PIERRE GATTAZ ET GIORGIO SQUINZI
Le président du Medef et le président
de la Confindustria plaident pour un environnement
financier plus favorable aux PME et aux ETI.
Avec des taux de croissance qui font pâlir les pays de l’Europe de l’Ouest, rejoignant les 7% en 2017, la Roumanie et les proches territoires comme la Serbie ou la Moldavie sont devenus les places essentielles du commerce de l’Union Européenne. Un potentiel dont Marc Huot, PDG d’Eastrategies, cabinet de conseil à l’import-export Société d’accompagnement à l’international dans les pays de l’Europe de l’Est (ou centrale et Orientale), a su exploiter les opportunités, tout en permettant le développement d’un commerce bilatéral unique entre la France et la Roumanie. Article Paru dans n°172 Informations Entreprise, Avril, Mai et Juin 2019
Depuis 1994, l'État et la Caisse des Dépôts ont lancé une dizaine de plans, de programmes, de structures destinés à soutenir la création et la croissance des entreprises françaises, et notamment des petites. Et en y consacrant toujours plus de capitaux. Mais sans jamais vraiment évaluer les résultats.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
L’Observatoire des Entrepreneurs – PME Finance présente l’édition 2015 de son étude annuelle « Le financement des PME, vers la désintermédiation ? ».
Conçu cette année sur un support allégé, ce document a principalement pour but de rassembler de façon opérationnelle les chiffrages de nombreux autres observatoires ou organisations de PME. En 2015, l’étude annuelle de PME Finance est organisée en trois parties :
- les sources des financements : l’épargne des ménages et les fonds publics nationaux et européens alimentent-ils mieux les PME ?
- les canaux des financements : comment évoluent les financements des PME en fonds propres, en quasi fonds propres, et en dette ?
- les emplois des financements : comment les PME utilisent-elles leurs financements (trésorerie, investissements, etc.) et quelle est leur situation financière ?
10e Rapport annuel sur l’évolution des PME et des ETI en 2014 publié par l'Observatoire des PME de Bpifrance : 35 articles et 200 tableaux et graphiques sur les thèmes de la démographie d'entreprise, des problématiques de financement, et des comportements de R&D et d'innovation des PME et des ETI en France.
Avec le Rapport interactif, accédez à des compléments d'analyse et des données en open data ou téléchargez, en tout ou partie, le pdf du Rapport sur :
http://www.bpifrance-lelab.fr/rpme2014
Abonnez-vous aux alertes pour être informé de la sortie de l'édition 2015, prévue pour février 2016.
Le Financement des PME (étude PME Finance)PME Finance
Découvrez les premières pages de l'étude de l'Observatoire des Entrepreneurs de PME Finance sur Le Financement des PME, à paraître au mois d'octobre chez Les Echos Etudes
Avec des taux de croissance qui font pâlir les pays de l’Europe de l’Ouest, rejoignant les 7% en 2017, la Roumanie et les proches territoires comme la Serbie ou la Moldavie sont devenus les places essentielles du commerce de l’Union Européenne. Un potentiel dont Marc Huot, PDG d’Eastrategies, cabinet de conseil à l’import-export Société d’accompagnement à l’international dans les pays de l’Europe de l’Est (ou centrale et Orientale), a su exploiter les opportunités, tout en permettant le développement d’un commerce bilatéral unique entre la France et la Roumanie. Article Paru dans n°172 Informations Entreprise, Avril, Mai et Juin 2019
Depuis 1994, l'État et la Caisse des Dépôts ont lancé une dizaine de plans, de programmes, de structures destinés à soutenir la création et la croissance des entreprises françaises, et notamment des petites. Et en y consacrant toujours plus de capitaux. Mais sans jamais vraiment évaluer les résultats.
Panorama des candidats start-up de l'édition 2015 du Prix de l'Entrepreneur d...EY
L’édition 2015 du Prix de l’Entrepreneur de l’Année a rassemblé 182 candidats start-up, fers-de-lance de l’économie dans leur région ou jeunes pousses innovantes. Ce prix permet de mettre en lumière les parcours remarquables et l’envie d’entreprendre des hommes et des femmes qui innovent et créent de l’emploi en France et à l’étranger.
Hypercroissance, international, disruption : voici les principales caractéristiques des start-up qui brillent aujourd’hui.
Plus d'informations sur le Prix de l'Entrepreneur de l'Année : ey.com/FR/EOY
L’Observatoire des Entrepreneurs – PME Finance présente l’édition 2015 de son étude annuelle « Le financement des PME, vers la désintermédiation ? ».
Conçu cette année sur un support allégé, ce document a principalement pour but de rassembler de façon opérationnelle les chiffrages de nombreux autres observatoires ou organisations de PME. En 2015, l’étude annuelle de PME Finance est organisée en trois parties :
- les sources des financements : l’épargne des ménages et les fonds publics nationaux et européens alimentent-ils mieux les PME ?
- les canaux des financements : comment évoluent les financements des PME en fonds propres, en quasi fonds propres, et en dette ?
- les emplois des financements : comment les PME utilisent-elles leurs financements (trésorerie, investissements, etc.) et quelle est leur situation financière ?
10e Rapport annuel sur l’évolution des PME et des ETI en 2014 publié par l'Observatoire des PME de Bpifrance : 35 articles et 200 tableaux et graphiques sur les thèmes de la démographie d'entreprise, des problématiques de financement, et des comportements de R&D et d'innovation des PME et des ETI en France.
Avec le Rapport interactif, accédez à des compléments d'analyse et des données en open data ou téléchargez, en tout ou partie, le pdf du Rapport sur :
http://www.bpifrance-lelab.fr/rpme2014
Abonnez-vous aux alertes pour être informé de la sortie de l'édition 2015, prévue pour février 2016.
Le Financement des PME (étude PME Finance)PME Finance
Découvrez les premières pages de l'étude de l'Observatoire des Entrepreneurs de PME Finance sur Le Financement des PME, à paraître au mois d'octobre chez Les Echos Etudes
AEFE2014 - Discours de Josep Sanroma, DG Institut Català de FinancesPME Finance
2ème Assises Européennes du Financement des Entreprises
Lyon, 22 avril 2014
Discours Josep R. Sanromà, DG de l’Institut Catalan de Finances (Barcelone)
2nd EUROPEAN CONVENTION SME FINANCE
Lyon, 22th April 2014
Speech of Joseph R. Sanromà, CEO of Institut Català de Finances (Barcelona)
“Espero que Portugal se torne num dragão europeu”
A Optimize Investment Partners fez cinco anos e apresentou cinco razões de optimismo para Portugal
Poupança, exportação, competitividade, atratividade e reatividade. São as cinco palavras-chave que Diogo Teixeira, Administrador da Optimize Investment Partners, escolheu para definir as qualidades adquiridas nos últimos cinco anos, que não se aplicavam a Portugal quando a gestora entrou no mercado.
A explicação de cada uma dos razões é clara para Diogo Teixeira. “Portugal não era um país poupado, como se vê no exemplo das Parceria Publico-Privadas (PPP) nas quais éramos campeões do mundo. Mas a partir de 2012, o país começou a exportar capital”, afirmou o CEO sobre o tema da poupança.
À la recherche de l’immatériel : comprendre l’investissement de l’industrie f...La Fabrique de l'industrie
À l’heure de l’industrie dite "4.0", l’investissement dans les logiciels et bases de données contribue à la numérisation de la production industrielle et à la compétitivité des entreprises. Selon les statistiques internationales, le taux d’investissement dans les logiciels des industriels français est bien plus élevé que celui de leurs homologues européens, depuis longtemps et pour tous les secteurs manufacturiers. Pourtant, leurs performances économiques ne les distinguent pas particulièrement de celles de leurs partenaires.
Cette Note élaborée par La Fabrique de l’industrie et l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) examine les raisons de cet écart. Cette différence apparente provient en réalité, pour une grande partie, de pratiques de comptabilisation différentes entre les offices statistiques nationaux. Il existe tout de même un supplément réel d’investissement en France, mais il est réparti de manière très inégale entre les entreprises et les secteurs, ce qui pourrait expliquer son rendement décevant.
Cette Note s’adresse aux dirigeants d’entreprises, décideurs publics, chercheurs et étudiants souhaitant comprendre les ressorts de l’investissement immatériel privé.
Rapport de l'Observatoire des Entrepreneurs de PME Finance, en partenariat avec CM Economics et AltaValue.
Jamais les petites et moyennes valeurs de la Bourse de Paris n’ont bénéficié de tant d’attentions. Très immédiatement, lesquelles sont éligibles au PEA-PME ? A terme, lesquelles présentent le meilleur potentiel ? Le PEA-PME, que PME Finance avait présenté en 2011, présente ainsi déjà un premier effet positif : il a mobilisé l’attention des investisseurs et des financiers sur un segment jusque-là délaissé de la Bourse de Paris. L’Observatoire des Entrepreneurs - PME Finance, en partenariat avec Altavalue, a déterminé une liste de quelque 900 sociétés, moitié cotées (que nous publions ici) et moitié non cotées, qui devraient bénéficier en priorité des nouveaux apports de fonds. Si son succès se confirme, et que 5 à 9 milliards d’euros viennent à s’investir sur Euronext B, C et Alternext d’ici à fin 2017, le PEA-PME commencera à redresser le principal déséquilibre du financement des PME : une Bourse deux fois plus petite que le capital-investissement, et pourtant chargée d’offrir des « sorties » aux investisseurs en capital. Peu étonnant, dès lors, que les start-up au plus grand potentiel, comme Critéo, aillent se coter outre-Atlantique.
Le PEA-PME peut faire de la place de Paris la Bourse la plus liquide d’Europe pour les PME-ETI. Ce faisant, il posera les fondements d’un nouvel outil de financement du Mittelstand européen. Il deviendra alors une place de marché d’une profondeur sans égale, pour offrir aux start-up et PME à potentiel une réelle alternative de cotation face aux grandes places américaines. Ce « Nasdaq européen » pourra financer des PME avec des levées de plusieurs dizaines, voire centaines, de millions d’euros, plutôt que quelques millions d’euros comme aujourd’hui. Dans cet esprit, PME Finance propose trois actions :
- Remédier à la fragmentation des marchés, qui nuit à la visibilité et l’attractivité des PME-ETI.
- Relancer la constitution d’une Bourse européenne des entrepreneurs. La fusion des places générales en Europe est un sujet difficile et sensible, pour des raisons de souveraineté nationale, de contrôle et de gouvernance.
- Filtrer les sociétés pour renforcer la base des investisseurs. Le PEA-PME favorisera la multiplication des introductions en Bourse et attirera de nouveaux investisseurs vers les PME-ETI.
Comment mieux défendre la France
et l'Europe dans la compétition
mondiale ? A la suite de nombreux
entretiens avec des économistes, des
chefs d'entreprise, des consultants,
des responsables politiques et des
syndicalistes, L'Expansion a élaboré
10 propositions. Deux ministres de
l'Industrie les discutent : le plus
récent, Christian Estrosi (UMP), et le dernier
socialiste à avoir occupé le poste,
Christian Pierret (PS).
Livre Blanc sur les « Investissements
français en Turquie : retour d’expérience ». Publié par la mission économique de Turquie, UBIFRANCE et la Chambre de Commerce Franco-Turque. Février 2010.
Baromètre du capital risque en France - 1er semestre 2015EY
Avec 759 M€ levés en 244 opérations sur le 1er semestre 2015, les investissements en faveur des start-up françaises ont enregistré une forte croissance de 70% en termes de montants investis et 30% en nombre d’opérations par rapport au 1er trimestre 2014.
Vous avez une vision ? Nous vous offrons la une !EY
Participez à l'édition 2016 du Prix de l'Entrepreneur de l'Année, organisée par EY et le magazine L'Express !
Le Prix de l'Entrepreneur de l'Année met en avant les champions de l'esprit d'entreprise, moteurs de la croissance et de la compétitivité française.
Pour plus d'informations, consultez le site dédié : www.ey.com/fr/eoy
Baromètre du capital risque France - 1er semestre 2014EY
Cette deuxième édition du Baromètre EY du capital risque en France met en avant la vitalité du financement des startups françaises malgré une légère baisse des montants levés en comparaison avec les deux semestres précédents : 445 M€ levés en 188 opérations (vs. 487 M€ levés en 177 opérations au 2e semestre 2013 et 488 M€ en 211 opérations au 1er semestre 2013).
Pour en savoir plus : http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-Barometre-du-capital-risque-France
Baromètre du capital risque France - 2e semestre 2013EY
Ce Baromètre recense les opérations de financement en fonds propres des entreprises en phase de création ou durant les premières années d’existence, en date d’opération du 1er juillet au 31 décembre 2013, publiées avant le 21 janvier 2013.
Pour plus d'informations visitez notre site: http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-barometre-du-capital-risque-france
Synthèse Rapport sur l'évolution des PME 2013 Bpifrance
Le « Rapport sur l'évolution des PME » est une publication annuelle de l'Observatoire des PME, piloté par Bpifrance.
Pour en savoir plus : http://www.bpifrance.fr/actualites/publications_etudes/observatoire_des_pme/rapport_sur_l_evolution_des_pme
AEFE2014 - Discours de Josep Sanroma, DG Institut Català de FinancesPME Finance
2ème Assises Européennes du Financement des Entreprises
Lyon, 22 avril 2014
Discours Josep R. Sanromà, DG de l’Institut Catalan de Finances (Barcelone)
2nd EUROPEAN CONVENTION SME FINANCE
Lyon, 22th April 2014
Speech of Joseph R. Sanromà, CEO of Institut Català de Finances (Barcelona)
“Espero que Portugal se torne num dragão europeu”
A Optimize Investment Partners fez cinco anos e apresentou cinco razões de optimismo para Portugal
Poupança, exportação, competitividade, atratividade e reatividade. São as cinco palavras-chave que Diogo Teixeira, Administrador da Optimize Investment Partners, escolheu para definir as qualidades adquiridas nos últimos cinco anos, que não se aplicavam a Portugal quando a gestora entrou no mercado.
A explicação de cada uma dos razões é clara para Diogo Teixeira. “Portugal não era um país poupado, como se vê no exemplo das Parceria Publico-Privadas (PPP) nas quais éramos campeões do mundo. Mas a partir de 2012, o país começou a exportar capital”, afirmou o CEO sobre o tema da poupança.
À la recherche de l’immatériel : comprendre l’investissement de l’industrie f...La Fabrique de l'industrie
À l’heure de l’industrie dite "4.0", l’investissement dans les logiciels et bases de données contribue à la numérisation de la production industrielle et à la compétitivité des entreprises. Selon les statistiques internationales, le taux d’investissement dans les logiciels des industriels français est bien plus élevé que celui de leurs homologues européens, depuis longtemps et pour tous les secteurs manufacturiers. Pourtant, leurs performances économiques ne les distinguent pas particulièrement de celles de leurs partenaires.
Cette Note élaborée par La Fabrique de l’industrie et l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) examine les raisons de cet écart. Cette différence apparente provient en réalité, pour une grande partie, de pratiques de comptabilisation différentes entre les offices statistiques nationaux. Il existe tout de même un supplément réel d’investissement en France, mais il est réparti de manière très inégale entre les entreprises et les secteurs, ce qui pourrait expliquer son rendement décevant.
Cette Note s’adresse aux dirigeants d’entreprises, décideurs publics, chercheurs et étudiants souhaitant comprendre les ressorts de l’investissement immatériel privé.
Rapport de l'Observatoire des Entrepreneurs de PME Finance, en partenariat avec CM Economics et AltaValue.
Jamais les petites et moyennes valeurs de la Bourse de Paris n’ont bénéficié de tant d’attentions. Très immédiatement, lesquelles sont éligibles au PEA-PME ? A terme, lesquelles présentent le meilleur potentiel ? Le PEA-PME, que PME Finance avait présenté en 2011, présente ainsi déjà un premier effet positif : il a mobilisé l’attention des investisseurs et des financiers sur un segment jusque-là délaissé de la Bourse de Paris. L’Observatoire des Entrepreneurs - PME Finance, en partenariat avec Altavalue, a déterminé une liste de quelque 900 sociétés, moitié cotées (que nous publions ici) et moitié non cotées, qui devraient bénéficier en priorité des nouveaux apports de fonds. Si son succès se confirme, et que 5 à 9 milliards d’euros viennent à s’investir sur Euronext B, C et Alternext d’ici à fin 2017, le PEA-PME commencera à redresser le principal déséquilibre du financement des PME : une Bourse deux fois plus petite que le capital-investissement, et pourtant chargée d’offrir des « sorties » aux investisseurs en capital. Peu étonnant, dès lors, que les start-up au plus grand potentiel, comme Critéo, aillent se coter outre-Atlantique.
Le PEA-PME peut faire de la place de Paris la Bourse la plus liquide d’Europe pour les PME-ETI. Ce faisant, il posera les fondements d’un nouvel outil de financement du Mittelstand européen. Il deviendra alors une place de marché d’une profondeur sans égale, pour offrir aux start-up et PME à potentiel une réelle alternative de cotation face aux grandes places américaines. Ce « Nasdaq européen » pourra financer des PME avec des levées de plusieurs dizaines, voire centaines, de millions d’euros, plutôt que quelques millions d’euros comme aujourd’hui. Dans cet esprit, PME Finance propose trois actions :
- Remédier à la fragmentation des marchés, qui nuit à la visibilité et l’attractivité des PME-ETI.
- Relancer la constitution d’une Bourse européenne des entrepreneurs. La fusion des places générales en Europe est un sujet difficile et sensible, pour des raisons de souveraineté nationale, de contrôle et de gouvernance.
- Filtrer les sociétés pour renforcer la base des investisseurs. Le PEA-PME favorisera la multiplication des introductions en Bourse et attirera de nouveaux investisseurs vers les PME-ETI.
Comment mieux défendre la France
et l'Europe dans la compétition
mondiale ? A la suite de nombreux
entretiens avec des économistes, des
chefs d'entreprise, des consultants,
des responsables politiques et des
syndicalistes, L'Expansion a élaboré
10 propositions. Deux ministres de
l'Industrie les discutent : le plus
récent, Christian Estrosi (UMP), et le dernier
socialiste à avoir occupé le poste,
Christian Pierret (PS).
Livre Blanc sur les « Investissements
français en Turquie : retour d’expérience ». Publié par la mission économique de Turquie, UBIFRANCE et la Chambre de Commerce Franco-Turque. Février 2010.
Baromètre du capital risque en France - 1er semestre 2015EY
Avec 759 M€ levés en 244 opérations sur le 1er semestre 2015, les investissements en faveur des start-up françaises ont enregistré une forte croissance de 70% en termes de montants investis et 30% en nombre d’opérations par rapport au 1er trimestre 2014.
Vous avez une vision ? Nous vous offrons la une !EY
Participez à l'édition 2016 du Prix de l'Entrepreneur de l'Année, organisée par EY et le magazine L'Express !
Le Prix de l'Entrepreneur de l'Année met en avant les champions de l'esprit d'entreprise, moteurs de la croissance et de la compétitivité française.
Pour plus d'informations, consultez le site dédié : www.ey.com/fr/eoy
Baromètre du capital risque France - 1er semestre 2014EY
Cette deuxième édition du Baromètre EY du capital risque en France met en avant la vitalité du financement des startups françaises malgré une légère baisse des montants levés en comparaison avec les deux semestres précédents : 445 M€ levés en 188 opérations (vs. 487 M€ levés en 177 opérations au 2e semestre 2013 et 488 M€ en 211 opérations au 1er semestre 2013).
Pour en savoir plus : http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-Barometre-du-capital-risque-France
Baromètre du capital risque France - 2e semestre 2013EY
Ce Baromètre recense les opérations de financement en fonds propres des entreprises en phase de création ou durant les premières années d’existence, en date d’opération du 1er juillet au 31 décembre 2013, publiées avant le 21 janvier 2013.
Pour plus d'informations visitez notre site: http://www.ey.com/FR/fr/Services/Strategic-Growth-Markets/EY-barometre-du-capital-risque-france
Synthèse Rapport sur l'évolution des PME 2013 Bpifrance
Le « Rapport sur l'évolution des PME » est une publication annuelle de l'Observatoire des PME, piloté par Bpifrance.
Pour en savoir plus : http://www.bpifrance.fr/actualites/publications_etudes/observatoire_des_pme/rapport_sur_l_evolution_des_pme
A l'invitation de sa présidente Emma Marcegaglia et du président de Confindustria, Giorgio Squinzi, Pierre Gattaz a participé aujourd'hui à Rome, au conseil des présidents de BUSINESSEUROPE. L’association représente les organisations d’employeurs, et à travers elles 20 millions d'entreprises de toutes tailles de 33 pays d'Europe.
BUSINESSEUROPE joue un rôle essentiel pour proposer des projets susceptibles de relancer la croissance européenne et mener un dialogue social dans le cadre européen.
BUSINESSEUROPE a adopté les 10 actions prioritaires qu’elle attend de la nouvelle Commission pour relancer l'investissement, la croissance et l'emploi.
Fruit de plus d’un an de travail mené dans le cadre de la délibération sur la politique économique et industrielle ouverte début 2010, « Approche de la compétitivité française" développe une analyse partagée de problématiques économiques, avec plusieurs objectifs :
- constituer un outil de référence, pédagogique et accessible au plus grand nombre, pour les organisations signataires et leurs représentants ;
- dépasser les polémiques stériles qui caractérisent les débats sur la compétitivité, traditionnellement considérée comme une préoccupation exclusivement patronale.
- s’accorder sur les causes de la perte de compétitivité de la France, et établir des priorités pour redresser la situation économique
Le préambule du rapport résume les points essentiels des discussions, notamment : la nécessité de bien appréhender la compétitivité pour ce qu’elle est c'est-à-dire non pas une fin en soi, mais une condition de la prospérité ; le souci de mettre en évidence à la fois la compétitivité-coût et la compétitivité hors coût ; la volonté de ne pas céder au « déclinisme » ambiant, en proposant des pistes pour bâtir un projet économique et social dans les années à venir.
Ce document présente les idées-clés qui ressortent de ses cinq premières années de travaux. Elles sont organisées autour de trois principaux axes de réflexion : Compétitivité et politiques industrielles ; Travail, emploi et dialogue social ; Mondialisation et regards sur des expériences étrangères.
La France a été exposée à un mouvement de désindustrialisation plus marqué que ses principaux partenaires. Sixième puissance industrielle mondiale en 2004, elle est au huitième rang en 2019. Bien que les écarts de compétitivité-coût se soient partiellement résorbés au cours de la dernière décennie, l’économie française souffre de handicaps structurels qui grèvent encore certains aspects de sa compétitivité, notamment hors-coût. La recherche et développement se traduit insuffisamment en innovations industrielles. Cinq leviers d’action sont identifiés, qui permettraient d’adapter la politique industrielle aux nouveaux enjeux, parmi lesquels la nécessité de cibler de manière renforcée les interventions sectorielles et celle de rénover la gouvernance de cette politique.
Mobilisation pour créer 1 million d’emplois
Agir pour la croissance, l’investissement et l’emploi
Ce document résume les engagements que le MEDEF se propose de prendre dans le cadre du pacte de responsabilité proposé par le Président de la République.
Certains de ces engagements sont internes, d'autres sont proposés aux partenaires sociaux ou en lien avec le Gouvernement.
Ils sont tous conditionnés par l'action du Gouvernement qui a les clés pour libérer les énergies, mais aussi des parlementaires qui peuvent accompagner ou contrarier ce Pacte par leurs actes et leurs propos.
À rebours d’un rapport qui viendrait clore un sujet par la formulation de solutions clés en mains, France 2020 est un manifeste. Un manifeste initie une réflexion, invite au dialogue et engage un débat. Alors que les réformes en France s’arriment encore à l’idéologie jacobine – selon laquelle les solutions se prennent et s’élaborent au sommet de l’État –, ce manifeste veut donner la parole à ceux qui, chaque jour, travaillent au redressement économique de notre pays : les entreprises et les entrepreneurs. Loin de vouloir dicter au monde politique les
décisions qu’il doit prendre, nous aspirons à initier un dialogue entre les partenaires sociaux et la société civile afin de décider, ensemble, par un dialogue renouvelé, des conditions nécessaires au retour de la croissance. Mesurant la responsabilité des entreprises dans l’amélioration de la situation économique actuelle, notre ambition est de contribuer à l’éclosion d’un « projet France » qui suscite l’adhésion et l’engagement. Notre initiative a été guidée par la nécessité de renouer avec la croissance et d’identifier les défis à relever pour permettre la relance de notre compétitivité. Pour cela nous avons voulu mieux appréhender les enjeux contemporains en repartant de la base et des valeurs de l’entrepreneuriat. Après une année à la rencontre des entrepreneurs de notre pays, nous formulons ce qui nous semble constituer les éléments nécessaires au retour de la confiance, de l’attractivité et à la redéfinition d’un cap qui rassemble les acteurs économiques et politiques. Cependant, si aujourd’hui les entreprises ont un rôle essentiel à jouer – en faisant notamment le choix et le pari de la montée en gamme et de l’innovation, d’un management renouvelé et de l’excellence opérationnelle –, l’État doit aussi leur donner davantage les moyens de réussir en mettant en place un terreau qui leur soit favorable. Seul un environnement attractif permettra la relance de notre économie et le retour du plein emploi. Nous appelons de nos vœux une France où les entreprises et la sphère publique, animées d’une
ambition collective, travaillent ensemble, une France où l’impulsion vient des territoires.
Persuadé que notre pays ne se relèvera que si l’ensemble des forces du pays s’engage dans une démarche collaborative, le MEDEF livre ici ses convictions, ses espoirs et ses premières propositions pour ouvrir de nouveaux chantiers qui permettront à la France de gagner à nouveau en 2020.
Europe 2020 relancer les grands chantiers économiquesMario Verissimo
Au lendemain d’une crise aux lourdes conséquences économiques et sociales pour l’Europe, face à la concurrence des pays émergents et aux défis environnementaux de plus en plus aigus, la stratégie « Europe 2020 », présentée par la Commission européenne en mars et adoptée par les Etats membres en juin dernier, a pour ambition de trouver les moteurs d’une croissance et d’une compétitivité indispensable à l’Europe
Note de synthèse - Les facteurs d’attractivité des sites de production, d’in...France Stratégie
La mondialisation a très largement renforcé en quelques décennies les possibilités de servir un marché national à partir de sites à l’étranger et donc d’optimiser les coûts de production des différents composants, ce qui a contribué à la fragmentation des chaînes de valeur.
L'Insee vient de publier l'édition 2016 du numéro "Les entreprises en France".
Selon l'Insee, l'édition 2016 offre une vue structurelle complète de notre système productif.
L'ouvrage révèle notamment qu'en 2014, une entreprise sur deux investit, une sur dix exporte. Des sections de l'ouvrage sont consacrées au commerce du centre ville, au financement de l'exportation pour les PME, aux PME organisées en groupe, à l'industrie manufacturière, entre autres secteurs étudiés dans l'ouvrage.
L'édition 2016 du numéro "Les entreprises en France" est disponible intégralement ci-après.
Participer à la construction du Power Cloud, la centrale d'énergies renouvelables la plus grande au monde.
Un investissement de la diaspora centrafricaine pour la paix...
http://dabealvi.tumblr.com/post/123801031869/crowdfunding-centrafrique-from-andre-leopold
Histoires d’entrepreneurs qui ont réussi dans l’espace euro-méditerranéenSamir Abdelkrim
Les entrepreneurs ouvrent la voie en rapprochant les rives nord et sud de la Méditerranée, comme le prouve une collection de témoignages de succès. Cette collection, compilée par la Banque européenne d’investissement, la Commission européenne et ANIMA Investment Network (1) , va être présentée aux ministres des finances de l’UE et des pays partenaires méditerranéens demain à Bruxelles. Elle montre que la coopération dans la région est déjà une réalité économique, sociale et humaine.
Dans une déclaration commune, M. Philippe de Fontaine Vive, Vice-président de la BEI, M. Günter Verheugen, commissaire européen chargé de l’industrie, et Mme Benita Ferrero-Waldner, commissaire européenne chargée des relations extérieures, ont déclaré : « En cette période d’incertitude économique, la coopération entre l’Europe et la Méditerranée est plus importante que jamais. Fort de quelque 750 millions d’habitants, le marché euro-méditerranéen pourrait aider les deux rives de la Méditerranée à faire face à la concurrence d’autres régions du monde, mais les échanges commerciaux et les investissements doivent pour cela être encouragés. La politique européenne de voisinage et l’Union pour la Méditerranée ont pour but d’approfondir et de renforcer ces liens en proposant un cadre politique et financier pour la coopération. »
Auteurs : Marie Corman (Commission Européenne), Joyce Liyan (Banque Européenne d'Investissement), Samir Abdelkrim (rédaction, titrage) & Bénédict de Saint Laurent / ANIMA
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Le Medef et le BCG sensibilisent les entreprises françaises à la blockchain
La technologie blockchain* est une nouvelle étape de la révolution digitale qui, contrairement à une idée répandue, n’est pas uniquement destinée aux institutions financières et peut être utilisée dans tous les secteurs d’activité. Les acteurs économiques qui n’auront pas su l'anticiper risquent d'être pénalisés. Or, la France, qui bénéficie d’un écosystème dynamique avec de nombreuses startups blockchain et d'un cadre législatif plutôt favorable, a tous les atouts pour tirer pleinement profit de cette vague.
L’ANNÉE 2016 A ÉTÉ UNE ANNÉE DE MI-MANDAT PARTICULIÈRE CAR ELLE A PRÉCÉDÉ DEUX ÉCHÉANCES ÉLECTORALES IMPORTANTES, L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ET LES LÉGISLATIVES DE JUIN 2017. ELLE A DONC ÉTÉ CONSACRÉE À CONSOLIDER LES PROJETS ET PROGRAMMES INITIÉS ET LANCÉS DEPUIS MI-2013 PAR LE PRÉSIDENT DU MEDEF ET SON ÉQUIPE ET À PRÉPARER CES ÉCHÉANCES MAJEURES POUR LES ENTREPRISES, LES ENTREPRENEURS ET LA FRANCE.
Le Medef a mis en place un baromètre de perception de l’égalité des chances en entreprise, pour mesurer l’efficacité de l’ambition d’égalité des chances et la façon dont elle guide les comportements collectifs. Il existe depuis 5 ans et recueille les impressions des salariés sur le climat ambiant
Les 8 et 9 décembre 2015, les principales organisations représentant la diversité de la communauté mondiale des entreprises se sont réunies au siège du MEDEF à Paris pour un Sommet mondial des entreprises sur l’énergie et le changement climatique. Cette réunion s'est tenue dans le contexte de la 21ème session de la Conférence des parties de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC), la COP 21.
Ce projet de rapport a été élaboré dans le cadre du Comité Infrastructures que Pierre Gattaz avait demandé à Jean-Louis Marchand, président d’Advancity, de constituer et d’animer par une lettre de mission datée du 16 février 2015. Ce Comité, constitué de toutes les fédérations, MEDEF Territoriaux et entreprises qui avaient souhaité y participer, avait pour objectif de :
- Mettre en évidence le lien entre infrastructures et croissance ;
- Evaluer les besoins d’infrastructures de réseaux et définir des critères de priorisation ;
- Proposer les modèles économiques et les financements les plus adaptés aux besoins.
Pour ses travaux, le Comité a bénéficié de l’aide de COE-Rexecode pour tous les aspects macro-économiques et de l’expertise des nombreuses personnalités qui ont été auditionnées.
Dans le cadre de ses travaux relatifs à l’égalité des chances et aux diversités, le MEDEF a lancé en 2012, un baromètre de perception du climat d’égalité des chances en entreprise.
Cette étude, reconduite en 2015 pour la 4ème année consécutive, permet de rendre compte de l’efficacité perçue des politiques menées en matière de diversité ainsi que des priorités d’engagement souhaitées par les salariés du secteur privé en France.
Le MEDEF a dressé un état des lieux de la situation de la dépense publique et de la fiscalité pesant sur les entreprises en France et proposé une méthode et des pistes de réforme fondées sur des objectifs clairs :
• Pour la dépense publique :
o Créer un « choc de productivité » dans la sphère publique ;
o Stabiliser les dépenses sociales ;
o Réformer les collectivités territoriales pour dépenser moins et mieux.
• Pour la refondation fiscale :
o Refonder la politique fiscale sur des critères simples ;
o Faire le choix d’une fiscalité des entreprises compétitive et d’une fiscalité du capital et de l’épargne incitative à l’investissement ;
o Renforcer la sécurité juridique et réformer la gouvernance fiscale.
Le MEDEF propose d'inscrire cette stratégie dans une trajectoire permettant de rejoindre la moyenne européenne d'ici à 2020, tant en matière de dépenses publiques que de prélèvements obligatoires.
Créer 1 million d’emplois en 5 ans: la France l’a fait, et bien au-delà, mais on l’a oublié après 7 années de baisse de l’emploi.
Des pays ont retrouvé le chemin de la création d’emploi après 2009, pas la France.
En France, l’emploi total a juste retrouvé son niveau de 2007, pas l’emploi marchand. Ce niveau est dépassé dans d’autres pays.
Vecteur essentiel de la création d’emploi, la croissance ne suffit pas quand le marché du travail fonctionne mal.
Les propositions du MEDEF pour la conférence économique et sociale TPE PME de juin 2015
Soutenir l’emploi dans les TPE‐PME
1. Sécuriser le contrat de travail
2. Assouplir le contrat de professionnalisation
3. Relever les seuils d’effectifs
Soutenir la création et la croissance des TPE‐PME
1. Faciliter le financement des TPE‐PME
2. Améliorer les relations avec l’administration
3. Simplifier les relations avec l’URSSAF
4. Simplifier la facturation électronique
5. Favoriser la reprise d’entreprise par les salariés
6. Soutenir la création d’entreprise
7. Libérer l’activité entrepreneuriale
8. Valoriser l’engagement des entrepreneurs
Le MEDEF, 6 organisations françaises et internationales représentant les entreprises et des dirigeants de 59 entreprises ont d’ores et déjà signé une déclaration présentant les « Propositions des entreprises pour la COP 21 de Paris » (« Business proposals for COP 21 ») et appellent d’autres responsables économiques à joindre le mouvement.
"Ensemble, Français et Italiens, allons de l'avant !"
1. DÉBATS
N
os deux paystraversent
lesmêmes difficultés :
un ralentissement de la
croissance, une perte
decompétitivité, un
endettement excessif,
un chômage qui frappe toutes les
générations. Pour lesreprésentants des
entreprises deFrance et d’Italie, cette
situation n’est pasacceptable.Il n’y a pas
d’emplois sanscroissanceéconomique. Il
n’y apasdecroissance durable sansun
niveau de compétitivité adéquat. Il n’y a
pasdecompétitivité sansinvestissement
à long terme et donc sansépargne à long
terme. Lemodèle quenous
défendons repose sur une
Europe orientée vers la
croissanceet qui investit pour
sonavenir et sacompétitivité.
Une Europe dans laquelle les
entreprises françaises et
italiennes, ancrées dans deux
paysqui sont degrands
partenaires économiques,
recouvrent un rôle
irremplaçable dans le systèm
économique et social. Le
secteur privé sait qu’il nepeut
tout attendre de
l’Europe. C’est
d’abord dans nos
propres paysqu’il
faut agir. Pour
donner à nos
entreprises les
ressources
PIERREGATTAZETGIORGIOSQUINZI
Leprésidentdu Medefet leprésident
delaConfindustriaplaident pourun environnement
financierplus favorableaux PMEet aux ETI.
DESSINS
DOBRITZ
Tous droits de reproduction réservés
Date : 09/10/2014
Pays : FRANCE
Page(s) : 18
Rubrique : CHAMPS LIBRES DÉBATS
Diffusion : 317209
Périodicité : Quotidien
Surface : 37 %
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2. nécessaires pour recommencer à investir,
se développer et créer des emplois, nous,
Confindustria et Medef, appelons nos
gouvernements à mettre en œuvre les
réformes structurelles dont nous avons
besoin.
Des annonces ont été faites, des
processus ont été engagés : il faut les
poursuivre et aller plus vite, plus loin
dans les actes, pour donner aux
entreprises le meilleur des
environnements possibles, à partir d’un
environnement fiscal compétitif et d’une
plus grande flexibilité du travail.
Le pessimisme perceptible chez
beaucoup de nos concitoyens n’est pas
aisément surmontable, mais il disparaîtra
chaque fois que dans nos deux pays se
manifesteront les talents, la créativité,
l’innovation, les savoir-faire qui
caractérisent nos produits, stimulent nos
entreprises et attirent les touristes du
monde entier. La révolution numérique,
les attentes des classes moyennes des
pays émergents, les enjeux du climat,
les besoins d’infrastructures nous
ouvrent bien des opportunités de
partenariat et de croissance.
À condition de savoir les saisir.
Comment ? Les entrepreneurs français et
italiens attendent de la Commission
Juncker et de la politique monétaire
dynamique engagée par le président de la
Banque centrale européenne, Mario
Draghi, desmesures qui soutiennent la
croissance et la compétitivité et
rapprochent nos politiques industrielles,
énergétiques et commerciales,
conformément à nos intérêts stratégiques
et géopolitiques communs.
Nous souhaitons que le plan
d’investissements annoncé par le
président Juncker
soit présenté et
traduit en actions
concrètes au plus
vite. Nous
demandons une
nouvelle approche
de la politique
industrielle, qui
remette l’économie réelle au cœur des
initiatives. Il s’agit d’intégrer les
exigences de compétitivité dans les
politiques, à tous les niveaux, pour
atteindre l’objectif de relever à 20 % la
part du secteur manufacturier dans le PIB
européen. Nous souhaitons des
investissements ciblés dans l’innovation
et les filières productives d’avenir. Nous
demandons un environnement financier
plus favorable au financement à long
terme des entreprises, en particulier
les PME et les entreprises de taille
intermédiaire, qui créent plus de 85 %
des emplois. À cet égard, il importe que
les investisseurs institutionnels ne soient
pas dissuadés d’investir dans l’économie
productive et les projets d’infrastructures
par des réglementations européennes
inappropriées, comme celle sur les
transactions financières. Les instances de
l’Union européenne devraient revoir en
ce sens les règles prudentielles bancaires
et assurantielles qui pèseront inutilement
sur les investisseurs appelés à financer les
infrastructures ou la titrisation de crédits
et actions non cotées des entreprises, y
compris les PME. Nous souhaitons une
meilleure intégration de la zone euro par
la convergence à terme du coût du travail
et de la fiscalité. Enfin, nous appelons, et
cela est fondamental, à la simplification
administrative à tous les niveaux,
national comme européen.
Le Medef et la Confindustria sont
déterminés à mettre en place une relation
durable au service des entreprises de nos
deux pays et à favoriser le
développement de notre coopération et
de nos échanges. C’est le sens de notre
engagement pris aujourd’hui qui ouvre le
champ à un travail en commun. L’Europe
a besoin de la force d’entraînement
franco-italienne, deux de sesgrands pays
fondateurs.
Et la France comme l’Italie ont besoin
de développer des formes actives
de partenariat au sein de l’Union.
Le chemin qui nous attend est donc
à la fois bilatéral et européen pour aller
de l’avant ensemble !
Il faut intégrer les exigences
de compétitivité dans les politiques
pour atteindre l’objectif de relever
à 20 % la part du secteur manufacturier
dans le PIB européen
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