2. Chapitre I: Introduction aux systèmes d’informations
Chapitre II: Modèle E/A : Modèle Conceptuel de Données (MCD)
Chapitre III: Modèle logique de données (MLD)
2
Chapitre III: Modèle logique de données (MLD)
Chapitre IV: Modèle physique de données (MPD)
Chapitre V: Langage de requête (SQL), langage de définition
de données (LDD)
Chapitre VI: Langage de requête (SQL), langage de manipulation
de données (LMD)
3. 3
Partie 1 : Introduction aux Système d’informations
4. 1. Définition d’un Système
2. La représentation schématique d’un système
3. Définition d’un Système d’information (SI)
3. Définition d’un Système d’information (SI)
4. Les informations et traitements
5. Les approches par niveaux
4
5. 1. Définition d’un Système
Un Système : Désigne un ensemble de parties similaires qui participent à une
activité commun. C’est un dispositif formé par la réunion d’éléments analogues.
La définition de Larousse semble plus explicite : « Combinaison de parties qui
se coordonnent pour donner un résultat, de manière à former un ensemble.
Tous Système fonctionne en transformant des flux d’entrée en flux de sortie
Tous Système fonctionne en transformant des flux d’entrée en flux de sortie
selon des processus plus ou moins complexe.
5
Processus
d’Operations
Flux
d’entrée
Flux de
sortie
6. 2. La représentation schématique d’un système
Environnement Flux de données entrantes
Formation à Mémoriser Formation Mémorisée
6
Système de pilotage
Système
d’information
Système opérant
Flux de données sortantes
Formation à Mémoriser
Formation Mémorisée
7. 2. La représentation schématique d’un système
Système de
pilotage
Définit les missions, les objectifs, organise
l’emploi des moyens, contrôle l’exécution des
travaux
Assigne des objectifs à l’organisation, analyse
l’environnement et le fonctionnement interne à
l’organisation, contrôle le système opérant
Il est relié aux autres systèmes par des flux
d’informations internes.
Système
information
Système
opérant
C’est l’ensemble des ressources humaines, techniques et
financières qui fournissent, utilisent, compilent, traitent
et distribuent l’information de l’organisation
Il alimente l’organisation en informations d’origines
diverses (internes ou externes).
Il est la passerelle obligatoire pour toutes les
informations de l’entreprise.
C’est l’ensemble des moyens humains, matériels,
organisationnels qui exécutent les ordres du système de
pilotage.
Il assure le fonctionnement du système global, son activité
est contrôlée par le système de pilotage.
8. 3. Définition d’un Système d’information (SI)
C’est une présentation Opérationnelle de la réalité = Partie Statique +
Partie Dynamique
Partie Statique (Données ): Informations associées aux activités de
l’organisation
Partie Dynamique (Traitement ) : manipulation des données
Un Système d’information est un ensemble de taches complexes
regroupées en modules spécialisés qui composent l’applicatif informatique : le
logiciel. ces taches complexes sont généralement un assemblage de taches
plus simples. Ces taches simples sont les briques de base de l’applicatif.
Le logiciel a besoin d’un plan de conception, cette conception doit suivre
un plan, une conception sans erreur. C’est pourquoi un logiciel doit avoir une
étude préalables, une méthodologie
8
9. 3. Définition d’un Système d’information (SI)
A quoi sert une méthode ?
Une méthode définit une démarche reproductible qui produit des résultats
fiables.
Une méthode d’élaboration de logiciels décrit comment modéliser et
construire des systèmes logiciels de manière fiable et reproductible.
construire des systèmes logiciels de manière fiable et reproductible.
Le système d'information des entreprises actuelles est devenu l'un des
principaux piliers sur lesquels repose l'ensemble de l'activité.
Impossible donc de traiter ce domaine sans faire appel à des méthodes de
conception
La méthode existant dite : Merise (Méthode d’Etude et de Réalisation
Informatique pour les Système d’Entreprise)
9
10. 3. Définition d’un Système d’information (SI)
Informations
(partie
Statique)
10
Traitements
(partie
dynamique)
SI
11. 4. Les informations et traitements
L’information est l’émission ou la réception de signaux oraux ou écrits,
sonores, visuels ou multimédias dont le but est de déclencher les processus
alimentant l’échange, base naturelle et indispensable de l’animation de
l’organisation.
Les informations:
11
l’organisation.
Les informations se recueillent à l’intérieur du domaine à étudier. La liste
d’informations est constituée de plusieurs façons :
• L’interview.
• L’étude des documents internes.
• L’étude des documents externes.
12. 4. Les informations et traitements
• Une des phases du recueil d’information est un entretien avec les différents
acteurs de l’organisation. Cet entretien permet de définir le périmètre de
l’applicatif futur. Les informations orales sont classées et regroupées en
parties distinctes. Ainsi, les informations concernant l’enregistrement des
données de l’organisation seront regroupées
L’interview
• Les documents internes (comme factures, bons de livraison, ordres de
fabrication) recèlent des informations qui sont souvent omises lors des
documents
12
fabrication) recèlent des informations qui sont souvent omises lors des
entretiens. Ces oublis sont dus au caractère automatique et récurrent de ces
informations. Les personnes qui les manipulent au quotidien oublient
souvent de les citer tant elles leur paraissent évidentes.
documents
internes
• L’étude des documents externes (comme factures des fournisseurs, bons de livraison fournisseurs...) tout
comme l’étude des documents internes permet de découvrir des informations oubliées lors des
interviews et de découvrir aussi quelques règles de gestion.
• Pour ce recueil d’informations, il est nécessaire de respecter certaines règles pour éviter des erreurs
futures.
• Avant d’ajouter une information, il est impératif de s’assurer qu’elle n’est pas déjà présente. Par
exemple, un numéro client peut apparaître sur un bon de livraison et sur une facture. Ce n’est pas la
peine de le répertorier deux fois.
• De même, une information peut être synonyme d’une autre. Par exemple sur le bon de livraison il
apparaît « Code client » et sur la facture « Numéro Client ». Il est impératif de ne garder qu’une seule
des deux informations.
documents
externes
13. 4. Les informations et traitements
Les différente types d’informations:
Les informations élémentaires et mémorisables:
Les informations élémentaires sont des informations dont les valeurs ne peuvent
pas être inventées, elles ne sont pas déductibles d’autres informations.
Les informations Calculées:
Les informations calculées sont déductibles des informations élémentaires.
Par exemple, un nom de client ou sa raison sociale ne peuvent pas être inventés.
Une quantité commandée ne peut pas non plus être inventée. une information doit
être atomique, c’est-à-dire non décomposable.
Par exemple, le total d’une ligne de commande est le résultat de la
multiplication du prix de vente hors taxe et de la quantité commandée.
14. 4. Les informations et traitements
Les traitements:
Ils sont collectés comme les informations via un processus d’interview et
d’étude des documents. Ils peuvent être de deux sortes :
● automatiques ;
● automatiques ;
● manuels.
Ils sont déclenchés par l’arrivée d’évènements.
La gestion des traitements sert à identifier les fonctionnalités selon une
approche qui va du général au particulier et qui définit leur découpage et leur
enchaînement.
15. 5. Les niveaux d’approches
Le niveau conceptuel(MCD)(MCT)
(Question le quoi faire, avec quelle données)
Le niveau organisationnel(MOD)(MOT)
15
(Qui,? Ou?, Quand?)
Le niveau logique (MLD)(MLT)
(Avec Quoi?)
Le niveau physique(MPD)(MPT)
(Comment?)
16. 5. Les niveaux d’approches
• Le niveau conceptuel consiste à concevoir le SI en faisant
abstraction de toutes les contraintes techniques ou organisationnelles
et cela tant au niveau des données que des traitements. Le niveau
conceptuel répond à la question Quoi ?
Le niveau
conceptuel
• Le niveau organisationnel a comme mission d’intégrer dans
l’analyse les critères liés à l’organisation étudiée. Le niveau
organisationnel fera préciser les notions de temporalité, de
chronologie des opérations, d’unité de lieu, définira les postes de
Le niveau
organisationn
16
chronologie des opérations, d’unité de lieu, définira les postes de
travail, l’accès aux bases de données…
• Les questions posées, au niveau des traitements, sont : ●Qui ? ● Où
? ● Quand ?
organisationn
el
• Le niveau logique est indépendant du matériel informatique, des
langages de programmation ou de gestion des données. C’est la
réponse à la question Avec quoi ?
Le niveau
logique
• Le niveau physique permet de définir l’organisation réelle
(physique) des données. Il apporte les solutions techniques, par
exemple sur les méthodes de stockage et d’accès à l’information.
C’est la réponse au Comment ?
Le niveau
physique
21. 1. Définition d’une base de données
2. Évolution et Origine des BD
3. Modèles de BD
2.1 Modèle hiérarchique
2.1 Modèle hiérarchique
2.2 Modèle réseau
2.3 Modèle relationnel
4. Système de gestion de base de données (SGBD)
5. Objectifs des SGBD
6. Fonctions des SGBD
21
22. 1. Définition d’une base de données
Qu’est ce qu’une BD?
Ensemble de données modélisant les objets d’une partie du monde réel et
servant de support à une application informatique.
Ensemble de données interrogeable par le contenu.
Ensemble de données interrogeable à partir des relations entre données.
Définition intuitive d’une BD: un ensemble structuré de données (1)
enregistrées sur des supports accessibles par l’ordinateur (2) pour satisfaire
simultanément plusieurs utilisateurs (3) de manière sélective (4) en un temps
opportun (5).
(1) : Organisation et description de données.
(2) : Stockage sur disque.
(3) : Partage des données.
(4) : Confidentialité.
(5) : Performance.
22
23. 2. Évolution et Origine des BD
40 ans d’histoire:
Les années 60: organisation classique en fichier reliés par
des pointeurs.
Fin des années 60: apparition des premiers SGBD
hiérarchiques et réseaux, séparation de la description des
données et la manipulation par les applications.
Les années 70: deuxième génération de SGBD, le modèle
relationnel.
relationnel.
Début des années 90: troisième génération de SGBD, le
système orienté objets.
A partir de 2000: Data mining, les SGBD OLAP, le SGBD
XML et les SGBD de contraintes.
1ére génération de BD
(années 60)
2éme génération de BD
(années 70)
3éme génération
de BD (années 90)
•Modèles hiérarchiques et
réseaux
Modèles E/A
Modèle relationnel
Modèle réseau
sémantique
•Modèles
Objets
23
24. 3. Modèles de BD 3.1 Modèle hiérarchique
Une BD hiérarchique est une forme de SGBD qui lie des
enregistrements dans une structure arborescente de façon à ce que
chaque enregistrement n’ait qu’un seul possesseur.
Nœud = Entité
Arcs = associations
entre les entités.
racine
Niveau 0
24
Niveau 0
Niveau 1
Niveau 2
feuilles
25. 3. Modèles de BD 3.1 Modèle hiérarchique
Un schéma conceptuel hiérarchique est un ensemble d’objets possédant
des propriétés par des liens hiérarchiques.
Les liens pris en charges par le modèle hiérarchique son
1-1 : un fils à un père.
1-n : un père à N fils.
Département
Chef-Départ Service
25
1-n : un père à N fils.
1-N
1-1
26. 3. Modèles de BD 3.1 Modèle hiérarchique
Modèle hiérarchique : Problèmes
Redondance: le modèle est incapable de représenter les lien N: M.
Anomalie de destruction ; la destruction d’un nœud cause
l’élimination de ses successeurs.
Anomalie d’insertion : impossible d’insérer des données sans
Anomalie d’insertion : impossible d’insérer des données sans
successeur.
Anomalie de modification; une modification doit éventuellement
être effectuée à plusieurs endroits.
Absence d’un langage non procédurale.
26
27. 3. Modèles de BD 3.2 Modèle réseau
Un réseau est un ensemble de nœud et arcs. Pour une représentation de
données, les nœuds représentent les objets et les arcs, les associations
entre ces objets.
Trois types de liens dans le modèle réseau:
1-1: à un objet de A correspond un et un
seul objet de B et vice versa
1-N: à un objet de A peut correspondre un
à plusieurs objets de B mais inversement, à
un objet de B ne peut correspondre qu’un
seul objet de A
M-N: à un objet de A peut correspondre un
à plusieurs objets de B et inversement
27
A
B
A
B
B
A
1-1
1-N
M-N
28. 3. Modèles de BD 3.2 Modèle réseau
Modèle réseau : Propriétés:
Avantages:
Pas d’anomalies de stockage, insertion, suppression,
modification
28
modification
Permet de modéliser les lien N:M
Inconvénients:
Pas de séparation entre schéma logique et schéma interne
Pas de langage non procédural pour les non spécialistes
29. 3. Modèles de BD 3. 3 Modèle relationnel
Une BD relationnelle est une base de données structurée suivant les
principes de l’algèbre relationnelle. Dans cette théorie relationnelle.
Une relation est représentée par l’ensemble des lignes d’une table.
les relations sont manipulées en utilisant les différents opérateurs
de l’algèbre relationnelle:
Sélection
Projection
Projection
Produit
Jointure
Union
Différence
Intersection
Division
La manipulation des données se fait à l’aire du langage SQL. Qui
implante l’ensemble des opérateurs de l’algèbre relationnelle.
29
30. 3. Modèles de BD 3. 3 Modèle relationnel
Modèle relationnel
Avantages du modèle:
Traitement du problème de redondance des données.
Traitement du problème de redondance des données.
Langage de manipulation de données non procédural (facile
à utiliser).
Un standard
Très simple, description très réduite des schémas
Utilisation interactive ou à partir d’un langage de
manipulation de données
Grande dynamique de structure
30
31. 4. Système de gestion de base de données (SGBD)
SGBD : Ensemble de logiciels systèmes permettant d’insérer,
modifier et de rechercher des données dans une grande masse
d’information
Programme 1
Fichier 1
BD
SGBD est composé de :
Gestionnaire de fichier
SGBD interne
SGBD externe
SGBD
Programme 3
Programme 2
Fichier 1
Fichier 2
Fichier 3
31
32. 4. Système de gestion de base de données (SGBD)
SGBD externe
SGBD Interne
Gestionnaire de
Fichiers
Mémoire secondaire
adressable: recherche
par le contenu.
Gestion de données
stockées dans les
fichiers, gestion des
liens entre données,
PA
MS
Fichiers
Mise en forme,
présentation des
données aux
programmes
d’applications, et aux
utilisateurs.
liens entre données,
Placement des données
dans les fichiers,
structure d’accès
rapide.
Terminaux PA: Programme d’application
MS: Mémoires secondaires 32
33. 4. Système de gestion de base de données (SGBD)
Il existe de nombreux systèmes de gestion de base de
données.
En 2008, Oracle corporation détenait près de la
moitié du marché des SGBD grâce à ses produits MySQL
33
moitié du marché des SGBD grâce à ses produits MySQL
et Oracle Database.
En 2011, la majorité des SGBD du marché manipulent
des bases de données relationnelles.
34. 4. Système de gestion de base de données (SGBD)
Deux catégories de SGBD: libres et propriétaires
Quelques SGBD libres:
34
35. 4. Système de gestion de base de données (SGBD)
Quelques SGBD propriétaires:
35
36. 5. Objectifs des SGBD
Indépendance physique : modifier le schéma interne sans avoir
à modifier le schéma conceptuel (ajouter un index, regrouper les
fichiers, changer le codage des données, etc.)
Indépendance logique : possibilité de modifier un schéma
externe sans modifier le schéma conceptuel (ajout/suppression
d’attributs, association, entités etc.)
d’attributs, association, entités etc.)
Manipulation facile des données: un utilisateur non
informaticien doit pouvoir manipuler simplement les données
(interrogation et mise à jour)
Administration facile des données : un SGBD doit fournir des
outils pour décrire les données, permettre le suivie de ces structures
et autoriser leur évolution (tache de l’administrateur BD).
36
37. 5. Objectifs des SGBD
Efficacité des accès aux données : garantie d’un bon débit
(nombre de transaction exécutées par seconde) et d’un bon temps
de réponse (tems d’attente moyen pour une transaction)
Redondance contrôlée des données ; pas de mise à jour
multiple ni d’incohérence
Cohérence des données : Le SGBD doit veiller à ce que les
applications respectent les contraintes d’intégrités. Ex. L’age
d’une personne doit être un nombre entier positif
Partage des données : utilisation simultanée des données par
différentes applications
Sécurité des données : les données doivent êtres protégées
contre les accès non-autorisés ou en cas panne.
37
38. 5. Fonctions des SGBD
Les Trois fonctions des SGBD
• Définition et description des Données.
• Définition et description des Données.
• Manipulation des données
• Contrôle (Partage, intégrité, confidentialité, sécurité)
38
39. 5. Fonctions des SGBD
Définition des données.
Langage de définition de données (LDD): permet de
nommer les entités, les attributs et associations
constituant la structure de la BD, ainsi que les contraintes
constituant la structure de la BD, ainsi que les contraintes
d’intégrité et de sécurité associées.
Example :
createTABLE ami( RefAmi Integer, NomVarchar(20),
PrenomVarchar(20), Date de Naissance date
CONSTRAINT index PRIMARY KEY(RefAmi)
)
39
40. 5. Fonctions des SGBD
Manipulation des données:
La manipulation se fait par l’intermédiaire d’un langage de
manipulation des données (LMD)
manipulation des données (LMD)
Langage de manipulation des données LMD: fournit un ensemble
d’opérations élémentaires de manipulation de données telles que
l’insertion, la modification, la recherche, l’extraction et la
suppression
Le modèle relationnel dispose d’un ensemble d’opérations
ensembliste appelé algèbre relationnelle à la fois simple d’utilisation
et puissant.
Le plus connu des LMD : SQL
40
41. 5. Fonctions des SGBD
Contrôle des données:
Partage de données: accès à la même information par plusieurs
utilisateurs en même temps. Le SGBD inclut un mécanisme de
contrôle de la concurrence basé sur des technique de verrouillage des
données (pour éviter par exemple qu’on puisse lire une information
qu’on est en train de mettre à jour)
qu’on est en train de mettre à jour)
Intégrité des données: grâce à la définition de contraintes sur les
données. Le SGBD veille à ce que toutes les contraintes soient
vérifiées à chaque insertion, suppression, ou modification d’une
donnée.
Confidentialité: des droits doivent être gérés sur les données,
droits de lecture, mise à jour, création, … qui permettent d’affiner.
Sécurité: une BD est souvent vitale dans le fonctionnement
d’une organisation, et il n’est pas tolérable qu’une panne puisse
remettre en cause son fonctionnement de manière durable. Les
SGBD fournissent des mécanismes pour assurer cette sécurité.
41
42.
43. 1. Concepts de base du formalisme E/A
1. Concepts de base du formalisme E/A
2. Les différents types d’associations
3. Règles de bonne formation d’un modèle E/A
43
44. Objectif du MCD :
Ecrire de façon formelle les données d’une base de données. Il s’agit donc
d’une représentation des données. Facilement compréhensible, permettant de
décrire la base de données à l’aide d’entités.
1. Concepts de base du formalisme E/A
44
Il est à la base de tous SGBD dits relationnels (Access, Oracle, DB2…) qui
sont les plus utilisés actuellement dans les entreprises.
Il est généralement représenté à l’aide du formalisme « entités-association »
sous la forme de :
ENTITES, ASSOCIATIONS et ATTRIBUTS.
45. Les étapes du MCD :
Catalogue des données
Détermination des entités
1. Concepts de base du formalisme E/A
45
Détermination et affectation des propriétés
Identification des associations
Détermination des cardinalités
46. Entité :
Concept concret ou abstract (un fait, un moment …) identifié du monde réel
caractérisé par un nom et une liste de propriétés.
Exemples:
Une entité concrète possède une existence physique : client, équipement, et
produit.
Une entité abstract a une existence conceptuelle : une transaction, un tarif,
1. Concepts de base du formalisme E/A
46
Une entité abstract a une existence conceptuelle : une transaction, un tarif,
l’annulation d’un vol d’avion.
Le client Jean Dupond est une entité concrète.
La commande COM0001 est une entité abstraite.
L’entité Personne(nom, prénom), et l’entité Voiture(nom, puissance fiscale)
ne peuvent pas être groupés en une même entité car ils ne partagent pas leurs
propriétés (prénoms, puissance fiscale).
L’entité se représente par un cadre contenant le nom de l’entité.
Client
47. Propriété d’une entité ou d’une association caractérisée par un nom et un type
élémentaire.
Attribut (Entité) :
Est un élément d’une entité:
a un nom unique.
permet de mémoriser une valeur.
1. Concepts de base du formalisme E/A
47
permet de mémoriser une valeur.
doit avoir un sens (donc une valeur) pour chacune des occurrences de la
composante.
Exemple:
Représentation graphique d’une entité comportant trois attributs.
Client
N° client
Nom
Prénom
Entité
Attributs
48. Règles concernant les attributs
Règle 1:
Un attribut ne peut en aucun cas être partagé par plusieurs
entités/associations.
Règle 2:
1. Concepts de base du formalisme E/A
48
Règle 2:
Un attribut est une donnée élémentaire, ce qui exclut des données
calculées ou dérivées.
Règle 3:
Une entité et ses attributs doivent être cohérente entre eux (i.e. ne
traitent qu’un seul sujet).
49. Elément particulier d’une entité, identifiable de façon unique (instance)
1. Concepts de base du formalisme E/A
Deux occurrences de l’entité ne peuvent avoir la même valeur d’identifiant
Exemple:
L’entité client1 dont le N° est 06464M est une occurrence de l’entité client
Occurrence: entité
49
Client1
064646M
Dupont
Frank
23 BD zola
Client2
012646M
Revaud
Jerome
2 BD alpha
L’entité client1 dont le N° est 06464M est une occurrence de l’entité client
50. Identifiant : entité
1. Concepts de base du formalisme E/A
Chaque entité possède au moins un identifiant éventuellement formé de
plusieurs attributs
Attribut ou groupe d’attributs permettent d’identifier chaque occurrence d’une
entité.
Regle4:
50
Client
N° client
Nom
Prénom
Adresse
Identifiant
simple
Exemple:
51. Identifiant : entité (suite)
Un identifiant est simple s’il est formé d’un seul attribut
Un identifiant est composé s’il est formé de plusieurs attributs
Exemple:
entité avec identifiant composé
1. Concepts de base du formalisme E/A
51
entité avec identifiant composé
Appartement
N° Appt
Identifiant2
Superficie
Identifiant
Composé
52. Association :
Lien logique entre entités dont le type est défini par un verbe et une liste
éventuelle de propriétés.
Règle 5:
On appelle collection de l’association l’ensemble des entités qu’elle relie.
1. Concepts de base du formalisme E/A
52
Un attribut peut être placé dans une association (association porteuse)
uniquement lorsqu’il dépend de toutes les entités liées par l’association.
Client
N° client
Nom
Prénom
Adresse
Commande
N° Commande
Date Commande
Date livraison
Total commande
Nom de l’association
Extrémités de l’association
Collection de l’association
Effectuer
Attribut de lien
53. Association : identifiant
1. Concepts de base du formalisme E/A
La concaténation des identifiant des entités liés à une association constitue
l’identifiant de cette association (cet identifiant n’est pas mentionné sur le
modèle).
Règle 6 :
53
Client
N° client
Nom
Prénom
Adresse
Commande
N° Commande
Date Commande
Date livraison
Total commande
Effectuer
Exemple:
L’identifiant de l’association effectuer est le couple (N° client, N°
commande)
54. Contrainte inscrite à chaque extrémité d’une association comportant un couple
de valeurs (min-max) qui établit, pour chaque entité de l’association, le nombre
minimum et maximum d’occurrences d’une association auxquelles elle peut
participer.
1. Concepts de base du formalisme E/A
Association : cardinalités (1)
Exemple:
Un client peut effectuer de 0 à n commande, mais une commande ne peut être
54
Client
N° client
Nom
Prénom
Adresse
Commande
N° Commande
Date Commande
Date livraison
Total commande
Effectuer
Source Destination
Sens de lecture
(0,n) (1,1)
Un client peut effectuer de 0 à n commande, mais une commande ne peut être
effectuer que par un seul client
55. Règle 7: l’expression de la cardinalité est obligatoire pour chaque partie
d’une association
Règle 8: Une cardinalité minimal est toujours 0 ou 1, est une cardinalité
maximale est toujours 1 ou n
1. Concepts de base du formalisme E/A
Association : cardinalité (2)
Une cardinalité maximal de 0 n’a pas de sens.
Remarques:
55
Cardinalités Signification
0…1 Au plus un
1…1 (ou 1) Un seul
0…n (ou *) Un nombre indéterminé
1…n Au moins un
Une cardinalité maximal de 0 n’a pas de sens.
Si une cardinalité maximal est connu et vaut 2,3 ou plus, alors nous considérons qu’elle
est déterminés et vaut n.
Les cardinalités minimales qui valent plus de 1 sont modélisées par 1.
Une cardinalité maximal de 1 se justifie par le fait que les entités en questions ont Besoin
de l’association pour exister.
Les seules cardinalités admises sont:
56. Une extrémité sans contrainte aura pour cardinalité (0,n)
Association : cardinalités (2)
1. Concepts de base du formalisme E/A
56
Client
N° client
Nom
Prénom
Adresse
Commande
N° Commande
Date Commande
Date livraison
Total commande
Effectuer
(0,n) (0,n)
57. Client
N° client
Nom
Prénom
Adresse
Commande
N° Commande
Date Commande
Date livraison
Total commande
Effectuer
(0,n) (1,1)
Association : cardinalités (3)
1. Concepts de base du formalisme E/A
57
Adresse Total commande
Sur l’extrémité client, le 0 signifie que le client peut ne pas être reliés à la
commande lors de sa création.
Le 1 en minimum de l’extrémité commande signifie qu’en aucun cas on ne
peut créer une occurrence de l’entité commande sans la relier en même temps à
une occurrence de l’entité client …. Cette dernière doit donc avoir créer avant!
58. Règles absolues !! (1)
Une association binaire fonctionnelle de cardinalité maximale égale à un ne peut
en aucun cas porter de propriétés !
1. Concepts de base du formalisme E/A
58
Entité 1
N° Entité 1
Nom Entité 1
Prénom Entité 1
Etc
Entité 2
N° Entité 2
Nom Entité 2
Prénom Entité 2
Etc
Association
Attribut
(0,n) (1,1)
Faux
59. Règles absolues !! (2)
Une association binaire ne peut en aucun cas porter des cardinalité 1,1 des deux
extrémités!
1. Concepts de base du formalisme E/A
59
Entité 1
N° Entité 1
Nom Entité 1
Prénom Entité 1
Etc
Entité 2
N° Entité 2
Nom Entité 2
Prénom Entité 2
Etc
Association
(1,1) (1,1)
Faux
60. Exercice
1. Concepts de base du formalisme E/A
• Une usine contient des machines qui peuvent fabriquer
au moins un type de pièce.
• Chaque machine peut avoir plusieurs pièces.
60
• Une machine apparient à un type de machine
• Chaque machine est construite par un fournisseur.
• Le fournisseur peut construire un ou plusieurs
machines.
• Etablir le modèle conceptuel de données (MCD)
61. Correction:
1. Concepts de base du formalisme E/A
Pièce
NumPiece
DesignationPiece
PrixUnitaire
TypePiéce
CodeTypeP
LibelleTypeP
Avoir
Fabriquer
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
61
Fournisseur
NumFournisseur
NomFournisseur
Adresse
Machine
NumMachine
NomMachine
TypeM
CodeTypeM
LibelléTypeM
Construire
Appartenir
(1,1)
(1,1)
(1,n)
(1,n)
(1,n)
62. Les associations réflexives
Une association réflexive est une association reliant
des occurrences de la même entité
2. Les différents types d’associations:
Parent
62
Personne
N°
Nom
Prénom
Adresse
Etre parent
Parent
Enfant
(0,n)
(1,n)
63. 2. Les différents types d’associations:
A
idA
Association
Les associations ternaires:
Une association ternaire est une association qui décrit un lien sémantique entre
trois entités.
B
idB
(0,n) (1,n)
(1,n)
63
C
idC
(1,n)
Créneau
horaire
N° Créneau
Date
Heure de début
Projeter
Film
N° Film
Titre
Durée
Salle
N° Salle
Capacité
(0,n)
(1,n)
(0,n)
Exemple:
Date Projection
64. 2. Les différents types d’associations:
Les associations ternaires:
Regardons le problème des quantités élémentaires de ventes. Cette données est
une propriété de la relation « vendre », liant CLIENT et TYPE DE VEHICULE
: la quantité n’est significative
que si on connaît à la foie le client et le type de véhicule:
65. 2. Les différents types d’associations:
Les association ternaires : décomposition
On remplace l’association ternaire (ou n-aire) par une entité et on lui
attribut identifiant.
On crée des association binaire entre la nouvelle entité et toutes les
65
On crée des association binaire entre la nouvelle entité et toutes les
autres entités de la collection de l’ancienne association.
La cardinalité de chacune des associations binaires crées est 1,1 du
cote des entités créé et 0,n ou 1,n du cote des entités de la collection
de l’ancienne association.
66. 2. Les différents types d’associations:
Entités
Règle 1: Toute entité présente dans un MCD doit obligatoirement comporter un
identifiant.
A retenir…
66
Règle 2: Pour chaque occurrence d’une entité, chaque attribut ne peut prendre
qu’une valeur.
Règle 3: Un attribut ne peut en aucun ces être partagé par plusieurs E/A.
Règle 4: Un attribut est une donnée élémentaire, ce qui exclut des données
calculées ou dérivées.
Règle 5: Deux occurrence de l’entité ne pourrait avoir la même valeur pour leur
identifiant.
67. 2. Les différents types d’associations:
Associations :
Règle 5 : un attribut peut être placé dans une association uniquement lorsqu’il dépend de
toutes les entités liées par l’association.
Règle 6 : la concaténation des identifiants des entités liés à une association constitue
A retenir…
67
Règle 6 : la concaténation des identifiants des entités liés à une association constitue
l’identifiant de cette association (cet identifiant n’est pas mentionné sur le modèle (il est
implicite))
Règle 7 : l’expression de la cardinalité est obligatoire pour chaque patte d’une association
Règle 8:une cardinalité minimal est toujours 0 ou 1, et une cardinalité maximale est
toujours 1 ou n
Règle 9 : Une association binaire fonctionnelle de cardinalité maximale égale à 1 ne peut
en aucun cas porter de propriétés.
Règle 10 : Une association binaire ne peut en aucun cas porter des cardinalités 1.1 des
deux extrémités.
68. 3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Un attribut multiple doit être remplacée par une association et une entité
supplémentaires
Adresse
N° adresse
Code postal
Employé
N° Employé
Nom
Habiter
Règles de normalisation des attributs
1,1
1,n
68
Code postal
ville
Nom
Prénom
Adresse principale
Adresse secondaire
N° tél domicile principale
N° tél domicile secondaire
N° portable
Num tél
N° num tél
N° tél
type
Normaliser
Employé
N° Employé
Nom
Prénom
Posséder
1,n
1,n
1,1
69. 3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Règles de normalisation des attributs
Un attribut multiple doit être remplacée par une association et une entité
supplémentaires
69
Article
N° Article
Désignation
Prix unitaire
Commande
N° Commande
Date
Montant total
Contenir
Quantité
70. 3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Règles de Fusion/Suppression entité/association
Ophtalmologue
N°Ophtalmologue
Nom
Prénom
Adresse
Dentiste
N° dentiste
Nom
Prénom
Adresse
Généraliste
N° généraliste
Nom
Prénom
Adresse
Il faut factoriser les entités quand c’est possible
70
Adresse
Adresse
Adresse
Médecin
N° médecin
Nom
Prénom
Adresse
Spécialiste
fusionner
Introduction
d’un attribut
supplémentaire
71. 3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Il faut factoriser les entités quand c’est possible, mais l’introduction d’un
attribut supplémentaire n’est pas toujours nécessaire
Ecrivain
N° Ecrivain
Nom
Prénom
Ecrire
Ecrire
Règles de Fusion/Suppression entité/association
0,n
0,n
71
Personne
N° Personne
Nom
Prénom
Adresse
Livre
N° Livre
Titre
Editeur
Prénom
Adresse
Abonne
N° Ecrivain
Nom
Prénom
Adresse
Livre
N° Livre
Titre
Editeur
Emprunter
Emprunter
0,n 0,n
0,n
0,n
0,n
0,n
0,n
72. 3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Il faut factoriser les entités quand c’est possible
Joueur deTennis
N° Joueur
Nom
Prénom
Genre
Règles de Fusion/Suppression entité/association
Joueur deTennis
N° Joueur
Nom
Prénom
Genre
Classement
0,n 0,n
72
Genre
Classement
Match deTennis
N° Match
Type
Jouer en
tant que
joueur1
Jouer
Type
Jouer en
tant que
joueur2
Jouer en
tant que
coéquipier1
Jouer en
tant que
coéquipier2
Classement
Match deTennis
N° Match
Type
0,n
0,n
1,1 0,1
0,1
1,1
0,n
1,n
73. 3. Règles de bonne formation d’un modèle entités - associations
Règles de Fusion/Suppression entité/association
Fournisseur
N° Fournisseur
Il faut aussi se poser la question de l’intérêt de l’association quand les
cardinalités maximale sont toutes de 1
1,1
73
N° Fournisseur
Nom
Prénom
Adresse
Contact
N° contact
Nom contact
N° tél contact
Fournisseur
N° fournisseur
Nom
Prénom
Adresse
Nom contact
N° tél contact
Travailler chez
Fusionner
1,1
1,1
74. 4. Etablir le dictionnaire de données
Un dictionnaire des données est une collection
de métadonnées ou de données de référence nécessaire à
la conception d'une base de données relationnelle.
Un dictionnaire des données doit respecter les contraintes
74
Un dictionnaire des données doit respecter les contraintes
suivantes:
•Tous les noms doivent être non décomposables.
• Il ne doit pas y avoir d'homonymes, ni de synonymes.
• Les données y sont regroupées par entité.
• Les identifiants sont complètement précisés.
• Les commentaires doivent être pertinents.
75. 4. Etablir le dictionnaire de données
Exemple de dictionnaire de données :
75
76. 5. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle entre deux attributs
Un attribut B dépend fonctionnellement de l’attribut A, noté AB si à une
valeur de A correspond une et une seule valeur pour B . On dit que A
détermine B
76
Plusieurs attributs peuvent apparaitre dans la partie gauche d’une
DF : {A,B,C} D.
Plusieurs attributs peuvent apparaitre dans la partie droite d’une DF;
Dans ce cas, il convient de considérer chaque DF en gardant la partie
gauche et en faisant intervenir un seul attribut dans la partie droite.
77. 5. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle élémentaires
Une DF (a,b) c est élémentaire si ni ac, ni bc ne sont des DF.
Autrement dit :
77
Une dépendance fonctionnelle A → B est élémentaire s’il n’existe pas
une donnée C, sous ensemble de A, décrivant une dépendance
fonctionnelle de type C → B
.
Exemples:
(NumFacteur, RefProduit)QtéFacturé est élémentarité (ni la référence
produit seule, ni le numéro de facteur seul permettent de déterminer la
quantité).
78. 4. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle directes
Une DF ac est direct si elle n’est pas déduite par transitivité C’est-à-
dire s’il n’existe pas de DF ab et bc
a b
(1) directe
78
Exemple:
Considérons les dépendance fonctionnelles
N°Facteur N°Représentation est une DF direct
N°Représentant NomReprésentant est une DF directe
N°Facteur NomReprésentant n’est pas une DF direct
puisqu'elle obtenue par transitivité
c
(3) directe
(2) directe
79. 5. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle: axiomes d’Armstrong
Réflexivité
Si b est un sous ensemble de a alors ab est une DF
Transitivité
79
Transitivité
Si ab est bc sont des DF, alors ac est une DF
Union
Si ab et ac sont des DF, alors a (b,c) est une DF
Décomposition
Si a(b,c) est une DF, alors ab et ac sont des DF
80. 5. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle entre entités: Exemple 1
RG : Pour un client, il corresponds un et un seul Attaché
commercial , un attaché commercial peut suivre plusieurs clients.
80
81. 5. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle entre entités : Exemple 2
• RG : Un type de véhicule donné ne correspond qu’une seule
marque, et à une marque correspond plusieurs type de véhicule.
81
• Ici, TYPE DE VEHICULE détermine totalement MARQUE.
• Nous appelons cette relation fonctionnelle (DF), et elle se note de
la manière suivante :
•TYPE DE VEHICULE - MARQUE.
•Ex Corolla = Toyota, Megane = Renault
82. 5. Dépendances fonctionnelles
Dépendances fonctionnelle entre entités : Exemple 3
RG : Une marque est entreposée dans un seul entrepôt, Dans un
entrepôt sont entreposées une ou plusieurs marques.
82
•Ici, la marque détermine totalement le dépôt.
87. 6. Applications
Application1: Gestion de vente de véhicules
• Une compagnie de vente de véhicules vend des véhicules
toutes marques qu’elle stocke dans de grands entrepôts.
• Dans un même entrepôt, on peux trouver plusieurs marques
de véhicules.
87
de véhicules.
• Pour des raisons de logistiques, le gérant de la société a exigé
de ses employés qu’une marque ne puisse se trouver que dans
un seul entrepôt.
• Chaque attaché commercial gère son propre portefeuille de
clients.
88. 6. Applications
Application1: Gestion de vente de véhicules
Nom de marque
Nom de dépôt
Nom du type
Les interviews avec le gérant de cette compagnie ont permis de détecter
les données suivantes :
88
Nom du type
Puissance fiscale
Nom du responsable commercial pour une marque
Prix unitaire d’un type de véhicule
Adresse de dépôt
Nom, adresse du client
Quantité d’une vente
Nom de l’attaché commercial
Adresse de l’attaché commercial
89. 6. Applications
Application1: Gestion de vente de véhicules
Les interviews avec le gérant de cette compagnie ont permis de détecter
les règles de gestion suivantes :
RG1: Un dépôt peut contenir plusieurs marques,
RG2: Un type de véhicule concerne une et une seule marque,
RG3: Une marque ne se trouve que dans un seul entrepôt,
89
RG3: Une marque ne se trouve que dans un seul entrepôt,
RG4: Un attaché gère plusieurs clients
RG5: Un client est géré par un seul attaché
RG6: La quantité élémentaires de ventes est une propriété de la relation
« vendre », liant CLIENT et TYPE DE VEHICULE
Etablir le dictionnaire de données
Etablir le graphe de dépendances fonctionnel
Etablir le modèle conceptuel de données (MCD)
90. 6. Applications
Solution de l’application1: Gestion de vente de véhicules
Nom Commentaire Entité Type Identifiant
Nom de marque Le nom de la marque Marque A45 OUI
Nom de dépôt Le nom de de dépôt Dépôt A45 OUI
Dictionnaire de données
90
Nom du type Le nom de type de
Véhicule
Type deVéhicule A45 OUI
Puissance fiscale Puissance fiscale de
Véhicule
Type deVéhicule N NON
Nom du responsable
commercial
Nom du responsable
commercial d’une
marque
Attache
Commercial
A45 OUI
Prix unitaire d’un
type de véhicule
Prix unitaire d’un type de
véhicule
Type deVéhicule N Non
91. 6. Applications
Solution de l’application1: Gestion de vente de véhicules
Nom Commentaire Entité Type Identifiant
Adresse de dépôt Adresse de dépôt Depot A45 NON
Nom de dépôt Le nom de de dépôt Dépôt A45 OUI
Nom du client Nom du client Client A45 OUI
Dictionnaire de données (Suite)
91
91
Nom du client Nom du client Client A45 OUI
Adresse du client Adresse du client Client A45 NON
Quantité d’une vente Nom du responsable
commercial d’une marque
Attache
Commercial
A45 OUI
Nom de l’attaché
commercial
Nom de l’attaché
commercial
Attache
Commercial
A45 OUI
Adresse de l’attaché
commercial
Adresse de l’attaché
commercial
Attache
Commercial
A45 NON
92. 6. Applications
Solution de l’application1: Gestion de vente de véhicules
Le modèle conceptuel de données (MCD)
92
93. 6. Applications
Application2: Gestion des dossiers comptables
Les interviews avec le gérant d’une compagnie de gestion de comptabilité
ont permis de détecter les données suivantes :
ID comptable
Nom comptable
93
Nom comptable
Date de naissance de comptable
Num Tel comptable
Id commune
Nom commune
Id agence
Nom agence
Directeur agence
Id exploitation
Nom Explotation
Surface exploitation (SAU)
94. 6. Applications
Application2: Gestion des dossiers comptables
Les interviews avec le gérant de cette compagnie ont permis de détecter
les règles de gestion suivantes :
RG1: Un comptable peut travailler en une seule agence
RG2: Une exploitation se situe en une seule commune.
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RG2: Une exploitation se situe en une seule commune.
RG3: Une Agence est localisé en une seule commune.
RG4: Un comptable peut gérer plusieurs exploitations.
Etablir le dictionnaire de données
Etablir le graphe de dépendances fonctionnel
Etablir le modèle conceptuel de données (MCD)
95. 6. Applications
Solution d’application2: Gestion des dossiers comptables
Dictionnaire de données
95