objectives
1- Learn how communities of practice and wikis can support clinical practice in emergency medicine
2- Learn how a database of open-source and free knowledge tools could support your ED
3- Learn about the evolution of knowledge translation in the era of the of the Semantic Web
Poster Medecine 2.0'13 London: Wiki Scoping Review published in JMIR: http://...Patrick Archambault
This document summarizes a scoping review of wikis and collaborative writing applications in healthcare. It found that while such tools present potential positive and negative effects for knowledge translation, little is known about how to address barriers to their implementation and foster contributions from healthcare stakeholders. Future research should include a formal systematic review of the effectiveness of these tools for knowledge translation and primary research to investigate barriers for different stakeholders. The review analyzed 111 studies on patterns of use, quality of information, and collaborative writing applications as knowledge translation.
Rural physicians in Quebec predominantly use social media amongst themselves, mainly email, for administrative purposes. They use social media cautiously to avoid impacting the patient-physician relationship, which they see social media as not well-suited for. Only 30% use social media, mainly email, with patients. While some physicians see value in practice guidelines for social media, others feel current professionalism standards suffice or are unsure if extra guidance is needed.
Rural emergency care professionals are seen positively by both urban and rural healthcare professionals as potential supporters of using wiki-based reminders to promote best practices in trauma care. Interviews were conducted with 25 emergency physicians and 25 allied health professionals about their beliefs regarding wiki reminders. Rural professionals felt isolated from specialist advice and saw wikis as a way to access current best practices. Urban professionals believed rural colleagues would value wikis for ongoing education and keeping treatment guidelines in remote areas up to date. A future study will measure how these rural-specific beliefs impact intention to use wiki reminders.
Wikis and Collaborative Writing Applications in Health Care: Preliminary Resu...Patrick Archambault
This document summarizes the results of a scoping review on the use of wikis and collaborative writing applications in healthcare. The review identified 88 studies that evaluated barriers, facilitators and impacts of using these applications. Most studies involved genetics/genomics wikis and examined perceived benefits like knowledge sharing and drawbacks like a lack of authoritative content. The review provides insight into how collaborative technologies are being applied and perceived in healthcare settings.
Wikis and Collaborative Writing Applications in Health Care: Preliminary Resu...
13e Journées de formation interdisciplinaire 2020: Atelier décision partagée
1. La décision partagée en soutien à la
pertinence des soins médicaux
Patrick Archambault, MD, MSc, FRCPC
Perrine Granger, MD
France Légaré, BSc Arch, MD, MSc, PhD, CCFP, FCFP
JFI2020, 21novembre 2020
2. Règles du jeu en mode virtuel
• Micro fermé que nous ouvrirons au moment opportun et caméra ouverte afin de rendre
l’expérience interactive et agréable. Intervention : aller à l’essentiel
• Gardez votre téléphone intelligent en mode avion à proximité, nous l’utiliserons pour des
activités.
• Lever la main pour interagir ou poser vos questions. (bouton « interactions » au bas de l’écran)
• Nous utiliserons le clavardage (chat) et des questionnaires qui apparaitrons à votre écran.
• Ainsi que les salles virtuelles lors des jeux de rôle après la pause.
• Soyons indulgents: nous allons essayer des nouvelles manières de faire.
3. 3
Répondez au sondage qui apparaît à l’écran:
1. Quelle est votre spécialité? Précisez laquelle dans le chat
2. Combien d’années de pratique avez-vous?
3. Quel est votre genre?
Faisons connaissance
1er sondage
5. Déclaration des conflits d’intérêt réels ou
potentiels
Patrick Archambault
Je déclare un conflit d’intérêt en lien avec le contenu de cette présentation. J'ai reçu des subventions de recherche du
FRQS et des IRSC pour des projets sur la PDP à l’urgence, aux soins intensifs et en première ligne. De plus, mon équipe de
recherche réalise des contrats de recherche avec Thales Solutions Numériques pour développer des systèmes d’aide à la
décision dans plusieurs contextes.
Perrine Granger
Je n’ai aucun conflit d’intérêt réel ou potentiel en lien avec le contenu de cette présentation
France Légaré
Je déclare un conflit d’intérêt en lien avec le contenu de cette présentation. J’ai reçu des subventions de recherche du
FRQS, Génome Canada, PCORI et des IRSC pour des projets sur la PDP en première ligne. De plus, mon équipe de
recherche a des partenariats encadrés par le VRR ULaval et avec Greybox. Je suis responsable de la composante application
des connaissances de l’unité soutien du Québec SRAP IRSC MSSS FRQS et nous réalisons des projets sur les outils d’aide à
la décision.
5
6. • Échanges sur vos attentes face à la prise de décision partagée (PDP)
• Définitions
• Vidéo qui est une simulation clinique de la PDP
• Explications de grilles OPTION 5 et SURE
Pause
• Jeu de rôle
• Retour sur votre expérience de la PDP
6
Plan de l’atelier
7. Réflexion, vos attentes
7
Répondez à cette question:
1. Est-ce que vous avez pratiqué la prise de décision
partagée dans votre pratique?
Indiquez dans le chat:
2e sondage
En vous référant à votre pratique, indiquer 1 situation clinique propice à
l’expérience d’une décision difficile pour les patients
8. Objectifs de l’atelier
• Appliquer les éléments essentiels à une prise de décision partagée avec son
patient.
• Dépister un conflit décisionnel (sentiment d’inconfort avec la décision) chez le
patient et l'accompagner par étapes en utilisant un outil d'aide à la décision.
• S’approprier les caractéristiques essentielles des outils d’aide à la décision
favorisant une décision partagée pour pouvoir les transposer dans sa pratique
clinique avec les patients et leurs proches.
8
9. Processus par lequel les professionnel.le.s de la santé et les
patient.e.s prennent ensemble une décision éclairée, informée par
les meilleures données probantes, en tenant compte des valeurs et
préférences des patient.e.s
9
Définition de la décision partagée
10. Canadien.ne.s sont-ils et elles engagé.e.s dans les décisions en santé?
Haesebaert et al. CMAJ Open 2019
http://cmajopen.ca/content/7/2/E210.full
Les Canadien.ne.s sont peu engagé.e.s dans les décisions en santé et ce niveau
d’engagement varie en fonction de l’âge, le milieu de soins, la géographie et l’origine
ethnique
Les Québecois sont moins engagés que les autres provinces. Même constat par le groupe
Deprescribing Net.
Les ainé.e.s et tout particulièrement ceux et celles recevant des soins à domicile sont les
moins engagé.e.s dans les décisions en santé
Interrogé.e sur ses idées
et préférences toujours/
souvent
40.2%
Avantages/
désavantages sont
présentés toujours/
souvent
Choix est discuté
toujours/ souvent
Interrogé.e sur son
option préférée
toujours/ souvent
38.8%45.4 %42.8 %
10
11. Lomas & Lavis 1996
BMJ Clinical Evidence 201711
11%
3%
7%
5%
24%
50%
Beneficial
Likely to be ineffective
Trade-offs
Unlikely to be beneficial
Likely to be beneficial
Unknown effectiveness
Bénéfices de 3000 interventions
Bénéfique
Susceptible d’être inefficace
Compromis
Peu susceptible d’être bénéfique
Susceptible d’être bénéfique
Efficacité Inconnue
•La majorité du temps
•La plupart des
décisions se prennent
dans des zones grises
de données probantes
Est-ce toujours approprié dans ma pratique?
12. Paternaliste Partagée Consommateur
Rôle du
médecin
• Actif
• Présente l’information
• Décide
• Actif
• Présente l’information et les
options «courtier des
décisions»
• Passif
• Présente l’information
Rôle du
patient
• Passif
• Accepte la décision du
médecin
• Actif
• Reçoit l’information
• Juge ce qui est le plus
important pour soi
• Communique ses
préférences
• Actif
• Reçoit l’information
• Juge ce qui est le plus
important pour soi
• Décide
Quelle
perspective?
• Assume que le médecin est
l’expert
• Négociation et consensus
• Partage de la décision
• Assume que le patient est
l’expert
Hamann 2003; Charles et al. 1997
12
Modèles de prise de décision
13. …c’est beaucoup plus qu’uniquement des habiletés interpersonnelles et communicationnelles.
La prise de décision partagée a été démontrée cliniquement efficace:
• pour réduire l’utilisation d’options non clairement démontrées bénéfiques (p. ex.: pour le
dépistage du cancer de la prostate);
• pour augmenter le recours aux options clairement démontrées efficaces (p. ex.: dans la gestion des
facteurs de risque cardiovasculaire);
• pour trouver un terrain d’entente lors d’une une thérapie multisessions dans un contexte de
maladie chronique.
13
La prise de décision partagée…
14. 1. Définir le problème/identifier la décision à prendre;
2. Présenter les options (y compris « s’abstenir / veille attentive »);
3. Discuter des avantages/risques potentiels (nature probabilistique
des données probantes);
4. Identifier les valeurs/préférences du patient;
5. Explorer l’efficacité personnelle du patient;
6. Présenter les recommandations;
7. Vérifier la compréhension;
8. Prendre/différer la décision et prendre les dispositions nécessaires
pour le suivi.
14
15. Causes et solutions possibles
Pathirana, Thanya, Justin Clark, and Ray Moynihan.
"Mapping the drivers of overdiagnosis to potential solutions." Bmj 358 (2017): j3879.
• Surdétection:
• Haute résolution
• Auto test
• Accès aux tests
• Surdéfinition:
• Descendre les seuils
• Survente:
• Médicalisation
15
16. Ont, Thornhill. "978 Canadian Family Physician•
Le Médecin de famille canadien Vol 54: july• juillet 2008 Letters."
(Reproduit avec la permission de Hersch et coll.)
Scénario 2
Marie ne subit pas de dépistage
Diagnostic et
traitement du cancer.
Son cancer est
détecté. Elle reçoit un
diagnostic et suit des
traitements.
Aucun diagnostic de
cancer ni traitement.
Son cancer n’est jamais
détecté et ne nuit
jamais à sa santé.
Marie vit
jusqu’à 85 ans
et meurt
ensuite d’une
cardiopathie.
Scénario 1
Marie subit un dépistage
16
Exemple de surdiagnostic
17. 17
• Incertitude quant à la ligne de conduite à adopter lorsque
le choix entre des actes antagonistes implique un risque,
une perte ou une remise en cause des valeurs personnelles
• * On peut aussi parler de confort décisionnel mais il faut alors parler
de certitude quand à la ligne de conduite à adopter.
(O’Connor, 1995; Carpenito, 2000)
Dépister LE CONFLIT DÉCISIONNEL*
Comment intégrer la prise de décision partagée
dans sa pratique?
18. Identifier la
décision
Quelle est la décision? Une prise de décision n’est possible
que si le médecin présente des CHOIX au patient
Dépister le conflit
décisionnel
Information -Présenter TOUTES les options y compris ne rien faire ainsi que leurs
avantages et désavantages
-Présenter le caractère incertain associé aux issues (notion de probabilité
associée aux résultats de recherche)
Valeurs -Explorer les attentes, idées, inquiétudes et IMPORTANCE relative donnée
aux différents avantages et désavantages de chacune des options; Aider à
CLARIFIER ce qui est le plus important
Soutien -Vérifier si absence de pression indue, soutien nécessaire disponible,
accessibilité et compréhension de l’information; Donner l’occasion de poser
des questions
Rôle désiré -Préciser le RÔLE désiré dans la prise de décision
Planifier soutien Plan d’action -En fonction des facteurs ci-haut
18
19. 19
• 59 fois plus à risque de changer d’idée
• 23 fois plus à risque de reporter la décision
• 5 fois plus à risque d’avoir du regret
• 3 fois plus à risque d’échouer un test de connaissances
• 19% plus à risque de blâmer le médecin si conséquence
défavorable*
Sun, Q. [Unpublished MSc thesis]. University of Ottawa, 2005
*Gattelari & Ward J Med Screen 2004;11:165-169
Conséquences d’un conflit décisionnel non
résolu chez le patient
20. O’Connor et Légaré 2006
Évaluer le confort décisionnel du patient (S.U.R.E.)
S. ûr(e) de moi… 1) Je suis certain/e du meilleur choix pour moi.
2) J’ai le sentiment d’avoir toute l'information nécessaire sur les
bons et moins bons côtés de toutes les options disponibles.
3) J’ai le sentiment de savoir ce qui est le plus important pour
moi à l'égard des risques/bénéfices qui sont associés à
chacune des options disponibles.
4) J’ai tout le soutien dont j’ai besoin pour faire mon choix.
OUI NON Ne sais pas
E. ncouragement
et soutien des
autres…
R. isques et
bénéfices à
balancer…
U. tilité de
l’information…
20
21. •Source d’informations sur toutes
l’ensemble des options disponibles et les
avantages et désavantages qui y sont
associé(e)s
•Favorise la prise de décision partagée
•Conçus pour accompagner et non pour
remplacer le professionnel de la santé
•(Institut de recherche de l'Hôpital d'Ottawa 2015.
https://decisionaid.ohri.ca/francais/index.html)
Ne conseillent pas aux patients de choisir
une option par rapport à une autre
Ne remplacent pas la consultation d’un
professionnel de la santé
Ils préparent les patients à prendre des
décisions éclairées et fondées sur leurs
valeurs avec leur médecin
•(IPDAS 2017; http://ipdas.ohri.ca/what.html)
21
À quoi servent les outils d’aide à la décision
24. Améliorent
ACCORD PT – MD
Professionnels de la santé
↑ satisfaction
Connaissances
% Pts passifs
% Pts avec attentes réalistes
% Pts qui n’ont pas décidé
Adéquation valeurs-choix
Conflit décisionnel
Surutilisation des
interventions agressives
Aucun impact sur l’anxiété
Patients
Efficacité des outils d’aide à la décision
24
Stacey et al. Librairie Cochrane (2017)
25. • Favorise le consentement éclairée aux soins
• Encourage la pratique centrée sur le patient
• Facilite la communication avec le patient
• Augmente le niveau de satisfaction des cliniciens dans leur propre pratique
• Augmente la satisfaction de donner le traitement optimal pour le patient
25
Impact de la prise de décision partagée dans
votre pratique
26. Inventaires des outils d’aide et des formations PDP
26
https://decisionaid.ohri.ca/AZinvent.php
http://decision.chaire.fmed.ulaval.ca
27. 27
OPTION-5 items : Observer l’implication du patient
Elwyn 2013
Item 1: Pour le problème de santé en question, le clinicien attire l'attention sur ou
confirme l'existence d'autres options de traitement ou de gestion ou la nécessité d'une
décision. Si c'est le patient plutôt que le clinicien qui attire l'attention sur la disponibilité
des options, le clinicien répond en convenant que les options doivent être examinées.
Item 2: Le clinicien rassure le patient ou réaffirme que le clinicien l'aidera à s'informer ou
à délibérer sur les options. Si le patient déclare qu'il a cherché ou obtenu des informations
avant la rencontre, le clinicien soutient un tel processus de délibération.
Item 3: Le clinicien donne des informations ou vérifie la compréhension des options
considérées comme raisonnables (cela peut inclure l'absence d'action), afin d'aider le
patient à comparer les alternatives. Si le patient demande des éclaircissements, le
clinicien soutient le processus.
Item 4: Le clinicien s'efforce de connaître (demander) les préférences du patient en
réponse aux options qui ont été décrites. Si le patient déclare sa ou ses préférences, le
clinicien le soutient.
Item 5: Le clinicien s'efforce d'intégrer les préférences exprimées du patient au moment
de la prise de décision. Si le patient indique la meilleure façon d'intégrer ses préférences
au moment où les décisions sont prises, le clinicien fait un effort pour le faire.
Score Description
0 = No effort
1 = Minimal effort
2 = Moderate effort
3 = Skilled effort
4 = Exemplary effort
28. Utiliser ou non les antibiotique pour une otite:
vidéo
Français : https://youtu.be/K1MSuhzaWfc
Anglais : https://youtu.be/9woQ2fMKLxE
28
29. 29
OPTION 5
1: Est-ce que le médecin clarifie qu'il y a plusieurs options et qu'une décision doit être prise?
2: Est-ce que le médecin explique au patient qu’il l'aidera à s'informer ou à délibérer sur les options?
3: Est-ce que le médecin donne des informations ou vérifie la compréhension des options?
4: Est-ce que le médecin s'efforce de connaître les préférences du patient?
5: Est-ce que le médecin intègre les préférences exprimées du patient aux processus de prise de décision?
S: Est-ce que la patiente était certaine que c’était le meilleur choix pour elle?
U: Est-ce que la patiente avait le sentiment d’avoir toute l’information sur les bons et mauvais côtés des options?
R: Est-ce que la patiente avait le sentiment de savoir ce qui était important pour elle?
E: Est-ce que la patiente avait le soutien dont elle à besoin pour faire son choix?
Rétroaction sur la PDP
Répondez Oui/Non dans le chat
30. Explications Jeux de rôle
• Avec l’outil générique la triade choisit une mise en situation par tour.
Pour vous mettre au défi, laissez choisir le cas par le patient.
• Il y aura 3 tours de jeu de rôle pour que tous puissent jouer le médecin, le
patient et l’observateur
• Prenez en photo les 3 diapos suivantes, en cas de problème d’accès aux pdf
nécessaires pour le jeu de rôle.
Les scénarios sont attachés aux documents de l'outil d'aide et la grille.
Scénario : Votre inspiration
Scénario : Nos propositions
30
31. Exemples de scénarios :
1. Improvisation à partir d’une situation que vous avez vécue dans votre pratique. Dans ce cas, décrire
brièvement la situation choisie à la personne qui personnalisera le patient ou le médecin.
2. Une dame en bonne santé de 50 ans se présente à l’urgence avec une bronchite sans détresse respiratoire.
3. Un couple, dont la femme enceinte a 38 ans, se demande si leur bébé peut avoir la trisomie 21
4. Un patient de 82 ans se présente aux soins intensifs avec la COVID sans détresse respiratoire avec une FiO2 à
60% pour saturer.
5. Chirurgie pour un remplacement de hanche chez un patient de 89 ans. ( ou autre chirurgie)
6. Un homme de 90 ans est hospitalisé suite à une chute, il se demande s’il est sécuritaire de retourner à la maison
ou s’il doit déménager en RPA.
7. Un adulte de 38 ans sur le marché du travail présente un diagnostic de dépression majeure d’intensité modérée
sans risque suicidaire et se demande s’il doit prendre des antidépresseurs ou entreprendre une psychothérapie.
8. Un patient qui est fumeur depuis de nombreuses années, est asymptomatique et il craint les irradiations, se
demande s'il doit passer une TDM pour dépister un cancer du poumon.
9. Un patient souffrant de diabète de type 2 sans besoin d’insulinothérapie rencontre son endocrinologue, ils
discutent de l’option de prendre un hypolipémiant. (ou autre traitement)
10.Une patiente qui est suivie en hémato-oncologie (p. ex. : cancer du sein) et qui doit discuter de ses options avec
son médecin.
11.Une patiente de 32 ans G2P1A0 avec antécédent de césarienne à sa 1ere grossesse et qui doit discuter avec son
OBYGYN un AVAC ou non.
12.Un jeune garçon de 13 ans souffrant d’arthrite rhumatoïde juvénile qui rencontre son pédiatre avec sa mère et
qui discute de ses options pour une prise en charge de son problème de santé.
32.
33. Grille Observateur. Notez si le médecin fait ces éléments, pour faire rétroaction sur sa pratique.
1. Justifier le travail de délibération: le médecin clarifie qu'il y a plusieurs options et qu'une décision doit être
prise.
2. Justifier le travail de soutenir la délibération: le médecin explique au patient que son rôle est de l'informer
et de soutenir une délibération entre eux.
3. Informer, décrire les options, échanges de points de vue: le médecin informe le patient des options
disponibles pour l'aider à comparer les avantages et inconvénients des alternatives
4. Chercher à connaître les préférences des patients: le médecin fait un effort pour encourager le patient à
exprimer ses préférences personnelles en réponses aux options décrites.
5. Intégrer les préférences des patients aux processus de prise de décision: le médecin intègre les
préférences des patients aux processus de prise de décision.
Est-ce que le médecin a demandé au patient si… (oui/non)
1. S : …il est certain de ce qu’est le meilleur choix pour lui.
2. U : …il a le sentiment d’avoir toute l'information nécessaire sur les bons et moins bons côtés de toutes les
options disponibles.
3. R : …il a le sentiment de connaître ce qui est le plus important pour lui à l'égard des risques/bénéfices qui
sont associés à chacune des options disponibles.
4. E : …il a tout le soutien dont il a besoin pour faire son choix.
33
34. 53 minutes de jeux de rôle
1 joue le médecin
1 joue le patient
1 est l’observateur avec la grille OPTION 5 et SURE
2minutes prendre connaissance des 2 documents et choisir les scénarios
3x (12minutes pour le jeu + 5min retour sur le processus)
Si vous avez besoin d’aide, cliquez en bas à droite pour venir poser
la question aux présentateurs.
Vous pourrez retourner à votre triade ensuite.
34
Attention
35. Pause de 10 minutes
Vous partez maintenant en triade
Profitez pour faire connaissance
À 10h 50 soyez prêt à débuter le jeu de rôle.
35
36. Retour sur votre expérience de la PDP
Répondez dans le sondage:
1. Quel point est le plus sensible pour vous dans les 8 étapes?
Indiquez dans le chat si oui ou non
1. Est-ce que vous avez trouvé facile de pratiquer la PDP en tant que médecin
2. Est-ce que vous avez trouvé utile la PDP en tant que patient
3. Aviez-vous l’impression que vous pratiquez vraiment la PDP dans votre
pratique après avoir fait le jeu de rôle?
36
Sondage 3 et le chat
37. 37
• L’Échelle de Conflit Décisionnel, version 4
questions, (S.U.R.E) permet d’identifier les patients
qui bénéficieraient d’un processus de prise de
décision partagée.
38. 38
• La prise de décision partagée est
particulièrement utile dans un contexte
d’incertitude scientifique.
39. 39
• La prise de décision partagée est associée à
des effets bénéfiques et est facilitée par
l’utilisation d’outils d’aide à la décision.
41. Merci de votre attention
Voici des liens pour aller plus loin
• Formation PDP aux soins intensifs : http://www.formations-savie.ca/fpdp/
• Pour les TCCL légers pédiatriques :
https://www.youtube.com/watch?v=tjbsbgCVcmo&feature=youtu.be
• Antibiotiques à l’urgence: https://sites.google.com/site/wikitraumaca/le-projet-de-
recherche-wikitrauma/projet-sur-l-adaptation-decision-2-a-l-urgence
• Osmosis: https://www.youtube.com/watch?v=4ueDJEFytMI (anglais, résume la PDP)
• Expérience patient: Richard Thompson (UK, Health Foundation):
https://www.youtube.com/watch?v=fhiwftNLtyc (anglais)