Les prisonniers de la pandémie, par le Dr Julien Devilléger
L'origine des vaccins contre la grippe saisonnière et la grippe A/H1N1..."
1. L’ORIGINE DES VACCINS CONTRE LA GRIPPE SAISONNIERE ET LA GRIPPE
A/ H1N1, SES RAMIFICATIONS POLITIQUES ET JURIDIQUES
Basé sur l’exposé oral du 23 septembre 2009 du médecin Teresa Forcades, soeur
bénédictine du monastère de Sant Benet, Montserrat, Barcelone, Espagne.
Un obus a été lancé du haut de mes chères montagnes Pyrénées en Catalogne par Teresa
Forcades, soeur bénédictine de Montserrat (signifiant montagne en dents de scie en
Catalan) et docteur spécialisée en médecine interne sur l’origine des actuels vaccins
contre la grippe saisonnière et le H1N1 (grippe de type A). Ces derniers seront bientôt
inoculés à des millions de personnes dans le monde de manière plutôt forcée.
Notre histoire débute avec la société pharmaceutique Baxter qui a livré 72 kilos de
matériel vaccinal fin janvier 2009 à sa succursale en Autriche pour être distribué à 16
laboratoires en Autriche et dans les pays voisins, la République tchèque, la Slovénie et
l’Allemagne afin de préparer les vaccins antigrippaux annuels.
Février 2009: alors qu’il préparait les vaccins antigrippaux de cette année, un laborantin
méticuleux du laboratoire Biotest en République tchèque décida de pratiquer un test de
sécurité supplémentaire sur ces derniers avant leur commercialisation. Il inocula les
vaccins sur des furets. Les furets ne tombèrent pas malades ils moururent tout
simplement. Ils moururent tous. Pouf! Notre technicien de laboratoire tchèque
questionna donc Baxter sur le contenu du matériel vaccinal qui leur avait été envoyé pour
les vaccins antigrippaux. Le matériel vaccinal comportait deux virus actifs, le premier
étant celui de la grippe aviaire de 2005 (avec une virulence très élevée et une contagiosité
faible), le second étant celui de la grippe saisonnière (avec une contagiosité très élevée et
une virulence faible). Les deux virus avaient été mélangés dans le matériel vaccinal de
Baxter provoquant ainsi une forte probabilité de virus recombiné à savoir la création d’un
nouveau virus. Baxter a officiellement reconnu les faits du mélange des deux virus actifs.
Il semble improbable que le mélange soit survenu par hasard compte tenu du niveau élevé
de sécurité biosanitaire (le niveau P4 étant le plus élevé) des laboratoires manipulant des
virus actifs.
Lors de la préparation de vaccins, les virus actifs sont atténués au moyen d’une radiation
mais il subsiste toujours quelques reliquats de virus actifs. Notre laborantin tchèque alerta
une journaliste de son pays, Jane Bürgermeister qui demanda des explications auprès de
Baxter, de l’OMS (Organisme Mondial de la Santé) et d’autres autorités.
A la suite de deux cas de la “nouvelle grippe” (H1N1/A) déclarés en Californie le 17 avril
2009, Margaret Chan, Directrice générale de l’OMS a prononcé la “nouvelle grippe”
(H1N1/A) épidémique et l’a placée à la phase cinq de son niveau d’alerte. La phase cinq
du niveau d’alerte signifie que les pays membres de l’OMS recommandent à leurs
citoyens d’être vaccinés. Ils vous préviennent des dangers de la grippe et vous proposent
un programme de vaccination. Libre à vous de dire merci ou non merci.
2. Le 11 juin 2009, Margaret Chan a déclaré la “nouvelle grippe” (H1N1/A) pandémique.
Comment est-il possible que dans l’espace de moins de deux mois une “nouvelle grippe”
(H1N1/A) faiblement létale devienne pandémique?
En mai 2009, l’OMS a modifié sa définition de la pandémie. Avant mai 2009 une
maladie ne pouvait être déclarée pandémique par l’OMS que si elle était à la fois très
contagieuse ET très létale. Après mai 2009, il n’est plus nécessaire qu’une maladie soit
très létale pour être déclarée pandémique. Tenant compte d’une définition aussi ridicule,
nous pouvons avoir une pandémie chaque année au grand bonheur des grosses sociétés
pharmaceutiques.
Une fois déclarée la pandémie, le niveau d’alerte le plus élevé est atteint à savoir la phase
six. A la phase six des recommandations ne sont plus émises, mais des ordres sont
donnés à tous les pays membres de l’OMS pour une vaccination obligatoire. Si ces ordres
ne sont pas respectés, les citoyens de ces pays doivent alors recevoir une amende (1000
dollars par jour sans vaccination dans l’Etat du Massachusetts) et susceptibles de
l’incarcération. Un autre moyen de pression administrative est celui du licenciement du
personnel d’entreprise refusant les vaccins antigrippaux actuels. Cela a déjà été le cas
aux Etats Unis mais également en Angleterre et en France.
Désormais, nous n’avons plus affaire à un virus de la grippe bénin, le H1N1/A mais
également à des vaccins contre la grippe saisonnière et contre le H1N1/A dont les
conséquences peuvent s’avérer mortelles compte tenu du fiasco de Baxter et des intérêts
personnels de l’OMS.
Si le laborantin du laboratoire Biotest n’avait pas fait une telle découverte, la pandémie
H1N1/A serait devenue une horrible réalité. Malheureusement, les efforts de Jane
Bürgermeister pour prévenir des dangers réels de nos vaccins antigrippaux actuels sont
passés inaperçus aux yeux de la presse mondiale. Barrière linguistique? Trop d’intérêts
politiques et économiques en jeu? Les deux?
Les vaccins antigrippaux de cette année présenteront trois nouveautés;
1. Les vaccins antigrippaux fabriqués à partir de virus actifs seront administrés
en trois doses. La première dose correspond au vaccin contre la grippe
saisonnière, la deuxième et la troisième dose correspondent au vaccin H1N1/
A. Les effets secondaires seront donc triplés. Auparavant, les personnes ne
recevaient qu’une seule dose de vaccin antigrippal. Désormais, elles recevront
trois doses par an et ne pourront pas dire non merci.
2. Des adjuvants tels que l’ASO3 qui renferme du Squalene (cf. le syndrome de
la guerre du Golfe) sont ajoutés pour déclencher une réponse immunitaire dix
fois supérieure à une réponse immunitaire sans adjuvants. Etant donné que des
millions de vaccins antigrippaux sont préparés, les sociétés pharmaceutiques
justifient l’utilisation d’adjuvants pour pouvoir faire face à la demande des
pays du tiers monde. Le recours aux adjuvants (excitateurs artificiels du
3. système immunitaire) permet aux sociétés pharmaceutiques d’utiliser moins
d’antigènes (excitateurs naturels du système immunitaire) et de faire des
économies. L’ajout d’adjuvants fournis pas la société Glaxo-Smith-Kline a été
dénoncé le mois dernier par le syndicat national des infirmières de France. Le
thimérosal, conservateur non mentionné par Teresa Forcades est également
présent dans les vaccins antigrippaux.
3. Les sociétés pharmaceutiques obligées de produire des millions et des millions
de doses de vaccins dans un délai très court (NB: nous avons une pandémie)
exigent une immunité juridique pour tous les effets secondaires graves
résultant de la vaccination.
Selon Teresa Forcades, nous aurions assisté à une véritable pandémie avec des personnes
mourant comme des mouches si un technicien de laboratoire tchèque n’avait pas
découvert fortuitement que les vaccins antigrippaux étaient contaminés. Compte tenu des
faits précédemment énoncés, le danger des vaccins antigrippaux actuels est réel. Le
danger ne provient pas du virus de la grippe actuel. Si la population non vaccinée
commence à mourir comme des mouches à cause du virus actuel de la grippe cela
signifiera que ce virus a muté. Dans un tel cas les vaccins antigrippaux actuels seront
toujours inefficaces et il faudra inventer un autre vaccin de préférence non contaminé et
sans adjuvants.
Au vu de tous ces faits, il est inadmissible que l’OMS exerce une telle législation
coercitive. Il est de notre devoir de résister et de dénoncer une telle ineptie. Les
personnes ne devraient pas être vaccinées contre la grippe cette année. Si elles décident
de le faire elles devraient être dédommagées pour tous effets secondaires graves résultant
de la vaccination. Mon fils a déjà plongé dans les affres de l’autisme après avoir reçu
deux doses de vaccin antigrippal renfermant du thimérosal. Je ne vais pas le laisser
replonger maintenant qu’il va si bien.
Christine Roffi
Auteur: traductrice freelance, fondatrice de Wines for Autism et maman de deux
magnifiques enfants victimes des effets secondaires des vaccins.
www.languagerescue.com
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