2. PLAN
‣ Historique et philosophie
‣ Architecture et Installation
‣ Utilisateurs, groupes et Système de fichiers
‣ Commandes de bases
‣ Service de bases de Linux
2
4. ‣ 1969 : Ken Thompson et Dennis Ritchie de Bell
Laboratories (AT&T) developpent Unics (UNIplexed
Information and Computing Service) qui devient UNIX
1970
‣ 1972-1973 : transformation (codage du noyau) du
langage B au language C
‣ 1987: Andy Tanenbaum crée un clône d'UNIX -nommé
MINIX- fonctionnant sur PC
‣ 1991 : Linus Torvalds créa LINUX, un système
d’exploitation basé sur Unix, fonctionnant sur PC (80386)
et ne contenant pas du code commercial
4
Historique : les dates clés
5. Caractéristiques
‣ Multiutilisateur et sécurisé: Par
défaut, les utilisateurs ordinaires ne
peuvent pas toucher aux fichiers
d'autres utilisateurs. En particulier,
ils ne peuvent ni modifier les
paramètres du système, ni supprimer
des programmes, etc.
‣ root: utilisateur administrateur avec
tous les privilèges
5
‣ Multitâches
‣ Supporte plusieurs
processeurs
‣ Extrêmement flexible
‣ Prise en charge du réseau
‣ Portable
‣ Scalable
8. Noyau Linux
• Kernel : www.kernel.org
•code source du noyau de linux
• Version X.Y.Z
• X : numéro majeur
• Y : numero mineur
• z : correctif
• Avant la version 2.6
• Y pair pour les versions
stables
• Y impair pour les versions de
développement
Reference : http://
fr.wikipedia.org/wiki/
Noyau_Linux
9.
10. Distributions linux
‣ Debutants
‣ Ubuntu, Mint ….
‣ Bureau
‣ Fedora, Ubuntu, Arch (Multimedia)
‣ Serveurs
‣ Redhat, Suse, Debian …..
10
11. Obtenir Linux
‣ Acheter ou obtenir des CDs d’installation
‣ Télécharger depuis les depots
‣ Fichiers images et graver sur des supports
‣ Installer sur un flash disque
‣ Installer depuis le réseau
11
12. Before we start
‣ Avant d’installer linux
‣ Identifier le besoin : station de travail, serveur, ….
‣ S’assurer d’avoir le bon média d’installation
‣ Vérifier l’espace disque
‣ besoin particulier : faire fonctionner windows et
linux sur la même machine
12
13. les grandes étapes
d’installation
‣ selection de la langue/clavier
‣ configuration du réseau
‣ Configuration du fuseau horaire
‣ mot de passe root
‣ création des partitions disques
‣ Chargeur de démarrage
‣ Type d’installation (logiciel)
‣ Gestion des utilisateurs
13
19. Premier contact
Prompt ou invite de commande
Format : [user@machine repertoireactuel]$
utilisateur : who am i
machine : hostname
repertoire de travail : pwd
utilisateur normal : $
super-utilisateur ( root ) : #
20. Shell
‣ Interpréteurs de commandes: exécute les commandes des utilisateurs.
‣ Appelés “shells” ou interpréteurs de commandes
‣ Les commandes sont tapées dans un terminal en mode texte, interprétées
par le système puis le résultat est renvoyé à l utilisateur.
‣ Les résultats sont affichés sur le terminal. Aucun graphique n’est
nécessaire.
‣ Les interpréteurs de commandes peuvent être programmables: ils
fournissent toutes les ressources nécessaires pour l’écriture de
programmes complexes (variables, conditions, boucles...)
20
21. Shell
Interpréteurs de commandes les plus connus et les plus populaires
‣ sh: Le Bourne shell : Le shell historique des systèmes Unix, par Steve
Bourne.
‣ csh: Le C shell : Shell avec une syntaxe à la C.
‣ ksh : le korn shell , développé par David Korn au début des années 1980
‣ bash: Le Bourne Again shell (le plus populaire)
Une version améliorée de sh avec de nombreuses fonctions nouvelles
21
24. Les fichiers
Presque tous dans Unix est un fichier!
Fichiers ordinaires :
contiennent les données
Répertoires
conteneurs de fichiers (organisation)
Liens symboliques
Fichiers faisant référence au nom d'un autre fichier (lien)
Périphériques et dispositifs
La lecture et l'écriture à partir d'un dispositif se fait comme un fichier
Pipes
Utiliser pour mettre en cascade plusieurs programmes
sockets
Communication inter processus
24
25. Les fichiers
Les noms de fichiers ont les caractéristiques suivantes:
‣ Sensibles aux majuscules / minuscules
Pas de longueur limite évidente
‣ Peuvent contenir tous caractères (incluant l'espace, à
l'exception de /).
‣ Les extensions d'un nom de fichier n'ont pas besoin et
ne sont pas interprétés. Ils sont justes utilisés pour les
utilisateurs .
‣ Exemples de noms de fichiers:
README .bashrc student list index.htmt index.html.old
25
26. architecture du système de
fichier
‣ / : racine du système de fichiers à partir duquel on peut atteindre tous les fichiers
‣ /etc : fichiers de configurations
‣ /bin : binaire de bases
‣ /sbin : binaire de démarrage du système
‣ /boot : configuration de démarrage
‣ /lib: bibliothèque du système
‣ /home : repertoires personnels des utilisateurs
‣ /usr: logiciels installés
‣ /var:administration... Souvent les traces et suivi d'événements..
‣ /mnt : montage de SF locaux et distants
26
27. SGF
‣ chaque utilisateur X possède son propre repertoire
personnel /home/X
‣ Exemple, le repertoire de omar est /home/omar
‣ par défaut, SEUL cet utilisateur possède le droit de
lire et d’écrire dans ce repertoire
27
28. Gestion des utilisateurs
‣ ajout d’utilisateur : useradd [options] username
‣ activation du compte (definition du mot de passe)
‣ passwd username
‣ information stockée dans /etc/passwd
‣ structure en 7 champs
Nom du compte:vide:UID:GID:Commentaire:Répertoire de connexion:shell
‣ options utiles
‣ -c : commentaire , -s shell , -g group
‣ mot de passe enregistré dans /etc/shadow
28
29. Remarques
‣ chaque utilisateur appartient a un groupe primaire et éventuellement à
plusieurs groupes secondaires
‣ pas de hiérarchie entre les groupes
‣ il existe par défaut un utilisateur root (uid=0), et un groupe root
(gid=0) et des utilisateurs systèmes (services)
‣ commandes de gestions d’utilisateurs : usermod, userdel
‣ commandes de gestion de groupes : groupmod, groupdel
‣ dans les systèmes redhat et fedora, les uid et gid commencent à
partir de 500
‣ comportement défini dans : /etc/login.defs.
29
30. options par défauts
Les options par défaut : /etc/default/useradd, ou bien
sont listées par l’option -D de la commande
useradd.
# useradd defaults file
GROUP=100
HOME=/home
INACTIVE=-1
EXPIRE=
SHELL=/bin/bash
SKEL=/etc/skel
30
31. Gestion des groupes
‣ groupadd groupname
‣ informations ajoutée à /etc/group
‣ structure
Nom du groupe:Mot de passe:GID:userlist
‣ Commandes de gestions de groupes
‣ id : affiche l’identité
‣ groups : affiche la liste de groupes
‣ newgrp : changer temporairement le groupe primaire
‣ gpasswd : gestion des groupes
‣ options : -a ajouter un utilisateurs, -d supprimer un utilisateurs , -A assigner un
admistrateurs
32. Gestion des comptes
‣ bloquer un compte
‣ ajouter ‘!’ devant le mot de passe dans /etc/shadow
‣ passwd -l
‣ usermod -L
‣ Débloquer un compte
‣ passwd -u
‣ usermod -U
‣ Destruction du mot de passe
‣ passwd -d
32
35. commandes de bases
‣ ls : permet de lister le contenu d’un repertoire
‣ options : -l (format long) , -a (all) , -s (taille), -t (time) et -r (reverse) ……
‣ exemple : ls -rtl
‣ remarque : dans chaque repertoire, nous avons deux repertoires spéciaux
‣ ‘.’ : repertoire courant
‣ ‘..’ : repertoire parent
‣ ‘~’ : repertoire personnel
‣ Nom des fichiers :
‣ ? : remplace un seul caractère
‣ * : remplace tous les caractères
35
36. commandes de bases
‣ Gestion des repertoires
‣ mkdir : creation d’un retire
‣ cd : « change directory » acceder à un repetoire
‣ rmdir : efface un repertoire
‣ -r : recursif , -f : force
‣ Afficher le repertoire courant avec pwd
36
37. commandes de bases
‣ Echo : permet d’afficher un message sur le terminal
(et plus précisément, sur la sortie standard)
‣ uname : affiche les informations systèmes sur la
machine sur laquelle elle est exécutée (option -a)
‣ man : affiche le manuel de linux
‣ history : affiche l’historique des commandes linux
tapées.
37
38. variables d’environnement
38
‣ Influencent le comportement des logiciels.
‣ Exemples
‣ LANG : détermine la langue que les logiciels utilisent pour communiquer avec l’utilisateur.
‣ PS1 : personnalise le prompt
‣ Sensible à la casse
‣ Affichage des variable d’environnements
‣ echo $nom_variable (echo $PATH)
‣ env : liste les variables d’environnement
‣ Attribution d’une valeur à une variable : variable=valeur
‣ Exemple :LANG=fr_FR.UTF-8
‣ Rendre une variable publique
‣ export $nom_variable
‣ Détruire une variable
‣ export $nom_variable= ou export - n $nom_variable ou unset $nom_variable
41. Affichage de texte
41
‣ cat (less, more) : affichent (défilent) un documents textuels
‣ cat /var/log/auth.log
‣ head ( tail ) : affiche le debut (la fin) d’un fichier textuel
‣ head -N Fichier # N entier
‣ fmt : permet de formater un texte
‣ fmt -w 35 fichier # Affiche avec une largeur de 35
caractères.
42. Affichage de texte
‣ wc : statistiques sur un fichier texte (nombre de caractères, mots et
ligne)
‣ wc Fichier
‣ options -w , -l ,-c
‣ sort : tri un fichier texte
‣ -k : colonne
‣ -r : ordre inverse
‣ cut : affiche des zones spécifiques d'un fichier
‣ -d : séparateur , -c : caractère , -f : colonne
42
43. Affichage de texte
43
‣ unique: supprime les lignes identiques
‣ paste : outil puissant pour coller le contenu de plusieurs
fichiers
‣ -d : délimiteur
‣ -s : serial
‣ exemples: http://www.theunixschool.com/2012/07/10-
examples-of-paste-command-usage-in.html
44. traitement de texte
‣ expand : converti les tabulations en espace
‣ sed : outil puissant pour éditer les flux (fichiers)
‣ nl : affiche le fichier en ajoutant le numero de chaque
ligne
‣ Split : Découpe un fichier en plusieurs parties
‣ join : effectue des jointures des lignes de deux fichiers
différents dans un même champ
44
45. Gestion des fichiers
‣ Gestion des repertoire
‣ mkdir , cd et rmdir (deja vu)
‣ Gestion des fichiers
‣ cp (copie de fichiers, voir les options -r, -a ….)
‣ syntaxe : cp fichiersSources emplacementDeDestination
‣ mv (déplace, renomme des fichiers)
‣ Syntaxe : mv ancienNom nouveauNom
‣ touch : change les informations de date et d'heure d'un fichier. Crée un
fichier vide lorsque le fichier passé en argument n’existe pas.
‣ file : renvoie le type du fichier
45
46. La commande grep
‣ permet de faire une recherche de caractères dans un fichier.
‣ Syntaxe:
‣ grep [ -bchilnsvw ] chaîne_de_caractères nom(s)_de_fichier(s)
‣ Les expressions régulières
‣ suites de caractères permettant de faire des sélections
‣ ^ début de ligne , . un caractère quelconque
‣ $ fin de ligne , x* zéro ou plus d'occurrences du caractère x
‣ x+ une ou plus occurrences du caractère x , x? une occurrence unique du caractère x
‣ [...] plage de caractères permis , [^...] plage de caractères interdits
‣ {n} pour définir le nombre de répétition n du caractère placé devant
‣ Exemple :
‣ l'expression [a-z][a-z] * cherche les lignes contenant au minimum un caractère en minuscule.
‣ [a-z] caractère permis, [a-z]* recherche d'occurrence des lettres permises.
‣ L'expression ^[0-9] {4}$ a pour signification, du début à la fin du fichier $, recherche les nombres[0-9] de 4 chiffres {4}.
46
48. Archivage et compression
‣ Archivage : Rassembler plusieurs fichiers en un seul
‣ Compression : réduire la taille d’un fichier
‣ avec perte de données : fichiers multimédia
‣ sans perte de données : fichiers de données
‣ Outils d’archivage : tar
‣ Syntaxe : tar cvf fichier.tar motif (archivage)
‣ Syntaxe : tar xvf fichier.tar (extraction)
‣ Outil de compression (libres) : gzip et bzip2
‣ syntaxe
‣ gzip fichier (compression), gzip -d fichier.gz
‣ bzip2 source (compression) et bunzip2 file.bz2 48
49. Archivage
‣ cpio : crée et défait des fichiers «cpio» archivés
‣ dd : permet de faire une copie par block su
système de fichier.
49
51. Definitions
‣processus : instance de programme s’exécutant à un
instant donné ainsi que son contexte (ou environnement).
‣Contexte : l’ensemble des ressources utilisées par le
programme (la mémoire, les fichiers ouverts, les droits
associés, la priorité…)
‣identifiés par un numéro unique : le PID.
‣Caractérisés par un propriétaire.
‣En général, seul ce propriétaire pourra entreprendre des
actions sur le processus.
‣Créés par « clonage » ce qui permet la recopie d’une
partie des informations citées ci-dessus.
‣Le premier processus créé est le processus init qui est
l’ancêtre de tous les autres. 51
52. Propriétés d’un processus
‣
‣numéro unique du processus ou PID (Process
Identification)
‣ numéro du processus parent ou PPID (Parent Process
Identification) ;
‣numéro de l’utilisateur, ou UID (User Identification), ayant
lancé le processus
‣numéro du groupe, ou GID (Group Identification), ayant
lancé le processus ;
‣durée de traitement (temps CPU) et priorité du processus ;
‣référence au répertoire de travail courant du processus ;
‣table de référence des fichiers ouverts par le processus.
52
53. Visualisation des processus
‣ commande PS : affiche la liste des processus en
cours d’execution
‣ TODO AJOUTER FIGURE
‣ Commande pstree : affiche l’arborescence des
processus
‣ top : commande interactive pour administer les
processus
53
54. processus en avant/arrière plan
‣ un processus peut tourner en avant plan (bloque le terminal,
comportement par défaut) ou en arrière plan
‣ pour lancer un processus un arrière plan, on tape la commende
suivi du caractère ‘&’
‣ $programme &
‣ exemple:
54
numéro de job
55. Processus et terminal
‣ jobs : affiche la liste des processus liés au terminal
‣ fg: fait passer un job en avant plan
‣ bg: fais passer un job en arrière plan
‣ nohup : permet de lancer un processus qui reste actif
aussi longtemps que nécessaire (ignore le signale
SIGHUP)
55
56. Signaux de processus
‣ il est possible d’arrêter ou d’envoyer un signal à un processus avec la
commande kill
‣ syntaxe : kill numero_du_signal PID
‣ signaux à retenir :
‣ 1 SIGHUP
‣ 2 SIGINT (ctrl + C)
‣ 9 SIGKILL
‣ 15 SIGTERM
‣ killall : permet d’envoyer un un signal au nom d’un processus donnée
‣ syntaxe : killall numero_du_signal nom_du_processus
56
57. priorité des processus
‣ Le noyau gère les processus selon une liste de priorité
‣ chaque processus a une priorité par défaut
‣ nice: permet de lancer un processus avec un priorité différente
‣ syntaxe : nice -n p monProgramme
‣ p est compris entre -19 (plus haute) et 20 (plus basse)
‣ renice: redéfinie la priorité d’un processus
‣ Syntaxe : renice [-n] nouvelle_valeur_nice [[-p] pid ] [-g]
prgg ] [-u] utilisateur]
57
59. les Flux
‣ Question : pourquoi les processus (programmes)
affichent les messages sur l’écran et pas sur
l’imprimante (ou autre périphérique de sorti)?
59
60. les Flux
‣ A chaque processus Linux/Unix, trois descripteurs sont associés:
‣ l’entree standard : le clavier par défaut, descripteur 0
‣ la sortie standard : le descripteur 1, l’écran
‣ la sortie standard des erreurs : descripteur 2 , l’écran
‣ Redirection
‣ le sortie standard est redirigée grace au caractère ‘>’
maitre@maestro maitre$echo 'message test' > /home/maitre/
fichier
maitre@maestro maitre$cat /home/maitre/fichier
message test
maitre@maestro maitre$
60
61. les Flux
‣ le caractère ‘>>’ permet d’écraser l’ancien contenu s’il n’est pas deja
‣ le caractère ‘<‘ permet de faire la redirection inverse, c.a.d, la redirection
depuis l’entree standard
‣ Les caractères « << » permettent de lire le fichier en entrée jusqu’à ce que la
commande rencontre une certaine chaîne de caractères.
‣ Autres redirections :
‣ « 2> » : rediriger la sortie d’erreur
‣ « >& » : rediriger la sortie d’erreur vers la sortie standard
‣ Exemple : copier les 10 dernières lignes du fichier /etc/passwd dans le
fichier fichier_sortie et y redirige également les éventuels messages d’erreur
‣ tail /etc/passwd > fichier_sortie 2>&1
‣ tail /etc/passwd >& fichier_sortie 61
62. les tubes
62
Les tubes utilisent le caractère « | »
Syntaxe : commande | commande
Exemple : sort /etc/passwd | head -6
64. les Flux : tee et xargs
‣ tee duplique le flux de données en sortie :
‣ copie la sortie dans un fichier (simple redirection)
‣ en même temps, affiche le résultat sur la sortie standard
‣ Exemple : cat /etc/passwd | tee myUsers | wc -l
‣ xargs : permet de transmettre la sortie standard d’une
commande comme argument d’une autre commande
‣ Exemple : cat le_fichier | xargs ls
64
65. Droits d’accès
‣ Chaque fichier a:
‣ un propriétaire
‣ un groupe
‣ Les autres
‣ Chaque entité a potentiellement 3 droits (Avec la notation octale)
‣ r : read (4),
‣ w: write (2)
‣ x: execute (1)
‣ - : pas de droits:
‣ Exemple de droits
‣ rwxr-xr- - —-> 764 (notation en octale) 65
66. Droits d’accès
‣ Sorti de la commande ls -l
drwxr-xr-x 6 adelessafi staff 204 Aug 12 13:09 dwhelper
‣ informations renvoyés
‣ type du fichier (d,-,……)
‣ droits d’accès
‣ nombre de liens durs
‣ propriétaire
‣ groupe
‣ taille
‣ date
‣ nom
‣ umask :
‣ Permet de définir les droits par défaut lors d’un fichier
‣ Exemples
‣ pour créer des fichiers en modes rw-r—r— , on tape umask 022
‣ pour créer des fichiers en mode ————-, on tape umask 666
‣ règle : mask = 666 - droitsAEnlever
66
67. Droits d’accès spéciaux
‣ SUID
‣ Question : comment un utilisateur peut changer son mot de passe ?
‣ Solution : lancer la command /usr/bin/passwd en tant que root ==> positionner le
SUID à 1.
‣ SGID
‣ idem au SUID mais pour le groupe
‣ Sticky bit
‣ positionné sur un répertoire
‣ seul le propriétaire d'un fichier contenu dans ce répertoire pourra le renommer ou le
supprimer
‣ tous les utilisateurs pourront y avoir accès
‣ Exemple : le repertoire /tmp
67
68. la commande chmod
‣sert à changer les permissions
‣2 modes d’utilisation
‣mode numérique (octal)
‣chmod DROITS fichiers
‣chmod 744 monfichier
‣mode textuel
‣chmod [ugoa][+-][rwx] fichier
‣chmod a+r monfichier
68
69. changer le propriétaire et le groupe
‣ les commandes chown et chgrp permettent de changer
respectivement le propriétaire et le groupe du fichier.
‣utilisation
‣chown nouveau_propritaire monFichier
‣chgrp nouveau_group monFichier
69
70. Commandes recherche de
fichier
‣ find : permet de chercher des fichiers dans un une arborescence
‣ syntaxe
‣ find emplacement critères
‣ find emplacement critères -exec action
70
71. Commandes recherche de
fichier
‣ Critères:
‣ -name : nom de fichiers
‣ -type: par type du fichier (f: fichier, d: répertoire ...)
‣ -user: utilisateur auquel appartiennent les fichiers
recherchés
‣ -atime: par date de dernier accès aux fichiers
‣ -mtime: par date de dernière modification du
contenu des fichiers
‣ -ctime: par date de dernier changement des fichiers
‣ ……………………………………………………….
‣ Voir aussi : locate, slocate, whereis, which, whatis,
makewhatis, apropos, updatedb , /etc/updatedb.conf
71
75. La commande dpkg
‣ dpkg : outil logiciel en ligne de commande pour
l'installation, la création, la suppression et la gestion des
paquets Debian (.deb)
‣ installation : sudo dpkg -i paquet.deb
‣ Suppression :
‣ sudo dpkg -r nom_du_paquet (suppression)
‣ sudo dpkg -P nom_du_paquet (purge)
‣ sudo dpkg --force-all --purge nom_du_paquet (forcer)
75
76. La commande dpkg
‣ Lister
‣ dpkg -l chaîne : cherche et affiche la liste des
paquets satisfaisant un motif de recherche.
‣ dpkg -S fichier : affiche tous les paquets contenant le
fichier indiqué en paramètre
76
78. La commande apt-get
‣ Mise à jour des paquets disponibles dans /etc/apt/
sources.list
‣ sudo apt-get update
‣ Mise à jours des paquets
‣ sudo apt-get upgrade
78
80. La commande rpm
‣ RPM Package Manager (Red Hat Package Manager) est un
système de gestion de paquets de logiciels utilisé sur certaines
distributions GNU/Linux.
‣ installation :rpm -ivh nom_paquet_xxx.rpm
‣ Mise à jour : rpm -Uvh nom_paquet_xxx.rpm
‣ interrogation (requette) :
‣ rpm -qpil nom_paquet_xxx.rpm
‣ rpm -qil nom_paquet
‣ rpm -qf /chemin_du_fichier
‣ rpm -qa : lister tous les paquetages
80
81. La commande rpm
‣ RPM Package Manager (Red Hat Package Manager) est un
système de gestion de paquets de logiciels utilisé sur certaines
distributions GNU/Linux.
‣ installation :rpm -ivh nom_paquet_xxx.rpm
‣ Mise à jour : rpm -Uvh nom_paquet_xxx.rpm
‣ interrogation (requette) :
‣ rpm -qpil nom_paquet_xxx.rpm
‣ rpm -qil nom_paquet
‣ rpm -qf /chemin_du_fichier
‣ rpm -qa : lister tous les paquetages installés
81
82. La commande yum‣ yum utilise des dépots, regroupent un ensemble de logiciel.
‣ Chaque dépot doit être ajouté à la configuration de Yum pour être
utilisé.
‣ emplacement des fichiers de configuration des dépôts : /etc/
yum.repos.d et dont les noms ont forme nomdepot.repo
‣ Depots de bases
‣ Depot fedora : les RPM fournis avec la distribution
‣ Dépôt updates-released : les mises à jour officielles
‣ Dépôt RPM Fusion : indispensable pour les pilotes matériels et le
multimédia
82
83. La commande yum‣ Yum par l’exemple
‣ installation : yum [-y] install paquetage(s)
‣ mise à jours : yum [-y] update paquetage(s)
‣ suppression : yum [-y] remove paquetage(s)
‣ mise à jour de tout les paquetages : yum update
‣ Lister : yum list « critere »
‣ Gestion des groupes
‣ yum grouplist
‣ yum groupinstall "Nom du Groupe »
‣ yum groupremove "Nom du Groupe"
83
86. démarrage
‣Les niveau d’execution de linux
‣ Niveau 0: arrêt du système
‣ Niveau 1: mode de maintenance – Niveau S: mode
maintenance de root
‣ Niveau 2 à 5: mode multi-utilisateur
‣ Niveau 6: redémarrage du système
‣pour passer d’un niveau d’execution à un autre, on utilise
la commende init (ou telinit)
‣exemple : #init 2 permet de passer au niveau d’execution
Numero 2
86
87. démarrage : fichiers de configuration
‣la configuration du démarrage se trouve dans /etc/inittab
‣id : niveau(x)_exécution : action : processus
‣ou id est l’identifiant de la ligne
‣niveaux : les niveaux concernés
‣action : action a entreprendre
‣commande: commande à executer
‣Actions :
‣initdefault: le niveau de démarrage par défaut ;
‣sysinit: commande à exécuter à l’initialisation du système ;
‣wait: exécuter la commande spécifiée et attendre qu’elle se termine
pour continuer ;
‣ respawn: exécuter la commande au début et la re-exécuter dès
qu’elle se termine.
‣relire le fichier de configuration
‣
. #init q 87
88. Les scripts RC
‣ permettent de démarrer/arrêter les services lors du
passage d’un niveau d’execution a un autre
‣ le repertoire /etc/rc.d contient des sous repertoires rc[0-6]
‣ ces repertoires contiennent des liens symboliques vers les
fichiers du repertoire /etc/rc.d/init.d
‣ les fichiers commencent par K (kill) ou S (start) suivis de
deux chiffres puis le nom du service
‣ indique l’ordre du démarrage ou d’arrêt du service
‣ arguments des scripts : start, stop, reload, restart, status
88
91. ‣ Un disque dur contient
‣ au plus, 4 partitions primaires
‣ 1 partition étendue
‣ des partitions logiques : contenues dans des
partitions étendues
‣ Nommage des partitions
Gestion du SF
93. fdisk : outil de partionnement
‣Permet la gestions du SF
‣Options de bases
‣a: (dés)active un indicateur « bootable »
‣d : supprime une partition
‣l: répertorie les types de partition connus
‣m: affiche la liste des commandes
‣n : ajoute une nouvelle partition
‣p: affiche la table de partition
‣q: quitte le programme sans enregistrer les modifications
‣u: change l'unité d'affichage/saisie
‣v: vérifie la table de partition
‣w: écrit la table sur le disque et quitte le programme
‣x : fonctions supplémentaires
93
94. ‣ /proc: contient les informations nécessaires au
noyau. C'est une arborescence virtuelle
généralement en lecture seule sauf proc/sys
‣ /lib et /usr/lib : contiennent les librairies nécessaires
Autres repertoires du SF
95. Création de systèmes de
fichiers
‣ext3 : extension du format standard ext2 de Linux
‣Intègre un journal qui enregistre toutes les opérations effectuées sur le disque
‣récupération plus rapide et sûre du système en cas d'arrêt brutal de la machine
‣Creation (en general) : mkfs -t type de fichier partition
Système de fichiers || Commande de création
ext2 || mke2fs ou mkfs.ext2
ext3 || mke2fs -j ou mkfs.ext3
reiserfs || Mkreiserfs
Xfs || mkfs.xfs
vfat || mkfs.vfat
95
96. Vérification du SF
‣ Si l’ordinateur s’éteint d’une façon imprévue ->
risque d’endommager ou de corrompre le SF
‣ pour corriger le SF, on utilise les outils:
‣ fsck : fsck -t type-de-fichier partition
‣ debugfs : outil plus puissant pour corriger le SF
96
97. Monter le système de fichier
‣ utiliser un système de fichiers : monter sur un point de
montage de l'arborescence Linux
‣ contenu accessible comme un simple répertoire
‣ la commande mount prends deux arguments
‣ le fichier spécial correspondant à la partition contenant
le système de fichiers
‣ le second est le répertoire sous lequel il sera monté
(point de montage).
‣ La commande umount permet le démontage du système
de fichiers.
97
99. ‣df renvoie le taux d'utilisation de toutes les partitions
montées du système.
‣ option -h (human readable) facilite la lecture en
utilisant des unités de taille plus commodes (Mo, Go,
To ...).
‣du (disk usage) : renvoie l'espace occupé par une
arborescence.
‣option -s : afficher le total pour chaque élément
‣l'option -k : afficher en kilo-octets
‣Exemple : du -ks /usr/local
Controle du SF