J'ai une hépatite B chronique édition 2018soshepatites
Après une prise de sang, mon médecin me dit que j’ai une hépatite B chronique. Qu’est-ce que je dois savoir ? Qu’est-ce que je dois faire ? Comment me soigner ? Mon suivi médical ? Qu’est-ce que je dois dire à mon entourage pour qu’il se protège ?
Toutes les 40 secondes, une personne meurt de l’hépatite B. Ces décès sont évitables.
Aujourd’hui, nous avons une chance d’éliminer la menace de santé publique qu’est l’hépatite B, avec un impact profondément positif sur les individus, les familles, les communautés, les économies
et les systèmes de santé.
L’hépatite B est évitable par la vaccination et des traitements efficaces sont disponibles.
SOSH Carte PVC 86x54 mm « N’oublions pas l’élimination des hépatites B et D (...soshepatites
SOS Hépatites & Maladies du foie, 28/09/2021 : carte PVC 86x54 mm « N’oublions pas l’élimination des hépatites B et D (delta) » destinée à sensibiliser les personnes vivant avec une hépatite B « je réalise mon suivi médical régulièrement ! » mais aussi tous les usagers du système de santé « je parle du dépistage et de la vaccination avec mon médecin ! ».
L'infection par le VIH n'est pas une infection contagieuse, c'est-à-dire qu'à la différence de la grippe (par exemple), elle ne se transmet pas d'une personne à une autre dans un quotidien de vie ou de travail. Cette information est importante, car de nombreuses personnes rejettent encore les personnes séropositives dans le milieu professionnel en raison de peurs infondées et de risques qui n'existent pas. En revanche, l'infection par le VIH est une infection transmissible dans des situations précises.
J'ai une hépatite B chronique édition 2018soshepatites
Après une prise de sang, mon médecin me dit que j’ai une hépatite B chronique. Qu’est-ce que je dois savoir ? Qu’est-ce que je dois faire ? Comment me soigner ? Mon suivi médical ? Qu’est-ce que je dois dire à mon entourage pour qu’il se protège ?
Toutes les 40 secondes, une personne meurt de l’hépatite B. Ces décès sont évitables.
Aujourd’hui, nous avons une chance d’éliminer la menace de santé publique qu’est l’hépatite B, avec un impact profondément positif sur les individus, les familles, les communautés, les économies
et les systèmes de santé.
L’hépatite B est évitable par la vaccination et des traitements efficaces sont disponibles.
SOSH Carte PVC 86x54 mm « N’oublions pas l’élimination des hépatites B et D (...soshepatites
SOS Hépatites & Maladies du foie, 28/09/2021 : carte PVC 86x54 mm « N’oublions pas l’élimination des hépatites B et D (delta) » destinée à sensibiliser les personnes vivant avec une hépatite B « je réalise mon suivi médical régulièrement ! » mais aussi tous les usagers du système de santé « je parle du dépistage et de la vaccination avec mon médecin ! ».
L'infection par le VIH n'est pas une infection contagieuse, c'est-à-dire qu'à la différence de la grippe (par exemple), elle ne se transmet pas d'une personne à une autre dans un quotidien de vie ou de travail. Cette information est importante, car de nombreuses personnes rejettent encore les personnes séropositives dans le milieu professionnel en raison de peurs infondées et de risques qui n'existent pas. En revanche, l'infection par le VIH est une infection transmissible dans des situations précises.
Actes des 7èmes Assises Nationales de l'ALCS 2007
Problématique du dépistage de l'infection à VIH dans les pays à faible prévalence
Fès, 25, 26 et 27 mai 2007
Analyse des determinants sociaux de la résistance au test de dépistage volont...AJHSSR Journal
Abstract : In Côte d'Ivoire, HIV/AIDS is stilla public health problem. The current situation due to the harmful
effects of HIV/AIDS on the health of young people remains worrying. The situation is worrying because the
majority of young people aged 18 to 35 at Habitat-Nimbo express concerns and resistance to taking the
voluntary HIV test. Our study which addresses this question, through its results, shows that various reactions
legitimize this posture. Thus, some justify this by the fact that HIV/AIDS is a strategy of local NGOs and
governments to capture money from donors, while for others, getting tested is the opening of a door
stigma/discrimination and social rejection of the individual. These social reactions to HIV/AIDS expose part of
the young population to high risks of contagion. Indeed, although Bouaké has the necessary infrastructure to
reach at least 90% of people screened and knowing the result, however this WHO objective (2015) remains
difficult to achieve because according to the Ministry of Health (2019) the screening rate is less than 40% varies
by region. Apart from screening tests, the adoption of prevention methods encounters enormous difficulties
among young people aged 18-35.This article is based on two theories, namely the theory of rational choice and
the theory of social representation to explain the behavior of refusal and the social justifications that legitimize it
among young people. Semi-structured interviews and a grid were used to collect the data, allowing information
to be collected from 20 young people who had expressed a refusal to the voluntary screening test.
Keywords: Attitudes, Screening, HIV/AIDS, Reluctance.
www.anemf.org
Après s’être offert un lifting au début de l’année 2012, le site ANEMF.org s’est très vite imposé comme une référence pour tous les étudiants en médecine de France !
ANEMF.org, c’est d’abord un portail proposant des dizaines d’articles consacrés aux études et à la pratique médicale. L’objectif est simple : offrir à chacun la possibilité de trouver une réponse claire et complète aux questions que posent la vie d’étudiant en médecine. Comment lire sa fiche de paye d’externe ? Comment accéder aux aides au logement ? Qu’est-ce que la sécurité sociale étudiante ? Qu’est-ce que la procédure de choix ? Quelles aides sont proposées pour s’installer ? Comment fonctionne le CESP ? Les sujets sont variés, et nous concerne tous à un moment de notre cursus : prendre quelques minutes pour s’informer, c’est l’assurance de ne pas rater le coche.
Mais ANEMF.org c’est aussi et surtout le portail de l’ANEMF ! Parce que les études médicales évoluent et parce que la démographie médicale est un sujet de débats politiques inépuisable, nous sommes, en tant que carabins, particulièrement concernés par l’actualité. De la réforme des ECN à la mobilisation des internes, en passant par l’évolution des conditions de travail en stage, il ne se passe pas un jour sans que l’ANEMF ne soit sollicitée pour porter la voix des étudiants en médecine de France. Le fruit de cette représentation étudiante active et continue vous est communiqué par le biais d’ANEMF.org, qui regorge d’articles et de communiqués à la pointe de l’actualité. Il vous est même possible d’inscrire votre adresse mail sur la mailing “Général”. Vous pourrez ainsi recevoir, chaque fois que la situation l’exige, des mails détaillant les discussions en cours et l’état des réformes à venir !
reseauprosante.fr
Est parue en Septembre 2012 les résultats de l’étude FECOND, menée par l’INSERM1 et l’INED2. Cette étude s’interroge sur les moyens de contraception des femmes en âge de procréer. Purement statistique, cette étude dresse des constats pour le moins intéressants.
Resituons le contexte : en 1967, la contraception devient légale. En 1975, Simone Veil fait promulguer une loi qui autorise l’avortement sous conditions. En 2001 a été votée la Loi Aubry, qui remanie en profondeur la loi Veil. Elle autorise les médecins généralistes à prescrire l’IVG médicamenteuse (pilule RU 489), facilite l’accès à la contraception, affirme le droit des femmes à avorter et autorise la stérilisation comme moyen de contrôle des naissances. Parallèlement, depuis 2000, on voit fleurir de nouvelles méthodes de contraception révolutionnaires (implant, patch...), permettant à chaque femme de choisir une contraception adaptée à son mode de vie.
Globalement, la pilule contraceptive reste la méthode de contraception plébiscitée par les femmes : elle est utilisée par une femme sur deux entre 15 et 49 ans. En revanche, on constate que son utilisation a diminué depuis les années 2000 (-4,6%), mais cette baisse est compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales. Plus alarmant, chez les 20-24 ans, cette baisse d’utilisation (-10,4%) n’est pas compensée par le recours aux autres méthodes contraceptives (dont on constate une augmentation d’utilisation de 5,1% seulement)
reseauprosante.fr
Actes des 7èmes Assises Nationales de l'ALCS 2007
Problématique du dépistage de l'infection à VIH dans les pays à faible prévalence
Fès, 25, 26 et 27 mai 2007
Analyse des determinants sociaux de la résistance au test de dépistage volont...AJHSSR Journal
Abstract : In Côte d'Ivoire, HIV/AIDS is stilla public health problem. The current situation due to the harmful
effects of HIV/AIDS on the health of young people remains worrying. The situation is worrying because the
majority of young people aged 18 to 35 at Habitat-Nimbo express concerns and resistance to taking the
voluntary HIV test. Our study which addresses this question, through its results, shows that various reactions
legitimize this posture. Thus, some justify this by the fact that HIV/AIDS is a strategy of local NGOs and
governments to capture money from donors, while for others, getting tested is the opening of a door
stigma/discrimination and social rejection of the individual. These social reactions to HIV/AIDS expose part of
the young population to high risks of contagion. Indeed, although Bouaké has the necessary infrastructure to
reach at least 90% of people screened and knowing the result, however this WHO objective (2015) remains
difficult to achieve because according to the Ministry of Health (2019) the screening rate is less than 40% varies
by region. Apart from screening tests, the adoption of prevention methods encounters enormous difficulties
among young people aged 18-35.This article is based on two theories, namely the theory of rational choice and
the theory of social representation to explain the behavior of refusal and the social justifications that legitimize it
among young people. Semi-structured interviews and a grid were used to collect the data, allowing information
to be collected from 20 young people who had expressed a refusal to the voluntary screening test.
Keywords: Attitudes, Screening, HIV/AIDS, Reluctance.
www.anemf.org
Après s’être offert un lifting au début de l’année 2012, le site ANEMF.org s’est très vite imposé comme une référence pour tous les étudiants en médecine de France !
ANEMF.org, c’est d’abord un portail proposant des dizaines d’articles consacrés aux études et à la pratique médicale. L’objectif est simple : offrir à chacun la possibilité de trouver une réponse claire et complète aux questions que posent la vie d’étudiant en médecine. Comment lire sa fiche de paye d’externe ? Comment accéder aux aides au logement ? Qu’est-ce que la sécurité sociale étudiante ? Qu’est-ce que la procédure de choix ? Quelles aides sont proposées pour s’installer ? Comment fonctionne le CESP ? Les sujets sont variés, et nous concerne tous à un moment de notre cursus : prendre quelques minutes pour s’informer, c’est l’assurance de ne pas rater le coche.
Mais ANEMF.org c’est aussi et surtout le portail de l’ANEMF ! Parce que les études médicales évoluent et parce que la démographie médicale est un sujet de débats politiques inépuisable, nous sommes, en tant que carabins, particulièrement concernés par l’actualité. De la réforme des ECN à la mobilisation des internes, en passant par l’évolution des conditions de travail en stage, il ne se passe pas un jour sans que l’ANEMF ne soit sollicitée pour porter la voix des étudiants en médecine de France. Le fruit de cette représentation étudiante active et continue vous est communiqué par le biais d’ANEMF.org, qui regorge d’articles et de communiqués à la pointe de l’actualité. Il vous est même possible d’inscrire votre adresse mail sur la mailing “Général”. Vous pourrez ainsi recevoir, chaque fois que la situation l’exige, des mails détaillant les discussions en cours et l’état des réformes à venir !
reseauprosante.fr
Est parue en Septembre 2012 les résultats de l’étude FECOND, menée par l’INSERM1 et l’INED2. Cette étude s’interroge sur les moyens de contraception des femmes en âge de procréer. Purement statistique, cette étude dresse des constats pour le moins intéressants.
Resituons le contexte : en 1967, la contraception devient légale. En 1975, Simone Veil fait promulguer une loi qui autorise l’avortement sous conditions. En 2001 a été votée la Loi Aubry, qui remanie en profondeur la loi Veil. Elle autorise les médecins généralistes à prescrire l’IVG médicamenteuse (pilule RU 489), facilite l’accès à la contraception, affirme le droit des femmes à avorter et autorise la stérilisation comme moyen de contrôle des naissances. Parallèlement, depuis 2000, on voit fleurir de nouvelles méthodes de contraception révolutionnaires (implant, patch...), permettant à chaque femme de choisir une contraception adaptée à son mode de vie.
Globalement, la pilule contraceptive reste la méthode de contraception plébiscitée par les femmes : elle est utilisée par une femme sur deux entre 15 et 49 ans. En revanche, on constate que son utilisation a diminué depuis les années 2000 (-4,6%), mais cette baisse est compensée par le recours aux nouvelles méthodes hormonales. Plus alarmant, chez les 20-24 ans, cette baisse d’utilisation (-10,4%) n’est pas compensée par le recours aux autres méthodes contraceptives (dont on constate une augmentation d’utilisation de 5,1% seulement)
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Une présentation émanant de l'Atelier sur le Mécanisme de Financement Mondial en Soutien à Chaque Femme Chaque Enfant qui a eu lieu à Nanyuki au Kenya.
Journée "Tumeurs de la thyroïde et endocrines" de la Pitié-Salpêtrière, septembre 2014
Exposé de l'association Vivre sans Thyroïde - 1ère partie : présentation de l'association
1. Formation a l’information sur le VIH/SIDA
Fédération Internationale des Associations de Bibliothèques (IFLA)
Comité pour la Liberté d’Accès à l’Information et la Liberté d’Expression (FAIFE)
2. Emploi du temps (7-8 heures)
Matinée (3-3h)
• Introduction
• Exercice pour briser la glace
• Vue d’ensemble du VIH/SIDA
• Pause-café
• Prévention et traitement
Déjeuner (1h)
Après-midi (3h)
• Exercice interactif/Barrières à la fourniture de l’information
• Pause-café
• Alphabétisation informationnelle
• Exercice interactif
• Remarques finales
3. C’est un atelier du comite FAIFE.
FAIFE EST…
IFLA/FAIFE a été fondée à Copenhague en 1998 à l’initiative de l IFLA,
(=FIAB: Fédération Internationale des Associations et Institutions de
Bibliothèques) pour défendre et promouvoir les droits humains
fondamentaux définis dans l’article 19 de la Déclaration Universelle des
Droits Humains des Nations Unies.
IFLA/FAIFE poursuit la liberté d’accès à l’information et la liberté
d’expression dans tous leurs aspects, directement ou indirectement liés
aux bibliothèques et à la bibliothéconomie.
IFLA/FAIFE surveille l’état de la liberté intellectuelle dans la communauté
des bibliothèques dans le monde, soutient la politique de développement
et de coopération de l’ IFLA avec les autres organisations internationales
des droits humains et répond aux violations du libre accès à l’information
et de la liberté d’expression.
IFLA/FAIFE est financée par l’ASDI (Suède).
4. Role des bibliothecaires
Une approche exhaustive pour combattre le VIH/SIDA requiert
1. Accès à l’information sur la prévention et le traitement
2. Accès aux services de santé reproductive et sexuelle, vu que le rapport sexuel
reste le principal mode de transmission
3. Accès aux moyens de prévention tels que le condom et les aiguilles propres
4. Accès au traitement
!!!Les bibliothèques peuvent fournir une information vitale salutaire au niveau
communautaire!!!
5. Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits Humains des Nations
Unies
Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le
droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir
et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées,
par tout moyen.
6. Valeurs et objectifs
Les Objectifs de Développement du Millénaire
Obj. 1: Eradiquer l’extrême pauvreté et la faim
Obj. 2: Assurer l’éducation primaire pour tous
Obj. 3: Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes
Obj. 4: Réduire la mortalité infantile
Obj. 5: Améliorer la santé maternelle
Obj. 6: Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d’autres maladies
Obj. 7: Préserver l’environnement
Obj. 8: Mettre en place un partenariat mondial pour le développement
7. Qu’est-ce que le VIH/SIDA?
?
SIDA (Syndrome d’Immunodéficience Acquis)
VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine)
• Le VIH attaque les cellules CD4 protectrices du système immunitaire.
Quand celui-ci perd trop de cellules CD4, la personne est moins capable
de résister à l’infection et peut développer de graves infections
opportunistes (IO)
• Le diagnostic de SIDA est posé chez une personne quand elle a moins de
200 cellules CD4 et/ou l’une des 21 IO définissant le SIDA
8. Comment le VIH/SIDA est-il transmis?
1. La transmission sexuelle
Hétérosexuelle
Homosexuelle
2. Le sang et les produits sanguins
L’usage de drogues par voie intraveineuse
Les transfusions
L’hémophilie
Autres (couteaux)
3. La transmission verticale
Pendant la grossesse
Durant l’accouchement
Par l’allaitement au sein
9. Prevention
«Les bibliothèques et services d’information ne sauraient ménager la
chèvre et le chou, quand la jeunesse de leurs nations est en train
d’être décimée par un ennemi intérieur qui frappe silencieusement et
dans l’obscurité.»
Kingo J. Mchombu 2002
Atteindre les plus vulnérables
Pourquoi se concentrer sur la prévention?
Il n’existe pas de vaccin pour le VIH/SIDA. Etant donné que le
traitement reste encore inabordable ou inaccessible pour
beaucoup de gens dans le monde, la prévention est pour le
moment la meilleure approche pour lutter contre la pandémie.
10. L’Approche AFC
L’Approche AFC pour éviter la transmission sexuelle du VIH
• Abstinence
• Fidélité
• Utilisation du condom
Limites de l’Approche AFC
• Manque de ressources
• Inégalités de genre
• Fidélité des partenaires
11. L’exposition au sang infecte
Fournitures de sang
• Le criblage des produits sanguins réduit le risque de transmission
Accidents
• La stratégie des précautions universelles
Injections et seringues
• Une aiguille ou une seringue utilisée pour une injection ne doit
jamais être partagée avec autrui
12. Prevenir la transmission mere-enfant
Prévenir l’infection VIH chez les futurs parents
Eviter les grossesses non désirées chez les femmes VIH positives
Prévenir la transmission du VIH des mères VIH+ à leurs bébés
pendant la grossesse, le travail, l’accouchement et l’allaitement au
sein
13. Conditions propices au comportement a risque
La consommation d’alcool et de drogues
Les installations humanitaires
La pauvreté
14. Test et conseil volontaires (tcv)
Pourquoi dois-je me faire tester?
Comment le test se passe t-il?
Où se faire tester?
Test Volontaire ou test Obligatoire
Test Confidentiel et test Anonyme
Prélèvement et test à domicile
15. Traitement
Drogues antirétrovirales (ARV)
• Ne sont pas curatives
• Freinent le processus de réplication du VIH dans le corps humain
Prévenir et traiter les infections opportunistes
Prévenir la transmission mère-enfant
• Pendant la grossesse et l’accouchement
• Alimentation plus sûre du nourrisson
Accès aux services / disponibilité des drogues
• Disponibilité, couverture, impact
16. Traitement
Importance du rôle des institutions (hôpitaux, cliniques, centres de TCV)
Conditions du soutien au traitement
Vivre positivement
• Adopter un régime alimentaire sain
• Faire de l’exercice régulièrement
• Eviter l’alcool et le tabac, ou au moins en diminuer la consommation
• Réduire le stress
• Eviter toute forme d’infection (si possible)car elles peuvent compromettre la santé
et affaiblir davantage le système immunitaire
• Ne pas utiliser de médicament autre que ceux prescrits par le médecin
• Rendre visite au médecin régulièrement
18. Les politiques
Pour lutter contre la honte et la discrimination et assurer une diffusion
effective de l’information, chaque bibliothèque doit développer un cadre
politique concernant le VIH/SIDA. Cette politique devrait prendre en
compte les aspects suivants:
• Les droits et situation professionnels des employés vivant avec le
VIH/SIDA
• Les usagers VIH+/ayant le SIDA
• La manière de présenter le matériel sur le VIH/SIDA-correspondant à
l’instruction informatique des usagers
• La façon de traiter les barrières à l’information et de toucher les
populations vulnérables