Plateforme Agroécologie 16.01.2014 Neuchâtel
1. Agroécologie et système alimentaire
2. Des systèmes / réseaux agroalimentaires alternatifs
3. Le cas de l’agriculture contractuelle de proximité (recherche)
4. Les stratégies alimentaires urbaines (aperçu)
5. Approche agro-éco-alimentaire ?
Note d'analyse - Les performances économiques et environnementales de l’agroé...France Stratégie
Le développement de l’agroécologie est une alternative souhaitable à l’agriculture « conventionnelle » pour engager la transition de notre système alimentaire vers la durabilité. Mais est-elle rentable ? Oui, suivant cette étude qui passe au crible de la littérature scientifique et de la modélisation vingt-trois référentiels relevant de l’agroécologie. L’agriculture biologique apparaît en particulier comme la plus performante d’un point de vue économique et environnemental aujourd’hui.
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/performances-economiques-environnementales-de-lagroecologie
Le Briefing de Bruxelles sur L’agroécologie au service des systèmes alimentaires durables organisé par le CTA, la Commission européenne/EuropeAid, le Secrétariat ACP, CONCORD et IPES-FOOD s’est tenu le mercredi 15 janvier 2020 de 9h00 à 13h00 au Secrétariat ACP, 451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, Salle C.
Ce briefing a examiné les concepts, tendances et perspectives des approches agroécologiques et leurs implications pour l’avenir des systèmes alimentaires. Des succès de terrain et modèles innovants d’agroécologie dans différentes parties du monde ont été présentés ainsi que les enseignements à en tirer pour les diffuser à plus grande échelle.
Note d'analyse - Les performances économiques et environnementales de l’agroé...France Stratégie
Le développement de l’agroécologie est une alternative souhaitable à l’agriculture « conventionnelle » pour engager la transition de notre système alimentaire vers la durabilité. Mais est-elle rentable ? Oui, suivant cette étude qui passe au crible de la littérature scientifique et de la modélisation vingt-trois référentiels relevant de l’agroécologie. L’agriculture biologique apparaît en particulier comme la plus performante d’un point de vue économique et environnemental aujourd’hui.
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/performances-economiques-environnementales-de-lagroecologie
Le Briefing de Bruxelles sur L’agroécologie au service des systèmes alimentaires durables organisé par le CTA, la Commission européenne/EuropeAid, le Secrétariat ACP, CONCORD et IPES-FOOD s’est tenu le mercredi 15 janvier 2020 de 9h00 à 13h00 au Secrétariat ACP, 451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, Salle C.
Ce briefing a examiné les concepts, tendances et perspectives des approches agroécologiques et leurs implications pour l’avenir des systèmes alimentaires. Des succès de terrain et modèles innovants d’agroécologie dans différentes parties du monde ont été présentés ainsi que les enseignements à en tirer pour les diffuser à plus grande échelle.
Etude de l'association La Rigole menée par Julien Chapeau sur les relations entre la permaculture et l'agriculture avec des entretiens avec les acteurs majeurs de la permaculture en France.
La Bretagne produit 19% de la production nationale de légumes. Les légumes les plus cultivés sont les choux (dont le chou-fleur avec 82% de la surfaces nationale), les artichauts (79%) et l’échalote de tradition (78%).
"Les animateurs des 6 ateliers de travail présentent leurs conclusions :
- Jean-Michel Meunier (Sakata) pour l'atelier 1 : Amélioration variétale et nutrition des plantes.
- Dominique Didelot (IRSTEA) pour l'atelier 2 : Les technologies au service de la nutrition des plantes.
- Cédric Bertrand (Université de Perpignan, LCBE) pour l'atelier 3 : Potentiel des extraits de plantes et microbiens.
- Laurent Augier (Agrimip Innovation) pour l'atelier n°4 : Performance du système racinaire et inoculants microbiens.
- Jean Michel Médoc (CIRAD) pour l'atelier 5 : Optimiser la gestion des matières organiques.
- Olivier Zébic (Cabinet Zébic) pour l'atelier n°6 : Sait-on ferti-irriguer la vigne ?
Clôture des Rencontres par Jean-Michel Meunier (Sakata)."
Rapport comparée des politiques et des actions déclarées en faveur de la biod...ActeurDurable
La biodiversité est à la base de l’ensemble de l’économie et donc du bon fonctionnement des entreprises. Le monde du vivant génère du business dont l’Homme tire des bénéfices. Cependant les ressources sont de plus en plus dégradées comme le montre le rapport du MEA & TEEB, un groupement de plus de 1300 scientifiques internationaux. Afin d’évaluer l’engagement des grandes entreprises françaises sur le sujet, B&L évolution a réalisé un référentiel de notation des politiques de biodiversité des entreprises. Ce modèle a ensuite été appliqué aux sociétés du CAC40 afin d’effectuer un classement en matière de démarches RSE des entreprises françaises en bourse. Résultats, classement, critiques et analyses dans ce rapport.
Journée Alimentation et Agro-écologie 15/02/2019 - Slide ateliersseverinlavoyer
Reconnecter agriculture et alimentation pour préserver notre santé et notre environnement
Michel DURU (Directeur de Recherche à l’INRA)
Jean-Luc BESSET (Responsable régional Bleu Blanc Coeur)
15 février 2019, Hôtel de Région, Toulouse
Journée organisée par l'Association Française d'Agroforesterie et le mouvement Pour une Agriculture Du Vivant dans le cadre du programme Agr'eau, en partenariat avec la région Occitanie et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne.
Notre corps nécessite de la nourriture, de l'eau et de l'air pour maintenir ses fonctions vitales. La nature économique de ces ressources est plutôt variée, la nourriture étant considérée comme un bien privé, l'eau étant soumise un processus de privatisation accélérée, et l'air étant (jusqu'à présent) considéré comme un bien commun mondial. La nature économique de la nourriture a évolué du statut d’une ressource commune et locale à un actif national et ensuite à une « commodity » transnational. Le processus de marchandisation est quasiment achevé aujourd'hui. La nourriture cultivée est entièrement privatisée et cette considération signifie que les êtres humains ne peuvent manger de la nourriture que tant qu'ils disposent de moyens pour l’acheter ou la produire. Certains de ces moyens sont également considérés comme des biens privés (terre, de produits agrochimiques), mais pas tous (semences, la pluie, les connaissances agricoles). En vertu du raisonnement dominant « pas d'argent - pas de nourriture », la faim prévaut encore dans un monde d'abondance. Afin de fournir une base solide pour la transition vers des systèmes alimentaires durables, cette présentation se propose de contester et de réviser la nature même de la nourriture comme un bien purement privé, en proposant une re-conceptualisation de la nourriture comme un bien commun. Cette re-conceptualisation semble nécessaire pour permettre la refonte du système alimentaire agro-industriel dominant qui voit la nourriture seulement comme une marchandise. Cette transition ambitieuse doit nous conduire à un système alimentaire plus durable, plus juste et axés sur les agriculteurs. La notion de bien commun est appliquée à l'alimentation pour déconstruire la conception de la nourriture comme un bien privé pur et la reconstruire à partir de la notion de bien commun impur. Muni d’une telle re-conceptualisation de la nourriture, il devient possible de défendre l’idée que sa production et sa distribution soit assurée de façon plus efficace par un système de gouvernance tri-centrique intégrant non seulement les règles du marché, mais aussi les réglementations publiques d’un état-partenaire et les actions collectives des citoyens (producteurs et consommateurs). Plusieurs éléments liés à l'alimentation sont déjà considérés comme des biens communs : les stocks de poissons, les fruits sauvages, les recettes de cuisine, certaines connaissances agricoles, les règles de sécurité alimentaire et les ressources génétiques non brevetées, ainsi que les implications de la nourriture (l'éradication de la faim, la santé publique et une bonne nutrition). Si la nourriture était considéré comme un bien commun, les implications pour la gouvernance du système alimentaire mondial seraient considérables, avec des exemples allant de placer les aliments en dehors des accords-cadres concernant les biens privés purs (comme l‘OMC), l'i
Pas de développement durable sans l’élimination de la faim Sur la voie de Rio+20, la FAO appelle à un avenir plus sain pour les hommes et pour les écosystèmes
Réduire l’usage, les risques et les impacts des produits phytosanitaires.
Réduire de 25% l’utilisation des produits phytosanitaires d’ici à 2020 en généralisant et optimisant l’ensemble des solutions techniques disponibles actuellement.
Réduire de 50% l’utilisation des produits phytosanitaires d’ici à 2025 en faisant appel à des nouvelles techniques innovantes et en faisant appel à une mutation profonde des systèmes de production.
Transformations agroécologiques pour des systèmes alimentaires durablesAgropolis International
Dossier Thematique Agropolis . La Commission française pour la recherche agricole internationale (CRAI) et Agropolis International, au nom du CIRAD, d'INRAE et de l'IRD et en partenariat avec CGIAR, ont réalisé ce nouveau numéro de la série Les dossiers d'Agropolis international, avec le soutien des ministères français des Affaires étrangères et de l'Agriculture. Le choix du thème de l'agroécologie est l'une des priorités du plan d'action France-CGIAR signé le 4 février 2021.
L'agriculture n'échappe pas aux mutations économiques et sociologiques en cours. Et c'est une bonne nouvelle ! Agriculteur entrepreneur et autonome, co-créativité, économie circulaire, telles sont les clés de l'agriculture en devenir
Une vague d’activisme et de projets novateurs axés sur les biens communs gagne du terrain dans le monde. Pour une démocratie alimentaire, la nourriture doit faire partie des biens communs. Cet présentation propose quinze mesures politiques, juridiques et financières pour valoriser et gérer l’alimentation comme un bien commun en Europe.
Etude de l'association La Rigole menée par Julien Chapeau sur les relations entre la permaculture et l'agriculture avec des entretiens avec les acteurs majeurs de la permaculture en France.
La Bretagne produit 19% de la production nationale de légumes. Les légumes les plus cultivés sont les choux (dont le chou-fleur avec 82% de la surfaces nationale), les artichauts (79%) et l’échalote de tradition (78%).
"Les animateurs des 6 ateliers de travail présentent leurs conclusions :
- Jean-Michel Meunier (Sakata) pour l'atelier 1 : Amélioration variétale et nutrition des plantes.
- Dominique Didelot (IRSTEA) pour l'atelier 2 : Les technologies au service de la nutrition des plantes.
- Cédric Bertrand (Université de Perpignan, LCBE) pour l'atelier 3 : Potentiel des extraits de plantes et microbiens.
- Laurent Augier (Agrimip Innovation) pour l'atelier n°4 : Performance du système racinaire et inoculants microbiens.
- Jean Michel Médoc (CIRAD) pour l'atelier 5 : Optimiser la gestion des matières organiques.
- Olivier Zébic (Cabinet Zébic) pour l'atelier n°6 : Sait-on ferti-irriguer la vigne ?
Clôture des Rencontres par Jean-Michel Meunier (Sakata)."
Rapport comparée des politiques et des actions déclarées en faveur de la biod...ActeurDurable
La biodiversité est à la base de l’ensemble de l’économie et donc du bon fonctionnement des entreprises. Le monde du vivant génère du business dont l’Homme tire des bénéfices. Cependant les ressources sont de plus en plus dégradées comme le montre le rapport du MEA & TEEB, un groupement de plus de 1300 scientifiques internationaux. Afin d’évaluer l’engagement des grandes entreprises françaises sur le sujet, B&L évolution a réalisé un référentiel de notation des politiques de biodiversité des entreprises. Ce modèle a ensuite été appliqué aux sociétés du CAC40 afin d’effectuer un classement en matière de démarches RSE des entreprises françaises en bourse. Résultats, classement, critiques et analyses dans ce rapport.
Journée Alimentation et Agro-écologie 15/02/2019 - Slide ateliersseverinlavoyer
Reconnecter agriculture et alimentation pour préserver notre santé et notre environnement
Michel DURU (Directeur de Recherche à l’INRA)
Jean-Luc BESSET (Responsable régional Bleu Blanc Coeur)
15 février 2019, Hôtel de Région, Toulouse
Journée organisée par l'Association Française d'Agroforesterie et le mouvement Pour une Agriculture Du Vivant dans le cadre du programme Agr'eau, en partenariat avec la région Occitanie et l'Agence de l'Eau Adour-Garonne.
Notre corps nécessite de la nourriture, de l'eau et de l'air pour maintenir ses fonctions vitales. La nature économique de ces ressources est plutôt variée, la nourriture étant considérée comme un bien privé, l'eau étant soumise un processus de privatisation accélérée, et l'air étant (jusqu'à présent) considéré comme un bien commun mondial. La nature économique de la nourriture a évolué du statut d’une ressource commune et locale à un actif national et ensuite à une « commodity » transnational. Le processus de marchandisation est quasiment achevé aujourd'hui. La nourriture cultivée est entièrement privatisée et cette considération signifie que les êtres humains ne peuvent manger de la nourriture que tant qu'ils disposent de moyens pour l’acheter ou la produire. Certains de ces moyens sont également considérés comme des biens privés (terre, de produits agrochimiques), mais pas tous (semences, la pluie, les connaissances agricoles). En vertu du raisonnement dominant « pas d'argent - pas de nourriture », la faim prévaut encore dans un monde d'abondance. Afin de fournir une base solide pour la transition vers des systèmes alimentaires durables, cette présentation se propose de contester et de réviser la nature même de la nourriture comme un bien purement privé, en proposant une re-conceptualisation de la nourriture comme un bien commun. Cette re-conceptualisation semble nécessaire pour permettre la refonte du système alimentaire agro-industriel dominant qui voit la nourriture seulement comme une marchandise. Cette transition ambitieuse doit nous conduire à un système alimentaire plus durable, plus juste et axés sur les agriculteurs. La notion de bien commun est appliquée à l'alimentation pour déconstruire la conception de la nourriture comme un bien privé pur et la reconstruire à partir de la notion de bien commun impur. Muni d’une telle re-conceptualisation de la nourriture, il devient possible de défendre l’idée que sa production et sa distribution soit assurée de façon plus efficace par un système de gouvernance tri-centrique intégrant non seulement les règles du marché, mais aussi les réglementations publiques d’un état-partenaire et les actions collectives des citoyens (producteurs et consommateurs). Plusieurs éléments liés à l'alimentation sont déjà considérés comme des biens communs : les stocks de poissons, les fruits sauvages, les recettes de cuisine, certaines connaissances agricoles, les règles de sécurité alimentaire et les ressources génétiques non brevetées, ainsi que les implications de la nourriture (l'éradication de la faim, la santé publique et une bonne nutrition). Si la nourriture était considéré comme un bien commun, les implications pour la gouvernance du système alimentaire mondial seraient considérables, avec des exemples allant de placer les aliments en dehors des accords-cadres concernant les biens privés purs (comme l‘OMC), l'i
Pas de développement durable sans l’élimination de la faim Sur la voie de Rio+20, la FAO appelle à un avenir plus sain pour les hommes et pour les écosystèmes
Réduire l’usage, les risques et les impacts des produits phytosanitaires.
Réduire de 25% l’utilisation des produits phytosanitaires d’ici à 2020 en généralisant et optimisant l’ensemble des solutions techniques disponibles actuellement.
Réduire de 50% l’utilisation des produits phytosanitaires d’ici à 2025 en faisant appel à des nouvelles techniques innovantes et en faisant appel à une mutation profonde des systèmes de production.
Transformations agroécologiques pour des systèmes alimentaires durablesAgropolis International
Dossier Thematique Agropolis . La Commission française pour la recherche agricole internationale (CRAI) et Agropolis International, au nom du CIRAD, d'INRAE et de l'IRD et en partenariat avec CGIAR, ont réalisé ce nouveau numéro de la série Les dossiers d'Agropolis international, avec le soutien des ministères français des Affaires étrangères et de l'Agriculture. Le choix du thème de l'agroécologie est l'une des priorités du plan d'action France-CGIAR signé le 4 février 2021.
L'agriculture n'échappe pas aux mutations économiques et sociologiques en cours. Et c'est une bonne nouvelle ! Agriculteur entrepreneur et autonome, co-créativité, économie circulaire, telles sont les clés de l'agriculture en devenir
Une vague d’activisme et de projets novateurs axés sur les biens communs gagne du terrain dans le monde. Pour une démocratie alimentaire, la nourriture doit faire partie des biens communs. Cet présentation propose quinze mesures politiques, juridiques et financières pour valoriser et gérer l’alimentation comme un bien commun en Europe.
Cybercriminalité: comment agir dès aujourd'huiWavestone
Avec le développement du numérique dans les entreprises et les administrations, les risques liés à la cybercriminalité augmentent à grande vitesse. Et ce n’est pas
seulement de la science-fiction !
Présentation qui accompagne la conférence que le Concierge Marketing a donné lors de l'édition 2013 du congrès de la Société des Attractions Touristiques du Québec (SATQ) et Festivals et Événements Québec (FEQ).
La commandite des relations humaines
El documento discute el derecho internacional, incluyendo sus fuentes como tratados, costumbres y principios generales. También analiza el concepto de sociedad internacional versus comunidad internacional. Finalmente, sugiere abordar más analíticamente el principio del Uti Possidetis Juris y su aplicación al conflicto entre Colombia y Nicaragua sobre sus fronteras marítimas.
Biblissima : une nouvelle bibliothèque des bibliothèques du moyen âge et de l...SemWebPro
Début 2017 le portail Biblissima donnera un accès unifié à 50 bases de données via une application web sémantique, dont un premier prototype a été réalisé au printemps 2015 autour de deux bases iconographiques “Initiale” et “Mandragore”. Il est aujourd’hui librement accessible à cette adresse : http://nossl.demo.logilab.fr/biblissima/.
L’information est structurée selon les caractéristiques complexes d’un objet physique de type manuscrit ou incunable, jusqu’au niveau de la page (description d’une enluminure). De plus, un livre fait partie d’une collection actuelle et a fait partie d’une ou de plusieurs collections anciennes. Ensuite il contient un ou plusieurs textes et plusieurs personnes sont intervenues lors de sa production. Pour créer un pont sémantique entre les différentes ressources à intégrer dans le portail Biblissima, nous avons aligné différentes entités présentes dans les bases d’origine (les intervenants, les établissements de conservation, les textes, les lieux d’origine et de conservation ainsi que des descripteurs géographiques reliés à des enluminures) vers des référentiels externes comme data.bnf.fr, VIAF et GeoNames. Grâce aux alignements des lieux, un thésaurus des noms géographiques est en développement et en partie intégré dans les pages sur les lieux. L’utilisation des principes du web sémantique permet d’enrichir les données des bases d’origine (intégration des coordonnées géographiques, hiérarchisation de noms géographiques dans le thésaurus, etc.)
Le RDF exposé via le prototype rend compte de la complexité des objets traités et réutilise les vocabulaires CIDOC CRM, FRBRoo et SKOS. La structure physique du livre se retrouve également dans l’affichage de l’objet numérisé via le visualiseur open source Mirador, développé à Stanford University Library. Selon le modèle de données Shared Canvas, un sc:canvas est un espace abstrait qui représente la page ou le feuillet numérisé, un sc:range correspond à la numérisation d’une unité intellectuelle de l’objet et une sc:sequence est l’ordre des images de la numérisation intégrale. Enfin, l’enluminure se trouve sur une zone spécifique du canvas . Biblissima a donc conçu une transformation des données, récupérées de Gallica et d’un entrepôt OAI de la BnF, qui assure l’affichage du folio numérisé correspondant à l’enluminure décrite dans le prototype, lien absent des bases d’origine. La démonstration montrera le prototype Biblissima à partir d’exemples et de visualisations tels que : accéder aux données fournies par le prototype via la liste “oeuvres”. On montrera par exemple toutes les enluminures issues du prototype illustrant la “ Psychomachie” de Prudence.
Par Stefanie Gehrke (Biblissima)
El documento ofrece consejos sobre cómo practicar el periodismo en la actualidad. Primero, los periodistas deben conocer la misión y el perfil del periodismo. Segundo, deben reconocer los escenarios sociales y mediáticos. Sin embargo, el periodismo enfrenta varios obstáculos como la crisis social, la digitalización, la precarización laboral y el relativismo. Para superar esta crisis, los periodistas deben comprometerse con la formación continua, el conocimiento de la realidad y la capacidad de abordar dilemas con una actitud y metodología v
Peter Parker es un estudiante que fue abandonado por sus padres cuando era niño. Al descubrir un misterioso maletín que perteneció a su padre, comienza a buscar respuestas sobre la desaparición de sus padres.
Los superhéroes Iron Man, Hulk, Thor, Capitán América, Hawkeye y Black Widow se unen bajo la dirección de Nick Fury para salvar al mundo de un enemigo inesperado que amenaza la seguridad global.
El Capitán Escudo es un súper héroe ecu
Avis présenté par Mme Cécile Claveirole, au nom de la section de l'agriculture, de la pêche et de l'alimentation.
Dans un contexte profondément marqué par la dérégulation de certains marchés et la mondialisation, l’agriculture française fait aujourd’hui face à des défis majeurs : économiques, sociaux, alimentaires, sanitaires, environnementaux, sociétaux, territoriaux et techniques. Discipline scientifique au carrefour de l’agronomie et de l’écologie, l’agroécologie peut, à travers les pratiques qu’elle promeut, contribuer à relever ces défis en transformant l’agriculture pour aller vers des systèmes alimentaires plus durables.
A partir d’une analyse des freins et des leviers à son développement, le CESE formule un ensemble de préconisations en matière de recherche, de formation, d’adaptation des filières agroalimentaires, de réorientation des politiques publiques pour accompagner les agriculteur.rice.s dans la transition agroécologique.
Semences. Le GNIS veut élargir l'offre variétaleGuyon Jacky
"Plus que jamais, les objectifs du plan de filière Semences et Plants, "Élargir l’offre variétale" et "Diffuser la biodiversité" sont à l’ordre du jour", affirme le GNIS (Groupement National Interprofessionnel des Semences et plants) après la décision du Conseil Constitutionnel d'interdire la vente libre des semences.
Il s’agit notamment de faciliter les conditions d’inscription des variétés anciennes, d’assurer le maintien des variétés du domaine public, de pouvoir mettre en marché du matériel hétérogène ou de faciliter l’homologation de petits opérateurs.
Pour preuve de cette volonté, le GNIS s'appuie sur son "plan de filière semences et plants" et notamment les objectifs 3.2 et 3.3, que nous publions dans ce docuement.
Dans le cadre de l'animation du réseau des acteurs des démarches alimentaires de Nouvelle-Aquitaine, PQN-A a organisé un cycle de rencontres. Les 1ère rencontres de ce cycle étaient dédiées aux questions de méthodologie autour des Projets Alimentaires Territoriaux.
Le pouvoir d’achat : 10 leçons sur la manière d’augmenter l’approvisionnement...Rad Fsc
Le Réseau pour une alimentation durable et la Fondation de la famille J. W. McConnell publient conjointement un rapport intitulé Le pouvoir d’achat : 10 leçons sur la manière d’augmenter l’approvisionnement des écoles, des hôpitaux et des campus en aliments locaux, sains et savoureux. Ce dernier décrit les leçons que nous avons apprises sur la manière de rendre l’approvisionnement alimentaire des établissements plus durable — que cela concerne les critères servant à déterminer ce qu’est un aliment « local », la manière de tirer profit des contrats d’approvisionnement, l’instauration d’une culture alimentaire dans les établissements, ou le changement politique —, de même que les occasions de mener ce travail de transformation à une plus grande échelle.
Co-construire les projets et leur transférabilité. L’expérience du Projet AAPRISS : Apprendre et agir pour réduire les inégalités de santé
Présentation de Thierry Lang au colloque "Recherche interventionnelle contre le cancer : Réunir chercheurs, décideurs et acteurs de terrain » - 17 et 18 novembre 2014, BnF, Paris
ETUDE DE TENDANCES « RESTAURATION ET DÉVELOPPEMENT DURABLE » (2010)Utopies
Alors qu’une étude américaine de 2010 menée auprès des professionnels de la restauration commerciale plaçait l’approvisionnement local et le développement durable en tête des tendances de la restauration plébiscitées pour l’année à venir, UTOPIES a publié la même année, en partenariat avec Mescoursespourlaplanete.com, une étude de tendances sur le thème « Restauration commerciale et Développement Durable ».
Cette étude de tendances répond à des objectifs multiples :
• D’abord, sensibiliser le secteur aux enjeux et opportunités liés au développement durable, dans un contexte où les Pouvoirs Publics se mobilisent sur le sujet (avec le futur Programme National de l’Alimentation), où les clients sont demandeurs d’engagements (45% des consommateurs français souhaitent désormais se voir proposer des repas bio au restaurant, et deux Américains sur cinq intègrent désormais des critères environnementaux au choix d’un restaurant), où les acteurs les plus importants sont de plus en plus questionnés sur leurs pratiques par les ONG ou les médias, et où enfin l’engagement visible de quelques chefs et restaurants différencie désormais leur discours et leur offre.
• Ensuite, inspirer les futures stratégies d’innovation des acteurs du secteur en leur proposant un panorama international des bonnes pratiques émergentes – qu’il s’agisse de restauration rapide ou gastronomique, de cafés-brasseries, d’enseignes de renom international ou de petits restaurants indépendants. Restaurant construit en matériaux recyclés ou « verts », recours aux énergies renouvelables, limitation des kilomètres alimentaires et préférence aux produits locaux, carte élaborée avec des ingrédients bio ou équitables, préférence aux produits frais sans additifs de synthèse, compostage ou recyclage des déchets organiques, menus voire même jours entièrement végétariens, affichage et minimisation de l’empreinte carbone, lutte contre le gaspillage alimentaire, livraison en véhicules électriques ou vélos, ateliers pédagogiques pour petits et grands gourmands, etc. : la liste est longue ce qu’il est possible de faire, la preuve – d’autres restaurants l’ont fait !
• Enfin, donner des pistes d’engagement simples et concrètes à chaque restaurateur, de la communication sur l’origine des produits à l’affichage de labels, en passant par l’engagement nutritionnel, la diversité des ingrédients et des saveurs, le respect des espèces de poisson menacées, la préférence aux produits locaux, les économies d’énergie ou d’eau, la construction et l’aménagement écologiques des restaurants ou la sensibilisation des clients. Un quiz final permet même d’auto-évaluer sa démarche et d’identifier les points de progrès les plus significatifs.
Coordinateurs scientifiques :Jean-Louis Rastoin, Montpellier SupAgro, Chaire UNESCO “ Alimentations du monde ”
Equipe de coordination Agropolis International : Sylvie Albert & Fabien Boulier
Ce dossier présente 15 unités de recherche et unités mixtes de recherche de la région Languedoc-Roussillon et d’Avignon, regroupant plus de 700 scientifiques et près de 500 doctorants, qui tentent, à travers tout ou partie de leurs activités, de faire face aux grands enjeux actuels de l’alimentation, de la nutrition et de la santé.
Egalement dans ce dossier des présentations : des acteurs de l’innovation en région Languedoc-Roussillon dans le domaine, des plateformes technologiques régionales au service de la recherche, ainsi que des dispositifs de formation supérieure : 42 formations diplômantes et 27 formations courtes non diplômantes.
Conférence prononcée par Jean Pierre Poulain,
"Les modèles alimentaires. Ressource centrale de l’ethno-diversité" dans le cadre de
Slow Food Conference
"Ensuring food diversity and safety in Europe"
22 October 2010, Torino, Italia
Le briefing de Bruxelles sur le développement n. 57 sur « Investir dans l'agriculture paysanne pour la sécurité alimentaire et la nutrition » organisé par le CTA, la Commission européenne / EuropeAid, et le secrétariat ACP s'est tenu le mercredi 11 septembre 2019 de 9h00 à 13h00 au Secrétariat ACP, 451 Avenue Georges Henri, 1200 Bruxelles, Salle C. Ce briefing a examiné l’agriculture paysanne et son rôle clé dans la mise en œuvre de la sécurité alimentaire/nutrition et de systèmes alimentaires durables, comme l'illustre par l'ODD 2.
Intervention de Patricia Cortijo, manager, cabinet UTOPIES conseil en stratégie DD, dans le cadre des 3e rencontres nationales communication et développement durable organisées par Cap'Com le 22 septembre 2011 à Angers
Similaire à Redéfinir les liens producteurs-consommateurs: place des paysans dans la stratégie alimentaire des villes - Julien Vuilleumier (20)
Formation M2i - Onboarding réussi - les clés pour intégrer efficacement vos n...M2i Formation
Améliorez l'intégration de vos nouveaux collaborateurs grâce à notre formation flash sur l'onboarding. Découvrez des stratégies éprouvées et des outils pratiques pour transformer l'intégration en une expérience fluide et efficace, et faire de chaque nouvelle recrue un atout pour vos équipes.
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Différents textes relatifs à des épisodes de guerre, écrits par, ou concernant des membres de ma famille. Cette deuxième version est augmentée et passe de 88 à 128 pages. Les textes sont classés dans l'ordre chronologiques :
Guerres napoléoniennes,
Première guerre mondiale,
Deuxième guerre mondiale.
Bonne lecture,
Michel Bruley
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 12-06-24BenotGeorges3
Les informations et évènements agricoles en province du Luxembourg et en Wallonie susceptibles de vous intéresser et diffusés par le SPW Agriculture, Direction de la Recherche et du Développement, Service extérieur de Libramont.
Le fichier :
Les newsletters : https://agriculture.wallonie.be/home/recherche-developpement/acteurs-du-developpement-et-de-la-vulgarisation/les-services-exterieurs-de-la-direction-de-la-recherche-et-du-developpement/newsletters-des-services-exterieurs-de-la-vulgarisation/newsletters-du-se-de-libramont.html
Bonne lecture et bienvenue aux activités proposées.
#Agriculture #Wallonie #Newsletter #Recherche #Développement #Vulgarisation #Evènement #Information #Formation #Innovation #Législation #PAC #SPW #ServicepublicdeWallonie
Newsletter SPW Agriculture en province du Luxembourg du 12-06-24
Redéfinir les liens producteurs-consommateurs: place des paysans dans la stratégie alimentaire des villes - Julien Vuilleumier
1. REDÉFINIR LES LIENS PRODUCTEURS – CONSOMMATEURS :
PLACE DES PAYSANS DANS LA STRATÉGIE ALIMENTAIRE DES
VILLES
Plateforme Agroécologie | 16.01.2014 | Neuchâtel
Julien Vuilleumier
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
2. PLAN
1. Agroécologie et système alimentaire
2. Des systèmes / réseaux agroalimentaires alternatifs
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5. Approche agro-éco-alimentaire ?
Julien Vuilleumier
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3. AGROÉCOLOGIE ET SYSTÈME ALIMENTAIRE
« Nous définissions l’agroécologie comme l’étude intégrative de
l’écologie du système alimentaire dans son entier, englobant ses
dimensions écologiques, économiques et sociales. »
(Francis et al. 2003, Agroecology: The Ecology of Food Systems)
« Le système agricole est un système ouvert, interagissant avec la
nature et la société; et le développement d’un système alimentaire
durable requiert une attention accrue quant à l’efficience du
processus de conversion des ressources naturelles à ce qui atteint
les tables des consommateurs. Cela inclut l’analyse de la production,
de la transformation, du marketing et de la consommation
alimentaire. » (id.)
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
4. SYSTÈME ALIMENTAIRE
« Un système alimentaire est l’ensemble des agents, des
services et des institutions en charge de la production, de la
transformation, de la distribution, de l’accès, de la consommation
et du stockage de la nourriture. »
(Rastoin 2010, Le système alimentaire mondial )
Système aux croisements de :
•
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ressources : naturelles, économiques, matérielles, humaines
externalités : environnementales, économiques, socioculturelles
acteurs : producteurs, transformateurs, régulateurs, consommateurs
enjeux : politiques, économiques, environnementaux, sanitaires, sociaux
échelles : système global, national, régional, local
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
5. FOOD APPROACH
• Comprendre l’entier des filières et systèmes agro-alimentaires.
Accent sur l’aliment et sa trajectoire: enjeux et acteurs liés aux
différentes étapes de la filière en termes de gouvernance, de coûts…
• Approche inter- ou trans-disciplinaire (agronomie, économie,
géographie, sciences politiques, la sociologie)
Compréhension et critique des systèmes / filières agro-alimentaires
conventionnels (agro-industriel) : description de leur fonctionnements,
coûts, externalités, relations de pouvoir => non durabilité
Description et analyse de systèmes alimentaires / réseaux dits
alternatifs déclinent différemment ces dimensions du système alimentaire
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
6. SYSTÈMES / RÉSEAUX AGROALIMENTAIRES ALTERNATIFS
Diversité de phénomènes émergents en lien avec l’alimentation et de
nouvelles formes de filières agroalimentaires tels que :
• Différentes formes de vente directe (marchés paysans, vente ou
cueillette à la ferme)
• Associations entre producteurs et consommateurs (coopératives,
ACP)
• Production directe par des consommateurs (jardins communautaires
ou scolaires, agriculture urbaine)
• Structures et administrations d’approvisionnement et de
planification alimentaires (food policy councils, stratégies alimentaires
urbaines)
• Marques d’attachement des productions à un territoire (IGP, AOP, slow
food)
• Modes de production et filières intégrées (agriculture biologique,
biodynamique)
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
7. SYSTÈMES / RÉSEAUX AGROALIMENTAIRES ALTERNATIFS (2)
Caractéristiques (plus ou moins) communes:
• Production et la consommation d’aliments : plus étroitement liées au
niveau spatial, économique et social
• Relocalisation des systèmes alimentaires
• Reconfiguration des liens entre producteurs et consommateurs :
confiance, solidarité, association
• Centralité des qualités du produit (aliment)
• Principes éthiques / politiques (bien public, justice sociale, écologie …)
• Nouvelles formes d’associations politiques et d’organisation des
marchés
• Participation (potentielle) de différents acteurs impliqués
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
8. AGRICULTURE CONTRACTUELLE DE PROXIMITÉ (RECHERCHE)
Titre : Partenariats entre agriculteurs et
consommateurs : vers une intégration
innovante de productions et de
comportements alimentaires durables ?
Cadre : PNR 69 « Alimentation saine et
production alimentaire durable »
Objet : inititatives d’agriculture
contractuelle de proximité (ACP) en
Suisse romande (études de cas)
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
9. ACP (RECHERCHE)
Objectifs:
Analyser l’organisation d’initiatives d’ACP et leur portientel de :
• Promouvoir et intégrer à la fois des habitudes alimentaires et
une production / livraison plus durables
• Redéfinir et optimiser le système alimentaire en établissant un
dialogue – une coopération entre producteurs et consommateurs
Analyser les changements sociaux et les effets induits par les
ACP:
• Sur les choix et les habitudes alimentaires quotidiens des
consommateurs et sur les connaissances (pratiques) à propos du
système alimentaire
• Sur les pratiques agricoles en termes de choix de production,
d’organisation de l’approvisionnement et des impacts
environnementaux
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
10. ACP (RECHERCHE)
Apports et réflexions
• Comprendre le fonctionnement de ces systèmes et approfondir les
conditions, les modalités et les effets de la relation entre producteurs
et consommateurs
• Mécanisme de contrôle, de suivi (monitoring) sur la qualité et les
conditions de production des produits agricoles
• Articulation entre enjeux de santé et enjeux de durabilité
(environnementale, économique et sociale)
• Réflexions quant aux conditions (organisationnelles, structurelles,
légales, politiques) de mise en place d’initiatives ACP durables et
résilientes
• Ré-appropriation des filières et du système par les acteurs : quels
enjeux et quelles limites ?
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
11. STRATÉGIES ALIMENTAIRES URBAINES
« Une stratégie alimentaire urbaine est un
processus intégrant comment une ville
envisage un changement de son
système alimentaire et comment elle
procède pour agir en direction de ce
changement.
La stratégie alimentaire urbaine vise à
placer l’alimentation dans l’agenda
urbain, en capitalisant sur les efforts des
acteurs existants et en créant des
synergies en liant différents groupes de
partenaires. »
Urban Food
Strategies
The Rough Guide to Sustainable
Food Systems
FOODLINKS - Urban Food Strategies : the
rough guide to sustainable food systems
www.foodlinkscommunity.net
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
12. STRATÉGIES ALIMENTAIRES URBAINES
Comment intégrer / favoriser / concevoir des systèmes agroalimentaires plus intégratifs, durables et résilients pour les villes (ou
zones urbaines) ?
Influences potentielles par :
• Instruments légaux ou financiers (régulation, aménagement,
subsides, dépenses publiques, …)
• Stratégie de communication, sensibilisation et apprentissage
(campagnes, ateliers, …)
• Développement (ou soutien) d’activités, d’initiatives et de projets
concrets (filières courtes, ACP, agriculture urbaine, …)
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
13. STRATÉGIES ALIMENTAIRES URBAINES
Instruments :
• Approvisionnement public : utilisation du pouvoir d’achat pour
influencer le système alimentaire (aliments sains, biologiques, locaux…)
• Aménagement spatial / territorial : faciliter la production locale en
désignant (mettant à disposition) des terres pour l’agriculture
(péri)urbaine et le jardinage
• Infrastructures : facilitation et soutien aux circuits courts
Exemples / cas :
• Bâle – www.urbanagriculturebasel.ch
• Genève – intégration de l’agriculture urbaine, label « Genève Région –
Terre d’avenir », Agenda 21 – soutien aux ACP
• Bienne – www.vision2035.ch
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
14. REVOIR LES LIENS PRODUCTEURS – CONSOMMATEURS
• Reconfiguration des liens au sein des circuits courts et en
particulier des modèles de partenariat (type ACP)
• Lien potentiel (avec d’autres acteurs) dans le cadre de réflexion et de
mise en place de stratégies alimentaires. Force de proposition
commune dans des changements locaux
• Rôle des paysans dans ces stratégies : force de proposition
(démonstration par les pratiques) et d’innovation en regard direct des
enjeux agroalimentaires
• Principe de « souveraineté alimentaire » aux échelons locaux et
régionaux - moyens de mise en œuvre des principes de souveraineté
alimentaire (en termes de choix et de droits)
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014
15. APPROCHE AGRO-ÉCO-ALIMENTAIRE?
Approche de la complexité du système alimentaire dans une
perspective agroécologique:
• complexité d’échelles, d’acteurs, d’enjeux / problèmes publics =>
convergences et divergences entres ces différentes dimensions
Nécessité de compréhension / analyses / diffusion des systèmes
alimentaires pour en saisir les enjeux et les possibilités de changement
(marge de manœuvre et d’action)
Système alimentaire comme levier (convergence de problématiques
publiques) pour des actions individuelles / collectives
Collaborations pour la recherche, la participation et les
alternatives à trouver (entre producteurs, chercheurs, société
civile et citoyens)
Julien Vuilleumier
Plateforme Agroécologie
16.01.2014