Place d un_rappel_par_le_vaccin_a_arnm_comirnaty_dans_la_strategie_vaccinale_...Société Tripalio
Recommandation de la Haute Autorité de Santé au gouvernement français sur l'introduction d'une dose de rappel de vaccin Pfizer pour lutter contre l'épidémie de coronavirus.
Aperçu sur la notion de coût-efficacité des interventions dans la lutte contre le paludisme - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Maeder Muriel Nirina - Suisse - murielnirina@excite.com
500 jours plus tard: les DRG, contrainte ou opportunité?
Conférence du 27 juin 2013
Organisé par Paianet & Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG)
Intervention:
Stratégies gagnantes et mesures concrètes au niveau international et local
De nouvelles règles, donc une nouvelle stratégie: expériences internationales
Johan Kips
Université de Leuven
Place d un_rappel_par_le_vaccin_a_arnm_comirnaty_dans_la_strategie_vaccinale_...Société Tripalio
Recommandation de la Haute Autorité de Santé au gouvernement français sur l'introduction d'une dose de rappel de vaccin Pfizer pour lutter contre l'épidémie de coronavirus.
Aperçu sur la notion de coût-efficacité des interventions dans la lutte contre le paludisme - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Maeder Muriel Nirina - Suisse - murielnirina@excite.com
500 jours plus tard: les DRG, contrainte ou opportunité?
Conférence du 27 juin 2013
Organisé par Paianet & Hôpitaux Universitaires de Genève (HUG)
Intervention:
Stratégies gagnantes et mesures concrètes au niveau international et local
De nouvelles règles, donc une nouvelle stratégie: expériences internationales
Johan Kips
Université de Leuven
La santé connectée, un défi technique… et humain ! | LIEGE CREATIVE, 12.02.20...Nancy BOVY
La digitalisation s’est imposée dans le domaine de la santé en quelques années, depuis le dossier médical informatisé jusqu’à l’accès à l’iconographie en imagerie médicale, en passant par la prescription électronique. Et la crise sanitaire a encore accentué, dans l’urgence, le recours à la télémédecine.
L’e-santé reste un défi d’avenir par les améliorations à apporter aux outils déjà disponibles, mais aussi par le développement de canaux de communication conviviaux, non anxiogènes, efficients et efficaces, permettant une connexion entre le soignant et son patient, sans sentiment de contrainte pour l’un ou l’autre, et permettant un gain de temps et de qualité des soins dans le respect de la protection des données.
De nombreuses applications voient et verront encore le jour, par exemple dans les maladies chroniques avec un rôle d’éducation et d’auto-surveillance du patient, de surveillance et de suivi par du personnel qualifié. L’objet connecté utilisé doit pouvoir faciliter le dialogue et renforcer la relation entre le professionnel de santé et le patient acteur de sa santé, partenaire dans ses soins.
Dans le contexte sanitaire actuel, cette rencontre-conférence sera l’occasion de poser une réflexion sur la télémédecine et les outils de télé-monitoring. Sur base de leur expérience réciproque de médecin et de développeur de solutions numériques, le Docteur Hélène Van Cauwenberge et Alfred Attipoe aborderont à la fois les opportunités offertes par la digitalisation dans le domaine de la santé, mais aussi les difficultés rencontrées, ainsi que les principaux défis encore à résoudre.
Le GRE-Liège s’associe à cette rencontre-conférence et y présentera brièvement son groupe de pilotage MedTech, dont le but est d’aider au développement de medical devices en région liégeoise (recherche de partenaires, mises en contact, financement du prétotypage) et à leur mise sur le marché.
On (s')inspire
La programmation de LIEGE CREATIVE repose sur les principes de l’intelligence collective. Ainsi, nous vous proposons de prolonger cette rencontre-conférence par un atelier de 30 minutes de réflexion pour identifier, ensemble, des projets qui pourraient être concrétisés avec l’aide du GRE-Liège.
Projection des résultats de l’extension du financement public des services ph...DataNB
Projection des résultats en matière de santé et d’économie conséquents de l’extension du financement public des services pharmaceutiques pour inclure l’administration des vaccins Pneu-P-23 et dcaT/dT par les praticiens en pharmacie au Nouveau Brunswick.
Contexte :
Bien que la loi permette aux professionnels de la pharmacie du Nouveau-Brunswick d’administrer un large éventail de vaccins, le financement public de ces services est actuellement limité aux vaccins contre la grippe et la COVID 19 et a été récemment étendu pour inclure le vaccin antipneumococcique (Pneu P 23) chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. Nous avons utilisé des données administratives pour projeter les résultats en matière de santé et d’économie associés au programme Pneu P 23 actuel et à l’extension du financement public afin d’inclure : 1) les jeunes adultes âgés de 19 ans ou plus dans le cadre du programme Pneu P 23, et 2) les rappels antitétaniques (dcaT/dT).
Méthodes :
Deux scénarios ont été comparés : un modèle réservé uniquement aux médecins, dans lequel ces derniers restent les seuls à administrer le Pneu P 23 et le dcaT/dT financés par le public, puis un modèle mixte dans lequel ce service est également assuré par des professionnels de la pharmacie. Les taux de vaccination par type de praticien ont été projetés sur la base des données de facturation des médecins accessibles par le biais de l’Institut de la recherche, des données et de la formation du Nouveau-Brunswick, en complément avec les tendances observées en matière de vaccination antigrippale par les pharmaciens. Ces projections ont été utilisées avec des données publiques pour estimer les résultats de chaque modèle en matière de santé et d’économie.
Résultats :
Le financement public de l’administration de Pneu P 23 (65 ans et plus), Pneu P 23 (19 ans et plus) et dcaT/dT (19 ans et plus) par des professionnels de la pharmacie devrait permettre d’augmenter les taux de vaccination et d’économiser le temps des médecins par rapport au modèle exclusivement réservé à ces derniers. Le financement public de l’administration du Pneu P 23 et du dcaT/dT par des professionnels de la pharmacie chez les personnes âgées de 19 ans et plus permettrait de réaliser des économies, principalement grâce aux pertes de productivité que cela permettrait d’éviter chez la population active.
Discussion :
L’élargissement aux pharmaciens du financement public pour l’administration du Pneu P 23 et du dcaT/dT chez les jeunes adultes pourrait entraîner une augmentation des taux de vaccination, un gain de temps pour les médecins et une réduction des coûts.
Présentateur: Chris Folkins, Phd
Points principaux de la mise en place d’un programme de lutte contre le paludisme, Par Pascal MILLET (2ème édition du Cours international « Atelier Paludisme » - 2004)
Les solutions logicielles sont l'avenir dans le traitement des maladies chron...LeBloc
Eric Brunet, pour la start up EBCI, spécialisée dans l’activité d’ingénierie logicielle dédiée à la gestion des maladies chroniques, nous dévoile comment les solutions logicielles en e-Santé peuvent améliorer le traitement des maladies chroniques.
Passage d'une organisation centrée sur la production à une organisation centrée sur le résultat, de l'efficacité du médicament à l'efficacité de la prise en charge.
Exemple de gestion des patients diabétiques et de la chirurgie embulatoire
In Ghana, the prevalence of onsite sanitation is more than 85%. This means that when the receptacles containing the faecal sludge are full they have to be collected and treated before discharging into the environment. Unfortunately, there are very few treatment plants available in the country and fecal sludge is mostly dumped into water bodies, drains, trenches, farms, bushes, and other unauthorized places.
The document analyzes two proposals to improve transportation in Ghana: a bus rapid transit system in Accra and upgrading ferry service on the Volta River. It finds that a bus rapid transit system could save over 2 million hours of travel time per year, worth over $3 million in economic benefits. For the ferry service, the analysis estimates benefits from reduced transportation costs, emissions, and road maintenance, finding a benefit-cost ratio above 1 for both proposals, indicating both interventions could improve mobility and reduce congestion in Ghana.
La santé connectée, un défi technique… et humain ! | LIEGE CREATIVE, 12.02.20...Nancy BOVY
La digitalisation s’est imposée dans le domaine de la santé en quelques années, depuis le dossier médical informatisé jusqu’à l’accès à l’iconographie en imagerie médicale, en passant par la prescription électronique. Et la crise sanitaire a encore accentué, dans l’urgence, le recours à la télémédecine.
L’e-santé reste un défi d’avenir par les améliorations à apporter aux outils déjà disponibles, mais aussi par le développement de canaux de communication conviviaux, non anxiogènes, efficients et efficaces, permettant une connexion entre le soignant et son patient, sans sentiment de contrainte pour l’un ou l’autre, et permettant un gain de temps et de qualité des soins dans le respect de la protection des données.
De nombreuses applications voient et verront encore le jour, par exemple dans les maladies chroniques avec un rôle d’éducation et d’auto-surveillance du patient, de surveillance et de suivi par du personnel qualifié. L’objet connecté utilisé doit pouvoir faciliter le dialogue et renforcer la relation entre le professionnel de santé et le patient acteur de sa santé, partenaire dans ses soins.
Dans le contexte sanitaire actuel, cette rencontre-conférence sera l’occasion de poser une réflexion sur la télémédecine et les outils de télé-monitoring. Sur base de leur expérience réciproque de médecin et de développeur de solutions numériques, le Docteur Hélène Van Cauwenberge et Alfred Attipoe aborderont à la fois les opportunités offertes par la digitalisation dans le domaine de la santé, mais aussi les difficultés rencontrées, ainsi que les principaux défis encore à résoudre.
Le GRE-Liège s’associe à cette rencontre-conférence et y présentera brièvement son groupe de pilotage MedTech, dont le but est d’aider au développement de medical devices en région liégeoise (recherche de partenaires, mises en contact, financement du prétotypage) et à leur mise sur le marché.
On (s')inspire
La programmation de LIEGE CREATIVE repose sur les principes de l’intelligence collective. Ainsi, nous vous proposons de prolonger cette rencontre-conférence par un atelier de 30 minutes de réflexion pour identifier, ensemble, des projets qui pourraient être concrétisés avec l’aide du GRE-Liège.
Projection des résultats de l’extension du financement public des services ph...DataNB
Projection des résultats en matière de santé et d’économie conséquents de l’extension du financement public des services pharmaceutiques pour inclure l’administration des vaccins Pneu-P-23 et dcaT/dT par les praticiens en pharmacie au Nouveau Brunswick.
Contexte :
Bien que la loi permette aux professionnels de la pharmacie du Nouveau-Brunswick d’administrer un large éventail de vaccins, le financement public de ces services est actuellement limité aux vaccins contre la grippe et la COVID 19 et a été récemment étendu pour inclure le vaccin antipneumococcique (Pneu P 23) chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. Nous avons utilisé des données administratives pour projeter les résultats en matière de santé et d’économie associés au programme Pneu P 23 actuel et à l’extension du financement public afin d’inclure : 1) les jeunes adultes âgés de 19 ans ou plus dans le cadre du programme Pneu P 23, et 2) les rappels antitétaniques (dcaT/dT).
Méthodes :
Deux scénarios ont été comparés : un modèle réservé uniquement aux médecins, dans lequel ces derniers restent les seuls à administrer le Pneu P 23 et le dcaT/dT financés par le public, puis un modèle mixte dans lequel ce service est également assuré par des professionnels de la pharmacie. Les taux de vaccination par type de praticien ont été projetés sur la base des données de facturation des médecins accessibles par le biais de l’Institut de la recherche, des données et de la formation du Nouveau-Brunswick, en complément avec les tendances observées en matière de vaccination antigrippale par les pharmaciens. Ces projections ont été utilisées avec des données publiques pour estimer les résultats de chaque modèle en matière de santé et d’économie.
Résultats :
Le financement public de l’administration de Pneu P 23 (65 ans et plus), Pneu P 23 (19 ans et plus) et dcaT/dT (19 ans et plus) par des professionnels de la pharmacie devrait permettre d’augmenter les taux de vaccination et d’économiser le temps des médecins par rapport au modèle exclusivement réservé à ces derniers. Le financement public de l’administration du Pneu P 23 et du dcaT/dT par des professionnels de la pharmacie chez les personnes âgées de 19 ans et plus permettrait de réaliser des économies, principalement grâce aux pertes de productivité que cela permettrait d’éviter chez la population active.
Discussion :
L’élargissement aux pharmaciens du financement public pour l’administration du Pneu P 23 et du dcaT/dT chez les jeunes adultes pourrait entraîner une augmentation des taux de vaccination, un gain de temps pour les médecins et une réduction des coûts.
Présentateur: Chris Folkins, Phd
Points principaux de la mise en place d’un programme de lutte contre le paludisme, Par Pascal MILLET (2ème édition du Cours international « Atelier Paludisme » - 2004)
Les solutions logicielles sont l'avenir dans le traitement des maladies chron...LeBloc
Eric Brunet, pour la start up EBCI, spécialisée dans l’activité d’ingénierie logicielle dédiée à la gestion des maladies chroniques, nous dévoile comment les solutions logicielles en e-Santé peuvent améliorer le traitement des maladies chroniques.
Passage d'une organisation centrée sur la production à une organisation centrée sur le résultat, de l'efficacité du médicament à l'efficacité de la prise en charge.
Exemple de gestion des patients diabétiques et de la chirurgie embulatoire
In Ghana, the prevalence of onsite sanitation is more than 85%. This means that when the receptacles containing the faecal sludge are full they have to be collected and treated before discharging into the environment. Unfortunately, there are very few treatment plants available in the country and fecal sludge is mostly dumped into water bodies, drains, trenches, farms, bushes, and other unauthorized places.
The document analyzes two proposals to improve transportation in Ghana: a bus rapid transit system in Accra and upgrading ferry service on the Volta River. It finds that a bus rapid transit system could save over 2 million hours of travel time per year, worth over $3 million in economic benefits. For the ferry service, the analysis estimates benefits from reduced transportation costs, emissions, and road maintenance, finding a benefit-cost ratio above 1 for both proposals, indicating both interventions could improve mobility and reduce congestion in Ghana.
Urban sanitation coverage in Ghana like in many other developing countries is low with only 25% of the people with access to basic sanitation (improved, non-shared sanitation) (Appiah-Effah et al., 2019). Already, poor urban sanitation is strongly linked to increased disease burdens and associated cost (Berendes et al., 2018; Prüss-Ustün et al., 2019).
The Accra Metropolitan Area (AMA) is suffering from a major urban infrastructure gap. The region’s increasing economic growth has triggered rapid urbanization, characterized by expansion of built-up environment – roads, parking lots, and other structures with impervious surfaces that do not allow water to infiltrate easily so as to replenish the water table.
The economic growth literature suggests that the volume of infrastructure stock as well as its quality positively and impacts economic growth by, among others, decreasing the cost of production and transportation of goods and services, improving the productivity of input factors, and creating indirect positive externalities.
Poverty remains a problem. There is an overall reduction in national poverty over the last 3 decades, but this masks the persistent spatial concentration of poverty and high inequality.
Poverty remains a problem in Ghana. There is an overall reduction in national poverty over the last 3 decades, but this masks the persistent spatial concentration of poverty and high inequality.
Integration of the youth (15- to 34-year-olds) in Ghana, who represents 35 percent of the population, into full and productive employment can be an important driver for growth and sustained development. The inability to improve labor productivity in the country continues to limit the performance of firms and enterprises across different economic sectors.
Over 1.6 million people died globally in 2017 from harmful exposure to PM2.5 emissions from household use of solid fuels such as wood, coal, charcoal, and agricultural residues for cooking according to estimates by the Global Burden of Disease 2017 (GBD 2017) Project.
1) The document analyzed the costs and benefits of establishing an integrated aluminum industry in Ghana from mining bauxite to producing aluminum. The estimated annual costs ranged from $1-3.2 billion while benefits ranged from $934 million to $3.6 billion, resulting in a small average benefit-cost ratio of 1.1.
2) It also briefly discussed special economic zones but noted there was insufficient data for a formal cost-benefit analysis. Emerging evidence suggests focusing on economy-wide reforms rather than geographically delimited zones, which are likely to have a benefit-cost ratio of less than 1.
3) A summary table compares the estimated annual benefits, costs, and benefit-cost ratios for the
The document discusses three potential solutions to challenges facing Ghana's artisanal fisheries:
1) Replacing illegal fishing nets, which would cost GHS 267 million but yield GHS 1.3 billion in benefits over 10 years.
2) Limiting fishing boats and providing training and subsidies for aquaculture, costing GHS 3.8 billion and earning GHS 4.5 billion in benefits.
3) Installing video devices on trawl vessels to reduce illegal practices, costing GHS 22.4 million initially and GHS 10.7 million annually, while increasing artisanal profits by GHS 260 million annually.
Although the free senior high school (SHS) policy has greatly increased enrolment, it has led to a mismatch in the demand for secondary education and the available educational infrastructure. The double-track system was introduced to circumvent this hurdle.
The document presents cost-benefit analyses of two interventions to improve learning levels in Ghanaian basic schools: (1) Expanding Ghana's School Feeding Program and (2) Teaching at the Right Level (TaRL), a pedagogical approach. For school feeding expansion, the benefit-cost ratio is 4.8, with benefits including increased lifetime income. For TaRL, targeting instruction to all students has a higher BCR of 8.3 than targeting weaker students (BCR of 6.0), but the latter benefits more vulnerable groups. Both interventions show sizeable returns relative to costs from improving test scores and future earnings.
TB is responsible for around 5 percent of total deaths in Ghana annually, and the decline in TB burden is markedly slow, with an average 2.5 percent reduction in TB incidence year on year (GTB 2018).
With a population of nearly 30 million people, WHO estimates that approximately 13% of the population in Ghana suffer from a mental disorder, of which 3% suffer from a severe mental disorder and the other 10% suffer from a moderate to mild mental disorder (WHO, 2007).
Over the last three decades, Ghana has invested large amounts of effort in implementing various strategies to reduce maternal and child mortality in the country.
1. Vaccination et gestion des maladies de
l’enfant – Haïti
Analyse coûts avantages
Karin Stenberg (stenbergk@who.int), Organisation mondiale de la santé (OMS), Genève, Suisse
Ludovic Queuille (Queuillelm@paho.org), Organisation panaméricaine de de la santé (OPS/OMS), Port-au-Prince, Haïti
Rachel Sanders (RSanders@avenirhealth.org), Avenir Health, Washington DC, EUA
Marcus Cadet (marcuscade87@yahoo.fr), Ministère de la santé publique et le population (MSPP), Port-au-Prince, Haiti
Conférence du projet Haïti Priorise (http://www.copenhagenconsensus.com/haiti-priorise)
Port-au-Prince - Haïti, du 29 avril au 2 mai 2017
2. Plan
1) Contexte – Justification
2) Gestion des maladies infantiles les plus courantes
- Gestion des diarrhées et des IRA (P3)
- Estimation des coûts
- Estimation des avantages
- Ratio avantages coûts (RAC)
3) La vaccination des enfants
- Vaccination des enfants (P1 et P2)
- Estimation des coûts
- Estimation des avantages
- Ratio avantages coûts (RAC)
4) Discussion
3. Mortalités infantiles très élevées
• En dépit des progrès, 49 enfants décèdent avant d’atteindre l’âge de 5 ans
chaque jour
• Taux de mortalité infanto-juvénile (Nb décès enfants de moins de 5 ans pour 1,000
naissances vivantes: 69 (source: UN Estimates)
• Ces décès, largement évitables, représentent une grande perte pour la
société
• La valeur intrinsèque de la santé
• Effets économiques et sociaux
• Les infections respiratoires aiguës (IRA) et les diarrhées sont les
causes principales de des décès postnatals
• 48% des décès des enfants (UN Estimates)
• En combinant les mortalités et morbidités, elles représentent les 2ème et 3ème plus
grandes causes de perte d’années de vie saine (IHME, 2016)
5. Gestion des diarrhées et des IRA
Paquet de services offerts au niveau primaire du système de santé:
• Antibiotiques orales pour les IRA (pneumonie)
• Gestion des diarrhées avec sérum de réhydratation orale (SRO) et zinc
• Antibiotiques pour le traitement des dysenteries
RMQ: Bon rapport coût-efficacité de ces interventions (Edejer et al (2005), DCP2 (2006),
DCP3 (2015))
6. Estimation des coûts (1/2)
Estimation des coûts par an
• Intrants médicaux et autres*
• Coûts d’approvisionnement et de stockage
• Coûts opérationnels institutionnels pour la prestation de
service (consultations et hospitalisations)*
• Gestion de programme
* Hypothèses de coûts basées sur les standards de l’OMS (UN-OneHealth Tool)
Spectrum-GCEA/ UN-OneHealth Tool (LiST)
• Nombres d’épisodes de maladies estimés par an
(2017-2036)
• Analyse utilisant les données du pays
7. Estimation des coûts (2/2)
Coûts ajoutés pour une couverture à 95%, USD 2014 / HTG 2014:
• Coût moyen annuel : USD 61.5 million (HTG 2 781 million)
• Coût moyen annuel par habitant : USD 5.07 (HTG 229)
• Soit 8% des dépenses courantes de santé (2012/2013)
8. 0
10
20
30
40
50
60
70
80
U5MR IMR
Baseline (2015)
80% coverage
95% coverage
- 12%
Estimation des avantages
• 3 800 décès d’enfants évités par an pour une
couverture à 80%
• 5,000 décès d’enfants évités par an pour une
couverture à 95%
• Conversion des décès évités en Année de vie
saine (HLYs) valorisées à 1, 3 and 8 x
PIB/habitant
Diminutions estimées des TM infanto-
juvénile et infantile
• Interventions selon les causes spécifiques
de mortalité
- 10%
Spectrum-GCEA/ UN-OneHealth Tool (LiST)
9. Ratios avantages-coûts (RAC)
Une année de vie saine = 3 x PIB/habitant
Taux
d’actualisation
par an
Avantages
2018-2036
(HTG md)
Coûts
2018-2036
(HTG md)
RAC
Gestion des maladies
de l’enfant les plus
courantes (couverture
à95%)
3% 229.6 22.5 10.2
5% 129.0 18.9 6.8
12% 32.9 11.2 2.9
11. Vaccination des enfants (P1 et P2)
Paquet Vaccins
Routine du PEV
(P1)
BCG, Polio, Rougeole (1 dose), DTC/Penta, Rota
virus
Routine du PEV +
PCV13
(P2)
BCG, Polio, Rougeole (1 dose), DTC/Penta, Rota
virus
+ PCV13 (pneumococcal vaccine)
PEV: Programme élargi de vaccination (Programme national de vaccination)
12. Estimation des coûts et des avantages (P1, P2 et P3)
Coût moyen annuel ajouté (million USD )
Intrants
médicaux et
autres
Prestations
de services
Approvision
nement et
stockage
Gestion de
programme
Coûts totaux
annuels
Nb moyen
d’HLYs
sauvées /
an
Coût (USD)
par HLY
sauvées
Routine PEV (P1) 2.8 3.0 2.6 8.8 17.3 87,850 196
Routine PEV (P1) + PCV-
13 (P2) 17.5 4.4 17.2 22.8 61.9 142,019 436
Gestion des maladies
de l’enfant les plus
courantes (P3) 3.3 25.8 1.1 31.3 61.5 244,065 252
Combinaison P2 + P3 20.8 30.1 18.4 30.9 100.2 325,866 308
13. RAC combinant vaccination et gestion des maladies
de l’enfant
Couverture à 95%
Une année de vie saine = 3 x PIB/habitant
0
2
4
6
8
10
12
Routine EPI
(P1)
Routine
EPI+PCV13
(P2)
Management
of childhood
illness (P3)
Combination
(P4)
Package Interventions
Routine du PEV
(P1)
Vaccins: BCG, Polio, Rougeole (1
dose), DTC/Penta, Rotavirus
Routine du PEV +
PCV13 (P2)
Vaccins: BCG, Polio, Rougeole (1
dose), DTC/Penta, Rotavirus +
PCV13.
Gestion des
maladies de
l’enfant les plus
courantes (P3)
SRO+ zinc + Antibiotiques oraux
pour les IRA + Antibiotiques pour
le traitement des dysentries
Combinaison (P4)
P2 + P3
10.4
3.7
6.8
4.5
14. Discussion
RACs très intéressants (niveau de preuve très élevé) pour le calendrier de vaccination
actuelle et la gestion des maladies de l’enfant les plus courantes
Besoin d’analyse financière pour l’introduction du PCV13
Défis
Suppression du paiement direct pour les soins infantiles les plus courants
Mise en œuvre effective de la stratégie PCIME
Priorisation et rationalisation des ressources disponibles en faveur de la santé de
l’enfant au niveau primaire
Augmentation du financement public de la santé (pérennité – les vaccins)
Amélioration des performances du système de santé
Amélioration de la santé maternelle et diminution de la pression démographique
(planification familiale, amélioration des niveaux d’éducation et socio-économique)
Notes de l'éditeur
IHME (2016) Haiti country profile: http://www.healthdata.org/haiti
DCP: The most recent cost-effectiveness estimates for the treatment of pneumonia are from the 2nd edition of Disease Control Priorities in Developing Countries (Simoes and others 2006), and suggest that cost- effectiveness is US$516 per DALY averted in LMICs overall (US$342 per DALY averted in South Asia and US$282 per DALY averted in Sub-Saharan Africa). These costs are averaged across nonsevere cases treated in communities or local facilities along with severe and very severe cases treated in hospitals.
The most cost-effective interventions for diarrhea, based on cost per DALY averted, are prophylactic zinc supplementation as an adjunct to ORS (US$10 to US$50 per DALY averted), ORS (US$150 per DALY averted), rotavirus vaccine (US$100 per DALY averted at the Gavi price in LICs), and household-level water treatment in rural areas using chlorination or solar disinfection (US$180 to US$200 per DALY averted) (figure 17.1).
DCP: The most recent cost-effectiveness estimates for the treatment of pneumonia are from the 2nd edition of Disease Control Priorities in Developing Countries (Simoes and others 2006), and suggest that cost- effectiveness is US$516 per DALY averted in LMICs overall (US$342 per DALY averted in South Asia and US$282 per DALY averted in Sub-Saharan Africa). These costs are averaged across nonsevere cases treated in communities or local facilities along with severe and very severe cases treated in hospitals.
The most cost-effective interventions for diarrhea,based on cost per DALY averted, are prophylactic zinc supplementation as an adjunct to ORS (US$10
to US$50 per DALY averted), ORS (US$150 per DALY averted), rotavirus vaccine (US$100 per DALY averted at the Gavi price in LICs), and household-level water treatment in rural areas using chlorination or solar disinfection (US$180 to US$200 per DALY averted) (figure 17.1).
DCP: The most recent cost-effectiveness estimates for the treatment of pneumonia are from the 2nd edition of Disease Control Priorities in Developing Countries (Simoes and others 2006), and suggest that cost- effectiveness is US$516 per DALY averted in LMICs overall (US$342 per DALY averted in South Asia and US$282 per DALY averted in Sub-Saharan Africa). These costs are averaged across nonsevere cases treated in communities or local facilities along with severe and very severe cases treated in hospitals.
The most cost-effective interventions for diarrhea,based on cost per DALY averted, are prophylactic zinc supplementation as an adjunct to ORS (US$10
to US$50 per DALY averted), ORS (US$150 per DALY averted), rotavirus vaccine (US$100 per DALY averted at the Gavi price in LICs), and household-level water treatment in rural areas using chlorination or solar disinfection (US$180 to US$200 per DALY averted) (figure 17.1).