First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
Le projet tourisme rural paysan" un modèle de gestion associatif du "commun" MediterLMI
Wahiba Boudraa : Etude de cas et méthodologie (session 3)
Cette présentation a été faite à l'occasion de l'école-chercheurs qui s'est déroulée à Azrou (Maroc) du 9 au 15 avril 2018. Le thème de cette école était le suivant : "Évolution et gouvernance des communs : enjeux méthodologiques, comparatifs et pluridisciplinaires". Cette formation, réunissant une cinquantaine de personnes dont 30 doctorants de divers horizons, a été imaginée et organisée par le LMI MediTer (Maroc / Tunisie), en association étroite avec les LMI PATEO (Sénégal) et MESO (Mexique), ainsi qu'avec le RIAM, sans oublier l'appui de l'IRD au Maroc, du centre culturel d'Azrou et de la FLSH de l'UM5-Rabat.
Présentation de TER_RES à la journée Portes Ouvertes du 21 octobre 2010alainlaurent
Présentation du projet intégré TER_RES illustré à partir de l'analyse partagée réalisée en 2004 à Ardo, République de Djibouti, sur la question des crues torrentielles et de ses causes. L'agenda territorial qui a découlé de cette analyse pose une question centrale majeure : les modes d'élevage, à faire évoluer impérativement. La difficulté de réalisation de cet agenda justifie la démarche de l'association TER_RES et tous les chantiers ouverts par l'association : une démarche de connaissance, un parcours de réalisation, un suivi-évaluation, la mobilisation d'un réseau d'appui et d'échanges et une stratégie d'essaimage.
En octobre et novembre 2013, la Mission Val de Loire a rassemblé 150 participants, Etat, collectivités, associations et professionnels de l’aménagement du territoire, du patrimoine et du paysage, pour partager leurs attentes et leurs expériences sur cette première année de mise en œuvre du plan de gestion. Quatre rencontres organisées à l’échelle départementale ont contribué à se construire une culture commune et identifier les priorités d’actions.
Le projet tourisme rural paysan" un modèle de gestion associatif du "commun" MediterLMI
Wahiba Boudraa : Etude de cas et méthodologie (session 3)
Cette présentation a été faite à l'occasion de l'école-chercheurs qui s'est déroulée à Azrou (Maroc) du 9 au 15 avril 2018. Le thème de cette école était le suivant : "Évolution et gouvernance des communs : enjeux méthodologiques, comparatifs et pluridisciplinaires". Cette formation, réunissant une cinquantaine de personnes dont 30 doctorants de divers horizons, a été imaginée et organisée par le LMI MediTer (Maroc / Tunisie), en association étroite avec les LMI PATEO (Sénégal) et MESO (Mexique), ainsi qu'avec le RIAM, sans oublier l'appui de l'IRD au Maroc, du centre culturel d'Azrou et de la FLSH de l'UM5-Rabat.
Présentation de TER_RES à la journée Portes Ouvertes du 21 octobre 2010alainlaurent
Présentation du projet intégré TER_RES illustré à partir de l'analyse partagée réalisée en 2004 à Ardo, République de Djibouti, sur la question des crues torrentielles et de ses causes. L'agenda territorial qui a découlé de cette analyse pose une question centrale majeure : les modes d'élevage, à faire évoluer impérativement. La difficulté de réalisation de cet agenda justifie la démarche de l'association TER_RES et tous les chantiers ouverts par l'association : une démarche de connaissance, un parcours de réalisation, un suivi-évaluation, la mobilisation d'un réseau d'appui et d'échanges et une stratégie d'essaimage.
En octobre et novembre 2013, la Mission Val de Loire a rassemblé 150 participants, Etat, collectivités, associations et professionnels de l’aménagement du territoire, du patrimoine et du paysage, pour partager leurs attentes et leurs expériences sur cette première année de mise en œuvre du plan de gestion. Quatre rencontres organisées à l’échelle départementale ont contribué à se construire une culture commune et identifier les priorités d’actions.
Rencontres INTERPATT mai 2012 - Atelier n°4 : Marketing territorial et approches affinitaires - Bienvenue au pays en Languedoc-Roussillon - cabinet De Visu
Intervention de Caroline Pionnier, du CDT Haute Bretagne, et d'Alexis Mons, de GroupeReflect, lors des 5èmes Rencontres Nationales du etourisme institutionnel les 16 et 17 novembre 2009 à Toulouse (http://www.etourisme-ardesi.fr / http://twitter.com/Etourisme et hastag #et5).
Extrait du support utilisé lors des 1res Rencontres des médiateurs du patrimoine mondial organisées par la Mission Val de Loire en mars-avril 2013.
- Le Val de Loire patrimoine mondial
- Du plan de gestion au plan d’actions
- Stratégie de communication
- Et maintenant ?
La Martinique héberge un patrimoine naturel terrestre et marin exceptionnel qu’il convient certes de préserver mais également de valoriser durablement.
Dans ce cadre, la collectivité régionale souhaite « faire de notre île un joyau en matière de biodiversité », notamment en créant un observatoire régional de la biodiversité et en faisant de cette biodiversité un vecteur de vitalité économique, de formations et d’emplois.
Rencontres INTERPATT mai 2012 - Atelier n°4 : Marketing territorial et approches affinitaires - Bienvenue au pays en Languedoc-Roussillon - cabinet De Visu
Intervention de Caroline Pionnier, du CDT Haute Bretagne, et d'Alexis Mons, de GroupeReflect, lors des 5èmes Rencontres Nationales du etourisme institutionnel les 16 et 17 novembre 2009 à Toulouse (http://www.etourisme-ardesi.fr / http://twitter.com/Etourisme et hastag #et5).
Extrait du support utilisé lors des 1res Rencontres des médiateurs du patrimoine mondial organisées par la Mission Val de Loire en mars-avril 2013.
- Le Val de Loire patrimoine mondial
- Du plan de gestion au plan d’actions
- Stratégie de communication
- Et maintenant ?
La Martinique héberge un patrimoine naturel terrestre et marin exceptionnel qu’il convient certes de préserver mais également de valoriser durablement.
Dans ce cadre, la collectivité régionale souhaite « faire de notre île un joyau en matière de biodiversité », notamment en créant un observatoire régional de la biodiversité et en faisant de cette biodiversité un vecteur de vitalité économique, de formations et d’emplois.
L’architecture durable sur le chemin du développement régénératifFabrice Berrahil
Présentation de Vanessa Grob sur l’architecture durable sur le chemin du développement régénératif dans le cadre de l'ICEB Café du 24 novembre 2014 qui portait sur la démarche bioclimatique en Amérique latine.
Événement organisé par l'ICEB (Institut pour la Conception Eco-responsable du Bâti.
Le terme d’écosystème désigne l’unité de base de la nature. un écosystème est l’ensemble formé par une association ou communauté d’êtres vivants (ou biocénose) et son environnement
biologique, géologique, édaphique, hydrologique, climatique, etc. (le biotope). Les éléments constituant un écosystème développent
un réseau d’échange d’énergie et de matière permettant le maintien et le développement de la vie. Dans l’écosystème, le rôle
du sol est de fournir une diversité d’habitats, d’agir comme accumulateur, transformateur et milieu de transfert pour l’eau et les autres produits apportés.
Ecosystème urbain:
Il vit en état d’équilibre dynamique qui peut être perturbé
Par des facteurs économiques, sociopolitique ou par des évènements catastrophiques, et fonctionne selon les cycles métaboliques complexes (physiologie urbaine) dépendant des capacités de sources et des puits de l’environnement naturel à répondre à la demande, des facteurs organisationnels (intelligence urbaine) relevant de la qualité de sa gouvernance et des facteurs structurels( morphologie urbaine) liés à sa constitution physique et son état de santé.
Ainsi défini, l’écosystème urbain se caractérise par:
Ses dimensions spatiales: naturelles( hinterland ou bio-région, constituant un bassin de ressources divisé en greenfields et brownfields) et anthropique(territoriales comme aire urbaine), dont les définitions varient selon les législations
Ses dimensions temporelles: pour comprendre son évolution, il faut tenir compte de trois échelles: long terme(échelle stratégique,20-25ans ), moyen terme (échelle tactique, 10-15 ans), et court terme(échelle opérationnelle, en deux paliers2-5ans et 5-10 ans) .
Dimensions spatiales de l’écosystème urbain:
Planification urbaine:
Dimension anthropique:
a- Milieu économique:Bassin économique
(d’emploi, de production de chalandise d’influence bancaire directe de distribution du foncier de filiation d’entreprises de recrutement universitaire )au niveau d'une Aire urbaine Unité urbaine
b- Milieu social:Bassin de vie
(de migrations alternantes de consommation de services de communications de résidences etc ..) au niveau d'une région urbaine.
Élément de garantie de la qualité de vie dans un écosystème urbain:
dans le domaine environnemental:
1/NATUREL:
Ressources( sol, énergie, air, eau, faune, flore)
Rejets (solides, liquides)
Nuisances et pollutions (sonores, atmosphérique, hydrique)
Risques(naturels, technologiques, sanitaires)
Patrimoine naturel
2/URBAIN:
Cadre bâti( foncier, immobilier, équipements, infrastructures, réseaux divers)
Cadre non bâti( espaces verts et ouverts, espaces publics, servitudes)
Patrimoine culturel
Dans domaine économique:
Activités(agricoles, industrielles, tertiaires)
Services(transport, communication, assainissement, approvisionnement,
Vie économique
Domaine soci
AC1 - part 1 - Miser sur des stratégies d'attractivité responsablesCap'Com
Parce que les projets de développement territoriaux se tournent de plus en plus vers les transitions écologiques et sociales, et que les stratégies d’attractivité viennent les formaliser, quels changements de pratiques sont nécessaires en marketing territorial ? Comment placer l’hospitalité, la sobriété et la concertation comme valeurs centrales du développement local et de l’attractivité des territoires ?
Plaquette de présentation de l'ARPE Midi-Pyrénées, l'agence régionale du déve...AREC Occitanie
Agence régionale spécialisée dans le développement durable, l’ARPE a été créée à l’initiative de la Région Midi-Pyrénées et d’associations régionales de l’environnement en 1991. Réunissant près de 100 membres (institutions, associations, professionnels), elle a pour ambition d’accompagner les acteurs des territoires dans leur démarche de développement durable, en cohérence avec les politiques régionales.
Objects discovered during excavations in Bagendon, England are now housed in the Corinium Museum, including coins from the local Dobunni tribe, gold foils, coin molds, a lynch pin, spindle whorls, brooches, glass fragments, pottery shards, a latch lifter, a weaving comb, decorated bone, and animal bones.
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
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Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
The document outlines 10 steps to improve a company's customer service. It recommends training all employees on customer service best practices, collecting customer feedback, resolving complaints in a timely manner, being knowledgeable about products and services, and following up with customers after their issues have been addressed. The overall goal is to enhance the customer experience at every touchpoint and build customer loyalty.
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
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Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
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Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
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Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
This document summarizes stakeholder perspectives on cultural landscapes in Bagendon and Salmonsbury, England. Stakeholders include farmers, residents, politicians, and professionals in archaeology, wildlife, and heritage preservation. They describe cultural landscapes as areas shaped by human and natural influences over time. Sustainable landscape management aims to balance farming, wildlife, and archaeology. Stakeholders suggest raising awareness through open farm days, educational displays, and storytelling to engage the public and care for cultural landscapes. The research will now compare these UK sites to others to develop best practices for cultural landscape management.
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
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Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
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Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
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First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
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First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
First workshop of the REFIT project (refitproject.com) - Bibracte, March 2016
Exploring integrated approaches to cultural landscapes
Current strategies, problems and potential
Iron Age oppida as a case study
1. REFIT:
Resituer les premières villes d’Europe
Un cas d’étude pour améliorer les transferts de
connaissances et développer la gestion durable
des paysages culturels
Tom Moore
(Durham University, UK)
1
2. Objectifs de base
• Utilisation de grands sites de l'âge du fer (oppida) comme cas
d’études, l'objectif principal de REFIT est d'examiner un
moyen de faire des paysages culturels plus durable.
• 3 partenaires (Durham University, Universidad Complutense
Madrid, Bibracte EPPC). Et 5 organisations associées
• Nous visons à examiner les différentes pratiques à travers
l'Europe.
• A partir de cela, nous souhaitons explorer les façons d’assurer
la durabilité du paysage grâce à l'intégration des parties
prenantes dans leur gestion.
2
3. REFIT est financé par la Programmation conjointe d’initiative sur
le patrimoine culturel (Joint Programming Initiative on Cultural
Heritage: JPI CH).
Et cela grâce au financement de trois organismes nationaux de
recherche :
• Agence Nationale de la Recherche
• Arts and Humanities Research Council
• Ministerio de Economia Y Competitividad
• C’est un système de l'Union européenne. Est-ce que le
Royaume-Uni pourra toujours participer à cette initiative
lorsque le projet se terminera en 2018 ?!...
3
4. Qu’est-ce qu’un paysage culturel ?
• “les travaux combinés de l’homme et de
la nature… illustration de l’évolution des
sociétés humaines” UNESCO (1992)
• Largement utilisés par les professionnels.
MAIS mal reconnus du public et des
différentes parties prenantes
• “tous les paysages…pas seulement ceux
qui sont exceptionnels…ont une influence
déterminante sur la qualité de vie”
Convention européenne du paysage
(2000)
• Nous avons besoin de comprendre les
différentes pressions auxquelles sont
soumis les paysages ainsi que les besoins
et points de vue des différents acteurs
impliquées (écologistes, agriculteurs,
touristes, archéologues, habitants).
Saint Emilion, France
Désignés paysages culturels par l’UNESCO :
St Kilda, UK
4
Salmonsbury landscape, UK
L’Europe est pleine de paysages culturels :
5. Pourquoi c’est essentiel aujourd’hui ?
Les pressions sociales et économiques sur les
paysages culturels (différentes selon les régions) :
• Détection illégale, rentabilité agricole,
développement, changement climatique
• Tout cela crée une pression sur le paysage pour
qu’il soit durable pour les habitants et qu’il
survivre pour les générations futures
• REFIT part du principe selon lequel le meilleur
moyen d’assurer une réelle durabilité c’est
d’aider les gens à prendre conscience de la
valeur de ces paysages.
5
6. Paysages culturels : tangible et intangible
• Il y a plus que les
vestiges
archéologiques
tangibles
• L’intangible :
(perceptions, identités,
ressentis… conflits) est
partie intégrante du
caractère distinctif de
ces paysages
6
Des promeneurs de chiens discutent
de part et d’autre d’un rempart à Salmonsbury
Fête du début du 20ème siècle à Bibracte
7. REFIT s’inspire
des services culturels des écosystèmes
• Les bienfaits immatériels des
paysages sont un élément vital
des paysages culturels
• Les différents éléments
(patrimoine, identité, écologie,
bien-être et valeur économique)
ne doivent pas être dissociés les
uns des autres
“[les services écosystémiques culturels
sont] les bienfaits immateriels que
procurent les ecosystèmes sur les
populations à travers l’enrichissement
spirituel, le developpement cognitif, la
réflexion, les loisirs et l’experience
esthétique” (Millennium Ecosystems
Assessment, U.N. 2005)
7
Nous avons besoin :
De prendre en compte les valeurs que les différents
acteurs attachent à ces paysages
Responsabiliser les acteurs locaux afin de permettre
l'intégration de leurs valeurs dans les pratiques de gestion
8. Dépasser les divisons culturelles
• Pour ce faire, un défi majeur
consiste à surmonter les
divisions culturelles entre les
différentes parties prenantes.
• Souvent nous utilisons un
langage technique différent
et (il semble) avons des
valeurs différentes.
• S’assurer que les différents
acteurs sont directement
impliqués dans l’élaboration
des approches envers ces
paysages peut permettre de
trouver un terrain d’entente..
8
Agriculteurs…
Archéologues…
Gardien du site d’Ulaca…Touristes….
Paysages des parties prenantes…..
9. L’approche de REFIT :
Intégration et pas dissémination
REFIT a pour but de :
• Comprendre – puis intégrer – les points de vue des différents
acteurs.
• Voir comment nos stratégies de gestion fonctionnent
• Développer des outils d’engagement pour améliorer la
sensibilisation à ces paysages culturels
• Intégrer les différentes valeurs qu’ont les gens aux côtés de notre
connaissance archéologique
• L’objectif étant de développer des impressions plus globales de
ces paysages culturels
9
10. Un travail d’équipe : nos partenaires
REFIT cherche à travailler en direct avec les différents acteurs
• Inviter les représentants de différents domaines à
contribuer directement au projet
• Nous sommes ravis d’avoir comme partenaires directs : le
Gloucester Wildlife trust, le Parc naturel régional du
Morvan, Costwold Archaeology, Le Réseau des Grands
Sites de France et le gouvernement régional d’Avila.
• Beaucoup d’autres ont gentiment accepté d’intervenir en
tant que conseillers pour transmettre leur expertise dans
d’autres domaines (patrimoine numérique, écologie
culturelle, sociologie, agriculture etc.)
• En travaillant à travers Les frontières européennes, nous
visons à transférer les meilleurs pratiques de chaque pays
à d’autres paysages.
10
L’objectif clé :
Developper des stratégies qui assurent la pérennité de ces paysages.
11. Oppida : un défi particlier ?
• Pourquoi avoir choisi les oppida ?
(pas juste parce-que nous sommes
des spécialistes de l’âge du Fer !)
• Principales raisons :
– (1) Ce sont des microcosmes de
questions plus larges sur les paysages
culturels et ont des défis qui leurs sont
propres
– (2) Datant de la fin du 1er millénaire
avant notre ère ; ils sont le résultat
d’un phénomène pan-européen (sans
doute le début de l’urbanisme) et
représentent une part importante du
passé collectif de l’Europe.
– (3) Ils présentent des problématiques
similaires à tous les archéologues
européens 11
12. Défis pour les paysages d’oppida
• Malgré leur importance, les oppida sont
peu reconnus du grand public et des
parties prenantes.
• Un précédent projet européen (conduit
par Bibracte) a réalisé un excellent travail
pour étudier la façon dont les oppida
devraient être présentés au public.
• Mais le projet n’était pas ciblé sur
l’examen ou la modification des points de
vues des autres acteurs.
• C’est cet axe que REFIT souhaite faire
avancer. 12
13. Oppida : autant de paysages que de sites
• L’un des aspects les plus notables des
oppida est leur vaste emprise : Bibracte
englobe plus ou moins 200 ha
(probablement plus…)
• Le complexe de Bagendon couvre des
kilomètres de paysages
• Les oppida sont autant des paysages
qu’ils sont des “sites”
• Leur échelle – et la nature relativement
invisibles de leurs vestiges – les rend
souvent difficile à reconnaître et à
visualiser pour les gens.
13
Bibracte
Sources de l’Yonne
Le complexe de la fin de l’âge du Fer de Bibracte
14. Oppida : des paysages culturels d’aujourd’hui
• Leur dimension représente un défi important pour
les gérer efficacement
• La plupart des oppida sont des paysages
écologiquement importants
• Souvent à la fois paysages cultivés et sites
patrimoniaux
• La gestion doit intégrer les besoins des
propriétaires terriens et des communautés locales
MAIS – nous savons :
• Relativement peu de choses sur la façon dont les
acteurs perçoivent et valorisent ces paysages
• Ni s’ils sont au courant de la dimension
archéologique et ce que cela veut dire pour eux
Les oppida offrent l’occasion d’explorer la perception
des usagers afin d’améliorer les stratégies de gestion
14
Traite des vaches : Salmonsbury
Bétail en pâture à Ulaca
15. Les cas d’étude
Quatre cas d’étude :
• Ulaca (Espagne)
• Bagendon et Salmonsbury (GB)
• Bibracte (France)
• Reflets de la diversité du phénomène
• Tous ont été l’objet de projets de
recherches archéologiques qui ont accru
notre compréhension de ces sites
Ces cas d’études sont utilisés pour explorer :
• Comment les différents acteurs
perçoivent et valorisent ces paysages
• Comment sont-ils gérés actuellement
• Comment pouvons-nous collaborer avec
les parties prenantes pour améliorer la
sensibilisation et l’appréciation de ces
paysages d’oppida 15
16. Le la théorie à la pratique…
Durée du projet : Juillet 2015 – Février 2018
Le projet se divise en trois axes de base :
Partie 1 : Connaissance, perceptions et stratégies existantes
(2015 -Déc. 2016)
• Interviews ; groupes de discussion ET mise en oeuvre de nouvelles façons
d’évaluer la perception de ces paysages
• Par exemple: en utilisant les media sociaux pour examiner les photos que
les gens prennent du paysage. Tracés GPS pour explorer les façons dont les
gens se déplacent dans ces environnements.
Examen des différentes pratiques de gestion pour :
• Déterminer ce qui peut être considéré comme les bonnes pratiques
• Voir si ces approches sont transférables
16
17. Partie 2 : Engagement auprès des parties prenantes (2016-2017)
• Comment les outils d’engagement peuvent intégrer des points de vues
variés, et pas seulement l’archéologie.
• Pour ce faire – par exemple :
• Mike Allen élabore des stratégies pour impliquer les agriculteurs dans des
parcours axés sur l’évolution du paysage.
• Bill Bevan étudie comment nous pourrions créer des outils numériques
qui intègrent les points de vues des différents acteurs.
• Ces outils d’engagement sont développés au cours de l’année et seront
explorés lors du Workshop 2: Engagement with stakeholders in
Cultural Landscapes (Madrid, Spain) 24th-26th October 2016.
• Ils seront mis en oeuvre à travers un ensemble d’événements au cours de
l’été et en 2017.
17
18. Partie 3: Examen des obstacles au transfert de connaissances
entre les différents acteurs (2017-2018)
• Examiner si nos stratégies d’engagement et autres peuvent surmonter
efficacement ces obstacles
• Évaluer nos approches – voir ce qui fonctionne ou pas et esquisser des
propositions pour d’autres approches à venir
• Ce qui coïncidera avec le Workshop 3: Knowledge transfer and
reviewing integrated strategies (Cirencester, England):
Autumn 2017.
18
19. Cet atelier vise à
• Focaliser sur l’étude des différentes approches pour la gestion de ces paysages
Quelques questions clés pour ces prochains jours :
• Comment pouvons-nous mieux comprendre les perceptions de ces paysages
par les différents acteurs ?
• Comment pouvons-nous tenir compte des différentes valeurs de ces paysages ?
• Comment les paysages sont-ils le mieux gérés dans une perspective durable ?
• Quelles sont les meilleures stratégies d’intégration des parties prenantes pour
assurer cette durabilité ?
• Nous sommes désireux que soient entendus des points de vue variés
• Le projet est à un stade encore (relativement) précoce : cet atelier offre
l’occasion d’identifier les lacunes de notre approche et de nouvelles pistes de
recherche
19
20. Merci à nos soutiens
• Nous sommes reconnaissants au Joint
Heritage Initiative et aux agences nationales
de recherche de faciliter cette recherche et
de permettre que prospèrent les transferts
de connaissances en Europe.
• Merci à Bibracte d’accueillir ce premier
atelier et à toute l'équipe pour l’organisation.
• Merci encore pour votre participation, je
souhaite que cet évènement vous soit
profitable. Je me réjouis de vous rencontrer
personnellement et d'entendre vos points de
vue sur le projet.
20