Etude sur les attentes, problématiques et projets des entreprises issue du travail mené sur le terrain par les conseillers d'entreprises. Cette étude permet de dégager des axes prioritaires dans l'appui et le développement de nouveaux produits/projets pour les entreprises
Etude sur les attentes, problématiques et projets des entreprises issue du travail mené sur le terrain par les conseillers d'entreprises. Cette étude permet de dégager des axes prioritaires dans l'appui et le développement de nouveaux produits/projets pour les entreprises
"Huit chefs d'entreprise sur dix réclament la stabilité fiscale et sept sur dix la stabilité réglementaire pour pouvoir développer leur activité, selon l'enquête menée par la Fédération du service aux particuliers (FESP) et le Centre Régional d'Observation du Commerce, de l'Industrie et des Services (CROCIS) de la CCI Paris Ile-de-France auprès de plus de deux cents chefs d'entreprise membres de la FESP."
ALTARES, spécialiste de l'information sur les entreprises, publie chaque trimestre son étude sur les défaillances d'entreprises en France.
#ALTARESDEFA
Altares et AlphaValue ont associé leurs savoir-faire pour créer AltaValue, un socle de connaissance unique sur les PME et les ETI françaises. Les perspectives, valorisations et notations sont construites de sorte à produire une information neutre, offrant ainsi un nouveau repère aux professionnels du financement des PME-ETI.
Cette trente quatrième édition du baromètre des TPE (Très Petites Entreprises) réalisée par l’Ifop pour FIDUCIAL révèle que l’économie française est littéralement immergée dans la crise. En effet, des trois étapes de la célèbre citation : « Les profits d'aujourd'hui font les investissements de demain et les emplois d'après-demain » deux suscitent de l’inquiétude lorsque l’on observe les réponses des patrons de TPE. Le troisième s’annonce chétif dans les prochains trimestres.
Etude Apec - Baromètre Apec des intentions de recrutement et de mobilité des ...Apec
Les intentions de recrutement de cadres sont toujours limitées, traduisant la difficulté des entreprises à anticiper dans un contexte sanitaire chargé d’incertitudes.
Côté cadres, une inquiétude qui progresse et des projets de mobilité limités pour le court terme.
Résumé :
66% des entreprises anticipent des difficultés de recrutement pour 2021, lesquelles sont :
– Le faible nombre de candidatures ou de profils expérimentés disponibles
– L’identification des candidats possédant les compétences recherchées
– Le décalage entre les candidatures reçues et les profils recherchés
Et là, deux tendances se profilent selon les métiers :
Pour accompagner des entreprises dans leur transformation numérique, les cadres spécialisés en R&D, informatique, conseil, seront très demandés, ce qui crée une tension importante sur le marché.
Pour d’autres métiers (communication, marketing, RH, etc.), c’est davantage la gestion des flux de candidats qui va demander des ressources supplémentaires aux entreprises.
Bpifrance Le Lab 69e enquete PME - juillet 2019Bpifrance
Les perspectives d’emploi et d’investissement des PME restent solides malgré l’anticipation d’une activité moins dynamique en 2019, confirmant l’inflexion observée lors de la précédente enquête. Les PME sont confiantes pour 2020, mais les exportatrices et les innovantes semblent davantage craindre les risques liés au contexte international incertain.
Etude Apec - Note de conjoncture du 2e trimestre 2015Apec
La note de conjoncture de l'Apec pour le 2e trimestre 2015.
Selon Jean-Marie-Marx, Directeur Général de l’Apec, « Les
prévisions de croissance en hausse pour 2015 ne se traduisent pas encore par une augmentation des intentions d’embauches de cadres dans l’ensemble du secteur privé. Ainsi une entreprise sur deux a l’intention de recruter au moins un cadre au 2e trimestre 2015, une proportion stable par rapport à la même période l’an dernier. Aussi, la prudence reste de mise chez les recruteurs, avec une part en hausse des entreprises déclarant une stabilité du volume de leurs embauches de cadres. Pour autant, dans certains secteurs clés tels que l’ingénierie R&D, des activités informatiques et de la banque-assurances l’amélioration de la conjoncture se traduit par des intentions
de recrutement élevées et parfois en hausse. »
Après trois ans d’amélioration continue, les perspectives d’activité des PME sont restées élevées au premier semestre. Le rythme des embauches ralentit légèrement, mais les perspectives d’investissement demeurent bien orientées. Les capacités d’accélération à court terme semblent toutefois limitées, sans doute en lien avec les importantes difficultés de recrutement signalées, suggérant l’atteinte d’un palier de croissance.
En finir avec la politique des petits boulotsFondation iFRAP
À en croire les chiffres publiés par l'Insee, notre pays est devenu le pays d'Europe le plus prolifique en matière de créations d'entreprises : leur nombre est passé d'environ 180 000 par an en 2002 à près de 600 000 en 2010.
Mais si l'on cherche bien, les créations d'entreprises naissant avec au moins un salarié sont très peu nombreuses, voire en chute. Ce sont pourtant celles qui devraient intéresser nos dirigeants.
Etude publiée par l'Iref et Contribuables Associés - avril 2013. Le nombre de personnes sans emploi augmente de mois en mois depuis 5 ans. Les solutions proposées par le gouvernement, la « boîte à outils », loin d’inverser la tendance, vont au contraire accélérer les destructions d’emplois.
Du 17 juin au 1er juillet derniers, la Chambre de commerce a recueilli le sentiment de 371 entreprises de 10 salariés et plus, représentatives de l’économie luxembourgeoise. Compilant leurs réponses sur des sujets comme l’emploi, la rentabilité, les investissements, et la confiance dans l’avenir de l’entreprise et de l’économie, la Chambre de commerce a publié, ce jeudi 11 juillet, la première édition de son baromètre de l’économie, qui prendra le pouls de l’économie et captera les principales préoccupations des entreprises tous les six mois.
Etude Apec - Note de conjoncture du 4e trimestre 2014Apec
La note de conjoncture de l'Apec pour le 4e trimestre 2015.
Les entreprises interrogées par l’Apec restent prudentes en matière d’embauches de cadres. Ainsi, 51% d’entre elles envisagent d’en recruter au moins un au cours du dernier trimestre 2015. Une proportion stable par rapport au 4ème trimestre 2014. Pour autant, il faut remonter à 2012 pour trouver une proportion aussi importante d’entreprises déclarant embaucher des cadres dans des volumes plus importants qu’un an auparavant (39 %). Ce sont les activités informatiques, la banque-assurance et l’ingénierie R&D qui affichent les plus fortes intentions d’embauches. Les profils ayant entre 1 et 10 ans d’expérience demeurent les plus recherchés au détriment des plus jeunes et des plus séniors.
En Provence - Alpes - Côte d’Azur, la reprise de l’activité se confirme au 3e trimestre, malgré un ralentissement de la croissance de l’emploi salarié et des déclarations préalables à l’embauche (DPAE). L’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) est au plus bas depuis dix ans. La demande d’emploi se rapproche de son niveau d’avant-crise et les reprises d’emploi, à la baisse ce trimestre, sont toutefois en hausse par rapport à fin 2019.
"Huit chefs d'entreprise sur dix réclament la stabilité fiscale et sept sur dix la stabilité réglementaire pour pouvoir développer leur activité, selon l'enquête menée par la Fédération du service aux particuliers (FESP) et le Centre Régional d'Observation du Commerce, de l'Industrie et des Services (CROCIS) de la CCI Paris Ile-de-France auprès de plus de deux cents chefs d'entreprise membres de la FESP."
ALTARES, spécialiste de l'information sur les entreprises, publie chaque trimestre son étude sur les défaillances d'entreprises en France.
#ALTARESDEFA
Altares et AlphaValue ont associé leurs savoir-faire pour créer AltaValue, un socle de connaissance unique sur les PME et les ETI françaises. Les perspectives, valorisations et notations sont construites de sorte à produire une information neutre, offrant ainsi un nouveau repère aux professionnels du financement des PME-ETI.
Cette trente quatrième édition du baromètre des TPE (Très Petites Entreprises) réalisée par l’Ifop pour FIDUCIAL révèle que l’économie française est littéralement immergée dans la crise. En effet, des trois étapes de la célèbre citation : « Les profits d'aujourd'hui font les investissements de demain et les emplois d'après-demain » deux suscitent de l’inquiétude lorsque l’on observe les réponses des patrons de TPE. Le troisième s’annonce chétif dans les prochains trimestres.
Etude Apec - Baromètre Apec des intentions de recrutement et de mobilité des ...Apec
Les intentions de recrutement de cadres sont toujours limitées, traduisant la difficulté des entreprises à anticiper dans un contexte sanitaire chargé d’incertitudes.
Côté cadres, une inquiétude qui progresse et des projets de mobilité limités pour le court terme.
Résumé :
66% des entreprises anticipent des difficultés de recrutement pour 2021, lesquelles sont :
– Le faible nombre de candidatures ou de profils expérimentés disponibles
– L’identification des candidats possédant les compétences recherchées
– Le décalage entre les candidatures reçues et les profils recherchés
Et là, deux tendances se profilent selon les métiers :
Pour accompagner des entreprises dans leur transformation numérique, les cadres spécialisés en R&D, informatique, conseil, seront très demandés, ce qui crée une tension importante sur le marché.
Pour d’autres métiers (communication, marketing, RH, etc.), c’est davantage la gestion des flux de candidats qui va demander des ressources supplémentaires aux entreprises.
Bpifrance Le Lab 69e enquete PME - juillet 2019Bpifrance
Les perspectives d’emploi et d’investissement des PME restent solides malgré l’anticipation d’une activité moins dynamique en 2019, confirmant l’inflexion observée lors de la précédente enquête. Les PME sont confiantes pour 2020, mais les exportatrices et les innovantes semblent davantage craindre les risques liés au contexte international incertain.
Etude Apec - Note de conjoncture du 2e trimestre 2015Apec
La note de conjoncture de l'Apec pour le 2e trimestre 2015.
Selon Jean-Marie-Marx, Directeur Général de l’Apec, « Les
prévisions de croissance en hausse pour 2015 ne se traduisent pas encore par une augmentation des intentions d’embauches de cadres dans l’ensemble du secteur privé. Ainsi une entreprise sur deux a l’intention de recruter au moins un cadre au 2e trimestre 2015, une proportion stable par rapport à la même période l’an dernier. Aussi, la prudence reste de mise chez les recruteurs, avec une part en hausse des entreprises déclarant une stabilité du volume de leurs embauches de cadres. Pour autant, dans certains secteurs clés tels que l’ingénierie R&D, des activités informatiques et de la banque-assurances l’amélioration de la conjoncture se traduit par des intentions
de recrutement élevées et parfois en hausse. »
Après trois ans d’amélioration continue, les perspectives d’activité des PME sont restées élevées au premier semestre. Le rythme des embauches ralentit légèrement, mais les perspectives d’investissement demeurent bien orientées. Les capacités d’accélération à court terme semblent toutefois limitées, sans doute en lien avec les importantes difficultés de recrutement signalées, suggérant l’atteinte d’un palier de croissance.
En finir avec la politique des petits boulotsFondation iFRAP
À en croire les chiffres publiés par l'Insee, notre pays est devenu le pays d'Europe le plus prolifique en matière de créations d'entreprises : leur nombre est passé d'environ 180 000 par an en 2002 à près de 600 000 en 2010.
Mais si l'on cherche bien, les créations d'entreprises naissant avec au moins un salarié sont très peu nombreuses, voire en chute. Ce sont pourtant celles qui devraient intéresser nos dirigeants.
Etude publiée par l'Iref et Contribuables Associés - avril 2013. Le nombre de personnes sans emploi augmente de mois en mois depuis 5 ans. Les solutions proposées par le gouvernement, la « boîte à outils », loin d’inverser la tendance, vont au contraire accélérer les destructions d’emplois.
Du 17 juin au 1er juillet derniers, la Chambre de commerce a recueilli le sentiment de 371 entreprises de 10 salariés et plus, représentatives de l’économie luxembourgeoise. Compilant leurs réponses sur des sujets comme l’emploi, la rentabilité, les investissements, et la confiance dans l’avenir de l’entreprise et de l’économie, la Chambre de commerce a publié, ce jeudi 11 juillet, la première édition de son baromètre de l’économie, qui prendra le pouls de l’économie et captera les principales préoccupations des entreprises tous les six mois.
Etude Apec - Note de conjoncture du 4e trimestre 2014Apec
La note de conjoncture de l'Apec pour le 4e trimestre 2015.
Les entreprises interrogées par l’Apec restent prudentes en matière d’embauches de cadres. Ainsi, 51% d’entre elles envisagent d’en recruter au moins un au cours du dernier trimestre 2015. Une proportion stable par rapport au 4ème trimestre 2014. Pour autant, il faut remonter à 2012 pour trouver une proportion aussi importante d’entreprises déclarant embaucher des cadres dans des volumes plus importants qu’un an auparavant (39 %). Ce sont les activités informatiques, la banque-assurance et l’ingénierie R&D qui affichent les plus fortes intentions d’embauches. Les profils ayant entre 1 et 10 ans d’expérience demeurent les plus recherchés au détriment des plus jeunes et des plus séniors.
En Provence - Alpes - Côte d’Azur, la reprise de l’activité se confirme au 3e trimestre, malgré un ralentissement de la croissance de l’emploi salarié et des déclarations préalables à l’embauche (DPAE). L’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) est au plus bas depuis dix ans. La demande d’emploi se rapproche de son niveau d’avant-crise et les reprises d’emploi, à la baisse ce trimestre, sont toutefois en hausse par rapport à fin 2019.
Synthèse Rapport sur l'évolution des PME 2013 Bpifrance
Le « Rapport sur l'évolution des PME » est une publication annuelle de l'Observatoire des PME, piloté par Bpifrance.
Pour en savoir plus : http://www.bpifrance.fr/actualites/publications_etudes/observatoire_des_pme/rapport_sur_l_evolution_des_pme
"Le second volet du baromètre réalisé par Amundi, l'Asmep-ETI et Option Finance fait état d'une amélioration de la compétitivité des ETI françaises. Toutefois, l'étude présente également plusieurs sujets d'inquiétude. Ainsi, si les aspects fiscaux et réglementaires pèsent toujours sur le développement des ETI, ces dernières ont des difficultés à se projeter dans l'avenir, et leurs projets d'investissement se font de plus en plus rares."
Tableau de bord conjoncturel - 1er semestre 2015CCI Bretagne
La CCI Bretagne interroge deux fois par an les chefs d'entreprises de la région sur leur activité économique (chiffre d'affaires, investissements, emploi, rentabilité et export) des 6 derniers mois et sur les perspectives à 6 mois, ainsi que sur une question d'actualité. Cet outil semestriel d’analyse de la conjoncture économique régionale et des perspectives perçues par les dirigeants d’entreprise interrogés est complété par 2 indicateurs économiques régionaux : la démographie des entreprises et l’emploi salarié.
A mi-2015 les chefs d’entreprises* bretons perçoivent quelques signes de redressement de l’économie et sont plus optimistes sur le climat des affaires pour le semestre à venir. Si les investissements et les embauches restent limités par l’absence de visibilité, les perspectives semblent plus engageantes pour le second semestre de l’année 2015.
* Basé sur les 2 319 retours d’entreprises bretonnes (échantillon représentatif de tous les secteurs d’activité et de toutes les tailles d’entreprises).
Bpifrance le Lab - PME - 63e enquête de conjoncture - Juillet 2016Bpifrance
Accélération de l’activité, amélioration de la situation financière, assouplissement des conditions d’accès aux crédits : la 63ème enquête de conjoncture PME de Bpifrance le Lab fait état d’un optimisme et d’un contexte très favorable, inédit depuis 5 ans parmi les PME françaises !
Lancé en partenariat entre la Région IDF et Bpifrance, ce prêt s’adresse aux entreprises de plus de trois ans, de moins de 50 salariés, dont l’essentiel de l’activité se tient en Île-de-France. D’un montant compris entre 10.000 euros et 50.000 euros par an, il est destiné à financer des investissements liés à des projets de développement, qui, trop souvent, se heurtent aux refus des banques du fait de la difficulté à prendre des garanties.
1. Après un mauvais début d'année, elles ont reculé de 4,1 % au printemps,
selon le cabinet Altares. L'amélioration est très nette pour les PME de plus
de 50 salariés (- 30 %).
Après un mauvais début d'année, le nombre de faillites d'entreprises a reculé de 4,1 % au deuxième trimestre par rapport à la
même période de l'an dernier, indique le baromètre du cabinet Altares-D & B publié ce matin. Globalement, la tendance à la
décrue reste légère : encore 14.386 procédures de redressement, de liquidation judiciaire directe et de sauvegarde ont été
prononcées, soit un niveau bien supérieur à celui d'avant-crise.
Mais un point est important à souligner : l'amélioration est très sensible du côté des PME. Malgré des défaillances
retentissantes comme celles de Caddie, de « Nice-Matin » ou de la fonderie Française de Roues, le nombre de faillites de
sociétés de plus de 50 salariés a reculé de 30 % sur un an. Elles ne sont « que » 92 à avoir fait faillite au printemps, ce qui
est la meilleure performance depuis le début de la crise. On est donc bien loin de la situation du printemps 2009, quand la
chute brutale des carnets de commandes avait envoyé 168 sociétés de plus de 50 salariés au tapis en trois mois. « Après le
très net repli des défaillances déjà observé au premier trimestre, le signal est très net pour les PME, démontrant que, au-
delà des discours sur les difficultés de la sortie de crise, certaines entreprises trouvent des marchés pour se développer
», indique Thierry Millon, responsable des études chez Altares. Dans ces conditions, l'effet sur l'emploi est immédiat :
54.900 postes sont menacés par l'ensemble des défaillances du trimestre, soit 7.000 de moins que l'an dernier à la même
époque (- 11,3 %).
Fragiles, les TPE souffrent le plus
Toutefois, il est trop tôt pour crier victoire. D'abord parce que le nombre d'emplois menacés reste encore élevé. Ensuite
parce que, si la reprise est poussive, certaines entreprises ne la voient pas du tout. Lorsqu'elles n'emploient aucun salarié,
cela va encore. Mais la difficulté apparaît dès la première feuille de paie : les défaillances fléchissent partout sauf pour les
entreprises de 1 à 2 salariés. Chez ces dernières, elles bondissent même de 19 % !
« L'activité de ces TPE n'est pas assez régulière pour leur permettre d'assurer, chaque mois, le versement d'un
salaire, explique Thierry Millon. Ces TPE ne sont pas suffisamment accompagnées financièrement pour gérer le problème
de trésorerie face au coût élevé de ce premier salaire. Face à deux artisans, les banques pourront préférer soutenir celui
sans salarié, considérant que cet artisan seul pourra toujours décider de ne pas se payer en cas de coup dur. » Fortement
dépendantes de leur banque, ces TPE peuvent très vite se trouver en difficultés face à des problèmes de crédit à court terme.
Source : Les Echos