L'étude réalisée par CM Economics et AltaValue fait le point sur les PME françaises pouvant prétendre dès aujourd'hui à une cotation en Bourse. 60% d'entre-elles sont situées en région.
L’appétence pour le risque : les nouveaux enjeux pour piloter une entreprise ...Philippe Foulquier
A partir d'une enquête auprès d'acteurs de l'assurance européens, nous analysons la pertinence des indicateurs d'appétence et de tolérance au risque et nous étudions les enjeux de cette nouvelle ère du pilotage d'une entreprise d'assurance
L'étude réalisée par CM Economics et AltaValue fait le point sur les PME françaises pouvant prétendre dès aujourd'hui à une cotation en Bourse. 60% d'entre-elles sont situées en région.
L’appétence pour le risque : les nouveaux enjeux pour piloter une entreprise ...Philippe Foulquier
A partir d'une enquête auprès d'acteurs de l'assurance européens, nous analysons la pertinence des indicateurs d'appétence et de tolérance au risque et nous étudions les enjeux de cette nouvelle ère du pilotage d'une entreprise d'assurance
Ce fichier reprend l\'introduction de la seconde édition du livre "Introduction aux Hedge Funds" de Daniel Capocci, paru chez Economica en avril 2010.
Ce document présente la table des matières de la seconde édition du livre "Introduction aux Hedge Funds"; de D. Capocci, paru chez Economica en avril 2010.
Boitelle Tax Planning Swiss Trading Ip Structures (Etig 9 April 2011)Boitelle
Switzerland offers attractive tax structures for international trading and intellectual property. For trading companies, the overall corporate tax rate ranges from 15-25% depending on the canton, but privileged rates of 9-12% apply to foreign source trading income. Structures like principal companies and trading branches allow companies to benefit from these low rates. For intellectual property, Switzerland provides top IP protection and a tax rate as low as 9-12% on licensing income through the use of Swiss IP holding companies. Advance tax rulings provide certainty regarding these structures.
L'épargne des français : un potentiel dormant difficile à adresserEmilie Scalla
L’épargne des français, et tout particulièrement des français non éligibles à la banque privée, représente un potentiel dormant stratégique en matière de placement et d’investissement. Partant de ce constat, certaines Fintechs ont développé de nouvelles solutions d’investissement pour saisir cette opportunité encore non exploitée et se présenter comme les premiers et principaux acteurs sur le segment « Mass Affluent ».
Tribune de Bruno Poulin, Président d'Ossiam, société de gestion spécialiste du smart beta et des ETF de stratégie, sur les « robo-advisors ». Retrouvez cette tribune dans l'Agefi Hebdo du 22 - 28 octobre 2015.
Recréer des places de cotation en pleine désintermédiation du financement des entreprises est un enjeu de taille. Notre analyse révèle que 671 PME et ETI non cotées ont un profil financier et actionnarial idéal pour être candidates à une cotation. Cela représente une capitalisation totale de 52Md€, ce qui augmenterait la capitalisation boursière des PME et ETI françaises de 50%. Ceci permettrait d’offrir en France un marché de la cotation des PME et ETI équivalent au marché anglais.
Lendix - Le livre blanc du financement participatifLendix
« La finance participative : quand les particuliers deviennent des banquiers » est une étude réalisée par Lendix. Cette étude vise à dresser un panorama de la finance participative et plus particulièrement de l’industrie des plateformes de prêts. Cette étude a aussi l’ambition d’inventorier les grands enjeux qui attendent cette industrie en France et les conditions indispensables à son succès. Cette étude concerne, certes, les investisseurs particuliers et les professionnels de la gestion de patrimoine, mais également les investisseurs institutionnels comme vous le découvrirez au fil de votre lecture.
Lendix est une plateforme de prêts aux TPE et PME. Lendix est une émanation d’123Venture, première société de gestion de capital-investissement dédiée aux investisseurs privés avec plus de 1.2 milliard d’actif sous gestion et 60.000 clients.
Société basée à Paris et dirigée par Olivier Goy, fondateur d’123Venture, Lendix a pour principaux actionnaires ses dirigeants, le fonds Partech Ventures et Weber Investissements.
Lendix permet :
- aux investisseurs particuliers et professionnels d’employer de manière utile et rentable leur épargne en facilitant le financement de l’économie réelle ;
- aux TPE et PME de trouver de nouvelles sources de financement simples et efficaces en complément des banques.
Ce fichier reprend l\'introduction de la seconde édition du livre "Introduction aux Hedge Funds" de Daniel Capocci, paru chez Economica en avril 2010.
Ce document présente la table des matières de la seconde édition du livre "Introduction aux Hedge Funds"; de D. Capocci, paru chez Economica en avril 2010.
Boitelle Tax Planning Swiss Trading Ip Structures (Etig 9 April 2011)Boitelle
Switzerland offers attractive tax structures for international trading and intellectual property. For trading companies, the overall corporate tax rate ranges from 15-25% depending on the canton, but privileged rates of 9-12% apply to foreign source trading income. Structures like principal companies and trading branches allow companies to benefit from these low rates. For intellectual property, Switzerland provides top IP protection and a tax rate as low as 9-12% on licensing income through the use of Swiss IP holding companies. Advance tax rulings provide certainty regarding these structures.
L'épargne des français : un potentiel dormant difficile à adresserEmilie Scalla
L’épargne des français, et tout particulièrement des français non éligibles à la banque privée, représente un potentiel dormant stratégique en matière de placement et d’investissement. Partant de ce constat, certaines Fintechs ont développé de nouvelles solutions d’investissement pour saisir cette opportunité encore non exploitée et se présenter comme les premiers et principaux acteurs sur le segment « Mass Affluent ».
Tribune de Bruno Poulin, Président d'Ossiam, société de gestion spécialiste du smart beta et des ETF de stratégie, sur les « robo-advisors ». Retrouvez cette tribune dans l'Agefi Hebdo du 22 - 28 octobre 2015.
Recréer des places de cotation en pleine désintermédiation du financement des entreprises est un enjeu de taille. Notre analyse révèle que 671 PME et ETI non cotées ont un profil financier et actionnarial idéal pour être candidates à une cotation. Cela représente une capitalisation totale de 52Md€, ce qui augmenterait la capitalisation boursière des PME et ETI françaises de 50%. Ceci permettrait d’offrir en France un marché de la cotation des PME et ETI équivalent au marché anglais.
Lendix - Le livre blanc du financement participatifLendix
« La finance participative : quand les particuliers deviennent des banquiers » est une étude réalisée par Lendix. Cette étude vise à dresser un panorama de la finance participative et plus particulièrement de l’industrie des plateformes de prêts. Cette étude a aussi l’ambition d’inventorier les grands enjeux qui attendent cette industrie en France et les conditions indispensables à son succès. Cette étude concerne, certes, les investisseurs particuliers et les professionnels de la gestion de patrimoine, mais également les investisseurs institutionnels comme vous le découvrirez au fil de votre lecture.
Lendix est une plateforme de prêts aux TPE et PME. Lendix est une émanation d’123Venture, première société de gestion de capital-investissement dédiée aux investisseurs privés avec plus de 1.2 milliard d’actif sous gestion et 60.000 clients.
Société basée à Paris et dirigée par Olivier Goy, fondateur d’123Venture, Lendix a pour principaux actionnaires ses dirigeants, le fonds Partech Ventures et Weber Investissements.
Lendix permet :
- aux investisseurs particuliers et professionnels d’employer de manière utile et rentable leur épargne en facilitant le financement de l’économie réelle ;
- aux TPE et PME de trouver de nouvelles sources de financement simples et efficaces en complément des banques.
Banque et assurance forment un secteur en pleine transformation. Quelles sont les tendances qui vont durablement le marquer ? Quels seront les grands différenciateurs dans les années qui viennent ? Quels sont les axes de transformation à ne pas manquer ? Et comment réussir sa transformation ? Sur ces questions centrales pour vous, acteurs de cette transformation, nous partageons notre point de vue.
Livre blanc – Assurance – Gestion des risques : le nouveau visage de l'assura...Philippe Foulquier
Voici le premier extrait du Livre blanc de Finance Innovation « Gestion des risques : le nouveau visage de l #assurance » avec le plan et la présentation des interviews de personnalités :
◆ Jean-Marie Nessi
◆ Nicolas Moreau
◆ Frédéric Lavenir
◆ Marcel Jamet
◆ Jacques Nozach
◆ Philippe Trainar
◆ Jean-François Lequoy
Livre blanc - Finance Innovation - Gestion des risques : le nouveau visage de...
L'AGEFI Hebdo140416
1. DOSSIER
Le séminaire
GestionAlternative
2016 de L
'
Agefi
a lieu le jeudi
14 avril
de 17h à 19h30
au Park Hyatt Paris
Vendôme- Paris28
www .agefiir
GESTION ALTERNATIVE
Des
investisseurs
à convaincre
Pourtant aidées par le format Ucits , les stratégies hedge
funds sont de plus en plus concurrencées par les actifs réels.
httpiltwww .agefi fridossiers
PARVALÉRIE RIOCHET
ou désabusé ? Le profil type de l
'
investisseuren gestion alternative dessiné par notre
enquête annuelle « Investisseurs , quel poids
accorder à la gestion alternative ? » pourrait , à
première vue, laisser perplexe . Pour les répondants investis
dans desfonds de gestion alternatifs ,
seulement%% d
'
entre eux en attendent . ..
de la surperformance . Les pieux espoirs
d
'
alpha autrefois tant vanté
appartiennentaux désillusions du passé. Il faut
dire que les relevés des compteurs sont
implacables « Entre 2009 et 2014 , le
segment des '
hedge funds' a sous-per
advisors'
, NDLR) et les fonds de '
merger arbitrage ont été
les seuls segments de l
'
industrie capables de générer des
performancespositives au premier trimestre » . Desrendements
jugés insuffisants au regard de tarifications réputées trop
élevées. Dès2014 , de grands institutionnels tel CalPers, fonds
de pension californien , avaient pris la mesure de pratiques
tarifaires estiméesincohérentes (rémunération du gérant sur
la surperformance , même en cas de performance négative du
fonds . .. )pour setourner versdesmandats de gestion passive,
délivrant le rendement d
'
un marché alors
dans le vert.
Apporter une décorrélation
au coeur des portefeuilles
institutionnels
formé les marchés traditionnels dans les
phases de hausse », résume un gérant de portefeuille . Une
tendance qui semble serépéter en cepremier trimestre , Lyxor
signalant dans une récente lettre élaborée par son équipe de
managed accounts que « les '
hedge funds'
ont accusé un
repli de 2 %% sur les trois premiers mois de l
'
année, selon
indice Lyxor Hedge Fund . Les CTA commodity trading
Pour les lecteurs sondés par I2Agefi
Hebdo , l
'
apport essentiel de la gestion
alternative est ailleurs . Elle doit offrir
un couple rendement/ risque amélioré
(52 %% des répondants) mais pas
seulement. « La véritable gestion alternative
est celle qui apporte une décorrélation
(33 %% des réponses, NDLR) au coeur desportefeuilles
institutionnels, généralement obligataire », lance cet investisseur.
En la matière , le périmètre de la gestion alternative sevoit
année après année étendu à d
'
autres expertises . A la
question« qu' est-ce-que la gestion alternative pour vous ? »,
qui appelait plusieurs réponses, si les hedge funds pèsent
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PAYS : France
PAGE(S) : 26-28
SURFACE : 267 %
PERIODICITE : Hebdomadaire
DIFFUSION : (20000)
14 avril 2016 - N°513
2. Un investissement pleinement acté
pour les uns
Etes-vous investi en hedge
Non
Oui
Encore jugé trop risqué pour les autres
Si non, pourquoi ?
Risque
Contrainteinterne
Réglementation
Frais
Performance
liquidité
Autres
naturellement pour 96 %% desréponses, les fonds de
privateequity (33 %%) , les véhiculesd
'
infrastructures (30 %%)
et lesinvestissementsen immobilier (26 %%) rejoignent la
classed
'
actifs, considéréscomme véritablesdiversifications
aux marchéscotés. Conséquenced'
unedéfinition du bedge
fund élargie ils sont 78 %% desrépondantsà être exposés
à la gestion alternative, contre 22 %% à s' en tenir éloignés.
Parmi les premiers, 38 %% d
'
entre eux y sont investispour
au moins 10 %% deleur portefeuille , 33 %% entre 2 %% et %%
ou encore 14 %% de %% à 10 %% .Et si 38 %% nepensentpas
renforcer leur allocation cetteannée, 33 %%
anticipent dele
faire àhauteurde %%
,24 %% veulentreleverle curseurpour
un renforcementdela poche alternativede 10 %% à 20 %% ,
et %% desrépondantsanticipent mêmed
'
augmentercette
allocation deplus de20 %%.
Ceux qui, aucontraire, s' en détournent, expliquent leur
désaffectionpar différentesraisons. Lerisquequecomportent
cesstratégiesagitcommeunrepoussoir(50 %% desréponses,
en réponsesmultiples), au même titre que lescontraintes
internes (réglementationpropre à l'
investisseur), ou encore
lesfraispratiqués(17%%) par cesgestionnaires. Pourcertains
investisseurs, « une transparenceinsuffisanteet desrisques
non intégrablesdans uneanalyse
globale» plaident pour l
'
exclusion de la
gestionalternativedeleur allocation.
Sortie du purgatoire
En France, la venuetardive des
institutionnelssur cemarchéajoutéeà un
calendrier malheureux a sansdoute
joué en défaveur de son
développement. « Rapidementaprèsavoir goûté
aux '
bedgefunds' , la crise de 2008
estarrivée », retraceMarc Romano,
directeurgénéral de Rothschild HDF
lnvestmentSolutions. Mais le temps a
les completsde
fait son oeuvre , et il sembleraitque
lestheclgefunds'
sortentdeleurpurga- notre surwiegagefie
toire », poursuit-il. Même la
multigesbonparaît regagnerdu terrain. Longtempspointéedu doigt
pour son
manquede transparence, réputéetrop coûteuseet
n'
apportant pasla preuvede sa pertinence, cetteapproche
sembleregagnerlesfaveursdesinvestisseurs. Picteta collecté
un milliard d
'
eurosen 2015 sur son expertisedefonds de
Notre enquête
enquêteaétéréaliséeparintemet
du22marsau10ravril,auprèsdes
professionnelsdelafinancecibléspar
L
'
AgefiHebdo. Parmilesrépondants,
48%%sontdessociétésdegestion,
15%% descaissesderetraite, 11%% des
compagniesd
'
assurances, autantdes
mutuelles, 7%% desbanques..Leur
portefeuillesousgestionestinférieur
àunmilliardd
'
eurospour33 de
cesétablissements,4%% affichentdes
actifssousgestionsituésentre1et
2milliards,56%% entre2 et50milliards
d
'
euroset7 %%
gèrententre100et
500milliardsd
'
euros.
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3. Unerenaissance
en partie dueà la
performanceabsolue
fonds alternatifs , tandis
que AM affiche
7 fonds defonds et autant
demandats pou au total,
milliards defrancs suisses
à fin décembre. Mais pas
question pour les
investisseursderenouer avecles fonds defonds anciennegénération.
« Ils veulent désormaisdesstratégiessous-jacentestrès
spécifiques, noteNorbert Buffard, responsabledesmandatsalternatifs
chezMirabaud AM , commedesgérantsactionsspécialisésdans
dessecteurs, desrégions, desthématiques. Ainsi, pour répondre
à la demandede nos clients d
'
une gestion active, nous avons
lancéfin 2014 uneapproche dédiéeaux gérantsactivistesqui
n' hésitentpas, si nécessaire, à intégrer le conseild
'
administrationdesgrandesentreprisesdanslesquellesils sont investis. » A
cela s'
ajoute une pressionsur lesduediligenceopérationnelles:
« Solidité desbanquesdépositaires, vérification du ' cash'
nécessaireaux opérationsderèglement-livraisondetitres.. lesclients
nous mandatentenquelquesortepour vérifier quela qualité des
servicesprovtiiers des gestionnairessélectionnésdansnosfonds
defonds, estirréprochable », détailleVaqarZuberi, responsable
recherchesur lesfonds alternatifs chez Mirabaud AM . Autre
Suprématie du label Ucits
Au travers de quels véhicules investissez-vous?
Offshore
-FIA
(fonds
formatAIFM)
élémentayantcontribuéà la renaissancedela multigestion
alternative: « D
'
excellentsrésultatsfournis par la gestionflexibleen
2014, et une déceptionpatente l
'
annéesuivante, soulèveHervé
Thiard, directeurgénéraldePictetAssetManagementFrance&
Benelux. Du coup, lesinvestisseurssesontreportéssurl
'
approche
performanceabsolue, que ce soit au travers d
'
enveloppesUcits
ou dela multigestionalternative. » Côtéstratégiessélectionnées,
l'
enquêtelecteursrévèlequelesstratégiesdelong/short equitysont
privilégiées(81 %%) , au mêmetitre que lesfonds equity market
neutral (62 %%) , lesglobal macro (48 %%) , lesfonds desituations
spéciales(48 ... « Nous sommespassésd
'
unephase depur
beta, avecunevalorisation de tous lesactifs à la faveurde
politiquesaccommodantesmenéespar lesbanques
centrales,relèveHervéThiard,à uneépoquede
forte différenciationentrelesmarchés, comme
entémoigneleréveildesmatièrespremièresou
desmarchésémergents. Un contexteplus typé
qui convientdavantageauxstratégiesde long/
shore oucrevent driven'
L
'
AVISDE...
ChristopheCattoir, responsabledela gestiond
'
actifs deM commeMutuelle
« Lesactifs dits réas, dansun OPCVM,
apportent une nécessairedécorrélation »
Commentabordez-vouslagestionalternative?
Elleentredanslapoche fondsdiversifiés"
denotreportefeuillequi pèsepour10%%
desonallocation(100millionsdouros). La
gestionalternativese/dosensu représente
4 pointsdepourcentagedecettepocheet
retientessentiellementdesstratégiesg/oba/
macrequi profitentdesgrandsdéséquilibres
macroéconomiquesdemarchésurtoutesles
classesd
'
actifs,ouencoredesfondslong/short
qui prennentdespositionsà l
'
achatet à lavente.
Lanaturedessupportsachangépuisquenous
sommespassésdefondsmultigestionnaires
alternatifsàdessinglehedgefonds.Nousavons
estiméqu'
ils n' étaientplusadaptésà lavolatilité
extrêmedesmarchéset décidédereprendre
enmainnoueallocation«alternative».A côté
decetteexposition, nousavonsprivilégiédes
supportsenimmobilier(10%%),en
capitalinvestissement(2,5%%)ouencoredesfondsde
dettesprivées(1,5%%),certesmoinsliquidesque
leurspendantsobligatairesmaisaurendement
plusrégulier.
Uneallocationen«hedgefunds
suppose-telledescapitauxpropresimportants
sousSolvabilité2?
C'
estselonlesstratégies.Lesvéhiculesglobal
macre oarexemplesontcomolexesàtraiter
entransparence. Certainsd
'
entreeuxsont
investisenmonétaireet nourrissentenréalité
desstratégiesoptionnellesqui figurentdans
leurhorsbilan. Pardéfaut,nousleuradjoignons
leSCR(SolvencyCapitalRequirement)le plus
élevé. Pourlesfondslong/short, souventinvestis
enactions, l
'
opérationestplussimple.Nous
retenonsleurexpositionnettequi appelleun
SCRmoindre.
Lagestionalternativea-t-elleapporté
la preuvedesapertinence?
Toutdépends' il s'
agit d
'
unestratégiecyclique
ounoncar, à monsens, bonnombrede
hedgefonds restentcorrélésauxmarchés
ouà desfacteursderisquespécifiques.
Il estnécessairededresserunesortede
cartographiedesstratégies, delesmettreen
regardavecleurniveaudeliquidité,avecnotre
objectifrendement/risque,delesconfronter
à notreproprerégulation(Solvabilité2)et
aumarchéauxprisesaveclavolatilité. Il
faut bienadmettrequepasgrand-chosene
fonctionnedepuisledébutdel
'
année. Pour
preuve le reportde nombreuxinvestisseurs
surlesOPCVMmonétaires... Dansce
contexte, lesactifsdits réels, s'
ils intègrent
l
'
enveloppeOPCVM, apportentunenécessaire
décorrélation.
Impérieuse liquidité
Et surtoutcesstratégiessontréputéesliquides.
« Unélémentqui resteessentiel», attesteMarc
Romano dont la Sicav irlandaise accueille,
hormis un fonds crédit haut rendement, des
expertisesassurant la liquidité : long/short,
risk premia, etprochainementunfondsglobal
macro. Pour recueillir cesexpertises, l
'
enveloppeUcits reste la plus optimale... parfois
pour desraisons irrationnelles. Elle permet
certesunevalorisation fréquente(quotidienne
ou hebdomadaire), « maisest surtout perçue
commeunemarqueet rassurela gouvernance
des investisseurs», poursuit-il . La directive
Ucits 3 aeneffetdonnéuncadreclairet normé
aux OPCVM sophistiqués. « Le gérant peut
être netvendeurdetitres short'
) à traversdes
dérivés, décrypte Hervé Thiard , et utiliser le
levier à hauteur de 200 %% ou en équivalent
VaR de20 %% . » Ainsi
naissaientlesfameux Newcits. Sanssurprise, la
structure Ucits est retenuepar 76 %% de nos
panelistes, les FIA (fonds d
'
investissement
alternatifs) étant privilégiés dans 14 %% des
cas, notamment pour regrouper des actifs
réelsou desstratégiesdelong tem e. Le
succèsdeshedgefimds « édulcorés» sembleacté.
SelonHFR, cesfonds labellisésauformat Ucits
croissentde24 %%
chaqueannéeet atteignaient
endécembredernier158milliardsdedollars.
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PERIODICITE : Hebdomadaire
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