Cette exemple de feuille de réponse correspond au neuvième webinaire de la série club de lecture en ligne, « Lower-Risk Cannabis Use Guidelines: A Comprehensive Update of Evidence and Recommendations »
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Le fait de collaborer de façon significative et active avec des patients et des membres du public pour planifier, réaliser et diffuser des revues rapides aide à faire en sorte que leurs points de vue seront pris en compte dans les priorités de recherche ainsi que dans la production des données probantes et la détermination des soins qu’ils reçoivent. Retrouvez des membres du CCNMO et de l’Alliance pour des données probantes de la Stratégie de recherche axée sur le patient, ainsi que des patients et des membres du public agissant comme partenaires, dans une séance interactive qui vous permettra de découvrir des manières d’impliquer véritablement des citoyens à titre de partenaires dans vos revues rapides. Nous présenterons un éventail de stratégies permettant d’impliquer des partenaires du public et nous partagerons des leçons apprises pour optimiser ces bonnes occasions. Des patients et des membres du public seront aussi présents et vous feront part de leur point de vue et de leurs expériences.
Ce document présente les outils de soutien mentionnés dans le webinaire Guide pour les revues rapides : synthétiser les données probantes pour éclairer les pratiques de santé publique de la série Pleins feux sur les méthodes et outils. Ils aident à réaliser une revue rapide et sont spécifiques aux cinq premières étapes de la prise de décisions fondée sur des données probantes (PDFDP).
The National Collaborating Centre for Methods and Tools (NCCMT) hosted our popular student-oriented webinar on evidence-informed decision making (EIDM) in public health programs. The NCCMT supports students learning remotely by continuing to provide online resources for EIDM.
Learn how these resources can support your coursework, practicums and public health careers. Recent Master of Public Health (MPH) graduates from programs across the country provide fresh perspectives and share their experiences of using research evidence in their own work.
Le CCNMO se réjouit d’organiser son populaire webinaire étudiant sur la prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP) dans les programmes de santé publique. Dans ce webinaire, des étudiants et de récents diplômés montreront les manières dont ils utilisent des outils et des ressources en matière de PDÉDP. Les habiletés en matière de PDÉDP sont très recherchées sur le marché du travail. Participez à ce webinaire pour découvrir les manières dont les ressources accessibles et enrichissantes du CCNMO peuvent vous soutenir dans vos cours, vos stages et votre future carrière en santé publique.
Dans le cadre de ce webinaire, nous vous présenterons d’abord brièvement le processus de développement de la formation en plus de vous donner un aperçu de son contenu. Nous passerons ensuite la parole à un professionnel de la santé publique qui évoquera certains des défis éthiques auxquels elle a été confrontée dans sa pratique professionnelle, ainsi que son expérience avec le cours en ligne du CCNPPS.
À la fin du webinaire, les participants seront en mesure de:
• Comprendre comment une perspective éthique peut informer la prise de décision
• Décrire certains des éléments principaux du cours en ligne
• Voir comment les connaissances et les compétences pratiques en éthique peuvent être mises à profit dans le cadre des pratiques professionnelles en santé publique.
Project Title: Co-creation of a strengths-based approach to improve cardiometabolic health: a community-based and Indigenous-led healthy lifestyle intervention
Le fait de collaborer de façon significative et active avec des patients et des membres du public pour planifier, réaliser et diffuser des revues rapides aide à faire en sorte que leurs points de vue seront pris en compte dans les priorités de recherche ainsi que dans la production des données probantes et la détermination des soins qu’ils reçoivent. Retrouvez des membres du CCNMO et de l’Alliance pour des données probantes de la Stratégie de recherche axée sur le patient, ainsi que des patients et des membres du public agissant comme partenaires, dans une séance interactive qui vous permettra de découvrir des manières d’impliquer véritablement des citoyens à titre de partenaires dans vos revues rapides. Nous présenterons un éventail de stratégies permettant d’impliquer des partenaires du public et nous partagerons des leçons apprises pour optimiser ces bonnes occasions. Des patients et des membres du public seront aussi présents et vous feront part de leur point de vue et de leurs expériences.
Ce document présente les outils de soutien mentionnés dans le webinaire Guide pour les revues rapides : synthétiser les données probantes pour éclairer les pratiques de santé publique de la série Pleins feux sur les méthodes et outils. Ils aident à réaliser une revue rapide et sont spécifiques aux cinq premières étapes de la prise de décisions fondée sur des données probantes (PDFDP).
The National Collaborating Centre for Methods and Tools (NCCMT) hosted our popular student-oriented webinar on evidence-informed decision making (EIDM) in public health programs. The NCCMT supports students learning remotely by continuing to provide online resources for EIDM.
Learn how these resources can support your coursework, practicums and public health careers. Recent Master of Public Health (MPH) graduates from programs across the country provide fresh perspectives and share their experiences of using research evidence in their own work.
Le CCNMO se réjouit d’organiser son populaire webinaire étudiant sur la prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP) dans les programmes de santé publique. Dans ce webinaire, des étudiants et de récents diplômés montreront les manières dont ils utilisent des outils et des ressources en matière de PDÉDP. Les habiletés en matière de PDÉDP sont très recherchées sur le marché du travail. Participez à ce webinaire pour découvrir les manières dont les ressources accessibles et enrichissantes du CCNMO peuvent vous soutenir dans vos cours, vos stages et votre future carrière en santé publique.
Dans le cadre de ce webinaire, nous vous présenterons d’abord brièvement le processus de développement de la formation en plus de vous donner un aperçu de son contenu. Nous passerons ensuite la parole à un professionnel de la santé publique qui évoquera certains des défis éthiques auxquels elle a été confrontée dans sa pratique professionnelle, ainsi que son expérience avec le cours en ligne du CCNPPS.
À la fin du webinaire, les participants seront en mesure de:
• Comprendre comment une perspective éthique peut informer la prise de décision
• Décrire certains des éléments principaux du cours en ligne
• Voir comment les connaissances et les compétences pratiques en éthique peuvent être mises à profit dans le cadre des pratiques professionnelles en santé publique.
Project Title: Co-creation of a strengths-based approach to improve cardiometabolic health: a community-based and Indigenous-led healthy lifestyle intervention
Le Cadre consolidé pour l’application de la recherche (CCAR) sert à adapter et à planifier l’application d’une intervention en santé publique. L’outil convient aux particuliers et aux groupes qui planifient et appliquent des interventions existantes.
Le Cadre consolidé pour l’application de la recherche peut vous aider à identifier les obstacles à l’application et les éléments qui la facilitent; à suivre le progrès vers les objectifs de l’application; et à évaluer les résultats ou l’impact de l’intervention.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur l’outil : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/210
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
Joignez-vous aux lauréates des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices et axées sur l’équité. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
L’Outil d’appréciation des effets de l’action intersectorielle locale (https://chairecacis-outilinteractif.org/) est un outil interactif en ligne qui génère de l’information pour apprécier les effets de l’action intersectorielle locale dans les milieux de vie.
Écoutez Angèle Bilodeau (École de santé publique de l’Université de Montréal), Marie-Pier St-Louis (Chaire de recherche du Canada Approches communautaires et inégalités de santé [CACIS]) et leur collaboratrice Gillian Kranias présenter cet outil, conçu en collaboration avec la Coalition montréalaise des Tables de quartier, Communagir et l’Institut Tamarack.
Ce webinaire sera présenté en partenariat avec le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO), le Centre de collaboration nationale sur les politiques publiques et la santé (CCNPPS) et le Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS).
Cet outil offre aux membres d’un partenariat l’occasion d’exprimer leurs perceptions et leurs opinions au sujet de leur expérience en matière de partenariat. Les 18 items de l’outil sont liés aux six conditions d’efficacité de l’action en partenariat :
1. la couverture des perspectives ayant cours sur la question
d’intérêt;
2. l’intéressement précoce des acteurs pour les décisions
stratégiques;
3. l’engagement des acteurs dans un rôle de négociation et
d’influence sur la décision;
4. l’engagement des acteurs stratégiques et névralgiques
pour le projet;
5. des arrangements de partenariat qui favorisent l’égalisation
des rapports de pouvoir parmi les acteurs;
6. des arrangements de partenariat qui favorisent la co-
construction de l’action.
Comment l’Outil diagnostique de l’action en partenariat peut-il vous aider?
Les professionnels de la santé publique collaborent avec d’autres personnes et participent à des partenariats tout au long de leur carrière. Cet outil permet aux membres de partenariats de poser un diagnostic sur leur partenariat et d’apprendre à connaître les conditions d’efficacité de l’action en partenariat. Cet outil est aujourd’hui offert dans les deux langues officielles et peut faciliter une évaluation bilingue d’un ou de plusieurs partenariats. Le public cible de l’Outil diagnostique de l’action en partenariat comprend aussi tous les membres d’un partenariat ayant décidé de poser un diagnostic sur celui-ci.
Cliquez ici http://www.nccmt.ca/fr/referentiels-de-connaissances/interrogez-le-registre/316 pour accéder à l’Outil diagnostique de l’action en partenariat.
Cliquez ici https://www.slideshare.net/NCCMT/selfevaluation-tool-for-action-in-partnershiploutil-diagnostique-de-laction-en-partenariat-references-resourcesrfrences-et-ressources.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Ce webinaire présente une vision éclairée par des données probantes concernant l’établissement d’un système de données en santé publique pancanadien. Il a été commandé par le Bureau de l’Administratrice en chef de la santé publique (ACSP) à l’Agence de la santé publique du Canada afin d’éclairer le webinaire annuel 2021 de l’ACSP. L’objectif global de cette revue était de présenter des approches permettant d’établir et de maintenir les éléments favorisant le développement d’un système de données, en plus de prendre en compte les facteurs fondamentaux, comme les possibilités de coordonner et de piloter le développement et le fonctionnement d’un réseau coordonné de systèmes afin d’éclairer une vision audacieuse pour le renouvellement du système de santé publique au Canada.
Les Centres de collaboration nationale en santé publique, en partenariat avec les auteurs et le Bureau de l’ACSP, présentent ce webinaire afin de diffuser ses résultats plus largement.
ROBINS-I : un outil d’évaluation du risque de biais dans les études non randomisées d’interventions
L’outil ROBINS-I peut servir à évaluer les études non randomisées qui comparent les effets sur la santé d’au moins deux interventions. Il s’applique à plusieurs modèles d’études observationnelles comme les études de cohorte, les essais quasi randomisés, les études cas-témoins et les études transversales. Joignez-vous à nous pour découvrir l’outil ROBINS-I dans le cadre d’un webinaire!
Cet outil a été conçu par une équipe de l’Université de Bristol.
Comment l’outil ROBINS-I peut-il vous aider?
Plusieurs types de modèles d’études qui évaluent des interventions en santé publique n’ont pas recours à la randomisation. L’outil ROBINS-I fournit une démarche unique pouvant servir à évaluer ces différentes sortes de données probantes. Cela favorise l’usage des données probantes pour formuler des recommandations et concevoir des actions de santé publique.
L’outil ROBINS-I consiste en un cadre d’évaluation en sept domaines. Il offre aussi plusieurs explications de la notation, des termes, des définitions et de la théorie.
Ce webinaire comprend un survol de l’outil ROBINS-I par ses concepteurs, Jonathan Sterne et Julian Higgins, et une présentation par les utilisateurs Judy Brown et Duvaraga Sivajohanathan.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils sur l’outil : http://www.nccmt.ca/resources/search/281
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Comment savoir si une intervention convient à votre collectivité ou à votre organisme?
L’Outil d'applicabilité et de transférabilité des données du CCNMO vous aide à répondre à cette question.
Ce webinaire vous fournira un aperçu de l’Outil A&T ainsi que les résultats de son utilisation par le Service de santé publique de Sudbury et du district.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
2e partie du webinaire sur l’Outil de préparation en matière de politiques
Apprenez comment des professionnels de la santé publique se sont servis de l’Outil de préparation en matière de politiques dans le cadre de leur pratique et discutez des difficultés éprouvées et des succès connus lorsqu’il s’est agi d’appliquer l’outil en question.
Afin de voir le sommaire de l’outil qu’a rédigé le CCNMO, cliquez ici : http://www.nccmt.ca/registry/view/fra/144.html
1re partie: http://www.slideshare.net/NCCMT/nccmt-webinar-policyreadinesstoolpt19172015fr
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
Cette activité se déroulera en anglais. Un enregistrement audio sera accessible après la séance. Les diapositives de la présentation seront mises en ligne en français et en anglais après la tenue du webinaire. Les diapositives en français sont accessibles avant la séance sur demande; veuillez nous envoyer un courriel à ccnmo@mcmaster.ca
Les évaluations de l’évaluabilité en santé publique
Réalisées avant l’évaluation proprement dite, les évaluations de l’évaluabilité sont conçues pour maximiser les chances qu’une évaluation ultérieure aboutisse à des informations utiles. Elles indiquent quelles évaluations ont les meilleures chances de révéler des informations importantes en facilitant les étapes suivantes consistant à :
• expliquer les désaccords entre les parties prenantes
• décrire la logique d’un programme
• indiquer la nécessité de modifier les activités et les ressources
• informer les parties prenantes sur les options d’évaluation et leur utilité potentielle
• révéler les problèmes avant que les décideurs ne s’engagent dans une évaluation formelle
En quoi la méthode d’évaluation de l’évaluabilité peut-elle vous aider?
Les évaluations de l’évaluabilité sont des processus cycliques et itératifs qui permettent de comprendre la conception du programme, le modèle de logique du programme sous-jacent ou la théorie du changement et les possibilités d’évaluation utile et d’amélioration potentielle des programmes.
L’évaluation est l’une des compétences en santé publique et cette méthode aide les professionnels de la santé publique à mener des évaluations de programmes, de politiques ou de pratiques.
Cliquez ici (lien vers http://www.nccmt.ca/ressources/interrogez-le-registre/290) pour accéder à la méthode.
Vous intéressez-vous aux critères fondés sur des données probantes pour une communication claire dans les documents de santé publique?
Êtes-vous relecteur ou rédacteur de documents de communication en santé publique? Désirez-vous améliorer la clarté et la facilité de compréhension de ces documents? Le Clear Communication Index peut vous aider!
Cet indice a été développé par les Centers for Disease Control and Prevention.
Comment le Clear Communication Index peut-il vous aider?
L’indice permet de développer et d’examiner les documents de
communication en santé publique pour plus de clarté. Il encourage la collaboration entre les auteurs et les examinateurs pour assurer l’exactitude et permet d’évaluer la facilité d’utilisation du matériel de communication. L’outil est axé sur des critères qui améliorent la clarté et la compréhension.
Le recours au Clear Communication Index permet d’attribuer un score quantitatif basé sur l’évaluation de sept domaines : message principal et appel à l’action, langue, conception de l’information, état de la science, recommandations comportementales, chiffres et risques. Un widget est accessible pour une utilisation dans les pages Web.
Ce webinaire comprend un aperçu de l’indice par ses développeurs et sera suivi d’une présentation de (description de l’histoire de l’utilisateur).
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur la méthode : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/247
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Soyez des nôtres pour le lancement des nouveaux outils du CCNMO visant à évaluer la qualité des données probantes communautaires. Ces outils peuvent être appliqués aux données probantes relatives aux problèmes et au contexte de santé locaux (données de surveillance et rapports sur l’état de santé de la communauté), ainsi qu’aux données probantes sur les préférences et les mesures communautaires et politiques (besoins et intérêts exprimés par les membres de la communauté et soutien du public ou des représentants de l’État).
Le webinaire sur la prise de décisions fondée sur des données probantes, offert conjointement par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) et le Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI), est inspiré du processus en sept étapes du CCNMO. À chaque étape, il indique dans quelle mesure des méthodes et des outils peuvent s’appliquer à la prévention des maladies infectieuses.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Ce webinaire vous présentera une modèle de prise de décisions fondée sur des données probantes renvoi aux méthodes et aux outils qui concernent les professionnels de la santé mentale et qui se trouvent dans le Registre des méthodes et des outils du CCNMO.
http://www.nccmt.ca/fr/
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
Vous souhaitez apprendre comment évaluer l’influence des politiques?
Faites-vous la promotion de la mise en place et de la diffusion de connaissances provenant d’interventions en santé des populations? Souhaitez-vous explorer des études de cas d’évaluation de l’influence des politiques en santé publique? Le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques peut vous aider!
Ce guide a été développé par la Stratégie d’innovation de l’Agence de la santé publique de du Canada et a été produit par la firme de consultation Cathexis.
Comment le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques peut-il vous aider?
Le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques a été mis au point pour aider les organismes à utiliser l’influence sur les politiques afin d’améliorer la mise en œuvre et l’évaluation d’interventions en santé des populations fondées sur des données probantes. Le processus se divise en quatre étapes destinées à planifier l’évaluation. Chacune d’elles renferme au moins deux ressources pour soutenir l’étape de l’évaluation. Celles-ci sont résumées et les grands points sont exposés dans la méthode.
Ce webinaire comprend un survol du Guide par ses créateurs, suivi d’une présentation par une organisation communautaire qui a évalué l’impact sur les politiques dans leur travail visant à promouvoir des poids plus sains.
Le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques comprend trois études de cas en santé publique :
•les poids santé chez les enfants et les jeunes autochtones;
•la prévention de l’intimidation dans les écoles primaires;
•la sécurité alimentaire et les poids santé.
•Inscrivez-vous pour en apprendre davantage!
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur la méthode : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/241
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Vous souhaitez partager les pratiques exemplaires au sein de votre organisme? Participez-vous à la production de rapports sur l’état de santé de la collectivité? Souhaitez-vous apprendre comment améliorer l’équité en matière de santé? Le cadre d'action axé sur l'équité pour l'élaboration de rapports sur l'état de santé des populations peut aider les professionnels de la santé de tous les niveaux à déterminer et à mettre en œuvre des étapes réalisables pour intégrer l’équité dans les processus actuels ou nouveaux pour produire des rapports sur l’état de la santé publique. Le cadre convient au personnel de la santé ou de la santé publique, aux organismes communautaires qui fournissent des données locales et aux chercheurs universitaires.
Ce cadre a été mis au point grâce aux efforts conjoints des six centres de collaboration nationale en santé publique, d’après les travaux antérieurs du CCN des déterminants de la santé.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur l’outil : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/240
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Objectif de l’appel :
•Offrir un aperçu des composantes de la trousse MARQUIS, conçue sur la base des meilleures pratiques de bilan comparatif des médicaments et destinée à aider les hôpitaux à améliorer la qualité de leur processus de bilan comparatif des médicaments.
•Survoler les résultats préliminaores de l’étude MARQUIS, de manière à comprendre les effets d’une intervention encadrée en amélioration de la qualité sur le nombre d’erreurs en bilan comparatif des médicaments.
•Discuter des leçons à tirer des sites d’étude ayant mis en oeuvre le programme MARQUIS et de la manière dont elles s’appliquent aux hôpitaux canadiens et explorer les obstacles à leur application ainsi que les moyens de les surmonter.
•Expliquer pourquoi les provinces, les systèmes de soins et les hôpitaux doivent investir dans le bilan comparatif des médicaments et pourquoi les médecins doivent y contribuer de manière importante.
Cliquez ici pour visionner la vidéo (en anglais seulement) http://bit.ly/1dJquie
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
2 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à participer à l’évaluation d’un médicament, d’un dispositif médical ou d’un acte professionnel à la HAS.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 5 : Votre participation en pratique (définitions et modalités de participation)
• Module 6 : Attentes de la HAS et conseils de méthode (y compris le conseil pour vos contributions)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
Le Cadre consolidé pour l’application de la recherche (CCAR) sert à adapter et à planifier l’application d’une intervention en santé publique. L’outil convient aux particuliers et aux groupes qui planifient et appliquent des interventions existantes.
Le Cadre consolidé pour l’application de la recherche peut vous aider à identifier les obstacles à l’application et les éléments qui la facilitent; à suivre le progrès vers les objectifs de l’application; et à évaluer les résultats ou l’impact de l’intervention.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur l’outil : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/210
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
Joignez-vous aux lauréates des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices et axées sur l’équité. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
L’Outil d’appréciation des effets de l’action intersectorielle locale (https://chairecacis-outilinteractif.org/) est un outil interactif en ligne qui génère de l’information pour apprécier les effets de l’action intersectorielle locale dans les milieux de vie.
Écoutez Angèle Bilodeau (École de santé publique de l’Université de Montréal), Marie-Pier St-Louis (Chaire de recherche du Canada Approches communautaires et inégalités de santé [CACIS]) et leur collaboratrice Gillian Kranias présenter cet outil, conçu en collaboration avec la Coalition montréalaise des Tables de quartier, Communagir et l’Institut Tamarack.
Ce webinaire sera présenté en partenariat avec le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO), le Centre de collaboration nationale sur les politiques publiques et la santé (CCNPPS) et le Centre de collaboration nationale des déterminants de la santé (CCNDS).
Cet outil offre aux membres d’un partenariat l’occasion d’exprimer leurs perceptions et leurs opinions au sujet de leur expérience en matière de partenariat. Les 18 items de l’outil sont liés aux six conditions d’efficacité de l’action en partenariat :
1. la couverture des perspectives ayant cours sur la question
d’intérêt;
2. l’intéressement précoce des acteurs pour les décisions
stratégiques;
3. l’engagement des acteurs dans un rôle de négociation et
d’influence sur la décision;
4. l’engagement des acteurs stratégiques et névralgiques
pour le projet;
5. des arrangements de partenariat qui favorisent l’égalisation
des rapports de pouvoir parmi les acteurs;
6. des arrangements de partenariat qui favorisent la co-
construction de l’action.
Comment l’Outil diagnostique de l’action en partenariat peut-il vous aider?
Les professionnels de la santé publique collaborent avec d’autres personnes et participent à des partenariats tout au long de leur carrière. Cet outil permet aux membres de partenariats de poser un diagnostic sur leur partenariat et d’apprendre à connaître les conditions d’efficacité de l’action en partenariat. Cet outil est aujourd’hui offert dans les deux langues officielles et peut faciliter une évaluation bilingue d’un ou de plusieurs partenariats. Le public cible de l’Outil diagnostique de l’action en partenariat comprend aussi tous les membres d’un partenariat ayant décidé de poser un diagnostic sur celui-ci.
Cliquez ici http://www.nccmt.ca/fr/referentiels-de-connaissances/interrogez-le-registre/316 pour accéder à l’Outil diagnostique de l’action en partenariat.
Cliquez ici https://www.slideshare.net/NCCMT/selfevaluation-tool-for-action-in-partnershiploutil-diagnostique-de-laction-en-partenariat-references-resourcesrfrences-et-ressources.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Ce webinaire présente une vision éclairée par des données probantes concernant l’établissement d’un système de données en santé publique pancanadien. Il a été commandé par le Bureau de l’Administratrice en chef de la santé publique (ACSP) à l’Agence de la santé publique du Canada afin d’éclairer le webinaire annuel 2021 de l’ACSP. L’objectif global de cette revue était de présenter des approches permettant d’établir et de maintenir les éléments favorisant le développement d’un système de données, en plus de prendre en compte les facteurs fondamentaux, comme les possibilités de coordonner et de piloter le développement et le fonctionnement d’un réseau coordonné de systèmes afin d’éclairer une vision audacieuse pour le renouvellement du système de santé publique au Canada.
Les Centres de collaboration nationale en santé publique, en partenariat avec les auteurs et le Bureau de l’ACSP, présentent ce webinaire afin de diffuser ses résultats plus largement.
ROBINS-I : un outil d’évaluation du risque de biais dans les études non randomisées d’interventions
L’outil ROBINS-I peut servir à évaluer les études non randomisées qui comparent les effets sur la santé d’au moins deux interventions. Il s’applique à plusieurs modèles d’études observationnelles comme les études de cohorte, les essais quasi randomisés, les études cas-témoins et les études transversales. Joignez-vous à nous pour découvrir l’outil ROBINS-I dans le cadre d’un webinaire!
Cet outil a été conçu par une équipe de l’Université de Bristol.
Comment l’outil ROBINS-I peut-il vous aider?
Plusieurs types de modèles d’études qui évaluent des interventions en santé publique n’ont pas recours à la randomisation. L’outil ROBINS-I fournit une démarche unique pouvant servir à évaluer ces différentes sortes de données probantes. Cela favorise l’usage des données probantes pour formuler des recommandations et concevoir des actions de santé publique.
L’outil ROBINS-I consiste en un cadre d’évaluation en sept domaines. Il offre aussi plusieurs explications de la notation, des termes, des définitions et de la théorie.
Ce webinaire comprend un survol de l’outil ROBINS-I par ses concepteurs, Jonathan Sterne et Julian Higgins, et une présentation par les utilisateurs Judy Brown et Duvaraga Sivajohanathan.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils sur l’outil : http://www.nccmt.ca/resources/search/281
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Comment savoir si une intervention convient à votre collectivité ou à votre organisme?
L’Outil d'applicabilité et de transférabilité des données du CCNMO vous aide à répondre à cette question.
Ce webinaire vous fournira un aperçu de l’Outil A&T ainsi que les résultats de son utilisation par le Service de santé publique de Sudbury et du district.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
2e partie du webinaire sur l’Outil de préparation en matière de politiques
Apprenez comment des professionnels de la santé publique se sont servis de l’Outil de préparation en matière de politiques dans le cadre de leur pratique et discutez des difficultés éprouvées et des succès connus lorsqu’il s’est agi d’appliquer l’outil en question.
Afin de voir le sommaire de l’outil qu’a rédigé le CCNMO, cliquez ici : http://www.nccmt.ca/registry/view/fra/144.html
1re partie: http://www.slideshare.net/NCCMT/nccmt-webinar-policyreadinesstoolpt19172015fr
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
Cette activité se déroulera en anglais. Un enregistrement audio sera accessible après la séance. Les diapositives de la présentation seront mises en ligne en français et en anglais après la tenue du webinaire. Les diapositives en français sont accessibles avant la séance sur demande; veuillez nous envoyer un courriel à ccnmo@mcmaster.ca
Les évaluations de l’évaluabilité en santé publique
Réalisées avant l’évaluation proprement dite, les évaluations de l’évaluabilité sont conçues pour maximiser les chances qu’une évaluation ultérieure aboutisse à des informations utiles. Elles indiquent quelles évaluations ont les meilleures chances de révéler des informations importantes en facilitant les étapes suivantes consistant à :
• expliquer les désaccords entre les parties prenantes
• décrire la logique d’un programme
• indiquer la nécessité de modifier les activités et les ressources
• informer les parties prenantes sur les options d’évaluation et leur utilité potentielle
• révéler les problèmes avant que les décideurs ne s’engagent dans une évaluation formelle
En quoi la méthode d’évaluation de l’évaluabilité peut-elle vous aider?
Les évaluations de l’évaluabilité sont des processus cycliques et itératifs qui permettent de comprendre la conception du programme, le modèle de logique du programme sous-jacent ou la théorie du changement et les possibilités d’évaluation utile et d’amélioration potentielle des programmes.
L’évaluation est l’une des compétences en santé publique et cette méthode aide les professionnels de la santé publique à mener des évaluations de programmes, de politiques ou de pratiques.
Cliquez ici (lien vers http://www.nccmt.ca/ressources/interrogez-le-registre/290) pour accéder à la méthode.
Vous intéressez-vous aux critères fondés sur des données probantes pour une communication claire dans les documents de santé publique?
Êtes-vous relecteur ou rédacteur de documents de communication en santé publique? Désirez-vous améliorer la clarté et la facilité de compréhension de ces documents? Le Clear Communication Index peut vous aider!
Cet indice a été développé par les Centers for Disease Control and Prevention.
Comment le Clear Communication Index peut-il vous aider?
L’indice permet de développer et d’examiner les documents de
communication en santé publique pour plus de clarté. Il encourage la collaboration entre les auteurs et les examinateurs pour assurer l’exactitude et permet d’évaluer la facilité d’utilisation du matériel de communication. L’outil est axé sur des critères qui améliorent la clarté et la compréhension.
Le recours au Clear Communication Index permet d’attribuer un score quantitatif basé sur l’évaluation de sept domaines : message principal et appel à l’action, langue, conception de l’information, état de la science, recommandations comportementales, chiffres et risques. Un widget est accessible pour une utilisation dans les pages Web.
Ce webinaire comprend un aperçu de l’indice par ses développeurs et sera suivi d’une présentation de (description de l’histoire de l’utilisateur).
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur la méthode : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/247
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Soyez des nôtres pour le lancement des nouveaux outils du CCNMO visant à évaluer la qualité des données probantes communautaires. Ces outils peuvent être appliqués aux données probantes relatives aux problèmes et au contexte de santé locaux (données de surveillance et rapports sur l’état de santé de la communauté), ainsi qu’aux données probantes sur les préférences et les mesures communautaires et politiques (besoins et intérêts exprimés par les membres de la communauté et soutien du public ou des représentants de l’État).
Le webinaire sur la prise de décisions fondée sur des données probantes, offert conjointement par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) et le Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI), est inspiré du processus en sept étapes du CCNMO. À chaque étape, il indique dans quelle mesure des méthodes et des outils peuvent s’appliquer à la prévention des maladies infectieuses.
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Ce webinaire vous présentera une modèle de prise de décisions fondée sur des données probantes renvoi aux méthodes et aux outils qui concernent les professionnels de la santé mentale et qui se trouvent dans le Registre des méthodes et des outils du CCNMO.
http://www.nccmt.ca/fr/
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) est l’un des six centres de collaboration nationale dans le domaine de la santé publique au Canada. La production de ce document a été rendue possible grâce à l’aide financière de l’Agence de la santé publique du Canada.Les opinions exprimées ici ne représentent pas nécessairement celles de l’Agence de la santé publique du Canada.
Vous souhaitez apprendre comment évaluer l’influence des politiques?
Faites-vous la promotion de la mise en place et de la diffusion de connaissances provenant d’interventions en santé des populations? Souhaitez-vous explorer des études de cas d’évaluation de l’influence des politiques en santé publique? Le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques peut vous aider!
Ce guide a été développé par la Stratégie d’innovation de l’Agence de la santé publique de du Canada et a été produit par la firme de consultation Cathexis.
Comment le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques peut-il vous aider?
Le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques a été mis au point pour aider les organismes à utiliser l’influence sur les politiques afin d’améliorer la mise en œuvre et l’évaluation d’interventions en santé des populations fondées sur des données probantes. Le processus se divise en quatre étapes destinées à planifier l’évaluation. Chacune d’elles renferme au moins deux ressources pour soutenir l’étape de l’évaluation. Celles-ci sont résumées et les grands points sont exposés dans la méthode.
Ce webinaire comprend un survol du Guide par ses créateurs, suivi d’une présentation par une organisation communautaire qui a évalué l’impact sur les politiques dans leur travail visant à promouvoir des poids plus sains.
Le Guide pour évaluer l’influence sur les politiques comprend trois études de cas en santé publique :
•les poids santé chez les enfants et les jeunes autochtones;
•la prévention de l’intimidation dans les écoles primaires;
•la sécurité alimentaire et les poids santé.
•Inscrivez-vous pour en apprendre davantage!
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur la méthode : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/241
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Vous souhaitez partager les pratiques exemplaires au sein de votre organisme? Participez-vous à la production de rapports sur l’état de santé de la collectivité? Souhaitez-vous apprendre comment améliorer l’équité en matière de santé? Le cadre d'action axé sur l'équité pour l'élaboration de rapports sur l'état de santé des populations peut aider les professionnels de la santé de tous les niveaux à déterminer et à mettre en œuvre des étapes réalisables pour intégrer l’équité dans les processus actuels ou nouveaux pour produire des rapports sur l’état de la santé publique. Le cadre convient au personnel de la santé ou de la santé publique, aux organismes communautaires qui fournissent des données locales et aux chercheurs universitaires.
Ce cadre a été mis au point grâce aux efforts conjoints des six centres de collaboration nationale en santé publique, d’après les travaux antérieurs du CCN des déterminants de la santé.
Cliquez ici pour lire le sommaire qu’a élaboré le CCNMO sur l’outil : http://www.nccmt.ca/fr/ressources/interrogez-le-registre/240
Le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils est financé par l’Agence de la santé publique du Canada et affilié à l’Université McMaster. Les vues exprimées ici ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l’Agence de la santé publique du Canada.
Le CCNMO est l’un des six centres de collaboration nationale en santé publique au Canada. Les Centres encouragent et améliorent l’utilisation des connaissances provenant de la recherche scientifique et des autres savoirs afin de renforcer la pratique et les politiques de santé publique au Canada.
Objectif de l’appel :
•Offrir un aperçu des composantes de la trousse MARQUIS, conçue sur la base des meilleures pratiques de bilan comparatif des médicaments et destinée à aider les hôpitaux à améliorer la qualité de leur processus de bilan comparatif des médicaments.
•Survoler les résultats préliminaores de l’étude MARQUIS, de manière à comprendre les effets d’une intervention encadrée en amélioration de la qualité sur le nombre d’erreurs en bilan comparatif des médicaments.
•Discuter des leçons à tirer des sites d’étude ayant mis en oeuvre le programme MARQUIS et de la manière dont elles s’appliquent aux hôpitaux canadiens et explorer les obstacles à leur application ainsi que les moyens de les surmonter.
•Expliquer pourquoi les provinces, les systèmes de soins et les hôpitaux doivent investir dans le bilan comparatif des médicaments et pourquoi les médecins doivent y contribuer de manière importante.
Cliquez ici pour visionner la vidéo (en anglais seulement) http://bit.ly/1dJquie
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
2 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à participer à l’évaluation d’un médicament, d’un dispositif médical ou d’un acte professionnel à la HAS.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 5 : Votre participation en pratique (définitions et modalités de participation)
• Module 6 : Attentes de la HAS et conseils de méthode (y compris le conseil pour vos contributions)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
Formation des usagers sur l'évaluation des produits de santé et des actes - B...Haute Autorité de Santé
4 modules pour aider les associations de patients et d'usagers à comprendre l'évaluation des technologies de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel) et le rôle de la HAS dans ces évaluations.
Contenu :
• Introduction : Définitions clés
• Module 1 : La HAS (ses missions et valeurs, organisation et définitions et valeurs relatives aux usagers)
• Module 2 : L’ETS (les définitions clés et son contexte dans le système de santé français)
• Module 3 : Parcours d’une technologie de santé (médicament, dispositif médical et acte professionnel)
• Module 4 : Évaluation des technologies de santé dans le cadre du nouveau règlement européen (son contexte et calendrier)
• Glossaire
Pour en savoir plus : https://www.has-sante.fr/jcms/p_3385205/fr/comprendre-l-evaluation-des-technologies-de-sante
Bonnes pratiques biomédicales en établissement de soins : Guidebemorad
le guide permet de sensibiliser le personnel aux risques aux quels il peut faire face en exerçant dans un milieu hospitalier.
il est primordiale de se tenir compte des actions a faire en cas de danger et quelles mesures doivent prendre pour minimiser les conséquences ceux ci se fait Grace à une étude préalable et une connaissance des différents risques
Un programme de DPC doit être conforme à une orientation nationale (arrêté du 26
février 2013) ou à une orientation régionale de DPC. Il suit deux modalités (acquisition des
connaissances et analyse des pratiques) et applique l’une des méthodes validées par la
HAS après avis de la commission scientifique indépendante (CSI). Il est mis en oeuvre par un
organisme de DPC enregistré par l’OGDPC et évalué favorablement par la ou les commissions
scientifiques compétentes.
Un programme DPC doit :
1. Être conforme à une orientation nationale/régionale.
2. Être réalisé par un ODPC librement choisi par le médecin, mais enregistré auprès de
l’OGDPC et validé par la commission scientifique indépendante (CSI).
3. Comporter deux actions :
§§ « acquisitions ou approfondissement de connaissances ou de compétences » ;
§§ « analyse des pratiques professionnelles ».
L’acquisition/perfectionnement des connaissances/compétences, comporte lors d’une
activité explicite :
§§ un temps dédié ;
§§ des objectifs pédagogiques ;
§§ des supports pédagogiques reposant sur des références actualisées (scientifiques,
réglementaires, éthiques, organisationnelles, consensus d’experts…) ;
§§ une évaluation, notamment de l’acquisition des connaissances ;
§§ une restitution des résultats aux professionnels.
L’analyse des pratiques professionnelles, comporte lors d’une activité explicite :
§§ un temps dédié ;
§§ un référentiel d’analyse reposant sur des références actualisées (scientifiques,
réglementaires, organisationnelles, éthiques, consensus d’experts …) ;
§§ une analyse critique et constructive des pratiques réalisées, par rapport à la pratique
attendue, des objectifs et des actions d’amélioration ;
§§ le suivi de ces actions et une restitution des résultats aux professionnels.
Un parcours de formation à la carte composé d'un tronc commun et de 7 modules pour maîtriser les fondamentaux de l'Assurance Qualité au niveau du site exploitant
2011-12-04 ASIP Santé RIR "L' accompagnement des ES aux prérequis du programm...ASIP Santé
L'accompagnement des établissements de santé aux prérequis du programme hôpital numérique : présentation de la boîte à outils
Anne-Alexandra BABU, chargée de mission, MSIOS (mission système d’information de l’offre de soins), DGOS, Ministère des Affaires sociales et de la Santé
Critical appraisal is an invaluable step in the evidence-informed decision making process. However, it can be challenging to select appropriate critical appraisal tools and apply their use in practice. The NCCMT is excited to host Dr. Marilyn Macdonald and Dr. Lori Weeks from the JBI Centre of Excellence (https://www.dal.ca/faculty/health/nursing/research/JBI.html) to present a webinar on the critical appraisal of public health research evidence. This session will provide an overview of the importance of critical appraisal as well as an introduction to some of JBI’s critical appraisal tools (https://jbi.global/critical-appraisal-tools).
Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
Miranda Field, Université de Regina – Decolonized theory of place [La théorie du lieu décolonisée]
Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]
Join the winners of the 2024 National Collaborating Centre for Public Health (NCCPH) Knowledge Translation Student Awards and get a first-hand look at their crucial work in bridging the gap between research and practice. These students are leading innovative knowledge translation strategies. This session highlights their academic excellence and features unique and transferable strategies to address today’s public health priorities.
Hannah Bayne, University of Alberta - Supporting Tomorrow’s Stewards: A Knowledge Mobilization Project for Climate-Health Literacy in Alberta Elementary Schools
Miranda Field, University of Regina - Decolonized Theory of Place
Jordan Chin, McMaster University - The Art of Creation: an Arts-Based Knowledge Translation Method to Promote and Advocate for a Healthy Start to Life
Avez-vous besoin d’aide pour évaluer la qualité de différents types de données probantes non issues de la recherche? Ce webinaire vous guidera à travers des exemples de cas montrant la manière d’utiliser l’Outil d’évaluation de la qualité des données probantes issues de la communauté (ÉQDPIC) et l'outil de planification et d’évaluation des ressources (PÉR) pour évaluer la qualité des données probantes contextuelles, y compris les problèmes de santé locaux, les préférences et les actions communautaires et politiques, ainsi que les ressources financières et humaines. Dans le but de soutenir l’utilisation de ces outils après le webinaire, nous offrons du mentorat en courtage de connaissances.
Do you need help with quality appraisal of different types of non-research evidence? This webinar will walk you through case examples showing how to use NCCMT’s Quality Assessment of Community Evidence (QACE) and Resource Planning and Assessment (RPA) tools to assess the quality of contextual evidence, including local health issues, community and political preferences and actions, and financial and human resources. Alongside the webinar, we are offering Knowledge Brokering mentorship to support post-webinar use of the tools.
Le CCNMO se réjouit d’organiser son populaire webinaire étudiant sur la prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP) dans les programmes de santé publique. Dans ce webinaire, des étudiants et de récents diplômés montreront les manières dont ils utilisent des outils et des ressources en matière de PDÉDP. Les habiletés en matière de PDÉDP sont très recherchées sur le marché du travail. Participez à ce webinaire pour découvrir les manières dont les ressources accessibles et enrichissantes du CCNMO peuvent vous soutenir dans vos cours, vos stages et votre future carrière en santé publique. Profitez de cette occasion d’apprendre d’autres étudiants et de récents diplômés. Ce webinaire fera participer des étudiants actuels et de récents diplômés de programmes de maîtrise en santé publique (M.P.H.) au Canada qui parleront de leurs expériences d’utilisation des données probantes dans leur travail.
The National Collaborating Centre for Methods and Tools (NCCMT) hosts its popular student-led webinar on evidence-informed decision making (EIDM) in public health programs. During this webinar, students and recent graduates showcase how they use EIDM tools and resources. Watch this webinar to learn how the NCCMT’s accessible and informative resources can support your coursework, practicums and future public health careers. This webinar features current students and recent graduates from Master of Public Health (MPH) and other graduate programs in Canada who share their experiences using evidence in their work.
Joignez-vous aux lauréates des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNSP) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Jorden Hendry, Université de la Colombie-Britannique – « Les instructions sont fournies : comprendre et mettre en œuvre les engagements fondamentaux pris envers les peuples autochtones par le Bureau du médecin hygiéniste provincial de la Colombie-Britannique »;
Karen Wong, Université de la Colombie-Britannique – « Une description des manières dont les travaux universitaires mettent en œuvre des stratégies d’application des connaissances en santé publique »;
Leah Taylor, Université Western – « Tout le monde peut jouer : une ressource en application des connaissances pour promouvoir la participation à l’activité physique chez les enfants vivant avec un handicap à London (Ontario) ».
Join the winners of the National Collaborating Centre for Public Health (NCCPH) Knowledge Translation (KT) Student Awards and get a first-hand look at their crucial work in bridging the gap between research and practice. These students and recent graduates are leading innovative knowledge translation strategies. This session highlights their academic excellence and features unique and transferable strategies to address today’s public health priorities.
Jorden Hendry, University of British Columbia – Instructions have been provided: Understanding and implementing Foundational Commitments to Indigenous Peoples in the BC Office of the Provincial Health Officer.
Karen Wong, University of British Columbia – Description of how academic work implements public health knowledge translation strategies.
Leah Taylor, Western University – Everyone Can Play: A Knowledge Translation Resource to Promote Physical Activity Participation of Children with Disabilities in London, Ontario.
Une grande incertitude découle de l’apparition de nouvelles maladies infectieuses comme la COVID-19, ce qui pose des défis uniques en matière de communication, différents d’autres initiatives de communication en santé. Une communication de crise efficace est essentielle à la promotion des comportements de prévention recommandés (comme la distanciation physique, l’hygiène des mains, le port du masque et la vaccination) et au maintien de la confiance durant la crise. Cette séance présentera un survol des meilleures pratiques en matière de communication de crise en santé publique dans les médias sociaux et abordera leur application concrète durant la COVID-19. D’abord, les meilleures pratiques en ce qui a trait à une communication de crise efficace pour démontrer que l’on est digne de confiance seront présentées. Le guide de communication de crise dans les médias sociaux, largement diffusé et téléchargé, offre des conseils pratiques en matière de santé publique. Par la suite, la communication de crise de Santé publique Ottawa dans les médias sociaux durant la COVID-19 sera examinée pour mettre en évidence les leçons tirées et les principales stratégies utilisées par l’équipe. Le compte Twitter de Santé publique Ottawa est le compte d’une autorité locale de santé publique le plus suivi en Amérique du Nord, et l’excellence de son travail dans les médias sociaux tout au long de la pandémie de COVID-19 a été soulignée par des organisations comme l’Agence de la santé publique du Canada, l’Organisation mondiale de la Santé, la Fondation Rockefeller et plusieurs autres.
High levels of uncertainty result from emerging infectious diseases like COVID-19, creating unique communication challenges that are different from other health communication initiatives. Effective crisis communication is essential to promote the recommended prevention behaviors (e.g., physical distancing, hand hygiene, mask-wearing, and vaccination) and to maintain trust during the crisis. The Guidebook for Social Media Crisis Communication has been widely shared and downloaded, providing practical advice for public health. This session will provide an overview of best practices for social media crisis communication for public health and its practical application during COVID-19. First, the best practices for effective crisis communication to demonstrate trustworthiness will be presented. Next, Ottawa Public Health’s social media crisis communication during COVID-19 will be explored to highlight the lessons learned and key strategies the team employs. Ottawa Public Health’s Twitter account is the most-followed local public health account in North America, and their social media work throughout the COVID-19 pandemic has been lauded for its excellence by organizations like the Public Health Agency of Canada, the World Health Organization, the Rockefeller Foundation and many others.
Presenters:
Dr. Melissa MacKay, University of Guelph - Dr. Melissa MacKay is a postdoctoral scholar and Sessional Instructor for the Master of Public Health program at the University of Guelph. Her research focuses on effective health and crisis communication, with a specific focus on social media.
Kevin Parent, Ottawa Public Health - Kevin Parent has been the social media lead for Ottawa Public Health since 2018. He graduated from Carleton University with a major in Communications and a minor in Sociology. Kevin is perpetually tired due to having 3 young children, and he loves coffee for the same reason.
Cette séance présentera un survol d’une revue exploratoire rapide, réalisée en 2022 par le Centre de collaboration nationale des méthodes et outils (CCNMO) en collaboration avec le Centre de collaboration nationale des maladies infectieuses (CCNMI), sur le rôle de la santé publique en partenariat avec des refuges offrant des services aux personnes en situation d’itinérance. La revue fait état d’exemples de collaborations entre la santé publique et des refuges pour offrir des programmes et des services de santé publique, ou pour soutenir le personnel des refuges relativement à des sujets de santé publique. Le CCNMI a utilisé cette revue dans le cadre d’un Institut explorant les possibilités d’améliorer les communications et les programmes afin qu’ils soient utiles aux clients et au personnel des refuges. Joignez-vous à nous pour en apprendre davantage sur les résultats de cette revue exploratoire rapide et pour discuter des moyens d’accroître la collaboration entre la santé publique et les refuges.
This document summarizes a webinar presented by the National Collaborating Centres on the role of public health working with shelters. It began with an introduction to the Shelters and Public Health Project and an overview of a rapid scoping review on partnerships between public health and shelters. It then discussed NCCID's consultations with shelters and a winter institute that explored opportunities for improved communication and programming. Key topics included dental health, infectious diseases, mental health, and health promotion. The webinar concluded with a discussion of possibilities for increased collaboration between public health and shelters to better serve people experiencing homelessness.
Cette séance présentera un survol de deux ressources axées sur l’action visant à réduire les difficultés financières et à favoriser le mieux-être financier à long terme. Celles-ci ont été élaborées dans le cadre d’un partenariat international dirigé par le Centre for Healthy Communities (École de santé publique, Université de l’Alberta). Ces ressources visent à soutenir les organisations de divers secteurs et de tous les paliers de gouvernement dans la conception, la mise en œuvre et l’évaluation d’initiatives relatives aux difficultés financières et au bien-être financier. Joignez-vous à nous pour découvrir la manière dont ces ressources ont été conçues et la façon dont on peut les appliquer en pratique.
This session will provide an overview of two action-oriented resources to reduce financial strain and promote long-term financial wellbeing developed in an international partnership led by the Centre for Healthy Communities (School of Public Health, University of Alberta). The resources are meant to support organizations from diverse sectors and all levels of government in designing, implementing, and assessing/evaluating their initiatives related to financial strain and financial wellbeing. Join us to learn more about how the resources were developed and how they can be applied in practice.
Joignez-vous à Emily Belita, Ph. D., qui décrira le lancement de l’Outil de mesure des compétences en matière de prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP). Cet outil d’autodéclaration comporte 27 questions visant à aider les professionnels de la santé publique à évaluer leurs connaissances, leurs habiletés, leurs attitudes/croyances et leurs comportements en matière de PDÉDP. Le recours à cette évaluation globale aidera les personnes à connaître leurs forces et les éléments qu’elles pourraient améliorer en ce qui a trait à la PDÉDP.
Join Dr. Emily Belita, PhD, as she describes the launch of the Evidence-Informed Decision-Making (EIDM) Competence Measure. This self-report tool has 27 questions to help public health professionals assess knowledge, skills, attitudes/beliefs, and behaviours related to EIDM. Using this comprehensive assessment will help to highlight individual strengths and areas for development related to EIDM
Le CCNMO se réjouit d’organiser son populaire webinaire étudiant sur la prise de décision éclairée par des données probantes (PDÉDP) dans les programmes de santé publique. Dans ce webinaire, des étudiants et de récents diplômés montreront les manières dont ils utilisent des outils et des ressources en matière de PDÉDP. Les habiletés en matière de PDÉDP sont très recherchées sur le marché du travail. Participez à ce webinaire pour découvrir les manières dont les ressources accessibles et enrichissantes du CCNMO peuvent vous soutenir dans vos cours, vos stages et votre future carrière en santé publique.
Profitez de cette occasion d’apprendre d’autres étudiants et de récents diplômés. Ce webinaire fera participer des étudiants actuels et de récents diplômés de programmes de maîtrise en santé publique (M.P.H.) au Canada qui parleront de leurs expériences d’utilisation des données probantes dans leur travail.
The National Collaborating Centre for Methods and Tools hosts its popular student-led webinar on evidence-informed decision making (EIDM) in public health programs. During this webinar, students and recent graduates showcase how they are using EIDM tools and resources. This webinar features current students and recent graduates from Master of Public Health (MPH) and other graduate programs in Canada who share their experiences using evidence in their work.
Join the winners of the National Collaborating Centre for Public Health (NCCPH) Knowledge Translation (KT) Student Awards and get a first-hand look at their crucial work in bridging the gap between research and practice. These students and recent graduates are leading the field in terms of innovative knowledge translation strategies. This session highlights their academic excellence and features unique and transferable strategies to address today’s public health priorities.
Melissa MacKay, PhD Candidate, Public Health, University of Guelph – Maintaining trust through effective crisis communication during emerging infectious disease
Alexa Ferdinands, PhD, Health Promotion and Socio-behavioural Sciences, University of Alberta – Collaborating with youth to address weight stigma in healthcare, education and the home
Shannon Bird, MPH, Brock University – Art as a tool for promoting public and environmental health: A lesson plan for ecojustice educators
Plus de The National Collaborating Centre for Methods and Tools (20)
Insights from the 2022 Knowledge Translation Student Award Recipients
Grille AGREE ll pour des lignes directrices - webinaire du Club de lecture en linge le 20 juin 2019
1.
GRILLE D’ÉVALUATION DE LA QUALITÉ DES
RECOMMANDATIONS POUR LA PRATIQUE
CLINIQUE (GRILLE AGREE II)
________________________________________________________________________________________
The AGREE Next Steps
Research Consortium
Mai 2009
3. INTRODUCTION
I. APERÇU
i) But de la Grille AGREE II
Les recommandations pour la pratique clinique (« RPC ») sont des « propositions développées
méthodiquement pour aider le praticien et le patient à rechercher les soins les plus appropriés
dans des circonstances cliniques données » (1). Les RPC, qui peuvent par ailleurs jouer un rôle
important dans l’élaboration de politiques en santé (2, 3), ont évolué de façon à couvrir des
sujets dans l’ensemble du continuum des soins de santé (promotion de la santé, dépistage,
diagnostic, etc.).
Les bénéfices potentiels des RPC sont tributaires de la qualité des RPC elles-mêmes. Un
processus d’élaboration des RPC s’appuyant sur une méthodologie appropriée et des stratégies
rigoureuses est essentiel pour assurer la mise en œuvre réussie des RPC (4-6). La qualité des
RPC peut être extrêmement variable, certaines ne satisfaisant pas aux normes établies (7-9).
La Grille d’évaluation de la qualité des recommandations pour la pratique clinique (AGREE) (10)
a été élaborée pour s’attaquer au problème de la variabilité de la qualité des RPC. La Grille
AGREE est donc un outil servant à évaluer la rigueur méthodologique et la transparence du
processus d’élaboration des RPC. La première Grille AGREE a été retravaillée. La nouvelle
version, la Grille AGREE II, comprend notamment un nouveau manuel d’utilisateur (11).
Le but de la Grille AGREE II est de fournir un cadre pour :
1. évaluer la qualité des RPC;
2. élaborer une stratégie méthodologique pour l’élaboration des RPC;
3. déterminer quelle information intégrer dans les RPC et comment s’y prendre pour le faire.
La Grille AGREE II, qui remplace la première grille, peut être utilisée dans le cadre d’un mandat
général d’assurance de la qualité visant à améliorer les soins de santé.
ii) Historique du projet AGREE
La première Grille AGREE a été publiée en 2003 par un groupe de chercheurs et de
concepteurs de RPC, The AGREE Collaboration (Groupe AGREE) (10). L’objectif du Groupe
AGREE était d’élaborer un outil pour évaluer la qualité des RPC. Le Groupe AGREE définit la
qualité des RPC comme étant la conviction que les biais potentiels des RPC ont été pris en
compte de façon adéquate lors de leur élaboration, que leur validité interne et externe est
assurée et qu’elles sont applicables en pratique (10). L’évaluation inclut aussi un jugement sur
les méthodes utilisées pour l’élaboration des RPC, les composantes des recommandations
finales et les facteurs liés à leur mise en application. Les efforts du Groupe AGREE ont mené à
la rédaction de la première Grille AGREE, un outil en 23 points organisé en six domaines. La
Grille AGREE a été traduite en plusieurs langues, a été citée dans plus de 100 publications et a
reçu l’appui de nombreux organismes en soins de santé. On peut trouver plus de détails sur la
première Grille AGREE et les publications connexes sur le site Web de l’AGREE Research
Trust (http://www.agreetrust.org/), organisme officiel chargé à veiller sur les intérêts de la Grille
AGREE.
4. Comme pour tout autre nouvel outil d’évaluation, on a reconnu qu’il fallait poursuivre la réflexion
pour consolider les propriétés d’évaluation de la Grille et garantir aux utilisateurs visés son
utilisabilité et sa faisabilité. Plusieurs membres de l’équipe d’origine ont donc formé l’AGREE
Next Steps Research Consortium (Consortium). Le Consorsium cherchait à améliorer les
propriétés d’évaluation de la Grille, y compris sa fiabilité et sa validité, à raffiner les éléments de
la Grille afin de mieux répondre aux besoins des utilisateurs visés et à améliorer les documents
à l’appui (c’est-à-dire le manuel de formation et le guide d’utilisateur d’origine) afin que les
utilisateurs puissent appliquer la Grille en toute confiance.
Ces efforts ont mené à la rédaction de la Grille AGREE II, qui comprend un manuel d’utilisateur
et 23 éléments organisés autour des mêmes six domaines. Le manuel d’utilisateur, qui est très
différent du manuel de formation et du guide d’utilisateur d’origine, donne des indications
explicites sur les 23 éléments. On compare, dans le tableau 1, les éléments de la Grille AGREE
originale à ceux de la Grille AGREE II.
Tableau 1. Comparaison des éléments de la Grille AGREE originale à ceux de la Grille
AGREE II
Éléments de la Grille AGREE originale Éléments de la Grille AGREE II
Domaine 1. Champ et objectifs
1. Le ou les objectifs de la RPC sont décrits explicitement. Aucun changement.
2. La ou les questions cliniques couvertes par la RPC sont
décrites explicitement.
La ou les questions de santé couvertes par la RPC sont
décrites explicitement.
3. Les patients auxquels la RPC doit s’appliquer sont
décrits explicitement.
La population (patients, public, etc.) à laquelle la RPC doit
s’appliquer est décrite explicitement.
Domaine 2. Participation des groupes concernés
4. Le groupe ayant élaboré la RPC inclut des
représentants de tous les groupes professionnels
concernés.
Aucun changement.
5. Les opinions et les préférences des patients ont été
identifiées.
Aucun changement.
Les opinions et les préférences de la population cible (patients,
public, etc.) ont été identifiées.
6. Les utilisateurs cibles de la RPC sont clairement
définis.
Aucun changement.
7. La RPC a été testée auprès des utilisateurs cibles. Élément supprimé. Intégré dans la description de l’élément 19
du guide d’utilisateur.
Domaine 3. Rigueur d’élaboration de la RPC
8. Des méthodes systématiques ont été utilisées pour
rechercher les preuves scientifiques.
Aucun changement. Renuméroté. Dorénavant no 7.
9. Les critères de sélection des preuves sont clairement
décrits.
Aucun changement. Renuméroté. Dorénavant no 8.
NOUVEAU Élément 9. Les forces et les limites des preuves
scientifiques sont clairement définies.
10. Les méthodes utilisées pour formuler les Aucun changement.
5. Éléments de la Grille AGREE originale Éléments de la Grille AGREE II
recommandations sont clairement décrites.
11. Les bénéfices, les effets secondaires et les risques en
termes de santé ont été pris en considération dans la
formulation des recommandations.
Aucun changement.
12. Il y a un lien explicite entre les recommandations et les
preuves scientifiques sur lesquelles elles reposent.
Aucun changement.
13. La RPC a été revue par des experts externes avant sa
publication.
Aucun changement.
14. Une procédure d’actualisation de la RPC est décrite. Aucun changement.
Domaine 4. Clarté et présentation
15. Les recommandations sont précises et sans ambiguïté. Aucun changement.
16. Les différentes options pour la prise en charge de la
situation clinique sont clairement présentées.
Les différentes options de prise en charge de l’état ou du
problème de santé sont clairement présentées.
17. Les recommandations clés sont facilement identifiables. Aucun changement.
Domaine 5. Applicabilité
18. La RPC est accompagnée d’outils permettant son
application.
La RPC offre des conseils et/ou des outils sur les façons de
mettre les recommandations en pratique.
ET modification du domaine (était préalablement dans Clarté et
présentant) ET renuméroté. Désormais no 19.
19. Les barrières organisationnelles potentielles à
l’application des recommandations ont été discutées.
La RPC décrit les éléments facilitant son application et les
obstacles
Et renuméroté. Désormais no 18.
20. L’impact économique de l’application des
recommandations a été examiné.
Les répercussions potentielles sur les ressources de
l’application des recommandations ont été examinées.
21. La RPC propose des critères clés permettant le suivi de
l’adhésion aux recommandations et/ou la réalisation
d’audit.
La RPC propose des critères de suivi et de vérification.
Domaine 6. Indépendance éditoriale
22. La rédaction de la RPC est indépendante des
organismes de financement.
Le point de vue des organismes de financement n’ont pas
influencé le contenu de la RPC.
23. Les conflits d’intérêts des membres du groupe ayant
élaboré la RPC ont été documentés.
Les intérêts divergents des membres du groupe ayant élaboré
la RPC ont été pris en charge et documentés.
6. II. APPLICATION DE LA GRILLE AGREE II
i) Quelles recommandations peuvent être évaluées avec la Grille AGREE II?
La Grille AGREE II, tout comme la grille précédente, est conçue pour évaluer les RPC
élaborées par des groupes locaux, régionaux, nationaux ou internationaux ou par des
institutions gouvernementales affiliées. Cela inclut les versions originales et les mises à jour des
RPC existantes.
La Grille AGREE II est générique et peut être appliquée à tout type de RPC, quel que soit le
problème de santé, l’intervention médicale ou le type de soins : promotion de la santé, santé
publique, dépistage, diagnostic, traitement ou autres interventions. La grille s’applique à des
RPC en format papier ou électronique. À cette étape, la Grille AGREE II n’est pas conçue pour
évaluer la qualité des documents d’orientation qui portent sur les problèmes organisationnels
dans les soins de santé. Son rôle dans l’évaluation des technologies de la santé n’a pas encore
été officiellement évalué.
ii) A quels utilisateurs la Grille AGREE II est-elle destinée?
La Grille AGREE II a été conçue pour être utilisée par :
• les médecins et autres professionnels de la santé désirant effectuer leur propre
évaluation des RPC avant de les intégrer à leur pratique;
• les concepteurs de RPC qui peuvent ainsi suivre une méthodologie d’élaboration
structurée et rigoureuse, effectuer une évaluation interne leur permettant de garantir la
qualité de leur RPC ou évaluer les RPC d’autres groupes pouvant être adaptées à leurs
besoins;
• les décideurs afin de déterminer quelles RPC doivent être recommandées en pratique
clinique ou à communiquer leurs décisions;
• les formateurs soucieux d’aider les professionnels de la santé à améliorer leurs
compétences d’évaluation critique et qui enseignent les compétences essentielles en
élaboration de RPC et en production de rapports.
III. RÉFÉRENCES ET RESSOURCES CLÉS
i) The AGREE Research Trust
The AGREE Research Trust (ART) est un organisme indépendant créé en 2004 lorsque les
activités du Groupe AGREE ont pris fin. ART appuie la Grille AGREE II, gère ses intérêts,
appuie un programme de recherche sur son développement et est détenteur de ses droits
d’auteur.
On trouve, sur le site Web d’ART (http://www.agreetrust.org) :
• des copies de la Grille AGREE II pouvant être téléchargées gratuitement;
• des liens vers l’outil de formation en ligne d’AGREE II;
• les textes qui citent la Grille AGREE II et la Grille AGREE originale;
• des copies de la Grille AGREE originale pouvant être téléchargées gratuitement;
• de l’information sur les projets d’AGREE, sur The AGREE Next Steps Research Consortium
et sur The AGREE Collaboration.
7. ii) Comment référencer la Grille AGREE II
The AGREE Next Steps Research Consortium. Grille AGREE II, [En ligne], 2009.
[http://www.agreetrust.org] [Jour, mois, année]
iii) Outil de formation en ligne de la Grille AGREE II
On trouve l’outil de formation en ligne de la Grille AGREE II à : http://www.agreetrust.org.
iv) Références relatives à la Grille AGREE II
AGREE II: Advancing guideline development, reporting and evaluation in healthcare.
Publications parallèles en cours.
v) Références relatives à la Grille AGREE originale
The AGREE Collaboration. « Development and validation of an international appraisal
instrument for assessing the quality of clinical practice guidelines: the AGREE project », Qual
Saf Health Care, vol. 12, no
1, février 2003, p. 18-23.
RÉFÉRENCES
1. Woolf, S.H., R. Grol, A. Hutchinson, M. Eccles et J. Grimshaw. « Clinical guidelines:
potential benefits, limitations, and harms of clinical guidelines », BMJ, vol. 318, no
7182,
1999, p. 527-530.
2. Committee to Advise the Public Health Service on Clinical Practice Guidelines IoM.
Clinical practice guidelines: directions for a new program, Washington, National Academy
Press, 1990.
3. Browman, G.P., A. Snider et P. Ellis. « Negotiating for change. The healthcare manager
as catalyst for evidence-based practice: changing the healthcare environment and sharing
experience », Healthc Pap, vol. 3, no
3, 2003, p. 10-22.
4. Grol, R. « Success and failures in the implementation of evidence-based guidelines for
clinical practice », Med Care, vol. 39, no
8 (suppl. 2), 2001, p. 1146-1154.
5. Davis, D.A. et A. Taylor-Vaisey. « Translating guidelines into practice: a systematic review
of theoretic concepts, practice experience and research evidence in the adoption of clinical
practice guidelines », CMAJ, vol. 157, no
4, 1997, p. 408-416.
6. Grimshaw, J. et I. Russell. « Effect of clinical guidelines on medical practice: a systematic
review of rigorous evaluations », Lancet, no
342, 1993, p. 1317-1322.
7. Shaneyfelt, T.M., M.F. Mayo-Smith et J. Rothwangl. « Are guidelines following guidelines?
The methodological quality of clinical practice guidelines in the peer-reviewed medical
literature », JAMA, vol. 281, no
20, 1999, p. 1900-1905.
8. Grilli, R., N. Magrini, A. Penna, G. Mura et A. Liberati. « Practice guidelines developed by
specialty societies: the need for critical appraisal », Lancet, no
355, 2000, p. 103-106.
9. Burgers, J.S., B. Fervers, M. Haugh, M. Brouwers, G. Browman, T. Phillip et F.A. Cluzeau.
« International assessment of the quality of clinical practice guidelines in oncology using
the Appraisal of Guidelines and Research and Evaluation Instrument », J Clin Oncol,
no
22, 2004, p. 2000-2007.
10. The AGREE Collaboration. « Development and validation of an international appraisal
instrument for assessing the quality of clinical practice guidelines: the AGREE project »,
Qual Saf Health Care, vol. 12, no
1, février 2003, p. 18-23.
11. AGREE II: Advancing the guideline development, reporting and evaluation in healthcare,
publications parallèles en cours.
9. MANUEL D’UTILISATEUR : CONSIGNES D’UTILISATION DE
LA GRILLE AGREE II
Ce manuel d’utilisateur a été conçu spécialement pour guider les évaluateurs qui utilisent la
Grille. Nous vous suggérons de lire toutes les consignes avant d’utiliser la Grille.
1. Se préparer à utiliser la Grille AGREE II
i) Documents d’accompagnement
Avant d’appliquer la Grille AGREE II, les utilisateurs devraient d’abord lire attentivement la RPC.
En plus de la RPC, les utilisateurs devraient s’efforcer de rassembler tous les renseignements
relatifs au processus d’élaboration de la RPC avant leur évaluation. Ces renseignements
peuvent être réunis dans le document même de la RPC ou être résumés dans un rapport
technique distinct, un manuel méthodologique ou l’énoncé de politique des concepteurs de
RPC. Ces documents d’accompagnement peuvent être publiés ou rendus publics sur le Web. Il
revient aux auteurs de la RPC d’aviser les lecteurs de l’existence et de l’emplacement des
documents d’accompagnement et des documents techniques additionnels pertinents; les
utilisateurs de la Grille AGREE II doivent faire tout en leur pouvoir pour repérer et inclure ces
documents lors de l’évaluation.
ii) Nombre d’évaluateurs
Afin d’accroître la fiabilité de l’évaluation, la RPC devrait être revue par au moins deux lecteurs,
et préférablement par quatre. Les essais de fiabilité de la Grille sont en cours.
2. Structure et contenu de la Grille AGREE II
La Grille AGREE II se compose de 23 éléments clés organisés en six domaines, suivis de deux
éléments généraux d’évaluation (« Évaluation générale »). Chaque domaine porte sur une
dimension particulière de la qualité des RPC.
Le Domaine 1, « Champ et objectifs », concerne l’objectif global de la RPC, les questions de
santé abordées et des populations cibles (éléments 1-3).
Le Domaine 2, « Participation des groupes concernés », sert à examiner dans quelle mesure la
RPC a été élaborée par les groupes appropriés et prend en considération les points de vue des
utilisateurs visés (éléments 4-6).
Le Domaine 3, « Rigueur d’élaboration », décrit le processus de recherche et de synthèse des
preuves scientifiques ainsi que les méthodes utilisées pour formuler les RPC et les mettre à jour
(éléments 7-14).
Le Domaine 4, « Clarté et présentation », sert à étudier la langue, la structure et le format de la
RPC (éléments 15-17).
Le Domaine 5, « Applicabilité », examine les obstacles et les éléments favorisant l’application
de la RPC, les stratégies d’amélioration de l’application ainsi que les coûts d’application
(éléments 18-21).
10. Le Domaine 6, « Indépendance éditoriale », concerne la formulation des RPC et vise à
s’assurer qu’elles n’ont pas été indûment biaisées par des intérêts divergents (éléments 22-23).
L’évaluation générale sert à évaluer la qualité générale de la RPC et à déterminer si l’on en
recommande l’application.
3. Échelle de notation et sections du manuel d’utilisateur
Les éléments de la Grille AGREE II et les deux éléments d’évaluation générale sont notés sur
une échelle allant de 1 (fortement en désaccord) à 7 (fortement en accord). Le manuel
d’utilisateur, qui explique comment évaluer chacun des éléments à l’aide de l’échelle de
notation, comprend trois sections supplémentaires visant à faciliter le travail d’évaluation de
l’utilisateur. Ces sections sont la Description du manuel d’utilisateur, Quoi regarder et Comment
évaluer.
i) Échelle de notation
Tous les éléments de la Grille d’AGREE II sont évalués à l’aide de l’échelle de notation de 1 à
7 :
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
1 (Fortement en désaccord) : Score à octroyer en l’absence d’information pertinente concernant
l’élément de la Grille AGREE II évalué ou lorsque le concept est très mal présenté.
7 (Fortement en accord) : Score à octroyer lorsque la qualité de la présentation est
exceptionnelle et que l’ensemble des critères et des considérations présentés dans le manuel
d’utilisateur sont respectés.
Scores entre 2 et 6 : On accorde un score entre 2 et 6 lorsque la présentation de l’élément de la
Grille AGREE II ne respecte pas l’ensemble des critères et des considérations présentés dans
le manuel d’utilisateur. Le score doit être octroyé selon le degré d’exhaustivité et la qualité de la
présentation. Plus les critères et les considérations du manuel d’utilisateur sont respectés, plus
le score doit être élevé. On trouve, dans la section « Comment évaluer », des détails sur les
critères d’évaluation et les éléments à prendre en considération pour chacun des éléments.
ii) Description du manuel d’utilisateur
On donne, dans cette section, les grandes lignes du concept qui sous-tend chacun des
éléments, accompagnées d’exemples.
iii) Quoi regarder
Dans cette section, on indique à l’évaluateur dans quelle partie de la RPC l’on trouve
généralement l’information relative aux différents éléments. On y donne aussi le nom que l’on
donne généralement aux parties ou chapitres de la RPC où l’on retrouve cette information. Il est
à noter qu’il ne s’agit que de suggestions. Il revient à l’évaluateur d’examiner l’ensemble de la
RPC et des documents d’accompagnement pour s’assurer que son évaluation est équitable.
11. iv) Comment évaluer
Dans cette section, on présente plus en détail les critères d’évaluation ainsi que les points à
considérer pour chacun des éléments.
• Les critères précisent de façon explicite les aspects qui correspondent à
la définition opérationnelle de l’élément. Plus les critères sont respectés,
plus le score de la RPC pour cet élément doit être élevé.
• Les considérations ont pour objectif de favoriser une évaluation éclairée.
Comme dans toute évaluation, les évaluateurs doivent faire preuve de
jugement. Plus on aura tenu compte des considérations dans
l’élaboration de la RPC, plus le score de la RPC pour cet élément doit
être élevé.
Il est important de noter que la notation de la RPC exige de faire preuve de jugement. Les
critères et les considérations sont là pour servir de guide, pas pour remplacer le jugement des
évaluateurs. Par ailleurs, aucun des éléments de la Grille AGREE II ne précise d’attentes
explicites pour les sept points de l’échelle de notation.
v) Autres facteurs à considérer lors de l’application de la Grille AGREE II
À l’occasion, certains éléments de la Grille AGREE II peuvent ne pas s’appliquer à la RPC
évaluée. Par exemple, des RPC dont le champ est limité peuvent ne pas fournir toute la gamme
d’options de prise en charge de la situation clinique (voir élément 16). La Grille AGREE II ne
comprend pas de choix de réponse « Ne s’applique pas ». Cette situation peut être gérée de
différentes façons, notamment en sautant l’élément ou en lui accordant le score « 1 » (absence
d’information) et en expliquant les raisons de ce résultat. Peu importe la stratégie adoptée, les
décisions doivent être prises à l’avance et décrites de façon explicite. De plus, si l’on décide de
sauter des éléments, il est essentiel d’apporter les modifications nécessaires au calcul du score.
Par principe, l’exclusion d’éléments d’évaluation n’est pas encouragée.
4. Notation à l’aide de la Grille AGREE II
Le score accordé pour la qualité est calculé pour chacun des six domaines de la Grille
AGREE II. Les six domaines sont indépendants et ne devraient pas être regroupés en un score
global de qualité.
i) Calcul du score des domaines
Le score des domaines est calculé en additionnant les scores des différents éléments du
domaine et en traduisant le résultat en pourcentage du score maximal pour ce domaine.
12. Exemple :
Si quatre évaluateurs donnent les scores suivants pour le domaine 1
(champ et objectifs de la RPC) :
Élément 1 Élément 2 Élément 3 Total
Évaluateur 1 5 6 6 17
Évaluateur 2 6 6 7 19
Évaluateur 3 2 4 3 9
Évaluateur 4 3 3 2 8
Total 16 19 18 53
Score maximal = 7 (fortement en accord) x 3 (éléments) x 4 (évaluateurs) = 84
Score minimal = 1 (fortement en désaccord) x 3 (éléments) x 4 (évaluateurs) = 12
La valeur en pourcentage par domaine se calcule de la manière suivante :
Score obtenu – Score minimal possible
Score maximal possible – Score minimal possible
53 – 12 41
84 – 12
X 100 =
72
X 100 = 0,5694 x 100 = 57 %
En cas d’exclusion d’éléments, le calcul des scores minimum et maximum devront être
modifiés.
ii) Interpréter le score par domaine
Bien que le score par domaine soit utile pour comparer des RPC et qu’il indique si une RPC doit
être recommandée, le Consortium n’a pas fixé de score minimal ou de modèle de notation pour
distinguer les RPC de grande et de mauvaise qualité. Ces décisions doivent être prises par
l’utilisateur et guidée par le contexte d’utilisation de la Grille AGREE II.
5. Évaluation générale
Une fois les 23 éléments évalués, les utilisateurs de la Grille AGREE II doivent répondre aux
deux questions de l’évaluation générale de la RPC. L’évaluation générale exige que l’utilisateur
de la Grille AGREE II évalue la qualité de la RPC en tenant compte des éléments d’évaluation
prévus dans le processus d’évaluation. L’utilisateur doit également dire s’il recommande
l’utilisation de la RPC.
________________________________________________________________________________________
On trouve, dans les pages suivantes, les directives pour la cotation des 23 éléments de la Grille
AGREE II par domaine. Chacun des éléments comprend une description, des suggestions sur
les endroits où trouver l’information et des conseils sur la méthode de notation.
13.
DOMAINE 1 : CHAMP ET OBJECTIFS
1. Le ou les objectifs de la RPC sont décrits explicitement.
2. La ou les questions de santé couvertes par la RPC sont décrites
explicitement.
3. La population (patients, public, etc.) à laquelle la RPC doit s’appliquer
est décrite explicitement.
14. CHAMP ET OBJECTIFS
1. Le ou les objectifs de la RPC sont décrits explicitement.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
Cet élément traite des répercussions potentielles d’une RPC sur la santé d’une population ou de groupes de
patients ou d’individus. L‘objectif global de la RPC devrait être décrit de façon détaillée et les bénéfices
attendus en termes de santé devraient être propres à la situation clinique ou au problème de santé. Par
exemple :
• prévention des complications (à long terme) chez les patients diabétiques;
• diminution du risque d’événements vasculaires ultérieurs chez les patients ayant eu un infarctus du
myocarde;
• stratégies plus efficaces de dépistage en population du cancer colorectal;
• faciliter le choix des traitements les plus efficaces et la prise en charge des patients atteints de diabète.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres d’introduction pour obtenir une description du champ et des objectifs
de la RPC. Dans certains cas, la raison d’être ou la justification de la RPC est décrite dans un document
distinct, notamment dans la proposition de la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de
chapitres où l’on peut trouver ce genre d’information : introduction, champ, but, raison d’être, contexte et
objectifs.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• les objectifs de santé (prévention, dépistage, diagnostic, traitement, etc.);
• les bénéfices ou résultats attendus;
• les cibles (population de patients, société, etc.);
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
Il aurait pu être plus facile de trouver les objectifs
15. CHAMP ET OBJECTIFS
2. La ou les questions de santé couvertes par la RPC sont décrites explicitement.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
Une description détaillée des questions cliniques traitées par la RCP devrait être fournie, particulièrement pour
les recommandations clés (voir élément 17), bien qu’elles ne soient pas toujours formulées sous forme de
question. Voici des questions pouvant illustrer chacun des exemples cités au point 1 :
• Combien de fois par an l’HbA1c devrait-elle être mesurée chez les patients diabétiques?
• Quel devrait être le dosage quotidien de l’aspirine chez les patients ayant eu un infarctus du myocarde
prouvé?
• Le dépistage en population du cancer colorectal par la recherche de sang occulte dans les selles réduit-il la
mortalité par le cancer colorectal?
• L’autosurveillance est-elle efficace pour le contrôle du glucose sanguin chez les patients atteints de diabète
de type 2?
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres d’introduction pour obtenir une description du champ et des objectifs
de la RPC. Dans certains cas, les questions sont décrites dans un document distinct de la RPC, par exemple
dans les spécifications relatives à la recherche. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres
où l’on peut trouver ce genre d’information : introduction, questions, champ, but, raison d’être et contexte.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la population cible;
• les interventions ou les expositions;
• les comparaisons (le cas échéant);
• les résultats;
• le cadre ou le contexte des soins de santé.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Les questions contiennent-elles suffisamment d’information pour entreprendre l’élaboration d’une RPC sur le
sujet ou pour comprendre les populations ou les groupes de patients et les contextes présentés dans la RPC?
Le lecteur peut déterminer la question de santé, mais celle-ci n'est pas énoncée explicitement;
très large
16. CHAMP ET OBJECTIFS
3. La population (patients, public, etc.) à laquelle la RPC doit s’appliquer est
décrite explicitement.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
La population (patients, public, etc.) visée par la RPC devrait être clairement décrite. L’âge, le sexe, la situation
clinique et les comorbidités devraient être précisés. Par exemple :
• une RPC sur la prise en charge du diabète sucré chez l’adulte inclut uniquement les patients diabétiques non
insulinodépendants et exclut les patients présentant une comorbidité cardiovasculaire;
• une RPC sur la prise en charge de la dépression inclut uniquement les patients souffrant une dépression
grave selon les critères du DSM-IV et exclut les patients qui présentent des symptômes psychotiques ainsi que
les enfants;
• une RPC sur le dépistage du cancer du sein inclut uniquement les femmes entre 50 et 70 ans sans
antécédent de cancer, ni anamnèse familiale de cancer du sein.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres d’introduction pour obtenir une description de la population cible de
la RPC. L’exclusion explicite de certaines populations (les enfants, par exemple) est aussi traitée par cet
élément. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres où l’on peut trouver ce genre
d’information : population de patients, population cible, patients concernés, champ et objectifs.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la population cible, le sexe et l’âge;
• l’état clinique (le cas échéant);
• la gravité et le stade de la maladie (le cas échéant);
• les comorbidités (le cas échéant);
• les populations exclues (le cas échéant).
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• L’information relative à la population est-elle suffisamment précise pour que l’on applique les mesures
recommandées dans la RPC aux personnes à qui elles s’adressent?
Le document ne décrit pas les populations exclues
17. DOMAINE 2 : PARTICIPATION DES GROUPES CONCERNÉS
4. Le groupe ayant élaboré la RPC inclut des représentants de tous les
groupes professionnels concernés.
5. Les opinions et les préférences de la population cible (patients, public,
etc.) ont été identifiées.
6. Les utilisateurs cibles de la RPC sont clairement définis.
18. PARTICIPATION DES GROUPES CONCERNÉS
4. Le groupe ayant élaboré la RPC inclut des représentants de tous les groupes
professionnels concernés.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
Cet élément fait référence aux professionnels engagés à un stade ou à un autre du processus d’élaboration de
la RPC. Il peut s’agir des membres du groupe directeur, de l’équipe de recherche participant à la sélection et à
l’examen des preuves scientifiques ainsi que des personnes formulant les recommandations finales. Cet
élément exclut les personnes ayant effectué un examen externe de la RPC (voir élément 13). Il exclut
également les représentants des populations cibles (voir élément 5). Des renseignements sur la composition,
les disciplines représentées et le type d’expertise des membres du groupe de travail devraient être fournis.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes ou les chapitres d’introduction, les remerciements ou les annexes concernant la
composition du groupe ayant élaboré la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres où
l’on peut trouver ce genre d’information : méthodes, liste des membres de groupe d’élaboration de la RPC,
remerciements et annexes.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• On retrouve, dans la RPC, les renseignements suivants concernant chacun des membres du groupe
d’élaboration de la RPC :
nom;
discipline et champ d’expertise (neurochirurgien, spécialiste en méthodologie, etc.);
institution (Hôpital St. Peter, par exemple);
ville, état, pays (Seattle, WA, par exemple);
une description du rôle du membre au sein du groupe d’élaboration de la RPC.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Le choix des membres convient-il au sujet et au champ? Trouve-t-on, parmi les candidats potentiels, des
médecins, des experts en contenu, des chercheurs, des décideurs, des administrateurs de clinique et des
bailleurs de fonds?
• Le groupe d’élaboration de la RPC compte-t-il au moins un expert en méthodologie (expert en examen
systématique, épidémiologiste, statisticien, libraire scientifique, etc.)?
Consulter la section « About the Authors » au bas de la page e2
N'a pas inclus de professionnels du domaine médical ni de spécialistes des forces de l'ordre,
de la santé publique ou de la méthodologie
19. PARTICIPATION DES GROUPES CONCERNÉS
5. Les opinions et les préférences de la population cible (patients, public, etc.) ont
été identifiées.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
L’expérience et les attentes de la population cible devraient être prises en compte dans l’élaboration de la
RPC. Il existe plusieurs méthodes pour en assurer la prise en compte lors des différents stades d’élaboration
de la RPC : consultations officielles des patients et du public pour cibler les sujets prioritaires et participation
de ces intervenants au groupe chargé de l’élaboration de la RPC ou à l’examen externe des versions
préliminaires. On peut aussi obtenir de l’information à l’aide d’entrevues menées auprès de ces intervenants ou
en analysant de la documentation qui porte sur les valeurs, les préférences ou les expériences des patients et
du public. Il devrait être clairement indiqué que ce processus a bien eu lieu et que les points de vue de ces
intervenants ont été pris en compte.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes sur le processus d’élaboration de la recommandation. Voici quelques exemples de
titre de sections ou de chapitres d’une recommandation où l’on peut trouver ce genre d’information : champ,
méthodes, liste des experts ayant participé à l’élaboration de la recommandation, examen externe et points de
vue de la population cible.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• le type de stratégie utilisée pour découvrir le point de vue et les préférences des patients et du public
(participation au groupe d’élaboration de la RPC, analyse documentaire des valeurs et des préférences, etc.);
• les méthodes ayant servi à découvrir les préférences et le point de vue des patients et du public (données
tirées de la documentation, enquêtes, groupes de discussion, etc.);
• les résultats et les renseignements recueillis sur les patients et la population;
• la façon dont les données recueillies ont été utilisées pour alimenter le processus d’élaboration de la RPC
et/ou la formulation des recommandations;
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
20. PARTICIPATION DES GROUPES CONCERNÉS
6. Les utilisateurs cibles de la RPC sont clairement définis.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
Les utilisateurs cibles devraient être clairement précisés dans la RPC afin que les lecteurs puissent déterminer
immédiatement si la RPC s’applique à eux. Par exemple les utilisateurs cibles d’une RPC sur le mal de dos
peuvent être les médecins généralistes, les neurologues, les chirurgiens orthopédiques, les rhumatologues et
les physiothérapeutes.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres d’introduction pour obtenir une description des utilisateurs cibles de
la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver ce genre
d’information : utilisateur cible et utilisateur prévu.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• description claire des destinataires visés (spécialistes, médecins de famille, patients, directeurs et
administrateurs de clinique et d’institution);
• façons dont les destinataires visés peuvent utiliser la RPC (permettre des décisions cliniques éclairées,
informer les politiques, établir des normes de soins, etc.);
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Les utilisateurs ciblés conviennent-ils au champ de la RPC?
Pas clair ou précis -- pour les utilisateurs, les professionnels de la santé?
21. DOMAINE 3. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA
RECOMMANDATION
7. Des méthodes systématiques ont été utilisées pour rechercher les
preuves scientifiques.
8. Les critères de sélection des preuves sont clairement décrits.
9. Les forces et les limites des preuves scientifiques sont clairement
définies.
10. Les méthodes utilisées pour formuler les recommandations sont
clairement décrites.
11. Les bénéfices, les effets secondaires et les risques en termes de
santé ont été pris en considération dans la formulation des
recommandations.
12. Il y a un lien explicite entre les recommandations et les preuves
scientifiques sur lesquelles elles reposent.
13. La RPC a été revue par des experts externes avant sa publication.
14. Une procédure d’actualisation de la RPC est décrite.
22. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
7. Des méthodes systématiques ont été utilisées pour rechercher les preuves
scientifiques.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
Les détails de la stratégie de recherche des preuves scientifiques devraient être fournis, c’est-à-dire les mots
clés utilisés, les sources consultées et la période couverte par la recherche de littérature. Les sources peuvent
inclure des bases de données électroniques (MEDLINE, EMBASE, CINAHL, etc.), des bases de données de
revues systématiques (Cochrane Library, DARE, etc.), des recherches manuelles dans les revues
scientifiques, des comptes rendus de congrès et d’autres recommandations (US National Guideline
Clearinghouse, German Guidelines Clearinghouse, etc.). La stratégie de recherche devrait être aussi
exhaustive que possible et être appliquée de façon suffisamment objective et détaillée pour être reproduite.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres sur le processus d’élaboration de la RPC. Dans certains cas, les
stratégies de recherche sont décrites dans des documents distincts ou en annexe de la RPC. Voici quelques
exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver ce genre d’information :
méthodologie, stratégies de recherche de littérature et annexes.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• on précise quelles sont les bases de données électroniques ou les sources scientifiques ayant servi à
effectuer la recherche (MEDLINE, EMBASE, PsychINFO, CINAHL, etc.);
• la période couverte par la recherche (du 1er
janvier 2004 au 31 mars 2008, par exemple);
• les termes de recherche utilisés (mots clés, index, sous-titres, etc.);
• la présentation de l’ensemble de la stratégie de recherche (en annexe, par exemple).
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• La recherche est-elle pertinente? Répond-elle convenablement à la question de santé (consultation de toutes
les bases de données pertinentes, utilisation des termes de recherche appropriés, etc.)?
• Les renseignements fournis suffisent-ils à permettre à quelqu’un d’autre de reprendre la recherche?
Stratégies de recherche complètes en annexe, mais certaines omettent la recherche par sujet
Pas d'explication pour la recherche sur une période plus courte
23. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
8. Les critères de sélection des preuves sont clairement décrits.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
accord
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Description du manuel d’utilisateur
Les critères d’inclusion ou d’exclusion des preuves scientifiques devraient être fournis. Ces critères devraient
être décrits explicitement et les raisons pour inclure ou exclure les preuves scientifiques devraient être
clairement formulées. Par exemple, les auteurs de la RPC peuvent décider d’inclure uniquement les preuves
provenant d’essais cliniques aléatoires et d’exclure les articles rédigés dans d’autres langues que l’anglais.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres sur le processus d’élaboration de la RPC. Dans certains cas, les
critères d’inclusion ou d’exclusion de preuves peuvent être décrits dans des documents distincts ou dans les
annexes de la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut
trouver ce genre d’information : méthodologie, recherche de littérature, critères d’inclusion et d’exclusion et
annexes.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la description des critères d’inclusion, dont :
les caractéristiques de la population cible (patients, public, etc.),
la conception de l’étude,
les comparaisons (le cas échéant),
les résultats,
la langue (le cas échéant),
le contexte (le cas échéant);
• la description des critères d’exclusion (seulement si c’est pertinent; la présence de la mention « français
seulement » dans la liste des critères d’inclusion pourrait logiquement écarter la présence de la mention
« autre que français » dans la liste des critères d’exclusion, par exemple).
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Les critères d’inclusion et d’exclusion sont-ils justifiés?
• Les critères d’inclusion et d’exclusion correspondent-ils aux questions de santé traitées?
• Y a-t-il des raisons de croire que de la documentation pertinente n’a pas été prise en compte?
Le type d'étude n'est pas précisé
24. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
9. Les forces et les limites des preuves scientifiques sont clairement définies.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
On doit fournir des énoncés soulignant les forces et les limites des preuves scientifiques. Cela doit inclure des
descriptions explicites – utilisant des outils et des méthodes officielles et informelles – afin d’évaluer et de
décrire le risque de partialité des études individuelles et/ou des résultats particuliers et/ou des commentaires
explicites concernant les preuves scientifiques recueillies dans les différentes études. Cela peut être présenté
de différentes façons : utilisation de tableaux pour commenter des domaines de qualité diverse; application
d’une stratégie ou d’un outil officiel (échelle de Jadad, méthode GRADE, etc.), descriptions dans le texte, etc.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres décrivant le processus d’élaboration de la RPC pour trouver de
l’information sur la qualité méthodologique des études (risque de partialité, par exemple). Les tableaux de
preuves scientifiques sont souvent utilisés pour en résumer les caractéristiques et la qualité des preuves.
Certaines RPC font une distinction nette entre la description et l’interprétation des preuves scientifiques,
notamment en les présentant dans deux sections différentes : une sur les résultats et une sur la discussion.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• description de la façon dont les membres du groupe d’élaboration de la RPC ont évalué la partialité des
preuves scientifiques et les ont interprétées;
• on trouve, parmi les éléments de cette description :
la méthodologie incluse dans les preuves scientifiques;
les limites de la méthodologie (échantillonnage, essais à l’insu, dissimulation de l’affectation,
méthodes d’analyse);
la pertinence des résultats primaires et secondaires considérés;
la cohérence des résultats parmi les études;
l’orientation des résultats parmi les études;
l’importance des bénéfices par rapport aux effets négatifs;
l’applicabilité au contexte de la pratique.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Les descriptions sont-elles appropriées, neutres et impartiales? Les descriptions sont-elles complètes?
Les auteurs donnent une mise en garde concernant les études transversales et naturalistes,
mais ont ensuite surtout inclus des revues systématiques et des essais contrôlés randomisés?
Pas de discussion à propos de la qualité
25. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
10. Les méthodes utilisées pour formuler les recommandations sont clairement
décrites.
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Fortement en
désaccord
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Fortement en
accord
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Description du manuel d’utilisateur
Une description des méthodes utilisées pour formuler les recommandations et pour parvenir aux décisions
finales devrait être fournie. Ces méthodes peuvent comprendre un système de vote, un consensus informel ou
des techniques de consensus officiel (méthodes Delphi et Glaser, par exemple). Les points de désaccord et les
méthodes utilisées pour les résoudre devraient également être spécifiés.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres sur le processus d’élaboration de la RPC. Dans certains cas, les
méthodes utilisées pour formuler les recommandations sont décrites dans des documents distincts ou dans
une annexe de la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut
trouver ce genre d’information : méthodes et processus d’élaboration de la RPC.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la description du processus d’élaboration de la recommandation (étapes suivies dans la technique Delphi
adaptée, procédures de vote envisagées, etc.);
• les résultats du processus d’élaboration de la recommandation (dans quelle mesure est-on parvenu à un
consensus grâce à la technique Delphi adaptée, résultats des procédures de vote, etc.);
• la description de la façon dont le processus a influé sur les recommandations (les résultats de la technique
Delphi ont-ils influé sur la recommandation finale, concordance entre les recommandations et le vote final,
etc.).
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• A-t-on fait appel à un processus officiel pour formuler les recommandations?
• Les méthodes étaient-elles appropriées?
On fait référence à GRADE, mais aucun rapport ne porte sur les critères GRADE. Le
document a en réalité utilisé le système de classement de US NASEM, mais le résumé contenu
dans les documents supplémentaires ne mentionne pas les critères de qualité
26. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
11. Les bénéfices, les effets secondaires et les risques en termes de santé ont été
pris en considération dans la formulation des recommandations.
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Fortement en
désaccord
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Fortement en
accord
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Description du manuel d’utilisateur
On devrait considérer, lors de la formulation des recommandations, leurs bénéfices, leurs effets secondaires et
leurs risques en matière de santé. Par exemple, une RPC sur la prise en charge du cancer du sein peut
comprendre une discussion sur les répercussions des recommandations sur les résultats finaux possibles –
survie, qualité de vie, effets secondaires, prise en charge des symptômes, etc. – ou encore une discussion
comparant différentes options thérapeutiques. Les preuves que ces questions ont été abordées devraient être
présentées.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres décrivant le processus d’élaboration de la RPC pour obtenir une
description des preuves scientifiques, de leur interprétation et de leur traduction en recommandations pour la
pratique clinique. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver
ce genre d’information : méthodes, interprétation, discussion et recommandations.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• les données complémentaires et les rapports sur les bénéfices;
• les données complémentaires et les rapports sur les effets négatifs, les effets secondaires et les risques;
• les rapports sur l’équilibre ou le compromis entre les bénéfices et les effets négatifs, les effets secondaires et
les risques;
• les recommandations reflètent la prise en compte des bénéfices et des dommages, des effets secondaires et
des risques.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• La discussion fait-elle partie intégrante du processus d’élaboration de la RPC? (A-t-elle lieu durant la
formulation de la recommandation plutôt qu’après la formulation de la recommandation, en tant que réflexion
après coup?)
• Le groupe d’élaboration de la RPC a-t-il accordé la même importance aux bénéfices et aux effets négatifs?
Pas de discussion des avantages, bien que l'utilisation thérapeutique ait été exclue.
27. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
12. Il y a un lien explicite entre les recommandations et les preuves scientifiques
sur lesquelles elles reposent.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
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Description du manuel d’utilisateur
La RPC doit expliciter le lien entre les recommandations et les preuves scientifiques sur lesquelles elles
reposent. L’utilisateur de la RPC doit être en mesure d’identifier les composantes des preuves scientifiques
liées à chacune des recommandations.
Quoi regarder
Cibler et examiner les recommandations de la RPC ainsi que le texte décrivant les preuves scientifiques qui les
sous-tendent. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver ce
genre d’information : recommandations et principales preuves scientifiques.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la RPC décrit comment le groupe d’élaboration de la RPC a utilisé et analysé les preuves scientifiques afin de
formuler des recommandations éclairées;
• chaque recommandation est liée à une liste de références, à un paragraphe ou à la description d’une preuve
scientifique importante;
• les recommandations sont liées à des résumés de preuves scientifiques et à des tableaux de preuves
scientifiques situés dans la section de la RPC réservée aux résultats.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• Observe-t-on une correspondance entre les preuves scientifiques et les recommandations?
• Le lien entre les recommandations et les preuves scientifiques est-il facile à trouver dans la RPC?
• Précise-t-on clairement, le cas échéant, que l’on ne détient pas de preuves scientifiques ou que la
recommandation résulte principalement d’un consensus d’opinion parmi les membres du groupe d’élaboration
de la RPC, au lieu de découler de preuves scientifiques?
Discussion floue au sujet du lien entre les données probantes et les recommandations
28. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
13. La RPC a été revue par des experts externes avant sa publication.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
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Description du manuel d’utilisateur
Une RPC devrait être soumise à un comité de lecture externe avant publication. Les experts externes ne
devraient pas avoir été impliqués dans le groupe de travail ayant assuré l’élaboration de la RPC et devraient
comprendre des experts du domaine clinique ainsi que des experts en méthodologie. Des représentants des
patients peuvent également faire partie du groupe. Une description des méthodes utilisées pour effectuer la
revue externe devrait être présentée, de même qu’une liste des experts externes et leurs affiliations.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes et les chapitres décrivant le processus d’élaboration de la RCP ainsi que les
remerciements. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver
ce genre d’information : méthodes, résultats, interprétation et remerciements.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• le but et les objectifs de l’examen externe (améliorer la qualité, recueillir des commentaires sur la version
préliminaire des recommandations, évaluer l’applicabilité et la faisabilité de la RPC, diffuser les preuves
scientifiques, etc.);
• les méthodes utilisées pour l’examen externe (échelle d’évaluation, questions ouvertes, etc.);
• la description des examinateurs externes (nombre, type d’examinateurs, affiliations, etc.);
• les résultats et les renseignements recueillis lors de l’examen externe (résumé des principales conclusions,
etc.);
• la description des moyens utilisés pour recueillir les renseignements en vue de formuler une RPC ou des
recommandations éclairées (le groupe d’élaboration de la RPC a tenu compte des résultats de l’examen lors
de la formulation des recommandations finales);
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Les examinateurs externes choisis conviennent-ils aux besoins du champ de la RPC? Comment justifie-t-on
le choix des examinateurs?
• Comment le groupe d’élaboration a-t-il utilisé les conclusions de l’examen externe?
29. RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
14. Une procédure d’actualisation de la RPC est décrite.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
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Description du manuel d’utilisateur
La RPC doit refléter l’état actuel de la recherche. La procédure d’actualisation de la RPC devrait être
clairement énoncée. Par exemple, un calendrier est précisé ou un groupe de suivi reçoit régulièrement une
littérature actualisée et effectue les changements qui s’imposent.
Quoi regarder
Examiner le paragraphe d’introduction, les paragraphes décrivant le processus d’élaboration de la RPC ainsi
que les paragraphes de conclusion. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une
recommandation où l’on peut trouver ce genre d’information : méthodes, mise à jour de la RPC et date de la
RPC.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• une déclaration énonçant que la RPC sera mise à jour;
• la précision quant à l’intervalle de mise à jour ou aux critères qui guideront la décision d’effectuer une mise à
jour;
• la méthodologie de la procédure de mise à jour.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• L’information fournie permet-elle de savoir quand une mise à jour sera effectuée ou quels sont les critères qui
entraîneront une mise à jour?
30. DOMAINE 4. CLARTÉ ET PRÉSENTATION
15. Les recommandations sont précises et sans ambiguïté.
16. Les différentes options de prise en charge de l’état ou du problème de
santé sont clairement présentées.
17. Les recommandations clés sont facilement identifiables.
31. CLARTÉ ET PRÉSENTATION
15. Les recommandations sont précises et sans ambiguïté.
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Fortement en
désaccord
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Description du manuel d’utilisateur
Sur la base des preuves scientifiques disponibles, une recommandation devrait fournir une description
concrète et précise de l’option appropriée, de la situation et de la population cible.
• Voici un exemple de recommandation spécifique : les antibiotiques devraient être prescrits à des enfants de
deux ans ou plus chez qui on a diagnostiqué une otite moyenne aiguë si la douleur dure plus de trois jours ou
si la douleur augmente après la consultation, malgré un traitement antalgique adéquat; dans ces cas, un
traitement par amoxicilline devrait être donné durant sept jours (avec indication de la posologie).
• Voici un exemple de recommandation floue : les antibiotiques sont indiqués pour les cas présentant une
évolution anormale ou compliquée.
Il est important de noter que dans certains cas les preuves ne sont pas toujours très précises et qu’il peut y
avoir une incertitude sur la ou les meilleures options de soins. Dans ce cas, l’incertitude devrait être signalée
dans la RPC.
Quoi regarder
Définir et examiner les recommandations de la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de
chapitres d’une RPC où l’on peut trouver ce genre d’information : recommandations et résumé.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la mesure recommandée;
• l’identification du but ou des objectifs de la mesure recommandée (améliorer la qualité de vie, diminution des
effets secondaires, etc.);
• l’identification de la population concernée (patients, public, etc.);
• les mises en garde ou les énoncés descriptifs, le cas échéant (patients ou états de santé auxquels les
recommandations ne s’appliquent pas);
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• En cas de recommandations multiples (ex : RPC dans le domaine de la prise en charge), précise-t-on
clairement à qui s’applique chacune des recommandations?
• S’il y a incertitude concernant l’analyse et l’interprétation des preuves scientifiques, cette incertitude
ressort-elle dans les recommandations et est-elle explicitement exprimée?
Il est incertain si des groupes devraient être exclus des recommandations
32. CLARTÉ ET PRÉSENTATION
16. Les différentes options de prise en charge de l’état ou du problème de santé
sont clairement présentées.
1
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Description du manuel d’utilisateur
Une RPC qui vise la prise en charge d’une maladie devrait examiner les différentes options possibles en
matière de dépistage, de prévention, de diagnostic ou de traitement de la situation médicale considérée. Ces
options devraient être clairement présentées dans la RPC.
Par exemple, une recommandation sur la prise en charge de la dépression pourrait comprendre les options
suivantes :
a. Traitement avec des antidépresseurs tricycliques;
b. Traitement avec des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS);
c. Psychothérapie;
d. Association de thérapies pharmacologique et psychologique.
Quoi regarder
Examiner les recommandations et les preuves scientifiques à l’appui. Voici quelques exemples de titre de
sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver ce genre d’information : résumé, recommandations,
discussion, possibilités de traitement et options de traitement.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la description des options;
• la description de la population ou de la situation clinique la plus appropriée aux différentes options.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Le champ de la RPC est-il étroit ou large? Cet élément peut s’avérer pertinent dans le cas d’une RPC dont le
champ est large (prise en charge d’un état ou d’un problème de santé au lieu de mettre l’accent sur une série
d’interventions pour un état ou un problème de santé précis).
33. CLARTÉ ET PRÉSENTATION
17. Les recommandations clés sont facilement identifiables.
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Description du manuel d’utilisateur
Les utilisateurs devraient être en mesure d’identifier facilement les recommandations clés. Ces
recommandations répondent aux principales questions couvertes par la RPC et peuvent être identifiées de
plusieurs façons. Par exemple, elles peuvent être résumées dans un tableau, écrites en caractères gras,
soulignées ou présentées sous forme d’arbres de décision ou d’algorithmes.
Quoi regarder
Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres où l’on peut trouver ce genre d’information :
résumé, conclusions et recommandations. Certaines RPC sont accompagnées de résumés dans lesquels on
retrouve les recommandations clés (guide de référence rapide, etc.).
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la description des recommandations résumées dans un tableau, écrites en caractères gras, soulignées ou
présentées sous forme d’arbres de décision ou d’algorithmes;
• les recommandations précises sont regroupées en une seule section.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Les recommandations clés ont-elles été correctement choisies? Reflètent-elles les messages clés de la
RPC?
• Les recommandations précises sont-elles regroupées dans une section située près du résumé des
principales preuves scientifiques?
Résumé en page e4. Il aurait été utile de mettre en grasses les mots clés ou les sujets pour
chaque recommandation
34. DOMAINE 5 : APPLICABILITÉ
18. La RPC décrit les éléments facilitant son application et les obstacles.
19. La RPC offre des conseils et/ou des outils sur les façons de mettre les
recommandations en pratique.
20. Les répercussions potentielles de l’application des recommandations
sur les ressources ont été examinées.
21. La RPC propose des critères de suivi et/ou de vérification.
35. APPLICABILITÉ
18. La RPC décrit les éléments facilitant son application et les obstacles.
1
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Description du manuel d’utilisateur
L’application des recommandations de la RPC peut être facilitée ou entravée par différents facteurs.
Par exemple :
i. Une RPC sur les accidents vasculaires cérébraux peut recommander que les soins soient coordonnés par
des unités et services spécialisés dans les accidents vasculaires cérébraux. Il peut exister un mécanisme de
financement spécial dans la région facilitant la création d’unités de soins spécialisées dans les accidents
vasculaires cérébraux.
ii. Une RPC sur la prise en charge du diabète en médecine générale peut impliquer que les patients soient vus
en consultation et suivis dans un service spécialisé dans le diabète. Le nombre de médecins disponibles dans
une région peut empêcher la création de cliniques.
Quoi regarder
Examiner le paragraphe ou le chapitre portant sur la diffusion ou l’application de la RPC ou, le cas échéant, les
documents supplémentaires portant sur les stratégies et plans particuliers d’application de la RPC. Voici
quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver ce genre d’information :
obstacles, utilisation de la RPC et indicateurs de la qualité.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• l’identification du type d’obstacles et d’éléments facilitateurs pris en compte;
• les méthodes utilisées pour obtenir de l’information sur les obstacles et les éléments facilitant l’application des
recommandations (commentaires des intervenants clés, essais pilotes des RPC avant leur application
généralisée);
• la description du type d’obstacles et d’éléments facilitateurs ayant émergé de l’enquête (les praticiens ont les
compétences pour offrir les soins recommandés, on ne dispose pas de suffisamment d’équipement pour
s’assurer que toutes les personnes admissibles passent une mammographie, etc.);
• la façon dont les données recueillies ont influé sur le processus d’élaboration de la RPC et/ou des
recommandations.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• La RPC suggère-t-elle des stratégies précises pour surmonter les obstacles?
36. APPLICABILITÉ
19. La RPC offre des conseils et/ou des outils sur les façons de mettre les
recommandations en pratique.
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Description du manuel d’utilisateur
Pour être efficace, la RPC diffusée et appliquée doit être accompagnée de documents supplémentaires.
Il peut s’agir, par exemple, d’un résumé, d’un court guide de référence, de matériel éducatif, de résultats
d’essais pilotes, de brochures pour les patients ou de support informatique. Ces documents devraient être
fournis avec la RPC.
Quoi regarder
Examiner le paragraphe portant sur la diffusion et l’application de la RPC et, le cas échéant, le matériel
d’accompagnement produit spécialement pour en faciliter la diffusion et l’application. Voici quelques exemples
de titre de sections ou de chapitres où l’on peut trouver ce genre d’information : outils, ressources, application
et annexes.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• une section de la RPC est consacrée à l’application;
• les outils et les ressources pour en faciliter l’application;
documents résumant la RPC,
liens vers les listes de contrôle, les algorithmes,
liens vers les manuels pratiques,
solutions liées à l’analyse des obstacles (voir élément 18),
outils pour tirer profit des éléments facilitateurs de la RPC (voir élément 18),
résultats des essais pilotes et leçons apprises;
• des instructions sur la façon dont les utilisateurs peuvent avoir accès aux outils et aux ressources.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Donne-t-on de l’information concernant l’élaboration des outils d’application et les procédures de validation?
37. APPLICABILITÉ
20. Les répercussions potentielles de l’application des recommandations sur les
ressources ont été examinées.
1
Fortement en
désaccord
2 3 4 5 6
7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
L’application des recommandations peut nécessiter des ressources supplémentaires : personnel spécialisé
supplémentaire, nouvel équipement, traitement médicamenteux onéreux, etc. Cela peut avoir des
conséquences sur les budgets destinés aux soins de santé. Les répercussions économiques de l’application
de la RPC devraient être discutées.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes portant sur la diffusion ou l’application de la RPC ou, le cas échéant, les documents
supplémentaires portant sur les stratégies et les plans particuliers d’application de la RPC. Certaines RPC
présentent les conséquences financières dans les paragraphes portant sur les preuves scientifiques et les
décisions relatives aux recommandations. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres où l’on
peut trouver ce genre d’information : méthodes, coûts des services, rapport coût-efficacité, coûts d’acquisition
et conséquences sur les budgets.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• l’identification du type d’information sur les coûts pris en compte (évaluations économiques, coût d’acquisition
des médicaments, etc.);
• les méthodes utilisées pour obtenir l’information sur les coûts (un économiste spécialisé en santé faisait partie
du groupe d’élaboration de la RPC, évaluations des technologies de la santé dans le cas de médicaments
précis, etc.);
• la description des renseignements sur les coûts ayant émergé de l’enquête (coûts d’acquisition de
médicaments par cycle de traitement);
• la façon dont les données recueillies ont été utilisées pour alimenter le processus d’élaboration de la RPC
et/ou la formulation des recommandations.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• A-t-on fait participer les experts appropriés à la collecte et à l’analyse d’information sur les coûts?
38. APPLICABILITÉ
21. La RPC propose des critères de suivi et de vérification.
1
Fortement en
désaccord
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7
Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
Mesurer l’application des recommandations de la RPC peut en faciliter l’utilisation. Cela nécessite des critères
clairement définis, dérivés des recommandations clés de la RPC. Ces critères peuvent inclurent des mesures
de processus, des mesures comportementales, des mesures des résultats cliniques ou des mesures des
résultats pour la santé. Voici quelques exemples de critères de contrôle et de vérification :
• l’HbA1c devrait être de < 8,0 %;
• le niveau de la tension artérielle diastolique devrait être de < 95 mmHg;
• 80 % de la population âgée de 50 ans devrait faire l’objet d’un dépistage du cancer colorectal par la
recherche de sang occulte dans les selles;
• en cas d’otite moyenne aiguë, si les symptômes persistent au-delà de trois jours, un traitement par
amoxicilline doit être entrepris.
Quoi regarder
Examiner le paragraphe ou le chapitre portant sur la vérification ou le contrôle de l’utilisation de la RPC ou, le
cas échéant, les documents supplémentaires portant sur les stratégies et les plans particuliers d’évaluation de
la RPC. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une recommandation où l’on peut
trouver ce genre d’information : recommandations, indicateurs de la qualité et critères de vérification.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• l’identification des critères d’évaluation de l’application de la RPC ou de l’adhésion aux recommandations;
• les critères d’évaluation des répercussions de l’application des recommandations;
• les conseils sur la fréquence et l’intervalle des évaluations;
• les descriptions ou les définitions opérationnelles sur la façon dont les critères devraient être mesurés.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Fournit-on des critères d’évaluation (mesures du processus, mesures du comportement, résultats cliniques,
résultats pour la santé, etc.)?
39. DOMAINE 6. INDÉPENDANCE ÉDITORIALE
22. Le point de vue des organismes de financement n’ont pas influencé le
contenu de la RPC.
23. Les intérêts divergents des membres du groupe ayant élaboré la RPC
ont été pris en charge et documentés.
40. INDÉPENDANCE ÉDITORIALE
22. Le point de vue des organismes de financement n’ont pas influencé le
contenu de la RPC.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
accord
Commentaires
Description du manuel d’utilisateur
De nombreuses RPC sont élaborées grâce à un financement externe (gouvernement, associations
professionnelles, organisations caritatives, entreprises pharmaceutiques, etc.). L’aide peut être apportée sous
forme de contribution financière pour l’ensemble du processus ou pour certaines parties uniquement
(l’impression des RPC, par exemple). Il devrait être clairement indiqué que les opinions ou les intérêts des
bailleurs de fonds n’ont pas influencé les recommandations finales.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes ou les chapitres portant sur le processus d’élaboration de la RPC ou la page de
remerciements. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une recommandation où l’on
peut trouver ce genre d’information : avertissements, avis de non-responsabilité et sources de financement.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• le nom de l’organisme de financement ou de la source de financement (ou indication explicite de l’absence de
financement);
• un énoncé précisant que l’organisme de financement n’a pas influencé le contenu de la RPC.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Comment le groupe d’élaboration de la RPC s’est-il attaqué au problème d’influence potentielle de
l’organisme de financement?
Le bâilleur de fonds est mentionné; aucune déclaration ne porte explicitement sur son
influence
41. INDÉPENDANCE ÉDITORIALE
23. Les intérêts divergents des membres du groupe ayant élaboré la RPC ont été
pris en charge et documentés.
1
Fortement en
désaccord
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Fortement en
accord
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Description du manuel d’utilisateur
Dans certaines circonstances des membres du groupe de travail peuvent avoir des intérêts divergents. Cela
pourrait notamment s’appliquer à un membre du groupe de travail dont la recherche sur un thème couvert par
la RPC est aussi financée par une compagnie pharmaceutique. Il devrait y avoir un énoncé explicite indiquant
que tous les membres du groupe de travail ont déclaré l’existence ou non d’intérêts divergents.
Quoi regarder
Examiner les paragraphes ou les chapitres portant sur le groupe de travail de la RPC ou la page de
remerciements. Voici quelques exemples de titre de sections ou de chapitres d’une RPC où l’on peut trouver
ce genre d’information : méthodes, conflits d’intérêts, groupe de travail et annexes.
Comment évaluer
Cet élément comprend les CRITÈRES suivants :
• la description du type d’intérêts divergents pris en compte;
• les méthodes utilisées pour faire ressortir les intérêts divergents potentiels;
• la description des intérêts divergents;
• la description de la façon dont les intérêts divergents ont influencé l’élaboration de la RPC et la formulation
des recommandations.
CONSIDÉRATIONS supplémentaires :
• L’élément est-il bien écrit? Les descriptions sont-elles claires et concises?
• L’élément est-il facile à trouver dans la RPC?
• Quelles mesures ont été prises pour minimiser l’influence des intérêts divergents sur l’élaboration de la RPC
ou la formulation des recommandations?
43. ÉVALUATION GÉNÉRALE DE LA RPC
Choisissez, pour chacune des questions suivantes, la réponse qui correspond le mieux
à la RPC évaluée :
1. Évaluez la qualité générale de la RPC.
1
De très mauvaise
qualité
2 3 4 5 6
7
D’excellente
qualité
2. Je recommanderais l’utilisation de la RPC.
Oui
Oui, avec certaines modifications.
Non
NOTES
Description du manuel d’utilisateur
L’évaluation générale exige que l’utilisateur de la Grille AGREE II évalue la qualité de la RPC en tenant compte
des éléments d’évaluation prévus dans le processus.
x
Le principal défaut de cette ligne directrice est le flou de la démarche
d'élaboration des recommandations à partir des données probantes.
45.
DOMAINE 1 : CHAMP ET OBJECTIFS
1. Le ou les objectifs de la RPC sont décrits explicitement.
1
Fortement en
désaccord
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accord
Commentaires
2. La ou les questions de santé couvertes par la RPC sont décrites explicitement.
1
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désaccord
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accord
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3. La population (patients, public, etc.) à laquelle la RPC doit s'appliquer est décrite
explicitement.
1
Fortement en
désaccord
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accord
Commentaires
46.
DOMAINE 2 : PARTICIPATION DES GROUPES CONCERNÉS
4. Le groupe ayant élaboré la RPC inclut des représentants de tous les groupes
professionnels concernés.
1
Fortement en
désaccord
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accord
Commentaires
5. Les opinions et les préférences de la population cible (patients, public, etc.) ont été
identifiées.
1
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accord
Commentaires
6. Les utilisateurs cibles de la RPC sont clairement définis.
1
Fortement en
désaccord
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accord
Commentaires
47. DOMAINE 3 : RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION
7. Des méthodes systématiques ont été utilisées pour rechercher les preuves
scientifiques.
1
Fortement en
désaccord
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accord
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8. Les critères de sélection des preuves sont clairement décrits.
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accord
Commentaires
9. Les forces et les limites des preuves scientifiques sont clairement définies.
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accord
Commentaires
48.
DOMAINE 3 : RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION (suite)
10. Les méthodes utilisées pour formuler les recommandations sont clairement
décrites.
1
Fortement en
désaccord
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11. Les bénéfices, les effets secondaires et les risques en terme de santé ont été pris
en considération dans la formulation des recommandations.
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12. Il y a un lien explicite entre les recommandations et les preuves scientifiques sur
lesquelles elles reposent.
1
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accord
Commentaires
49.
DOMAINE 3 : RIGUEUR D’ÉLABORATION DE LA RECOMMANDATION (suite)
13. La RPC a été revue par des experts externes avant sa publication.
1
Fortement en
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14. Une procédure d’actualisation de la RPC est décrite.
1
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accord
Commentaires
50.
DOMAINE 4 : CLARTÉ ET PRÉSENTATION
15. Les recommandations sont précises et sans ambiguïté.
1
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16. Les différentes options de prise en charge de l’état ou du problème de santé sont
clairement présentées.
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17. Les recommandations clés sont facilement identifiables.
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51. DOMAINE 5. APPLICABILITÉ
18. La RPC décrit les éléments facilitant son application et les obstacles.
1
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19. La RPC offre des conseils et/ou des outils sur les façons de mettre les
recommandations en pratique.
1
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accord
Commentaires
20. Les répercussions potentielles de l’application des recommandations sur les
ressources ont été examinés.
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21. La RPC propose des critères de suivi et de vérification.
1
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accord
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52.
DOMAINE 6 : INDÉPENDANCE ÉDITORIALE
22. Le point de vue des organismes de financement n'ont pas influencé le contenu de
la RPC.
1
Fortement en
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23. Les intérêts divergents des membres du groupe ayant élaboré la RPC ont été pris
en charge et documentés.
1
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53. ÉVALUATION GÉNÉRALE DE LA RPC
Choisissez, pour chacune des questions suivantes, la réponse qui correspond le mieux
à la RPC évaluée :
1. Évaluez la qualité générale de la RPC.
1
De très mauvaise
qualité
2 3 4 5 6
7
D’excellente
qualité
2. Je recommanderais l’utilisation de la RPC.
Oui
Oui, avec certaines modifications.
Non
NOTES