#PATIENT #EXPERT
✅ Chers membres, un article rappelant le rôle essentiel du patient-expert, paris-aidants comme partenaires permettant de contribuer à améliorer la qualité et la sécurité des soins.
⏩ Une expertise mise à contribution pour former des professionnels de santé en France, en Suisse ou au Québec ainsi dans les projets de recherche.
良 Complémentaires des professionnels de santé, ils mettent à disposition leurs savoirs fondés sur leur expérience.
Le partenariat en santé et la démocratie sanitaire doivent être pensés par la coconstruction pour améliorer l'organisation du système de santé et la prise en soin.
Conférence de Roland Ollivier, directeur de l’Institut du management, EHESP et Karine Lefeuvre, professeure et directrice adjointe du Département des sc. humaines et sociales, EHESP
Conférence de Sandrine Perrot, chargée de mission, Bureau des usagers de l'offre de soins, sous-direction stratégie et ressources, Direction Générale de l'Offre de Soins (DGOS), ministère des Affaires sociales, de la santé et droits des femmes - 24 novembre 2015
Conférence de Vincent Mettauer, directeur du pôle Démocratie sanitaire, Agence Régionale de Santé d’Île-de-France, et un représentant de la Conférence régionale de santé et de l’autonomie (CRSA) - 24 novembre 2015
#PATIENT #EXPERT
✅ Chers membres, un article rappelant le rôle essentiel du patient-expert, paris-aidants comme partenaires permettant de contribuer à améliorer la qualité et la sécurité des soins.
⏩ Une expertise mise à contribution pour former des professionnels de santé en France, en Suisse ou au Québec ainsi dans les projets de recherche.
良 Complémentaires des professionnels de santé, ils mettent à disposition leurs savoirs fondés sur leur expérience.
Le partenariat en santé et la démocratie sanitaire doivent être pensés par la coconstruction pour améliorer l'organisation du système de santé et la prise en soin.
Conférence de Roland Ollivier, directeur de l’Institut du management, EHESP et Karine Lefeuvre, professeure et directrice adjointe du Département des sc. humaines et sociales, EHESP
Conférence de Sandrine Perrot, chargée de mission, Bureau des usagers de l'offre de soins, sous-direction stratégie et ressources, Direction Générale de l'Offre de Soins (DGOS), ministère des Affaires sociales, de la santé et droits des femmes - 24 novembre 2015
Conférence de Vincent Mettauer, directeur du pôle Démocratie sanitaire, Agence Régionale de Santé d’Île-de-France, et un représentant de la Conférence régionale de santé et de l’autonomie (CRSA) - 24 novembre 2015
Conférence d'Alexandre Berkesse, conseiller sénior à la Direction collaboration et partenariat patient de la Faculté de médecine de l’UdeM - 24 novembre 2015
Avis sur la stratégie de transformation de la santé publique - mai 2018Société Tripalio
Avis du Haut Comité pour l'Avenir de l'Assurance Maladie sur la transformation du système français de santé publique - avis du 24 mai 2018, proposant une décentralisation du système de santé.
Depuis une vingtaine d’années, l’approche paternaliste des soins, où les professionnels de la santé décident pour le patient ou l’usager, est remise en cause, car elle exclut les principaux intéressés de la prise de décision. Or, les patients souhaitent de plus en plus être impliqués dans leurs soins et services. Aussi, au cours des années 2000, les approches centrées sur le patient se sont renforcées afin que les personnes soient mises au centre des décisions et que leurs valeurs et vécus soient pris en considération. Certains patients souhaitent aller au-delà du partenariat dans leurs propres soins pour mettre leur expérience à la disposition d’autres patients ou d'organisations de soins. Différentes formes d'engagement sont alors apparues. On retrouve le patient comme ressource, comme formateur ou comme coach. Ce séminaire permettra de distinguer les différentes formes d’engagement du patient et quels types de finalités elles supposent.
Lors de la présentation de Mme Pomey il a été question de différents types d’engagements du patient (soins, parcours de soins, qualité des soins, expérience patient, évaluation, recherche, participation citoyenne, témoignage). Différents modèles existent et se déclinent de différentes façons. Les formes de l’engagement varient énormément selon les pays relativement au contexte culturel, structurel et politique (par exemple, le rôle et la place des associations de patients en France par rapport au Québec). La Grande-Bretagne, la France et la Suisse offrent des modèles inspirants.
Abdoulaye Sow (39ième CIPS) a aussi présenté le travail de réseau spécifique à la ville de Conakry où l’on peut voir comment le paquet d’activité a été étendu à de nouveaux besoins en matière de santé mentale, de lutte contre les violences sexuelles et de réponse aadaptée au suivi des épileptiques.
Guide des Carrières et des Formations "IDE" 2014
Un métier règlementé
A l’instar des autres métiers de la santé, la profession infirmière fait partie des exercices règlementés par le Code de la Santé Publique.
L’infirmier « …donne habituellement des soins infirmiers sur prescription ou conseil médical ; ou en application du rôle propre qui lui est dévolu. L’infirmier ou l’infirmière participe à différentes actions, notamment en matière de prévention, d’éducation à la santé, de formation ou d’encadrement... » Art. L 4311-1 du Code de la Santé Publique.
Le diplôme d’Etat infirmier fait l’objet d’une réglementation au niveau européen qui permet d’exercer dans tous les Etats membres, mais aussi au Québec.
Un exercice diversifié
L’activité professionnelle, très diversifiée, s’effectue :
- Dans le secteur public ou privé :
- En milieu hospitalier.
- En extrahospitalier. Ì
- Dans le domaine sanitaire ou médicosocial.
- Dans le secteur libéral.
L’exercice hospitalier (environ 80 % des effectifs) ou en structure médico-sociale présente, au-delà de l’évolution des sciences et des techniques les caractéristiques suivantes :
- Une organisation du travail, fondée sur la continuité des soins, qui implique une présence permanente auprès des patients, avec un travail :
- La nuit.
- Les week-ends et jours fériés.
- Si l’activité « soins » reste importante, les tâches administratives et de gestion des stocks (médicaments, matériels de soins...) deviennent une composante incontournable de la profession.
- Un travail d’équipe pluri-professionnelle est indispensable à des soins de qualité.
Dix compétences infirmières
Le référentiel professionnel comprend :
- Un référentiel d’activités.
- Un référentiel de compétences :
1. Evaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier.
2. Concevoir et conduire un projet de soins infirmier.
3. Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens.
4. Mettre en oeuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique.
5. Initier et mettre en oeuvre des soins éducatifs et préventifs.
6. Communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins.
7. Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle.
8. Rechercher et traiter des données professionnelles et scientifiques.
9. Organiser et coordonner les activités soignantes.
10. Informer, former des professionnels et des personnes en formation.
- un référentiel de formation (dont le contenu sera détaillé ultérieurement).
reseauprosante.fr
Bilan du Projet régional de santé des ARS de Bourgogne et de Franche-ComtéDircomARSBFC
ce document présente le bilan des deux projets régionaux de santé des anciennes régions Bourgogne et Franche-Comté. Vous y trouverez les chiffres clés des thématiques suivantes: Assurer la sécurité sanitaire, protéger les cadre de vie des Bourguignons-Francs-Comtois, prévenir et dépister, améliorer la santé des jeunes, améliorer la prise en charge des personnes âgées, accompagner les personnes handicapées, accompagner les personnes exclues du système de santé, favoriser l’installation...
Conférence de France Laverdière, conseillère à la qualité, MSSS, et Vincent Dumez, codirecteur de la direction collaboration et partenariat patient - 24 novembre 2015
Revue "Guide des carrières et des formation IDE 2016" - Février 2016
Un métier règlementé
A l’instar des autres métiers de la santé, la profession infirmière fait partie des exercices règlementés par le Code de la Santé Publique.
L’infirmier « …donne habituellement des soins infirmiers sur prescription ou conseil médical ; ou en application du rôle propre qui lui est dévolu. L’infirmier ou l’infirmière participe à différentes actions, notamment en matière de prévention, d’éducation à la santé, de formation ou d’encadrement... » Art. L 4311-1 du Code de la Santé Publique.
Le diplôme d’Etat infirmier fait l’objet d’une réglementation au niveau européen qui permet d’exercer dans tous les Etats membres, mais aussi au Québec.
Un exercice diversifié
L’activité professionnelle, très diversifiée, s’effectue :
- Dans le secteur public ou privé :
En milieu hospitalier.
En extrahospitalier.
Dans le domaine sanitaire ou médicosocial.
- Dans le secteur libéral.
L’exercice hospitalier (environ 80 % des effectifs) ou en structure médico-sociale présente, au-delà de l’évolution des sciences et des techniques les caractéristiques suivantes :
- Une organisation du travail, fondée sur la continuité des soins, qui implique une présence permanente auprès des patients, avec un travail :
La nuit.
Les week-ends et jours fériés.
- Si l’activité « soins » reste importante, les tâches administratives et de gestion des stocks (médicaments, matériels de soins...) deviennent une composante incontournable de la profession.
- Un travail d’équipe pluri-professionnelle est indispensable à des soins de qualité.
... reseauprosante.fr
Conférence d'Alexandre Berkesse, conseiller sénior à la Direction collaboration et partenariat patient de la Faculté de médecine de l’UdeM - 24 novembre 2015
Avis sur la stratégie de transformation de la santé publique - mai 2018Société Tripalio
Avis du Haut Comité pour l'Avenir de l'Assurance Maladie sur la transformation du système français de santé publique - avis du 24 mai 2018, proposant une décentralisation du système de santé.
Depuis une vingtaine d’années, l’approche paternaliste des soins, où les professionnels de la santé décident pour le patient ou l’usager, est remise en cause, car elle exclut les principaux intéressés de la prise de décision. Or, les patients souhaitent de plus en plus être impliqués dans leurs soins et services. Aussi, au cours des années 2000, les approches centrées sur le patient se sont renforcées afin que les personnes soient mises au centre des décisions et que leurs valeurs et vécus soient pris en considération. Certains patients souhaitent aller au-delà du partenariat dans leurs propres soins pour mettre leur expérience à la disposition d’autres patients ou d'organisations de soins. Différentes formes d'engagement sont alors apparues. On retrouve le patient comme ressource, comme formateur ou comme coach. Ce séminaire permettra de distinguer les différentes formes d’engagement du patient et quels types de finalités elles supposent.
Lors de la présentation de Mme Pomey il a été question de différents types d’engagements du patient (soins, parcours de soins, qualité des soins, expérience patient, évaluation, recherche, participation citoyenne, témoignage). Différents modèles existent et se déclinent de différentes façons. Les formes de l’engagement varient énormément selon les pays relativement au contexte culturel, structurel et politique (par exemple, le rôle et la place des associations de patients en France par rapport au Québec). La Grande-Bretagne, la France et la Suisse offrent des modèles inspirants.
Abdoulaye Sow (39ième CIPS) a aussi présenté le travail de réseau spécifique à la ville de Conakry où l’on peut voir comment le paquet d’activité a été étendu à de nouveaux besoins en matière de santé mentale, de lutte contre les violences sexuelles et de réponse aadaptée au suivi des épileptiques.
Guide des Carrières et des Formations "IDE" 2014
Un métier règlementé
A l’instar des autres métiers de la santé, la profession infirmière fait partie des exercices règlementés par le Code de la Santé Publique.
L’infirmier « …donne habituellement des soins infirmiers sur prescription ou conseil médical ; ou en application du rôle propre qui lui est dévolu. L’infirmier ou l’infirmière participe à différentes actions, notamment en matière de prévention, d’éducation à la santé, de formation ou d’encadrement... » Art. L 4311-1 du Code de la Santé Publique.
Le diplôme d’Etat infirmier fait l’objet d’une réglementation au niveau européen qui permet d’exercer dans tous les Etats membres, mais aussi au Québec.
Un exercice diversifié
L’activité professionnelle, très diversifiée, s’effectue :
- Dans le secteur public ou privé :
- En milieu hospitalier.
- En extrahospitalier. Ì
- Dans le domaine sanitaire ou médicosocial.
- Dans le secteur libéral.
L’exercice hospitalier (environ 80 % des effectifs) ou en structure médico-sociale présente, au-delà de l’évolution des sciences et des techniques les caractéristiques suivantes :
- Une organisation du travail, fondée sur la continuité des soins, qui implique une présence permanente auprès des patients, avec un travail :
- La nuit.
- Les week-ends et jours fériés.
- Si l’activité « soins » reste importante, les tâches administratives et de gestion des stocks (médicaments, matériels de soins...) deviennent une composante incontournable de la profession.
- Un travail d’équipe pluri-professionnelle est indispensable à des soins de qualité.
Dix compétences infirmières
Le référentiel professionnel comprend :
- Un référentiel d’activités.
- Un référentiel de compétences :
1. Evaluer une situation clinique et établir un diagnostic dans le domaine infirmier.
2. Concevoir et conduire un projet de soins infirmier.
3. Accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens.
4. Mettre en oeuvre des actions à visée diagnostique et thérapeutique.
5. Initier et mettre en oeuvre des soins éducatifs et préventifs.
6. Communiquer et conduire une relation dans un contexte de soins.
7. Analyser la qualité et améliorer sa pratique professionnelle.
8. Rechercher et traiter des données professionnelles et scientifiques.
9. Organiser et coordonner les activités soignantes.
10. Informer, former des professionnels et des personnes en formation.
- un référentiel de formation (dont le contenu sera détaillé ultérieurement).
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Bilan du Projet régional de santé des ARS de Bourgogne et de Franche-ComtéDircomARSBFC
ce document présente le bilan des deux projets régionaux de santé des anciennes régions Bourgogne et Franche-Comté. Vous y trouverez les chiffres clés des thématiques suivantes: Assurer la sécurité sanitaire, protéger les cadre de vie des Bourguignons-Francs-Comtois, prévenir et dépister, améliorer la santé des jeunes, améliorer la prise en charge des personnes âgées, accompagner les personnes handicapées, accompagner les personnes exclues du système de santé, favoriser l’installation...
Conférence de France Laverdière, conseillère à la qualité, MSSS, et Vincent Dumez, codirecteur de la direction collaboration et partenariat patient - 24 novembre 2015
Revue "Guide des carrières et des formation IDE 2016" - Février 2016
Un métier règlementé
A l’instar des autres métiers de la santé, la profession infirmière fait partie des exercices règlementés par le Code de la Santé Publique.
L’infirmier « …donne habituellement des soins infirmiers sur prescription ou conseil médical ; ou en application du rôle propre qui lui est dévolu. L’infirmier ou l’infirmière participe à différentes actions, notamment en matière de prévention, d’éducation à la santé, de formation ou d’encadrement... » Art. L 4311-1 du Code de la Santé Publique.
Le diplôme d’Etat infirmier fait l’objet d’une réglementation au niveau européen qui permet d’exercer dans tous les Etats membres, mais aussi au Québec.
Un exercice diversifié
L’activité professionnelle, très diversifiée, s’effectue :
- Dans le secteur public ou privé :
En milieu hospitalier.
En extrahospitalier.
Dans le domaine sanitaire ou médicosocial.
- Dans le secteur libéral.
L’exercice hospitalier (environ 80 % des effectifs) ou en structure médico-sociale présente, au-delà de l’évolution des sciences et des techniques les caractéristiques suivantes :
- Une organisation du travail, fondée sur la continuité des soins, qui implique une présence permanente auprès des patients, avec un travail :
La nuit.
Les week-ends et jours fériés.
- Si l’activité « soins » reste importante, les tâches administratives et de gestion des stocks (médicaments, matériels de soins...) deviennent une composante incontournable de la profession.
- Un travail d’équipe pluri-professionnelle est indispensable à des soins de qualité.
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La révolution numérique et le parcours de santé Alain Tassy
La loi de modernisation du système de santé de janvier 2016 ouvre la porte à une véritable révolution en proposant de rebâtir tout le système autour du parcours de santé afin de mettre le patient au centre du dispositif et de favoriser la prévention.
Pour être mise en œuvre, cette nouvelle approche nécessite une évolution des pratiques et une coordination à distance de tous les professionnels de la santé. L’utilisation des technologies numériques représente alors une solution car elles permettent une coordination efficace. Le dossier médical partagé est absolument nécessaire et son appropriation par les professionnels est vital.
L’introduction du parcours de santé représente pour le monde médical une innovation organisationnelle comme le vivent de nombreux autres domaines du monde économique confrontés à la transformation digitale. On peut alors s’étonner que les projets gérés par les ARS soient lancés uniquement pour répondre à un problème identifié localement sans prendre en compte le passage à l’échelle nationale. On peut aussi s’étonner de l’absence de structure et d’un chef de projet responsables de la mise en place du parcours de santé.
Booster la gouvernance de la santé publique (Un défi de plus en plus pressant) Jamaity
La gouvernance de la santé influence le droit à la santé en son fondement et sa finalité. Tel
que défini dans l’article 12 du Pacte international relatif aux droits économiques sociaux et
culturels, le droit à la santé est un droit fondamental. Le problème de gouvernance et de
transparence prend de plus en plus de l’ampleur chez l’opinion publique en Tunisie et chez
l’élite politique qui l’aborde d’une manière si légère et simpliste.
« en vertu du droit à la santé, les gouvernements et les autorités sont tenus de mettre en
place des politiques et des plans d’action qui permettent à tous d’accéder le plus rapidement
possible à des soins de santé. La réalisation de cet objectif est un défi que doivent relever à la
fois la communauté des droits de l’homme et les professionnels de la santé publique. »
1
Dans son observation générale n° 14 (2000), le comité des droits économiques, sociaux et
culturels, chargé du suivi de la mise en œuvre du Pacte, considère le droit à la santé comme
étant un droit global. Ce droit n’implique pas uniquement la prestation de soins de santé
appropriés en temps opportun, mais aussi des facteurs fondamentaux déterminants de la
santé. L’accès à l’eau potable, l’accès à une quantité suffisante d’aliments sains, la nutrition et
le logement, l’hygiène du travail et du milieu, l’accès à l’éducation et à l’information relatives
à la santé constituent des déterminants du droit à la santé.
Le principe de la gouvernance implique quatre principaux groupes d’acteurs : professionnels
de santé, citoyens et élus, gestionnaires et financeurs, acteurs économiques2
. Un autre aspect
important est la participation de la population à la prise de toutes les décisions de santé aux
niveaux communautaire, national et international.3Cette approche donne au droit à la santé
une dimension multisectorielle qui nécessite la mise en place des structures et des
mécanismes capables de garantir l’intégration de la santé dans toutes les politiques.
Revue SNPHARE 76, Octobre 2016
L’« acte I » de la constitution des Groupements hospitaliers de territoire (GHT) a pris fin cet été avec la définition du périmètre des 135 GHT. Tout reste à construire, en premier lieu le projet médical partagé. L’hétérogénéité du périmètre des GHT et les diversités de contextes locaux démontrent qu’il ne peut y avoir de modèle unique et hiérarchique déterminé nationalement. Seul peut être fixé nationalement un objectif de convergence pertinent et en accord avec le projet médical partagé proposé par les acteurs de terrain. Car c’est bien ce projet médical partagé qui est la pierre angulaire de tout le dispositif.
En lien direct avec celui-ci dans la mesure où il influence l’exercice des professionnels, le développement professionnel continu est l’un des domaines prévus dans le décret qui évoque la « coordination des plans de formation continue et de développement professionnel continu des personnels des établissements parties au groupement ». De facto l’ensemble des professionnels soumis à l’obligation de DPC, exerçant dans un établissement membre du GHT est bien concerné.
CE QUI NE CHANGE PAS AVEC LES GHT
Le DPC a un lourd passé et sa version 2.0. constitue moins une tentative de le rendre soluble dans les GHT que de le rendre simple et digeste pour ses utilisateurs. Ainsi l’émergence des GHT ne bouleverse en rien les fondamentaux du DPC – rénové cet été par décret.
La manière de remplir son obligation de DPC
Les objectifs du DPC demeurent l’amélioration de la qualité des soins et des pratiques professionnelles. La réalisation d’un parcours de DPC concerne tous les professionnels de santé. Chaque professionnel de santé dispose de trois années pour réaliser un parcours de DPC qui devra inclure a minima, deux des trois types d’actions :
• actions de formation,
• actions d’évaluation et d’amélioration des pratiques,
• actions de gestion des risques.
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
« Panorama des acteurs du monde médical » meetup #PHIM12iPocrate
Présentation de à l'occasion du meet-up #PHIM12 - Paris Healthcare Innovation Meetup :
http://www.meetup.com/fr-FR/Paris-Healthcare-Innovation-Meetup/events/219876066/
« Panorama des acteurs du monde médical » par Justine Henry - Consultante Communication Santé - www.justinehenry.com
Comme chaque année, le rapport annuel d’activité de la Haute Autorité de Santé présente les chiffres clés de l’année passée et propose des focus sur ses productions et quelques faits marquants.
En 2013, la HAS a adopté son nouveau projet stratégique pour les 3 années à venir et poursuit son ambition de participer à la régulation du système de santé par la qualité et l’efficience. Elle a notamment débuté ses avis médico-économiques pour certains médicaments et dispositifs médicaux, créé une mission dédiée à la sécurité des patients, expérimenté le compte-qualité de la V2014 de la certification des établissements de santé et lancé le site d’information sur les hôpitaux et cliniques français, Scope Santé (www.scopesante.fr), à destination du grand public.
E-Santé : quels enjeux pour le professionnel de santé ?Driss AIT MANI
Présentation réalisée au Forum Derm@to Connecté du 2/02/2017 à Marseille, pour la Fédération Française de Formation Continue et d´Evaluation en Dermatologie-Vénéréologie (FFFCEDV)
Les propositions du rapport :
Le rapport souhaite imposer la démarche métier, qui procède du raisonnement suivant : Besoins - activités - compétences - métier formation - diplôme.
C’est à dire penser le métier à partir d’un référentiel d’activité, des besoins en compétences et des besoins de la population, et en déduire les référentiels de formation et les diplômes. Ces métiers seront construits à partir des métiers d’aujourd’hui, pas redondants avec un autre métier. Ils devront correspondre à un mode d’exercice professionnel et des responsabilités identifiées. Et surtout ils auront vocation à constituer à terme des professions médicales.
« Nouveaux métiers et coopérations entre professionnels de santé »
Conséquences sur la pratique de l’anesthésie.
Ce rapport publié récemment a pour but de faire des propositions pour « mettre en place une politique modernisée des ressources humaines en santé ».
Ceci en créant des professions de santé de niveau intermédiaire, par une méthode rigoureuse de validation et en intégrant nécessairement ces formations à l’enseignement supérieur.
reseauprosante.fr
Plan d’attractivité et GHT : un entretien avec la directrice générale de la DGOSRéseau Pro Santé
Revue "Avenir Hospitalier n°5" Juilllert 2016
En 2011, alors directrice d’hôpital, Anne-Marie Armanteras-de-Saxcé a été consignataire du manifeste pour une santé égalitaire et solidaire1. Cinq ans plus tard, pourra-t-elle atteindre des objectifs qu’énonçait clairement ce manifeste en matière d’accès aux soins et de démocratie sanitaire ? Nous avons demandé à la nouvelle Directrice Générale de la DGOS de répondre à nos questions. Vous retrouverez l’intégralité des questions et leurs réponses en allant sur (http://www.avenir-hospitalier.fr/index.php? option=com_content&view=article&layout= edit&id=323).
AH : Vous allez déployer les mesures réglementaires déclinées du plan attractivité. La totalité des outils d’attractivité serait donc disponible dès novembre ?
AM. Armanteras-de-Saxcé :Le programme de travail arrêté avec les membres du groupe de suivi du plan d’action attractivité reposait sur un calendrier de mise en œuvre des mesures échelonné entre 2016 et 2017. Les mesures les plus attendues seront finalisées cet été pour mise en œuvre à l’automne, en particulier :
• l’harmonisation de la couverture maladie et maternité des assistants, chefs de clinique et praticiens contractuels avec celle des PH;
• la création d'une prime d'engagement de carrière hospitalière ;
• la création de la prime d'exercice territorial. Cette mesure modernisera profondément l’actuel régime de la prime multisites pour mieux reconnaître les activités partagées entre établissements et accompagner les dynamiques de territoires dans le cadre de la création des GHt. Cette dynamique territoriale est renforcée par l’augmentation de 100 postes du nombre d'assistants spécialistes, dont les 50 premiers seront ouverts dès le 1ernovembre 2016 ;
(...)
http://www.reseauprosante.fr/
INTERVIEW Anne-marie ARMENTERAS DE SAXCE - Directrice générale DGOSRéseau Pro Santé
Revue "Le Mag de l'INPH" n°8 - INPH - Décembre 2016
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Pour le côté formel des choses, il s’agit d’une nomination en conseil des ministres. Pour ce qui est du choix de la personne - et en particulier me concernant - il est difficile de répondre à la place des intéressés, au premier rang desquels la ministre. L’analyse que je peux en faire n’est pas spécifique au poste : c’est la rencontre entre d’un côté les besoins spécifiques d’un moment et, de l’autre, l’expérience et les compétences acquises.
Sous l’angle du parcours professionnel et de l’engagement personnel pour exercer des responsabilités d’équipes et de programmes, les fonctions de directrice de l’offre de soins et médico-sociale à l’ARS d’Ile-de-France, après une carrière hospitalière variée, auront été déterminantes. Ma nomination est venue rencontrer un moment particulier, celui de la préparation puis de la création des GHT, des nombreuses mesures de la loi de modernisation de notre système de santé, de la poursuite du plan triennal, de la concertation avec toutes les parties prenantes. Mais surtout - car le sens est important - la projection d’une vision fondamentale pour ce qui concerne la DGOS : celle de l’organisation territoriale de l’offre de soins. (...)
http://www.reseauprosante.fr
Interview Anne Marie Armenteras De Saxce - Directrice générale DGOSRachel Bocher
Comment devient-on directrice générale de l’offre de soins ?
Quelles sont les missions de la directrice générale et qui concernent directement les PHs ?
This paper revisits the relationship between health and growth in light of modern endogenous growth theory. We propose an unified framework that encompasses the growth effects of both, the accumulation and the level of health. Based on cross-country regressions where we instrument for both variables, we find that a higher initial level and a higher rate of improvement in life expectancy, both have a significantly positive impact on per capita GDP growth.
In its role of think tank and within the framework of the “Assises du Médicament”, the LIR considered useful to make realize by the researchers of the ESSEC an international study on the policies of management of conflicts of interests.
Four reglementations were studied : United States, Great Britain, Germany and Sweden.
Travaux LIR-BIPE présentés à la Presse le 24 septembre 2009 sur
Le Marché du Médicament remboursable (S1-2009) et la Consommation de médicaments en France
Impact sur la_longevite_et_croissance_economiqueAssociation LIR
Les déficits cumulés de notre système d’assurance maladie, le vieillissement de notre population, l’augmentation de son espérance de vie, et l’augmentation des coûts associés à l’apparition de nouveaux équipements, posent avec acuité le problème du financement des dépenses de santé.
Si différentes réformes ont été introduites au cours des dernières années pour stabiliser nos dépenses de santé, les effets potentiels sur le secteur de la santé, l’innovation dans les industries et la croissance, ont trop rarement fait l’objet d’analyses approfondies.
Maladie d’Alzheimer, accident vasculaire cérébral, arthrose... Autant de pathologies que chacun d’entre nous connaît, parce qu’elles peuvent toucher une relation, un ami, un parent. Toutefois, la perception qu’on peut en avoir lorsqu’un de nos proches est affecté est largement indépendante du poids de la maladie dans la population générale même si elle est bien évidemment liée aux modalités actuelles de prise en charge.
Capitaliser sur les résultats de l’Enquête 2008
Attractivité de la France au sein de la Recherche Clinique Internationale conduite par le Leem pour conduire une analyse comparative
entre les données des adhérents du LIR
et celles de l’ensemble des participants de l’Industrie
Consommation de medicaments_dans_5_pays_europeensAssociation LIR
Le niveau de consommation de médicaments en France est souvent considéré comme étant l’un des plus importants d’Europe. Cette étude cherche à vérifier la persistance de cette affirmation sur la période 2000-2004 en comparant les niveaux de consommation de 7 classes de médicaments en Allemagne, Espagne, France, Italie et Royaume-Uni. Non seulement la France n’était plus en 2004 le premier consommateur dans les 7 classes étudiées mais on constate un rapprochement aussi bien des niveaux de consommation que des structures de consommation entre les 5 pays.
Joignez-vous aux lauréates 2024 des Bourses d’application des connaissances pour étudiants du Centre de collaboration nationale en santé publique (CCNMO) afin de prendre directement connaissance de leurs travaux essentiels permettant de combler l’écart entre la recherche et la pratique. Ces étudiantes et ces nouvelles diplômées dirigent des stratégies d’application des connaissances novatrices. Cette séance souligne leur excellence scolaire et met de l’avant des stratégies uniques et transférables pour s’attaquer aux priorités actuelles en matière de santé publique.
Hannah Bayne, Université de l’Alberta – Supporting tomorrow’s stewards: A knowledge mobilization project for climate-health literacy in Alberta elementary schools [Soutenir les intendants et intendantes de demain : un projet de mobilisation des connaissances en faveur de la littératie climat-santé dans les écoles primaires de l’Alberta]
Miranda Field, Université de Regina – Decolonized theory of place [La théorie du lieu décolonisée]
Jordan Chin, Université McMaster – The art of creation: An arts-based knowledge translation method to promote and advocate for a healthy start to life [L’art de la création : une méthode d’application des connaissances fondée sur les arts pour promouvoir et défendre un bon départ en santé]
1. Document produit par le LIR - mai 2014 1/2
MESURE PRIORITAIRE 3
VALORISER LES ORGANISATIONS D’EXERCICE REGROUPÉ ET COORDONNÉ
La structuration du champ des soins du premier recours peut apporter des résultats
concrets plus rapidement que dans les secteurs hospitalier et médico-social en
matière de réduction des inégalités, d’amélioration de la qualité du service rendu et
d’efficience du système. En s’y attachant de manière volontariste, les décideurs -au
national et en région- pourront répondre aux besoins de la population et aux
aspirations des jeunes professionnels de santé et ainsi prendre en compte les
évolutions démographiques, comportementales, épidémiologiques et des pratiques
médicales. De plus, cette structuration peut permettre de relever le pari d’une
médecine de parcours.
La place de la structure d’exercice regroupé et coordonné dans le parcours des
patients doit être valorisée. Les équipes doivent être formées à la notion de
parcours de santé et de soins. Un aspect fondamental à court terme est celui de la
capacité des professionnels du premier recours à travailler en mode projet sur les
parcours aux côtés des secteurs hospitaliers et médico-social et social. Il en va de la
capacité à mettre en œuvre des expérimentations évaluables autour des nouvelles
modalités de prise en charge des pathologies chroniques et du vieillissement qui
pourraient, en cas de succès être adoptées en routine. Les démarches qualité
doivent être injectées dans le secteur ambulatoire.
PRÉSENTATION DE LA MESURE : CONSENSUS, ENJEUX, PERTINENCE DANS LE CADRE
DE LA SNS
Une mesure qui valoriserait la place des usagers
Les nouveaux enjeux de la démocratie sanitaire sont au cœur de la SNS.
L’expression de la "démocratie sanitaire" (demande sociale, appropriation par le
patient, formes et lieux d'éducation sanitaire) mérite d’être accompagnée. Au-delà
des travaux partenariaux réalisés avec le CISS, l’innovation pourrait passer par la
généralisation de la création de commissions des Relations avec les Usagers pour la
Qualité de la Prise en Charge en soins de 1er recours à l’instar de ce qui se fait
dans les établissements de santé.
Les entreprises du LIR estiment que la montée en compétence des usagers/patients
et leur capacité à mieux maitriser leur parcours avec les soignants permettrait de
gagner en efficacité dans la prise en charge des maladies chroniques et dans
l’orientation dans le système de santé.
La possibilité de développer une éducation thérapeutique proche du patient serait
facilitée par cette mesure.
2. Document produit par le LIR - mai 2014 2/2
Des liens entre les CROQPC de 1er recours et celles des établissements de santé
d’un territoire permettrait également de fluidifier les entrées et sorties
d’hospitalisation par une meilleure connaissance et une circulation des informations
PROPOSITIONS CONCRÈTES
Propositions
Inclure dans le projet de loi des modalités instaurant, favorisant et encadrant des
Commission des Relations avec les Usagers pour la Qualité de la Prise en Charge
(CRUQPC) de 1er
recours dans toutes les structures d’exercice regroupé (centres, pôles
et maisons de santé)
Exposé des motifs
A l’instar des établissements de santé, les patients auraient une instance interne
permettant à la fois de traiter les réclamations des usagers fréquentant une structure
d’exercice regroupé, mais aussi d’assurer l’efficience de la qualité de la prise en
charge transversale des patients, au travers d’un exercice coordonné avec tous les
acteurs de santé. Leur participation permettrait également de créer un lien différent
avec les professionnels. Cette CRUQPC de 1er recours pourrait être aussi installée
dans le cadre des instances de Contrats Locaux de Santé comprenant des structures
d’exercice regroupé et coordonné.
La CRUQPC se réunirait à intervalle régulier et réaliserait une fois par an la synthèse
des réclamations, médiations et actions menées au sein de la structure d’exercice
regroupé. Elle proposerait si nécessaire, à l’ensemble des Professionnels de santé,
des actions d’amélioration des droits individuels et collectifs des usagers et de la
qualité de prise en charge. Elle effectue une synthèse du retour des questionnaires de
satisfaction.
Au-delà de problèmes personnels que pourrait traiter cette instance, la CRUQPC de 1er
recours pourrait avoir un rôle dans les actions de la structure d’exercice regroupé
(maison, centre ou pôle de santé)
• Education en Santé/prévention/ETP : Les membres de la CRUQPC
participeraient avec l’ensemble des Professionnels de santé, à l’élaboration des
actions menées en Education en santé, prévention et ETP. Ils feraient le lien
entre la structure d’exercice regroupé, les associations de patients et les
autres acteurs intégrés aux projets et actions, par l’intermédiaire d’un
coordonnateur des projets patients.
Pour toute information complémentaire
Agnès Soubrier - Directrice Générale du LIR
agnes.soubrier@lir.asso.fr - 06 88 06 66 76
Centre d'affaires Trocadéro - 112 avenue Kléber - 75084 PARIS cedex 16