Pour faciliter l'insertion des jeunes, les employeurs
ne jurent plus que par le parrainage. Une façon
de jouer la diversité en s'appuyant sur l'adhésion
des salariés.
Quels sont leurs besoins prioritaires ? Sont-elles nombreuses à participer aux stages ? Et dans quelles professions ? Où s'informent-elles ? La dernière enquête de la FCGA passe au crible les pratiques de formation dans les petites entreprises. [...]
Premier enseignement : ce sont les formations dédiées à l'accroissement de l'efficacité professionnelle qui remportent les faveurs des entrepreneurs (44,5%).
Qui sont les travailleurs français ? Dans quelles conditions travaillent-ils et comment se sentent-ils au travail ? À partir des données de l’enquête Conditions de travail de la DARES (2013), La Fabrique de l’industrie dresse les portraits types des actifs occupés, d’abord sur les conditions de travail objectives (temps de travail, rémunération, activité exercée…), puis en fonction de leur ressenti au travail (bien-être, tensions, sentiment d’être plus ou moins bien payé…). L’impact des tensions avec la hiérarchie sur la dégradation de la QVT est déterminant.
S14 Conditions objectives de travail et ressenti des individus : le rôle du m...La Fabrique de l'industrie
Qui sont les travailleurs français ? Dans quelles conditions travaillent-ils et comment se sentent-ils au travail ? À partir des données de l’enquête Conditions de travail de la DARES (2013), nous dressons les portraits types des actifs occupés, d’abord sur les conditions de travail objectives (temps de travail, rémunération...), puis en fonction de leur ressenti au travail (bien-être, tensions…). On mesure notamment le grand impact des tensions avec la hiérarchie sur la dégradation de la QVT.
Pour faciliter l'insertion des jeunes, les employeurs
ne jurent plus que par le parrainage. Une façon
de jouer la diversité en s'appuyant sur l'adhésion
des salariés.
Quels sont leurs besoins prioritaires ? Sont-elles nombreuses à participer aux stages ? Et dans quelles professions ? Où s'informent-elles ? La dernière enquête de la FCGA passe au crible les pratiques de formation dans les petites entreprises. [...]
Premier enseignement : ce sont les formations dédiées à l'accroissement de l'efficacité professionnelle qui remportent les faveurs des entrepreneurs (44,5%).
Qui sont les travailleurs français ? Dans quelles conditions travaillent-ils et comment se sentent-ils au travail ? À partir des données de l’enquête Conditions de travail de la DARES (2013), La Fabrique de l’industrie dresse les portraits types des actifs occupés, d’abord sur les conditions de travail objectives (temps de travail, rémunération, activité exercée…), puis en fonction de leur ressenti au travail (bien-être, tensions, sentiment d’être plus ou moins bien payé…). L’impact des tensions avec la hiérarchie sur la dégradation de la QVT est déterminant.
S14 Conditions objectives de travail et ressenti des individus : le rôle du m...La Fabrique de l'industrie
Qui sont les travailleurs français ? Dans quelles conditions travaillent-ils et comment se sentent-ils au travail ? À partir des données de l’enquête Conditions de travail de la DARES (2013), nous dressons les portraits types des actifs occupés, d’abord sur les conditions de travail objectives (temps de travail, rémunération...), puis en fonction de leur ressenti au travail (bien-être, tensions…). On mesure notamment le grand impact des tensions avec la hiérarchie sur la dégradation de la QVT.
Croisière Mice - Région des Grands lacs USA / Canada - Great Lakes
Croisière touristique hypothétique créée à l'occasion d'un travail en Industrie du Voyage.
Document réalisé en 2011 par;
- Mr Raiarii Lehartel, Institut Limayrac, Bachelor Tourisme, 2010-2011
Croisière Mice - Région des Grands lacs USA / Canada - Great Lakes
Croisière touristique hypothétique créée à l'occasion d'un travail en Industrie du Voyage.
Document réalisé en 2011 par;
- Mr Raiarii Lehartel, Institut Limayrac, Bachelor Tourisme, 2010-2011
Réformer le syndicalisme : mandats, financement, représentativité Fondation iFRAP
Dans quelle mesure la paix qui a présidé dans les négociations ayant abouti à la réforme n’a-t-elle pas eu pour contrepartie l’assurance donnée aux syndicats qu’on ne changerait rien au syndicalisme ? Quoi qu’il en soit, il y a à regretter que la réforme ambitieuse du droit du travail ne se soit pas accompagnée de son indispensable complément. Raison de plus pour s’atteler à la tâche.
Les propositions de la Fondation iFRAP
Mesures concernant le fonctionnement du syndicalisme dans les entreprises :
❙ En complément des réformes bienvenues des ordonnances en faveur des TPE et PME, augmenter les seuils d’application, augmenter les matières où les dérogations aux accords de branches sont autorisées, permettre les consultations par les employeurs jusqu’à 50 salariés, supprimer la différenciation entre DP mandatés et DP non mandatés.
Supprimer le monopole de présentation au premier tour des élections professionnelles.
Diminuer les heures légales et supprimer les heures extra-légales de délégation dans les secteurs public et privé.
Limiter à un seul renouvellement de 4 ans les mandats des représentants du personnel et supprimer la règle de l’insaisissabilité des biens des syndicats.
Interdire pour une seule personne le cumul d'heures de délégation supérieur à 50 % du temps de travail.
Objectif : diminuer d'un tiers le nombre de mandats de représentants des salariés.
Mesures concernant le financement des syndicats :
Assurer une véritable transparence financière à tous les niveaux syndicaux.
Supprimer les financements extra-légaux, les « caisses noires », les financements restants provenant du paritarisme, et le financement de l’AGFPN.
Tout mettre en oeuvre pour assurer un financement par les cotisations des adhérents qui doit remplacer l’audience électorale comme critère d’attribution des ressources.
Instaurer sous certaines conditions le « chèque syndical ».
Conférence : La motivation des cadres, salaire ou sens ?Prof. Zwi Segal
16 avril 2015 – Hôtel Shangri-La, Paris
Le cabinet Robert Walters, référence mondiale du recrutement spécialisé, s’engage au quotidien pour fluidifier le marché de l’emploi des cadres, en sensibilisant candidats et entreprises, et en prenant part au débat public autour des sujets touchant à la population cadre.
C’est dans ce contexte que le cabinet de recrutement a organisé, le 16 avril 2015, une conférence sur la motivation chez les cadres, en opposant les considérations salariales à la question du sens.
Intervenants :
Philippe Bloch, entrepreneur, auteur et conférencier international et auteur de best-sellers, dont Service Compris.
Sylvia Di Pasquale, rédacteur en chef de Cadremploi.
Antoine Morgaut, CEO Europe et Amérique Latine, Robert Walters.
Bénédicte Peronnin, directeur des politiques sociales, direction du personne, groupe Michelin, qui « réinvente son management et brise ses chaînes », titrait récemment un magazine.
Laurence Saunder, associée gérante de l’IFAS (Institut Français d'Action sur le Stress) qui accompagne les entreprises à transformer leur culture
managériale, sous un angle émotionnel et comportemental.
Zwi Segal, conférencier international, professeur, docteur en psychologie du travail, cofondateur du cabinet Motiva et Président de la HR Academy.
Etude Apec - Les candidats aux postes cadres dans l'ESSApec
L’économie sociale et solidaire (ESS) regroupe les associations, les coopératives, les mutuelles et les fondations. Ce champ représente plus de 13 % de l’emploi cadre en France du secteur privé. Travail exploratoire à dominante statistique, cette étude analyse les profils des candidats qui, en 2013, ont répondu à des offres d’emploi émanant des entreprises de l’ESS.
Elle décrit les caractéristiques des candidats qui ont postulé à au moins une offre cadre émanant des entreprises de l’ESS. Et parmi l’ensemble de ces candidats, ont été distingués ceux qui ont majoritairement voire exclusivement déposé des candidatures dans l’ESS de ceux qui l’ont fait de manière ponctuelle.
Cette étude révèle à la fois le potentiel de recrutement des entreprises de l’ESS (dans un
contexte de renouvellement de leurs effectifs) et permet d’appréhender la diversité des profils et les singularités des parcours professionnels qui amènent à l’ESS.
En forte hausse depuis 2009 avec l’entrée en vigueur du régime des auto-entrepreneurs, la création d’entreprise est un outil efficace de lutte contre le chômage. Premier soutien des demandeurs d’emploi créateurs d’entreprise en France, Pôle emploi les accompagne, avec plusieurs dispositifs et aides financières, et travaille au quotidien avec les partenaires spécialisés.
Mobiliser pour recruter : dans quels cas et pour quels résultatsFrance Travail
Les employeurs font appel à Pôle emploi dans quatre recrutements sur dix, presque toujours en association avec d’autres canaux de recrutement. Le recours à Pôle emploi est plus fréquent en cas de recrutements multiples et dans les secteurs des services administratifs et de soutien, du transport et entreposage, de l’hôtellerie-restauration et de l’enseignement, santé et action sociale. Le recours est également plus fréquent lorsque la procédure de recrutement est standardisée, a lieu en dehors de l’Île-de-France et quand des difficultés de recrutement sont anticipées.
Lorsque Pôle emploi est contacté, les premiers services attendus sont la diffusion de l’offre d’emploi, le fait que le poste proposé puisse être pourvu rapidement, l’accès à des profils adaptés au poste et pouvoir toucher le plus grand nombre de personnes.
Le taux de recrutements jugés difficiles par les recruteurs est sensiblement le même que l’on passe par Pôle emploi ou par des intermédiaires non publics, les coûts externes de recrutement sont moins élevés en passant par Pôle emploi, et les délais de recrutements plus courts. Les recrutements opérés par le biais de Pôle emploi bénéficient davantage aux personnes non connues des recruteurs ou dotées d’un niveau de diplôme inférieur au Bac.
Cette étude, publiée en mars 2020, s’inscrit dans le cadre d’un partenariat de recherche conclu entre l’Apec et l’Institut de recherche interdisciplinaire en sciences sociales (Irisso) de l’université Paris-Dauphine.
- Les séniors constituent un groupe particulièrement concerné par le travail non salarié
- À mi-chemin entre le salariat et le travail indépendant, le portage salarial semble particulièrement adapté au maintien en emploi des séniors
Note d'analyse - Emploi des personnes handicapées et performance des entreprisesFrance Stratégie
Aujourd’hui, on estime que 5,7 millions de personnes ont un handicap, soit 14 % de la population en âge de travailler. La moitié environ - 2,8 millions - bénéficient d'une reconnaissance administrative du handicap. Même si la situation semble meilleure en France que dans le reste de l’Europe, l’insertion sur le marché du travail des personnes handicapées n’en demeure pas moins difficile : leur taux de chômage est près de deux fois plus élevé que la moyenne.
En savoir plus :
https://strategie.gouv.fr/publications/emploi-handicapees-performance-entreprises
Dans ce document, nous avons voulu démêler le VRAI du FAUX du régime Autoentrepreneur.
- Un AE paie-t-il moins de charges ?
- Un Autoentrepreneur est-il moins qualifié ?
- Un Autoentrepreneur est-il un forcément un concurrent déloyal?
Frédéric LOSSIGNOL / Co-fondateur du Mouvement des Poussins Entrepreneurs
Retrouvez toute l'information sur le régime sur defensepoussins.fr
Comment les fondateurs dirigent-ils leur start-up ?Bpifrance
Etude sur les grandes réussites françaises du Digital par Antoine Colboc
"Je suis allé interviewer les fondateurs des plus belles réussites du Digital depuis
15 ans en France. 58 entretiens avec les fondateurs de Critéo, BlaBlaCar, La
Fourchette ou Leetchi, Withings ou Netatmo, Dashlane ou Prestashop, Lendix ou
Younited Credit, pour n’en citer que quelques-uns. Ils sont tous reconnus comme
des succès avérés, ayant réalisé les plus grosses levées de fonds ou ayant fait
l’objet d’une cession industrielle pour plusieurs dizaines de millions d’euros.
Après la présentation des profils sociaux de ce groupe de dirigeants, vous
trouverez une analyse détaillée des profils de management et de leadership,
illustrés de nombreux verbatim et témoignages recueillis pendant les
entretiens." Antoine Colboc
Non, la France n’a pas à rougir de ses résultats en matière d’emploi des travailleurs handicapés. Certes, il reste beaucoup à faire, mais la loi de 2005 commence à produire ses effets... /Octobre 2008
Lancé en partenariat entre la Région IDF et Bpifrance, ce prêt s’adresse aux entreprises de plus de trois ans, de moins de 50 salariés, dont l’essentiel de l’activité se tient en Île-de-France. D’un montant compris entre 10.000 euros et 50.000 euros par an, il est destiné à financer des investissements liés à des projets de développement, qui, trop souvent, se heurtent aux refus des banques du fait de la difficulté à prendre des garanties.
1. Tous droits réservés - Les Echos 5/2/2014 P.France
L’autoentrepreneuriatafaitémergerdenouveauxprofils
La moitié des autoentrepreneurs exercent sous ce
régime pour avoir une
activité de complément et
un revenu d’appoint.
On sait qu’ils sont nombreux – près
d’un créateur d’entreprise sur
deux – mais on ne connaît souvent
pas bien leur profil. Les autoentrepreneurs ont des trajectoires et des
caractéristiques très diverses. Une
étude de l’Insee, qui paraît
aujourd’hui, permet de mieux cerner ces différentes catégories, et
surtout de montrer que les autoentrepreneurs sont loin de se cantonner à la seule activité de bricolage
oud’artisanat,commeledébatquia
sévi au printemps dernier avait tendance à le laisser croire.
Le plus frappant depuis l’apparition du régime de l’autoentrepreneur en 2009 est l'augmentation
très forte de la création d’entreprises comme complément d’activité.
Selon l’étude de l’Insee, plus de la
moitié des autoentreprises imma-
triculées au premier semestre 2010
jouaient ce rôle. Le régime permet
ainsi de se constituer un revenu
d’appoint ou de donner un cadre
légal à une activité secondaire existante.
Activité de complément
Quatre profils types correspondent
à ce cas de figure. Les salariés du
privé d’abord, plutôt jeunes et provinciaux, qui se servent du régime
pour exercer une activité secondaire avec peu de moyens. 87 %
d’entre eux n’ont jamais créé
d’entreprise auparavant et leur activité est souvent centrée sur le commerce ou les services à la personne.
Le deuxième profil est celui des
retraités qui valorisent ainsi une
expérience passée (41 % avaient
déjà créé une entreprise) et exercent dans le domaine du conseil.
D’après l’Insee, seuls 3 % des
autoentrepreneurs parmi les
retraités et 15 % parmi les salariés
du privé envisagent d’adopter un
autre régime. Deux autres profils
sontaussidanunelogiqued'activité
de complément. Ceux qui exercent
dans le domaine de l’enseignement
ou encore les étudiants. Ces populations, souvent très diplômées, sont
aussi habituellement éloignées de
la création d’entreprise classique.
Bien sûr, il existe aussi des personnespourquil'autoentrepreneuriat est l’activité principale. On
trouve ici beaucoup de « non-diplômésdébutants »,commelesdésigne
l’Insee, qui se lancent souvent dans
la création d’un commerce. 49 %
d ’e n t r e e u x a f f i r m e n t q u’ i l s
n'auraient pas franchi le pas de la
création d’entreprise sans ce nouveau régime. Enfin, dans le
domaine de la construction, les
autoentrepreneurs sont le plus souvent des hommes, anciens salariés
du secteur ou sortant d’une courte
période de chômage, qui aspirent à
passer en création classique pour
36 % d’entre eux. Pour ces créateurs, l’autoentrepreneuriat est
vécu comme une étape avant de
passer à un autre statut. n