Dernières actualités sur la prise en charge de la BPCORéseau Pro Santé
Revue 'La Gazette du Jeune Gériatre " AJGH - N°14 - Mars 2017
Introduction
La BPCO (BronchoPneumopathie Chronique Obstructive) est une pathologie chronique fréquente dont l’incidence augmente avec l’âge pour atteindre jusqu’à 10 % des plus de 75 ans. Caractérisée par une inflammation des voies aériennes responsable de leur obstruction lente et progressive associée à une distension des alvéoles pulmonaires avec à terme destruction de leur paroi, il s’agit d’une pathologie mortelle chez le sujet âgé , fortement pourvoyeuse de dépendance et altérant sévèrement la qualité de vie.
En 2011, de nouvelles recommandations diagnostiques et thérapeutiques ont été proposées par le comité Global Initiative for Chronic Obstructive Lung Disease (GOLD), modifiant fortement les référentiels antérieurs . Depuis, les études ILLUMINATE et FLAME ont remis en cause l’utilisation des corticostéroïdes inhalés dans la BPCO, y compris pour les formes sévères avec exacerbations fréquentes.
Retour sur ces données qui ont modifié la prise en charge d’une pathologie encore sous-diagnostiquée malgré une incidence croissante et un retentissement médico-économique important.
Nouvelles recommandations diagnostiques GOLD
Un diagnostic spirométrique appréciant le degré de sévérité (stades GOLD)
Le diagnostic de BPCO doit être posé chez tout patient qui se plaint de dyspnée, de toux, d'expectoration chronique et/ou qui a une histoire personnelle d'exposition aux facteurs de risques de la maladie, en particulier la fumée de tabac, les fumées domestiques ou industrielles, et l'exposition professionnelle aux poussières ou à des dérivés chimiques.
Si ces signes cliniques sont présents chez un patient de plus de 40 ans, une spirométrie doit être effectuée afin d'établir formellement le diagnostic et évaluer la sévérité de la BPCO. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Actualites prise en charge et prevention de la bronchiolite aigueRéseau Pro Santé
Revue "La lettre de l'AJP" n°12 - Août 2015
RECOMMANDATIONS DE L’AMERICAN ACADEMY OF PEDIATRICS
Avant la publication des nouvelles recommandations françaises sur la prise en charge de la bronchiolite, nous avons souhaité revenir sur les recommandations proposées par l’American Academy of Pediatrics (AAP) publiées en octobre 2014 (Clinical Practice Guideline : The Diagnosis, Management, and Prevention of Bronchiolitis)(1). En voici les principaux messages clés.
Etat des lieux en France
Les dernières recommandations françaises concernant la bronchiolite datent de 2000 et ont été émises par l’ex-ANAES (2). Depuis, seules les indications de la VNI dans la bronchiolite aiguë grave été ont rajoutées (3). De nouvelles recommandations sont en cours de rédaction et devraient être disponibles pour l’année 2015. D’ici là, il nous semblait important de faire le point sur les messages clés du texte américain publié par l’AAP fin 2014 et, en les comparant à nos recommandations, de mettre en avant les ajouts et différences par rapport à nos recommandations.
Etat des lieux aux Etats-Unis
Les précédentes recommandations américaines ont été publiées en Octobre 2006. Le but de cette mise au point était de fournir aux cliniciens une nouvelle approche basée sur les preuves concernant le diagnostic, la prise en charge et la prévention de la bronchiolite du nourrisson de 1 à 23 mois. L’épidémiologie de la bronchiolite aux Etats- Unis est sensiblement la même que la nôtre : Le virus respiratoire syncitial en est le principal pourvoyeur. L’épidémie survient entre décembre et mars et touche près de 40 % des nourrissons (30 % en France). La bronchiolite aiguë représente la cause la plus fréquente d’hospitalisation chez le nourrisson de moins d’un an. Les coûts engagés pour la prise en charge de cette pathologie sont énormes (près de 2 milliards aux Etats-Unis).
...
reseauprosante.fr
Grace à la manométrie haute résolution, 3 types d'achalasies type I II III sont diagnostiquées en plus de l'obstruction fonctionnelle de la jonction oesogastrique. L'achalasie de type II est celle qui répond le mieux au traitement. Le traitement médical Acotiamide: antagonistes de la 5HT4), la dilatation pneumatique, La myotomie de Heller, et POEM sont les options thérapeutiques.
Dernières actualités sur la prise en charge de la BPCORéseau Pro Santé
Revue 'La Gazette du Jeune Gériatre " AJGH - N°14 - Mars 2017
Introduction
La BPCO (BronchoPneumopathie Chronique Obstructive) est une pathologie chronique fréquente dont l’incidence augmente avec l’âge pour atteindre jusqu’à 10 % des plus de 75 ans. Caractérisée par une inflammation des voies aériennes responsable de leur obstruction lente et progressive associée à une distension des alvéoles pulmonaires avec à terme destruction de leur paroi, il s’agit d’une pathologie mortelle chez le sujet âgé , fortement pourvoyeuse de dépendance et altérant sévèrement la qualité de vie.
En 2011, de nouvelles recommandations diagnostiques et thérapeutiques ont été proposées par le comité Global Initiative for Chronic Obstructive Lung Disease (GOLD), modifiant fortement les référentiels antérieurs . Depuis, les études ILLUMINATE et FLAME ont remis en cause l’utilisation des corticostéroïdes inhalés dans la BPCO, y compris pour les formes sévères avec exacerbations fréquentes.
Retour sur ces données qui ont modifié la prise en charge d’une pathologie encore sous-diagnostiquée malgré une incidence croissante et un retentissement médico-économique important.
Nouvelles recommandations diagnostiques GOLD
Un diagnostic spirométrique appréciant le degré de sévérité (stades GOLD)
Le diagnostic de BPCO doit être posé chez tout patient qui se plaint de dyspnée, de toux, d'expectoration chronique et/ou qui a une histoire personnelle d'exposition aux facteurs de risques de la maladie, en particulier la fumée de tabac, les fumées domestiques ou industrielles, et l'exposition professionnelle aux poussières ou à des dérivés chimiques.
Si ces signes cliniques sont présents chez un patient de plus de 40 ans, une spirométrie doit être effectuée afin d'établir formellement le diagnostic et évaluer la sévérité de la BPCO. (...)
http://www.reseauprosante.fr/
Actualites prise en charge et prevention de la bronchiolite aigueRéseau Pro Santé
Revue "La lettre de l'AJP" n°12 - Août 2015
RECOMMANDATIONS DE L’AMERICAN ACADEMY OF PEDIATRICS
Avant la publication des nouvelles recommandations françaises sur la prise en charge de la bronchiolite, nous avons souhaité revenir sur les recommandations proposées par l’American Academy of Pediatrics (AAP) publiées en octobre 2014 (Clinical Practice Guideline : The Diagnosis, Management, and Prevention of Bronchiolitis)(1). En voici les principaux messages clés.
Etat des lieux en France
Les dernières recommandations françaises concernant la bronchiolite datent de 2000 et ont été émises par l’ex-ANAES (2). Depuis, seules les indications de la VNI dans la bronchiolite aiguë grave été ont rajoutées (3). De nouvelles recommandations sont en cours de rédaction et devraient être disponibles pour l’année 2015. D’ici là, il nous semblait important de faire le point sur les messages clés du texte américain publié par l’AAP fin 2014 et, en les comparant à nos recommandations, de mettre en avant les ajouts et différences par rapport à nos recommandations.
Etat des lieux aux Etats-Unis
Les précédentes recommandations américaines ont été publiées en Octobre 2006. Le but de cette mise au point était de fournir aux cliniciens une nouvelle approche basée sur les preuves concernant le diagnostic, la prise en charge et la prévention de la bronchiolite du nourrisson de 1 à 23 mois. L’épidémiologie de la bronchiolite aux Etats- Unis est sensiblement la même que la nôtre : Le virus respiratoire syncitial en est le principal pourvoyeur. L’épidémie survient entre décembre et mars et touche près de 40 % des nourrissons (30 % en France). La bronchiolite aiguë représente la cause la plus fréquente d’hospitalisation chez le nourrisson de moins d’un an. Les coûts engagés pour la prise en charge de cette pathologie sont énormes (près de 2 milliards aux Etats-Unis).
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Grace à la manométrie haute résolution, 3 types d'achalasies type I II III sont diagnostiquées en plus de l'obstruction fonctionnelle de la jonction oesogastrique. L'achalasie de type II est celle qui répond le mieux au traitement. Le traitement médical Acotiamide: antagonistes de la 5HT4), la dilatation pneumatique, La myotomie de Heller, et POEM sont les options thérapeutiques.
Les crises convulsives de l’adulte au service d’Accueil et d’Urgence : 1ère c...
2013.09.29 lect critconfenkre22102013 2
1. S
Retour sur la revue Prescrire
2012 concernant la
bronchiolite aiguë du
nourrisson
Par Sébastien MARTIN, MKDE
Conférence de l’ENKRE du Jeudi 22 Octobre 2013
Lecture critique :
3. Conclusion
« En 2012, on dispose de données solides montrant que,
chez les nourrissons atteints de bronchiolite, la
kinésithérapie respiratoire n'est pas efficace et a une
balance bénéfices-risques défavorable, y compris avec la
technique habituellement utilisée en France. Mieux vaut
épargner cette épreuve aux bébés. »
4. Argumentaire (1)
« Que les nourrissons aient été traités ou non par
kinésithérapie respiratoire, aucune différence
statistiquement significative n'a été observée en
termes d'évolution d'un score clinique de sévérité, de
saturation en oxygène, de fréquence respiratoire,
de durée de la maladie ou de l'hospitalisation,
quelle que soit la méthode de kinésithérapie utilisée
(3). Avec ou sans kinésithérapie respiratoire, la durée
moyenne de la maladie a été d'environ 13 jours. »
5. Argumentaire (2)
« Les principaux effets indésirables rapportés dans
ces essais ont été une désaturation en oxygène
pendant la séance, et des vomissements avec la
technique d'accélération du flux expiratoire. »
6. Argumentaire (3)
«Outre un inconfort, la kinésithérapie respiratoire
expose les nourrissons à d'autres effets indésirables,
notamment des douleurs et des fractures de côtes.
Selon une étude rétrospective conduite dans des
hôpitaux parisiens, le risque a été d'une fracture pour 1
000 nourrissons traités (1,4).»
7. Bibliographie
S 1- Prescrire Rédaction "Bronchiolite : pas de kinésithérapie
respiratoire systématique. Absence d'efficacité démontrée mais
risque de fracture de côtes" Rev Prescrire 2006 ; 26 (277) :
768-770.
S 2- Prescrire Rédaction "Bronchiolite : un essai négatif pour la
kinésithérapie respiratoire" Rev Prescrire 2010 ; 30 (325) : 849.
S 3- Roqué i Figuls M et coll. "Chest physiotherapy for acute
bronchiolitis in paediatric patients between 0 and 24 months
old" (Cochrane Review) (dernière révision 2011). In : "The
Cochrane Library", John Wiley and Sons Chichester 2012 ;
Issue 8 : 36 pages.
S 4- Prescrire Rédaction "Bronchiolite, kinésithérapie et fractures de
côtes (suite)" Rev Prescrire 2007 ; 27 (288) : 794-796.
9. Sémiologie
(Conférence de Consensus HAS 2000)
S Infection virale des voies respiratoires supérieures et
inférieures
S Agent infectieux : VRS (60-90% des cas)
S Temps d’incubation : 2-8 jours
S Temps d’élimination : 3-7 jours (jusqu’à 4 semaines)
S Evolution : 8-10 jours vers guérison
S Entre 0-24 mois : Ac anti-VRS chez 95% des enfants
10. Epidémiologie
S Dans le monde : 64 millions cas/an ; 160 000 morts
S USA : incidence mortalité : 2/10 000
S UK : incidence mortalité : 2/100 000
S France : 460 000 cas/an (30% 0-24 mois) ; 0 morts
depuis x ans (incidence mortalité ?)
11. Physiopathologie (1)
S Inflammation pariétale
S Obstruction endoluminale (bouchon muqueux)
S Spasme bronchique (faible car peu de musculature lisse)
Obstruction des voies aériennes
Majoration des résistances
12. Physiopathologie (2)
S Musculature lisse et striée peu développée
S Technique de toux non acquise et peu efficace
Auto-désencombrement difficile
14. Symptomatologie clinique
S Elévation thermique
S Gène respiratoire (+/- sifflements, tirages, BTA, BAN,…)
S Troubles digestifs (perte d’appétit)
S Déshydratation
S Humeur troublée
S Sommeil perturbé
15. Traitement médicamenteux
(AAP 2006, SIGN 2006) :
S stéroïdes, antibiotiques : effets incertains
S glucocorticoïdes : pas d’effet
S Bronchodilatateurs, solution hypertonique nébulisée,
épinéphrine et thérapie héliox : quelques bénéfices sur le
score clinique
MAIS
absence de bénéfice pour la sévérité et la durée de la
maladie
16. Traitement recommandé
(HAS 2000)
S Hydratation
S Nutrition (fractionnement et épaississement des
biberons)
S Proclive dorsal 30°
S DRP
S Kinésithérapie respiratoire
S +/- oxygénothérapie
17. Traitement kinésithérapique
(1)
S Objectifs principaux :
S Réduire l’obstruction des voies aériennes
S Réduire les résistances à l’air
S Améliorer les échanges gazeux
S Réduire le travail de ventilation
18. Traitement kinésithérapique
(2)
S Méthodes « francophones » :
S Accélération du Flux Expiratoire (AFE)
S Expiration Longue Prolongée (ELPr)
(seules techniques recommandées par HAS 2000)
S Méthodes « anglo-saxonnes » :
S Drainage postural
S Clapping (tapotage)
S (Description techniques ?)
19. Traitement kinésithérapique
(3)
S Critères d’efficacité de la technique : la
symptomatologie !
S suppression des sifflements
S diminution des signes de lutte
S amélioration de l’alimentation/hydratation
S amélioration humeur
S amélioration sommeil
20. Triages des patients
S En libéral :
S Ne présentant pas de signe d’exclusion ou de signes de
danger
S 97-99% des malades (Mc Millan 1994, plus récent ?)
S A l’hôpital :
S 1-3% des malades
S les plus graves
21. Critères d’exclusion :
hospitalisation
S aspect « toxique » (altération importante de l’état général)
S survenue d’apnée, présence d’une cyanose
S fréquence respiratoire > 60/minute (ou < 20/minute)
S âge < 6 semaines
S prématurité < 34 SA, âge corrigé < à 3 mois
S cardiopathie sous-jacente, pathologie pulmonaire chronique grave
S saturation artérielle transcutanée en oxygène (SpO²tc) < 94 % sous air et
au repos ou lors de la prise des biberons
S troubles digestifs compromettant l’hydratation, déshydratation avec perte
de poids > 5 % (ou 2 repas consécutifs < 50% de la ration habituelle)
S difficultés psychosociales
S présence d’un trouble de ventilation confirmé par une radiographie
thoracique, pratiquée d’après des arguments cliniques
22. Critères de gravité :
2 critères = hospitalisation
S BTA importants
S BAN importants
S Tirages sus-sternal, inter ou sous costaux importants
S Entonnoir xiphoïdien
S Fièvre > 38,5°C pendant plus de 48h
23. S
La lecture critique
Roqué i Figuls M et coll. "Chest physiotherapy
for acute bronchiolitis in paediatric patients
between 0 and 24 months old" (Cochrane
Review) (dernière révision 2011). In : "The
Cochrane Library", John Wiley and Sons
Chichester 2012 ; Issue 8 : 36 pages.
24. Les études
S 9 études : Aviram 1992; Bohe 2004; De Córdoba 2008;
Gajdos 2010; Lopez Galbany 2004; Nicholas 1999;
Postiaux 2011; Rochat 2010; Webb 1985
S 2 études non publiées : Aviram 1992; Lopez Galbany
2004 (et non accessibles à la lecture de pairs au moment
de la publication de la review)
S Type : randomised controlled trials (RCTs)
25. Population étudiée
S 891 sujets
S Âge : < 24 mois
S Présentant une bronchiolite aiguë
S Hospitalisés (1-3% des malades)
26. Techniques étudiées
S Pour 5 études : percussion et techniques vibratoires
(dont 1 indisponible)
Non recommandées en France
S Pour 4 études : AFE et ELPr (dont 1 indisponible)
Gajdos 2010; Lopez Galbany 2004; Postiaux 2011;
Rochat 2010
27. Critères d’évaluation
S Primary outcomes :
S respiratory parameters (satO2, PCO2 recovery)
S improvements in severity of disease
S Secondary outcomes :
S lenght of hospital stay
S duration of O2 supplementation
S use of bronchodilatators and steroïds
28. Argumentaire 2
« Les principaux effets indésirables rapportés dans
ces essais ont été une désaturation en oxygène
pendant la séance, et des vomissements avec la
technique d'accélération du flux expiratoire. »
29. Argumentaire 2 : principaux
effets indésirables (1)
« In the only trial that specifically monitored adverse events
(Gajdos 2010), there were no significant differences
between groups in the proportion of children who
experienced one episode of bradycardia with desaturation
or without desaturation. Conversely, in the IET
physiotherapy group there was a higher proportion of
children who had transient respiratory destabilisation or
vomited during the procedure. »
30. Argumentaire 2 : principaux
effets indésirables (2)
« Regarding the PSE technique, in Rochat’s study (Rochat
2010), complications were defined as concomitant
bacterial infection or transfer to the intensive care unit
due to respiratory fatigue. The trial authors state that
complications related to bronchiolitis severity were rare and
occurred more frequently in the control group, albeit not
sig- nificantly. Also, they state that no direct
complications of physiotherapy, such as respiratory
deterioration, occurred. »
31. Argumentaire 2 : principaux
effets indésirables (3)
« Finally, in Postiaux’s study (Postiaux 2011) there is an
explicit mention that no adverse events were observed
but there is no definition on the events considered. »
32. Argumentaire 2 :
Conclusion
S 1 étude (Gajdos 2010) sur 3 trouve des effets
indésirables
S déstabilisation respiratoire transitoire
S vomissement
S pas plus de bradycardie, avec ou sans désaturation
S pas d’effet indésirable grave
33. Argumentaire 3
«Outre un inconfort, la kinésithérapie respiratoire
expose les nourrissons à d'autres effets indésirables,
notamment des douleurs et des fractures de côtes.
Selon une étude rétrospective conduite dans des
hôpitaux parisiens, le risque a été d'une fracture pour 1
000 nourrissons traités (1,4).»
34. Argumentaire 3 : douleurs et
fractures de côtes
S « A retrospective observational study in the literature
suggests an association between rib fractures and
chest physiotherapy (Chalumeau 2002) but this
adverse effect was not observed in any of the nine
clinical trials included in this review »
35. Argumentaire 3 :
Conclusion
S Possibilité, mais non démontrée
S Rien dans les autres articles étudiés dans la revue
Cochrane
36. Argumentaire 1
« Que les nourrissons aient été traités ou non par
kinésithérapie respiratoire, aucune différence
statistiquement significative n'a été observée en
termes d'évolution d'un score clinique de sévérité, de
saturation en oxygène, de fréquence respiratoire,
de durée de la maladie ou de l'hospitalisation,
quelle que soit la méthode de kinésithérapie utilisée
(3). Avec ou sans kinésithérapie respiratoire, la durée
moyenne de la maladie a été d'environ 13 jours. »