Travaux LIR-BIPE présentés à la Presse le 24 septembre 2009 sur
Le Marché du Médicament remboursable (S1-2009) et la Consommation de médicaments en France
Consommation de medicaments_dans_5_pays_europeensAssociation LIR
Le niveau de consommation de médicaments en France est souvent considéré comme étant l’un des plus importants d’Europe. Cette étude cherche à vérifier la persistance de cette affirmation sur la période 2000-2004 en comparant les niveaux de consommation de 7 classes de médicaments en Allemagne, Espagne, France, Italie et Royaume-Uni. Non seulement la France n’était plus en 2004 le premier consommateur dans les 7 classes étudiées mais on constate un rapprochement aussi bien des niveaux de consommation que des structures de consommation entre les 5 pays.
Les systèmes de santé en europe dans le contexte de crise financière.Réseau Pro Santé
Les budgets sociaux sont en constante augmentation, du fait du vieillissement de la population, de la technologie médicale grandissante et de la revendication croissante de la population d'un accès à des soins de qualité au fur et à mesure qu'elle accède à la démocratie. mais la crise financière est là…
La crise financière et la dette croissante des états européens ont rendu la situation difficile à gérer selon le modèle social occidental (voir articles sur le sujet dans PHAR 60 avril 2012 et PHAR 64 avril 2013). Tous les systèmes de santé publique des pays membres de l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) partagent un même= problème : quelle solution technique utiliser pour maintenir 8 à 11 % du revenu national dans les services de soins de santé.
ACCROISSEMENT DE LA DEMANDE, MAIS BAISSE DES RESSOURCES
Les budgets de la santé constituent une grande part des dépenses publiques dans l'Union Européenne et le secteur des soins de santé est considéré comme l'un des grands succès de l'Europe. Pour les Européens, il s'agit de l'un des éléments qui fait du « vieux continent » un endroit à part sur la planèteen termes de qualité de vie. Toutefois, le vieillissement de la population et les chocs de la crise financière ont placé le contraste important entre les idéaux de l'Europe et la réalité, sur le devant de la scène [1].
reseauprosante.fr
Maladie d’Alzheimer, accident vasculaire cérébral, arthrose... Autant de pathologies que chacun d’entre nous connaît, parce qu’elles peuvent toucher une relation, un ami, un parent. Toutefois, la perception qu’on peut en avoir lorsqu’un de nos proches est affecté est largement indépendante du poids de la maladie dans la population générale même si elle est bien évidemment liée aux modalités actuelles de prise en charge.
Consommation de medicaments_dans_5_pays_europeensAssociation LIR
Le niveau de consommation de médicaments en France est souvent considéré comme étant l’un des plus importants d’Europe. Cette étude cherche à vérifier la persistance de cette affirmation sur la période 2000-2004 en comparant les niveaux de consommation de 7 classes de médicaments en Allemagne, Espagne, France, Italie et Royaume-Uni. Non seulement la France n’était plus en 2004 le premier consommateur dans les 7 classes étudiées mais on constate un rapprochement aussi bien des niveaux de consommation que des structures de consommation entre les 5 pays.
Les systèmes de santé en europe dans le contexte de crise financière.Réseau Pro Santé
Les budgets sociaux sont en constante augmentation, du fait du vieillissement de la population, de la technologie médicale grandissante et de la revendication croissante de la population d'un accès à des soins de qualité au fur et à mesure qu'elle accède à la démocratie. mais la crise financière est là…
La crise financière et la dette croissante des états européens ont rendu la situation difficile à gérer selon le modèle social occidental (voir articles sur le sujet dans PHAR 60 avril 2012 et PHAR 64 avril 2013). Tous les systèmes de santé publique des pays membres de l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques (OCDE) partagent un même= problème : quelle solution technique utiliser pour maintenir 8 à 11 % du revenu national dans les services de soins de santé.
ACCROISSEMENT DE LA DEMANDE, MAIS BAISSE DES RESSOURCES
Les budgets de la santé constituent une grande part des dépenses publiques dans l'Union Européenne et le secteur des soins de santé est considéré comme l'un des grands succès de l'Europe. Pour les Européens, il s'agit de l'un des éléments qui fait du « vieux continent » un endroit à part sur la planèteen termes de qualité de vie. Toutefois, le vieillissement de la population et les chocs de la crise financière ont placé le contraste important entre les idéaux de l'Europe et la réalité, sur le devant de la scène [1].
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Maladie d’Alzheimer, accident vasculaire cérébral, arthrose... Autant de pathologies que chacun d’entre nous connaît, parce qu’elles peuvent toucher une relation, un ami, un parent. Toutefois, la perception qu’on peut en avoir lorsqu’un de nos proches est affecté est largement indépendante du poids de la maladie dans la population générale même si elle est bien évidemment liée aux modalités actuelles de prise en charge.
Diminuer la dépense à tout prix : folies et déraisons de la politique hospita...Rachel Bocher
INPH n° 10 - Mars 2017
Les économistes ont besoin de grandeurs statistiques pour appréhender une question. Dans le domaine de la santé l’agrégat utilisé est la Consommation de soins et de biens médicaux (CSBM). Il comprend les soins hospitaliers (publics et privés), les soins de villes (médecins, dentistes, auxiliaires médicaux, analyses, …), les transports de malades et les autres biens médicaux (optique, prothèses, …). La CSBM représente 194, 6 milliards d’euros, soit 2 930 euros par habitant et 8,9 % du Produit intérieur brut (PIB).
L’hôpital public représente en 2015, 70,1 milliards d’euros contre 61,7 milliards d’euros en 2010 (Beffy, Roussel, Solard, Mikou, Ferretti, 2016). Entre 2014 et 2015, la progression est de 2,2 % en valeur contre 2,7 % sur la période qui s’étend de 2010 à 2015.
http://www.intersyndicat-des-praticiens-hospitaliers.com/
MarketBeat Immobilier de Sante France - Investisseurs et Opérateurs : partenariats gagnants et conquérants !
La securite sociale : une specificite francaise - Faible croissance de la consommation de santé
Le montant des dépenses courantes de santé a atteint 266,6 milliards d’euros en 2016, soit 12% du produit intérieur brut (PIB) en base 2010. La consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), qui en représente les trois quarts, atteint pour sa part 198,5 milliards d’euros. Elle s’établit à 9,4% du PIB en 2016, contre 8,9% en 2012. Ce pourcentage relativement stable depuis le début des années 2000 place la France dans le groupe de tête des pays de l’OCDE pour le poids des dépenses courantes de santé dans le PIB. La France marque cependant sa différence par la part élevée du financement public de la santé (78% pour les soins et les biens médicaux).
La progression en valeur de la CSBM reste sensiblement inférieure à 3% pour la cinquième année consécutive : +2,3 % en 2016, après +1,5 % en 2015, +2,7 % en 2014,+1,9 % en 2013 et +2,2% en 2012. La CSBM affiche donc des taux de progression relativement faibles comparés à ceux enregistrés au début des années 2000 (entre 5% et 6% entre 2000 et 2004). La stabilité de la consommation de médicaments, imputable à la faible croissance de leur volume conjuguée à la baisse des prix, limite la croissance de la CSBM.
La composition des dépenses de santé reste dominée par trois types de dépenses majeures : les soins hospitaliers (92,4 milliards d’euros en hausse de 2,2% en un an), les soins de ville (52,2 milliards d’euros en 2016, en hausse de 3,3% en un an) et les médicaments qui, avec un volume de 34 milliards d’euros en 2016, enregistrent une hausse de 0,3%, après une légère baisse de -0,7% relevé en 2015. Les trois quarts des soins hospitaliers sont réalisés dans des structures publiques (71,3 milliards d’euros, en progression de 2,2%) alors que ceux privés ont représenté 21,1 milliards d’euros en 2016, en hausse de 2,1%.
Largement financée par la Sécurité Sociale
La répartition des dépenses de santé selon leur mode de financement n’a que peu évolué en 2016. La Sécurité Sociale supporte près de 78% de la dépense totale alors que les organismes complémentaires comptent pour 13% supplémentaires. Il en résulte une part prise en charge par les ménages en baisse, passée de 9,1% en 2012 à 8,3% en 2016. Elle est encore élevée pour certains types de dépenses (optique, soins dentaires ou médicaments), mais est en revanche très faible pour d’autres dépenses comme les soins hospitaliers.
Téléchargez l'étude complète ci-dessus.
Plus d'informations sur notre site internet : http://www.cushmanwakefield.fr
Assemblée générale rapport moral - lyon, 1er octobre 2012.Réseau Pro Santé
Dr Isabelle Montet, secrétaire générale du SPH
On a beau être informé à grands renforts de commentaires que la normalité s’est installée par le suffrage universel à la tête du pays, le monde psychiatrique n’en a pas pour autant gagné en sérénité. Parce qu’un tant soit peu vigilant, tout psychiatre connaît les risques de variations d’états du sujet dit « normal », et sait par ses classiques, que la norme peut flirter avec l’arbitraire, ou servir la vacuité sous le masque du conformisme. La normativité de Canguilhem pourrait bien servir de référence aux éditorialistes politiques qui, pensant diagnostiquer les premiers signes de mollesse à l’Elysée, s’interrogent sur la nature de cette normalité présidentielle qui devrait adapter la simplicité des exigences démocratiques revendiquée comme ligne de conduite gouvernementale, au caractère exceptionnel de la fonction qui exige l’autorité managériale attendue par la Nation, prise dans la tourmente des crises mondiales.
Car la crise s’est installée dans le quotidien de l’abondance d’informations qui ferait croire au quidam qu’il maîtrise, à défaut des effets de cette dette publique devenue intime, les ficelles de l’économie mondiale où les tenants de la rigueur tendue vers l’objectif des 3% de déficits s’opposent aux partisans de la relance contre l’austérité. Dans un tel contexte, la nouvelle alerte mise sur le déficit de la sécurité sociale par la Cour des Comptes alors que doit être présenté le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2013 fait déjà vaciller le faible espoir que la psychiatrie de service public voulait mettre dans les mots de la ministre de la santé sur le soutien du nouveau gouvernement au service public hospitalier.
reseauprosante.fr
201503 aubertm EHP Comment cadrer sa créativité (de zèbre) - Méthodologie de ...Marina Aubert
Notre invité de mars, Marina Aubert, est une entrepreneure spécialisée dans la communication web. Elle amène les entreprises et les organisations à construire, développer et exploiter leur image en ligne, notamment en installant le dialogue avec leurs différents publics.
En aidant les autres à construire leurs avenirs, Marina a développé des outils concrets pour arriver à cadrer sa vie par rapport à ses objectifs.
Comment cadrer sa créativité (de zèbre) - La haute potentialité demande souvent à adapter et à affiner le modèle des objectifs traditionnels classiques. Lors de son intervention, Marina vous expliquera son cheminement, et vous transmettra ses outils de développement personnel pour mieux cadrer votre ébullition créative de zèbre.
Retrouvez la Lettre d'information des professions de santé
Santé Flash - 3ème Trimestre 2011
Plus de renseignement sur notre site dédié aux professionnels de santé : www.differencesante.com
Diminuer la dépense à tout prix : folies et déraisons de la politique hospita...Rachel Bocher
INPH n° 10 - Mars 2017
Les économistes ont besoin de grandeurs statistiques pour appréhender une question. Dans le domaine de la santé l’agrégat utilisé est la Consommation de soins et de biens médicaux (CSBM). Il comprend les soins hospitaliers (publics et privés), les soins de villes (médecins, dentistes, auxiliaires médicaux, analyses, …), les transports de malades et les autres biens médicaux (optique, prothèses, …). La CSBM représente 194, 6 milliards d’euros, soit 2 930 euros par habitant et 8,9 % du Produit intérieur brut (PIB).
L’hôpital public représente en 2015, 70,1 milliards d’euros contre 61,7 milliards d’euros en 2010 (Beffy, Roussel, Solard, Mikou, Ferretti, 2016). Entre 2014 et 2015, la progression est de 2,2 % en valeur contre 2,7 % sur la période qui s’étend de 2010 à 2015.
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MarketBeat Immobilier de Sante France - Investisseurs et Opérateurs : partenariats gagnants et conquérants !
La securite sociale : une specificite francaise - Faible croissance de la consommation de santé
Le montant des dépenses courantes de santé a atteint 266,6 milliards d’euros en 2016, soit 12% du produit intérieur brut (PIB) en base 2010. La consommation de soins et de biens médicaux (CSBM), qui en représente les trois quarts, atteint pour sa part 198,5 milliards d’euros. Elle s’établit à 9,4% du PIB en 2016, contre 8,9% en 2012. Ce pourcentage relativement stable depuis le début des années 2000 place la France dans le groupe de tête des pays de l’OCDE pour le poids des dépenses courantes de santé dans le PIB. La France marque cependant sa différence par la part élevée du financement public de la santé (78% pour les soins et les biens médicaux).
La progression en valeur de la CSBM reste sensiblement inférieure à 3% pour la cinquième année consécutive : +2,3 % en 2016, après +1,5 % en 2015, +2,7 % en 2014,+1,9 % en 2013 et +2,2% en 2012. La CSBM affiche donc des taux de progression relativement faibles comparés à ceux enregistrés au début des années 2000 (entre 5% et 6% entre 2000 et 2004). La stabilité de la consommation de médicaments, imputable à la faible croissance de leur volume conjuguée à la baisse des prix, limite la croissance de la CSBM.
La composition des dépenses de santé reste dominée par trois types de dépenses majeures : les soins hospitaliers (92,4 milliards d’euros en hausse de 2,2% en un an), les soins de ville (52,2 milliards d’euros en 2016, en hausse de 3,3% en un an) et les médicaments qui, avec un volume de 34 milliards d’euros en 2016, enregistrent une hausse de 0,3%, après une légère baisse de -0,7% relevé en 2015. Les trois quarts des soins hospitaliers sont réalisés dans des structures publiques (71,3 milliards d’euros, en progression de 2,2%) alors que ceux privés ont représenté 21,1 milliards d’euros en 2016, en hausse de 2,1%.
Largement financée par la Sécurité Sociale
La répartition des dépenses de santé selon leur mode de financement n’a que peu évolué en 2016. La Sécurité Sociale supporte près de 78% de la dépense totale alors que les organismes complémentaires comptent pour 13% supplémentaires. Il en résulte une part prise en charge par les ménages en baisse, passée de 9,1% en 2012 à 8,3% en 2016. Elle est encore élevée pour certains types de dépenses (optique, soins dentaires ou médicaments), mais est en revanche très faible pour d’autres dépenses comme les soins hospitaliers.
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Assemblée générale rapport moral - lyon, 1er octobre 2012.Réseau Pro Santé
Dr Isabelle Montet, secrétaire générale du SPH
On a beau être informé à grands renforts de commentaires que la normalité s’est installée par le suffrage universel à la tête du pays, le monde psychiatrique n’en a pas pour autant gagné en sérénité. Parce qu’un tant soit peu vigilant, tout psychiatre connaît les risques de variations d’états du sujet dit « normal », et sait par ses classiques, que la norme peut flirter avec l’arbitraire, ou servir la vacuité sous le masque du conformisme. La normativité de Canguilhem pourrait bien servir de référence aux éditorialistes politiques qui, pensant diagnostiquer les premiers signes de mollesse à l’Elysée, s’interrogent sur la nature de cette normalité présidentielle qui devrait adapter la simplicité des exigences démocratiques revendiquée comme ligne de conduite gouvernementale, au caractère exceptionnel de la fonction qui exige l’autorité managériale attendue par la Nation, prise dans la tourmente des crises mondiales.
Car la crise s’est installée dans le quotidien de l’abondance d’informations qui ferait croire au quidam qu’il maîtrise, à défaut des effets de cette dette publique devenue intime, les ficelles de l’économie mondiale où les tenants de la rigueur tendue vers l’objectif des 3% de déficits s’opposent aux partisans de la relance contre l’austérité. Dans un tel contexte, la nouvelle alerte mise sur le déficit de la sécurité sociale par la Cour des Comptes alors que doit être présenté le projet de loi de financement de la sécurité sociale 2013 fait déjà vaciller le faible espoir que la psychiatrie de service public voulait mettre dans les mots de la ministre de la santé sur le soutien du nouveau gouvernement au service public hospitalier.
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201503 aubertm EHP Comment cadrer sa créativité (de zèbre) - Méthodologie de ...Marina Aubert
Notre invité de mars, Marina Aubert, est une entrepreneure spécialisée dans la communication web. Elle amène les entreprises et les organisations à construire, développer et exploiter leur image en ligne, notamment en installant le dialogue avec leurs différents publics.
En aidant les autres à construire leurs avenirs, Marina a développé des outils concrets pour arriver à cadrer sa vie par rapport à ses objectifs.
Comment cadrer sa créativité (de zèbre) - La haute potentialité demande souvent à adapter et à affiner le modèle des objectifs traditionnels classiques. Lors de son intervention, Marina vous expliquera son cheminement, et vous transmettra ses outils de développement personnel pour mieux cadrer votre ébullition créative de zèbre.
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Santé Flash - 3ème Trimestre 2011
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Présentation faite par Jérémie Bourgeois - Sherbrooke OEM dans le cadre du 2e Rendez-vous des technologies propres organisé par Sherbrooke Innopole
28 mai 2013 | Sherbrooke
Personnages principaux :
Dr Jacques Niney : Président FNMR F.
Van Roekeghem : Directeur Général de l’UNCAM
Mme Roselyne Bachelot : ministre de la santé mai 2007 à novembre 2010
Mme Marisol Touraine : actuelle ministre de la santé
Dans les épisodes précédents :
1) La saga débute en l’an 2007, avec le plan de financement de la sécurité sociale pour l’année 2007 et son avenant 24 publié au JO le 12 septembre de la même année. Dès sa prise de fonction, Roselyne Bachelot (ministre de la santé à l’époque) s’attaque à la radiologie qu’elle juge responsable d’un risque sérieux de dépassement de l’objectif national des dépenses d’assurance maladie. Cette première attaque se résout par la négociation et aboutit à un protocole d’accord entre l’UNCAM (Van Roekeghem) et la FNMR (Dr Jacques Niney) le 19 juillet 2007. Devant les évolutions technologiques et les gains de productivité des machines, ils décident de baisser les tarifs des forfaits techniques des scanners et IRM et créent 2 nouveaux seuils d’activité.
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La dynamique du marché de la pharmacie, soutenue par des sous-jacents structurels puissants, a été stoppée dans un contexte de budgets de sécurité sociale contraints et de mesures autoritaires visant à baisser les prix et les volumes des produits remboursés.
Mais au-delà de ces décisions autoritaires, c’est à notre sens en raison d’une commercialité encore défaillante au sein de la filière (certes en grand progrès mais encore loin d’atteindre le niveau de sophistication des autres circuits de distribution spécialisée), et d’un déficit flagrant de fonds propres que les officines ne progressent plus comme chacun pourrait le souhaiter.
La plupart des pharmacies françaises ont de grosses difficultés à capter les opportunités offertes par le marché, en particulier dans les segments connexes à ceux relevant du monopole pharmaceutique (la diététique, le matériel médical, les produits bio et autres alternatives médicales,..), ou par le législateur (loi HPST, SISA,..) alors que le capital confiance en son pharmacien et le trafic sur le point de vente sont deux atouts exceptionnels de la profession.
Dans ce contexte propice à une restructuration du réseau qui pourrait se traduire par la disparition de quelques 5,000 officines, la valeur ajoutée des groupements travaillant sur les sujets de la commercialité et prenant des initiatives visant à permettre à leurs clients/adhérents/sociétaires de prendre en charge de nouvelles missions progresse. Et les pharmaciens entrepreneurs ayant mieux compris que la moyenne de la profession les leviers de la redynamisation de la filière surperforment le marché de manière plus importante que par le passé.
Que l’on raisonne dans un esprit corporatiste (aider à la transformation de la filière en vue de la rendre plus forte) ou capitaliste, c’est clairement le bon moment pour prendre des initiatives structurées. Nous démontrons dans ce document que l’effet de levier procuré par de la dette peu chère (3%) et longue (12 ans) pour des montants représentant classiquement plus de 75% des investissements réalisés permet de générer, même dans les hypothèses les plus conservatrices, des rendements très attractifs pour les capitaux investis dans la filière officinale alors que les risques de dépréciation de la valeur d’actifs résilients sont très faibles.
La réglementation actuelle sur la détention du capital d’une officine ne permet pas à un investisseur financier d’être invité au tour de table d’une officine ou d’une holding détenant des participations dans des officines de pharmacie. En revanche, il lui est possible de souscrire à des obligations émises par ces structures qui jouent dans les montages réalisés le même rôle que la dette mezzanine dans un LBO et d’obtenir via un pacte de co-souscription obligataire des prérogatives normales sur des sujets comme l’accès à l’information et à la maitrise du timing et des conditions de la réalisation de son investissement à terme.
This paper revisits the relationship between health and growth in light of modern endogenous growth theory. We propose an unified framework that encompasses the growth effects of both, the accumulation and the level of health. Based on cross-country regressions where we instrument for both variables, we find that a higher initial level and a higher rate of improvement in life expectancy, both have a significantly positive impact on per capita GDP growth.
In its role of think tank and within the framework of the “Assises du Médicament”, the LIR considered useful to make realize by the researchers of the ESSEC an international study on the policies of management of conflicts of interests.
Four reglementations were studied : United States, Great Britain, Germany and Sweden.
Impact sur la_longevite_et_croissance_economiqueAssociation LIR
Les déficits cumulés de notre système d’assurance maladie, le vieillissement de notre population, l’augmentation de son espérance de vie, et l’augmentation des coûts associés à l’apparition de nouveaux équipements, posent avec acuité le problème du financement des dépenses de santé.
Si différentes réformes ont été introduites au cours des dernières années pour stabiliser nos dépenses de santé, les effets potentiels sur le secteur de la santé, l’innovation dans les industries et la croissance, ont trop rarement fait l’objet d’analyses approfondies.
Capitaliser sur les résultats de l’Enquête 2008
Attractivité de la France au sein de la Recherche Clinique Internationale conduite par le Leem pour conduire une analyse comparative
entre les données des adhérents du LIR
et celles de l’ensemble des participants de l’Industrie
Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
Miranda Field, Université de Regina – Decolonized theory of place [La théorie du lieu décolonisée]
Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]