Les opérateurs de télécommunications sont des acteurs clés de l’économie nationale : le secteur est, de loin, le premier investisseur privé dans les infrastructures en France, et 2017 a été une année record avec près de 10 milliards d’investissement.
Cet effort massif d’investissement va encore s’amplifier avec l’accélération du déploiement des nouveaux réseaux (4G mobile et très haut débit fixe), notamment grâce à la signature de l’accord dit du « New Deal », signé entre les opérateurs et l’État en janvier 2018, dont la mise en oeuvre se poursuivra
dans les années à venir.
Un tel niveau d’investissement répond à l’explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
Avec des prix de service qui restent les plus bas des grands pays occidentaux, la part des services télécoms dans les dépenses des Français est très faible et elle a continué de diminuer ces dernières années, contrairement à d’autres postes clés de dépenses et à l’évolution des prix dans d’autres secteurs régulés.
La conjugaison de la baisse des revenus - qui s’est confirmée en 2017 - et de la progression des investissements met le secteur français des télécommunications sous tension : malgré des efforts de productivité, le « cash-flow » (flux de trésorerie) du secteur diminue, fragilisant les capacités d’investissement dans l’innovation et les réseaux du futur.
Indicateurs de progrès dans les communications électroniques.
Étude comparative de la France aux 5 plus grands pays européens : Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et Royaume-Uni.
> Qui sommes-nous ?
La Fédération Française des Télécoms réunit depuis 2007 les opérateurs de communications électroniques en France. Elle compte 15 membres et une équipe permanente de neuf personnes autour de Michel Combot, Directeur général. Le Conseil d’administration de la Fédération Française des Télécoms a élu, le 15 mars 2018, Didier Casas en tant que Président, jusqu’en mai 2019. Didier Casas est Directeur général adjoint de Bouygues Telecom et membre de son comité exécutif.
> Les missions de la Fédération :
Représenter les opérateurs nationaux du secteur des télécoms en assurant le dialogue entre les opérateurs, les pouvoirs publics, la société civile, les entreprises et les élus nationaux et locaux.
Accompagner la transition numérique en participant au développement des usages numériques et à l’amélioration de la couverture numérique.
La Fédération et ses membres ont conclu en janvier 2018 un « New Deal » sur l’accélération de la couverture mobile.
Un accord historique entre les opérateurs télécoms et les pouvoirs publics qui traduit un véritable changement de paradigme. Il permet la mise en en oeuvre d’un plan ambitieux d’inclusion numérique des territoires.
> Ils font partie de la Fédération :
Altice-SFR - Arteria - Bouygues Telecom - Colt Technology Services - Euro-Information Telecom - Hub One - Kosc Telecom - La Poste Mobile - Legos - Naxos - Orange - Prosodie - Transatel - Verizon - Worldline
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2020 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Créée le 24 septembre 2007, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) réunit les opérateurs de communications électroniques en France.
Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international.
Pour réaliser ses missions, la Fédération organise dans l’intérêt de ses membres, un dialogue structuré et constant avec l’ensemble des parties prenantes du secteur et de son environnement institutionnel et privé. Elle privilégie chaque fois que possible la
régulation ouverte.
Elle assure de façon exigeante la représentation du secteur sur les questions d’intérêt commun dans le respect absolu des règles de la concurrence en vigueur.
Indicateurs de progrès dans les communications électroniques.
Étude comparative de la France aux 5 plus grands pays européens : Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et Royaume-Uni.
> Qui sommes-nous ?
La Fédération Française des Télécoms réunit depuis 2007 les opérateurs de communications électroniques en France. Elle compte 15 membres et une équipe permanente de neuf personnes autour de Michel Combot, Directeur général. Le Conseil d’administration de la Fédération Française des Télécoms a élu, le 15 mars 2018, Didier Casas en tant que Président, jusqu’en mai 2019. Didier Casas est Directeur général adjoint de Bouygues Telecom et membre de son comité exécutif.
> Les missions de la Fédération :
Représenter les opérateurs nationaux du secteur des télécoms en assurant le dialogue entre les opérateurs, les pouvoirs publics, la société civile, les entreprises et les élus nationaux et locaux.
Accompagner la transition numérique en participant au développement des usages numériques et à l’amélioration de la couverture numérique.
La Fédération et ses membres ont conclu en janvier 2018 un « New Deal » sur l’accélération de la couverture mobile.
Un accord historique entre les opérateurs télécoms et les pouvoirs publics qui traduit un véritable changement de paradigme. Il permet la mise en en oeuvre d’un plan ambitieux d’inclusion numérique des territoires.
> Ils font partie de la Fédération :
Altice-SFR - Arteria - Bouygues Telecom - Colt Technology Services - Euro-Information Telecom - Hub One - Kosc Telecom - La Poste Mobile - Legos - Naxos - Orange - Prosodie - Transatel - Verizon - Worldline
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2020 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Créée le 24 septembre 2007, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) réunit les opérateurs de communications électroniques en France.
Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international.
Pour réaliser ses missions, la Fédération organise dans l’intérêt de ses membres, un dialogue structuré et constant avec l’ensemble des parties prenantes du secteur et de son environnement institutionnel et privé. Elle privilégie chaque fois que possible la
régulation ouverte.
Elle assure de façon exigeante la représentation du secteur sur les questions d’intérêt commun dans le respect absolu des règles de la concurrence en vigueur.
Les opérateurs s’engagent pour l’accessibilité
- 7 400 vendeurs formés (+ 3% par an) ;
- Près de 4 000 heures de communication réalisées en Langue des signes française (LSF) / Langage parlé complété (LPC) / Texte à destination des personnes sourdes et malentendantes ;
- Plus de 115 000 brochures adaptées (+ 65%) ;
- Un dialogue continu entre les associations, les pouvoirs publics et la Fédération avec des actions fortes comme l’appel à projets de la FFTélécoms (avril 2016).
Une offre toujours plus riche adaptée aux différents types de handicaps
- 29 terminaux mobiles adaptés labellisées par les opérateurs ;
- 37 services mobiles ou applications labellisés opérateurs ;
- L’offre issue des développeurs d’OS et d’applications est de plus en plus importante et performante et constitue désormais un relais essentiel à l’offre des opérateurs.
Les opérateurs toujours plus attentifs aux besoins des utilisateurs
- 277 installations gratuites de logiciels dédiés au handicap visuel par les opérateurs et leurs partenaires ;
- La proportion de boutiques adaptées augmente ;
- 12 917 factures adaptées pour plus de service personnalisé. Dématérialisation des factures lisibles grâce à des applications adaptées ;
- Essor des télécommandes ou applications smartphones pour contrôler des interfaces TV par la voix.
En savoir plus : https://www.fftelecoms.org/nos-travaux-et-champs-dactions/telecom-responsable/operateurs-telecoms-poursuivent-actions-personnes-handicapees/
Nous avons tous des mobiles usagés qui traînent dans nos tiroirs !
Chaque année, environ 20 millions de mobiles neufs sont vendus, dont moins de la moitié par les opérateurs télécoms. Or, plus d’un million et demi de mobiles seulement (1 528 463 mobiles) ont pu être collectés par les trois grands opérateurs membres de la Fédération en 2017. Pour faire augmenter ce chiffre, chacun de nous peut agir.
Constat :
- 92% des français de + de 12 ans son équipés d'un téléphone mobile
- 24 millions : c'est le nombre de mobile neufs vendus chaque année en France
Que faisons-nous des mobiles inutilisés ?
- 41% gardent des mobiles inutilisés à la maison
- 22% affirment l'avoir donné à un proche
- 9% déclarent l'avoir trié ou fait recycler
En 2017, les opérateurs Bouygues Telecom, Orange et SFR ont :
- Vendu près de 10 millions de mobiles
- Collectés plus de 1,5 million
Saviez-vous que votre mobile est une mine de matière première : 85% d'un mobile est recyclable (or, plomb, argent, nickel, dérivés du fer, cobalt, cuivre, verre, plastique)
En savoir plus : https://www.fftelecoms.org/grand-public/rapporter-son-mobile-2/
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
Suivez-nous sur les réseaux sociaux :
- Facebook : https://www.facebook.com/fftelecoms/
- Twitter : https://twitter.com/FFTelecoms
- LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/f-d-ration-fran-aise-des-t-l-coms
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- Google+ : https://plus.google.com/u/0/114293986160377341674
- Dailymotion : http://www.dailymotion.com/FFTelecoms
- YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCdlwQAmHHOt5vSjeOfc12RQ
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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- Dailymotion : http://www.dailymotion.com/FFTelecoms
- YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCdlwQAmHHOt5vSjeOfc12RQ
L’aménagement numérique du territoire en matière de téléphonie mobile constitue pour les opérateurs de communications électroniques un engagement fort et constant comme en témoignent les 2,7 milliards d’euros investis au titre de l’année 2016 pour les réseaux mobiles.
La Fédération Française des Télécoms rend publique aujourd’hui l’édition 2014 de l’étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little. Cette nouvelle édition montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Étude IDATE DIGIWorld : indicateurs de progrès dans les communications électroniques
Étude comparative de la France face aux 5 plus grand pays européens : Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et Royaume-Uni
Les télécoms sont essentiels pour notre pays. Disposer d’infrastructures numériques performantes est un facteur de compétitivité et de progrès. La numérisation de l’économie et de la société implique des investissements massifs et cette dynamique ne peut que s’accroître.
Dans un environnement économique difficile, les opérateurs français déploient des réseaux de grande qualité qui ont permis une explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
À l’heure du très haut débit, préserver leur capacité à innover et à investir est essentiel. La régulation du secteur doit donc évoluer pour leur permettre de relever ce défi; les opérateurs ont besoin de visibilité et de mesures n’entravant pas leurs capacités d’investissement.
Plaquette pédagogique "Téléphonie fixe : du RTC vers le tout IP". En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
La quatrième étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Avec la numérisation de l’économie, la valeur se déplace vers les données numériques qui transitent de manière massive et exponentielle sur les réseaux télécoms, via les terminaux et les objets connectés. Pour les acteurs des télécoms et particulièrement pour les opérateurs français, l’enjeu est par conséquent de s’adapter à la révolution numérique en marche, dans un contexte concurrentiel intense et mondialisé. L’évolution du cadre réglementaire et fiscal est une clé essentielle pour relancer l’économie du secteur et permettre aux opérateurs de maintenir un niveau élevé d’investissements en monétisant les nouveaux usages. L’étude formule ainsi des propositions précises, tant au niveau européen qu’au niveau national, pour définir et déployer une stratégie et un plan d’action ambitieux.
L'étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2016 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l'écosystème numérique mondial et celui de la France.
La Fédération Française des Télécoms vient de présenter la 5ième édition de de l’étude annuelle sur l’économie des télécoms, réalisée par le cabinet Arthur D. Little. Rappelant que les opérateurs télécoms constituent le socle de l’économie numérique, elle pointe un risque de « décrochage numérique » de la France et de l’Europe, malgré les initiatives récentes et en appelle aux pouvoirs publics pour rééquilibrer les politiques du numérique, en se basant sur les meilleures pratiques observées dans le monde.
Retrouvez l’étude 2017 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2017 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Recommandations du groupe de travail de la Fédération Française des Télécoms. Transition du RTC vers la voix sur IP. Livre blanc. En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
Les opérateurs s’engagent pour l’accessibilité
- 7 400 vendeurs formés (+ 3% par an) ;
- Près de 4 000 heures de communication réalisées en Langue des signes française (LSF) / Langage parlé complété (LPC) / Texte à destination des personnes sourdes et malentendantes ;
- Plus de 115 000 brochures adaptées (+ 65%) ;
- Un dialogue continu entre les associations, les pouvoirs publics et la Fédération avec des actions fortes comme l’appel à projets de la FFTélécoms (avril 2016).
Une offre toujours plus riche adaptée aux différents types de handicaps
- 29 terminaux mobiles adaptés labellisées par les opérateurs ;
- 37 services mobiles ou applications labellisés opérateurs ;
- L’offre issue des développeurs d’OS et d’applications est de plus en plus importante et performante et constitue désormais un relais essentiel à l’offre des opérateurs.
Les opérateurs toujours plus attentifs aux besoins des utilisateurs
- 277 installations gratuites de logiciels dédiés au handicap visuel par les opérateurs et leurs partenaires ;
- La proportion de boutiques adaptées augmente ;
- 12 917 factures adaptées pour plus de service personnalisé. Dématérialisation des factures lisibles grâce à des applications adaptées ;
- Essor des télécommandes ou applications smartphones pour contrôler des interfaces TV par la voix.
En savoir plus : https://www.fftelecoms.org/nos-travaux-et-champs-dactions/telecom-responsable/operateurs-telecoms-poursuivent-actions-personnes-handicapees/
Nous avons tous des mobiles usagés qui traînent dans nos tiroirs !
Chaque année, environ 20 millions de mobiles neufs sont vendus, dont moins de la moitié par les opérateurs télécoms. Or, plus d’un million et demi de mobiles seulement (1 528 463 mobiles) ont pu être collectés par les trois grands opérateurs membres de la Fédération en 2017. Pour faire augmenter ce chiffre, chacun de nous peut agir.
Constat :
- 92% des français de + de 12 ans son équipés d'un téléphone mobile
- 24 millions : c'est le nombre de mobile neufs vendus chaque année en France
Que faisons-nous des mobiles inutilisés ?
- 41% gardent des mobiles inutilisés à la maison
- 22% affirment l'avoir donné à un proche
- 9% déclarent l'avoir trié ou fait recycler
En 2017, les opérateurs Bouygues Telecom, Orange et SFR ont :
- Vendu près de 10 millions de mobiles
- Collectés plus de 1,5 million
Saviez-vous que votre mobile est une mine de matière première : 85% d'un mobile est recyclable (or, plomb, argent, nickel, dérivés du fer, cobalt, cuivre, verre, plastique)
En savoir plus : https://www.fftelecoms.org/grand-public/rapporter-son-mobile-2/
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L’aménagement numérique du territoire en matière de téléphonie mobile constitue pour les opérateurs de communications électroniques un engagement fort et constant comme en témoignent les 2,7 milliards d’euros investis au titre de l’année 2016 pour les réseaux mobiles.
La Fédération Française des Télécoms rend publique aujourd’hui l’édition 2014 de l’étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little. Cette nouvelle édition montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Étude IDATE DIGIWorld : indicateurs de progrès dans les communications électroniques
Étude comparative de la France face aux 5 plus grand pays européens : Allemagne, Espagne, Italie, Pologne et Royaume-Uni
Les télécoms sont essentiels pour notre pays. Disposer d’infrastructures numériques performantes est un facteur de compétitivité et de progrès. La numérisation de l’économie et de la société implique des investissements massifs et cette dynamique ne peut que s’accroître.
Dans un environnement économique difficile, les opérateurs français déploient des réseaux de grande qualité qui ont permis une explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
À l’heure du très haut débit, préserver leur capacité à innover et à investir est essentiel. La régulation du secteur doit donc évoluer pour leur permettre de relever ce défi; les opérateurs ont besoin de visibilité et de mesures n’entravant pas leurs capacités d’investissement.
Plaquette pédagogique "Téléphonie fixe : du RTC vers le tout IP". En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
La quatrième étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Avec la numérisation de l’économie, la valeur se déplace vers les données numériques qui transitent de manière massive et exponentielle sur les réseaux télécoms, via les terminaux et les objets connectés. Pour les acteurs des télécoms et particulièrement pour les opérateurs français, l’enjeu est par conséquent de s’adapter à la révolution numérique en marche, dans un contexte concurrentiel intense et mondialisé. L’évolution du cadre réglementaire et fiscal est une clé essentielle pour relancer l’économie du secteur et permettre aux opérateurs de maintenir un niveau élevé d’investissements en monétisant les nouveaux usages. L’étude formule ainsi des propositions précises, tant au niveau européen qu’au niveau national, pour définir et déployer une stratégie et un plan d’action ambitieux.
L'étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2016 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l'écosystème numérique mondial et celui de la France.
La Fédération Française des Télécoms vient de présenter la 5ième édition de de l’étude annuelle sur l’économie des télécoms, réalisée par le cabinet Arthur D. Little. Rappelant que les opérateurs télécoms constituent le socle de l’économie numérique, elle pointe un risque de « décrochage numérique » de la France et de l’Europe, malgré les initiatives récentes et en appelle aux pouvoirs publics pour rééquilibrer les politiques du numérique, en se basant sur les meilleures pratiques observées dans le monde.
Retrouvez l’étude 2017 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2017 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Recommandations du groupe de travail de la Fédération Française des Télécoms. Transition du RTC vers la voix sur IP. Livre blanc. En savoir plus sur le site web de la Fédération : https://www.fftelecoms.org/articles/guide-pratique-telephonie-fixe-fin-rtc-vers-tout-ip
Présentation faite sur la numérisation du territoire dans le cadre du club convergence, mobilité et réseau de l'ADIRA (Association pour le Développement de l’Informatique en région Rhône-Alpes)
Fiscalité spécifique : l’évaluation des dispositifs fiscaux imposés aux opérateurs télécoms des 6 pays de l’étude fait apparaître 4 grands enseignements pour le cas de la France :
La France a le niveau le plus élevé de taxes spécifiques au secteur des télécoms, avec 2,98% du chiffre d’affaires total des opérateurs en 2011 (x40 vs Grande-Bretagne)
En France et en Espagne, le secteur des télécoms est un fort contributeur au financement des industries culturelles (cinéma, TV,…) et des collectivités territoriales
Les taxes télécoms représentent 20% des investissements réalisés par les opérateurs télécoms français en 2011
Le taux de fiscalité spécifique et la détérioration des flux de trésorerie des opérateurs français débouchent sur un accroissement de la pression fiscale, critique pour la pérennité des capacités d’investissement des opérateurs et de contribution au financement de la culture
Dans le cadre du Forum des Télécoms et du Net organisé par les Echos le 1’ juin 2012, Pierre Louette, Président de la FFTélécoms a été invité à intervenir à une table-ronde sur l’environnement règlementaire, fiscal et juridique des acteurs du net et des télécoms aux côtés de Philippe Marini, Sénateur UMP de l’Oise, Président de la commission des finances, de François Momboisse, Vice-président en charge de la croissance du CNNum, Président de la FEVAD et Orion Berg, avocat chez White & Case.
Support d'intervention de Gérard Hardy, directeur adjoint du cabinet Tactis.
Assises aquitaines du Très haut débit, organisées le 9 avril 2009 par le Conseil régional d'Aquitaine et AEC, en collaboration avec la Caisse des Dépôts.
http://www.aecom.org
La télévision par câble en France. Efficacité économique et concurrenceJérôme Perani
Réseaux, n° 80, novembre/décembre 1996
Cet article tente d'appliquer les principes de théorie économique au cas de la télévision par câble en France. A l'aide des méthodes d'analyse sectorielle de Michael Porter, il établit un bilan des forces concurrentielles qui exercent dans l'ensemble, en 1996, une pression peu importante sur le secteur des câblo-opérateurs. Cette analyse met à jour un important dérèglement des mécanismes concurrentiels : les câblo-opérateurs sont des monopoles locaux dont les prix ne sont pas réglementés, la concurrence des autres supports multicanaux est limitée alors que celle, forte, de la télévision hertzienne semble n'exercer aucune pression sur les prix des câble-opérateurs, les autorisations exclusives d'exploitation de réseaux câblés annullent toute menace d'entrée potentielle, le pouvoir de négociation des chaînes non intégrées verticalement est faible et les abonnés subissent les comportements monopolistiques des grands opérateurs. Une meilleure efficacité et un meilleur développement du marché du câble pourraient provenir théoriquement de l'introduction d'une concurrence frontale, d'une réglementation des prix des câblo-opérateurs et du développement d'une concurrence exercée par d'autres supports de distribution multicanaux.
Mobile Monday Maroc 6 mai : Internet Mobile par Amine Tazimmmaroc
Né en Finlande en 2000, le Mobile Monday est une communauté de visionnaires, développeurs, professionnels et utilisateurs de la téléphonie mobile. Son objectif est de favoriser la coopération et le développement de partenariats internationaux, au travers de rencontres physiques et virtuelles lors desquelles s'échangent idées, bonnes pratiques, connaissances et tendances venues du monde entier.
Aujourd'hui, le réseau mondial Mobile Monday comprend quelques 20 000 professionnels de la mobilité répartis dans plus de 40 villes parmi lesquelles Austin, Barcelone, Beijing, Kiev, Londres, Los Angeles, Milan, Munich, New York, Paris, Rome, San Francisco, Singapour, Tokyo, etc.
www.mobilemondaymaroc.com
Principaux faits :
L’usage du téléphone portable est généralisé et on estime à 7,7 milliards le nombre des abonnés dans le monde.
Les champs électromagnétiques produits par les téléphones portables sont classés par le Centre international de Recherche sur le Cancer dans la catégorie des cancérogènes possibles pour l’Homme.
Des études visant à évaluer plus complètement les effets potentiels à long terme de l’utilisation des téléphones portables sont toujours en cours.
L’OMS procède régulièrement à une évaluation formelle du risque pour tous les effets sur la santé dus à une exposition à des champs de radiofréquences.
Que dit l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ? Y-a-t-il des effets sur la santé ?
Un grand nombre d’études a été mené au cours des deux dernières décennies pour déterminer si les téléphones portables représentent un risque potentiel pour la santé. À ce jour, il n’a jamais été établi que le téléphone portable puisse être à l’origine d’un effet nocif pour la santé.
Aide-mémoire n°193 de l’OMS sur le téléphone mobile, octobre 2014 dont sont extraites ces citations.
Voir la suite sur notre site internet www.fftelecoms.org.
Tous les opérateurs télécoms français fournissent à leurs clients des outils de contrôle parental pour protéger leurs enfants des contenus choquants et leur permettre de naviguer sereinement sur Internet. D’autres acteurs de l’écosystème numérique (moteurs de recherche, plateformes de partage de vidéos ou fournisseurs de systèmes d’exploitation pour ordinateur ou smartphone) permettent également l’activation de filtres parentaux.
Le contrôle parental : pourquoi ?
Pour permettre à votre enfant de surfer sur Internet de manière autonome et de profiter au mieux des opportunités du numérique selon son âge, il est important de le guider dans ses premières
utilisations et de parler avec lui de ce qu’il y fait, de ce qu’il visionne. Cela vous permettra de lui expliquer quels sont les risques sur Internet1 et comment s’en prémunir.
Il convient également de le protéger de certains contenus susceptibles de le choquer. Sans remplacer la surveillance et l’éducation, le contrôle parental peut aider votre enfant à surfer tranquillement, en bloquant des publicités, images, textes ou vidéos aux contenus choquants ou inadaptés à son âge. Dans certains cas, il permet même de définir des horaires, jours autorisés, durée, en fonction de l’âge de l’utilisateur.
N’hésitez pas à installer un contrôle parental sur chacun des écrans que votre enfant utilise.
Les opérateurs membres de la Fédération Française des Télécoms proposent des offres de contrôle parental. Ces offres peuvent être complétées par les solutions proposées par les autres acteurs du numérique, comme par exemple le contrôle parental des magasins d’applications présents sur les smartphones et tablettes.
1- La Fédération Française des Télécoms a publié un guide à destination des parents « Internet - Comment accompagner & protéger votre enfant ».
FALC = Facile À Lire et à Comprendre.
Permettre à votre enfant de naviguer en toute sécurité sur Internet.
Il y a de plus en plus d’informations sur Internet.
Et il y a de plus en plus d’enfants qui naviguent sur Internet.
Certaines informations ne les concernent pas.
Les parents peuvent avoir des difficultés à contrôler ce que les enfants regardent sur internet.
Aujourd’hui tous les opérateurs télécoms français qui permettent d’avoir internet, comme Bouygues Telecom, Crédit Mutuel Mobile, CIC Mobile, NRJ Mobile, Auchan télécom, Cdiscount Mobile, La Poste Mobile, Orange, SFR, proposent des outils gratuits de contrôle parental.
Ces outils permettent :
• aux parents de protéger leurs enfants de textes, d’images
ou de vidéos choquantes. Par exemple des vidéos pornographiques
• aux enfants de naviguer tranquillement sur Internet, sans avoir
à se demander s’ils ont le droit ou non de regarder un site Internet.
D’autres services proposent des outils de contrôle parental,
par exemple :
• certains moteurs de recherche pour enfants ;
• des services de partage de vidéos ;
• certaines marques d’ordinateurs ou de téléphone ;
• les magasins d’applications.
Le contrôle parental : pourquoi ?
Pour aider votre enfant à bien utiliser Internet à tout âge :
• car il ne peut pas tout regarder ;
• car c’est important de le protéger ;
• pour profiter au mieux d’Internet.
Pour permettre à votre enfant d’utiliser internet sans vous :
• visiter des sites de son âge ;
• empêcher certaines publicités avec des images, des textes
ou des vidéos choquantes ;
• empêcher son accès à Internet à certaines heures : le dimanche
à partir de 21h par exemple. Ou pendant un certain nombre
d’heures par jour : 1h30 par jour par exemple …
Le contrôle parental : comment ?
Il y a de plus en plus d’informations sur internet, mais il y a aussi
de plus en plus d’usages et d’écrans différents pour naviguer
sur internet.
Au début le contrôle parental a été fait pour les ordinateurs.
Aujourd’hui on en a aussi besoin pour les smartphones
et les tablettes, les télévisions, …
Voici ce que proposent les opérateurs :
Sur l’ordinateur familial :
Les opérateurs prévoient des outils de contrôle parental
avec au minimum la possibilité de :
• bloquer systématiquement les sites internet choquants ;
• rajouter manuellement des sites à bloquer ;
• selon les cas, préciser les âges de vos enfants ou les horaires
de connexion que vous autorisez.
(...)
Retrouvez en version anglaise l’étude 2019 d’Arthur D. Little sur l’économie des Télécoms : messages clés et analyses sur l’écosystème numérique mondial et français.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2019 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
Étude 2019 Arthur D. Little sur l'économie des Télécoms (EN)
Plaquette FFTélécoms étude "Économie des Télécoms" 2018
1. Étude “Économie
des Télécoms” 2018
Les opérateurs de télécommunications sont des
acteurs clés de l’économie nationale : le secteur est,
de loin, le premier investisseur privé dans les
infrastructures en France, et 2017 a été une année
record avec près de 10 milliards d’investissement.
Cet effort massif d’investissement va encore
s’amplifier avec l’accélération du déploiement des
nouveaux réseaux (4G mobile et très haut débit fixe),
notamment grâce à la signature de l’accord dit du
« New Deal », signé entre les opérateurs et l’État en
janvier 2018, dont la mise en œuvre se poursuivra
dans les années à venir.
Un tel niveau d’investissement répond à l’explosion
des usages numériques, au bénéfice des citoyens,
des entreprises et des territoires.
Avec des prix de service qui restent les plus bas
des grands pays occidentaux, la part des services
télécoms dans les dépenses des Français est très
faible et elle a continué de diminuer ces dernières
années, contrairement à d’autres postes clés de
dépenses et à l’évolution des prix dans d’autres
secteurs régulés.
La conjugaison de la baisse des revenus - qui s’est
confirmée en 2017 - et de la progression des
investissements met le secteur français des
télécommunications sous tension : malgré des
efforts de productivité, le « cash-flow » (flux de
trésorerie) du secteur diminue, fragilisant les
capacités d’investissement dans l’innovation et les
réseaux du futur.
2. La marge des opérateurs télécom sert à financer des investissements significatifs
Le champion des investissements privés
Comparaison des indicateurs clés du secteur télécoms1
et du cac 40 2017, Base 100 sur le CA
Opérateurs télécoms Moyenne du CAC 40
Source : entreprises, recherches documentaires, Arthur D. Little
Note : 1) Chiffres France au Top 5 des opérateurs français comprenant Orange,
SFR, Bouygues Telecom, Free et EI Telecom 2) Impôts incluant IS et Impôts
Spécifiques
CA100 100
EBITDA34 14
CAPEX 525
Impôts (IS &
Spécifique)
28
Dividendes 22
Des investissements
toujours plus élevés
Les investissements
des opérateurs télécoms
en France
Poids des investissements1
des opérateurs vs. autres secteurs
Source : entreprises, recherches documentaires, Arthur
D. Little
Note : 1) Télécoms : chiffres ARCEP (hors achat de
fréquences); Electricité: RTE (2009 à 2017) et ERDF; RFF;
Autoroutes: ASFA (Sanef, SAPN, ASF….)
Source : ARCEP
9,6
milliards d’€
en 2017 (record d’investissement
de la décennie)
75
milliards d’€
en 10 ans
179c’est l’indice d’effort d’investissement
des opérateurs télécoms en 2017
(indice 100 en 2010)
2014
Autoroutes Réseau
ferré
Tr. / distrib.
d’électricité
Télécoms
7,1
1,6
4,8 5,2
7,4
Réseaux
fixes
Réseaux
mobiles
7,8
8,9
9,6
2015 2016 2017
5 centrales
nucléaires
20 Stades
de France
215
rames TGV
554
collèges
1 179km
d’autoroutes
(soit Paris - Vienne)
4,7
2,3
5,5
2,4
6,2
2,7
6,6
3,0
équivalent chaque année à…
France, 2008-2017,
moyenne annuelle sur 10 ans
en milliards d’euros
3. Des réseaux déployés
à un rythme accéléré
Déploiement des réseaux mobiles
Cumul pour les 3 opérateurs de réseau
de la FFTélécoms (Bouygues Telecom, Orange, SFR)
2
2010
70 000
60 000
50 000
40 000
30 000
20 000
10 000
0
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
Nombre de sites/supports
d’antennes mobiles
Nombre d’antennes 4G autorisées
par l’ANFR et mises en service
66 312 1
56 234 2
Source : www.antennesmobiles.fr, Observatoire ANFR
Note : 1) Au 26/10/2018
2) Au 01/12/2018
Des investissements qui boostent
l’économie nationale
Les télécoms sont un accélérateur économique
3
x63 €Prélévements obligatoires
(recettes fiscales et sociales)
+3
Source : Insee, IDATE, ARCEP observatoire du haut et très haut
débit, Arthur D. Little, Ericsson, Chalmers university of technology
“Socioeconomics effects of broadbrand speeds”.
Face aux 5 plus grands pays européens : la France est au …
- 1er
rangpour les dépenses d’investissement des opérateurs par habitant : 133 € par habitant (hors achat des fréquences)
- 2ème
rang pour les dépenses d’investissement en % du chiffre d’affaires des opérateurs (19 %) (hors achat des fréquences)
Face aux 5 plus grands
pays européens :
la France est au …
- 1er
rangpour la pénétration HD + THD fixe ;
taux de pénétration : 97 pour 100 foyers
- 2ème
rangpour la couverture FTTH
(38 % des foyers) et pour la part des clients 4G
dans le parc (56%) soit près de 45 millions de
clients 4G
- 3ème
rang pour le parc M2M : 15 millions
de cartes SIM pour l’internet des objets
21 millions
d’abonnés haut débit (HD)
Déploiement des réseaux fixes
2018 (T2)
8 millions
d’abonnés très haut débit (THD)
18 millions
de logements éligibles THD
1 €investissement
des opérateurs télécoms
dans les réseaux THD
(fixe mobile)
6 €
Création de PIB cumulé
en France
Source : IDATE
Source : IDATE
Source : ARCEP
Source : IDATE
4. Des prix historiquement bas
Évolution des indices de prix à la consommation d’un échantillon de produits
France, 2010-2017, Base 100 en 2010
5
Source : INSEE
Note : 1) les autoroutes sont incluses dans le poste “Péages d’autoroutes, parcs de stationnement, garages, services d’enlèvement de véhicules”
Source : opérateurs, Arthur D. Little
Note : 1) Offres triple play uniquement ; téléphonie
illimitée au moins vers les fixe ; Internet haut-débit
illimité via x DSL ou fibre ; télévision incluse, hors
packs additionnels ; opérateurs dont la part de
marché 10 %, 2) Appels illimités (quand disponible
sinon 500 minutes), SMS/MMS illimités, Internet
au moins 50 Go ; offres sans terminal, offres sans
engagement quand disponible ; opérateurs dont la
part de marché 10 %
135
130
125
120
115
110
105
100
95
90
85
80
75
70
65
60
2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
132 Services postaux
129 Electricité
117 Transport ferroviaire de voyageurs
114 Gaz de ville
107 Inflation
102 Services autoroutiers1
62 Services de télécommunications
Benchmark d’offres d’opérateurs leaders
Sélection de pays, Novembre 2018, € TTC / mois
Les opérateurs ont baissé leur prix contrairement à d’autres secteurs régulés.
La France a les prix les prix les plus bas des grands pays occidentaux.
15€
23€ 25€
38€ 40€
78€
9€ 10€
23€
60€ 61€
38€ 40€
NA
L’explosion
des usages4
Convergence : face aux 5 plus grands pays européens
la France est au …
- 1er
rangpour la part des abonnés à une offre groupée triple ou quadruple play : 71 % des foyers en sont équipés.
- 2ème
rang pour le nombre d’abonnés VoIP : 28,4 millions de clients.
- 1er
rang pour le nombre de clients actifs IPTV (plus que les 5 autres pays européens réunis !)
4G6 cartes SIM actives sur 10
(+ 66% en deux ans)
X 2
sur 1 an
de la consommation
des données/mois
(3G et 4G)
+ 32 %
en 1 an
d’abonnés THD fixe
supérieur ou égal à
100 Mb/s
Fixe (Triple Play)1
Mobile2
Benchmark
mobile
50 Go
Source : IDATE
5. Source : : Euromonitor, OCDE, Arthur D. Little
Évolution des dépenses des services
de télécoms pour les ménages
Italie, France, Espagne, Allemagne, Suède Royaume Uni,
PPA, 2012-2017
-21%
-11%
-5%
13%
19%
26%
1,5% 2,2% 2,3% 2,9% 1,8%2,0%
Consommation et budget :
- 16,6 euros : montant moyen de la facture mobile
en 2016 en France ;
- La France a les prix les + bas des grands pays occidentaux.
Exemple d’offres d’entrée de gamme : 15 euros offre
“triple play” (internet, TV, téléphone) ; 9 euros offre mobile
(illimitée en voix + forfait données)
Évolution des dépenses
des ménages en services
télécom 2012-2017
Part des dépenses des services de télécoms
dans les dépenses des ménages, 2017
Des investissements à long terme
avec une rentabilité à très long terme
Les opérateurs investissent en permanence
dans leurs réseaux
6
densificationdéploiement
1992
5G
4G
3G
2G
2016 2020
densification maintenancedéploiement
densification maintenance évolutivedéploiement
déploiementexpérimentations
en 2018
Source : analyse Arthur D. Little
L’évolution permanente
des technologies conduit
à superposer les cycles
d’investissement.
Durée de rentabilisation des capitaux investis1
à long terme par secteur2
France, moyenne 2013-2017, nombre d’années
Electricité, gaz et environnement
Télécoms
Grande distribution
Pétrole
Santé
Agro-alimentaire
Industrie
Luxe
52 ans
32 ans
27 ans
25 ans
20 ans
16 ans
13 ans
11 ans
Source : entreprise, Thomson Reuters, Bloomberg, analyse Arthur D. Little
Note : 1) rentabilité des capitaux investis (ROALTC : return on average
long term capital) exprime le rapport entre le résultat dégagé et le capital
engagé. Il se calcule ainsi : résultat d’exploitation x (1 – Impôt sur les
sociétés) / (Capitaux Propres + Dettes financières à LT), 2) Electricité,
gaz et environnement : EDF, Suez, Vinci ; télécoms : Orange, SFR, Iliad,
Bouygues ; grande distribution : Carrefour ; santé : Sanofi ; industrie :
Renault, Safran, Schneider Electric ; luxe : LVMH, L’Oréal, Kering ; agro-
alimentaire : Danone ; pétrole : Total.
Les opérateurs rentabilisent
leurs investissements en
32 ans.
6. Une fiscalité qui handicape le secteur
Une fiscalité spécifique lourde : 1 223 millions d’euros pour les trois principaux
opérateurs de la FFTélécoms dont 1/4 au profit du cinéma et de France TV
7
Source : opérateurs, FFT, Arthur D. Little
Note : 1) Périmètre : impôt sur les sociétés du
top 5 (périmètre reconstitué en 2013 avec l’IS
correspondant à l’IS Numéricable + SFR)
fiscalité spécifique membres FFT, 2) VOD copie
privée
2 484
1 223
(49%)
1 223
(39%)
3 146 Variation
13-17
Fiscalité
spécifique
IS
2013 2017
1 261
(51%)
1 923
(61%)
+ 0 %
+ 52 %
IS1
Fréquences + FH Autres (VOD et copie privée)
IFER cuivre IFER antenne
TOCE (au profit
de FTV)
COSIP (au profit du CNC)
2013 2017
1 261
(51%)
1 923
(61%)
72 2
(3%)
98 2
(3%)
159
(6%)
206
(7%)
133
(5%)
118
(4%)
271
(11%)
199
(6%)
177
(7%)
194
(6%)
411
(17%)
408
(13%)
Montant des impôts et taxes des opérateurs télécoms1
France, 2013 et 2017, millions d’euros et % du total d’impôts et taxes
7. L’Europe des télécoms stagne dans un
marché mondial en pleine croissance
Une fiscalité générale inéquitable et les distorsions de concurrence
face à d’autres acteurs
Évolution des revenus des
opérateurs télécoms par région1
2008 – 2017 en milliards d’euros constants2
Évolution des revenus de
l’écosystème numérique par type
d’acteurs3
2008-2017 en milliards d’euros courants à taux de
change constant 2017
8
Monde Opérateurs
télécoms
Acteurs de
l’internet
Asie Amérique
du Nord
TerminauxEurope
Source : Greewich Consulting, Conseil National du Numérique, PPL Marini, Analyse Arthur D. Little
Opérateurs
télécoms
Acteurs
internet
x 21 1
Exemple de l’impôt sur les sociétés
en France 2017
L’impôt sur les sociétés des
opérateurs télécoms est 21 fois
supérieur à celui des géants de
l’internet.
Note : 1) en % du chiffre d’affaires
+ 50 %
+ 49 %
+ 430 %
+ 55 %
+ 79 %
+ 85 %
+ 13 %
8. Les télécoms français sous tension
Emplois, revenus et investissements des opérateurs
télécoms en France
France, 2010-2017, base 100 en 2010
9
CROISSANCE MOYENNE
ANNUELLE 2010-2017
8,7 %179
149
89
83
83
5,9 %
- 1,6 %
- 2,6 %
- 2,6 %
Source : Thomson Reuters, analyse Arthur D. Little
Note : 1) Nationalité selon la localisation du siège social, 2) Euros courants à
taux de change constant moyen 2017, 1USD = 0,887EUR ,
3) Inclut les acteurs des top 30 hors Asie, Amérique du Nord et Europe
(uniquement Océanie et Amérique du Sud)
Source : ARCEP, DARES, Insee, Arthur D. Little
Note : 1) Effort d’investissement : investissements des opérateurs (hors achat de fréquences) / revenus des opérateurs, 2) Chiffres ARCEP provisoires pour l’année
2017, 3) Chiffre ARCEP, 4) Chiffre ARCEP comprenant une partie des emplois indirects, 5) Chiffres ARCEP provisoires pour l’année 2017 correspondant au revenu
perçu auprès du client final
Capitalisation boursière des
opérateurs télécoms européens
comparée à celle des opérateurs
télécoms américains et aux acteurs
de l’internet (Top 30 du secteur par CA)
En milliards d’euros constants2
Opérateurs télécoms US
Acteurs de l’internet
Opérateurs télécoms
européens
+170 %
+2 %
x 19
2008 2016
320 283 49 327 765 990
180
170
160
150
140
130
120
110
100
90
80
70
60
2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Effort d’investissement1
Investissements opérateurs
(hors achats de fréquences)2
Emplois secteur4
Emplois directs opérateurs3
Chiffre d’affaires5
Ces dernières années, les opérateurs se sont
adaptés et transformés pour accroitre leur effort
d’investissement.
La baisse de rentabilité du secteur, conjuguée
à une lourde fiscalité spécifique qui n’a pas
baissé, a eu un impact négatif sur la valorisation
des opérateurs, par comparaison avec celle des
opérateurs étrangers et surtout de celle des
acteurs mondiaux de l’internet. De plus, les
opérateurs subissent la pression concurrentielle
de ces derniers encore trop peu régulés et tirant
parti du cadre fiscal européen qui leur permet
d’échapper très largement à l’impôt.
Définir un cadre législatif et réglementaire
équitable, favorable à l’innovation et aux
investissements, est une nécessité : l’accord
gagnant-gagnant du « New Deal » de janvier 2018
doit donc servir de modèle à la régulation du
secteur dans les années à venir.
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75116 Paris
Tél. : 01 47 27 72 69 l www.fftelecoms.org