Présentation de l'ouvrage "Correspondance au marin septentrional". V.L. Meydit Giannoni est l'auteur de ce recueil de poésies paru aux Éditions du Panthéon en Avril 2013.
"Correspondance au marin septentrional", V.L. Meydit Giannoni
1.
L’AUTEUR
:
«
J’ai
donné
aux
liasses
des
titres
pascaliens
car
sa
pensée
ne
m’a
jamais
quittée
et
m’a
toujours
fascinée,
en
ce
qu’elle
est
la
plus
proche
vérité
qui
ait
jamais
été
dite
sur
l’homme
et
sur
Dieu.
Ce
qui
constitue
une
correspondance
vaut
donc
aussi
bien
comme
une
longue
prière,
un
long
dialogue
avec
ce
Dieu
désespérément
caché.
J’ai
voulu
faire
du
recueil
une
longue
correspondance
parce
que
je
voulais
marquer
l’absence
du
destinataire,
et
la
douleur
de
son
silence.
Chaque
éclat
de
voix
portée
par
les
textes
résonne
ainsi
d’autant
mieux
qu’il
est
laissé
sans
réponse.
Vous
dire
que
c’est
Marseille
et
son
port,
ses
environs
de
champs
et
de
vignobles,
ses
ruelles
grises
et
ses
corniches
interminables,
l’Église
des
Réformés
et
ses
messes
surréelles,
n’a
que
peu
d'intérêt.
Mais
j’ai
voulu
conserver
une
essence,
une
atmosphère,
parce
que
j’ai
voulu
transmettre
mes
sensations
à
ceux
qui
me
liraient.
Détails
du
Livre
Parution
:
Avril
2013
Pages
:
80
pages
Genre
:
Poésie
ISBN
978-‐2-‐7547-‐1992-‐6
Prix
:
10,80
€
Distributeur
:
Pollen
http://www.editions-‐pantheon.fr
12,
rue
Antoine
Bourdelle
75015
Paris
–
Tél.
01
43
71
14
72
–
Fax
01
43
71
14
46
S.A.
au
capital
de
40
000
euros
–
R.C.S.
:
Paris
B
389
493
271
–
T.V.A
:
FR
74
389
493
271
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GILLES PARIS SARL
RELATIONS PRESSE, PUBLIQUES ET PARTENARIATS
NOTE DE L’EDITEUR : Lucien n’est pas seulement un
roman de notre temps, c’est aussi un regard lucide, cynique
et drôle sur notre société, sur ses paillettes et ses illusions.
C’est également un hymne à l’amour, une réflexion sur le
sens de la vie.
Bernard Saint-Paul nous entraine dans un monde qu’il a
bien connu. Un monde de vagabonds fortunés dans lequel il
est facile de se perdre. Un monde où l’on passe très vite de
la lumière à l’ombre. Et parfois les accidents de la vie se
transforment en cadeau de la vie. Faut-il encore savoir le voir, le comprendre.
Son écriture vive, cinglante, enrichit l’histoire, un peu comme un décor de
théâtre.
Mes
sensations
face
à
ces
paysages
que
j’ai
tant
aimés,
qui
me
sont
si
familiers,
face
à
ces
instants
de
perception
qui
m’ont
plongée
dans
une
dense
rêverie.
J’ai
voulu
toujours
me
rappeler
les
nuits
là-‐bas,
la
saveur
de
l’air
et
la
rumeur
de
la
ville.
J’ai
voulu
pouvoir
en
extraire
une
substance
qui
pourrait
se
dissoudre
dans
l’esprit
d’un
étranger,
en
tentant
de
me
rendre
étrangère
à
moi-‐même.
C’est
un
imaginaire
qui
se
file
donc
de
page
à
en
page,
et
je
suppose
que
c’est
la
raison
pour
laquelle
certains
thèmes
m’ont
suivie
à
la
trace.
La
mer,
le
ciel
étoilé,
les
grands
pins
voûtés,
l’eucharistie
du
sang
et
du
pain,
l’immersion,
la
dissolution,
la
profondeur.
»
V.
L.
Meydit
Giannoni
V.L.
Meydit
Giannoni,
l’auteur
de
Correspondance
au
marin
septentrional
est
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