Guide technique d’accreditation Analyses microbiologiques des produits et env...Marie Wyon
Ce guide peut aussi être un outil pour les laboratoires mettant en œuvre les normes du domaine agroalimentaire dans un autre domaine d’application (matières fertilisantes et supports de culture notamment).
Guide technique d’accreditation Analyses microbiologiques des produits et env...Marie Wyon
Ce guide peut aussi être un outil pour les laboratoires mettant en œuvre les normes du domaine agroalimentaire dans un autre domaine d’application (matières fertilisantes et supports de culture notamment).
Ce document réponds à 10 questions que vous pouvez vous poser au sujet d'ISO 22000. Il vous permettra de savoir si ISO 22000 s'adresse à vous, quelles sont les démarches pour y accéder...
Le document est couplé d'un récapitulatif sur les normes ( qu'est ce que c'est, à quoi ça sert, est-ce indispensable...) qui s'adresse surtout aux non-initiés.
Manager les risques professionnels à l’hôpital, c’est mettre en place une organisation pour identifier, analyser et réduire les risques auxquels sont exposés les professionnels dans les milieux de soin. La démarche d'implémentation doit être transversale, préventive, basée sur le principe de l'amélioration continue mais aussi sur la collaboration et l’échange d’informations entre
les différents acteurs concernés par la santé et la sécurité au travail.
Pour les entreprises alimentaires, à tous les maillons de la chaîne de notre alimentation. La preuve de la maîtrise de la qualité hygiénique des denrées alimentaires est l’élément incontournable pour leur développement. Une absence de maîtrise de la sécurité alimentaire est une condamnation à court terme, par perte de confiance des clients, consommateurs compris. C’est donc une contrainte à la fois sociale et économique.
Module 1 :Contexte – Introduction à la Qualité et aux Signes de Qualité liée...ExternalEvents
http://www.fao.org/fileadmin/templates/olq/documents/tunisie/ppp/PPP.zip
Module 1 :Contexte – Introduction à la Qualité et aux Signes de Qualité liée à l’Origine
Ce document réponds à 10 questions que vous pouvez vous poser au sujet d'ISO 22000. Il vous permettra de savoir si ISO 22000 s'adresse à vous, quelles sont les démarches pour y accéder...
Le document est couplé d'un récapitulatif sur les normes ( qu'est ce que c'est, à quoi ça sert, est-ce indispensable...) qui s'adresse surtout aux non-initiés.
Manager les risques professionnels à l’hôpital, c’est mettre en place une organisation pour identifier, analyser et réduire les risques auxquels sont exposés les professionnels dans les milieux de soin. La démarche d'implémentation doit être transversale, préventive, basée sur le principe de l'amélioration continue mais aussi sur la collaboration et l’échange d’informations entre
les différents acteurs concernés par la santé et la sécurité au travail.
Pour les entreprises alimentaires, à tous les maillons de la chaîne de notre alimentation. La preuve de la maîtrise de la qualité hygiénique des denrées alimentaires est l’élément incontournable pour leur développement. Une absence de maîtrise de la sécurité alimentaire est une condamnation à court terme, par perte de confiance des clients, consommateurs compris. C’est donc une contrainte à la fois sociale et économique.
Module 1 :Contexte – Introduction à la Qualité et aux Signes de Qualité liée...ExternalEvents
http://www.fao.org/fileadmin/templates/olq/documents/tunisie/ppp/PPP.zip
Module 1 :Contexte – Introduction à la Qualité et aux Signes de Qualité liée à l’Origine
Réflexion sur l'élimination du paludisme - Présentation de la 7e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - Andrianasolo Rado - Madagascar - aradonirina@hotmail.com
Quels sont les systemes de surveillance pour évaluer le poids du paludisme? - Présentation de la 6e édition du Cours international « Atelier Paludisme » - RAKOTONDRAZAFY Simon - Médecin Entomologiste - Madagascar - simonhpa2@yahoo.fr
L'impact de l’utilisation des pesticides chimiques et ses enjeux au SenegalCheikh Sy
Ce bref expose nous présente un dilemme qu'est l'utilisation des pesticides chimiques et leurs divers impacts traduits par quelques indicateurs. Nous invitant a la réflexion sur des alternatives durables, la JCR-CRY (Jeunesse Consciente et Responsable) se propose être la plateforme a ces échanges.
Combinaison des approches génétique et de modélisation pour développer un nouveau biomarqueur non invasif de résilience basé sur les métabolites du lait, par Marie Ithurbide - INRAE
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Organisé par le CIIRPO, ce webinaire fait le point sur les différents types de boiteries chez les brebis et les béliers illustrées de photos. Les modes de prévention et les traitements possibles sont cités.
L’équipe du projet BeBoP a proposé un webinaire le 30 mai 2024 pour découvrir comment la technologie vidéo, combinée à l’intelligence artificielle, se met au service de l’analyse du comportement des taurillons.
PROVINLAIT - Bâtiment et bien-être estivalidelewebmestre
Le changement climatique s’exprime de plus en plus par la manifestation d’épisodes caniculaires et par la diminution de la ressource fourragère en été, ce qui contraint les éleveurs à rentrer leur troupeau plus fréquemment. Les animaux logés en bâtiment pendant la période estivale sont exposés à un stress thermique qui peut altérer leur bien-être et leurs performances à court et moyen terme. La conception du bâtiment ou certains équipements peuvent permettre de réduire ce stress pour assurer un meilleur confort aux animaux pendant les périodes de fortes chaleurs.
Alternative - Complément au Tramway et 3ème lien de la ville de Québec Daniel Bedard
An update of this presentation has been done with Slide 16 that has been updated and 17 &18 has been added, only.
Cette présentation a été ajournée avec la diapo 16 qui a été modifié et la 17 & 18 qui a été ajouté.
Voir ici
https://www.slideshare.net/slideshow/alternative-au-3eme-lien-et-complement-au-tramway-de-la-ville-de-quebec-rev-1-som-pdf/269774781
CDPQ Infra dévoile un plan de mobilité de 15 G$ sur 15 ans pour la région de Québec. Une alternative plus économique et rapide, ne serait-elle pas posssible?
- Valoriser les infrastructures ferroviaires du CN, en créant un Réseau Express Métropolitain (REM) plutôt qu'un nouveau tramway ou une combinaison des 2.
- Optimiser l'utilisation des rails pour un transport combiné des marchandises et des personnes, en accordant une priorité aux déplacements des personnes aux heures de pointes.
- Intégrer un téléphérique transrives comme 3ème lien urbain dédiés aux piétons et cyclistes avec correspondance avec le REM.
- Le 3 ème lien routier est repensé en intégrant un tunnel routier qui se prolonge avec le nouveau pont de l'Île d'Orléans et quelques réaménagemet de ses chausées.
https://www.linkedin.com/in/bedarddaniel/
English:
CDPQ Infra unveils a $15 billion, 15-year mobility plan for the Quebec region. Wouldn't a more economical and faster alternative be possible?
Leverage CN's railway infrastructure by creating a Metropolitan Express Network (REM) instead of a new tramway or a combination of both.
Optimize the use of rails for combined freight and passenger transport, giving priority to passenger travel during peak hours.
Integrate a cross-river cable car as a third urban link dedicated to pedestrians and cyclists, with connections to the REM.
Rethink the third road link by integrating a road tunnel that extends with the new Île d'Orléans bridge and some reconfiguration of its lanes.
https://www.linkedin.com/in/bedarddaniel/
Rénovation des prairies sans labour est-ce possible en bio.pdfidelewebmestre
Il est parfois nécessaire de rénover ses prairies lorsque la productivité ou la qualité n'est plus au rendez-vous, ou lorsque le couvert en place s'est dégradé. Le recours au labour est fréquent mais n'est pas toujours réalisable, voire souhaitable dans certains contextes (sol superficiel, caillouteux, ...) ; il peut favoriser l'érosion et modifie la structure du sol. Face à ces constats, plusieurs partenaires (Arvalis, Idele, la Blanche Maison et l'AFPF) se sont réunis dans le cadre du projet "Praigly" pour tenter de trouver des itinéraires techniques alternatifs à la destruction ou la rénovation de prairies.
Note Agro-climatique et prairies n°4 - Juin 2024idelewebmestre
Ce printemps maussade n’a pas facilité la gestion de l’herbe et cette situation perdure encore aujourd’hui. Conséquence des précipitations et des températures proches de la moyenne, la pousse de l’herbe n’a pas atteint son pic habituel, entraînant pour l’instant une perte sèche de production pour les exploitations. Mais cette humidité devrait permettre de maintenir la pousse de l’herbe sur une partie de cet été. Le plus gros des fauches a eu lieu le week-end de l’Ascension et les foins ont commencé au compte-goutte début juin. Si le rendement est satisfaisant, la qualité est rarement au rendez-vous du fait d’une végétation épiée. Quelques parcelles ne sont toujours pas portantes et certains animaux sont encore affouragés en bâtiment dans la moitié Nord. Les semis de maïs ont eux aussi été retardés et ne sont pas encore terminés sur la majorité des régions.
Alternative - Complément au Tramway et 3 ème lien de la ville de Quebec (PDF)Daniel Bedard
CDPQ Infra unveils a $15 billion, 15-year mobility plan for the Quebec region. Wouldn't a more economical and faster alternative be possible?
English follow after french.
La Caisse Dépot Province de Québec CDPQ, dévoile un plan de mobilité de 15 G$ sur 15 ans pour la région de Québec. Une alternative plus économique et rapide, ne serait-elle pas posssible?
- Valoriser les infrastructures ferroviaires du CN, en créant un Réseau Express Métropolitain (REM) plutôt qu'un nouveau tramway ou une combinaison des 2.
- Optimiser l'utilisation des rails pour un transport combiné des marchandises et des personnes, en accordant une priorité aux déplacements des personnes aux heures de pointes.
- Intégrer un téléphérique transrives comme 3ème lien urbain dédiés aux piétons et cyclistes avec correspondance avec le REM.
- Le 3 ème lien routier est repensé en intégrant un tunnel routier qui se prolonge avec le nouveau pont de l'Île d'Orléans et quelques réaménagemet de ses chausées.
Cette présentation est la mem que la première à l'exception de la diopo 16 et 17 qui a été ajouté.
English:
- Leverage CN's railway infrastructure by creating a Metropolitan Express Network (REM) instead of a new tramway or a combination of both.
- Optimize the use of rails for combined freight and passenger transport, giving priority to passenger travel during peak hours.
- Integrate a cross-river cable car as a third urban link dedicated to pedestrians and cyclists, with connections to the REM.
- Rethink the third road link by integrating a road tunnel that extends with the new Île d'Orléans bridge and some reconfiguration of its lanes.
This as my prevoius presentation except for slide 16 &17 that have been added.
Gestion des alertes et des crises alimentaires en France - Journée Réglementation Fermière
1. 1
GESTION DES ALERTES ET DES
CRISES ALIMENTAIRES EN FRANCE
Marie-Pierre Donguy
Mission des Urgences Sanitaires – DGAL
2. 2
ABRÉVIATIONS
DGAL : Direction générale de l’Alimentation
SIVEP : Service d’Inspection Vétérinaire et Phytosanitaire aux frontières
(= postes d’inspection frontaliers)
LNR : Laboratoire National de Référence
DGCCRF : Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et
de la Répression des Fraudes (protection des consommateurs)
DD(CS)PP : Direction Départementale de la Protection des Populations
DGS : Direction Générale de la Santé
ARS : Agence Régionale de Santé
ANSP : Santé Publique France
CNR : Centre National de Référence
ANSES : Agence Nationale de Sécurité Sanitaire, de l'alimentation, de
l'environnement et du travail (comprend l’ex AFSSA)
RASFF : Rapid Alert System for Food and Feed
3. SD de la qualité
et de la
protection des
végétaux
SD du pilotage et
des politiques
sanitaires
transversales
SD des affaires
sanitaires
européennes et
internationales
SD de la santé
et de la
protection
animale
SD de la qualité
de l'alimentation
SD de la sécurité
sanitaire des
aliments
Fonctions
transversales
Fonctions techniques
Service de la prévention des risques
sanitaires de la production primaire
Service de l'alimentation Service de la coordination des
actions sanitaires
Directeur Général
Mission d'appui au pilotage de la performance
Brigade d'enquêtes vétérinaires et phytosanitaires
Mission des urgences sanitaires
SD = sous direction
Mission des affaires générales
Fonctions
administrativ
essupport
Mission de valorisation des orientations stratégiques
LA DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ALIMENTATION (DGAL) -
Organigramme
4. Création en juillet 2008
Service transversal, placé directement auprès du
Directeur Général de l’Alimentation
Équipe de 10 personnes : 1 chef de MUS + 1 adjointe
+ 6 techniques + 1 assistante + 1 référente PISU
Champ de compétence : alertes
- produits d’origine animale et denrées alimentaires en
contenant impliquant ou non des cas humains
- santé animale
- alimentation animale
- domaine végétal (production primaire)
LA MISSION DES URGENCES SANITAIRES (MUS)
5. Gestion des alertes, des urgences et des crises sanitaires
dans les domaines alimentaire, animal et végétal.
Point de contact concernant les alertes avec les autres
services de l'État (DGS/DGCCRF), Santé Publique France
(ANSP) et les réseaux d'alerte communautaire et internationaux
(RASFF/INFOSAN).
Préparation et suivi des procédures liées à la gestion des
alertes et des crises sanitaires.
Animation du réseau des personnes contacts en relation
avec les urgences sanitaires.
Communication de crise en lien avec la délégation à
l’information et à la communication du ministère de l’agriculture
Missions de la MUS
5
6. 66
Faire cesser l’exposition des consommateurs, des
animaux et des plantes au risque,
Faire cesser la contamination des produits, des
animaux ou des plantes,
Alerter sur les risques encourus
OBJECTIFS GÉNÉRAUX DE LA GESTION DES ALERTES ET
URGENCES SANITAIRES
Surveillance efficace
Détection précoce
Réaction rapide, efficace et adaptée
Communication
8. 5 Ministères en charge de la Santé, de
l’Agriculture, de l’Environnement, du
Travail et de la Consommation
Agence nationale de sécurité
sanitaire (ANSES)
Évaluation des risques
Séparation fonctionnelle entre évaluation des risques et
gestion des risques
1999
Définition de la politique nationale
Mise en oeuvre, surveillance, contrôle
Gestion des risques
Tutelle
9. 9
ORGANISATION DES AUTORITÉS SANITAIRES
=> une chaîne de commande unique
PARIS
Gouvernement et administrations
centrales
Min. en charge de l’agriculture :
DGAL
Min. en charge de l’économie :
DGCCRF
Min. en charge de la santé : DGS
REGIONS (18)
DRAAF / DIRECCTE / ARS
DEPARTEMENTS (101)
DD(CS)PP / DDT(M)
Élaboration de la règlementation
nationale
Définition des stratégies
nationales
Pilotage, coordination
et mutualisation
Assure la mise en
oeuvre
ZONE DE DEFENSE (8)
Dispositif ORSEC
Alertes
10. Niveau
National
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET
DES FINANCES
Direction générale de la
concurrence, de la
consommation et de la
répression des fraudes
DGCCRF
MINISTÈRE DE
L’AGRICULTURE ET DE
L’ALIMENTATION
Direction
générale de
l'alimentation
DGAL
Brigades
d’enquêtes
nationales
Niveau
régional
Niveau
départemental
DIRECCTE
DRAAF
(SRAL)
DDecPP DDTMSIVEP
MINISTÈRE DES
SOLIDARITES ET DE LA
SANTE
Direction
générale de la
santé
DGS
ARS
DT-ARS*
*Délégation territoriale de l’agence régionale de santé
REPARTITION DES COMPETENCES EN CAS D’ALERTE D’ORIGINE
ALIMENTAIRENiveau
National
Niveau
régional
Niveau
départemental
11. Niveau
National
MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET
DES FINANCES
Direction générale de la
concurrence, de la
consommation et de la
répression des fraudes
DGCCRF
MINISTÈRE DE
L’AGRICULTURE ET DE
L’ALIMENTATION
Direction
générale de
l'alimentation
DGAL
Brigades
d’enquêtes
nationales
MINISTÈRE DES
SOLIDARITES ET DE LA
SANTE
Direction
générale de la
santé
DGS
Département des
Urgences Sanitaires (DUS)
Mission des Urgences
sanitaires (MUS)
Unité d’Alerte
(UA)
PCN pour le RASFF
(PCN pour RAPEX)
REPARTITION DES COMPETENCES EN CAS D’ALERTE D’ORIGINE
ALIMENTAIRE
Produits d’origine végétale et certaines
denrées contenant de l’animal et du
végétal
Aliments diététiques
Additifs, OGM, composition, étiquetage,
substances « non autorisées »*,
matériaux au contact => tous produits
(animal ou végétal)
*ajoutées frauduleusement (sudan, CO, mélamine...)
Produits d’origine animale et
denrées en contenant
Plantes avant leur récolte
Résidus médicaments
vétérinaires => tous produits
Cas humains ou risque
important
PCN pour EWRS et
pour IHR
PCN pour le RASFF
et pour INFOSAN
PCN = point de
contact national
12. ANSES et ses
laboratoires
Évaluation du risque :
Santé Publique France
- évaluation du risque
- avis techniques
- proposition de mesures de gestion
Surveillance de l’état sanitaire de la
population en lien avec les réseaux de
médecins, d’hôpitaux et de laboratoires
Surveillance des cas humains :
Centres Nationaux de
Référence (laboratoires)
Chacun spécialisé dans un type de
contaminant
AUTRES ORGANISMES IMPLIQUÉS EN CAS
D’ALERTE
Laboratoires :
Laboratoires Nationaux de Référence
Laboratoires pour les contrôles officiels
Laboratoires pour les autocontrôles
15. 1. Documents
Documents spécifiques :
• Textes en vigueur (nationaux, européens)
• Protocoles interministériels
• Procédures internes (DGAL, DGCCRF)
• Fiches réflexes – Documents types (gestion,
communication)
• Instructions aux services déconcentrés
• Documentation ou Avis scientifiques
• Guide d’aide à la gestion des alertes d’origine
alimentaire
• Annuaires de crise
15
OUTILS DES AUTORITÉS SANITAIRES
16. 2. Matériels
• Bases de données spécifiques ou partagées : base de
données Access avec enregistrements des alertes
émises par les DD(CS)PP, un numéro par alerte
• Messagerie courriel dédiée (DGAL, DGCCRF, services
déconcentrés)
• Sécurité informatique et téléphonie
• Site Intranet et site Internet des ministères
3. Compétences (formation des services de contrôle,
exercices)
4. Permanence des services de l’État (hors heures ouvrables)
16
OUTILS DES AUTORITÉS SANITAIRES
17. Portail intranet
A destination des agents du MAA
- Documentation technique
- Instructions
- Avis de l’ANSES
- Logigramme d’aide à la décision
- Guide des alertes
- Fiches de notification d’une alerte
- Fiches réflexes par contaminant
- Tableaux récapitulatifs des alertes
au niveau national, actualisé
chaque semaine …
18. Quand notifier une non-conformité ?
Qui notifie une non-conformité ?
A qui notifier une non-conformité ?
Comment notifier une non-conformité ?
Quand l’administration informe-t-elle les
professionnels ?
Quels sont les professionnels informés
par l’administration ?
Quels interlocuteurs pour la gestion des
alertes ?
Quelles mesures de gestion ?
Quand et comment communiquer ?
LE GUIDE D’AIDE À LA GESTION DES ALERTES D’ORIGINE
ALIMENTAIRE
19. 1. Critères réglementaires : Critères microbiologiques (R.
2073/2005), LMR pour les médicaments vétérinaires (R.
37/2010), TM pour certains contaminants (R.
1881/2006), ...
2. Seuils d’alerte pour d’autres couples contaminant /
matrice
Avis scientifiques, réglementation antérieure, retours
d’expérience des alertes alimentaires
Guideline du 26 janvier 2010 d’application du R.
178/2002 : (extrait) « Les denrées peuvent être
impropres à la consommation lorsqu’elles risquent de
poser un problème pour la santé en fonction du
niveau de contamination […] des aliments contenant
une teneur anormalement élevée de micro-
organismes non pathogènes » 19
Principes harmonisés et nationaux pour
l’évaluation et la gestion des alertes
20. 20
COMMENT NOTIFIER ?
par écrit et sans délai
modèle unique et
harmonisé de document
proposé dans le guide :
la fiche de transmission
de l’alerte*
*cf. annexe VII du Guide de gestion des alertes d'origine alimentaire (version publiée du 2 juillet 2009)
21. Fiche de notification DD(CS)PP MUS
⇒ Enregistrement alerte, numéro unique de suivi dans base de
données interne
22. Détection d’une non-conformité
2 points de départ : produits et/ou cas humains
22
Évaluation de la situation
Conditions de prélèvements, d’analyses, critères réglementaires,
avis scientifiques, données sur le produit, l’évolution du
pathogène, la destination, guide d’aide à la gestion des alertes …
Mise en œuvre des actions
- par le professionnel
- par les autorités compétentes
SCHÉMA GÉNÉRAL D’UNE ALERTE ALIMENTAIRE
Denrée
dangereuse
23. Évaluation de la situation : par qui
Par les professionnels (autocontrôles,
plaintes consommateurs)
Par l’administration au niveau local et/ou niveau
national (signalement des professionnels, contrôles
officiels, information d’un autre pays, cas humains)
Par l’ANSES sur demande de l’administration
si contaminant inhabituel
Par Santé Publique France en cas de cas
humains (hors TIAC classiques)
24. ● Information du fournisseur et des clients
• Signalement du dysfonctionnement à l’autorité
compétente locale : notification de l’alerte
• Prise de mesures de gestion portant sur le devenir des
denrées concernées (retrait et/ou rappel de produits)
• Recherche des causes du dysfonctionnement constaté
• Mise en œuvre de mesures correctives ou préventives au
sein de l’établissement de production ou de distribution
permettant d’éviter le renouvellement du
dysfonctionnement
ACTIONS À METTRE EN PLACE PAR LES EXPLOITANTS DU
SECTEUR ALIMENTAIRE
25. 25
RETRAIT (article 2, point h de la Directive 2001/95/UE)
« Toute mesure visant à empêcher la distribution et
l’exposition à la vente d’un produit ainsi que son offre au
consommateur »
RAPPEL
article 2, point g de la Directive 2001/95/UE)
« Toute mesure visant à obtenir le retour d'un produit dangereux
que le producteur ou le distributeur a déjà fourni au consommateur
ou mis à sa disposition »
Guide de gestion des alertes :
« Toute mesure visant à empêcher après distribution, la
consommation ou l’utilisation d’un produit par le consommateur
et/ou à l’informer du danger qu’il court éventuellement s’il a déjà
consommé le produit
ACTIONS SUR LES PRODUITS
26. Inspection de l’établissement
Vérification des BPH, du PMS,
Vérification de la pertinence et de
l’effectivité des mesures prises ou
envisagées (retrait et/ou rappel,
mesures correctives)
+/- Réalisation de prélèvements
officiels
+/- Prescription de mesures
complémentaires
Niveau local
DDecPP
Enregistrement alerte, centralisation et
analyse et suivi des informations
Appui technique et réglementaire aux
DDecPP (+/- instructions nationales)
Envoi de recommandations d’actions aux
DD(CS)PP
Coordination au niveau intra-DGAL,
interministériel, européen et international
Vérification (2ème niveau) du bon
fonctionnement :
- de la chaîne de l’information
- de la mise en œuvre des mesures
préventives et correctives
+/- Communication (vers le public ou les
professionnels)
Niveau national
Ex : DGAL/MUS
ACTIONS DES AUTORITÉS SANITAIRES
Produit d’origine animale et denrée en contenant
27. Vers les consommateurs => RAPPEL
Vers les médias
Vers les services de contrôles ou les
ambassades
Vers les professionnels (agro-alimentaires ou
santé)
Vers d’autres pays ou institutions (RASFF, DG
SANCO, ECDC, EWRS, pays tiers, INFOSAN…)
COMMUNICATION
28. 28
le produit et ses modalités
de commercialisation
la conduite à tenir en cas de
détention du produit et de son
éventuelle consommation
Un numéro d’appel pour renseignement
la nature du danger et les
risques encourus
33. 33
Publications ou
Interventions
Retours d’expérience
Interne et/ou services déconcentrés
Inter administrations ou structures
Avec professionnel(s)
Bilans
En interne
Vers professionnels
Vers public
Information des
professionnels agro-
alimentaires
Amélioration pratiques
Orientation contrôles
produits
Plans de surveillance/plans de
contrôles
Contrôles frontières
Filière, process,
Établissement, Produit
Orientation
inspections
Modifications
documentaires
Réglementation,
Instructions,
Procédures etc.
Information des
professionnels santé
Amélioration
prévention/détection
Saisine
ANSES
EXPLOITATION DES ALERTES ET CRISES
ALERTES
34. une législation adaptée
un système de surveillance et de contrôle organisé
une coopération entre les différents partenaires
(administrations, organismes compétents, professionnels …)
des documents de référence (protocoles, procédures,
instructions, guides, modèles types …)
une circulation efficace et rapide des informations entre les
différents partenaires
Le bon fonctionnement du système d’alerte et une bonne
gestion nécessite :
CONCLUSION
35. 35
Merci de votre attention
Marie-Pierre Donguy
DGAL/MUS mission des urgences sanitaires
01 49 55 59 04
alertes.dgal@agriculture.gouv.fr