Aux termes de l’article 127 de la loi n°2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) est chargée, entre autres, « d’assurer le suivi et mettre à la disposition des autorités gouvernementales et des acteurs des secteurs régulés, des informations pertinentes relatives notamment à la performance des opérateurs ».
C’est dans ce cadre que l’ARTP a mis en place, en son sein, un Observatoire du marché des télécommunications qui lui permet de suivre, d’analyser et de présenter régulièrement les évolutions enregistrées sur le marché des télécommunications au Sénégal. Cet Observatoire est alimenté par des informations collectées auprès des opérateurs titulaires de licence selon une périodicité et un format prédéfinis. L’ARTP procède à la publication de tableaux de bord trimestriels sur son site internet (www.artpsenegal.net) ainsi qu’à la diffusion de rapports réguliers permettant d’assurer une meilleure visibilité sur le marché des télécommunications. Le présent rapport résume les évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au quatrième trimestre 2014.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 septembre 2015ITmag
Aux termes de l’article 127 de la loi n°2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) est chargée, entre autres, « d’assurer le suivi et mettre à la disposition des autorités gouvernementales et des acteurs des secteurs régulés, des informations pertinentes relatives notamment à la performance des opérateurs ».
C’est dans ce cadre que l’ARTP a mis en place, en son sein, un observatoire du secteur des télécommunications qui lui permet de suivre, d’analyser et de présenter régulièrement les évolutions enregistrées sur le marché des télécommunications au Sénégal. Cet observatoire est alimenté par des informations collectées auprès des opérateurs titulaires de licence selon une périodicité et un format prédéfinis. L’ARTP procède à la publication de tableaux de bord trimestriels sur son site Internet (www.artpsenegal.net) ainsi qu’à la diffusion régulière de rapports permettant aux acteurs d’avoir une meilleure visibilité sur le marché des télécommunications.
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au troisième trimestre 2015.
Sénégal :RAPPORT TRIMESTRIEL, de la période Avril – Juin 2014, SUR LE MARCHE...Serigne Diagne
Ce présent rapport présente la situation du marché des télécommunications au 30 juin 2014, ainsi que les évolutions enregistrées au cours du deuxième trimestre de l’année. L’analyse porte sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 31 décembre 2015ITmag
Ce rapport présente la situation du secteur des télécommunications au Sénégal au 31 décembre 2015, ainsi que les évolutions enregistrées au cours du quatrième trimestre de cette année. L’analyse porte sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 juin 2015ITmag
Aux termes de l’article 127 de la loi n°2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) est chargée, entre autres, « d’assurer le suivi et mettre à la disposition des autorités gouvernementales et des acteurs des secteurs régulés, des informations pertinentes relatives notamment à la performance des opérateurs ».
C’est dans ce cadre que l’ARTP a mis en place, en son sein, un observatoire du secteur des télécommunications qui lui permet de suivre, d’analyser et de présenter régulièrement les évolutions enregistrées sur le marché des télécommunications au Sénégal. Cet observatoire est alimenté par des informations collectées auprès des opérateurs titulaires de licence selon une périodicité et un format prédéfinis. L’ARTP procède à la publication de tableaux de bord trimestriels sur son site internet (www.artpsenegal.net) ainsi qu’à la diffusion régulière de rapports permettant aux acteurs d’avoir une meilleure visibilité sur le marché des télécommunications.
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au deuxième trimestre 2015.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 31 décembre 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au quatrième trimestre 2016.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 juin 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au deuxième trimestre 2016.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 31 mars 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au premier trimestre 2016.
Observatoire des marchés des communications électroniques en France - Arcep ...yann le gigan
L’équipement en cartes SIM en France atteignait 79,941 millions d’unités fin 2014, selon l’observatoire des mobiles de l’Arcep. C’est +4,1% de progression par rapport à 2013.
La part des forfaits libres d’engagement, c’est-à-dire les abonnements souscrits sans durée d’engagement et ceux dont la période d’engagement est terminée, ne cesse d’augmenter (+7 points en un an) et est pour la première fois majoritaire (51,0%).
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 septembre 2015ITmag
Aux termes de l’article 127 de la loi n°2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) est chargée, entre autres, « d’assurer le suivi et mettre à la disposition des autorités gouvernementales et des acteurs des secteurs régulés, des informations pertinentes relatives notamment à la performance des opérateurs ».
C’est dans ce cadre que l’ARTP a mis en place, en son sein, un observatoire du secteur des télécommunications qui lui permet de suivre, d’analyser et de présenter régulièrement les évolutions enregistrées sur le marché des télécommunications au Sénégal. Cet observatoire est alimenté par des informations collectées auprès des opérateurs titulaires de licence selon une périodicité et un format prédéfinis. L’ARTP procède à la publication de tableaux de bord trimestriels sur son site Internet (www.artpsenegal.net) ainsi qu’à la diffusion régulière de rapports permettant aux acteurs d’avoir une meilleure visibilité sur le marché des télécommunications.
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au troisième trimestre 2015.
Sénégal :RAPPORT TRIMESTRIEL, de la période Avril – Juin 2014, SUR LE MARCHE...Serigne Diagne
Ce présent rapport présente la situation du marché des télécommunications au 30 juin 2014, ainsi que les évolutions enregistrées au cours du deuxième trimestre de l’année. L’analyse porte sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 31 décembre 2015ITmag
Ce rapport présente la situation du secteur des télécommunications au Sénégal au 31 décembre 2015, ainsi que les évolutions enregistrées au cours du quatrième trimestre de cette année. L’analyse porte sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 juin 2015ITmag
Aux termes de l’article 127 de la loi n°2011-01 du 24 février 2011 portant Code des Télécommunications, l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) est chargée, entre autres, « d’assurer le suivi et mettre à la disposition des autorités gouvernementales et des acteurs des secteurs régulés, des informations pertinentes relatives notamment à la performance des opérateurs ».
C’est dans ce cadre que l’ARTP a mis en place, en son sein, un observatoire du secteur des télécommunications qui lui permet de suivre, d’analyser et de présenter régulièrement les évolutions enregistrées sur le marché des télécommunications au Sénégal. Cet observatoire est alimenté par des informations collectées auprès des opérateurs titulaires de licence selon une périodicité et un format prédéfinis. L’ARTP procède à la publication de tableaux de bord trimestriels sur son site internet (www.artpsenegal.net) ainsi qu’à la diffusion régulière de rapports permettant aux acteurs d’avoir une meilleure visibilité sur le marché des télécommunications.
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au deuxième trimestre 2015.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 31 décembre 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au quatrième trimestre 2016.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 juin 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au deuxième trimestre 2016.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 31 mars 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au premier trimestre 2016.
Observatoire des marchés des communications électroniques en France - Arcep ...yann le gigan
L’équipement en cartes SIM en France atteignait 79,941 millions d’unités fin 2014, selon l’observatoire des mobiles de l’Arcep. C’est +4,1% de progression par rapport à 2013.
La part des forfaits libres d’engagement, c’est-à-dire les abonnements souscrits sans durée d’engagement et ceux dont la période d’engagement est terminée, ne cesse d’augmenter (+7 points en un an) et est pour la première fois majoritaire (51,0%).
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 septembre 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au troisième trimestre 2016.
Plaquette pédagogique "Téléphonie fixe : du RTC vers le tout IP". En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
Les télécoms sont essentiels pour notre pays. Disposer d’infrastructures numériques performantes est un facteur de compétitivité et de progrès. La numérisation de l’économie et de la société implique des investissements massifs et cette dynamique ne peut que s’accroître.
Dans un environnement économique difficile, les opérateurs français déploient des réseaux de grande qualité qui ont permis une explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
À l’heure du très haut débit, préserver leur capacité à innover et à investir est essentiel. La régulation du secteur doit donc évoluer pour leur permettre de relever ce défi; les opérateurs ont besoin de visibilité et de mesures n’entravant pas leurs capacités d’investissement.
Retrouvez l’étude 2017 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2017 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Recommandations du groupe de travail de la Fédération Française des Télécoms. Transition du RTC vers la voix sur IP. Livre blanc. En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
Étude IDATE DIGIWorld : indicateurs de progrès dans les communications électroniques
Étude comparative de la France face aux 5 plus grand pays européens : Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et Royaume-Uni
Tout ce qu’il faut savoir concernant l’arrêt du RTC :
Qu’est-ce que le RTC ?
Le RTC (Réseau Téléphonique Commuté) est le réseau historique permettant d’acheminer vos appels de téléphonie analogique ou numérique fixe sans avoir de box internet. La technologie est ancienne puisqu’elle a été déployée au début des années 1980 et arrive progressivement en fin de vie. Aujourd’hui, la plupart des consommateurs utilisent la téléphonie numérique fixe en voix sur IP ou « VoIP ». En VoIP, les communications utilisent le protocole internet (IP) via une box pour fonctionner. En RTC, ce sont les traditionnels commutateurs qui effectuent la liaison entre l’appelant et l’appelé. La VoIP permet aujourd’hui de remplacer les services RTC pour le consommateur.
La suite dans le document.
Tout ce qu’il faut savoir concernant l’arrêt du RTC :
Qu’est-ce que le RTC ?
Le RTC (Réseau Téléphonique Commuté) est le réseau historique permettant d’acheminer vos appels de téléphonie analogique ou numérique fixe sans avoir de box internet. La technologie est ancienne puisqu’elle a été déployée au début des années 1980 et arrive progressivement en fin de vie. Aujourd’hui, la plupart des consommateurs utilisent la téléphonie numérique fixe en voix sur IP ou « VoIP ». En VoIP, les communications utilisent le protocole internet (IP) via une box pour fonctionner. En RTC, ce sont les traditionnels commutateurs qui effectuent la liaison entre l’appelant et l’appelé. La VoIP permet aujourd’hui de remplacer les services RTC pour le consommateur.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
Suivez-nous sur les réseaux sociaux :
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- Dailymotion : http://www.dailymotion.com/FFTelecoms
- YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCdlwQAmHHOt5vSjeOfc12RQ
Le réseau téléphonique commuté (RTC) fait partie du paysage courant des télécommunications françaises depuis plusieurs décennies.
Il est basé sur une technologie et des équipements qui ont été principalement déployés autour des années 1980. Ce réseau était conçu à l’origine pour un usage purement téléphonique de communications vocales interpersonnelles.
Cependant, depuis cette date, et principalement avant l’avènement de l’ère Internet à la fin des années 1990, l’industrie a développé de nombreux usages sectoriels reposant sur ce réseau. Ces usages comportent des échanges de données dans la bande de fréquences vocales faisant appel à différentes techniques comme les modems ou les fréquences vocales à deux tons DTMF (Dual Tone Multi-Frequency), ou comportent des exigences particulières comme les lignes de sécurité (appel pompiers).
Dans la perspective d’évolution généralisée du RTC vers des technologies de voix sur IP (Internet Protocol), la Fédération Française des Télécoms (FFTelecoms) a mis en place entre mars et décembre 2016 un groupe de travail avec les professionnels des secteurs concernés pour définir des recommandations facilitant la transition du RTC vers la voix sur IP (VoIP), en conservant et adaptant le parc installé des terminaux.
Les informations concernant la fermeture du RTC et le calendrier associé sont consultables sur le site de l’opérateur d’infrastructure Orange.
Ce livre blanc synthétise les analyses et recommandations du groupe de travail en termes de paramétrages des accès VoIP pour permettre à ces usages spéciaux de continuer à fonctionner dans un canal voix.
Il constitue une base permettant aux différents acteurs de travailler dans une direction commune pour permettre de continuer de faire fonctionner au mieux les usages spéciaux construits sur le RTC lorsqu’ils sont transférés tels quels sur des réseaux VoIP. Ceci dans le cadre d’une transition progressive, mais générale, à terme, des réseaux et services vers l’IP.
Rapport sur le marché des télécommunications au Sénégal au 30 septembre 2016ITmag
Le présent rapport fait état des évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet au troisième trimestre 2016.
Plaquette pédagogique "Téléphonie fixe : du RTC vers le tout IP". En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
Les télécoms sont essentiels pour notre pays. Disposer d’infrastructures numériques performantes est un facteur de compétitivité et de progrès. La numérisation de l’économie et de la société implique des investissements massifs et cette dynamique ne peut que s’accroître.
Dans un environnement économique difficile, les opérateurs français déploient des réseaux de grande qualité qui ont permis une explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
À l’heure du très haut débit, préserver leur capacité à innover et à investir est essentiel. La régulation du secteur doit donc évoluer pour leur permettre de relever ce défi; les opérateurs ont besoin de visibilité et de mesures n’entravant pas leurs capacités d’investissement.
Retrouvez l’étude 2017 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2017 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Recommandations du groupe de travail de la Fédération Française des Télécoms. Transition du RTC vers la voix sur IP. Livre blanc. En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
Étude IDATE DIGIWorld : indicateurs de progrès dans les communications électroniques
Étude comparative de la France face aux 5 plus grand pays européens : Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et Royaume-Uni
Tout ce qu’il faut savoir concernant l’arrêt du RTC :
Qu’est-ce que le RTC ?
Le RTC (Réseau Téléphonique Commuté) est le réseau historique permettant d’acheminer vos appels de téléphonie analogique ou numérique fixe sans avoir de box internet. La technologie est ancienne puisqu’elle a été déployée au début des années 1980 et arrive progressivement en fin de vie. Aujourd’hui, la plupart des consommateurs utilisent la téléphonie numérique fixe en voix sur IP ou « VoIP ». En VoIP, les communications utilisent le protocole internet (IP) via une box pour fonctionner. En RTC, ce sont les traditionnels commutateurs qui effectuent la liaison entre l’appelant et l’appelé. La VoIP permet aujourd’hui de remplacer les services RTC pour le consommateur.
La suite dans le document.
Tout ce qu’il faut savoir concernant l’arrêt du RTC :
Qu’est-ce que le RTC ?
Le RTC (Réseau Téléphonique Commuté) est le réseau historique permettant d’acheminer vos appels de téléphonie analogique ou numérique fixe sans avoir de box internet. La technologie est ancienne puisqu’elle a été déployée au début des années 1980 et arrive progressivement en fin de vie. Aujourd’hui, la plupart des consommateurs utilisent la téléphonie numérique fixe en voix sur IP ou « VoIP ». En VoIP, les communications utilisent le protocole internet (IP) via une box pour fonctionner. En RTC, ce sont les traditionnels commutateurs qui effectuent la liaison entre l’appelant et l’appelé. La VoIP permet aujourd’hui de remplacer les services RTC pour le consommateur.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Le réseau téléphonique commuté (RTC) fait partie du paysage courant des télécommunications françaises depuis plusieurs décennies.
Il est basé sur une technologie et des équipements qui ont été principalement déployés autour des années 1980. Ce réseau était conçu à l’origine pour un usage purement téléphonique de communications vocales interpersonnelles.
Cependant, depuis cette date, et principalement avant l’avènement de l’ère Internet à la fin des années 1990, l’industrie a développé de nombreux usages sectoriels reposant sur ce réseau. Ces usages comportent des échanges de données dans la bande de fréquences vocales faisant appel à différentes techniques comme les modems ou les fréquences vocales à deux tons DTMF (Dual Tone Multi-Frequency), ou comportent des exigences particulières comme les lignes de sécurité (appel pompiers).
Dans la perspective d’évolution généralisée du RTC vers des technologies de voix sur IP (Internet Protocol), la Fédération Française des Télécoms (FFTelecoms) a mis en place entre mars et décembre 2016 un groupe de travail avec les professionnels des secteurs concernés pour définir des recommandations facilitant la transition du RTC vers la voix sur IP (VoIP), en conservant et adaptant le parc installé des terminaux.
Les informations concernant la fermeture du RTC et le calendrier associé sont consultables sur le site de l’opérateur d’infrastructure Orange.
Ce livre blanc synthétise les analyses et recommandations du groupe de travail en termes de paramétrages des accès VoIP pour permettre à ces usages spéciaux de continuer à fonctionner dans un canal voix.
Il constitue une base permettant aux différents acteurs de travailler dans une direction commune pour permettre de continuer de faire fonctionner au mieux les usages spéciaux construits sur le RTC lorsqu’ils sont transférés tels quels sur des réseaux VoIP. Ceci dans le cadre d’une transition progressive, mais générale, à terme, des réseaux et services vers l’IP.
La Fédération Française des Télécoms vient de présenter la 5ième édition de de l’étude annuelle sur l’économie des télécoms, réalisée par le cabinet Arthur D. Little. Rappelant que les opérateurs télécoms constituent le socle de l’économie numérique, elle pointe un risque de « décrochage numérique » de la France et de l’Europe, malgré les initiatives récentes et en appelle aux pouvoirs publics pour rééquilibrer les politiques du numérique, en se basant sur les meilleures pratiques observées dans le monde.
Tendance TIC 2009 Inde réalisé par la Mission économique de l'Ambassade de France à New Delhi à l'occasion du Forum Numériglobe organisé par la CCI de Bordeaux. Rapport 2009 Observatoire Aquitain de l'Economie Numérique
A propos de la charte d’engagements pour l’accès des personnes handicapées aux communications
électroniques
La Fédération Française des Télécoms a signé en juin 2011 avec le Ministère des Solidarités et de la Cohésion Sociale,
le Comité Interministériel du Handicap (CIH) et l’Autorité de régulation des communications électroniques et des
postes (ARCEP) et en concertation avec les associations représentatives des personnes handicapées, une charte
d’engagements volontaires pour faciliter l’accès des personnes handicapées aux communications électroniques.
Réalisée en concertation avec les associations de personnes handicapées, cette nouvelle charte illustre la volonté des
opérateurs d’élargir à l’ensemble de leurs produits et services, la démarche initiée en 2005 sur l’accessibilité à la
téléphonie mobile.
Elle s’articule autour de quatre engagements principaux :
1. Proposer des produits et des services accessibles aux personnes handicapées
2. Informer le grand public des offres accessibles aux personnes handicapées
3. Assurer un suivi clientèle adapté aux besoins des personnes handicapées
4. S’inscrire durablement dans une démarche de progrès
Dans le cadre de cette démarche de progrès, il est prévu que la Fédération Française des Télécoms présente chaque
année un bilan consolidé incluant les indicateurs associés à cette charte, tous opérateurs confondus, et valorisant les
bonnes pratiques de chacun des signataires de la charte, sachant que chaque opérateur présente des offres et
services spécifiques à l’attention des personnes handicapées et que ces offres et services relèvent du champ
concurrentiel.
Un premier bilan a été établi pour l’année 2011. Il portait sur les actions de trois opérateurs de communications
électroniques à savoir Bouygues Telecom, Orange et SFR.
Un deuxième a été établi pour 2012 et remis en juillet 2013 dans le cadre d’une conférence de presse, à la Ministre
déléguée auprès de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, chargée des Personnes handicapées et de la Lutte
contre l’exclusion et la Ministre déléguée auprès du ministre du Redressement productif, chargée des Petites et
Moyennes Entreprises, de l'Innovation et de l'Economie numérique,
Il portait sur les actions de trois opérateurs de communications électroniques, Bouygues Telecom, Orange et SFR,
élargi pour certains critères à Virgin Mobile.
Un troisième bilan, réalisé sous l’égide du Comité Interministériel du Handicap (CIH), en concertation avec les
associations représentatives des personnes handicapées, avec l’ARCEP et le CSA, a été établi pour 2013 et remis en
novembre 2014 à la Secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées et de la lutte contre l’exclusion et à la
Secrétaire d’Etat en charge du Numérique.
Le 4e Bilan, portant sur l’année 2015, a été publié en novembre 2016 et présenté aux associations dans le cadre des
travaux du Conseil National Consultatif des Personnes Handicapées (CNCPH) auquel participe le CIH.
Les opérateurs de télécommunications sont des acteurs clés de l’économie nationale : le secteur est, de loin, le premier investisseur privé dans les infrastructures en France, et 2017 a été une année record avec près de 10 milliards d’investissement.
Cet effort massif d’investissement va encore s’amplifier avec l’accélération du déploiement des nouveaux réseaux (4G mobile et très haut débit fixe), notamment grâce à la signature de l’accord dit du « New Deal », signé entre les opérateurs et l’État en janvier 2018, dont la mise en oeuvre se poursuivra
dans les années à venir.
Un tel niveau d’investissement répond à l’explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
Avec des prix de service qui restent les plus bas des grands pays occidentaux, la part des services télécoms dans les dépenses des Français est très faible et elle a continué de diminuer ces dernières années, contrairement à d’autres postes clés de dépenses et à l’évolution des prix dans d’autres secteurs régulés.
La conjugaison de la baisse des revenus - qui s’est confirmée en 2017 - et de la progression des investissements met le secteur français des télécommunications sous tension : malgré des efforts de productivité, le « cash-flow » (flux de trésorerie) du secteur diminue, fragilisant les capacités d’investissement dans l’innovation et les réseaux du futur.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Baromètre mobile marketing association france 3ème trimestre 2013Thierry Pires
La Mobile Marketing Association France publie la quatrième édition du Baromètre trimestriel du Marketing Mobile, en partenariat avec comScore, GfK et Médiamétrie.
Ce baromètre de référence nous renseigne sur les éléments essentiels du marché du mobile en France.
Découvrez mon analyse du 3ème trimestre 2013 sur mon blog http://marketing-webmobile.fr/
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
2. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 1
Introduction
Aux termes de l’article 127 de la loi n°2011-01 du 24 février 2011 portant Code des
Télécommunications, l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) est
chargée, entre autres, « d’assurer le suivi et mettre à la disposition des autorités gouvernementales
et des acteurs des secteurs régulés, des informations pertinentes relatives notamment à la
performance des opérateurs ».
C’est dans ce cadre que l’ARTP a mis en place, en son sein, un Observatoire du marché des
télécommunications qui lui permet de suivre, d’analyser et de présenter régulièrement les évolutions
enregistrées sur le marché des télécommunications au Sénégal. Cet Observatoire est alimenté par
des informations collectées auprès des opérateurs titulaires de licence selon une périodicité et un
format prédéfinis. L’ARTP procède à la publication de tableaux de bord trimestriels sur son site
internet (www.artpsenegal.net) ainsi qu’à la diffusion de rapports réguliers permettant d’assurer une
meilleure visibilité sur le marché des télécommunications.
Le présent rapport résume les évolutions observées sur les marchés de la téléphonie fixe, de la
téléphonie mobile et de l’Internet au quatrième trimestre 2014.
Définition :
Parc de lignes mobiles : C’est l’ensemble des cartes SIM qui ont émis ou reçu un appel et/ou envoyé
ou reçu un SMS au cours des trois derniers mois.
Parc Internet : Il regroupe les abonnements à l’Internet fixe (ADSL/RTC) et les abonnements actifs à
l’Internet mobile (clé Internet/terminal mobile).
Parc Internet mobile : Nombre d’abonnés ayant établi une connexion Internet via un équipement
mobile au cours des trois derniers mois.
Taux de pénétration : Il est obtenu en divisant le nombre total de clients par la population du
Sénégal qui est estimée à 13.508.715 habitants lors du dernier recensement général (source :
rapport définitif recensement 2013 ANSD).
RGPHAE : Recensement Général de la Population et de l’Habitat, de l’Agriculture et de l’Elevage.
3. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 2
Résumé…………………………………..………………….…………………………………….………………..……..………..…...…... 3
Le marché de la téléphonie fixe……………………………………………………………….……….…..…….………….......... 5
Le marché de la téléphonie mobile….………………………………………….…………..…….....………….…………….... 12
Le marché de l’Internet……………………………………………...…………………………………….…………………..….…... 20
4. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 3
RESUME
Ce rapport présente la situation du marché des télécommunications au 31 décembre 2014, ainsi que
les évolutions enregistrées au cours du quatrième trimestre de l’année. L’analyse porte sur les
marchés de la téléphonie fixe, de la téléphonie mobile et de l’Internet.
La téléphonie fixe
Le parc global de lignes de téléphone fixe suit sa tendance à la baisse et s’élève à la fin de ce
trimestre à 311.945 lignes contre 317.653 le trimestre précédent. Ce fléchissement du parc
s’explique principalement par le recul des parcs de lignes résidentielles et publiques. En glissement
annuel, le parc de lignes fixes accuse une baisse de 9,2%.
Le taux de pénétration de la téléphonie fixe s’établit à 2,31%, en baisse de 0,04 point, du fait
essentiellement des pertes de lignes dans le parc résidentiel.
Dans le même temps, le volume des communications émises à partir des lignes fixes poursuit sa
tendance à la baisse. Il est estimé à 22,5 millions de minutes mensuelles contre 23 ,94 millions de
minutes mensuelles au trimestre précédent.
L’opérateur historique Orange détient à la fin de cette année 2014 91,1 % des parts de marché en
termes de lignes, en hausse de 0,4 point par rapport au trimestre précédent. Expresso ne cesse de
perdre des parts (-0,38 point).
La téléphonie mobile
Le parc de lignes de téléphonie mobile, en baisse au troisième trimestre de 2014, a augmenté au
cours du dernier trimestre. Il s’élève à 14.379.729, soit une hausse de 0,19 % en comparaison au
troisième trimestre. L’augmentation du parc de lignes de téléphonie mobile est essentiellement
portée par Orange qui a enregistré une croissance de 1,61 % de son parc.
Le volume des communications émises est estimé à 4,44 milliards de minutes cumulées au cours du
dernier trimestre, en baisse de 3,20 % par rapport au cumul du troisième trimestre de 2014. La
croissance du trafic au ralenti au cours du troisième trimestre est devenue négative en fin
décembre. En glissement annuel, le volume de trafic téléphonique mensuel est estimé à 1,56
milliards de minutes en décembre 2014, en hausse de 26,82%.
Pour les SMS, le trafic est estimé à 407,55 millions d’unités au cours de ce trimestre, soit une baisse
de 14,3 % en glisssement annuel.
5. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 4
La part de marché, en nombre de lignes, de Tigo, continue de baisser depuis septembre et s’éléve à
23,49% en fin décembre. Dans le même temps, Orange avec 56,31% continue de gagner des parts
de marché et Expresso avec 20,20% a perdu 0,09 point de parts de marché.
Le taux de pénétration de la téléphonie mobile s’élève à 106,45% en fin 2014, soit une baisse de
0,21 point par rapport au trimestre précédent.
Le marché de la téléphonie mobile est toujours dominé par les offres prépayées (99,35% du parc
global contre 0,65% pour les offres post payées).
Enfin, la part du trafic on-net voix dans le trafic total devient de plus en plus importante (environ
93,25%). Le reste est réparti entre le trafic voix sortant vers les autres réseaux nationaux environ
3,9% et le trafic sortant vers l’international environ 2,4%.
Les mêmes tendances sont observées, pour le trafic SMS avec environ 95,6 % du trafic total
constitué du trafic SMS on-net.
L’Internet
Le parc d’abonnés à internet enregistre une légère croissance et s’établit en fin 2014 à 6.858.423.
En glissement annuel, la croissance du parc Internet a considérablement ralenti passant ainsi de 60,5
% en décembre 2013 à 2,7%, à la fin de ce trimestre.
Le taux de pénétration de l’Internet au Sénégal poursuit sa progression et s’élève à 50,77 % au
courant de ce trimestre contre 49,42% le trimestre précédent, soit une légère hausse de 1,35 point.
Le segment des clés internet enregistre une perte en fin décembre 2014 au profit de l’internet
mobile hors clés (+ 0,3 point) et représente 93,9% du parc internet total.
Les parts de marché sont réparties entre les trois opérateurs dans des proportions différentes.
Orange détient plus de parts sur ce marché avec globalement 65,08% en termes de parc. Expresso
et Tigo en recul depuis le troisième trimestre suivent avec respectivement 11,12% et 23,79% des
parts de marché globales.
6. I. Le marché de la téléphonie fixe
L’analyse du marché de la téléphonie fixe porte principalement sur le parc de lignes, le taux de
pénétration, les parts de marché des opérateurs ainsi que le trafic. Pour rappel, Sonatel et Expresso
sont les deux opérateurs intervenant sur ce marché.
1. Le parc
Le parc global des lignes de téléphonie fixe est composé du parc de lignes résidentielles,
professionnelles et publiques.
1.1 Evolution trimestrielle du parc global de lignes fixes
Le parc global de lignes de téléphonie fixe, en recul de 1,8% par rapport au trimestre précédent,
s’élève à 311.945 lignes au 31 décembre 2014. En glissement annuel, ce parc a baissé de 9,24% du
fait essentiellement des pertes de lignes dans le parc résidentiel.
1.2 Evolution trimestrielle de la répartition du parc de lignes fixes
L’essentiel du parc de lignes de téléphonie fixe, en fin 2014, est constitué d’abonnés résidentiels
(77,3%) bien que sa part dans le parc total soit en baisse continue tout au courant de l’année.
7. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 6
La part des abonnés professionnels dans le parc total de lignes , en hausse de 0,5 point, s’élève au
cours du quatrième trimestre à 22,3% . Le poids du parc de lignes publiques n’a pas varié(0,4%). Les
lignes publiques regroupent les cybers et télé centres1
.
1.2 Evolution trimestrielle du parc de lignes résidentielles
Le parc de lignes résidentielles suit une tendance à la baisse et s’élève à 241.153, soit un recul de
2,4% par rapport au trimestre précédent.
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Les lignes publiphones sont retirées du parc des lignes publiques du fait qu’elles n’existent plus.
8. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 7
1.4. Evolution trimestrielle du parc de lignes professionnelles
Le parc de lignes professionnelles enregistre une faible croissance au cours de ce trimestre (+0,51%)
en partie expliquée par celle de l’offre ADSL, atteignant 69.526 en fin décembre, en glissement
annuel, ce parc a chuté de 4,06%.
2. Le taux de pénétration
Le taux de pénétration de la téléphonie fixe permet de mesurer le niveau d’utilisation des services
fixes. Il est obtenu en divisant le nombre total des abonnés à la téléphonie fixe par la population du
Sénégal. La population de référence est celle du recensement de 2013 qui est estimée à 13.508.7152
(source ANSD).
2.1 Evolution trimestrielle du taux de pénétration
Le taux de pénétration de la téléphonie fixe est de 2,31% au 31 décembre 2014, soit un
fléchissement de 0,04 point par rapport au trimestre précédent.Cette baisse de la pénétration du
fixe s’explique par une perte de lignes dans le parc global de téléphonie fixe.
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Rapport définitif RGPHAE 2013
9. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 8
3. Les parts de marché
L’analyse des parts de marché permet de mesurer, sur le trimestre, la performance des opérateurs,
l’intensité de la concurrence, ou la position d’un opérateur sur un segment de marché. La part de
marché est obtenue en faisant le rapport entre le parc par opérateur et le parc total.
3.1 Evolution trimestrielle des parts de marché des opérateurs
L’opérateur Expresso a connu une perte continue de parts de marché depuis décembre 2013,soit en
glissement annuel une régression de 5,3 points. L’opérateur historique (Sonatel) reste dominant sur
ce marché avec 91,18% de parts de marché..
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3.2 Evolution trimestrielle des parts de marché des opérateurs sur le segment résidentiel
Les tendances observées sur le segment résidentiel sont les mêmes que celles observées sur le
marché du fixe. En effet sur ce segment, l’augmentation des parts de marché de Sonatel est passée
de 2,32 points à 0,04 point au cours de ce trimestre. Les parts de Expresso suivent par contre une
tendance à la baisse et s’établissent en glissement annuel à 6,67points .
Sonatel est le seul opérateur à intervenir sur les segments professionnel et public.
4. Le trafic
Il s’agit ici du nombre de minutes sortantes, notamment vers les réseaux fixes/fixes nomades, les
réseaux mobiles et vers l’international.
4.1 Evolution mensuelle du trafic voix (en millions de minutes)
Le volume mensuel des communications émises est toujours à la baisse en fin décembre 2014 et
s’établit à 20,49 millions de minutes contre 23,97 millions de minutes en fin septembre, soit un
fléchissement trimestriel du trafic de 4%. En glissement annuel, la croissance des volumes de
communications émises à partir des réseaux fixes des opérateurs a ralenti (15,6%).
11. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 10
4.2 Evolution mensuelle de l’usage moyen sortant par ligne3
(en minutes)
L’usage moyen mensuel par ligne en hausse le trimestre précédent , a considérablement baissé au
cours du deuxième mois de ce trimestre atteingnant son niveau le plus bas en novembre 2014 (65
minutes mensuelle). Ce fléchissement de l’usage moyen est consécutif a une baisse importante du
trafic en novembre 2014.
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L’usage moyen mensuel sortant par ligne est obtenu en divisant le trafic sortant mensuel par le parc moyen
des lignes de téléphonie fixe ; il est exprimé en minute.
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4.3 Evolution mensuelle de la répartition du trafic voix sortant par destination
L’essentiel du trafic sortant des réseaux fixes est terminé vers les réseaux mobiles.En effet, au
courant de ce trimestre, 63,2% du trafic sortant des réseaux fixes est terminé sur les réseaux mobiles
contre 25,5% sur les réseaux fixes. Le trafic sortant vers l’international reste faible (environ 11,3%).
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13. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 12
II. Le marché de la téléphonie mobile
Trois opérateurs sont présents sur le marché de la téléphonie mobile (Expresso, Orange et Tigo).
L’analyse de ce marché porte principalement sur le parc de lignes, le taux de pénétration, les parts de
marché des opérateurs ainsi que le trafic.
1. Le parc
1.1 Evolution trimestrielle du parc global de lignes de la téléphonie mobile
Le parc de lignes de téléphonie mobile, en baisse le trimestre précédent, a augmenté en fin d’année.
Il s’élève à 14.379.729, soit une hausse sur le trimestre de 0,19 %. L’augmentation du parc de lignes
de téléphonie mobile, au cours de ce trimestre est portée par Orange qui a enregistré une croissance
de 1,61 % de son parc.
1.2 Evolution trimestrielle du parc de lignes des opérateurs
Contrairement au parc de Orange qui croit de 1,61% au cours de ce trimestre, ceux de Tigo et
Expresso enregistrent respectivement une baisse de 2,7% et 0,3%.
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1.3 Evolution trimestrielle du parc prépayé et post payé
Le marché de la téléphonie mobile reste toujours dominé par les offres prépayées qui représentent
99,34% du marché. Le parc prépayé en baisse le trimestre précédent a légèrement augmenté,
contrairement au parc post payé, dont la croissance a ralenti.
2. Le taux de pénétration
Le taux de pénétration de la téléphonie mobile permet de mesurer le niveau d’utilisation des
services mobiles. Il est obtenu en divisant le nombre total des abonnés à la téléphonie mobile par la
population du Sénégal. La population de référence est celle du recensement de 2013.
2.1 Evolution trimestrielle du taux de pénétration
Le taux de pénétration de la téléphonie mobile s’élève à 106,45% en fin 2014, soit une baisse de
0,21 point par rapport au trimestre précédent.
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2.2 Evolution trimestrielle du taux de pénétration du prépayé et du postpayé
Sur le segment prépayé, le taux de pénétration suit la même tendance que celle du parc global de
lignes de téléphones mobiles et s’élève à 105,75%, en hausse de 0,16 point par rapport au trimestre
précédent. Il a aussi augmenté de 0,04 point sur le segment post payé.
3. Les parts de marché
L’analyse des parts de marché permet de mesurer la performance des opérateurs, l’intensité de la
concurrence, ou la position d’un opérateur sur un segment de marché. La part de marché est
obtenue en faisant le rapport entre le parcde l’opérateur et le parc total.
3.1 Evolution trimestrielle des parts de marché globales des opérateurs
La part de marché, en nombre de lignes, de Tigo, est en baisse depuis septembre et s’éléve à 23,49%
en fin décembre ,en baisse de 0,30 point par rapport au trimestre précédent. Dans le même temps,
Orange avec 56,31% de part de marché continue de gagner des parts (0,79 point) . Expresso avec
20,20%,en fin décembre a perdu 0,09 point de part de marché.
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3.2 Evolution trimestrielle des parts de marché pour le prépayé
L’analyse des parts de marché par segment montre les mêmes tendances observées sur le marché
global de téléphonie mobile. Sur le prépayé, Orange reste l’opérateur dominant avec 56,26% des
parts de marché, en hausse de 0,81 point par rapport au trimestre précédent. Tigo détient 23,53%
des parts de marché, en baisse de 0,72 point par rapport au trimestre précédent, et Expresso détient
20,21% de parts de marché.
3.3 Evolution trimestrielle des parts de marché pour le post payé
L’opérateur Orange, malgré une perte de 2,8 points, reste dominant avec 64,48% sur le segment du
post payé ; il est suivi de Expresso qui détient 17,87% de part de marché. Tigo a par contre gagné
3,38 points de parts de marché au cours du dernier trimestre.
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4. Le trafic
Il s’agit ici du nombre de minutes sortantes des réseaux mobiles, notamment vers le même réseau,
les autres réseaux et vers l’international.
4.1 Evolution mensuelle du trafic voix sortant (en millions de minutes)
Le volume des communications émises est estimé à 4,44 milliards de minutes cumulées au cours de
ce trimestre, en baisse de 3,20 % par rapport au cumul du trimestre précédent. L’évolution du trafic,
au ralenti le trimestre précédent, devient négative au cours de ce trimestre. En glissement annuel, le
trafic mensuel estimé à 1,56 milliards en décembre 2014 a augmenté de 26,82%. Le pic de trafic le
plus important est cependant enregistré au mois d’aout (1,59 milliards de minutes).
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4.2 Evolution mensuelle de l’usage moyen sortant par client (par minute)
L’usage moyen mensuel suit la même tendance que le trafic. En baisse au cours des deux premiers
mois, il s’est en effet amélioré à la fin du trimestre atteignant son niveau le plus élevé en décembre,
soit 109 minutes par client.
4.3 Evolution mensuelle de la répartition du trafic on-net/off-net
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Le trafic on-net représente 93,9% du trafic émis à partir des réseaux de téléphonie mobile au cours
du dernier trimestre de l’année 2014. La part du trafic off-net national, en baisse, est estimée à 3,9
% au cours de ce trimestre et le trafic international à 2,0%.
4
Le trafic on-net correspond au trafic qui reste dans le réseau de l’opérateur de l’appelant et le trafic off - net
correspond au trafic qui sort vers un réseau tiers (fixe , mobile ou d’un autre opérateur international)
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4.4 Evolution mensuelle du trafic SMS sortant
Le trafic mensuel SMS, contrairement au trafic voix sortant, évolue en dents de scie depuis janvier
2014. Il est estimé à 148,47 millions en décembre 2014, soit une baisse de 14,3 % en glisssement
annuel. En variartion trimestrielle ,il a reculé de 9,92% .
4.5 Evolution mensuelle de l’usage moyen sortant des SMS par client
L’usage moyen mensuel de SMS a considérablement baissé en novembre 2014 (8sms/mois).En
hausse de 2 points fin décembre (10sms/mois), l’usage moyen mensuel atteint la moyenne
annuelle de 2014
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4.6 Evolution mensuelle de la répartition du trafic SMS
La répartition du trafic SMS sortant, en variation à la fin de ce trimestre, suit la même tendance que
le trafic voix. Le trafic on-net représente 95,6% du trafic SMS sortant total. Le trafic SMS off net (hors
trafic international) représente, 2,7% du trafic SMS sortant total contre 1,8% pour le trafic SMS
international.
21. III. Le marché de l’Internet
Le marché de l’Internet est composé des segments suivants :
l’Internet fixe bas débit (qui regroupe les accès fixes dont le débit est inférieur ou égal à 256
Kbps),
l’Internet fixe haut débit (ADSL),
l’Internet mobile à partir des clés Internet,
et l’Internet mobile hors clé Internet (2G et 3G) qui concerne les usagers qui se connectent
via un terminal mobile.
Seules les offres des opérateurs titulaires de licence sont suivies sur le marché de l’Internet. L’analyse
de ce marché porte principalement sur le parc des abonnés, le taux de pénétration, ainsi que les
parts de marché des opérateurs.
1. Le parc
Le parc des abonnés à Internet regroupe les abonnements à l’Internet fixe (ADSL/RTC) et les
abonnements actifs à l’Internet mobile (clé Internet/terminal mobile)
1.1 Evolution trimestrielle du parc global de lignes Internet
La croissance du parc Internet a considérablement ralenti passant ainsi de 60,5 % en décembre 2013
à 2,7%, soit un parc internet qui s’établit en fin 2014 à 6.858.4235
lignes. A noter que Tigo a lancé
son offre 3G+ en décembre 2013.
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Cette évolution du parc au courant des deux derniers trimestres s’explique en partie par un réajustement de la méthode de comptabilisation des abonnés à l’Internet mobile hors clé.
En effet, ce parc est constitué des usagers ayant établi une connexion Internet, facturée ou pas, via un équipement mobile au cours des trois derniers mois.
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1.2 Evolution trimestrielle de la répartition du parc Internet par type d’accès
L’évolution du marché de l’Internet est portée par le segment « Internet mobile hors clés» qui
représente 93,9% du parc total, en hausse de 0,3 point, à la fin de ce trimestre. La part du parc clé
Internet est en légère baisse (4,3% du parc total contre 4,6 % au trimestre précédent). Les segments
fixes haut débit (ADSL) et bas débit restent constants avec respectivement 1,5% et 0,3% du parc
internet total.
1.3 Répartition du parc Internet fixe / mobile
Ainsi, le parc internet mobile atteint 98,2% en termes d’usage en fin décembre 2014, soit en
glissement annuel une hausse de 4,21 points. Le parc Internet fixe reste constant au cours des deux
derniers trimestres, ce qui veut dire que les usagers souscrivent plus aux abonnements à l’Internet
mobile.
23. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 22
1.4 Evolution trimestrielle du parc bas débit6
Le parc bas débit en baisse depuis plus d’un an, s’élève à 17.754 lignes en fin décembre 2014, soit
en glissement annuel, un recul de la croissance du parc de 43%. Par rapport au trimestre précédent,
ce parc est en baisse de 0,97%.
1.5 Evolution trimestrielle du parc ADSL
Le parc ADSL, en baisse au cours des deux derniers trimestres, accuse une légère hausse en fin
décembre 2014. Il s’établit à 103.362, soit une croissance de 0,15% par rapport au trimestre
précédent.
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Seul le parc d’Orange est pris en compte au cours de ce trimestre
24. Rapport trimestriel sur le marché des télécommunications au 31 décembre 2014 Page 23
1.6 Evolution trimestrielle du parc de clés internet
Le parc de clés internet s’élève à 295.839 au 31 décembre 2014, soit une baisse de 3% par rapport
au trimestre précédent et en glissement annuel une croissance de 81,1%. A noter que cette
croissance du parc clés Internet a considérablement fléchi entre septembre et décembre 2014.
1.7 Evolution trimestrielle du parc internet mobile hors clés (2G&3G)7
Le parc internet mobile hors clés est en constante évolution. Il s’établit à 6.441.468 abonnés, soit une
hausse de 2 ,7% par rapport au trimestre précédent.
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Le suivi de cet indicateur a débuté au premier trimestre de l’année 2013.
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2. Le taux de pénétration
2.1 Evolution trimestrielle du taux de pénétration
Le taux de pénétration de l’Internet au Sénégal poursuit sa progression et s’établit à 50,77 % au
courant de ce trimestre contre 49,42% le trimestre précédent, soit une légère hausse de 1,35 point.
La pénétration de l’internet enregistre un bond de 33,86 points sur l’année et la part de l’internet via
les terminaux mobiles représente 33 points.
3. Les parts de marché
L’analyse des parts de marché permet de mesurer la performance des opérateurs, l’intensité de la
concurrence, ou la position d’un opérateur sur un segment de marché. La part de marché est
obtenue en faisant le rapport entre le parc par opérateur et le parc total.
3.1 Evolution trimestrielle des parts de marché des opérateurs, en parc
Le marché de l’Internet est globalement dynamique du point de vue de l’évolution du parc et des
parts de marché des opérateurs. Au 31 décembre 2014, Orange détient globalement 65,08 % des
parts de marché contre 23,79% pour Tigo et 11,12% pour Expresso. Tigo et Expresso ont connu une
baisse continue de part de marché au profit de l’opérateur Orange du fait de la forte augmentation
de son parc Internet mobile de ce dernier.
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Il faut noter que l’opérateur Orange intervient sur tous les segments de marché tandis qu’Expresso
n’intervient pas sur l’Internet fixe haut débit (ADSL). Tigo, pour sa part, n’intervient que sur le
marché de l’Internet mobile (2G/3G) à partir d’un terminal mobile ou d’une clé Internet.
Pour le parc internet bas débit, Expresso a déclaré n’avoir enregistré aucune connexion via un
terminal fixe nomade au cours des quatre derniers mois.
3.2 Evolution trimestrielle des parts de marché pour les clés Internet
Pour ce qui est de l’accès à Internet mobile par clé, Orange et Expresso ont réalisé des performances
au cours de ce trimestre et disposent respectivement de 71,17% et 22,83 % de part de marché. La
part de Tigo a par conséquent fléchi de 0,36 point et s’établit à 6%.
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3.3 Evolution trimestrielle des parts de marché pour l’Internet mobile hors clés internet
Enfin, pour les utilisateurs de l’Internet mobile hors clé internet, Orange dispose de 64,15% de part
de marché, (en hausse de 2 points par rapport au trimestre précédent). Tigo et Expresso suivent
avec respectivement 25,06% et 10,79 %.