De Caroline Rainette d'après l’œuvre de Louise Ackermann
Plongez dans l'univers de l'un des personnages les plus romantiques du 19ème siècle
Jeune femme à la sensibilité extrême, Louise Choquet aspire à l'indépendance, mais aussi à l'amour, qu'elle trouve avec Paul Ackermann. Après deux années de bonheur, déchirée et révoltée par la perte de celui qui sera le seul amour de sa vie, elle prend vigoureusement la plume et écrit ses plus beaux textes, qu'elle signe de son nom d'épouse : Louise Ackermann.
Si l'amour ne devait être qu'une parenthèse dans sa vie, Louise aura cependant acquis cette indépendance à laquelle elle aspirait tant, au risque de choquer nombre de ses contemporains : " le sort m'a accordé ce que je lui demandais avant tout : du loisir et de la liberté ! ". Remarquée par Victor Hugo, admirée de Tolstoï, elle força même le respect de Barbey d'Aurevilly.
De Paris à Nice, en passant par Berlin, retour sur la vie de cette femme libre et malicieuse, à l'écriture délicate et pure, touchante dans ses contradictions, et qui compta parmi les plus grands écrivains du 19ème.
1. 1
Les Galets
de la mer
D’après la vie et
l’oeuvre de
LouiseAckermann
Dossier de
présentation
du spectacle
Création Compagnie Étincelle
2. 2
D’après la vie et l’œuvre de
Louise Ackermann
Adaptation, mise en scène et jeu
Caroline Rainette
Assistant à la mise en scène
Nicolas Brudenne
Avec les voix de
Anne-France Lheureux &
Bruno Aumand
Avec le soutien de la
Durée du spectacle : 1h
Public : tout public
Texte publié aux Éditions Étincelle
Les Galets de la mer
Le spectacle 3
Note d’auteur & de mise en scène 4
Louise Ackermann 6
L’accompagnement musical 7
La presse en parle 8
... et les spectateurs 9
L’équipe artistique 10
La Compagnie Étincelle 11
Fiche technique 12
Contact :
06 60 81 72 79 /
etincellecompagnie@gmail.com
www.etincellecompagnie.fr
Licence n° 2-1056151
3. 3
Plongez dans l’univers de l’un des personnages les plus
romantiques du 19ème
siècle
Jeune femme à la sensibilité extrême, Louise Choquet aspire à
l’indépendance, mais aussi à l’amour, qu’elle trouve avec Paul
Ackermann. Après deux années de bonheur, déchirée et révoltée
par la perte de celui qui sera le seul amour de sa vie, elle prend
vigoureusement la plume et écrit ses plus beaux textes, qu’elle signe
de son nom d’épouse : Louise Ackermann.
Si l’amour ne devait être qu’une parenthèse dans sa vie, Louise aura
cependant acquis cette indépendance à laquelle elle aspirait tant,
au risque de choquer nombre de ses contemporains : « le sort m’a
accordé ce que je lui demandais avant tout : du loisir et de la liberté ! ».
Remarquée par Victor Hugo, admirée de Tolstoï, elle força même le
respect de Barbey d’Aurevilly.
De Paris à Nice, en passant par Berlin, retour sur la vie de cette
femme libre et malicieuse, à l’écriture délicate et pure, touchante
dans ses contradictions, et qui compta parmi les plus grands
écrivains du 19ème
.
Le spectacle
4. 4
Louise Ackermann écrivit quelques-uns des plus beaux vers du 19ème
siècle, attirant l’attention de Victor Hugo, l’admiration de Tolstoï.
Mais une femme, poète, éprise de liberté, critiquant la religion, ne
pouvait que s’attirer les foudres des moralistes. Un « monstre » dira
d’elle Barbey d’Aurevilly qui, cependant admiratif, lui offrira ses
Diaboliques avec pour dédicace « à la grande diabolique, les petites ».
La puissance des écrits de Louise Ackermann, scrutant la réalité
intérieure de l’homme, son rapport au monde, à la mort, à la nature,
et résonnant aujourd’hui avec une modernité toute singulière,
m’a profondément bouleversée, suscitant chez moi l’envie de me
confronter à ses textes, dont la structure dialectique toute théâtrale
se prêtait admirablement à une adaptation scénique.
Un long travail de recherche
Pièce autour de la vie et de l’œuvre d’une femme poète, il était
nécessaire de procéder à un travail de recherche très poussé,
quasiment universitaire. Ce travail s’est fait en deux temps : tout
d’abord il s’agissait de rassembler l’ensemble des œuvres de Louise
Ackermann, afin de sélectionner les passages intéressants quant à
sa vie et son œuvre dans l’optique de la pièce ; ensuite il s’agissait
de travailler sur la personne de Louise Ackermann elle-même, de
reconstituer la vie de la poétesse, en cherchant dans les archives,
notamment à la BNF, tout ce qui avait pu être écrit sur elle, et
notamment les témoignages de l’époque. Une fois l’ensemble des
éléments récupérés, le texte a pu être rédigé, synthèse de sa vie et
de son œuvre.
Ce travail de recherche, difficile car Louise Ackermann reste en
grande partie un mystère, qu’elle a d’ailleurs contribué à orchestrer,
a permis de révéler une femme complètement moderne, en
décalage avec son époque, et dont la liberté d’action, de parole, sont
parfaitement étonnants et remarquables. Probablement est-elle
finalement tombée dans l’oubli car trop moderne pour ce 19ème
siècle…
Une scénographie onirique sur fond de musique romantique
Afin de rester dans la sincérité et la justesse des mots, de ces
mots touchants, parfois tranchants de la langue puissante, souple,
riche, chargée d’images et d’évocations de Louise Ackermann,
la scénographie s’est dessinée de manière simple, aux aspects
oniriques. La comédienne évolue dans un lieu volontairement
Note d’auteur & de mise en scène
5. 5
indéfini, abstrait, entre des panneaux et des bougies suspendus,
flottants. La lumière douce vient souligner l’atmosphère poétique
et rêveuse.
Ce voyage dans l’intimité, les pensées, la vie de Louise Ackermann
est accompagné par une forte présence de la musique, qui vient
envelopper le spectateur, suggèrer l’évasion, mettre en relief la
musicalité des mots, exacerber les sentiments. Pièce poétique
et dense, Les Galets de la mer amène indubitablement à cette
intervention musicale puissante pour parfaire l’univers poétique et
sensoriel du spectacle. Le spectateur se trouve dès lors totalement
baigné dans l’atmosphère poétique et romantique du 19ème
. L’un des
axes de travail de la Compagnie Étincelle étant de mettre en lumière
de grandes figures féminines, nous avons souhaité poursuivre cette
même démarche dans la sélection des œuvres musicales, et par
conséquent faire redécouvrir non seulement une des plus grandes
poétesses françaises, mais également des compositrices du 19ème
.
Résonnance entre texte et musiques.
Les Galets de la mer mêle en douceur poésie et prose, un véritable
parcours au sein de la vie et de l’œuvre de Louise Ackermann.
Entre doutes et contradictions, joies et peines, Louise y dévoile une
personnalité touchante, sa pensée, sa vision du monde, ses doutes
et ses espoirs restent intemporels et parlent à tous. Un hommage à
une femme moderne, libre, qui choisit sa vie, accepta et revendiqua
sa condition d’artiste.
Caroline Rainette
Note d’auteur & de mise en scène
6. 6
Née en 1813, Louise Ackermann grandit à Paris dans
un milieu cultivé, entre un père libre penseur et une
mère conventionnelle.
À douze ans elle dévore l’oeuvre de Corneille,
découvre la philosophie des Lumières, les poètes
modernes. Envoyée en pension à Paris, son
professeur de littérature encourage sa vocation
littéraire, soumettant à Victor Hugo, dont il était ami,
les premiers poèmes de la jeune élève.
Après la mort de son mari en 1846, elle se retire à
Nice, écrit la majeure partie de ses textes qu’elle
commence à publier.
En 1874, les prestigieuses éditions Lemerre éditent les
Poésies philosophiques. Brusquement placée parmi
les grands poètes contemporains, elle revient s’établir
à Paris où chaque samedi elle accueille un cercle
d’intellectuels.
Elle meurt en 1880 à Nice, dans ce même paysage
où elle était venue chercher la paix quelque quarante
années plus tôt.
Louise Ackermann
7. 7
L’accompagnement musical
Mel Bonis (1858-1937)
Pianiste parisienne repérée par César
Franck, elle compose une œuvre importante
d’environ 300 pièces, d’une grande sensibilité
et d’une écriture très personnelle aisément
identifiable par l’originalité des harmonies et
des rythmes.
Louise Farrenc (1804-1875)
Professeur de piano au Conservatoire de
Paris, elle compose essentiellement pour
son instrument. Elle épouse le flûtiste,
compositeuretéditeurdemusiquemarseillais
Aristide Farrenc qui lui consacre ses activités
musicales en créant notamment les Éditions
Farrenc, et en devenant son impresario.
Augusta Holmès (1847-1903)
D’origine britannique et irlandaise, filleule
d’Alfred de Vigny, amie de Mallarmé, de
Villiers, de l’Isle-Adam, Augusta Holmès est
une musicienne admirée par Liszt, Saint-
Saëns, Gounod et César Franck.
Fanny Mendelssohn (1805-1847)
Compositrice et pianiste allemande, connue
aussi sous le nom de Fanny Hensel, elle est
la sœur du compositeur Felix Mendelssohn.
Comme son frère, elle manifeste très tôt des
dons musicaux, mais son père et son frère
l’empêcheront de se consacrer totalement
à sa passion. Six des lieder de jeunesse de
Felix ont en réalité été composés par Fanny.
Clara Schumann (1819-1896)
Fille du professeur de piano de Robert
Schumann et épouse de ce dernier, Clara
est une concertiste prodige dès l’âge de neuf
ans. Première interprète des œuvres de
son mari, elle est elle-même l’auteur d’une
quarantaine d’œuvres. Veuve en 1856, Clara
devient l’amie conseillère et inspiratrice de
Johannes Brahms.
• Gai printemps
• Prés du ruisseau (extrait)
• Menuet
• Eglogue
• Méditation, op. 33/1
• Sérénade, suite en trio pour flûte,
violon et piano, op. 59
• Thème et 2ème
variation des
Variations sur un thème d’Aristide
Farrenc op. 2
• Étude n° 10 op. 26 (extrait)
• Ouverture pour une comédie
(Introduction)
• Irlande, poème symphonique
(extrait)
• Fantaisie en do mineur (extrait)
• Oratorium Nach Den Bildern Der
Bibel (introduction)
• Trio pour piano, violon & violoncelle en
rémineur,op.11(extrait)
• Mélodie n°2 en do diese mineur op. 4
• Caprice à la boléro op. 5 (extrait)
• Variation n°4 sur un thème de Robert
Schumann op. 20
• Caprice en forme de valse, op. n° 2
8. 8
09 octobre 2016, Nicolas Arnstam
« Caroline Rainette fait revivre cette femme libre et exaltée,
profondémenthumanistequinecessaitdes’interrogersurlacondition
de l’artiste, la fugacité de la vie et de l’amour. Un témoignage sensible
et maitrisé que la comédienne à la technique irréprochable nous fait
parvenir avec délicatesse. »
9 juillet 2016, Audrey Scotto
« Ce spectacle vous transportera !
Avec beaucoup de rondeur, propre à celle des galets, et d’une
sensibilité extrême, Caroline Rainette s’insère parfaitement dans la
peau de cet auteur qui restera libre jusqu’à la fin de sa vie. [...] Ne pas
craindre de plonger dans ses eaux pures est un conseil ! »
12 mars 2016, Agathe M.
« Une mise en scène envoûtante
[...] L’ensemble de la prestation est un petit bijou de pureté, de beauté
et de fragilité. C’est un spectacle sur une femme, créé, monté et
joué par une femme. Caroline Rainette est touchante de sincérité
lorsqu’elle récite les vers de Louise Ackermann, lorsqu’elle avoue
la douleur du veuvage de la poétesse, lorsqu’elle interroge, aussi, la
vacuité de l’existence. »
Reg’Arts, 18 avril 2016, Luana Kim
« Nous sont présentés comme les galets de la plage de Nice, dont elle
se trouve proche : lisses, doux et résistants à la fois, intemporels, donc
vrais et actuels. […] »
AgoraVox, 22 juillet 2015, Orélien Péréo
« Les Galets de la mer sont un beau portrait de la poétesse, édité aux
ÉditionsÉtincelles.[…]LouiseAckermannestd’unegrandesensibilité,
dans un désespoir doux et profond, sans remède, hormis l’écriture qui
dit cette souffrance à voix basse mais claire, avec discrétion et une
grande franchise. »
La presse en parle
9. 9
« Belle découverte, belle interprétation. Poésie, tendresse, émotion... A voir. »
« Magnifique interprétation, un très beau texte, loin de la vulgarité, romantique
à souhait avec une très belle harmonie entre la voix, la musique et la lumière...
Bravo,moment émouvant en plus !! »
« Un seul en scene magnifique, sur la vie d’une poétesse du 19eme
siècle. On est
replongé à cette époque, dans la tête et le coeur de cette femme, Louise Ackermann,
divinement interprétée par une comédienne à la jolie présence. Les décors sont
beaux et tout cela est magnifié par de belles lumières. »
« Quelle exquise découverte que celle de Louise Ackermann « poétesse révoltée » et
de cette merveilleuse pièce qui lui est consacrée. Caroline Rainette est absolument
magnifique.Un spectacle raffiné à la mise en scène élégante et soignée. Les galets
de la mer, entre poésie et prose rend un bien bel hommage à cette femme moderne
avant l’heure, libre et assumée dans sa vie de femme comme dans sa condition
d’artiste.
« J’ai été émue et je suis passée du sourire aux (presque) larmes. Le texte est beau et
magnifiquement interprété. Quant à la musique qui accompagne, c’est plus qu’un
accompagnement : c’est le 2e
personnage de la pièce ! Très joli moment.»
« Un très beau texte, de la poésie sensible et touchante servie par une actrice
convaincante. »
« Femme révoltée c’est le cas... J’aurais aimé connaître Louise Ackermann. A défaut
la commédienne la fait vivre avec brio. De très beaux poèmes bien joués. Bravo. »
« Magnifique texte. Magnifique interprète. Magnifique musique. Un très bon
moment qui nous fait remonter le temps jusqu’au 19ème
siècle mais pour autant
encore d’actualité... Courez y vite !
« C’est une belle plongée en mots que propose Caroline Rainette et un pari
courageux de proposer un spectacle de poésie, seule en scène, à Avignon autour de
l’oeuvre de Louise Ackermann, auteure pas si connue. C’est beau d’écouter la pensée,
les rêveries, les conclusions et les doutes d’une femme libre, d’un être qui n’a pas subi
sa vie, cherchant à transformer sa douleur d’être mortel en plus grand qu’elle-même.
Elle n’est pas la seule, pourtant elle est unique, comme chacun de nous et c’est bien
cela qu’il est nécessaire de faire entendre. Encore plus fort aujourd’hui peut-être...
Merci donc pour ce spectacle humble au service de la mémoire, magnifiquement
écrit et porté par l’engagement et le travail rigoureux de l’auteure-interprète. »
... et les spectateurs
10. 10
Caroline Rainette, Auteure, metteure en scène, comédienne
Caroline fait ses débuts sur scène dès son enfance, aussi bien en danse, qu’en
chant, piano ou théâtre. Peu à peu, le théâtre prend le pas sur ses différentes
passions. Elle suit l’enseignement de Réchana Oum, ancienne élève de Jean-
Laurent Cochet, et travaille les grands textes classiques du théâtre. Elle joue
au sein de plusieurs troupes, passant du comique (Le Dindon de Feydeau, Je
veux voir Mioussov de Kataev, Noix de Coco de Marcel Achard) au dramatique
(L’Alouette de Giraudoux, Andromaque de Racine).
En 2012, elle fonde la compagnie Étincelle, et, pour sa première mise en
scène, choisit un texte quasiment jamais joué : L’Aigle à deux têtes de Jean
Cocteau, dans laquelle elle incarne également le rôle de la Reine. S’attachant
à travailler sur de grands textes, notamment aux personnages féminins forts,
elle met en scène Andromaque de Racine (rôle d’Hermione), On ne badine
pas avec l’amour de Musset (rôle de Camille). Elle met également en scène
deux monologues, La Mort de Néron de Félicien Marceau et une création d’un
jeune auteur, L’Innommé de Lennie Coindeaux. Avec Les Galets de la mer elle
adapte l’œuvre poétique de Louise Ackermann, poétesse méconnue du 19ème
siècle, et fonde à cette occasion les éditions Étincelle. Elle traduit et adapte
Légende d’une vie de Stefan Zweig dont la création est prévue pour 2017.
Diplômée en droit et en histoire de l’art, s’intéressant aux questions sociétales
et politiques elle publie en février 2015 aux éditions L’Harmattan un essai
intitulé Le peuple et sa souveraineté dans l’art révolutionnaire (1789- 1794).
Nicolas Brudenne, Assistant à la mise en scène
Diplômé d’un DEA d’économie et de production, Nicolas travaille d’abord
pour les cahiers du cinéma avant de rejoindre l’équipe du Théo-Théatre. Il y
est attaché à la programmation et à la communication. Parallèlement, il sort
son premier roman Le Cri du corbeau en 2005 et suivront ses premières pieces
(Baby Jane en 2013). Éclectique, il s’illustre aussi bien à la mise en scène de
comédies (Ça swingue chez les Raid Dingues en 2009, Adam et Eve de Marc
Twain en 2013), le drame historique (Eva Évita en 2012) ou encore le one
woman (Retour au Racine d’ Emma Gattuso en 2016).
L’équipe artistique
11. 11
Depuis 2012, des comédiens passionnés s’attachent
à faire revivre les grands textes du répertoire, les
plus belles histoires d’amour impossible, à travers
un jeu élégant où la justesse des émotions révèle la
charge poétique de ces grands et beaux spectacles,
notamment à travers des figures féminines fortes
qui bouleversent les spectateurs.
La Compagnie Étincelle se structure en effet
autour de la proposition artistique de Caroline
Rainette, dont la sensibilité s’exprime à travers ces
grands personnages féminins déchirés, et à travers
les oeuvres majeures de langue française, tout
en travaillant sur le contexte historique et socio-
culturel des textes et de leurs auteurs :
• proposition de parcours artistiques dans des
expositions ou musées en rapport avec l’oeuvre
et l’auteur ;
• représentation hors les murs au sein de
bâtiments historiques ou lieux architecturaux
d’exception.
Enfin la Compagnie s’ouvre à la création
contemporaine en apportant son soutien aux
jeunes auteurs.
La Compagnie Étincelle
• L’Aigle à deux têtes de Cocteau (création 2013).
• Andromaque de Racine (création 2014).
• On ne badine pas avec l’Amour (création 2015).
• Les Galets de la mer (création 2016).
• Légende d’une vie de Zweig (création 2017).
• Le Misanthrope de Molière (création 2017).
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Contact
Metteure en scène : Caroline Rainette
06 60 81 72 79
etincellecompagnie@gmail.com
Diffusion : Sonia Leveau
06 85 65 41 24
sonia.leveau@etincellecompagnie
Diffusion musées & lieux patrimoniaux : Anne Deruyter
06 14 03 40 92
anne.deruyter@etincellecompagnie
Durées
Durée du spectacle: 1h
Temps de montage nécessaire : un service de 4h.
Plateau
Espace de jeu minimum : : 4m d’ouverture, 3m de profondeur, 2,4m de hauteur
sous plafond.
Régies
1 régisseur son & lumière
Possibilité de proposer le spectacle avec accompagnement musical en direct au piano
si le lieu le souhaite et peut mettre à disposition l’instrument
Fiche technique