Son impact est considérable car elle plonge dans l’imaginaire des consommateurs pour créer
un lien individuel avec eux. Il s’agit véritablement d’une nouvelle façon de penser, d’intégrer
des univers différents. L’innovation immatérielle est systémique, elle touche tous les
aspects de la création :
Leviers utilisés par la distribution pour réussir en 2013Philippe Greco
Comme le laissent penser depuis plusieurs mois maintenant les principaux indicateurs économiques, le secteur de la distribution spécialisée et sélective rencontre des difficultés en raison, notamment, de la baisse de la consommation chez les ménages français.
Nous avons souhaité recueillir les perspectives des professionnels afin d’obtenir une vision claire et objective des enjeux du marché et ainsi délivrer une analyse pertinente et constructive de ses tendances pour les mois à venir.
Dans cette optique, nous avons interrogé des enseignes de distribution spécialisée et sélective sur leurs pratiques commerciales et marketing en 2013 et sur leurs perspectives du marché.
En dépit des prévisions pessimistes concernant le secteur, on note une attitude plutôt volontariste de la part des professionnels. D’une part, plus de 50% d’entre eux affichent des prévisions de croissance pour 2013, et d’autre part, ils choisissent d’orienter leur stratégie vers un développement de leurs activités et pas seulement une stabilisation de leur rentabilité.
Ces intentions se vérifient dans les différentes gammes de produits ainsi que les différents secteurs d’activité.
Par ailleurs, le vecteur de croissance le plus mentionné et qui sera le plus utilisé en 2013 est de loin l’intégration d’une stratégie digitale à la stratégie commerciale globale. Les réseaux sociaux et plus particulièrement le mobile, constituent un réel axe de développement pour les entreprises voulant orienter leur distribution vers une multicanalité, mais aussi une omnicanalité.
En effet, les entreprises doivent être présentes tout au long de la chaine de valeur et supprimer tous les points rupture existant entre elle et son client. Ce dernier a, à sa disposition, divers outils lui permettant de faire des recherches, de se renseigner et de comparer des produits. On assiste donc à une volatilité plus fortes des clients et donc à une nécessité de fidéliser de la part des entreprises.
Ainsi, le digital devient un outil permettant un passage de relais entre la stratégie web (le site internet) et le point de vente physique de la marque. Il devient également une façon de réorienter le client vers la boutique ou la relation client est la plus exploitée et optimisée.
Ces nouvelles méthodes de vente viennent modeler une nouvelle relation client dans laquelle l’utilisateur du produit est acteur et non plus spectateur de la relation. Ce dernier doit se sentir privilégié, au centre des attentions et appartenant à une communauté ayant les mêmes caractéristiques que lui.
En conclusion, les professionnels du marché doivent se montrer innovants et réactifs afin de gagner un maximum de parts de marché. Ceux qui ne sauront pas évoluer, et s’adapter aux modes de consommation et de fonctionnement de leurs clients en 2013, seront très probablement en retard sur la concurrence en 2014.
Son impact est considérable car elle plonge dans l’imaginaire des consommateurs pour créer
un lien individuel avec eux. Il s’agit véritablement d’une nouvelle façon de penser, d’intégrer
des univers différents. L’innovation immatérielle est systémique, elle touche tous les
aspects de la création :
Leviers utilisés par la distribution pour réussir en 2013Philippe Greco
Comme le laissent penser depuis plusieurs mois maintenant les principaux indicateurs économiques, le secteur de la distribution spécialisée et sélective rencontre des difficultés en raison, notamment, de la baisse de la consommation chez les ménages français.
Nous avons souhaité recueillir les perspectives des professionnels afin d’obtenir une vision claire et objective des enjeux du marché et ainsi délivrer une analyse pertinente et constructive de ses tendances pour les mois à venir.
Dans cette optique, nous avons interrogé des enseignes de distribution spécialisée et sélective sur leurs pratiques commerciales et marketing en 2013 et sur leurs perspectives du marché.
En dépit des prévisions pessimistes concernant le secteur, on note une attitude plutôt volontariste de la part des professionnels. D’une part, plus de 50% d’entre eux affichent des prévisions de croissance pour 2013, et d’autre part, ils choisissent d’orienter leur stratégie vers un développement de leurs activités et pas seulement une stabilisation de leur rentabilité.
Ces intentions se vérifient dans les différentes gammes de produits ainsi que les différents secteurs d’activité.
Par ailleurs, le vecteur de croissance le plus mentionné et qui sera le plus utilisé en 2013 est de loin l’intégration d’une stratégie digitale à la stratégie commerciale globale. Les réseaux sociaux et plus particulièrement le mobile, constituent un réel axe de développement pour les entreprises voulant orienter leur distribution vers une multicanalité, mais aussi une omnicanalité.
En effet, les entreprises doivent être présentes tout au long de la chaine de valeur et supprimer tous les points rupture existant entre elle et son client. Ce dernier a, à sa disposition, divers outils lui permettant de faire des recherches, de se renseigner et de comparer des produits. On assiste donc à une volatilité plus fortes des clients et donc à une nécessité de fidéliser de la part des entreprises.
Ainsi, le digital devient un outil permettant un passage de relais entre la stratégie web (le site internet) et le point de vente physique de la marque. Il devient également une façon de réorienter le client vers la boutique ou la relation client est la plus exploitée et optimisée.
Ces nouvelles méthodes de vente viennent modeler une nouvelle relation client dans laquelle l’utilisateur du produit est acteur et non plus spectateur de la relation. Ce dernier doit se sentir privilégié, au centre des attentions et appartenant à une communauté ayant les mêmes caractéristiques que lui.
En conclusion, les professionnels du marché doivent se montrer innovants et réactifs afin de gagner un maximum de parts de marché. Ceux qui ne sauront pas évoluer, et s’adapter aux modes de consommation et de fonctionnement de leurs clients en 2013, seront très probablement en retard sur la concurrence en 2014.
Cross, Multi et maintenant Omni-canal...
Cette note vise à définir ces différents concepts et donner quelques pistes pour soit débuter soit exceller dans votre stratégie multicanal.
Cette note vise à définir ces différents concepts et donner quelques pistes pour soit débuter soit exceller dans votre stratégie multicanal. Rédaction par Etienne Darbousset, consultant Idaho Consulting
Ceci est un cours d'économie industrielle destiné aux étudiants en sciences de gestion et en sciences économiques. Il s'agit d'une introduction sur les concepts de base.
Ce cours est destiné pour les étudiants de première année du Département Sciences Economiques et de Gestion, Licence Appliquée Administration des Affaires, Gestion des Entreprises.
Les producteurs en vente directe ont l'obligation de respecter la réglementation en terme d'étiquetage de produit. Ce qui peut se révéler quelques fois complexe. Cette obligation doit aussi s'intégrer dans l'aspect plus global de la communication produit et du packaging.
Cross, Multi et maintenant Omni-canal...
Cette note vise à définir ces différents concepts et donner quelques pistes pour soit débuter soit exceller dans votre stratégie multicanal.
Cette note vise à définir ces différents concepts et donner quelques pistes pour soit débuter soit exceller dans votre stratégie multicanal. Rédaction par Etienne Darbousset, consultant Idaho Consulting
Ceci est un cours d'économie industrielle destiné aux étudiants en sciences de gestion et en sciences économiques. Il s'agit d'une introduction sur les concepts de base.
Ce cours est destiné pour les étudiants de première année du Département Sciences Economiques et de Gestion, Licence Appliquée Administration des Affaires, Gestion des Entreprises.
Les producteurs en vente directe ont l'obligation de respecter la réglementation en terme d'étiquetage de produit. Ce qui peut se révéler quelques fois complexe. Cette obligation doit aussi s'intégrer dans l'aspect plus global de la communication produit et du packaging.
Alexis Tournier, partenaire strategique des petites agences
3.Les stratégies de la distribution.pdf
1. 21/03/2023
1
14
Dimension stratégique de la
distribution
◼ Les choix en distribution (mode, canaux…) ne
sont pas neutres
◼ Ils entraînent des conséquences majeures
quant à la structure de l’entreprise
(distributeur), son mode d’organisation, les
techniques et compétences à maîtriser.
◼ Ces choix influencent aussi l’allocation des
ressources
◼ Ils ont aussi un impact, sur le contenu de son
image.
15
Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
◼ Le distributeur (Entreprise) doit s’adapter à
son environnement: les comportements
d’achat, la législation, la technologie…
◼ Pour y répondre, différentes stratégies
peuvent être envisagés
◼ Certaines sont communes au commerce et
autres secteurs
◼ D’autres sont spécifiques: offre large,
spécialisation par cible ou par assortiment,
réseau dense ou sélectif.
14
15
2. 21/03/2023
2
16
Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
◼ Les distributeurs encourent des risques
techniques, économiques, du producteur,
politique, client…
◼ Les stratégies des distributeurs sont
convergentes tant au risque politique et
technique et tous les distributeurs collaborent
avec les producteurs dans des coordinations
verticales…
◼ Les stratégies sont différentes dans la
relation avec le risque client (risque
alimentaire, par exemple).
17
Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
1. La stratégie de développement
◼ Développement direct
◼ Développement par acquisitions (rachat de
Euromarché par Carrefour, 1990’s par
exemple)
◼ Développement par alliances stratégiques
(alliance carrefour Label’Vie)
◼ L’intégration verticale (Decathlon,
Inditex/ZARA, Intermarché…)
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17
3. 21/03/2023
3
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Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
2. La stratégie de réduction des coûts
◼ Les économies d’échelle
◼ La diminution des coûts d’achat
◼ La diminution des coûts logistique
◼ La diminution des coûts de gestion
19
Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
2. La réduction des coûts
◼ La distribution représente, selon les
secteurs, 3 à 10% dans les CA. Cela justifie
l’intérêt que peuvent y porter les directions
des entreprises.
◼ Pour les produits de grande consommation
et à faible marge (dans la grande
distribution notamment), c’est l’optimisation
de la distribution qui permet de faire la
différence.
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19
4. 21/03/2023
4
20
Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
3. La différentiation de l’offre
◼ La segmentation et le positionnement: en
faisant jouer le merchandising, le style, la
communication et le service auprès de la
clientèle.
◼ L’élargissement de l’assortiment
◼ Le développement des marques de
distributeurs
◼ La communication
◼ L’innovation
21
Les stratégies de la
distribution / des distributeurs
4. La diversification
5. L’internationalisation
6. Les alliances internationales d’achat et
de marketing ou euro-centrales
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21