Le rôle de l’information :
Si l’on suppose l’entreprise est un corps vivant, l’information sera le sang qui circule à travers les
veines.
Elle joue un rôle essentiel dans le processus décisionnel au sein de l’entreprise.
Chaque acteur peut se trouver confronter à :
- Un excès d’informations : ce qui rend le traitement et l’analyse de ces données difficile
(difficulté à discerner les degrés d’importance…).
- Déficit d’informations : soit due à un problème de rupture d’informations ou d’un mauvais
traitement des informations précédentes.
-Lorsque l’information circule bien, elle est un facteur de : cohésion, réactivité, innovation,
adaptabilité, implication et motivation, efficacité collective et personnelle, …
→ Ce qui se traduit par : des décisions efficaces, une connaissance de l’environnement.
-Lorsque la circulation de l’information est difficile, elle se transforme en catalyseur de : division,
doute, stress, divergences, inquiétudes, tensions, …
→ Ce qui se traduit par : des conflits de personnes et de priorités.
1. La Théorie : un système qui vise démontrer un phénomène.
Différence entre le compliqué et le complexe :
➢ Un problème complexe après décortication devient compliqué.
➢ Un problème complexe peut devenir compliqué par expérience.
→ Un bon décideur doit toujours avoir dans son équipe une personne qui rend le complexe
compliqué.
Une bonne décision = une bonne information + compétence
Le processus de maturité de l’information passe de la Donnée à
l’Information :
La donnée : un élément brut qui n’a pas été interprété ou mis en contexte.
L’information : une donnée qui a contextualisé.
La connaissance : une information acquise et comprise.
L’intelligence : une connaissance acquise
➢ Une donnée ayant un sens devient une information
➢ Une information comprise devient une connaissance.
➢ Une connaissance acquise et apprise devient une intelligence.
Figure 1: Maturité de l’information
2. Figure 2: les trois types d'information
Connaissance
Explicite
Codifiée et
transmise dans les
langages formelles
et systémiques.
→ bien structurée
et acquise de
manières
formelles.
Tacite
Strictement liée à
une personne, elle
ne peut pas être
exprimée souvent
de manière
précise.
Implicite
Connaissance
personnelle caché,
même de la
conscience de la
personne elle-
même.
Indigène
Local, unique à une
culture ou une
société donnée,
sebase sur
l’expérience et
souvent éprouvée
par des siècles
d’utilisation.
Figure 3 : la connaissance
3. La relation entre connaissance tacite et connaissance explicite :
On admet qu’on a une personne A qui possède une connaissance qu’on suppose tacite, par exemple
« comment nager » et il veut transmettre cette connaissance à une autre personne B. Le processus
de transmission de la connaissance commence par un travail d’accompagnement de la personne A à
la personne B, jusqu’à ce que la personne B saisie cette information et la systémie et classe chez lui
en vue de son développement pour la transmettre à une personne C plus facilement.
En fin de compte cette connaissance va devenir une connaissance explicite pour la personne B après
son apprentissage et compréhension dudit connaissance.
Les modèles de circulation de l’information :
Un modèle est une représentation d’un objet ou d’un événement sous forme idéalisée et abstraite.
L’utilité d’un modèle de circulation de l’information réside dans le degré auquel il se conforme, avec
une correspondance continue des facteurs fondamentaux déterminant un comportement bien défini
d’un message.
En réalité, les modèles de circulation de l’information ne sont que des images, parce qu’ils arrêtent
ou figent un processus interactif essentiellement dynamique à travers une illustration statique.
Les bases de toute communication réussie :
- La logique : informer en touchant la raison.
- L’éthique : inspirer la confiance en touchant les valeurs.
- La psychologie : émouvoir en touchant les affects.
Modèle de LASWELL :
La communication comme étant un processus d’influence et de persuasion, très proche de la
publicité.
4. Modèle de JAKOBSON :
Modèle de GERBNER :
Modèle de NEWCOMB :
Modèle de Matilda et J. RILEY :
Pas de bonnes décisions / pas de mauvaises décisions ; tout dépend des circonstances.
Modèle de PIERCE :
La relation de signe est la clé. Il décrit cette relation de signe avec trois éléments de base de la
sémiotique.
5. Le rôle de l’information :
Si l’on suppose l’entreprise est un corps vivant, l’information sera le sang qui circule à travers les
veines.
Elle joue un rôle essentiel dans le processus décisionnel au sein de l’entreprise.
Chaque acteur peut se trouver confronter à :
- Un excès d’informations : ce qui rend le traitement et l’analyse de ces données difficile
(difficulté à discerner les degrés d’importance…).
- Déficit d’informations : soit due à un problème de rupture d’informations ou d’un mauvais
traitement des informations précédentes.
-Lorsque l’information circule bien, elle est un facteur de : cohésion, réactivité, innovation,
adaptabilité, implication et motivation, efficacité collective et personnelle, …
→ Ce qui se traduit par : des décisions efficaces, une connaissance de l’environnement.
-Lorsque la circulation de l’information est difficile, elle se transforme en catalyseur de : division,
doute, stress, divergences, inquiétudes, tensions, …
→ Ce qui se traduit par : des conflits de personnes et de priorités.
Les difficultés dans la circulation de l’information :
Quelques mécanismes classiques de la mauvaise circulation de l’information au sein d’une
organisation :
- Ralentissement dans sa circulation ;
- Son utilisation comme un instrument de pouvoir ;
- Effet de cloisonnement entre services ;
- Multiplication des canaux d’information ;
- Concurrence interne vis-à-vis de la diffusion d’information ;
- Désinformation ; …