Fruit de plus d’un an de travail mené dans le cadre de la délibération sur la politique économique et industrielle ouverte début 2010, « Approche de la compétitivité française" développe une analyse partagée de problématiques économiques, avec plusieurs objectifs :
- constituer un outil de référence, pédagogique et accessible au plus grand nombre, pour les organisations signataires et leurs représentants ;
- dépasser les polémiques stériles qui caractérisent les débats sur la compétitivité, traditionnellement considérée comme une préoccupation exclusivement patronale.
- s’accorder sur les causes de la perte de compétitivité de la France, et établir des priorités pour redresser la situation économique
Le préambule du rapport résume les points essentiels des discussions, notamment : la nécessité de bien appréhender la compétitivité pour ce qu’elle est c'est-à-dire non pas une fin en soi, mais une condition de la prospérité ; le souci de mettre en évidence à la fois la compétitivité-coût et la compétitivité hors coût ; la volonté de ne pas céder au « déclinisme » ambiant, en proposant des pistes pour bâtir un projet économique et social dans les années à venir.
Propositions de la Chambre des Métiers et de la Fédération des artisans - Ele...Paperjam_redaction
Propositions de la Chambre des métiers et la Fédérations des artisans quant au secteur de l'artisanat, en prélude aux élections législatives d'octobre 2018.
Fruit de plus d’un an de travail mené dans le cadre de la délibération sur la politique économique et industrielle ouverte début 2010, « Approche de la compétitivité française" développe une analyse partagée de problématiques économiques, avec plusieurs objectifs :
- constituer un outil de référence, pédagogique et accessible au plus grand nombre, pour les organisations signataires et leurs représentants ;
- dépasser les polémiques stériles qui caractérisent les débats sur la compétitivité, traditionnellement considérée comme une préoccupation exclusivement patronale.
- s’accorder sur les causes de la perte de compétitivité de la France, et établir des priorités pour redresser la situation économique
Le préambule du rapport résume les points essentiels des discussions, notamment : la nécessité de bien appréhender la compétitivité pour ce qu’elle est c'est-à-dire non pas une fin en soi, mais une condition de la prospérité ; le souci de mettre en évidence à la fois la compétitivité-coût et la compétitivité hors coût ; la volonté de ne pas céder au « déclinisme » ambiant, en proposant des pistes pour bâtir un projet économique et social dans les années à venir.
Propositions de la Chambre des Métiers et de la Fédération des artisans - Ele...Paperjam_redaction
Propositions de la Chambre des métiers et la Fédérations des artisans quant au secteur de l'artisanat, en prélude aux élections législatives d'octobre 2018.
Insee enquête innovation 2008-2010 - octobre 2012Jonathan Gravier
Innovation “péï” :
des handicaps partiellement surmontés. Entre 2008 et 2010, la moitié des entreprises
réunionnaises de 10 à 250 salariés ont
innové. C’est la même proportion qu’en
France métropolitaine. Pourtant, La Réunion
est confrontée à de nombreux handicaps :
un marché local isolé, des entreprises plus
petites et une économie tournée vers des
secteurs a priori peu innovants. Cependant,
une dynamique locale d’innovation dans
l’industrie compense ces obstacles. Les
entreprises de 20 à 49 salariés sont moteur
de l'innovation, avec 64 % d'entreprises
innovantes (54 % en France métropolitaine).
Les entreprises réunionnaises innovent
surtout en mettant en œuvre de nouvelles
stratégies d'organisation.
A contrario, l’innovation technologique est
plus faible à La Réunion. Le retard est plus
important dans les services que dans
l’industrie. La Réunion pâtit notamment d'un
manque d'emplois de cadres et de
conception-recherche. De même, bien
qu'existants, les réseaux d'innovation sont
encore en cours de développement.
Atelier de la Compétitivité Numérique par PagesJaunes GroupePagesJaunes Groupe
Le numérique constitue un formidable “accélérateur” qui appelle à une adaptation
de tous les modèles construits depuis des années. Aujourd’hui, une nouvelle
étape s’impose dans le développement de l’écosystème propre aux industries
du numérique.
La révolution numérique entraîne une mutation profonde de notre société – une
mutation créatrice de valeur et d’emplois. Il est donc fondamental d’accroître
la compétitivité de nos entreprises en relevant 3 défis :
• Un capital humain qu’il faut adapter aux nouveaux enjeux,
• Un environnement fiscal plus équitable et plus compétitif,
• Un écosystème qu’il faut consolider et installer durablement pour nos
entreprises numériques.
C’est dans cette optique que PagesJaunes Groupe a pris l’initiative de proposer
aux experts de la sphère publique et de l’entreprise, de rechercher ensemble les
meilleurs dispositifs pour favoriser le développement du numérique français et
de ses usages dans le cadre de l’Atelier de la compétitivité numérique.
La pandémie de Covid-19 a remis au coeur des débats les questions de souveraineté, de dépendance étrangère pour se procurer des produits stratégiques et de relocalisation de la production de ces biens sur le territoire – questions liées par ailleurs avec l’atteinte de la neutralité carbone.
Dans sa déclaration du 31 mars 2020, le président de la République affirmait : « Le jour d’après ne ressemblera pas aux jours d’avant. Nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne. […] Il nous faut retrouver la force morale et la volonté pour produire davantage en France et retrouver cette indépendance ».
En réponse à cette injonction, le Gouvernement a annoncé fin août une stratégie visant notamment à encourager les relocalisations. Or, dans les débats ayant entouré l’affirmation de cette stratégie publique, on a entendu les termes de souveraineté, réindustrialisation, relocalisation comme s’ils étaient interchangeables. De quoi parle-t-on ? Signifient-ils la même chose ?
On entend parfois dire que la France est dépourvue de start-up à vocation industrielle ou autrement dit que la French Tech florissante ne constitue pas un atout décisif pour le secteur manufacturier français.
Statistiquement parlant, il est certes indubitable que ces jeunes entreprises relèvent essentiellement du secteur tertiaire. Toutefois, en conclure qu’elles n’apportent aucun avantage compétitif à notre base industrielle serait inexact, ne serait-ce que du fait de l’absence de définition précise du terme « start-up ».
Premièrement, en raisonnant sur une base élargie, on observe des firmes à forte croissance dans de nombreux secteurs, y compris dans l’industrie. Deuxièmement, si l’on resserre la focale aux start-up « proprement dites », la proportion de ces entreprises qui s’intéressent à l’industrie n’est pas moindre en France qu’aux États-Unis. Certes, le financement par le capital-investissement français est insuffisant pour favoriser la croissance des firmes au point de faire naître de nouveaux champions, mais ce résultat vaut malheureusement pour tous les secteurs d’activité.
En réalité, les succès tricolores dans les fintechs sont même encourageants pour l’industrie, si l’on se fie aux analogies entre les régimes d’innovation des deux secteurs. Il n’y a donc pas de raison formelle de douter que les start-up puissent aider les entreprises industrielles à monter en gamme dans les secteurs dits « traditionnels ».
A l'occasion du lancement de son cycle de séminaires le 5 juillet 2019 à Mines ParisTech, l’observatoire des Territoires d’industrie a eu le plaisir d’accueillir M. Olivier Lluansi, délégué aux Territoires d’industrie. Cette première séance a eu pour thème “Reconstruire l’industrie dans les territoires”.
La crise liée à la pandémie Covid-19 a mis notre économie à rude épreuve et a souligné le rôle clé du tissu industriel. Le plan de relance consacre 35 milliards d’euros pour rebâtir l’industrie française en soutenant le développement d’une offre compétitive et innovante.
Produire les biens stratégiques pour répondre aux besoins de la population est nécessaire au maintien d’une certaine indépendance économique vis-à-vis de nos partenaires extérieurs. De ce point de vue, la relocalisation constitue un moyen de sécuriser l’accès à certains biens et services essentiels.
Les débats en cours évoquent également les relocalisations industrielles comme remède à la désindustrialisation. Les chiffres sont pourtant clairs : la relocalisation d’emplois industriels a du sens mais ne suffira pas à recréer massivement des emplois. Le défi de la réindustrialisation offre, lui, des perspectives plus prometteuses.
Etude Leaders League / Stratégies des entreprises de croissanceClearcase
Création d'emploi, gouvernance, management, R&D, RSE : quels choix font les entreprises en croissance rapide ?
Une étude pour tout comprendre des stratégies de nos champions économiques en France.
En 2012, la pépite de renommée mondiale Aldebaran, portant les espoirs de la robotique française, est absorbée par le japonais Softbank. En 2017, tandis que la France voit naître son premier réseau social tricolore avec Zenly, la jeune pousse est soudainement rachetée par l’américain Snapchat. Et l’histoire se répète encore et encore. À croire que tous ces investissements dans les start-up françaises ne servent qu’à consolider les positions d’acteurs étrangers, qui se nourrissent de nos technologies et de nos talents.
Faut-il pourtant déplorer ces rachats ? Il existe aussi une vision positive énonçant que ces mariages stimulent le développement de la jeune pousse et de l’économie française. Faute de preuves, le débat en est longtemps resté là. Mais cet ouvrage apporte enfin des éléments pour y voir plus clair.
Analysant les causes et les retombées du rachat des pépites françaises par des acteurs étrangers, et fondé sur une série d’entretiens, il met à l’épreuve plusieurs idées reçues. Non, nos start-up ne sont pas systématiquement pillées et délocalisées. Non, leurs dirigeants ne fuient pas à l’étranger. Non, les startupers ne manquent pas de patriotisme économique. Mieux : les rachats de nos start-up par des acteurs étrangers participent d’une dynamique bénéfique et nécessaire à tous les niveaux.
Cette publication offre un regard longtemps attendu sur cet écosystème, d’une grande utilité pour les décideurs publics, les dirigeants d’entreprises et l’ensemble des citoyens.
Synthèse n°18 de La Fabrique de l'industrie - février 2018.
Faut-il alléger les charges pesant sur les salaires pour améliorer la croissance et l’emploi ? Et, dans l’affirmative, est-il préférable de privilégier les bas salaires pour faciliter l’accès à l’emploi des moins qualifiés, ou au contraire de cibler les salaires plus élevés, caractéristiques de l’industrie et des services à valeur ajoutée, pour rendre la France plus compétitive ?
Réforme de la formation... le changement, c’est maintenant
Neurosciences et technologie : une synergie gagnante pour booster l’efficacité de vos formations
La formation en situation de travail : démarche et effets
El documento discute el VIH/SIDA, explicando que el SIDA ocurre cuando el número de células CD4 cae por debajo de 200 células por mililitro de sangre debido a la infección por el VIH. El VIH ataca y destruye las células CD4, debilitando el sistema inmunológico y haciendo que la persona sea susceptible a otras infecciones. El documento también explica cómo el VIH convierte su ARN en ADN para replicarse e infectar otras células, potencialmente transmitiéndose a través de relaciones
Insee enquête innovation 2008-2010 - octobre 2012Jonathan Gravier
Innovation “péï” :
des handicaps partiellement surmontés. Entre 2008 et 2010, la moitié des entreprises
réunionnaises de 10 à 250 salariés ont
innové. C’est la même proportion qu’en
France métropolitaine. Pourtant, La Réunion
est confrontée à de nombreux handicaps :
un marché local isolé, des entreprises plus
petites et une économie tournée vers des
secteurs a priori peu innovants. Cependant,
une dynamique locale d’innovation dans
l’industrie compense ces obstacles. Les
entreprises de 20 à 49 salariés sont moteur
de l'innovation, avec 64 % d'entreprises
innovantes (54 % en France métropolitaine).
Les entreprises réunionnaises innovent
surtout en mettant en œuvre de nouvelles
stratégies d'organisation.
A contrario, l’innovation technologique est
plus faible à La Réunion. Le retard est plus
important dans les services que dans
l’industrie. La Réunion pâtit notamment d'un
manque d'emplois de cadres et de
conception-recherche. De même, bien
qu'existants, les réseaux d'innovation sont
encore en cours de développement.
Atelier de la Compétitivité Numérique par PagesJaunes GroupePagesJaunes Groupe
Le numérique constitue un formidable “accélérateur” qui appelle à une adaptation
de tous les modèles construits depuis des années. Aujourd’hui, une nouvelle
étape s’impose dans le développement de l’écosystème propre aux industries
du numérique.
La révolution numérique entraîne une mutation profonde de notre société – une
mutation créatrice de valeur et d’emplois. Il est donc fondamental d’accroître
la compétitivité de nos entreprises en relevant 3 défis :
• Un capital humain qu’il faut adapter aux nouveaux enjeux,
• Un environnement fiscal plus équitable et plus compétitif,
• Un écosystème qu’il faut consolider et installer durablement pour nos
entreprises numériques.
C’est dans cette optique que PagesJaunes Groupe a pris l’initiative de proposer
aux experts de la sphère publique et de l’entreprise, de rechercher ensemble les
meilleurs dispositifs pour favoriser le développement du numérique français et
de ses usages dans le cadre de l’Atelier de la compétitivité numérique.
La pandémie de Covid-19 a remis au coeur des débats les questions de souveraineté, de dépendance étrangère pour se procurer des produits stratégiques et de relocalisation de la production de ces biens sur le territoire – questions liées par ailleurs avec l’atteinte de la neutralité carbone.
Dans sa déclaration du 31 mars 2020, le président de la République affirmait : « Le jour d’après ne ressemblera pas aux jours d’avant. Nous devons rebâtir notre souveraineté nationale et européenne. […] Il nous faut retrouver la force morale et la volonté pour produire davantage en France et retrouver cette indépendance ».
En réponse à cette injonction, le Gouvernement a annoncé fin août une stratégie visant notamment à encourager les relocalisations. Or, dans les débats ayant entouré l’affirmation de cette stratégie publique, on a entendu les termes de souveraineté, réindustrialisation, relocalisation comme s’ils étaient interchangeables. De quoi parle-t-on ? Signifient-ils la même chose ?
On entend parfois dire que la France est dépourvue de start-up à vocation industrielle ou autrement dit que la French Tech florissante ne constitue pas un atout décisif pour le secteur manufacturier français.
Statistiquement parlant, il est certes indubitable que ces jeunes entreprises relèvent essentiellement du secteur tertiaire. Toutefois, en conclure qu’elles n’apportent aucun avantage compétitif à notre base industrielle serait inexact, ne serait-ce que du fait de l’absence de définition précise du terme « start-up ».
Premièrement, en raisonnant sur une base élargie, on observe des firmes à forte croissance dans de nombreux secteurs, y compris dans l’industrie. Deuxièmement, si l’on resserre la focale aux start-up « proprement dites », la proportion de ces entreprises qui s’intéressent à l’industrie n’est pas moindre en France qu’aux États-Unis. Certes, le financement par le capital-investissement français est insuffisant pour favoriser la croissance des firmes au point de faire naître de nouveaux champions, mais ce résultat vaut malheureusement pour tous les secteurs d’activité.
En réalité, les succès tricolores dans les fintechs sont même encourageants pour l’industrie, si l’on se fie aux analogies entre les régimes d’innovation des deux secteurs. Il n’y a donc pas de raison formelle de douter que les start-up puissent aider les entreprises industrielles à monter en gamme dans les secteurs dits « traditionnels ».
A l'occasion du lancement de son cycle de séminaires le 5 juillet 2019 à Mines ParisTech, l’observatoire des Territoires d’industrie a eu le plaisir d’accueillir M. Olivier Lluansi, délégué aux Territoires d’industrie. Cette première séance a eu pour thème “Reconstruire l’industrie dans les territoires”.
La crise liée à la pandémie Covid-19 a mis notre économie à rude épreuve et a souligné le rôle clé du tissu industriel. Le plan de relance consacre 35 milliards d’euros pour rebâtir l’industrie française en soutenant le développement d’une offre compétitive et innovante.
Produire les biens stratégiques pour répondre aux besoins de la population est nécessaire au maintien d’une certaine indépendance économique vis-à-vis de nos partenaires extérieurs. De ce point de vue, la relocalisation constitue un moyen de sécuriser l’accès à certains biens et services essentiels.
Les débats en cours évoquent également les relocalisations industrielles comme remède à la désindustrialisation. Les chiffres sont pourtant clairs : la relocalisation d’emplois industriels a du sens mais ne suffira pas à recréer massivement des emplois. Le défi de la réindustrialisation offre, lui, des perspectives plus prometteuses.
Etude Leaders League / Stratégies des entreprises de croissanceClearcase
Création d'emploi, gouvernance, management, R&D, RSE : quels choix font les entreprises en croissance rapide ?
Une étude pour tout comprendre des stratégies de nos champions économiques en France.
En 2012, la pépite de renommée mondiale Aldebaran, portant les espoirs de la robotique française, est absorbée par le japonais Softbank. En 2017, tandis que la France voit naître son premier réseau social tricolore avec Zenly, la jeune pousse est soudainement rachetée par l’américain Snapchat. Et l’histoire se répète encore et encore. À croire que tous ces investissements dans les start-up françaises ne servent qu’à consolider les positions d’acteurs étrangers, qui se nourrissent de nos technologies et de nos talents.
Faut-il pourtant déplorer ces rachats ? Il existe aussi une vision positive énonçant que ces mariages stimulent le développement de la jeune pousse et de l’économie française. Faute de preuves, le débat en est longtemps resté là. Mais cet ouvrage apporte enfin des éléments pour y voir plus clair.
Analysant les causes et les retombées du rachat des pépites françaises par des acteurs étrangers, et fondé sur une série d’entretiens, il met à l’épreuve plusieurs idées reçues. Non, nos start-up ne sont pas systématiquement pillées et délocalisées. Non, leurs dirigeants ne fuient pas à l’étranger. Non, les startupers ne manquent pas de patriotisme économique. Mieux : les rachats de nos start-up par des acteurs étrangers participent d’une dynamique bénéfique et nécessaire à tous les niveaux.
Cette publication offre un regard longtemps attendu sur cet écosystème, d’une grande utilité pour les décideurs publics, les dirigeants d’entreprises et l’ensemble des citoyens.
Synthèse n°18 de La Fabrique de l'industrie - février 2018.
Faut-il alléger les charges pesant sur les salaires pour améliorer la croissance et l’emploi ? Et, dans l’affirmative, est-il préférable de privilégier les bas salaires pour faciliter l’accès à l’emploi des moins qualifiés, ou au contraire de cibler les salaires plus élevés, caractéristiques de l’industrie et des services à valeur ajoutée, pour rendre la France plus compétitive ?
Réforme de la formation... le changement, c’est maintenant
Neurosciences et technologie : une synergie gagnante pour booster l’efficacité de vos formations
La formation en situation de travail : démarche et effets
El documento discute el VIH/SIDA, explicando que el SIDA ocurre cuando el número de células CD4 cae por debajo de 200 células por mililitro de sangre debido a la infección por el VIH. El VIH ataca y destruye las células CD4, debilitando el sistema inmunológico y haciendo que la persona sea susceptible a otras infecciones. El documento también explica cómo el VIH convierte su ARN en ADN para replicarse e infectar otras células, potencialmente transmitiéndose a través de relaciones
Este documento presenta una plantilla para elaborar webquests sobre aprendizaje basado en proyectos y metodologías activas. La plantilla incluye secciones para introducción, tarea, proceso, recursos, evaluación, conclusión y notas. El objetivo es guiar a los estudiantes en el desarrollo de un proyecto siguiendo las fases del aprendizaje basado en proyectos y realizando una autoevaluación.
La revolución mexicana estalló entre 1910 y 1920 en respuesta a la política oligárquica y elitista del dictador Porfirio Díaz. Inspirada inicialmente por Francisco I. Madero para derrocar a Díaz, la revolución careció de unidad y consistió en una serie de conflictos entre facciones revolucionarias competidoras por el poder. Venustiano Carranza eventualmente triunfó y promulgó la constitución de 1917, pero la lucha continuó hasta 1920 con sectores más radicales insatisfechos.
Encuentro educativo municipal de experiencias creativas e innovadorasrufinosur
Este encuentro educativo municipal busca que docentes y estudiantes compartan experiencias creativas e innovadoras para el aprendizaje en cinco categorías: uso de medios y tecnologías de información, herramientas web, tecnología y robótica, ciencias aplicadas, y muestras artísticas y culturales. El objetivo es construir una cultura de calidad educativa mediante el intercambio de estas experiencias que puedan ser replicables y estimulen el interés por el arte, la cultura, la ciencia y la tecnología.
Aquí pueden encontrar la presentación utilizada durante el seminario del 17 de septiembre 2014 en Oviedo, que presenta las ofertas de Futuroscope, Parc Astérix y del Musée Grévin para individuales y grupos.
Este documento describe las características y funcionamiento de un sistema de sonido en casa. Explica que cuenta con altavoces, un sistema estéreo de 4 vías y Dolby para transiciones de canales. Detalla que se requieren 5 altavoces y un subwoofer ubicados estratégicamente para recrear el sonido 5.1 de películas. Además, presenta normas de uso como retrasar los canales de efectos a través de delays para que el sonido parezca proceder de la pantalla y no de los altavoces laterales.
Este documento describe las propiedades de un cuerpo negro y las leyes que rigen su radiación electromagnética. Explica que un cuerpo negro absorbe toda la radiación que incide sobre él y que la energía total que radia es directamente proporcional a la cuarta potencia de su temperatura, según la ley de Stefan-Boltzmann. También presenta la ley de Planck, que establece que la energía emitida por un cuerpo negro es un múltiplo de la constante de Planck por la frecuencia de la radiación.
Este documento presenta una introducción sobre las partes principales de un computador, incluyendo la placa madre, puertos (VGA, PS2, USB, WiFi, RJ45), ranuras para tarjetas y memoria, slot del procesador, BIOS, pila y pines. Luego describe la estructura del documento que contiene títulos, tablas, figuras, anexos, glosario y bibliografía para explicar cada componente del computador.
1) La asamblea autonómica de Charagua está realizando un proceso de recopilación de propuestas de la comunidad para la formulación del estatuto de autonomía indígena.
2) Las mujeres guaraníes presentaron su propia propuesta ante la asamblea con demandas como la participación política igualitaria y la aplicación de alternancia de género en cargos de gobierno.
3) La asamblea continuará sistematizando las propuestas recibidas para luego elaborar un borrador del estatuto y someterlo a consider
La música tiene un gran impacto en el desarrollo integral de los niños. Estimula áreas como el desarrollo físico, socioemocional y cognitivo. La música fortalece los lazos entre los padres y los bebés, y ayuda en el desarrollo del lenguaje y la memoria de los niños. Programas de música como el de Gymboree ofrecen a los niños la oportunidad de crecer de manera holística a través de actividades musicales seguras y divertidas.
El documento describe una experiencia de aplicar el Aprendizaje Basado en Proyectos (ABP) en una asignatura de Contabilidad en la Universidad del País Vasco. Señala que la formación del profesorado en esta metodología es clave para su éxito. Las autoras diseñaron la asignatura utilizando técnicas activas como puzzles y pósters, y un proyecto grupal sobre una empresa ficticia. Los resultados mostraron altos niveles de asistencia, desarrollo de competencias y satisfacción de los estudiantes.
Si vous n'avez pas une idée sur le référencement naturel SEO et vous êtes intéressé de le bien comprendre techniquement et stratégiquement! cette intervention est la solution pour débuter le référencement sur des bases. Elle vous aide de bien savoir Les must d’un référencement naturel stratégique de 2014 ! les règles d’or, innovation SEO technique et impacts sur le ROI.
Cette présentation est rédigée et présentée par Mister first rank Aymen Turki Coach au référencement Naturel & CM au groupe web first rank et certifié Google Business Group : GBG Tunis.
Esperant que vous soyez satisfaits et cela vous a éclairci mieux les stratégies de référencement
En esta carta, José les cuenta a sus amigas Amelia y Cristina sobre su experiencia como estudiante Erasmus en Alemania durante los últimos dos meses. Aunque echa de menos a su familia y amigos, y le cuesta aprender el idioma alemán en situaciones reales, se siente contento en general y les recomienda solicitar la beca Erasmus en el futuro para ampliar sus conocimientos y experiencias viajando y conociendo nuevas culturas.
Depuis une dizaine d’années, la France a consacré beaucoup de moyens financiers pour soutenir l’innovation. Pourtant les résultats sont décevants et les freins restent nombreux.
Elaboré sur la base d’enquêtes quantitative et qualitative approfondies auprès de dirigeants d’entreprises, ce rapport de la CCI Paris Île-de-France vise à débrider l’innovation par la mise en place de mesures concrètes. Il présente également des actions que la CCI Paris Île-de-France pourra mettre en œuvre à court terme dans ce domaine pour le développement des entreprises et de l’emploi.
www.cci-paris-idf.fr/etudes/mutations-contemporaines/innovation/debrider-innovation-etudes
Tome 1 "Rapport annuel de l'Envoyé PME 2013-2014" - Bilan et perspectives du ...Public Service of Wallonia
Le premier tome du "Rapport annuel de l'Envoyé PME 2013-2014" dresse le bilan de ces trois années de déclinaison wallonne du SBA européen et présente les pistes d’amélioration souhaitables afin d’en accroître la plus-value au bénéfice des PME et de l’économie régionale.
Ce bilan intègre les réflexions des membres du Comité de pilotage du SBA wallon. Il pointe également certaines priorités d’action exprimées par les entreprises et les partenaires sociaux
Des questions?
Contactez Antoine BERTRAND, Attaché à la Direction de la Politique Economique, antoine.bertrand@spw.wallonie.be , 0032 81 33 39 24
Comment se fait-il qu'aujourd'hui la France souffre d’un déficit d’ETI et de grosses PME ? Pourtant, ces entreprises constituent un moteur de l’emploi, de l’innovation, du développement de nos territoires, et du succès de notre économie à l’international. Pour répondre à cette question, La Fabrique de l'industrie propose, avec le CETIM, une analyse des stratégies susceptibles de favoriser la croissance des PME industrielles et de les transformer en ETI.
Brief de la conférence NumNow 3 dont l'objectif est de définir ce qui permettrait à la France d'être en pointe dans le développement des startups du numérique à l'instar des pays comme les Etat-Unis et l'Angleterre.
Similaire à Des choix clairs pour une wallonie forte (20)
2. Pourquoi les entreprises se manifestent-elles pendant
la campagne électorale ? Que veulent-elles ?
L’entreprise est indispensable pour assurer le développement
économique et social.
En effet,
sans entreprise, pas de salariés, pas d’emplois !
sans entreprise, pas de financement de l’Etat !
2
Les entreprises rapportent à l’Etat par l’emploi qu’elles créent, par les
impôts, les taxes et les cotisations qu’elles génèrent
Donc, si nous voulons préserver notre avenir en dépit des crises, nous
devons créer et développer des entreprises !
Comment ? Nous proposons quatre thèmes
3. Thème 1 : Davantage de compétitivité pour davantage
de croissance
1. Il faut encourager les entreprises à grandir
L’entreprise wallonne moyenne compte 9 salariés, ce qui est
assez faible. Il faut une plus grande taille.
Pourquoi ? Parce que les petites entreprises créent
proportionnellement moins de valeur ajoutée.
Si les 70.000 entreprises wallonnes créaient chacune deux
emplois, le problème du chômage serait résolu
3
Une législation et un état d’esprit incitant les entrepreneurs à investir et
à grandir sont indispensables. Le coût du travail doit dès lors être réduit
tout en préservant le salaire net.
4. Thème 1 : Davantage de compétitivité pour davantage
de croissance (suite)
2. Il faut développer l’industrie
L’industrie ne représente que 12,7 % de notre économie, alors
que l’Europe vise 20 %.
Pourquoi est-ce important ?
L’industrie reste le seul moyen de créer et de maintenir l’emploi
malgré les crises.
Nous possédons en Wallonie une longue tradition industrielle,
une main-d’œuvre qualifiée, un savoir-faire étendu. Nous
disposons d’espace et de bons moyens de communication,
d’une bonne capacité d’innovation. Exploiter ces points forts
est indispensable.
4
Il faut donc une politique industrielle cohérente et à long terme
5. Thème 1 : Davantage de compétitivité pour davantage
de croissance (suite)
3. Il faut gagner des parts de marché hors Europe
Pourquoi ?
La Wallonie est un marché trop petit pour assurer la croissance
de ses entreprises.
Les marchés en expansion sont hors Europe.
Sur les 4 dernières années, la croissance annuelle des pays
émergents est de 5,8 % contre 0,6 % pour l’Europe.
5
Il faut appuyer les entreprises au maximum dans leurs efforts à
l’exportation
6. Thème 1 : Davantage de compétitivité pour davantage
de croissance (suite)
4. Il faut davantage d’innovation dans les entreprises
Pourquoi ?
Il faut sans cesse créer de nouveaux produits et services ou
améliorer ceux qui existent si nous ne voulons pas être
dépassés.
6
Il faut stimuler le goût de l’innovation dans les entreprises.
7. Thème 1 : Davantage de compétitivité pour davantage
de croissance (suite)
5. Un coût de l’énergie compétitif
Pourquoi ?
L’énergie est un facteur de coût important, jusqu’à 50 % du
coût de production pour certaines entreprises.
Or, en Wallonie l’énergie est beaucoup trop chère !
Par exemple en ce qui concerne l’électricité, entre 10
et 35 % de plus que dans les pays voisins.
7
Il faut d’une part une politique énergétique axée sur la compétitivité des
entreprises, et d’autre part un soutien aux énergies renouvelables
cohérent !
8. Thème 1 : Davantage de compétitivité pour
davantage de croissance (suite)
6. Un climat social apaisé
Pourquoi ?
Il faut éviter les ruptures intempestives de production qui
nuisent aux entreprises et à l’image de notre région.
8
Il faut mieux concilier le droit de grève avec les autres droits (circulation,
protection des personnes et des biens)
9. Thème 2 : un enseignement efficace pour alimenter
un marché de l’emploi dynamique
7. Un enseignement en lien avec l’économie
Pourquoi ?
La société change, les métiers aussi !
Nous observons une pénurie de diplômés dans les filières
scientifiques (12,4% de diplômés contre 24% en Union
européenne des 15), alors que 26,4 % de nos jeunes sont au
chômage !
9
Il faut que le Gouvernement aborde ces problèmes dans le cadre d’une
feuille de route pluriannuelle et que nous travaillions tous à rendre
l’enseignement scientifique, technique et professionnel plus attractif
10. Thème 2 : un enseignement efficace pour alimenter
un marché de l’emploi dynamique (suite)
8. Priorité aux métiers en demande
Pourquoi ?
Nombre de métiers ne trouvent plus preneur (infirmiers,
couvreurs, attachés commerciaux, assistants polyglottes,
etc…) alors que le taux de chômage est de 12 %.
10
Il faut réveiller l’intérêt pour ces filières scolaires et ces métiers !
11. Thème 3 : simplification et efficience des services
publics tournés vers leurs clients acteurs économiques
9. Une gouvernance publique cohérente et transparente
Pourquoi ?
Les entreprises et les citoyens ont besoin de politiques
publiques efficaces, en adéquation avec les besoins.
Or, les différents niveaux de pouvoir dépensent 55 % de la
richesse produite en Belgique, d’où des taux d’imposition
trop élevés !
11
12. Thème 3 : simplification et efficience des services
publics tournés vers leurs clients acteurs économiques
10. L’économie au cœur du développement territorial
Pourquoi ?
Les entreprises ont besoin d’espace pour leurs activités.
Or, la disponibilité de l’espace est l’un de nos points fort.
Malgré cela, les procédures pour libérer des terrains sont
compliquées et très longues.
12
Il faut modifier l’approche des services publics, simplifier et raccourcir les
procédures pour pouvoir répondre rapidement à la demande
13. Thème 3 : simplification et efficience des services
publics tournés vers leurs clients acteurs économiques
11. Une réglementation environnementale attractive
Pourquoi ?
Aujourd’hui la réglementation est extrêmement difficile à
suivre et à comprendre, surtout pour les petites entreprises.
Il existe à ce jour plus de 1.000 textes légaux reprenant les
obligations environnementales des entreprises !
13
Il faut que les entreprises disposent d’une liste de leurs obligations, et que
celles-ci soient raisonnables
14. Thème 3 : simplification et efficience des services
publics tournés vers leurs clients acteurs économiques
12. Efficacité et lisibilité des systèmes de soutien à la
recherche, développement et à l’innovation
Pourquoi ?
Les entreprises se retrouvent difficilement dans les chemins
à prendre : il existe parfois 3 ou 4 organisations différentes
pour financer un projet de recherche.
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Il faut que les Ministres en charge de ces compétences se concertent, et
que les administrations chargées de la recherche, développement et
innovation soient regroupées
15. Thème 3 : simplification et efficience des services
publics tournés vers leurs clients acteurs économiques
13. Importance de la Mobilité et des Infrastructures
Pourquoi ?
Le transport et les infrastructures (routes, canaux, autobus,
chemin de fer) sont essentiels pour le développement des
entreprises.
Ces matières demandent d’importants moyens financiers,
qui sont gérés par de trop nombreux organismes.
Or, de nombreux organismes s’en occupent
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Il faut regrouper les acteurs et les usagers pour développer une vision à
long terme des infrastructures, ainsi qu’une politique de mobilité
cohérente
16. Thème 4 : la 6ème réforme de l’Etat
14. Moyens budgétaires : optimaliser les transferts de
compétences et de budgets.
Pourquoi ?
En raison des économies à faire dans les finances publiques
et à la suite de la réforme de l’Etat, il faudra que chaque
euro soit utilisé au mieux.
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Il faut mettre l’accent sur les mesures de rationalisation de l’action
publique, ainsi que sur celles qui favorisent la création et le
développement des entreprises