LE PLAN DE RELANCE REGIONAL D’URGENCE :
POUR DIRE NON A LA MOROSITE ECONOMIQUE
Le Plan de Relance Régional d’Urgence initié en cette nouvelle mandature du Conseil Régional est avant tout une réponse à la situation économique de la Martinique qui s’est particulièrement dégradée sur les deux dernières années. Depuis 2008, la Martinique affiche en effet, des indicateurs qui traduisent une entrée en récession économique avec une diminution sensible du PIB. Les effets de la crise mondiale et les évènements de 2009 ont pesé sur une conjoncture martiniquaise déjà structurellement fragile. L’augmentation du taux de chômage, qui avoisine désormais les 25 % est l’indicateur le plus visible de cette dégradation. Le chômage des jeunes quant à lui s’aggrave passant pour les moins de 27 ans de 53 à 61 % au cours des deux dernières années.
Face à cette situation, le Plan de Relance Régional d’Urgence propose de générer à court terme un volume d’affaires, en particulier, via la commande publique, susceptible d’induire un retour à l’activité et à l’emploi conséquent. Dans cette perspective, le Conseil Régional a bâti un programme partenarial d’opérations qui a consisté à rendre opérationnels les projets de travaux des institutions publiques (communes, EPCI, bailleurs et opérateurs sociaux, Conseil régional,…). Les projets soumis ont été sélectionnés selon leur capacité à être rapidement réalisables et surtout à générer de l’emploi. Cet ensemble d’opérations vise le développement des équipements de proximité et culturels, le désenclavement des quartiers, la dynamisation de l’activité économique des bourgs, la mise en sécurité des populations, la réhabilitation d’écoles, la mise en place d’infrastructures sportives,…
Ouvrir les portes d’un dialogue nouveau fondé sur le respect démocratique, dans le cadre d’échanges constructifs avec les élus, tel est aussi l’un des vecteurs de ce plan de relance. L’exécutif régional a entamé dès sa prise de fonction, un « marathon des communes» afin de rencontrer les acteurs du développement territorial. Il ressort de cette concertation diverses problématiques locales, un bouillonnement de projets territoriaux et une ingénierie propre, véritables fers de lance de cette démarche.
Le Plan de Relance d’Urgence s’articule autour de trois volets : la commande publique avec les projets des communes et des EPCI, des bailleurs et opérateurs sociaux ; le soutien conjoncturel aux entreprises et collectivités ; les projets d’intérêt régional.
ImpactTER est un outil d'analyse d'impact territorial des activités économiques et politiques publiques.
Il permet de fournir une vision de l'empreinte et des liens existant entre nos clients et leur territoire, et apporte un éclairage nouveau sur leurs stratégies et comment les rendre plus résilientes, innovantes et intégrées.
Au sommaire de ce numéro de juillet : interviews d'entreprises (BoulangerieLa Station, sandrine De Courcy, Groix et nature, Armor Loc Service, Apply Carbon, ferme Le Beller, CMOA) , revue de presse, agenda... et en double page centrale un reportage en images sur Lorient Port à sec.
Bilan des 3 ans de collaboration entre la Communauté de Communes de l'île d'Oléron (engagée dans un Agenda 21 local) et l'association Roule ma frite 17 autour de la revalorisation en circuit-court et sans chimie des huiles alimentaires usagées.
Le travail mené localement vise à créer et structurer une nouvelle filière au niveau national afin : I/ de créer de l'emploi dans les métiers du recyclage, II/ réutiliser localement un additif au diesel et/ou au fioul pour des besoins sociaux locaux identifiés et III/ proposer une alternative concrète aux produits hydrocarburés dans les métiers de l'énergie et dans le secteur innovant de la chimie verte.
Au niveau national, le gisement français des huiles alimentaires usagées est estimé par la Fédération nationale des corps gras à 170 000 tonnes. Véolia indique dans ses communications que, à l'heure actuelle (1er semestre 2013), 40 % maximum du gisement est capté.
Afin de structurer une offre territoriale efficace, le réseau national des antennes Roule ma frite présentes à Oléron, Limoges, St-Nazaire, Charleville-Mézières, Saintes, Toulouse et Perpignan (création en cours dans le Finistère, à Dijon et en Corse) passe actuellement en fédération.
La Fnarep (Fédération nationale des acteurs du recyclage de proximité) verra ainsi le jour officiellement à la fin de l'année civile 2013. Elle a trois missions précises : I/ lutter efficacement contre l'utilisation d'huile de palme dans les métiers de bouches (présence dans les huiles et dans les frites), II/ mener des actions de lobbying vis-à-vis des services de l'Etat (Direction Générale Energie Climat et Direction Générale des Droits Indirects) pour élargir le mix-énergétique national et III/ accompagner le développement et la structuration des antennes locales pour créer des éco-systèmes locaux à forte valeur ajouté.
L'ensemble des documents liés à ces actions sont mis en ligne sur www.roulemafrite17.org. Ce travail s'inscrit dans les démarches dites d'entrepreneuriat social afin de créer un modèle économique pérenne tout en maximisant les impacts sociaux obtenus.
Dents creuses et friches dans les zones d’activités du pays de Lorient : un g...AudéLor
Les zones d’activités économiques (ZAE) constituent un facteur essentiel du développement économique d’un territoire pour certains types d’activités. La création de nouvelles zones est donc indispensable, c’est pourquoi 200 nouveaux hectares sont inscrits à horizon 2037 dans le SCoT du pays de Lorient arrêté le 23 mai 2017.
Cependant, à l’intérieur des zones d’activités existantes, un gisement foncier en renouvellement urbain existe et peut être utilisé pour accueillir des entreprises. Ce gisement, estimé à 44 ha actuellement, est constitué de dents creuses et de friches. Il représente 3 % de la surface totale des ZAE du pays de Lorient.
ImpactTER est un outil d'analyse d'impact territorial des activités économiques et politiques publiques.
Il permet de fournir une vision de l'empreinte et des liens existant entre nos clients et leur territoire, et apporte un éclairage nouveau sur leurs stratégies et comment les rendre plus résilientes, innovantes et intégrées.
Au sommaire de ce numéro de juillet : interviews d'entreprises (BoulangerieLa Station, sandrine De Courcy, Groix et nature, Armor Loc Service, Apply Carbon, ferme Le Beller, CMOA) , revue de presse, agenda... et en double page centrale un reportage en images sur Lorient Port à sec.
Bilan des 3 ans de collaboration entre la Communauté de Communes de l'île d'Oléron (engagée dans un Agenda 21 local) et l'association Roule ma frite 17 autour de la revalorisation en circuit-court et sans chimie des huiles alimentaires usagées.
Le travail mené localement vise à créer et structurer une nouvelle filière au niveau national afin : I/ de créer de l'emploi dans les métiers du recyclage, II/ réutiliser localement un additif au diesel et/ou au fioul pour des besoins sociaux locaux identifiés et III/ proposer une alternative concrète aux produits hydrocarburés dans les métiers de l'énergie et dans le secteur innovant de la chimie verte.
Au niveau national, le gisement français des huiles alimentaires usagées est estimé par la Fédération nationale des corps gras à 170 000 tonnes. Véolia indique dans ses communications que, à l'heure actuelle (1er semestre 2013), 40 % maximum du gisement est capté.
Afin de structurer une offre territoriale efficace, le réseau national des antennes Roule ma frite présentes à Oléron, Limoges, St-Nazaire, Charleville-Mézières, Saintes, Toulouse et Perpignan (création en cours dans le Finistère, à Dijon et en Corse) passe actuellement en fédération.
La Fnarep (Fédération nationale des acteurs du recyclage de proximité) verra ainsi le jour officiellement à la fin de l'année civile 2013. Elle a trois missions précises : I/ lutter efficacement contre l'utilisation d'huile de palme dans les métiers de bouches (présence dans les huiles et dans les frites), II/ mener des actions de lobbying vis-à-vis des services de l'Etat (Direction Générale Energie Climat et Direction Générale des Droits Indirects) pour élargir le mix-énergétique national et III/ accompagner le développement et la structuration des antennes locales pour créer des éco-systèmes locaux à forte valeur ajouté.
L'ensemble des documents liés à ces actions sont mis en ligne sur www.roulemafrite17.org. Ce travail s'inscrit dans les démarches dites d'entrepreneuriat social afin de créer un modèle économique pérenne tout en maximisant les impacts sociaux obtenus.
Dents creuses et friches dans les zones d’activités du pays de Lorient : un g...AudéLor
Les zones d’activités économiques (ZAE) constituent un facteur essentiel du développement économique d’un territoire pour certains types d’activités. La création de nouvelles zones est donc indispensable, c’est pourquoi 200 nouveaux hectares sont inscrits à horizon 2037 dans le SCoT du pays de Lorient arrêté le 23 mai 2017.
Cependant, à l’intérieur des zones d’activités existantes, un gisement foncier en renouvellement urbain existe et peut être utilisé pour accueillir des entreprises. Ce gisement, estimé à 44 ha actuellement, est constitué de dents creuses et de friches. Il représente 3 % de la surface totale des ZAE du pays de Lorient.
Transmedia en 2014 : rapport de mission au Forum BlancPhilippe KHATTOU
Le présent document vise à présenter quels sont les principaux constats, discussions et études de cas ayant été présentées lors de cette 5e Édition du Forum Blanc. On y parle de l’avenir du transmédia, un résumé des principales présentations et un lot d’études de cas.
Source => http://www.gotoast.ca/blog/2014/03/le-transmedia-en-2014-rapport-de-mission-au-forum-blanc-pdf/
Vison dynamique et geographique de l'epidemie ebolaJan-Cedric Hansen
3 slides qui montrent que la présente épidémie genre en 6 mois autant de cas et de décès qu'en près de 40 ans ! que la cinétique de propagation est exponentielle en Sierra-Leone et au Liberia alors quelle est linéaire en Guinée; que les cas sont regroupés le long des corridors de circulation et des voies de cabotage des 3 pays concernés.
Capcom13: GF1: Accompagner les nouvelles mobilités : communication, transport...Cap'Com
Comment la mobilité peut donner du sens au territoire ?
Mobilité et communication sont consubstantielles. Elles partagent l’objectif de relier les hommes et de rendre communs les territoires sur lesquels ils vivent. La mobilité dessine les nouveaux territoires – on pense aux futures métropoles – structure les bassins de vie et façonne les identités. Comment valoriser d’un côté l’interconnexion des territoires et l’hyper-proximité de l’autre ? Comment donner du sens à des démarches de désenclavement des territoires qui se révèlent parfois anxiogènes ? Comment faire que les transports permettent à chacun de lire autrement son territoire ?
Charles-Marie Boret, consultant, ancien dircom
Xavier Tersen, directeur de la communication Transdev Sud Ouest
Bruno Le Corre, agence d'urbanisme de Rennes.
Sébastien Guimard, coopérative d’étude Arais
Transmedia en 2014 : rapport de mission au Forum BlancPhilippe KHATTOU
Le présent document vise à présenter quels sont les principaux constats, discussions et études de cas ayant été présentées lors de cette 5e Édition du Forum Blanc. On y parle de l’avenir du transmédia, un résumé des principales présentations et un lot d’études de cas.
Source => http://www.gotoast.ca/blog/2014/03/le-transmedia-en-2014-rapport-de-mission-au-forum-blanc-pdf/
Vison dynamique et geographique de l'epidemie ebolaJan-Cedric Hansen
3 slides qui montrent que la présente épidémie genre en 6 mois autant de cas et de décès qu'en près de 40 ans ! que la cinétique de propagation est exponentielle en Sierra-Leone et au Liberia alors quelle est linéaire en Guinée; que les cas sont regroupés le long des corridors de circulation et des voies de cabotage des 3 pays concernés.
Capcom13: GF1: Accompagner les nouvelles mobilités : communication, transport...Cap'Com
Comment la mobilité peut donner du sens au territoire ?
Mobilité et communication sont consubstantielles. Elles partagent l’objectif de relier les hommes et de rendre communs les territoires sur lesquels ils vivent. La mobilité dessine les nouveaux territoires – on pense aux futures métropoles – structure les bassins de vie et façonne les identités. Comment valoriser d’un côté l’interconnexion des territoires et l’hyper-proximité de l’autre ? Comment donner du sens à des démarches de désenclavement des territoires qui se révèlent parfois anxiogènes ? Comment faire que les transports permettent à chacun de lire autrement son territoire ?
Charles-Marie Boret, consultant, ancien dircom
Xavier Tersen, directeur de la communication Transdev Sud Ouest
Bruno Le Corre, agence d'urbanisme de Rennes.
Sébastien Guimard, coopérative d’étude Arais
Aménager et gérer durablement un parc d'activités arpe pacaRAREreseau
Le cadre de référence de l’aménagement et la gestion durable des parcs d’activités, réalisé par l’Agence Régionale Pour l’Environnement et l’écodéveloppement, a été co-construit avec des acteurs économiques, des professionnels de l’aménagement du territoire, de l’urbanisme, de l’environnement, des aménageurs publics et privés afin de confronter les discours et trouver ensemble des solutions répondant aux enjeux de chacun :
Maintenir et attirer les entreprises sur son territoire
Aménager judicieusement son territoire pour accueillir les entreprises et leurs salariés
Lutter contre le gaspillage de foncier et de ressources
Préserver et valoriser le paysage et la qualité de vie locale
Favoriser les liens et le dialogue entre les entreprises et leur territoire
Améliorer le quotidien des salariés
Piscine Couverte, Salle de Spectacle & Espace "Entreprendre" : notre premier Grand Projet !
• Vous connaissez, en France, une ville de 20 000 habitants, avec 5 écoles primaires, un collège, un lycée et qui n’a pas de piscine couverte ?
• Une ville qui n’a créé aucun immeuble de bureaux depuis 25 ans ?
• Une ville "Cité des Arts" sans salle de spectacle, ni vrai pôle d’activités culturelles ?
• Une ville qui met des rues en sens unique sans réfléchir aux voies de contournement ?
• Une ville qui multiplie et dissémine les lieux d’activités sans rationalité, notamment budgétaire ?
Pourtant, notre ville est propriétaire d'un terrain de plus de 2 hectares - situé à moins de 300 mètres de la Cité Historique - et situé à un emplacement stratégique : le parking de la Ferrage.
Voici nos 7 propositions…
Sans augmentation de la fiscalité locale, nous créerons :
1. Une liaison routière entre Emile Hugues et Colonel Meyère
2. 360 places de parking souterrain, desservies par cette liaison routière, 30 places gratuites supplémentaires sur le parking de la gendarmerie et 100 places de parking gratuites au vallon Sainte Anne
3. Une couverture amovible pour la piscine municipale
4. Un pôle "Bien-être & Remise en forme", relié à notre piscine
5. Un pôle culturel et une salle de spectacle (« L’Espace Matisse » et la salle « Célestin Freinet »)
6. Un centre d’affaires de 1500m2 dont 500m2 bureaux partagés ("fab lab" et "co-working" : « L’Atelier »)
7. Une place en plein air et 3000m2 d’espaces verts.
Ce projet d'avenir permettra :
• Une nette amélioration des problèmes de stationnement et de circulation sur l'avenue Emile Hugues et la place Maréchal Juin
• De "fixer" à Vence des créateurs d’entreprises, des actifs télétravailleurs, des cadres itinérants, des consultants indépendants, et ce afin de créer des emplois
• De stimuler le commerce local
• De transformer un espace de bitume et de voitures sous-exploité en un vrai quartier, et ce pour plus de bien-être et de culture,
• De proposer, sans augmenter les impôts, un investissement public pour tous les Vençois, attendu par tous et accessible à tous
L'économie verte. Des dynamiques partagées dans le pays de Lorient-Quimperlé....AudéLor
AudéLor dresse ici un panorama des entreprises et associations locales qui participent au développement d’une économie verte, c’est-à-dire qui orientent leurs activités (ou un segment de leurs activités) vers une production de biens ou de services participant à :
- gaspiller moins de ressources,
- et/ou à diminuer les émissions de gaz à effet de serre.
La première Rencontre des tiers-lieux de l'estuaire s'est tenue le vendredi 1er avril 2022 à la cité numérique au Havre. Cette première édition a été un succès avec plus de 80 participants, rassemblant tiers-lieux, intercommunalités et partenaires.
Cette initiative permettra de poursuivre l'action du Pôle sur le sujet des tiers-lieux, leviers d'attractivité de nos territoires dans les nouveaux modes de vie et de travail.
Pour en savoir plus : https://www.estuairedelaseine.fr/rencontre-tiers-lieux/
Éco Actu n°26 - Des entreprises innovantes sur un territoire innovant !AudéLor
Au sommaire de ce numéro spécial Innovation au Pays de Lorient : une stratégie de territoire, une mobilisation collective, un réseau collaboratif, un territoire innovant !
Des entreprises qui innovent :
Hors filières : Puzzle Lab, La Colloc, Hearstill,
Filière Numérique & Électronique : Vity Technology, La Tour Azur
Filière Agro-Terre & Mer : Apak & Cadk, 5° Ouest, Optim ISM
Filière Nautisme & Matériaux : Nautix, Add-Modules
Filière CRN & EMR : Hydrofan, SEM Lorient Kéroman
Filière ÉcoActivités & Énergie : Turbiwatt, les Recycleurs bretons.
Éco actu, revue économique de l'agglomération lorientaise publiée par AudéLor.
Actualités du second semestre 2016 de notre intercommunale qui fêtait ses 70 ans et profitait donc de l'occasion pour présenter un historique de ses métiers.
Actes du Séminaire du Parc des Coteaux Rive Droite (31 mai 2011)Jaime Larivedroite
Actes du 1er Séminaire du Parc des Coteaux, le 31 mai 2011 à Bassens, Gironde.
Le Grand Projet des Villes – Rive Droite proposait le 31 mai 2011 une journée d’information et de travail consacrée au parc des Coteaux, à ses aménagements, sa gestion, son animation, sa promotion, son rôle dans le développement et le rayonnement de la Rive Droite et dans la préservation du cadre de vie.
le parc des Coteaux, colonne végétale de la Rive Droite
Représentant 400 hectares d’espace vert en coeur d’agglomération, les coteaux de la Rive Droite, espace naturel protégé, deviennent au fil du temps et des projets, un parc urbain, le lien vert qui relie et irrigue les 4 communes du GPV et un marqueur identitaire fort
« Fort-de-France, une Ville Capitale au rendez-vous de la rénovation urbaine et de la modernité »
Capitale administrative, centre économique, pôle d’accueil, Fort-de-France, avec ses 94 000
Habitants constitue véritablement un « cœur du pays », une capitale. Fort-de-France fait aujourd’hui l’objet d’un vaste chantier de renouvellement urbain dont la stratégie s’inscrit dans un registre de développement global, durable et partagé. Il ne se résume pas à une approche d’aménagement urbain sectoriel, mais bien à une approche horizontale, avec des déclinaisons dans le domaine économique, environnemental, social, culturel et aussi dans le domaine de la coopération régionale, compte tenu de la situation géographique privilégiée de Fort de- France au cœur de la Caraïbe.
Plus que de rénovation urbaine, nous parlons ici souvent « réconciliation urbaine », car nul ne croyait plus en la ville, confrontée au dépeuplement, à l’exclusion sociale, à la dévitalisation économique, à des difficultés budgétaires et une réelle « dégradation urbaine » dus a un isolement politique d’aimé Césaire, de tous bords.
Au refus de la fatalité a succédé le retour à la confiance : Fort-de-France est désormais transformée en un vaste chantier, dont les effets sont d’ores et déjà visibles et effectifs.
La Ville a engagé avec ses partenaires des actions de développement social et d’insertion en faveur des populations défavorisées, mises en œuvre notamment à travers le CUCS, Contrat Urbain de Cohésion Sociale. Il s’agit là de réduire les écarts de développement entre les territoires prioritaires et leur environnement, d’améliorer la vie quotidienne des habitants de ces quartiers, d’y favoriser l’égalité des chances, et, surtout, de mettre en avant la capacité d’initiative et d’innovation sociale, économique et culturelle des habitants.
Ajoutons à ceci le grand chantier de l’accessibilité, du transport et du stationnement.
Un chantier qui avance, avec l’arrivée du TCSP, transport en commun en site propre, l’aménagement de parkings provisoires et de dissuasion, l’amélioration des transports maritimes dans le cadre du Plan de Déplacements Urbains de la CACEM, Communauté d’Agglomération du Centre de la Martinique.
Rappelons enfin la dimension culturelle, patrimoniale et identitaire qui nous amène à redécouvrir une histoire singulière, ses événements et ses personnalités, ses luttes et ses savoir-faire, tout un héritage que l’on retrouve dans la restauration d’une architecture ou la réappropriation de sites patrimoniaux.
Ces deux diaporamas illustrent l’ampleur des chantiers en cours pour que Fort de France passe d’une Ville en chantier à une Ville enchantée.
La rénovation urbaine les grands projetslafontaine
« Fort-de-France, une Ville Capitale au rendez-vous de la rénovation urbaine et de la modernité »
Capitale administrative, centre économique, pôle d’accueil, Fort-de-France, avec ses 94 000
Habitants constitue véritablement un « cœur du pays », une capitale. Fort-de-France fait aujourd’hui l’objet d’un vaste chantier de renouvellement urbain dont la stratégie s’inscrit dans un registre de développement global, durable et partagé. Il ne se résume pas à une approche d’aménagement urbain sectoriel, mais bien à une approche horizontale, avec des déclinaisons dans le domaine économique, environnemental, social, culturel et aussi dans le domaine de la coopération régionale, compte tenu de la situation géographique privilégiée de Fort de- France au cœur de la Caraïbe.
Plus que de rénovation urbaine, nous parlons ici souvent « réconciliation urbaine », car nul ne croyait plus en la ville, confrontée au dépeuplement, à l’exclusion sociale, à la dévitalisation économique, à des difficultés budgétaires et une réelle « dégradation urbaine » dus a un isolement politique d’aimé Césaire, de tous bords.
Au refus de la fatalité a succédé le retour à la confiance : Fort-de-France est désormais transformée en un vaste chantier, dont les effets sont d’ores et déjà visibles et effectifs.
La Ville a engagé avec ses partenaires des actions de développement social et d’insertion en faveur des populations défavorisées, mises en œuvre notamment à travers le CUCS, Contrat Urbain de Cohésion Sociale. Il s’agit là de réduire les écarts de développement entre les territoires prioritaires et leur environnement, d’améliorer la vie quotidienne des habitants de ces quartiers, d’y favoriser l’égalité des chances, et, surtout, de mettre en avant la capacité d’initiative et d’innovation sociale, économique et culturelle des habitants.
Ajoutons à ceci le grand chantier de l’accessibilité, du transport et du stationnement.
Un chantier qui avance, avec l’arrivée du TCSP, transport en commun en site propre, l’aménagement de parkings provisoires et de dissuasion, l’amélioration des transports maritimes dans le cadre du Plan de Déplacements Urbains de la CACEM, Communauté d’Agglomération du Centre de la Martinique.
Rappelons enfin la dimension culturelle, patrimoniale et identitaire qui nous amène à redécouvrir une histoire singulière, ses événements et ses personnalités, ses luttes et ses savoir-faire, tout un héritage que l’on retrouve dans la restauration d’une architecture ou la réappropriation de sites patrimoniaux.
Ces deux diaporamas illustrent l’ampleur des chantiers en cours pour que Fort de France passe d’une Ville en chantier à une Ville enchantée.
Audit de la gestion budgétaire et comptable région martinique 2009lafontaine
Nous savons que la politique économique menée par l’équipe qui nous a précédés ici, l’ancienne équipe, a abouti à un échec total, et nous en connaissons les raisons.
2. AC C O M P AG N E R
E T C O N TIN U E R D E C R O IR E
E N U N D E VE LO P P E M E N T
Q U I AC C O R D E S A C O N F IAN C E
A L’IN ITIATIVE M AR TIN IQ U AIS E
3. LAN C E M E N T D E
1 7 ZO N E S D ’AC TIVITE S
E C O N O M IQ U E S
4. 1 7 ZO N E S R E P AR TIE S S U R
L’E N S E M BLE D U TE R R ITO IR E
5. NORD ATLANTIQUE
• Sainte-Marie : 12 ha
• Lorrain: 1,2 ha
NORD CARAIBE :
• Bellefontaine : 2,2 ha
• Case Pilote : 2,5 ha
CENTRE :
• Fort de France Volga Plage : 0,7ha
• Fort de France Etang Z’Abricot : 7,7 ha
• Fort de France Trompeuse : 8,4 ha
• CACEM parc Technologique Environnemental : 2 ha
• Pole Technologique de Kerlys : 4 ha
• Lamentin Mangot Vulcin 1 : 5,2 ha
• Lamentin Mangot Vulcin 2 : 30 ha SUD
• Saint-Joseph Choco Choisy : 8 ha • Rivière-Salée (Maupéou) : 9.5 ha
• Schoelcher Case Navire : 6 ha • Vauclin (Sigy) : 1,2 ha
• François Trianon : 3 ha
• Ducos Génipa : 0.7 ha
6. 1 1 0 H E C TAR E S P O U R
U N P O TE N TIE L
D ’E N TR E P R IS E S
D E P LU S IE U R S C E N TAIN E S
D ’U N ITE S
7. D E S ZO N E S P R IO R ITAIR E M E N T
D E S TIN E E S A LA P R O D U C TIO N
AG R O -ALIM E N TAIR E
8. D E S ZO N E S LABE LLIS E E S
A LA G E S TIO N
E X E M P LAIR E :
C onve ntion d ’ob j ctifs ave c le s p rom ote u rs
e
R e s p e ct d e l’e nvironne m e nt
U tilis ation op tim ale d ’éne rgie s
re nou ve lab le s
Accu e il e ncad ré d e s e ntre p ris e s
(com ité d ’e xp e rts , … )
9. E X TE N S IO N
M O D E R N IS ATIO N
R E H ABILITATIO N
D E ZO N E S E X IS TAN TE S
La Collectivité accompagnera cette démarche.
Deux sites sont d’ores et déjà concernés :
•Le Parc de la SEMAIR au Robert
• La zone de TRIANON 1 au François
10. ATTR AC TIVITE E C O N O M IQ U E D U
LITTO R AL F O YALAIS
P h as e 2 d u M ale con e t P re s qu ’ile d e la P ointe S im on
Mise en valeur par un aménagement urbain de
l’ensemble immobilier Pointe Simon.
Création d’un espace d’attractivité touristique pour
l’accueil de petits commerces de bouche de
souvenirs et d’artisanat
11. LE S TE R R AS S E S D E F O R T D E F R AN C E
Reprise de la frange urbaine de la façade maritime
par la création d’un ensemble immobilier
logements, commerces et résidence hôtelière.
12. LE S ZO N E S D ’AC TIVITE S
E C O N O M IQ U E S
• 17 zones sur 110 hectares
• 380 millions d’euros d’investissement global
(viabilisation, aménagement et construction)
• Pour une participation de la Région et de ses
partenaires de 50 millions d’euros.
13. LE TO U R IS M E
Ce secteur économique déclaré prioritaire,
s’inscrit également dans la démarche du
deuxième plan de relance.
14. LE S E S P AC E S D ’AM E N AG E M E N TS
TO U R IS TIQ U E S
Le projet de dédier des espaces à l’activité
touristique faisait partie des priorités du Schéma de
Développement et d’Aménagement Touristique
(SDAT) adopté en 1995.
Cette démarche est désormais opérationnelle.
15. 9 S ITE S S U R 6 C O M M U N E S
LITTO R ALE S
P O U R D U F O N C IE R AM E N AG E A
D E S TIN ATIO N D E L’IM M O BILIE R
TO U R IS TIQ U E , D E LIE U X D E
LO IS IR S
E T D ’AN IM ATIO N
16. • Trinité
• Vauclin
• Anses d’Arlet
• Trois Ilets
• Diamant
• Sainte-Anne
17. • Trinité
• Vauclin
• Anses d’Arlet
• Trois Ilets
• Diamant
• Sainte-Anne
18. AM E N AG E M E N T D ’AIR E S
D ’AC C U E IL P O U R
P O IN TS D E VU E S
19. JAR D IN BO TAN IQ U E
« LE S O M BR AG E S »
Accompagnement financier et technique du
promoteur pour la réhabilitation de ce jardin
botanique à Ajoupa-Bouillon, permettant de créer
un important pôle d’attractivité dans cette région.
20. C E N TR E C AR IBE E N
D E LA M E R
La Collectivité accompagnera la création de ce
centre d’animation scientifique et culturel, pour
une immersion dans l’environnement marin et
la biodiversité Caribéenne.
Ce projet est à l’initiative de la Communauté de
Communes du Nord de la Martinique (CCNM) et
sera implanté au Robert
21. LE S P R O JE TS LIE S A L’AC TIVITE
TO U R IS TIQ U E
• 142 millions d’euros d’investissement global
(viabilisation, aménagement et construction)
• Pour une participation de la Région et de ses
partenaires à hauteur de 27 millions d’euros.
22. AG R IC U LTU R E E T E LE VAG E
Des éléments structurants de filières portés et
accompagnés par la Collectivité.
23. P R O P R IE TE R E G IO N ALE
BO N TE M P S LAC O U R
(S AIN T-E S P R IT)
Pôle d’élevage destiné à rendre notre territoire
moins dépendant pour le renouvellement des
cheptels.
24. D O M AIN E R E G IO N AL D E
« VAP E U R » AU F R AN C O IS
Propriété de la collectivité, ce site sera réhabilité
et modernisé et deviendra une unité innovante
et expérimentale de développement d’activités
agro-alimentaires sur 9000 m².
25. P R IS E E N C H AR G E D E LA
M O D E R N IS ATIO N D E L’O U TIL
D E TR AN S F O R M ATIO N
E T D E C O N S E R VATIO N
D E LE G U M E S IS S U S D E LA
P R O D U C TIO N M AR TIN IQ U AIS E
S O C O PG E L
26. LE S M AR C H E S D ’IN TE R E T
R E G IO N AL
Destinés à faciliter l’écoulement de la production
agricole au plus près des consommateurs, la
Collectivité prendra entièrement en charge la
création de 4 sites répartis sur l’ensemble du
territoire
27. LE S P R O JE TS LIE S A L’AC TIVITE
D ’AG R IC U LTU R E E T D ’E LE VAG E
• 7 millions d’euros d’investissement global
(viabilisation, aménagement et construction)
• Pour une participation de la Région et de ses
partenaires à hauteur de 5,5 millions d’euros.
28. P E C H E E T AQ U AC U LTU R E
La Collectivité envisage une unité de valorisation
du poisson et des produits de la mer en lien
avec les professionnels du secteur.
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29. U N E IM P U LS IO N E X C E P TIO N N E LLE
P O U R LE N O R D ATLAN TIQ U E
• Création d’un centre à vocation culturelle capable
de drainer une importante activité.
• Le soutien aux entreprises de cette région fera
l’objet de mesures d’aides exceptionnelles.
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30. LE P LAN D E R E LAN C E 2
C ’E S T U N E VO LO N TE D E TE R M IN E E
PO U R…
Accompagner un investissement global de plus
de 830 millions d’euros
avec une prévision de participation de la Région
et de ses partenaires
de 180 millions d’euros
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