Les hygiénistes sont indispensables à la surveillance épidémiologique, l’alerte, le dépistage, la mise en place d’action curative et préventive.
Le DES de biologie médicale est une voie d’entrée dans cette carrière hospitalière publique mais aussi privée.
C’est un métier très enrichissant, correspondant à des profils de spécialisation microbiologie. Un DU « hygiène » est fortement recommandé.
L’hygiéniste est en contact direct avec les services cliniques, le laboratoire de biologie médicale et participe au CLIN. L’épidémiologie évoluant rapidement, votre activité ne sera pas monotone et une perpétuelle mise à jour des connaissances est indispensable. Un hygiéniste ne connaît pas la routine !
Franck MALLAVAL médecin hygiéniste au CH de Chambéry répond à nos questions :
1/ Décrivez-nous votre cursus
« Etudes de médecine, concours de l’internat et DES de biologie médicale avec une « maquette » microbiologie : 1 stage en parasitologie, 3 en bactériologie-virologie, et 2 stages en cliniques en médecine infectieuse. J’ai complété ma formation par un DU Hygiène et un DU thérapeutique anti-infectieuse et une MSBM (ancien master 1) physiopathologie des maladies transmissibles. »
resauprosante.fr
Forum d’orientation des externes Faculté de médecine de ToursRéseau Pro Santé
Revue "Le Psy déchainé" n°18 - AFFEP - Mars 2017
Organisation générale
Ce Forum, qui s’est tenu le samedi 21 janvier, organisé par l’Association des Carabins, a pour vocation d’éclairer les étudiants de la 2e à la 6e année de médecine, en quête de réponse face à leur avenir professionnel. Stands, confé- rences, tables rondes, livrets, tous les supports sont permis pour rencontrer et aborder les professions médicales, ainsi que les façons d’exercer ! A chaque stand, des internes accompagnés de leurs séniors représentent leur spécialité afin d’aborder toutes questions sur la pratique de leur profession. (...)
Les réponses ont compris le partage de nos expériences personnelles et des connaissances à notre disposition sur les fonctionnements hospitalier et libéral locaux (peu d’informations concernant les orientations de chaque fac). La plupart des réponses apportées ont satisfait les externes et ont probablement confirmé les vocations de certains. Concernant la participation de la part des internes tourangeaux, 3 internes ont participé à l’événement (sur 48 des 4 promos)… Un chef de clinique et un PU-PH étaient également présents (le chef de clinique au stand, le PU-PH aux conférences sur la réforme). (...)
http://www.reseauprosante.fr
Les hygiénistes sont indispensables à la surveillance épidémiologique, l’alerte, le dépistage, la mise en place d’action curative et préventive.
Le DES de biologie médicale est une voie d’entrée dans cette carrière hospitalière publique mais aussi privée.
C’est un métier très enrichissant, correspondant à des profils de spécialisation microbiologie. Un DU « hygiène » est fortement recommandé.
L’hygiéniste est en contact direct avec les services cliniques, le laboratoire de biologie médicale et participe au CLIN. L’épidémiologie évoluant rapidement, votre activité ne sera pas monotone et une perpétuelle mise à jour des connaissances est indispensable. Un hygiéniste ne connaît pas la routine !
Franck MALLAVAL médecin hygiéniste au CH de Chambéry répond à nos questions :
1/ Décrivez-nous votre cursus
« Etudes de médecine, concours de l’internat et DES de biologie médicale avec une « maquette » microbiologie : 1 stage en parasitologie, 3 en bactériologie-virologie, et 2 stages en cliniques en médecine infectieuse. J’ai complété ma formation par un DU Hygiène et un DU thérapeutique anti-infectieuse et une MSBM (ancien master 1) physiopathologie des maladies transmissibles. »
resauprosante.fr
Forum d’orientation des externes Faculté de médecine de ToursRéseau Pro Santé
Revue "Le Psy déchainé" n°18 - AFFEP - Mars 2017
Organisation générale
Ce Forum, qui s’est tenu le samedi 21 janvier, organisé par l’Association des Carabins, a pour vocation d’éclairer les étudiants de la 2e à la 6e année de médecine, en quête de réponse face à leur avenir professionnel. Stands, confé- rences, tables rondes, livrets, tous les supports sont permis pour rencontrer et aborder les professions médicales, ainsi que les façons d’exercer ! A chaque stand, des internes accompagnés de leurs séniors représentent leur spécialité afin d’aborder toutes questions sur la pratique de leur profession. (...)
Les réponses ont compris le partage de nos expériences personnelles et des connaissances à notre disposition sur les fonctionnements hospitalier et libéral locaux (peu d’informations concernant les orientations de chaque fac). La plupart des réponses apportées ont satisfait les externes et ont probablement confirmé les vocations de certains. Concernant la participation de la part des internes tourangeaux, 3 internes ont participé à l’événement (sur 48 des 4 promos)… Un chef de clinique et un PU-PH étaient également présents (le chef de clinique au stand, le PU-PH aux conférences sur la réforme). (...)
http://www.reseauprosante.fr
Les plans maladies rares francais par le Pr Loïc GuillevinKhadija Moussayer
Dans le cadre de ses Journées de l’Auto-Immunité, l’association AMMAIS a organisé le 28 novembre 2015 à Casablanca une grande conférence consacrée aux maladies rares.
Animé par le Pr Loïc Guillevin (Président d’honneur d’AMMAIS, membre du collège de la Haute Autorité de Santé – HAS -et président de sa commission de la transparence ainsi que membre du Comité de Pilotage du Plan National Maladies Rares en France), cet événement a permis aux participants de mieux appréhender les avancées en matière de recherche et d’innovations thérapeutiques relatives aux maladies auto-immunes rares (sclérodermie, vascularites, cryoglobulinémies…).
A l’issue des débats, l’association a appelé, par la voix de sa présidente, le Dr Khadija Moussayer, à la reconnaissance des maladies rares comme une priorité de santé publique au Maroc avec en particulier :
1/ le développement de centres de référence nationaux pour l’expertise et de centres de compétence régionaux pour les soins en nombre suffisant pour assurer la couverture globale du territoire ;
2/ une meilleure accessibilité à certains médicaments indispensables et au demeurant pas toujours onéreux (comme le Plaquénil pour le lupus ou l’Ursolvon pour la cirrhose biliaire primitive) ;
3/ une formation accentuée des professionnels de santé à « l’univers des maladies rares » (il n’est pas possible de toutes les connaître !) et, ce faisant, à la « culture du doute » (et si c’était une maladie rare ?) qui donnerait aux patients de meilleures chances de soins appropriés ;
4/ le regroupement avec l’aide des pouvoirs publiques des associations œuvrant dans ce domaine en une plate-forme commune, une « Alliance des Maladies Rares », comme cela a déjà été instituée en Europe.
Rappelons que si les maladies dites rares touchent chacune par définition un nombre restreint de patients, moins d’une personne sur 2 000, elles deviennent massives lorsqu'on les cumule : près de 8 000 pathologies identifiées ! On estime que plus de 5 % de la population mondiale en seraient atteintes soit environ 1.5 millions de marocains. Un médecin rencontre dans sa pratique quotidienne plus ce type de maladies que de cas de cancer ou de diabète !
Les interventions, notamment des Pr ou Dr David Saadoun, Fouzia Chraibi, Rachid Laraki, Mounir Filali et Ouafa Mkinsi, ainsi que les discussions qui en ont suivi, ont bien mis en évidence un manque d’information à ce sujet pour les patients comme pour les professionnels, ayant pour conséquences errances de diagnostic, souffrance et isolement psychologique des malades, outils de diagnostics ignorés, etc
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Maladies chroniques, un enjeu de tra...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Chacun peut constater que la manière d'exercer des professionnels de santé exercent se modifie et semble promise encore à des évolutions plus importantes.
Différentes raisons motivent ces changements : l’évolution générationnelle des aspirations professionnelles, la démographie professionnelle et les tensions qu’elle génère, le développement des nouvelles technologies, l’évolution épidémiologique, le vieillissement de la population et la prépondérance des maladies chroniques, souvent dans un contexte poly-pathologique, qui en résulte.
Enfin, les évolutions sociales importantes motivent les patients et leur entourage à souhaiter une prise en charge globale, impliquant une coordination forte des soignants. Elles engagent également les professionnels à être sans doute moins attachés à leur autonomie et plus sensibles à de nouveaux modes d’exercice caractérisés par exemple, par la coopération renforcée ou par la diversification des formes de rémunération.
De son côté, la HAS est évidemment attentive à ce que ces modifications des modalités d’exercice soient porteuses de progression en matière de qualité et de sécurité. C’est la raison pour laquelle la HAS y est largement investie.
En savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1072170/rencontres-has-2011-accompagner-les-nouvelles-modalites-d-exercice
Les plans maladies rares francais par le Pr Loïc GuillevinKhadija Moussayer
Dans le cadre de ses Journées de l’Auto-Immunité, l’association AMMAIS a organisé le 28 novembre 2015 à Casablanca une grande conférence consacrée aux maladies rares.
Animé par le Pr Loïc Guillevin (Président d’honneur d’AMMAIS, membre du collège de la Haute Autorité de Santé – HAS -et président de sa commission de la transparence ainsi que membre du Comité de Pilotage du Plan National Maladies Rares en France), cet événement a permis aux participants de mieux appréhender les avancées en matière de recherche et d’innovations thérapeutiques relatives aux maladies auto-immunes rares (sclérodermie, vascularites, cryoglobulinémies…).
A l’issue des débats, l’association a appelé, par la voix de sa présidente, le Dr Khadija Moussayer, à la reconnaissance des maladies rares comme une priorité de santé publique au Maroc avec en particulier :
1/ le développement de centres de référence nationaux pour l’expertise et de centres de compétence régionaux pour les soins en nombre suffisant pour assurer la couverture globale du territoire ;
2/ une meilleure accessibilité à certains médicaments indispensables et au demeurant pas toujours onéreux (comme le Plaquénil pour le lupus ou l’Ursolvon pour la cirrhose biliaire primitive) ;
3/ une formation accentuée des professionnels de santé à « l’univers des maladies rares » (il n’est pas possible de toutes les connaître !) et, ce faisant, à la « culture du doute » (et si c’était une maladie rare ?) qui donnerait aux patients de meilleures chances de soins appropriés ;
4/ le regroupement avec l’aide des pouvoirs publiques des associations œuvrant dans ce domaine en une plate-forme commune, une « Alliance des Maladies Rares », comme cela a déjà été instituée en Europe.
Rappelons que si les maladies dites rares touchent chacune par définition un nombre restreint de patients, moins d’une personne sur 2 000, elles deviennent massives lorsqu'on les cumule : près de 8 000 pathologies identifiées ! On estime que plus de 5 % de la population mondiale en seraient atteintes soit environ 1.5 millions de marocains. Un médecin rencontre dans sa pratique quotidienne plus ce type de maladies que de cas de cancer ou de diabète !
Les interventions, notamment des Pr ou Dr David Saadoun, Fouzia Chraibi, Rachid Laraki, Mounir Filali et Ouafa Mkinsi, ainsi que les discussions qui en ont suivi, ont bien mis en évidence un manque d’information à ce sujet pour les patients comme pour les professionnels, ayant pour conséquences errances de diagnostic, souffrance et isolement psychologique des malades, outils de diagnostics ignorés, etc
Rencontres régionales HAS 2012 (Lille) - Maladies chroniques, un enjeu de tra...Haute Autorité de Santé
La Haute Autorité de Santé a organisé le 13 décembre 2012 au Grand Palais de Lille une rencontre interrégionale afin d'échanger avec les professionnels de santé et ses partenaires des régions Basse-Normandie, Haute-Normandie, Nord-Pas-de-Calais et Picardie sur des thèmes les mobilisant.
Cette journée s'est articulée autour de deux séances plénières :
- Maladies chroniques, un enjeu de transformation pour la ville et l’hôpital,
- Sécurité du patient, des défis à relever en région,
et de trois tables rondes simultanées :
- Certification des établissements de santé et nouvelles méthodes de visite,
- Nouvelles modalités d’exercice : quels bénéfices pour le patient ?
- Chirurgie ambulatoire, vecteur de qualité et de sécurité pour le patient.
L’impact de la démocratie sanitaire : le patient et sa sécurité, point de vue...Haute Autorité de Santé
Soignants et soignés évoluent dans un système complexe qui rend parfois la communication entre ces deux partenaires difficile. Les patients ne comprennent pas toujours les messages qui leur sont délivrés, assimilant mal ce qui concerne leur prise en charge. Par crainte de faire perdre du temps, mais aussi parce que la relation soignant-soigné est par essence asymétrique, les patients n’osent pas poser des questions. Et pourtant, un patient qui communique avec les soignants, qui est attentif à son environnement, qui ose interpeller lorsqu’il ne comprend pas, permet d’améliorer sa sécurité lors des soins.
Chacun peut constater que la manière d'exercer des professionnels de santé exercent se modifie et semble promise encore à des évolutions plus importantes.
Différentes raisons motivent ces changements : l’évolution générationnelle des aspirations professionnelles, la démographie professionnelle et les tensions qu’elle génère, le développement des nouvelles technologies, l’évolution épidémiologique, le vieillissement de la population et la prépondérance des maladies chroniques, souvent dans un contexte poly-pathologique, qui en résulte.
Enfin, les évolutions sociales importantes motivent les patients et leur entourage à souhaiter une prise en charge globale, impliquant une coordination forte des soignants. Elles engagent également les professionnels à être sans doute moins attachés à leur autonomie et plus sensibles à de nouveaux modes d’exercice caractérisés par exemple, par la coopération renforcée ou par la diversification des formes de rémunération.
De son côté, la HAS est évidemment attentive à ce que ces modifications des modalités d’exercice soient porteuses de progression en matière de qualité et de sécurité. C’est la raison pour laquelle la HAS y est largement investie.
En savoir plus : http://www.has-sante.fr/portail/jcms/c_1072170/rencontres-has-2011-accompagner-les-nouvelles-modalites-d-exercice
2014-02-06 ASIP Santé RIR "Le SI des infirmiers libéraux"ASIP Santé
Présentation "Le SI des infirmiers libéraux" par Nicolas SCHINKEL, infirmier libéral, chargé de mission Télésanté, Fédération Nationale des Infirmiers, URPS Infirmiers de Franche-Comté
Le Women’s College Hospital est un hôpital universitaire ambulatoire. La conférencière fera part du parcours de son hôpital dans ses efforts pour implanter les meilleures pratiques de bilan comparatif des médicaments utilisées dans d’autres contextes et pour les adapter à l’environnement ambulatoire.
Pour en savoir plus http://bit.ly/1tAgxfz
Evaluation de L'impact de la formation Pratiquesur les soins et Traitement de...HFG Project
Evaluation de L'impact de la formation Pratiquesur les soins et Traitement des PVVIH au profit des Infirmiers et sages-femmes affectes en 2016 dans 8 districta sanitaires a forte morbidite LIEE au VIH/SIDA
Présentation réalisée par Michel GREIVER et Gilles BROUSSEAU dans le cadre du colloque "La communication au coeur de la e-santé. Opportunités et enjeux pour les patients, les professionnels de la santé et les organisations" qui s'est déroulé le 3 octobre 2013 à l'Université du Québec à Montréal (UQAM).
5. coordination de soins
dans un réseau soins
réseau de soins :
ensemble de
partenaires travaillant en
synergie et concourant à
la prise en charge d’un
patient en situation
complexe
4
13. rôles du Médecin de F. :
1. identifier les besoins
d’intervention
(autres disciplines, intervention sociale,…)
étape primordiale
coordination de soins
dans un réseau soins
14. 4
rôles du Médecin de F. :
2. choisir et connaître ses
intervenants
coordination de soins
dans un réseau soins
15. 4
rôles du Médecin de F. :
3. définir les modalités et limites
de l’intervention de chacun
coordination de soins
dans un réseau soins
16. 4
rôles du Médecin de F. :
4. transmettre les informations
utiles et remplir les formalités
adéquates
coordination de soins
dans un réseau soins
17. 4
rôles du Médecin de F. :
5. vérifier la bonne réalisation
des prestations
coordination de soins
dans un réseau soins
18. 4
rôles du Médecin de F. :
6. organiser la communication et
la synthèse entre les divers
intervenants
coordination de soins
dans un réseau soins
42. 4
synthèse du MG
PR et autres pathologies
vécu du patient
contexte de vie du patient
propositions
thérapeutiques
proposition
de suivi
coordination de soins
dans une filière de soins
43. 4
rôles du Médecin de F. :
1. identifier les besoins
d’intervention spécialisée
coordination de soins
dans une filière de soins
44. 4
rôles du Médecin de F. :
2. choisir et connaître ses
correspondants
coordination de soins
dans une filière de soins
45. 4
rôles du Médecin de F. :
3. poser des questions claires et
précises, définir les modalités et
limites de l’intervention
coordination de soins
dans une filière de soins
46. 4
rôles du Médecin de F. :
4. transmettre les informations
utiles et remplir les formalités
adéquates
dossier
coordination de soins
dans une filière de soins
47. 4
rôles du Médecin de F. :
5. vérifier la bonne réalisation de
la prestation
coordination de soins
dans une filière de soins
48. 4
rôles du Médecin de F. :
6. faire la synthèse des
informations nouvelles et
mise à jour du dossier médical
coordination de soins
dans une filière de soins
Tổ chức WONCA đã đưa ra định nghĩa về Y học gia đình, tóm tắt trong các ý trình bày trong hình cây trên. Chúng ta có thể thấy rằng bác sĩ gia đình có nhiệm vụ tổ chức chăm sóc sức khoẻ ban đầu. Điều này có nghĩa là chăm sóc điều trì các yêu cầu về sức khoẻ của bệnh nhân. Bác sĩ gia đình cũng có nhiệm vụ tổ chức phối hợp chăm sóc và bảo vệ quyền lợi bệnh nhân của họ
On voit sur cette diapositive les flux de population entre les trois lignes de soins, observés dans la majorité des pays occidentaux. Beaucoup de patients s’adressent au médecin de famille, il trouve une solution à 90 % des demandes en santé, seulement une dizaine de pourcents de patients doivent recourir à la deuxième ligne de soins et très mpeu à la trosième ligne de soins.
Les Médecins de famille ont un role important pour maintenir à domicile et en lieu de vie les patients en demande de soins. C’est là qu’ils jouent un role important en matière de coordination dans le réseau de soins
Nous verrons ensuite le role que les MF jouent dans l’envoi de patients dans les autres lignes de soins: c’est la coordination dans une filière de soins
Un réseau de soins est constitué de l’ensemble des prestataires (des professionnels) qui travaillent ensemble pour prendre en charge des patients en situation complexe
Voici un exemple de patiente atteint d’une maladie d’Alzheimer : on sait que d’abord elle est encore bien ensuite elle va se dégrader rapidement jusqu’à ne plus avoir de capacité de bouger et de parler
Elle va finir sa vie dans une situation dramatique, grabataire
Pour cette patiente, nous allons faire appel à une infirmière à domicile pour assurer des soins divers : toilette, soins de plaie, injections, etc…
Le pharmacien va également être mobilisé pour fournir le patient et sa famlle du matériel nécessaire : médicaments, pansement, matériel pour les plaies, etc…
Le kinésithérapeute intervient également souvent pour assurer des activités physiques au patient, lui permettre de conserver de bonnes fonctions motrices
Dans nos pays, très souvent on fait appel à des aides familiales qui permettent le maintien à domicile en apportant de l’aide pour les activités ménagères (pour les personnes isolées) , pour la réalisation des repas et pour la prise des médicaments
Outre le kiné, l’infirmière et le pharmacien, nous faisons parfois appel à d’autres professionnels qui aideront le patient à son maintien à domicile : comme des structures qui assurent le prêt de matériel de soins, psychologue mais aussi parfois le juge de paix qui va gérer les biens d’un patient en difficulté
Devant un patient complexe que nous souhaitons maintenir à domicile, le rôle du MF est d’abord d’identifier les besoins d’intervention . De quoi a-t-il besoin pour que tout se passe bien à la maison ?
Le deuxième rôle du MF est d’avoir « un bon carnet d’adresses de professionnels » qui peuvent intervenir
3e rôle : bien définir ce que chacun va faire dans la prise en charge du patient ; par exemple : qui s’occupe de la prise des médicaments ?
Il faut que tous les intervenants dialoguent suffisamment pour bien se coordonner car souvent ils se succèdent les uns après les autres au domicile ; un cahier sert souvent de moyen de communication : chaque intervenant y inscrit ses commentaires et ses observations
Le médecin de famille a pour rôle de vérifier que toutes les prestations sont bien assurées
Parfois, la situation complexe d’un patient nécessite de réunir tous les professionnels intervenants autour d’un patient, cette réunion permet d’accorder les objectifs entre tous les intervenants. Elle a souvent lieu au domicile du patient ou au cabinet médical du médecin de famille
Voici un autre exemple : un patient qui a fait un accident vasculaire cérébral (il est hémiplégique gauche), il revient de l’hôpital, il a un diabète , une hypertension, ainsi qu’un état dépressif. Il ne veut plus aller à l’hôpital et veut être soigné à la maison ; il va falloir installer un réseau au tour de lui
On a loué du matériel pour le soulever du fauteuil vers le lit
Un lit médicalisé a été loué également
Une infirmière a assuré les soins d’hygiène, la gestion de la prise des médicaments, la prévention des plaies d’escarres, la surveillance de la glycémie, etc
Une kinésithérapeute a venu régulièrement pour assurer le maintien de la motricité du patient
Je vais vous donner un exemple du travail dans ma propre pratique professionnelle : nous travaillons dans deux centre de MF proche de 3km; 7000 patients sont inscrits dans notre structure
7 médecins de famille travaillent dans ce centre avec deux assistants en formation et 9 infirmières, 1 diététicienne , 4 secrétaires et 1 gestionnaire comptable
Les dossiers des patients sont accessibles sur les deux sites par tous les professionnels de la santé
Il y a un dossier pour chaque patient
Grâce à cette équipe de soignants, nous solutionnons des problèmes bénins de santé mais nous parvenons à maintenir à domicile des cas très complexes
Il y a une collaboration pluridisciplinaire quotidienne : les infirmières rencontrent plusieurs dizaines de patients par jour
La diététicienne intervient aussi très souvent
Nous avons des réunions de coordination une fois par semaine, mais tous les professionnels restent en contact entre eux par téléphone (GSM) ou par Internet pour échanger des informations ou se poser des questions
Grâce à ce réseau de soins, nous trouvons une solution à 90 % des problèmes de santé que nos patients présentent
Cette diapositive montre qu’une équipe de soins efficace qui travaille en bonne collaboration à domicle peut diminuer le nombre de patients qi ont besoin d’être adressé à la deuxième ligne de soins
Dans 10 % des cas, nous devons adresser nos patients à un médecin spécialiste hospitalier ou qui travaille en cabinet privé. Ici aussi iol doit y avoir une coordination des soins
Il s’agit donc de la coordination dans une filière de soins
On peut définir une filière de soins comme le parcours qu’effectue un patient à travers les lignes de soins
Dans nos systèmes de soins , le MF est la porte d’entrée dans une filière et la porte de sortie aussi
Prenons l’exemple d’un patient qui a des douleurs articulaires au niveau des mains, surtout le matin. Le MF pense à une polyarthrite rhumatoide
Le MF va prescrire une analyse de sang pour confirmer le diagnostic. Le sang va être envoyé au laboratoire
Le MF va envoyer le patient à la radiographie . Après avoir reçu les résultats de ces 2 examens, le MF va confirmer l’hypothèse d’une polyarthrite rhumatoide
Le MF va écrire une lettre pour le spécialiste rhumatologue en annexant les résultats des examens déjà réalisés, et va poser les questions au rhumatologue : quel traitement est-il le plus adéquat ? Quel suivi adopter ensuite ?
le patient va aller chez le rhumatologue : ce dernier va écrire un rapport au MF, dans ce rapport le rhumatologue donne son avis sur le diagnostic, propose un traitement et donne des conseils pour le suivi du patient . Souvent il demande au MF d’assurer le suivi pendant quelques mois et il demande à revoir la patient après ces quelques mois pour évaluer son évolution.
Un moment très important est la visite de retour chez le MF : le patient vient demander au MF les conclusions du rhumatologue, le MF explique comment le suivi va être assuré : contrôles de prise de sang, explique la prise des médicaments. Le MF vérifie aussi que les autres médicaments pour les autres maladies sont bien compatibles avec le nouveau traitement de la polyarthrite rhumatoide. Il vérifie la bonne compréhension du patient au sujet du traitement et des conseils.
Dans le cadre d’une filière de soins, le MF doit identifier les besoins du patient en matière de recours à un spécialiste
Le MF doit bien choisir les spécialistes efficaces et qui accueillent bien les patients
Le MF pose des questions précises au spécialiste
Le MF doit transmettre toutes les informations nécessaires comme les résultats des examens antérieurement réalisés
Le MF vérifie que le recours au médecin spécialiste s’est bien passé
Le moment le plus important est la consultation de synthèse durant laquelle le médecin de famille va expliquer à nouveau au patient le résultat de la consultation chez le spécialiste et mettre à jour le dossier médical