La quatrième étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Avec la numérisation de l’économie, la valeur se déplace vers les données numériques qui transitent de manière massive et exponentielle sur les réseaux télécoms, via les terminaux et les objets connectés. Pour les acteurs des télécoms et particulièrement pour les opérateurs français, l’enjeu est par conséquent de s’adapter à la révolution numérique en marche, dans un contexte concurrentiel intense et mondialisé. L’évolution du cadre réglementaire et fiscal est une clé essentielle pour relancer l’économie du secteur et permettre aux opérateurs de maintenir un niveau élevé d’investissements en monétisant les nouveaux usages. L’étude formule ainsi des propositions précises, tant au niveau européen qu’au niveau national, pour définir et déployer une stratégie et un plan d’action ambitieux.
La Fédération Française des Télécoms vient de présenter la 5ième édition de de l’étude annuelle sur l’économie des télécoms, réalisée par le cabinet Arthur D. Little. Rappelant que les opérateurs télécoms constituent le socle de l’économie numérique, elle pointe un risque de « décrochage numérique » de la France et de l’Europe, malgré les initiatives récentes et en appelle aux pouvoirs publics pour rééquilibrer les politiques du numérique, en se basant sur les meilleures pratiques observées dans le monde.
L'étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2016 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l'écosystème numérique mondial et celui de la France.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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La quatrième étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Avec la numérisation de l’économie, la valeur se déplace vers les données numériques qui transitent de manière massive et exponentielle sur les réseaux télécoms, via les terminaux et les objets connectés. Pour les acteurs des télécoms et particulièrement pour les opérateurs français, l’enjeu est par conséquent de s’adapter à la révolution numérique en marche, dans un contexte concurrentiel intense et mondialisé. L’évolution du cadre réglementaire et fiscal est une clé essentielle pour relancer l’économie du secteur et permettre aux opérateurs de maintenir un niveau élevé d’investissements en monétisant les nouveaux usages. L’étude formule ainsi des propositions précises, tant au niveau européen qu’au niveau national, pour définir et déployer une stratégie et un plan d’action ambitieux.
La Fédération Française des Télécoms vient de présenter la 5ième édition de de l’étude annuelle sur l’économie des télécoms, réalisée par le cabinet Arthur D. Little. Rappelant que les opérateurs télécoms constituent le socle de l’économie numérique, elle pointe un risque de « décrochage numérique » de la France et de l’Europe, malgré les initiatives récentes et en appelle aux pouvoirs publics pour rééquilibrer les politiques du numérique, en se basant sur les meilleures pratiques observées dans le monde.
L'étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2016 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l'écosystème numérique mondial et celui de la France.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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La Fédération Française des Télécoms rend publique aujourd’hui l’édition 2014 de l’étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little. Cette nouvelle édition montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Créée le 24 septembre 2007, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) réunit les opérateurs de communications électroniques en France.
Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international.
Pour réaliser ses missions, la Fédération organise dans l’intérêt de ses membres, un dialogue structuré et constant avec l’ensemble des parties prenantes du secteur et de son environnement institutionnel et privé. Elle privilégie chaque fois que possible la
régulation ouverte.
Elle assure de façon exigeante la représentation du secteur sur les questions d’intérêt commun dans le respect absolu des règles de la concurrence en vigueur.
Les télécoms sont essentiels pour notre pays. Disposer d’infrastructures numériques performantes est un facteur de compétitivité et de progrès. La numérisation de l’économie et de la société implique des investissements massifs et cette dynamique ne peut que s’accroître.
Dans un environnement économique difficile, les opérateurs français déploient des réseaux de grande qualité qui ont permis une explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
À l’heure du très haut débit, préserver leur capacité à innover et à investir est essentiel. La régulation du secteur doit donc évoluer pour leur permettre de relever ce défi; les opérateurs ont besoin de visibilité et de mesures n’entravant pas leurs capacités d’investissement.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2020 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
R.D. CONGO : TAXES SPÉCIFIQUES AU SECTEUR DES PTNTIC VS CROISSANCE ÉCONOMIQUEChristoph Stork
The DRC is considering imposing a tax on voice bundles of USD 0.0075 per minute, USD 0.003 per SMS and USD 0.00005 per MB. At the same time, the regulator has prohibited any price increases. The net effect will be to slow investment and economic growth. The new proposed taxes on SMS, minutes and data will limit the commercial freedom of mobile operators and force SMS, voice, data and mixed bundles to be withdrawn because prices cannot be increased. The net effect will be an indirect price increase through the withdrawal of bundles. This will hit the poor hardest.
> Qui sommes-nous ?
La Fédération Française des Télécoms réunit depuis 2007 les opérateurs de communications électroniques en France. Elle compte 15 membres et une équipe permanente de neuf personnes autour de Michel Combot, Directeur général. Le Conseil d’administration de la Fédération Française des Télécoms a élu, le 15 mars 2018, Didier Casas en tant que Président, jusqu’en mai 2019. Didier Casas est Directeur général adjoint de Bouygues Telecom et membre de son comité exécutif.
> Les missions de la Fédération :
Représenter les opérateurs nationaux du secteur des télécoms en assurant le dialogue entre les opérateurs, les pouvoirs publics, la société civile, les entreprises et les élus nationaux et locaux.
Accompagner la transition numérique en participant au développement des usages numériques et à l’amélioration de la couverture numérique.
La Fédération et ses membres ont conclu en janvier 2018 un « New Deal » sur l’accélération de la couverture mobile.
Un accord historique entre les opérateurs télécoms et les pouvoirs publics qui traduit un véritable changement de paradigme. Il permet la mise en en oeuvre d’un plan ambitieux d’inclusion numérique des territoires.
> Ils font partie de la Fédération :
Altice-SFR - Arteria - Bouygues Telecom - Colt Technology Services - Euro-Information Telecom - Hub One - Kosc Telecom - La Poste Mobile - Legos - Naxos - Orange - Prosodie - Transatel - Verizon - Worldline
La Fédération Française des Télécoms rend publique aujourd’hui l’édition 2014 de l’étude sur l’économie du secteur des télécoms en France commandée au cabinet Arthur D. Little. Cette nouvelle édition montre de manière très factuelle les transformations en cours dans la chaine de valeur du numérique.
Les opérateurs télécoms, membres de la Fédération Française des Télécoms, présentent leur contrat de mandature avec un état des lieux et leurs propositions pour les cinq années à venir.
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Créée le 24 septembre 2007, la Fédération Française des Télécoms (FFTélécoms) réunit les opérateurs de communications électroniques en France.
Elle a pour mission de promouvoir une industrie responsable et innovante au regard de la société, de l’environnement, des personnes et des entreprises, de défendre les intérêts économiques du secteur et de valoriser l’image de ses membres et de la profession au niveau national et international.
Pour réaliser ses missions, la Fédération organise dans l’intérêt de ses membres, un dialogue structuré et constant avec l’ensemble des parties prenantes du secteur et de son environnement institutionnel et privé. Elle privilégie chaque fois que possible la
régulation ouverte.
Elle assure de façon exigeante la représentation du secteur sur les questions d’intérêt commun dans le respect absolu des règles de la concurrence en vigueur.
Les télécoms sont essentiels pour notre pays. Disposer d’infrastructures numériques performantes est un facteur de compétitivité et de progrès. La numérisation de l’économie et de la société implique des investissements massifs et cette dynamique ne peut que s’accroître.
Dans un environnement économique difficile, les opérateurs français déploient des réseaux de grande qualité qui ont permis une explosion des usages numériques, au bénéfice des citoyens, des entreprises et des territoires.
À l’heure du très haut débit, préserver leur capacité à innover et à investir est essentiel. La régulation du secteur doit donc évoluer pour leur permettre de relever ce défi; les opérateurs ont besoin de visibilité et de mesures n’entravant pas leurs capacités d’investissement.
L’étude du cabinet de conseil Arthur D. Little édition 2020 met à jour les indicateurs économiques sur le marché des Télécoms. Vous trouverez les messages clés, les analyses sur l’écosystème numérique mondial et celui de la France.
R.D. CONGO : TAXES SPÉCIFIQUES AU SECTEUR DES PTNTIC VS CROISSANCE ÉCONOMIQUEChristoph Stork
The DRC is considering imposing a tax on voice bundles of USD 0.0075 per minute, USD 0.003 per SMS and USD 0.00005 per MB. At the same time, the regulator has prohibited any price increases. The net effect will be to slow investment and economic growth. The new proposed taxes on SMS, minutes and data will limit the commercial freedom of mobile operators and force SMS, voice, data and mixed bundles to be withdrawn because prices cannot be increased. The net effect will be an indirect price increase through the withdrawal of bundles. This will hit the poor hardest.
> Qui sommes-nous ?
La Fédération Française des Télécoms réunit depuis 2007 les opérateurs de communications électroniques en France. Elle compte 15 membres et une équipe permanente de neuf personnes autour de Michel Combot, Directeur général. Le Conseil d’administration de la Fédération Française des Télécoms a élu, le 15 mars 2018, Didier Casas en tant que Président, jusqu’en mai 2019. Didier Casas est Directeur général adjoint de Bouygues Telecom et membre de son comité exécutif.
> Les missions de la Fédération :
Représenter les opérateurs nationaux du secteur des télécoms en assurant le dialogue entre les opérateurs, les pouvoirs publics, la société civile, les entreprises et les élus nationaux et locaux.
Accompagner la transition numérique en participant au développement des usages numériques et à l’amélioration de la couverture numérique.
La Fédération et ses membres ont conclu en janvier 2018 un « New Deal » sur l’accélération de la couverture mobile.
Un accord historique entre les opérateurs télécoms et les pouvoirs publics qui traduit un véritable changement de paradigme. Il permet la mise en en oeuvre d’un plan ambitieux d’inclusion numérique des territoires.
> Ils font partie de la Fédération :
Altice-SFR - Arteria - Bouygues Telecom - Colt Technology Services - Euro-Information Telecom - Hub One - Kosc Telecom - La Poste Mobile - Legos - Naxos - Orange - Prosodie - Transatel - Verizon - Worldline
El documento proporciona una serie de consejos para el cuidado y mantenimiento de las computadoras portátiles. Recomienda usar una mochila acolchada para transportar el equipo con seguridad, comprar una base refrigerante si la computadora se sobrecalienta, no forzar las bisagras de la pantalla, asegurarse de que el voltaje sea correcto antes de usar tomas desconocidas, quitar la batería si se usa solo con el cargador, cargar completamente la batería y no exponer la computadora a temperaturas extremas.
El documento propone elaborar un nuevo manual de atención a usuarios para la biblioteca de derecho y ciencias políticas utilizando las habilidades adquiridas en expresión oral y escrita. El manual actualizaría los procedimientos para mejorar la atención a usuarios presenciales y virtuales, e incluiría encuestas de satisfacción y herramientas de comunicación virtual como correo electrónico y chats. El objetivo es brindar un servicio de calidad humano a todos los usuarios.
Este documento describe la importancia de la mercadotecnia para el crecimiento de las pequeñas y medianas empresas (pymes) en México. Explica que la mercadotecnia tiene como objetivo promover la productividad de las empresas mediante la satisfacción de las necesidades de los clientes. También señala que las pymes constituyen la columna vertebral de la economía mexicana debido a su alto impacto en la generación de empleos y producción, por lo que es importante apoyarlas para su establecimiento y crecimiento.
Le projet Clothes for Smiles développé par UNIQLO et Novak Djokovic bénéficie de plus de 10 millions de dollars de fonds provenant des ventes des produits HEATTECH et Ultra-Light Down. Il a été développé dans le but de donner aux enfants l'espoir et le rêve d'un avenir meilleur. La moitié des fonds servira à soutenir l'UNICEF, et nous avons besoin de votre aide pour savoir comment utiliser au mieux l'autre moitié.
Un sistema operativo es necesario para que un ordenador pueda funcionar correctamente y gestionar sus dispositivos y recursos internos. Los principales sistemas operativos son Windows, Linux y Mac OS, cada uno con sus propias características como interfaz, estabilidad, seguridad y licencia.
Clase cap 2.4 cinetica q teoria de colisiones, arrhenius y catalisisantonespro
Este documento describe los conceptos clave de la cinética química, incluyendo la teoría de colisiones, la energía de activación, y el complejo activado. Explica cómo la velocidad de una reacción depende de la temperatura según la ecuación de Arrhenius, y cómo los catalizadores pueden reducir la energía de activación y aumentar la velocidad de una reacción a través de la catálisis homogénea, heterogénea o enzimática.
app's miles permet une nouvelle approche de la fidélisation-client : récompensez les visites, les partages, les inscriptions, à partir du mobile, et sur tous vos canaux clients :
mobile, web, formulaires, facebook, magasins, galeries marchandes.
I. Élections : retour à la démocratie après une guerre civile
les cas d’Angola, Mozambique, et RDC
II. Élections: source de violence électorale
les cas de la Côte d’Ivoire et du Zimbabwe
III. Un processus de démocratisation ?
Les violences électorales comme moteur de la démocratie au Kenya ?
Este documento describe las principales áreas del cerebro y sus funciones. El lóbulo frontal se encarga del lenguaje y las funciones cognitivas. El lóbulo parietal procesa la sensibilidad y percepción. El lóbulo temporal participa en la memoria y emociones. El lóbulo occipital contiene las áreas visuales. Cada hemisferio controla el lado opuesto del cuerpo a través de conexiones nerviosas.
Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman 2015 yann le gigan
>>[Etude] Baromètre digital du commerce par LSA et Oliver Wyman 2015
[Slideshare Clotilde Chenevoy LSA 11.09.15]
La mutation digitale de la distribution
http://fr.slideshare.net/CCHENEVOY/etude-sur-omnicanal-lsa-oliver-wyman-2015
Dans le cadre du Forum des Télécoms et du Net organisé par les Echos le 1’ juin 2012, Pierre Louette, Président de la FFTélécoms a été invité à intervenir à une table-ronde sur l’environnement règlementaire, fiscal et juridique des acteurs du net et des télécoms aux côtés de Philippe Marini, Sénateur UMP de l’Oise, Président de la commission des finances, de François Momboisse, Vice-président en charge de la croissance du CNNum, Président de la FEVAD et Orion Berg, avocat chez White & Case.
Quelles politiques fiscales à prendre par la République Démocratique du Congo...julesbasele
Les pays africains qui subissent les effets de cette industrie,
la téléphonie mobile, doivent aller progressivement mais surement vers la réduction, voire la suppression des impôts et taxes qui frappe le chiffre d’affaires au nom de cette inclusion numérique ou de la pénétration mobile.
nécessité d'adapter la fiscalité de l'argent mobile en RDC aux bonne pratique...Franck KANZA LUKEBADIO
La téléphonie mobile a connu une forte croissance en RDC, mais une partie importante de la population n’est pas encore connectée aux services mobiles en raison d’une couverture de réseau limitée et de problèmes d’accessibilité financière. Parmi les raisons expliquent cet état de choses, il y a notamment la complexité du système fiscal qui augmente les coûts d’exploitation des opérateurs.
Or, Un système fiscal propice devrait s’efforcer d’apporter au secteur de la téléphonie mobile le soutien dont il a besoin pour se développer et maximiser les opportunités offertes aux consommateurs, aux entreprises et aux pouvoirs publics en inspirant des bonnes pratiques en la matière telle que recommandée par le FMI.
Une telle décision nécessite le dialogue entre les acteurs impliqués. Car au-delà de l’élargissement de l’assiette et les facilités offertes aux consommateurs, l’Etat Congolais bénéficierait de ces innovations, en mettant en place par exemple, une plate-forme des services gouvernementaux en ligne à l’instar des certains pays comme le KENYA et la COTE D’IVOIRE.
Ensemble à travers la tempête du digital (U. Penzkofer)NRB
Aujourd'hui, les sociétés rencontrent différentes problémtiques liées à la nouvelle ère du digital et l'IT occupe de plus en plus une place prédominante dans la croissance d'une entreprise. A travers cette présentation vous pourrez aussi découvrir comment le groupe NRB répond à ces changements et diversifie son offre.
[Fr] Rapport Mc Kinsey sur la mutation numériqueYann Gourvennec
C'est la mise à jour du rapport Mc Kinsey sur la mutation numérique. La France y est considérée comme honorablement représentée (traduction : ni bonne ni mauvaise, juste moyenne) mais le décalage avec des pays comme le Royaume Uni est saisissant (2 fois plus de poids du numérique dans l'économie au Royaume Uni)
Les 6èmes Assises du Très Haut Débit, organisées lundi 9 juillet 2012, ont été l'occasion de réunir l'ensemble des parties prenantes concernées par cet enjeu national et de faire un point à date sur l'état du déploiement. Pierre Louette, président de la Fédération, y est intervenu pour rappeler les engagements et les avancées concrètes menées par les opérateurs.
TIC Magazine est le premier magazine marocain francophone dédié aux Technologies de l’Information et la communication, destiné aux professionnels du secteur au Maroc
Plus d'infos sur http://www.ticmagazine.net
Intelligence collective et réseaux sociaux : comment le web 2.0 modifie la tr...Fred Colantonio
Paru dans la brochure IGRETEC, support TIC, n°6
Intelligence « intuitive », « culturelle », ou encore « en essaim » , autant de termes pour désigner la profonde mutation que subit la transmission d’informations de valeur à l’heure des réseaux sociaux. L’avènement du web social redistribue en effet la diffusion d’informations et le crédit accordé à ces dernières.
Le cloud au service de la performance et de l'innovation. Un livre blanc d'IBM.Exodata
Comment le cloud change notre manière de consommer l'informatique, en permettant aux entreprises de se recentrer sur leur coeur de métier... et d'innover. Un livre blanc complet, par IBM et le Gartner Group.
SCT Telecom se mobilise contre les arnaques Arnaques, litiges, avis consommateurs divers et condamnations de justice, Internet regorge d’informations qui n’aident pas forcément les particuliers et les entreprises à choisir un nouvel opérateur ! Eviter les arnaques en trouvant le bon partenaire
Similaire à 2014.06.05 beltug mémorandum fr final (20)
2. Executive summary
En période de reprise économique fragile, une politique bien pensée en matière de technologies et
de services de communication peut dynamiser le paysage numérique national et la croissance du
pays. Par le biais de ce mémorandum, BELTUG, l’organisation qui défend les intérêts des utilisateurs
professionnels ICT, entend indiquer au monde politique plusieurs défis à relever en ce qui concerne
l’utilisation des technologies de l’information pour favoriser l’émergence d’une économie forte
embrassant pleinement la numérisation.
Cette note synthétise en 5 points les recommandations de BELTUG :
⋅ Nous devons instamment stimuler l’esprit d’entreprise numérique sous peine de voir d’autres
pays s’accaparer des revenus et impôts générés par cette activité
⋅ Le télétravail devient la nouvelle norme, ce qui nécessite l’adaptation du cadre fiscal pour
favoriser cette mobilité accrue
⋅ Les impératifs budgétaires ne doivent pas être satisfaits sur le dos du secteur des télécoms
⋅ Il faut favoriser la concurrence sur le marché des télécoms professionnel
⋅ La mise en œuvre d’une stratégie uniforme et non fragmentée pour la cybersécurité avec un
interlocuteur clair pour les entreprises et les institutions publiques augmentera le confiance dans
l’économie digitale.
Introduction
2014 marque l’amorce d’une reprise économique. BELTUG est convaincue que les technologies ICT
peuvent constituer un catalyseur pour une économie en voie de numérisation accélérée.
La Belgique doit cependant prendre pleinement conscience de la nouvelle réalité économique et
embrasser sans retenue la numérisation des activités créatrices de richesse. Les facteurs qui
freinent le développement de l’économie de la connaissance sont encore trop nombreux.
La téléphonie, Internet et les services cloud convergent en s’internationalisant, et le télétravail
devient la nouvelle norme. La convergence est un atout : l’avenir du contenu média, des services de
télévision, de la téléphonie, de l’e-commerce et de l’économie des applis est soutenu par les réseaux
de communication. En investissant les moyens appropriés dans les technologies ICT, les entreprises
et les institutions publiques peuvent s’organiser mieux. Mais aussi innover davantage.
L’Europe insiste sur l’harmonisation et l’unification des marchés télécoms. Neelie Kroes, Commissaire
Européen pour l’Agenda Digital, constate que l’Europe doit opérer un mouvement de rattrapage si
elle veut compter dans l’économie numérique. Cela concerne certainement la Belgique.
Ce mémorandum entend sensibiliser les décideurs politiques sur un certain nombre de possibilités
de favoriser l’utilisation des technologies ICT et ainsi de stimuler la croissance économique. BELTUG
se profile comme un partenaire des pouvoirs publics pour faire émerger une économie numérique
belge forte. Une petite modification législative peut parfois faire une grande différence. Nous avons
donc été agréablement surpris par la rapidité de réaction des pouvoirs publics lorsqu’Apple a décidé
d’exclure certains réseaux 4G de son smartphone.
Mémorandum - 2 - Juin 2014
3. 1 Pour le climat des affaires numériques, l’heure du réveil a sonné
Le glissement des achats des magasins « réels » aux magasins virtuels de l’internet est manifeste.
Problème : pour leurs emplettes en ligne, les consommateurs belges passent surtout par les sites
Amazon, Cool Blue, Bol.com, pour n’en citer que quelques-uns, tous étrangers. Le paysage du
commerce électronique belge est dominé par de grands acteurs internationaux. Nous constatons
aussi que la Belgique abrite beaucoup moins de data centers que les pays environnants et affiche de
faibles chiffres d’hébergement. La Belgique est à la traîne. Ce qui signifie non seulement un manque
à gagner pour les entreprises de notre pays mais aussi pour l’État, et une perte en termes d’impôts.
Et pour ne rien arranger, les commandes passant par des sites « .be » sont également facturées au
départ, par exemple, de l’Irlande ou des Pays-Bas. Un paysage électronique balayé par des vents
extérieurs n’est pas de nature à créer beaucoup d’emplois domestiques.
Les enjeux fiscaux de l’économie numérique sont maintenant pris très au sérieux par les
organisations internationales. L’OCDE y travaille dans le cadre du « Base Erosion and Profit Shifting »
(BEPS) en ayant la volonté d’imposer les entreprises là où s’effectue la transaction économique.
BELTUG ne saurait trop insister pour que notre pays soit aux avant-postes de cette politique.
2 Une (para)fiscalité stimulante pour le télétravail
La montée en puissance des smartphones et des tablettes fait que les utilisations privée et
professionnelle sont de plus en plus étroitement imbriquées. Or, le cadre législatif actuel est ambigu
et complexe. Une (para)fiscalité stimulante doit satisfaire le besoin croissant de mobilité. Un cadre
simplifié peut apporter sa contribution à la relance économique.
Les règles actuelles sur l’utilisation privée des appareils mobiles et d’Internet ne sont plus de ce
temps, sont démotivantes et ne correspondent plus à l’usage réel. Chaque entreprise, de la
multinationale à la PME, en passant par l’ institution publique, y est confrontée.
Pour BELTUG, il importe que les entreprises s’investissent dans le développement d’applications
mobiles innovantes au lieu d’avoir à se casser la tête à propos d’une administration et d’une
(para)fiscalité compliquées. La situation devient difficilement gérable et conduit à des situations
délicates et irritantes opposant les entreprises à leurs salariés.
BELTUG plaide pour les mesures suivantes :
⋅ Baisse du montant forfaitaire de l’ATN pour les ordinateurs. L’« avantage toute nature » de
180,00 € pour l’utilisation privée d’un ordinateur a été fixé en 2003 et ne tient pas compte de la
chute des prix des ordinateurs intervenue depuis lors. Pour un ordinateur qui est amorti en
4 ans, l’on impute un ATN de pas moins 720,00 €.
⋅ Baisse du montant forfaitaire pour les tablettes. L’ATN pour une tablette a été assimilé en mai
2012 à celui d’un ordinateur, c’est-à-dire à 180,00 €. Si le salarié l’utilise durant 3 ans, l’ATN
grimpe à 540,00 €, alors que le prix actuel d’une tablette varie entre 200,00 € et 750,00 €. Une
tablette s’avère donc un cadeau empoisonné.
⋅ Une solution forfaitaire équitable pour les smartphones et les coûts de communication.
⋅ Une solution alternative à l’addition de l’ATN des divers appareils utilisés : l’instauration d’un
plafond stimulant pour l’ATN. En réalité, un salarié n’utilise jamais différents appareils à des fins
privées en même temps: p.ex. on n’actualise son statut sur Facebook que sur un appareil. Un
Mémorandum - 3 - Juin 2014
4. salarié qui, pour son travail, peut utiliser chez lui un smartphone, un ordinateur portable,
Internet mobile et Internet à haut débit se voit imputer chaque mois un ATN de 52,50 € !
⋅ Une solution claire et équitable pour les interventions de l’employeur en cas de BYOD (lorsque le
salarié utilise son propre appareil pour le travail).
3 Les télécoms, le moteur de l’économie et non pas sa vache à lait
La Région wallonne a approuvé en décembre dernier une taxe sur les antennes GSM. Qui peut
représenter au bas mot un coût de 24 millions d’euros pour les opérateurs. La Région bruxelloise
envisage également de nouvelles taxes sur les antennes télécoms.
BELTUG n’entend pas défendre les opérateurs à leur place mais tient cependant à souligner que ces
mesures ne font qu’accroître les coûts pour les entreprises et les administrations publiques. Nous
plaidons dès lors pour que les pouvoirs publics ne règlent pas leurs problèmes budgétaires sur le
dos précisément des activités qui stimulent l’activité économique.
Il ne s’agit pas toujours d’impôts supplémentaires
Ainsi, l’AR publié le 4 février 2014 sur la couverture radio ASTRID a une portée considérable. Pour
l’obtention d’un permis de bâtir, il impose la couverture radioélectrique du réseau mobile pour les
services de secours. Or, BELTUG n’a reçu aucune réponse des pouvoirs publics quant à la faisabilité et
l’impact budgétaire de cette mesure pour les entreprises.
4 Trop peu de concurrence sur le marché professionnel
Le marché des télécoms professionnel se distingue toujours par un manque criant de concurrence.
Les entreprises et les institutions publiques veulent pouvoir comparer les prix des différents
prestataires sur le marché. C’est essentiel pour toute politique d’achat digne de ce nom.
⋅ Le résultat d’un appel d’offres pour un réseau d’entreprise se réduit très souvent à deux
soumissions. Les entreprises opérant sur différents sites sont les plus nombreuses à être
confrontées à un manque d’offrants.
⋅ Les entreprises veulent acheter de plus en plus de « managed services », c’est-à-dire des services
télécoms dont la gestion technique et des coûts est largement assurée par l’opérateur. Seul un
nombre limité d’opérateurs peut satisfaire ce besoin des entreprises.
⋅ 16 ans après la libéralisation, le marché des télécoms professionnel n’est pas concurrentiel.
⋅ Pour les services mobiles professionnels, Proximus et Mobistar sont de facto les seuls
prestataires. Base et Telenet sont pratiquement absents du marché professionnel, si l’on
excepte les petites entreprises.
⋅ Belgacom est le seul opérateur capable de proposer des services fixes, mobiles et ICT
convergents.
L’étude de marché récente de BELTUG démontre que, pour les entrepriseset et les institutions
publiques occupant plus de 200 salariés, Belgacom est le fournisseur attitré pour la téléphonie fixe et
la communication mobile à hauteur de 66 %. Selon GfK, Belgacom est le fournisseur pour 64 % des
petites entreprises (étude GfK Belgium, décembre 2013).
Mémorandum - 4 - Juin 2014
5. 5 Nécessité d’une stratégie de cybersécurité efficace – et de clarté
sur la protection de la vie privée
La confiance est indispensable si l’on veut développer une économie numérique forte. Les
consommateurs comme les entreprises sont toujours plus dépendants du bon fonctionnement
d’Internet. Le manque de confiance dans la confidentialité et la sécurité en ligne ne peut qu’entraver
le développement de l’économie numérique. La cybersécurité est d’une importance cruciale.
BELTUG demande aux pouvoirs publics une approche claire sur le plan de la sécurité, à deux niveaux :
Clarté sur les démarches à suivre en cas d’incident en matière de sécurité et/ou de confidentialité :
⋅ Un seul interlocuteur pour l’approche et le traitement des données sur les incidents de sécurité
et/ou de confidentialité : aujourd’hui, les entreprises qui y sont confrontées font face à un
dédale administratif. Elles ne savent pas précisément à qui et où signaler ce type d’incidents :
FCCU, IBPT, CERT et/ou Commission de la protection de la vie privée.
⋅ Un tiers fiable et solide pour communiquer et traiter, en confiance et dans l’anonymat, les
incidents. La structure et le financement actuels du CERT (Computer Emergency Response Team)
ne le permettent pas.
⋅ Le partage anonyme des informations en matière de sécurité : les entreprises et les institutions
publiques veulent apprendre les unes des autres et prendre connaissance des incidents qui se
produisent. Ici aussi, un tiers fiable au sein de l’administration doit pouvoir fournir un feedback
anonyme et aider les entreprises.
⋅ La cybercriminalité est un phénomène international : une collaboration internationale avec
CERT.EU s’impose donc. Nous devons joindre nos forces en Europe pour lutter efficacement
contre la cybercriminalité organisée.
Une stratégie de cybersécurité performante
Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à utiliser des réseaux hybrides : elles recourent donc
pour le trafic des données entre leurs sites non seulement à leur propre réseau, mais également à
l’Internet public et aux réseaux mobiles. Ce qui crée de nouveaux défis en matière de sécurité.
Une stratégie « cyber security » a été approuvée par le gouvernement qui procède à la création du
Centre de la cybersécurité en Belgique sous l’autorité du Premier Ministre. Mais, selon BELTUG, le
projet actuel manque de précision et n’est donc pas de nature à relever le grand défi posé.
BELTUG est surtout préoccupée par la dispersion du budget de la cybersécurité sur diverses
initiatives partielles, ce qui empêchera la réalisation de l’objectif de la stratégie mise en œuvre.
À propos de BELTUG
BELTUG est la plus grande association d’utilisateurs ICT professionnels en Belgique. Forte de plus de
1 200 membres, BELTUG défend leurs intérêts en encourageant les échanges de connaissances et en
développant les points de vue à faire valoir auprès des pouvoirs publics. Elle organise chaque année
plus de 30 ateliers et séminaires. BELTUG joue un rôle actif au sein d’INTUG, qui représente les
utilisateurs professionnels des technologies et services de communication au niveau européen et
international. BELTUG vzw - Knaptandstraat 123 | B - 9100 Sint-Niklaas | Tél. +32 3 778 17 83 |
www.beltug.be | info@beltug.be
Mémorandum - 5 - Juin 2014