>>[Livre Blanc] Les révolutions de l’achat programmatique – Udecam 2014
[udecam.fr 25.03.14]
Rencontres de lUdecam / 25 Mars2014. Sous le Haut patronage de Madame Fleur Pellerin, Minisytre déléguée auprès du Ministre du redressement productif, chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation et de l’économie numérique
http://www.udecam.fr/docs_rencontres/UDECAM_2014-LivreBlanc-Revolutions_de_l%27Achat_programmatique.pdf
GEMO 2016 : un digital de plus en plus cannibale ?PwC France
Dans la 16ème édition de l’étude annuelle « Global Entertainment & Media Outlook », sur les perspectives de l’industrie des médias et des loisirs, PwC prévoit que le marché mondial va croître de 5,1 % en moyenne par an entre 2014 et 2019.
Cette étude, réalisée dans 54 pays, montre qu’avec 3,2% de croissance moyenne annuelle d’ici 2019, la France tire son épingle du jeu parmi les pays matures.
La publicité sur internet devrait y porter la croissance du secteur, et le numérique en général continue de bouleverser le business model de l’ensemble des segments, qu’il s’agisse de l’édition, de la musique, de la presse, des jeux vidéo ou bien encore de la télévision.
Etude PwC 11e éd. Observatoire de l'e-pub (2014)PwC France
http://pwc.to/1d9zPKc
Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent les résultats de la 11ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
16ème Observatoire de l'e-pub SRI Udecam 1er semestre 2016Margarita Zlatkova
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,651 milliard d’euros de chiffre d’affaires net au premier semestre 2016.
Il est en progression de 6% par rapport au premier semestre 2015.
Cette étude de référence, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un éclairage indispensable sur le marché publicitaire digital et son écosystème en pleine mutation, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
L'agence heaven présente ses Digital Highlights, carnets de tendances trimestriels mettant en lumière des données intéressantes, des évolutions sociétales et technologiques, et des opérations digitales innovantes.
Le SRI et l’UDECAM ont publié hier la 11ème édition de l’Observatoire de l’E-Pub. La Mobile Marketing Association France a apporté son concours à cette étude ; dans le cadre des travaux de la Commission Publicité et Big data portant sur la mesure du marché de la publicité sur mobile, nous nous sommes mis directement en relation avec pwc, qui réalise l’Observatoire cette année.
Pour notre industrie, deux chiffres sont à retenir : les investissements Mobile, pourtant constitués seulement du search et du display, progressent de 57% pour atteindre 229 M€ en 2013.
Ainsi, le mobile s’illustre parmi les tendances clé de 2013 : « La bascule des audiences vers le mobile et les tablettes se traduit par une accélération des budgets investis sur ces devices qui intègrent plus systématiquement les plans médias » et occupe une place privilégiée des perspectives pour 2014 « La part du digital, et en particulier du mobile continuera sa croissance au sein du marché publicitaire global ».
GEMO 2016 : un digital de plus en plus cannibale ?PwC France
Dans la 16ème édition de l’étude annuelle « Global Entertainment & Media Outlook », sur les perspectives de l’industrie des médias et des loisirs, PwC prévoit que le marché mondial va croître de 5,1 % en moyenne par an entre 2014 et 2019.
Cette étude, réalisée dans 54 pays, montre qu’avec 3,2% de croissance moyenne annuelle d’ici 2019, la France tire son épingle du jeu parmi les pays matures.
La publicité sur internet devrait y porter la croissance du secteur, et le numérique en général continue de bouleverser le business model de l’ensemble des segments, qu’il s’agisse de l’édition, de la musique, de la presse, des jeux vidéo ou bien encore de la télévision.
Etude PwC 11e éd. Observatoire de l'e-pub (2014)PwC France
http://pwc.to/1d9zPKc
Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent les résultats de la 11ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
16ème Observatoire de l'e-pub SRI Udecam 1er semestre 2016Margarita Zlatkova
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,651 milliard d’euros de chiffre d’affaires net au premier semestre 2016.
Il est en progression de 6% par rapport au premier semestre 2015.
Cette étude de référence, initiée par le SRI et réalisée depuis 2013 par PwC, donne un éclairage indispensable sur le marché publicitaire digital et son écosystème en pleine mutation, en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
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Pour notre industrie, deux chiffres sont à retenir : les investissements Mobile, pourtant constitués seulement du search et du display, progressent de 57% pour atteindre 229 M€ en 2013.
Ainsi, le mobile s’illustre parmi les tendances clé de 2013 : « La bascule des audiences vers le mobile et les tablettes se traduit par une accélération des budgets investis sur ces devices qui intègrent plus systématiquement les plans médias » et occupe une place privilégiée des perspectives pour 2014 « La part du digital, et en particulier du mobile continuera sa croissance au sein du marché publicitaire global ».
TIC Magazine est le premier magazine marocain francophone dédié aux Technologies de l’Information et la communication, destiné aux professionnels du secteur au Maroc
Plus d'infos sur http://www.ticmagazine.net
L’Observatoire de l’e-Pub, mené depuis 2009 à l’initiative du SRI et en partenariat avec l’UDECAM, est devenu l’étude de référence pour mesurer le marché français de la communication publicitaire online. Cet observatoire suit l’évolution des différentes composantes de son chiffre d’affaires net (search, display, affiliation, e-mailing, comparateurs de prix et mobile).
Ainsi en janvier 2013, le chiffre d’affaires de ce marché atteint 2,7 milliards d’euros nets en 2012. L’étude démontrait le ralentissement de la croissance des investissements digitaux en 2012 en France (+5%) et cela de manière plus marquée que sur les marchés américain, britannique et allemand.
Observatoire de l'epub - 10eme edition - 2013Romain Fonnier
10ème édition de l’Observatoire de l’e-Pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
Le marché français de la publicité digitale atteint 1,398 milliard d’euros de chiffre d’affaires net sur le 1er
semestre 2013, soit une progression de 4% par rapport au 1er semestre 2012.
Paris, le 9 juillet 2013 - Le SRI (Syndicat des Régies Internet), l’UDECAM (Union des Entreprises de Conseil et d’Achat Medias) et PwC présentent aujourd’hui les résultats de la 10ème édition de l’Observatoire de l’e-pub. Cette étude initiée par le SRI et réalisée pour la 1ère fois par PwC donne un nouvel éclairage sur le marché français de la publicité digitale en analysant l’évolution de son chiffre d’affaires net par leviers, par formats, par modes d’achat et par devices.
Pour Eric Aderdor, Président du SRI, « Avec une croissance, certes modérée, de 4%, le digital envoie un premier signal positif dans un marché publicitaire et un contexte économique complexes. Alors que notre marché connaît une réelle transformation structurelle et conjoncturelle, nous avons besoin plus que jamais de décryptage, de simplification et de lisibilité. Cet Observatoire nous donne toutes les clés pour comprendre les leviers de croissance et les grands enjeux de notre secteur en France, qui par ailleurs, accuse encore un certain retard en termes d’investissements publicitaires digitaux. »
La France encore en retard au regard de l’international
Quand en France, le digital représente, 20% des investissements publicitaires, dans les autres pays de référence, la part des dépenses publicitaires consacrée au digital est significativement plus élevée : avec 24% pour les USA, 30% pour l’Allemagne et 35% pour le Royaume-Uni.
Cela est particulièrement paradoxal compte tenu du fort taux d’équipement des foyers français sur les nouveaux devices. Avec 36% de taux de pénétration des nouveaux supports en 2012, la France est le 2ème marché en termes d’équipement et seulement au 16ème rang en termes d’investissements publicitaires digitaux.
Sur le 1er semestre 2013, progression de l’ensemble des leviers digitaux
Le « Search » (liens sponsorisés) poursuit sa croissance (5%) et consolide sa place dans le mix digital, malgré une forte concurrence des autres leviers à la performance. Il représente un chiffre d’affaires de 826 millions d’euros net sur le premier semestre 2013, soit 57% du marché de la publicité online en France
Le « Display » deuxième segment en valeur, maintient sa croissance au premier semestre 2013 (+3%), portant le chiffre d’affaires à 379 millions d’euros nets. Ce segment est tiré par le dynamisme de la vidéo (+34%), la place croissante du RTB dans les dépenses publicitaires digitales et le déploiement du display sur mobile et tablettes (+36%).
Les « autres leviers » : Affiliation, Comparateurs et E-mailing connaissent une stabil
TIC Magazine est le premier magazine marocain francophone dédié aux Technologies de l’Information et la communication, destiné aux professionnels du secteur au Maroc
Plus d'infos sur http://www.ticmagazine.net
Stratégie marketing digital au Maroc, Chiffre Clés!
Pour voir la première partie suivez le lien suivant: http://buff.ly/2pYgtJ6
pour plus d'informations consultez notre site :
http://humanmarketing.ma/
M. Amine Idrissi Kaitouni - Directeur média digital - Marshmallow Digital & Madcents
Par passion pour le digital, il s’est lancé depuis le plus jeune âge dans la création et la promotion de sites web. Rapidement, certains de ses supports ont dépassé le million de visiteurs uniques par mois, ce qui l'a automatiquement dirigé vers une optimisation poussée de son inventaire publicitaire afin d'en tirer le maximum de revenus. De fil en aiguille, il a évolué vers le métier de la commercialisation des espaces publicitaires dits "premium", en co-fondant, en 2013, le plus grand ad-network local en termes de nombre d'affiliés et de chiffre d'affaires. Il a aussi eu l'opportunité de diriger le pôle média au sein d'une des plus importantes agences de communication digitale du marché Marocain, mission à laquelle il s'attelle jusqu'à aujourd'hui.
Innovation Nouvelle Generation : Nouveaux RepèresBpifrance
Découvrez au travers de quelques exemples, le nouveau référentiel de l'innovation.
Les sociétés choisies en exemple ont, en général, une approche multidimensionnelle de l’innovation. Le classement réalisé ci-dessous met en avant l’axe d’innovation principal de l’offre ou de l’activité citée.
Le Maroc dispose désormais de son nouveau plan digital à l’horizon de 2020 annoncé le 27 juin 2016 par Moulay Hafid El Alamy, le ministre marocain de l’industrie devant le Roi Mohammed VI.Ce nouveau plan vise le développement numérique dans le pays permettant ainsi au royaume de s’inscrire dans l’économie digitale mondiale!
Pour plus d'informations suivez le lien suivant : http://www.humanmarketing.ma/marketing-digital/strategie-numerique-maroc-digital-2020/
Livre blanc sur les défis et opportunités du numérique pour les PME dans le domaine marketing.
-Etat des lieux de la France numérique
-Les 5 protagonistes et les 4 étapes de la numérisation
-La check-list en 18 points et les 5 moteurs du marketing
-Un cas client concret de plan marketing digital
Découvrez le guide Bpifrance "Innovation Nouvelle Génération", un nouveau référentiel sur l'innovation.
Bpifrance élargit désormais son champ d'intervention à l'innovation "sous toutes ses formes" pour appréhender l'innovation d'aujourd'hui dans toute sa diversité et sa richesse.
Cet ouvrage incarne ce changement de regard et propose un référentiel nourri d'exemples concrets et porteur d'une approche multidimensionnelle de l'innovation.
Le Groupement des Annonceurs du Maroc (GAM) a présenté lors de la troisième édition de l’African Digital Summit, les résultats de l’étude Digital Trends Morocco 2017 (DTM). Élaborée par le GAM, l’étude a été menée auprès de 600 annonceurs de 18 secteurs d’activités dressant ainsi les pratiques des annonceurs marocains en matière de stratégie digitale et les grands chantiers prévus en 2017 afin d’accompagner leurs mise en œuvre.
Présentation de la Cantine brestoise 16/11/2012AnDaolVras
Présentation de la Cantine brestoise lors de la semaine du numérique à Brest. Résultats du sondage effectué auprès des futurs utilisateurs. Prise de parole de chaque partenaire.
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Ainsi en janvier 2013, le chiffre d’affaires de ce marché atteint 2,7 milliards d’euros nets en 2012. L’étude démontrait le ralentissement de la croissance des investissements digitaux en 2012 en France (+5%) et cela de manière plus marquée que sur les marchés américain, britannique et allemand.
Observatoire de l'epub - 10eme edition - 2013Romain Fonnier
10ème édition de l’Observatoire de l’e-Pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
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semestre 2013, soit une progression de 4% par rapport au 1er semestre 2012.
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La France encore en retard au regard de l’international
Quand en France, le digital représente, 20% des investissements publicitaires, dans les autres pays de référence, la part des dépenses publicitaires consacrée au digital est significativement plus élevée : avec 24% pour les USA, 30% pour l’Allemagne et 35% pour le Royaume-Uni.
Cela est particulièrement paradoxal compte tenu du fort taux d’équipement des foyers français sur les nouveaux devices. Avec 36% de taux de pénétration des nouveaux supports en 2012, la France est le 2ème marché en termes d’équipement et seulement au 16ème rang en termes d’investissements publicitaires digitaux.
Sur le 1er semestre 2013, progression de l’ensemble des leviers digitaux
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Les sociétés choisies en exemple ont, en général, une approche multidimensionnelle de l’innovation. Le classement réalisé ci-dessous met en avant l’axe d’innovation principal de l’offre ou de l’activité citée.
Le Maroc dispose désormais de son nouveau plan digital à l’horizon de 2020 annoncé le 27 juin 2016 par Moulay Hafid El Alamy, le ministre marocain de l’industrie devant le Roi Mohammed VI.Ce nouveau plan vise le développement numérique dans le pays permettant ainsi au royaume de s’inscrire dans l’économie digitale mondiale!
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Livre blanc sur les défis et opportunités du numérique pour les PME dans le domaine marketing.
-Etat des lieux de la France numérique
-Les 5 protagonistes et les 4 étapes de la numérisation
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Bpifrance élargit désormais son champ d'intervention à l'innovation "sous toutes ses formes" pour appréhender l'innovation d'aujourd'hui dans toute sa diversité et sa richesse.
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Le Groupement des Annonceurs du Maroc (GAM) a présenté lors de la troisième édition de l’African Digital Summit, les résultats de l’étude Digital Trends Morocco 2017 (DTM). Élaborée par le GAM, l’étude a été menée auprès de 600 annonceurs de 18 secteurs d’activités dressant ainsi les pratiques des annonceurs marocains en matière de stratégie digitale et les grands chantiers prévus en 2017 afin d’accompagner leurs mise en œuvre.
Présentation de la Cantine brestoise 16/11/2012AnDaolVras
Présentation de la Cantine brestoise lors de la semaine du numérique à Brest. Résultats du sondage effectué auprès des futurs utilisateurs. Prise de parole de chaque partenaire.
Este documento describe los músculos del cuerpo humano. Explica que los músculos son los elementos activos del aparato locomotor ya que permiten el movimiento mediante la contracción muscular, la cual consiste en la compresión de los músculos para mover los huesos. Describe que los músculos esqueléticos reciben la energía necesaria de los sistemas digestivo, respiratorio y circulatorio. Identifica las partes principales del músculo esquelético como los tendones y el vientre, formado por las fibras musculares.
Retrouvez le mode d'emploi de l'appareil Easy Butter Beurre Mousse. Acheter l'Easy Butter sur notre site habiague.com ou dans notre boutique à Toulouse. http://www.habiague.com/accessoires-beurre/2324-easy-butter-beurre-mousse.html
Andrey Carvajal disfruta andar en bicicleta, jugar con la computadora e ir al cine. Su materia favorita es ciencias y cree en ayudar al medio ambiente sin contaminar ni ensuciar las comunidades.
El documento describe el origen e historia de Internet. Comenzó en 1962 con la idea de una "Red Galáctica" propuesta por J.C.R. Licklider. Luego, en 1969, el gobierno de EE.UU. creó ARPANET para permitir que los ordenadores se comunicaran incluso si algunos fueran destruidos. En 1973, Vint Cerf y Robert Kahn desarrollaron TCP/IP, el protocolo fundamental de Internet. El World Wide Web, desarrollado en 1991, hizo que Internet fuera accesible para todos.
YouTube es un sitio web creado en 2005 por tres ex empleados de PayPal para que los usuarios puedan subir y compartir videos. En 2006, fue adquirido por Google por $1,650 millones de dólares y ahora es propiedad de Google.
Un blog es un sitio web que recopila artículos de uno o más autores de forma cronológica, mostrando primero el más reciente. Los lectores pueden comentar los artículos y el autor responder, permitiendo un diálogo. Los blogs pueden ser personales, periodísticos, empresariales u otros temas.
El documento presenta un cuestionario de 10 preguntas sobre la creación y definición de tablas en una base de datos. Las preguntas cubren temas como dónde encontrar los botones para incluir tablas, qué vista es la más adecuada para definir la estructura de una tabla, qué campos son obligatorios al definir un campo (como mínimo el nombre y tipo de datos), y las propiedades de los campos y claves primarias. También incluye preguntas sobre el tipo de datos válidos para los campos, cómo cerrar una tabla y
Este documento trata sobre la autoestima. Define la autoestima como quererse a uno mismo y respetarse, además de no dejarse afectar por lo que piensen los demás. Identifica factores que pueden afectar negativamente la autoestima como etiquetas sociales sobre ciertos grupos. Finalmente, ofrece consejos para mejorar la autoestima como escucharse a uno mismo, convertir mensajes negativos en afirmaciones positivas, reconocer las propias cualidades y aceptarse a uno mismo.
Este documento presenta la empresa de comunicaciones ACHcom. Su visión es convertirse en un referente en Cochabamba y expandirse a otras ciudades de Bolivia. Ofrece servicios de comunicación estratégica, relaciones públicas y desarrollo organizacional. Cuenta con un equipo de profesionales experimentados. Ha organizado eventos como desfiles de moda y lanzamientos de productos para diferentes clientes.
Le programmatique-la-clé-du-succes-du-marketing-en-temps-reel etude-hi_media_...HiMedia Group
Cette étude commanditée par HiMedia, AppNexus, Warc et l'IAB Europe a été réalisée entre Avril et Mai 2014 auprès de plus de 660 agences, éditeurs, et professionnels du marketing à travers l’Europe. Elle explore POURQUOI et COMMENT l’achat programmatique est désormais un levier essentiel au succès des stratégies de marketing des annonceurs, et quels sont les DÉFIS à relever pour assurer son développement.
Le marketing programmatique - Plongée entre les algorithmes - ebg - trade la...Romain Fonnier
Au second semestre 2015, la Task Force «Marketing Programmatique », organisée par l’EBG en partenariat avec Tradelab, a réuni une vingtaine d’annonceurs décisionnaires et permis de mener une réflexion sur le marketing programmatique:
Comment gagner en transparence ?
Comment garder le contrôle de ses campagnes ?
Quels outils de mesure sont réellement pertinents ?
Faut-il parier sur le mobile ?
Faut-il monétiser ses données annonceur ?
La DMP est-elle une étape indispensable ?
Que dit la réglementation ?
Comment s’adapter aux nouvelles offres des éditeurs ?
CHAPITRE I : UN « MILLEFEUILLE » D’INTERVENANTS
Au-delà de l’achat d’espaces : le programmatique ne s’arrête pas au RTB
Etude de cas :
o Futuroscope : le parc est pionnier sur l’IPTV
Eclairage :
o Les annonceurs demandent plus de transparence
CHAPITRE II : OBJECTIF, GARDER LE CONTROLE
Une matière première instable
Les bloqueurs de publicité enrayent l’engrenage
Le mobile marque des points
Etude de cas :
o Richemont : « Le marché n’est pas encore structuré pour le luxe »
Eclairage :
o Prochaine étape : les écrans TV
CHAPITRE III : SOUS LE CAPOT, LA DONNEE
Pour ou contre monétiser ses données annonceurs ?
Chief Data Officer, un nouveau métier
Etudes de cas :
o General motors : de « l’humain » entre les algorithmes
o Air France : Trading Desk interne et DMP en lancement
Eclairage :
o L’œil de l’avocat : « Un nouveau règlement pour 2018 »
Memoire la publicité programatique mobile et le rapport marque consommateur ...Pierre-Yves Trennec
La publicité programmatique : l’avenir de la publicité mobile fondé sur les données
personnelles
« L’impact du ad exchange mobile sur les rapports entre les marques et les mobinautes »
J’ai souhaité
approfondir cette notion d’ad exchange en me plongeant dans le Real Time Bidding (RTB).
Ce nouveau mode d’achat média programmatique, arrivé sur le marché de la publicité digitale
depuis 2010. Basé sur l’achat d’espaces publicitaires via des enchères en temps réel.
Thèse professionnelle DATA et MEDIA MBA MCI 2015Ombline Delpit
DATA et MEDIA - Pourquoi et comment une DMP régie
- Pourquoi la data est-elle un sujet pour le marché pub en France?
- Les régies doivent-elles mettre en place une DMP?
- Comment faire, quelles questions se poser?
Converteo Livre blanc Internalisation Achat Media DigitalAdeline Muller
Dans un contexte de digitalisation des investissements media, de fragmentation des parcours clients, d’augmentation du volume de données collectées… les annonceurs ont plus que jamais besoin d’être acteurs et non suiveurs.
L’automatisation et la transformation d’un marketing de temps fort vers un marketing continu deviennent des enjeux structurants. Les promesses du media digital (agilité, transparence, mesure) doivent, elles, enfin être tenues. Les entreprises doivent transformer leur organisation et rapprocher leurs équipes media, CRM, Data, pour mieux personnaliser l’expérience publicitaire.
Pour adresser tous ces enjeux, l’internalisation devient dès lors une question naturelle : faut-il en tant qu’annonceur internaliser un plus grand nombre de compétences clés de l’achat média digital ?
Découvrez le livre blanc rédigé par Converteo, cabinet de consulting spécialisé en Data et Digital.
Immobilier d'entreprise : Le secteur des médias et de la communicationJLL France
Un environnement économique exigeant et instable
La révolution technologique : à la fois défi et opportunité
Un environnement toutefois très instable, qui exige une maîtrise accrue des risques et de la rentabilité
MAGCOM, c'est le e-magazine du master AGCOM à destination d'étudiants et de professionnels qui te dit tout sur le secteur de la communication ! Après quelques mois d'absence, le magazine est de retour et se penche ce mois-ci sur le digital dans tous ses états. #MAGCOM
PROPOSITIONS EN FAVEUR DU DEVELOPPEMENT DE L'INDUSTRIE DU LOGICIEL EN FRANCE,...PARIS
L’innovation industrielle est aujourd’hui principalement portée par le numérique : omniprésence du logiciel embarqué, rôle stratégique des systèmes d’informations dans la productivité des entreprises, renouvellement des modèles économiques… Plus directement, l’industrie du logiciel, qui connaît une croissance trois fois supérieure à celle du PIB constitue l’un des principaux leviers de croissance en France. L'AFDEL propose dans ce guide 16 mesures pour réformer l'écosystème innovant de la France.
Connection marketing : un guide pour les marquesKantar
Il est aujourd’hui facile pour un professionnel du marketing de se laisser enivrer par les possibilités qui s’offrent à lui et, ce faisant, perdre de vue ses objectifs principaux. Dans le monde actuel, dans lequel le numérique ouvre le champ des possibles en matière de marketing, la stratégie compte pourtant plus que jamais.
http://www.tns-sofres.com/notre-offre/nos-expertises/its-good-to-be-connected
Similaire à [Livre Blanc] Les révolutions de l’achat programmatique – Udecam 2014 (20)
29ème Observatoire de l’e-pub SRI, réalisé par Oliver Wyman, en partenariat avec l’UDECAM
[sri-france 02.02.23]
En 2022, le marché français de la publicité digitale affiche une croissance de +10% vs 2021, malgré un net ralentissement au 2ème semestre, pour atteindre 8,5 Md€.
19ème observatoire de l’e-pub SRI (bilan 2017)yann le gigan
>>[Etude] 19ème observatoire de l’e-pub SRI (bilan 2017)
[sri-france.org 11.07.17]
19ème édition de l’Observatoire de l’e-pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
> Télécharger la présentation :
http://www.sri-france.org/wp-content/uploads/2017/07/PwC_Observatoire_S12017.pdf
13e Bilan ARPP " image et respect de la personne 2017 "yann le gigan
13ème BILAN ARPP « IMAGE ET RESPECT DE LA PERSONNE »
[arpp.org 07.09.17]
Dans le cadre de ce 13ème bilan, 50 328 publicités ont été examinées et 25 manquements ont été relevés (dont 12 provenant des affaires traitées par le Jury de Déontologie Publicitaire (JDP) sur la période de 4 mois étudiée), soit un taux de conformité à la Recommandation de l’ARPP « Image et respect de la personne humaine » de 99,95 %, taux qui reste équivalent à ceux des années précédentes. Comme lors du 12ème bilan publié en octobre 2016, l’essentiel des manquements relevés portent sur l’emploi de stéréotypes. Ils sont essentiellement diffusés en bannière ou sur les réseaux sociaux. Ce bilan a été présenté lors des Rencontres de l’UDECAM le 7 septembre 2017.
http://www.arpp.org/actualite/13eme-bilan-arpp-image-respect-de-personne/
Télécharger le pdf :
http://www.arpp.org/wp-content/uploads/2017/09/Bilan-Image-et-respect-de-la-personne-2017.pdf
18ème observatoire de l’e-pub SRI (1er Semestre 2017)yann le gigan
>>[Etude] 18ème observatoire de l’e-pub SRI (1er Semestre 2017)
[sri-france.org 11.07.17]
18ème édition de l’Observatoire de l’e-pub du SRI, réalisé par PwC, en partenariat avec l’UDECAM
> Télécharger la présentation :
http://www.sri-france.org/wp-content/uploads/2017/07/PwC_Observatoire_S12017.pdf
>>Ad Age Agency Family Trees 2016
[siia.net 02.05.16]
Key networks, agencies and holdings for the world’s five biggest agency companies. Estimated worldwide revenue in 2015
https://www.siia.net/archive/neals/2017/filez/562497/562497_13BestInfo_POSTP001_AA_20160502.pdf
« Les usages du numérique en France en 2016 » Credoc / Agence du numérique, A...yann le gigan
>>[Etude] « Les usages du numérique en France en 2016 » Credoc / Agence du numérique, Arcep, Conseil Général de l’Économie
[credoc.fr 01.12.16]
Le CRÉDOC a publié début décembre son étude annuelle « Baromètre du numérique », qui permet de disposer d’un panorama complet de l’équipement des français et de leurs usages des technologies numériques.
http://www.credoc.fr/pdf/Rapp/R333.pdf
[Livre Blanc] Repenser le temps : Rencontres de l’Udecam / 06 septembre 2015yann le gigan
[Livre Blanc] Repenser le temps : Rencontres de l’Udecam / 06 septembre 2015
http://dev.udecam.fr/wp-content/uploads/2016/11/UDECAM_LivreBlanc_RepenserLeTemps_6Septembre20161.pdf
[Livre blanc] « Gouvernance de l’Intelligence Artificielle dans les entrepris...yann le gigan
>>[Livre blanc] « Gouvernance de l’Intelligence Artificielle dans les entreprises » CIGREF
[cigref.fr 28.09.16]
Dans le prolongement de son colloque, le CIGREF publie un Livre Blanc réalisé en partenariat avec le cabinet Alain Bensoussan Avocats. Ce Livre Blanc présente les principales conclusions du Cercle Intelligence Artificielle, créé pour explorer les enjeux managériaux, éthiques, juridiques, liés à la poussée de l’Intelligence Artificielle.
http://www.cigref.fr/wp/wp-content/uploads/2016/09/Gouvernance-IA-CIGREF-LEXING-2016.pdf
Observatoire EY de l’information extra-financière des entreprises du SBF 120 ...yann le gigan
>>Observatoire EY de l’information extra-financière des entreprises du SBF 120 - Nov 2016
[ey.com nov 2016]
Le temps de la maturité : de la maitrise de l’information aux stratégies de durabilité..
http://www.ey.com/Publication/vwLUAssets/ey-observatoire-de-l-information-extra-financiere-des-entreprises-du-sbf120/$FILE/ey-sbf-120-presentation-des-resultats.pdf
This document provides summaries of 7 asset management firms and investment strategies related to sustainable and responsible investing (SRI) in Europe. Candriam is a leading pan-European asset manager with €96.6 billion AUM focusing on fixed income, equities, alternatives, sustainable investments, and advanced asset allocation. Mirova offers a global responsible investing approach across multiple asset classes and strategies with €6 billion AUM. Northern Trust is a leading global asset servicing and management firm serving institutional clients with over $10 trillion in assets under custody and administration. OFI AM is one of the largest French asset managers with €67 billion AUM, ranking 4th among French SRI managers. Etica SGR is an Italian S
2ème édition du Baromètre Annonceurs Mobile SRI-Harris Interactive - Nov 2016yann le gigan
>>2ème édition du Baromètre Annonceurs Mobile SRI-Harris Interactive
[sri-france.org 01.12.16]
Au 1er semestre 2016, avec une croissance de 71%[2], les investissements sur mobile explosent. Afin de dresser un nouvel état des lieux de la perception du mobile et de son intégration dans les stratégies médias, le SRI a choisi de reconduire l’étude qualitative menée en 2014[3] par Harris Interactive auprès des annonceurs.
http://www.sri-france.org/2016/12/01/2eme-edition-barometre-annonceurs-mobile-sri-harris-interactive/
Télécharger la présentation de l’étude :
http://www.sri-france.org/wp-content/uploads/2016/12/Prez-Barometre-Annonceurs-Mobile-SRI-Harris-Interactive-NOV16.pdf
>>[Etude] Baromètre Adblock IPSOS - IAB 2016
[ipsos.fr 21.11.16]
Le taux d'usage de l'ad-blocking en France passe de 30 à 36% selon une étude réalisée par Ipsos pour l'IAB France
http://www.ipsos.fr/sites/default/files/doc_associe/20160309-iab-etude_ad_blockers_-_v5_0.pdf
Livre blanc Arcep : Préparer la révolution de l’internet des objets yann le gigan
>>[Livre Blanc] Préparer la révolution de l’internet des objets
[arcep.fr 07.11.16]
Document n° 1 – Une cartographie des enjeux
DGE - Cnil - ANFR - Ministère du Logement et de l’Habitat durable - ANSSI - France Stratégie
http://www.arcep.fr/uploads/tx_gspublication/livre_blanc_IoT-01-cartographie-071116.pdf
Les résultats du marché publicitaire 1er semestre 2016 – Irep / France Pub yann le gigan
Les résultats du marché publicitaire au 1er semestre 2016 : Le marché renoue avec la croissance
[irep.asso.fr 23.09.16]
Les recettes publicitaires des médias selon l’IREP
Les dépenses de communication des annonceurs selon FRANCE PUB
http://www.irep.asso.fr/download.php?id=115&module=news&type=file
« Dirigeants vs Millenials » 5 recommandations pour supporter le choc numérique yann le gigan
>>[« Dirigeants vs Millenials » 5 recommandations pour supporter le choc numérique
[culturenumerique.eu 25.09.16]
rapport du Think Tank #culture_numerique - saison 3
http://www.culturenumerique.eu/CultureNumerique_Saison3.pdf
Partage ! - cahiers IP innovation & prospective de la CNIL - Juin 2016yann le gigan
>>[Etude] Partage ! - cahiers IP innovation & prospective de la CNIL
[cnil.fr juin 2016]
Motivations et contreparties au partage de soi dans la société numérique.
Partage de la valeur, enjeux de pouvoirs et de régulation.
https://www.cnil.fr/sites/default/files/atoms/files/cnil_cahier_ip_partage_version_finale_web_1.pdf
Marché du livre belge 2015 - ADEB (papier + numérique)yann le gigan
Le Numérique (p. 6-9)
En 2015, la part du numérique représente 9,66 % du total du chiffre d’affaires en langue française (contre 8,62 % en 2014). Toutes langues confondues (en éditions propres), elle grimpe jusqu’à 19,3 % du chiffre d’affaires total (papier et numérique) en 2015, contre 16,6 % en 2014. Le pourcentage du numérique s’avère nettement au-dessus de la moyenne européenne. En cause, la spécificité de notre édition avec une part importante référée aux sciences humaines (base de données juridique,
fiscale, comptable...)
http://adeb.be/sites/502a034d9f83256166000004/assets/576a327a1dd6476da9005d21/StatADEB2016_synth_se.pdf
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Deuxième actualisation estimation élections européennes 2024
[Livre Blanc] Les révolutions de l’achat programmatique – Udecam 2014
1. Rencontres de l’udecam / 25 mars 2014
Sous le Haut patronage de Madame Fleur Pellerin,
Ministre déléguée auprès du Ministre du Redressement productif,
chargée des petites et moyennes entreprises, de l’innovation
et de l’économie numérique.
les
révolutions
de l’achat
programmatique
2. 3.
PLAN
1. L’achat programmatique contribue
positivement à l’économie française
1.1. Le marché de l’achat programmatique français connaît
une expansion forte depuis 2010, ce qui le situe en bonne place
sur le marché mondial
1.2. L’essor de l’achat programmatique fait apparaître de
nouveaux acteurs et de nouveaux métiers riches en emplois
qualifiés
1.3. De nouvelles technologies vont certainement encourager
une expansion importante et durable du marché de la
communication
1.4. La France a généré des leaders du marché de l’achat
programmatique qu’il convient de soutenir et de défendre
2. L’achat programmatique est créateur de valeur,
d’efficacité et de performance pour les acteurs
du marché publicitaire
2.1. Les annonceurs bénéficient d’une amélioration de la
performance de leurs campagnes et d’une hausse de leur
retour sur investissement
2.2. Le programmatique conforte le financement des éditeurs
numériques par une meilleure valorisation de leurs inventaires
et leur permet d’inventer de nouveaux business models
3. La transparence doit aujourd’hui être
la pierre angulaire du dialogue entre
les acteurs du marché publicitaire numérique
3.1. L’enjeu principal de la régulation du programmatique est
de favoriser le développement de ce secteur et de permettre
à des champions français de devenir des champions mondiaux
3.2. La transparence doit être l’objectif central de la régulation
du marché du programmatique
3.3. Une régulation souple et responsable de ce secteur
est possible et souhaitée par l’ensemble des acteurs
3. 5.
introduction
Le mardi 25 mars 2014 s’est tenue la 1re
édition spéciale des Rencontres de
l’UDECAM consacrée aux révolutions de l’achat programmatique*. La publicité
numérique connaît une accélération portée notamment par l’achat program-
matique. L’achat programmatique désigne toute démarche d’automatisation
des investissements publicitaires digitaux grâce à l’utilisation d’algorithmes
sophistiqués permettant de cibler des audiences très précises, le plus souvent
en temps réel. Le marché publicitaire programmatique connaît une croissance
fulgurante de 125 % en 2013 – Jusqu’en 2017, le marché devrait croître de 50 %
par an en moyenne.
Derrière ces chiffres, plusieurs révolutions sont en marche. Pour les annon-
ceurs, il n’a jamais été aussi efficace et rentable de mener une campagne digi-
tale et, pour les éditeurs, il n’a jamais été aussi aisé de valoriser l’ensemble de
leurs inventaires et contenus. Entre les annonceurs et les éditeurs numériques,
une nouvelle économie de la transformation s’est développée. La France
est aujourd’hui un des leaders de cette nouvelle économie, riche en emplois
qualifiés, avec des entreprises innovantes, à l’ambition mondiale, à l’image de
Criteo, Hi-média ou E-buzzing, pour ne citer que celles-ci.
Cet écosystème fait face à des enjeux mondiaux. La compétition dans les
prochaines années sera féroce. Les entreprises françaises du secteur doivent
donc être encouragées et portées par un environnement propice à la compéti-
tivité de nos champions français. Stimuler l’innovation, faciliter la recherche de
financements, stabiliser les réglementations sont des objectifs essentiels à la
réussite de cette économie. Dans ce contexte, le débat sur le développement
de l’achat programmatique soulève au moins trois questions :
– Comment et dans quelle mesure l’achat programmatique
contribue-t-il à l’économie française ?
– L’achat programmatique est-il aujourd’hui et dans l’avenir
créateur de valeur pour les acteurs du marché publicitaire ?
– Doit-on faire évoluer l’encadrement de ce secteur florissant ?
Si oui, sur quelles bases cette évolution doit-elle avoir lieu ?
Cette dernière question est centrale. Un consensus se dégage d’ores et déjà
entre les acteurs du marché publicitaire – agences, annonceurs, éditeurs,
entreprises technologiques – autour de l’exigence de transparence. Cette
transparence concerne tant les contenus des achats, que les flux financiers
ou l’utilisation de données à caractère personnel.
L’UDECAM souhaite apporter à travers ce Livre Blanc sa contribution au débat,
notamment enrichie par les échanges tenus entre les professionnels du secteur
lors de l’édition spéciale des Rencontres de l’UDECAM.
4. 7.
1.
l’achat programmatique
contribue positivement
à l’économie française
La France est en très bonne position sur le marché du programmatique,
ce dernier est créateur de valeur, d’emplois et de nouvelles technologies.
Parmi les entreprises françaises se dégagent quelques champions nationaux
qu’il faut à tout prix accompagner sur le marché mondial de la publicité online.
Sans l’ambition de devenir leader, le marché français du programmatique risque
d’être absorbé par des entreprises hors de France.
1.1. Le marché de l’achat programmatique français
connaît une expansion forte depuis 2010,
ce qui le situe en bonne place sur le marché mondial
Le marché de l’achat programmatique connaît une croissance fulgurante
Après 2 ans de maturation, 2013 a marqué l’explosion de cette technologie, qui
a connu une croissance de 125 % selon l’Observatoire de l’E-Pub SRI-Udecam-
PwC1
. Le marché publicitaire programmatique est ainsi passé de 52 millions
d’euros en 2012 à 117 millions d’euros en 20132
.
Malgré la taille encore relativement modeste du programmatique, sa crois-
sance porte de grandes ambitions – Entre 2012 et 2013, la dépense publicitaire
digitale a progressé de 91 millions d’euros. Sur ce chiffre, le programmatique
contribue à hauteur de 65 millions, soit plus de 71 % ! Autant dire que la crois-
sance du secteur publicitaire digitale est portée par le programmatique. En
termes de projections, PwC estime que la programmatique représentera près
de 32 % du marché du marché du display en 2017 – contre 42 % aux états-Unis,
30 % en Grande-Bretagne et 28 % en Allemagne. Le marché va progresser de
50 % par an en moyenne au moins jusqu’à 2017. Le programmatique représente
donc également un relais de croissance vital pour le secteur publicitaire offline
victime d’un ralentissement très net de sa croissance. Le digital est d’ailleurs le
seul segment publicitaire à avoir progressé en 2013 !
(1) Observatoire de l’E-Pub SRI-Udecam-PwC. Janvier 2014.
(2) PwC, « Le marché programmatique, chiffres et tendances », Mars 2014.
5. 8. 9.
La France se positionne comme un pionner dans ce domaine - En 2013, le
RTB display s’élevait à 117 M€ et représentait 16 % des investissements publi-
citaires numériques en France, contre 14 % au Royaume-Uni (dont la dépense
publicitaire digitale est cependant beaucoup plus importante en valeur abso-
lue), 19 % aux états-Unis, 12 % en Allemagne. Le marché français est donc très
avancé, ce qui en fait en 2013 le 2e
marché mondial du RTB en part d’investis-
sement dans le total des investissements digitaux. Le marché publicitaire pro-
grammatique va continuer à croître : PwC estime que le RTB représentera près
de 30 % du marché du display d’ici 2017, soit près du double de 2013.
La bonne position de la France s’explique par un écosystème stimulant
L’adhésion des annonceurs, l’existence d’un tissu d’entreprises et de start-ups
innovantes et l’influence historique des re-targeters, ont facilité le développe-
ment du programmatique en France. Les groupes de communication, ainsi que
les sociétés de venture capital, notamment, ont contribué au financement de
ces nouvelles entreprises de la transformation.
1.2. L’essor de l’achat programmatique a fait apparaître
de nouveaux acteurs et de nouveaux métiers riches
en emplois qualifiés
De nouveaux métiers apparaissent dans cet écosystème en expansion –
Ad-Exchange, DSP, SSP, DMP, Technology developper, Optimizer, etc. En
quelques années, grâce au développement du programmatique, tout un
nouveau segment de métiers est apparu. L’automatisation et l’achat en temps
réel permettent désormais aux annonceurs de cibler de manière précise des
consommateurs à l’aide d’algorithmes et de sets de données de plus en plus
riches et complets. Pour développer ces technologies ou pour construire les
meilleures bases de données, de nouveau métiers sont apparus, comme les
Data Scientists, les Chief Data Officer, etc. Une chaîne de valeur entre l’ache-
teur et le vendeur d’espace s’est donc créée, donnant lieu à l’émergence d’une
nouvelle économie de la transformation.
L’apparition de ces nouveaux métiers s’accompagne de la création d’emplois
qualifiés – Cette création d’emplois est d’autant plus importante qu’elle ne
s’accompagne pas d’un déversement du secteur publicitaire offline qui ne
connaît pas de destructions d’emplois. Le programmatique a donc permis la
création de véritables débouchés en termes d’emplois. Le développement de
nouvelles technologies ou de nouveaux formats va encourager la création de
nouveaux métiers, par exemple grâce au mobile ou à l’exploitation des don-
nées sociales.
La formation et le recrutement des talents sont un enjeu crucial pour les
acteurs du secteur et les pouvoirs publics – Les professionnels du secteur
reconnaissent le bon niveau de formation des talents français, notamment
en programmation ou en mathématiques. Mais il existe un déficit de per-
sonnes qualifiées. Encourager les formations spécialisées et le fléchage de
ces formations vers les métiers de la publicité est vital pour ce secteur. Des
dispositifs d’incitation, visant à faciliter le recrutement de talents pour des
grands groupes mais également pour des start-up rendrait le modèle français
beaucoup plus attractif. De leurs côtés, les entreprises de la communication
investissent de plus en plus dans la formation de haut niveau, à l’image d’Havas
venant d’annoncer son soutien à une chaire au Collège de France sur l’écono-
mie de la donnée.
à terme, l’essor de ce secteur encourage l’économie de la data – à travers
le développement du programmatique se joue l’essor de l’économie de la data.
Toute une chaîne de valeur s’interpose entre les régies et les agences media.
à terme, le programmatique permet de valoriser l’ensemble des données col-
lectées par les entreprises. Ainsi, American Express a annoncé qu’elle com-
mercialiserait désormais des données sur ses clients et leurs transactions. Les
annonceurs peuvent donc acquérir ces données pour élaborer leurs stratégies
publicitaires online.
1.3. De nouvelles technologies vont certainement
encourager une expansion importante et durable
du marché de la communication
Un écosystème aux possibilités innombrables – L’organisation du secteur
permet l’intégration de nombreuses technologies permettant d’optimiser les
campagnes publicitaires digitales. à ce titre, de nombreuses technologies
apparaissent régulièrement pour améliorer le ciblage, les taux de conversion,
les niveaux de répétition, etc.
Les entreprises du secteur investissent – Les investissements réalisés afin
d’obtenir les campagnes les plus performantes conduisent également à l’acqui-
sition de nombreuses start-ups, notamment celles qui développent de nou-
velles technologies, de nouvelles infrastructures ou de nouveaux algorithmes.
Le nombre de brevets dans ce secteur est d’ailleurs en constante augmentation.
Vers une extension du domaine du programmatique – Trois nouvelles techno-
logies viennent d’ores et déjà enrichir l’offre programmatique :
• Le Real-Time Bidding vidéo : le segment vidéo numérique connaît
une hausse importante en 2013. Les inventaires augmentent progres-
sivement et les annonceurs sont très friands de ce type de formats. Le
Real-Time Bidding intègre désormais la vidéo. Selon une étude IHS, la
vidéo programmatique pourrait représenter 158 millions d’euros d’inves-
tissements en France d’ici 2017, soit 28 fois plus que l’année dernière
(5,5 millions d’euros) !
6. 10. 11.
Ces entreprises leaders portent tout un écosystème – Derrière ces entreprises
françaises devenues des leaders, tout un écosystème de start-ups se déve-
loppe, notamment autour des métiers de la transformation. Ces leaders sont
des modèles et incitent toute une génération d’entrepreneurs à se lancer dans
ce secteur, où les opportunités sont encore nombreuses. Il faut souhaiter que
l’encadrement de ces nouvelles activités ne se caractérise pas par une instabi-
lité chronique.
La compétition avec des entreprises étrangères est très forte - Les géants du
Web sont déjà très présents sur le marché – notamment Google, qui a racheté
l’Adserver Doubleclick en 2007. Ces entreprises disposent de financements
colossaux et sont d’ores et déjà présents sur de nombreux marchés. D’ailleurs,
Google a déjà pris une position dominante sur le marché du programmatique.
Les entreprises françaises du secteur doivent donc être en mesure de lutter à
armes égales avec ces géants du web et de la communication.
L’échelle de ce secteur est mondiale - Google et Facebook ont signé un
accord en octobre dernier pour faire converger leurs plateformes respectives
Doubleclick et FBX (Facebook exchange). Le marché est en cours de concen-
tration. Dans ce contexte, des acteurs français puissants sont nécessaires.
L’enjeu est mondial. Les entreprises françaises doivent donc être en mesure
d’avoir accès à des sources de financement bon marché, ce qui est absolu-
ment capital pour leur développement. Afin de conserver ces entreprises sur le
territoire national, tout doit être fait pour que la France reste attractive, ce qui
passe notamment par des sources de financement solides – incluant notam-
ment des organismes publics de financement tels que BPI France –, et par une
stabilité juridique et financière. Sans cela, le marché programmatique risque
de se concentrer en un oligopole détenu par des entreprises étrangères. Les
règles du jeu devraient d’ailleurs être fixées au niveau européen, sinon mondial.
• Le Real-Time Bidding mobile : longtemps limités au display fixe, les
Ad-Exchange s’ouvrent aux inventaires mobiles. D’après RubiconPro-
ject, la part du mobile dans l’achat programmatique à l’échelle mondiale
devrait presque doubler, pour atteindre 16 % en 2014 avec des taux de
croissance proches de 50 % par an – 57 % entre 2012 et 2013 !
• Les Data Management Platform, et les offres data / média : les sys-
tèmes permettant de collecter des données first ou third party, et de
les croiser avec des données externes sont de plus en plus utilisés pour
élaborer des campagnes publicitaires digitales. Déployés sur des cam-
pagnes de RTB programmatique, ces données permettent de réaliser
des ciblages extrêmement précis et rapide.
Signe que le programmatique se fait de plus en plus « qualitatif », la régie
AdYouLike s’apprête à lancer une place de marché RTB dédiée au native
advertising – contenus éditorialisés au service des marques. Loin de la simple
bannière, le programmatique couvre de plus en plus de formats de communi-
cation.
Au-delà, c’est le but même du programmatique qui change : d’abord cantonné
aux campagnes à la performance, il est de plus en plus utilisé pour des cam-
pagnes de branding et d’image, moins axées sur le R.O.I. (retour sur investisse-
ment).
1.4. La France a produit des leaders du marché de l’achat
programmatique qu’il convient de soutenir et de défendre
La France compte plusieurs pépites – L’Hexagone abrite quelques-uns des
pionniers du secteur, comme Weborama, Hi-Media et Criteo, entré au Nasdaq
fin octobre 2013 et aujourd’hui valorisé 2,27 milliards de dollars ! Les entre-
prises françaises du digital sont très innovantes. Ebuzzing est par exemple
devenu un leader européen de la publicité vidéo online et vient de créer un
nouvel SSP permettant aux éditeurs de vendre directement leurs formats out-
stream. Criteo est quant à lui désormais présent dans 37 pays. De nombreuses
groupes de communication, agences media, grandes entreprises et start-ups,
contribuent au développement du marché du programmatique. La maturité
du marché du re-targeting en France a par exemple sans conteste participé à
la bonne croissance du programmatique. Ces entreprises sont encore très peu
médiatisées alors qu’elles contribuent très positivement à l’économie française.
Criteo, de par le nombre de ses employés notamment en France, est devenu,
comme d’autres entreprises françaises du secteur, un exportateur contribuant
positivement à la balance commerciale française et réalise par exemple près de
85 % de son chiffre d’affaires en dehors de France.
7. 12. 13.
2.L’achat programmatique
est créateur de valeur,
d’efficacité et de perfor-
mance pour les acteurs
du marché publicitaire
Meilleur ciblage des consommateurs, meilleur suivi des campagnes
et meilleure valorisation des contenus : le développement du programmatique
s’accompagne d’avancées exceptionnelles pour les annonceurs comme pour
les éditeurs.
2.1. Les annonceurs bénéficient d’une amélioration
de la performance de leurs campagnes et d’une hausse
de leurs productivités
La performance du programmatique est reconnue par les annonceurs –
L’achat programmatique permet aux annonceurs un meilleur ciblage de leurs
prospects ou clients. En effet, les algorithmes se font de plus en plus rapides
et pointus en intégrant des sets de données - first party ou third party - de
plus en plus importants. La Place Média et Nugg.Ad utilisent par exemple un
panel de 20 000 internautes pour étudier les comportements de navigation
et en tirer un modèle prédictif. Le couplage de ces données de navigation,
obtenues par exemple par le biais de cookies, à des données internes – type
CRM – permet de toucher avec encore plus de précision des cibles recher-
chées par les annonceurs. Au final, les gains en termes de ROI sont considé-
rables. Les leads sont de plus en plus qualifiés, la conversion est de plus en
plus importante, à un coût moins élevé que l’achat classique. La précision du
mode d’achat programmatique permet de dire que l’on est passé du media
planning à l’audience planning. Il est désormais possible d’adresser à sa cible le
bon message, au bon moment, dans le bon contexte. Le message publicitaire
est donc de moins en moins intrusif – via les Ad-Exchange, il est beaucoup
plus facile de poser des limites d’exposition à un message – et l’expérience de
marque s’en trouve améliorée.
Le programmatique s’inscrivait initialement dans une démarche ROIste de la
part des annonceurs, mais les inventaires deviennent de plus en plus quali-
tatifs – Si les éditeurs ou les annonceurs ont pu être réticents dans un premier
temps à investir dans le programmatique, les inventaires disponibles sont
désormais de plus en plus qualitatifs. La Place Média, par exemple, se spécia-
lise sur des contenus premium. L’accès à ces inventaires premium va se faire de
plus en plus facilement, soit par des interlocuteurs dédiés, soit par la constitu-
tion d’offres spécifiques au sein des agences media. D’autre part, l’accès à la
data permet de faire des campagnes plus intelligentes, les clients recrutés sont
en conséquence de meilleure qualité. Les campagnes programmatiques seront
également de plus en plus « multi-device ». Les annonceurs pourront donc
mieux maîtriser leurs campagnes digitales en traçant les usages de leurs cibles
sur de multiples supports, de manière automatique et instantanée.
Le programmatique améliore également la productivité des annonceurs,
notamment par une simplification du workflow. Ces nouvelles pratiques per-
mettent d’optimiser les coûts de commercialisation. Elles permettent d’amélio-
rer sensiblement leur ROI. Les mécanismes d’enchères garantissent par ailleurs
la fixation de prix optimaux pour chaque emplacement.
Réinvention des métiers chez les annonceurs - Le programmatique conduit
également les départements communication des annonceurs à coopérer de
plus en plus avec d’autres services (marketing, IT, etc.), pour élaborer et exécu-
ter les meilleures campagnes possibles. Le programmatique permet de valori-
ser leurs données CRM, et de les appliquer efficacement dans des campagnes
publicitaires.
Développement de tout un écosystème créatif et technologique – Les annon-
ceurs sont en attente de solutions technologiques et créatives en matière
d’achat programmatique. Désormais, les agences de création doivent de plus
en plus intégrer la technologie dans leurs raisonnements. Un rapprochement
entre agences media et agences de création s’opère assez souvent dans le
domaine digital. La tendance risque donc de s’accélérer pour répondre aux
besoins des annonceurs.
Un apprentissage progressif des technologies programmatiques est néces-
saire – Le recours à l’achat programmatique requiert une adaptation, tant de
la part des agences que des annonceurs. Ces derniers le reconnaissent, et les
agences font preuve de pédagogie pour expliquer les particularités des cam-
pagnes programmatiques. Progressivement, les grands annonceurs vont déve-
8. 14. 15.
3.La transparence
doit aujourd’hui
être la pierre angulaire
du dialogue entre
les acteurs du marché
publicitaire numérique
La rapide expansion du programmatique conduit à devoir mieux organiser
les pratiques de ce secteur. Sans faire le moindre compromis sur l’impératif
de transparence, une régulation responsable est possible, au profit de tous
les acteurs du marché et de l’avenir de ce secteur florissant.
3.1. L’enjeu principal de la régulation du programmatique
est de favoriser le développement de ce secteur et de
permettre à des champions français de devenir des
champions mondiaux
La régulation doit encourager le développement de ce secteur – Le secteur
publicitaire offline connaît un ralentissement marqué ces dernières années et
la croissance du segment online est portée en 2013 par l’augmentation forte
des dépenses publicitaires dans le programmatique. Toute régulation doit ainsi
aller dans le sens de la protection du secteur.
Les pays étrangers ont surtout privilégié des réglementations souples
– Alors que le cadre juridique français encadrant les activités de publicité
traditionnelle est reconnu par tous les acteurs du secteur comme le plus trans-
parent au monde, une étude comparée des régimes juridiques encadrant les
activités de publicité tant offline qu’online fait apparaître un modèle dominant
reposant sur un contrôle contractuel entre annonceurs et agences media.
états-Unis, Royaume-Uni, Allemagne et Italie, aucun de ces pays n’a adopté de
réglementation spécifique visant les achats d’espaces publicitaires tradition-
nels, et donc a fortiori concernant les achats publicitaires online. Au plus, le
droit commercial et civil encadre ces activités. La France dispose donc d’une
lopper des compétences en Data Management Platform (DMP). Citroën vient
par exemple d’annoncer la création d’une DMP interne européen. L’expertise
des agences media sera essentielle pour les annonceurs souhaitant valoriser
leurs données à des fins de ciblage publicitaire. Une meilleure compréhension
du fonctionnement de ces campagnes permettra aux annonceurs de mieux
comprendre les coûts de commercialisation. En parallèle, un effort sur le repor-
ting doit être accentué, notamment grâce à des outils automatiques et ergono-
miques et à des modèles de reporting développés et proposés par les agences
media, dans leur rôle naturel de conseil.
2.2. Le programmatique conforte le financement
des éditeurs numériques par une meilleure valorisation
de leurs inventaires et leur permet d’inventer de nouveaux
business models
Pour les éditeurs, le programmatique est une véritable opportunité, parfois
une planche de salut – Les Pure Player du Web y sont venus les premiers, ils
sont rejoint aujourd’hui par la plupart des éditeurs et des médias. Ils ont en
effet rapidement compris l’intérêt du programmatique pour valoriser leurs
inventaires et se sont rassemblés pour créer des grandes places de marché
et atteindre une taille critique. Les deux principales sont Audience Square (M6,
Le Monde, Le Nouvel Observateur, NextRadioTV, Les Echos, Le Point, Prisma,
RTL, L’Express-Roularta et Libération) et La Place Media (Amaury Médias,
FigaroMedias, Lagardère Publicité, TF1 Publicité, 20minutes, aufeminin.com,
Boursorama, La Dépêche du midi, Doctissimo, France Télévisions, Marie-Claire,
Sud-Ouest, notamment). Chacune revendique plus de 30 millions de visiteurs
uniques non dupliqués par mois et des milliers d’annonceurs.
L’efficacité des campagnes RTB a permis aux éditeurs de revaloriser la publi-
cité numérique. Selon La Place Media, le CPM display moyen a augmenté de
83 % en 2013. La place de marché Audience Square a même été étonnée de
son succès : elle est devenue bénéficiaire un an et demi avant les prévisions.
Par ailleurs, l’automatisation d’un nombre croissant de formats permet de se
concentrer sur des emplacements premium ou des opérations spéciales à plus
forte valeur ajoutée pour les éditeurs.
9. 16. 17.
3.2. La transparence doit être l’objectif central
de la régulation du marché du programmatique
L’émergence et l’expansion de l’achat programmatique fait resurgir l’enjeu
éthique du contrôle et de la transparence à l’heure du numérique. D’une part,
les internautes et consommateurs attendent des professionnels de la publicité
une transparence en matière d’utilisation des données à caractère personnel.
D’autre part, les annonceurs attendent des professionnels de la publicité une
transparence en matière de conditions commerciales et de reporting. Sur
chacune de ces dimensions, les acteurs de la publicité sont être en mesure
d’apporter des garanties :
• Transparence en matière d’utilisation des données à caractère person-
nel – D’après le 3e
baromètre de la confiance des Français dans le numé-
rique (2013) menée par l’IDATE pour la CDC et l’ACSEL, 55 % des Français
sont conscients que leurs données peuvent être utilisées à des fins publi-
citaires. 82 % s’estiment gênés par ce type de pratique particulièrement en
ce qui concerne les données relatives à la géolocalisation ou les données
publiées sur les réseaux sociaux. Pour ces raisons, de plus en plus d’inter-
nautes adoptent des comportements visant à échapper à tout traçage
online. Respecter la vie privée des internautes est donc une priorité pour
les acteurs du marché de la communication. Outre la transparence intro-
duite par la loi du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et
aux libertés quant à l’utilisation des données à caractère personnel, cette
transparence doit être élargie par les acteurs de la publicité eux-mêmes
à l’utilisation de toutes les données pouvant avoir trait à la vie privée ou
risquant d’être perçue comme une atteinte à celle-ci. Un consensus appa-
raît clairement sur cette question entre annonceurs, agences, éditeurs et
entreprises technologiques. La transparence dans l’utilisation de ces don-
nées est un gage de confiance donnée aux internautes. Pour ces raisons,
l’UDECAM et l’ensemble des acteurs du secteur de la publicité online dans
e cadre de l’UFMD ont signé en 2010 la « Charte sur la publicité ciblée et
la protection des internautes » et en 2012 le « Guide de bonnes pratiques
concernant l’usage des cookies publicitaires ».
• Transparence dans le contenu des achats – Les Rencontres de l’Udecam
ont été l’occasion pour les annonceurs, au travers de l’UDA, de parta-
ger leurs craintes vis-à-vis de ce qu’ils perçoivent comme un manque de
transparence dans les modes d’achat et de facturation des campagnes
programmatiques. Les marques souhaitent naturellement disposer
d’informations sur les campagnes publicitaires digitales menées pour leur
compte par les agences media – des informations sur l’emplacement des
publicités, sur le contexte du site, etc. à l’heure actuelle, les annonceurs
disposent notamment de reporting leur permettant de prendre connais-
sance des sites sur lesquels les publicités programmatiques se trouvent,
ainsi que des performances obtenues par leurs campagnes. Les pratiques
peuvent parfois varier selon les acteurs, ce qui peut conduire certains an-
réglementation très spécifique depuis l’adoption de la loi Sapin de 1993 sur la
transparence de la vie économique concernant la publicité offline. Même si la
transparence est une priorité, appliquer rigidement les obligations posées par
la loi Sapin conçue avant même le développement de tous les leviers d’Internet
risquerait de déstabiliser un écosystème numérique dont les enjeux sont forts
différents de ceux posés pour la publicité traditionnelle.
Nos entreprises nationales doivent pouvoir lutter à armes égales avec la
concurrence internationale – Le secteur du programmatique se structure
autour d’une pluralité de nouveaux acteurs. Une tendance de fond, qui tend à
s’accélérer selon les professionnels du secteur, conduit à une concentration.
Les entreprises françaises doivent non seulement faire face à une compé-
tition pour des budgets de plus en plus internationaux – là, où les budgets
offline étaient souvent nationaux – mais ils doivent être capables de disposer
de moyens technologiques et financiers considérables pour se développer et
constituer des champions internationaux. Ces nouvelles technologies de la
transformation ont un coût financier et humain qui n’existe pas dans le cadre
du marché publicitaire offline. Pouvoir être compétitif sur le plan internatio-
nal suppose de ne pas subir des entraves relatives au marché offline dont les
enjeux et l’envergure sont en réalité différents. La France peut-elle réellement
se permettre d’être un îlot solitaire en matière de réglementation dans le cadre
d’un marché mondial ?
Faire évoluer l’encadrement de la publicité programmatique en cohérence
avec les enjeux auxquels le secteur fait face est cependant nécessaire – Les
pouvoirs publics se sont très tôt penchés sur la question de la réglementation
du secteur, notamment le Ministère de l’économie et des Finances, le Ministère
du Redressement productif et du Numérique, la DGCCRF et le Ministère de la
Culture et de la Communication. Le marché étant très mouvant et très spéci-
fique, aucune proposition n’a encore émergé de manière consensuelle dans le
débat organisé par les pouvoirs publics, soucieux de saisir la complexité des
enjeux de ce nouveau secteur, mondialisé, technologique et compétitif par
nature. Des mesures visant à l’accompagnement des entreprises françaises sur
des marchés internationaux apparaissent cependant comme tout à fait néces-
saires, notamment afin de ne pas entraver, mais au contraire accompagner leur
développement. En ce qui concerne notamment le recrutement des talents,
l’accès à des sources de financement, l’incitation à la création de nouvelles
technologies, entre autres, les pouvoirs publics ont les leviers pour accroître
les opportunités des leaders français. Au-delà, l’évolution du cadre règlemen-
taire posé par la loi Sapin de 1993 pourrait s’attacher à clarifier les statuts des
nouveaux acteurs de ce secteur. Il faudra veiller à ce que toute évolution règle-
mentaire ne soit pas rapidement emportée par de nouvelles innovations tech-
nologiques modifiant encore la morphologie du secteur en pleine mutation.
S’il ne faut pas une « exception internet », il s’agit cependant un marché ouvert
dans lequel la concurrence est ouverte. Les annonceurs travaillent avec des
acteurs internationaux. La législation doit donc s’adapter à ce contexte.
10. 18. 19.
En conséquence, l’Udecam se prononce aujourd’hui pour une triple démarche :
• Clarifier les statuts des acteurs du marché
Acter l’apparition de nouveaux acteurs et préciser les statuts
des acteurs intervenant sur le marché online, et faire reconnaître
le statut de transformateur d’espaces.
• Harmoniser les règles de transparence
Généraliser des recommandations contractuelles entre agences et
annonceurs ; créer des modèles ou des outils facilitant le reporting ;
mettre en place des standards professionnels garantissant le respect
de bonnes pratiques en matière d’utilisation de données ayant trait à
la vie privée des internautes, et imposer à tous les acteus du marché,
y compris les internationaux, ces contraintes de reporting.
• Encourager une autorégulation responsable
Création d’un comité ad hoc réunissant toutes les parties prenantes,
sous les auspices des pouvoirs publics.
nonceurs à s’interroger sur la transparence de données qui leur sont trans-
mises. La complexité du programmatique est parfois interprétée comme
un signe d’opacité pour certains annonceurs insuffisamment informés par
leurs prestataires ou pas encore familiarisés à ces nouvelles technologies.
Ceci explique en grande partie les réticences qu’ont eu dans un premier
temps certains annonceurs à investir par ce biais, ainsi que la frilosité
de certains éditeurs à commercialiser leurs catalogues premium en RTB
programmatique. La généralisation de modèles de reporting ou encore
la création d’outils facilitant le reporting répondrait sans difficultés à ce
besoin de transparence et faciliterait d’autant plus l’harmonisation des
pratiques entre les différents acteurs du marché publicitaire. Des lors que
des modèles et process auront été validés, il conviendrait que les pouvoirs
publics encouragent la généralisation de ces contraintes de reporting aux
acteurs internationaux.
• Transparence dans les flux financiers – En matière de transparence des
flux financiers, la transposition stricte de la loi Sapin, limitant les statuts
des opérateurs à ceux de vendeurs ou d’acheteur est aujourd’hui ina-
daptée au programmatique. Il existe sur le marché du programmatique
une chaîne de valeur très complexe, avec une pluralité d’acteurs. Entre
l’agence et la régie coexistent désormais de multiples intermédiaires –
plates-formes d’Ad-Exchange, développeurs d’algorithmes, DMP, infras-
tructures, Data Optimizer, etc. – qui doivent être rémunérés et financés.
Une économie de la transformation s’est ainsi développée entre les régies,
les agences et les annonceurs. La transparence des flux financiers dans le
cadre d’achat publicitaire programmatique peut être établie dans le cadre
des contrats passés entre les annonceurs et les agences media. Afin de
garantir à l’ensemble de la profession un niveau de transparence satis-
faisant, ainsi qu’une juste rémunération de la valeur ajoutée liée à cette
transformation, des recommandations contractuelles devraient être parta-
gées entre les différents acteurs du secteur publicitaire offrant des garan-
ties aux annonceurs en termes de transparence. Une même démarche
devrait être adoptée par l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur.
3.3. Une régulation souple et responsable de ce secteur
est possible et souhaitée par l’ensemble des acteurs
L’autorégulation est la solution la mieux acceptée - Le choix d’une régulation
souple, inter-professionnelle, s’impose donc naturellement. Les acteurs du
marché le reconnaissent de manière majoritaire. Le dialogue entrepris entre les
agences media et les annonceurs devrait s’engager dans cette voie, et devrait
également inclure par extension tous les acteurs du marché ayant ce même
statut de transformateur d’espaces publicitaires. Il est important que les pou-
voirs publics accompagnent la mise en place de cette autorégulation.
11. 20. 21.
PROGRAMME des Rencontres du 25 mars
« Les révolutions de
l’achat programmatique »
Introduction :
Sébastien Danet – Bertrand Beaudichon
« Le programmatique pour les Nuls »
Jean Baptiste Rouet – AOD / Vivaki
Table ronde 1 :
Un écosystème très sophistiqué
et en mouvement
Si les racines de l’achat programmatique remontent à une dizaine d’années,
la révolution « real time » s’accélère aujourd’hui avec le développement de
technologies toujours plus rapides et précises. Nouveaux formats, modes
de ciblage /re-ciblage et supports… Rencontre avec les acteurs d’un marché
bouillonnant !
Animation : Alain Steinmann - DG du JDN et L’Internaute
Keynote : Chiffres et analyse de marché progammatique.
France International - Sébastien Leroyer - PWC
Intervenants : David Baranes (Appnexus), Pierre Calmard (I- Prospect),
Julien Gardes (Rubico), Alain Levy (Weborama), Grégoire Peiron (Double
Click), Alain Sanjaume (Exelate)
Table ronde 2 :
Des révolutions porteuses de bénéfices
pour les annonceurs et les éditeurs
Meilleure compréhension du consommateur, meilleur suivi des campagnes
et meilleure valorisation des contenus : le développement du programmatique
s’accompagne d’avancées exceptionnelles pour les annonceurs comme pour
les éditeurs. Témoignages de décideurs qui ont pris la vague programmatique
et en tirent déjà parti.
Animation : Fabrice Lundy - BFM Business
Keynotes: Retour d’expérience enjeux et international
Nick Hugh – Yahoo ! - VP Display Solutions
Pierre-Jean Bozo – Union des Annonceurs / WFA
Intervenants : Laurent Battais (Médiamétrie), Philippe Boutron (Citroen, UDA),
Isabelle Godefroy (ING Direct), Yannick Lacombe (FTP), Alexandra Mauraisin
(La Poste), Olivier Mazeron (GroupM), Arthur Millet (La Place Media, AmauryMedia)
11h20 - 12h
Table ronde 3 :
Quels enjeux réglementaires :
régulation ou auto-régulation ?
La vivacité du marché programmatique soulève naturellement de nombreuses
questions réglementaires. Comment encadrer cette révolution sans l’entraver ?
Les outils historiques sont-ils encore adaptés ? Une auto-régulation est-elle pos-
sible ? Discussion à bâtons rompus entre experts issus du public et du privé !
Introduction: Réglementations française et internationale en vigueur –
Sébastien Danet (Udecam , ZenithOptimedia)
Intervenants : Eric Aderdor (SRI, Horyzon Media), Loic Armand (UDA, L’Oreal),
Jean Luc Chetrit (Udecam, Carat)
Table ronde 4 :
à la rencontre de la French Tech
du programmatique
Ils s’appellent Criteo, Weborama, Hi-Media, E-buzzing ou encore StickyAds
et représentent la France aux avant-postes de la révolution programmatique !
Comment évoluent ces nouveaux champions tricolores dans un marché mon-
dialisé où tout reste à construire ? Quels seront demain les enjeux de leur
déploiement et comment les encourager ?
Keynote: Jean Baptiste Rudelle – Criteo
Animation: Gilles Fontaine - Challenges
Intervenants : Hervé Brunet (Sticky Ad), Dominique Delport (Havas Media),
Marie Ekeland (Elaia), Pierre Chappaz (Ebuzzing), Cyril Zimmermann (Hi-Media)
12. 22.
Lexique
Outstream : L’out-stream video désigne les formes de diffusions de publicités
vidéos sur Internet qui ne se font pas sous la forme d’un spot inséré dans un
contenu vidéo hébérgé sur une plateforme video (et éventuellement repris en
intégration vidéo sur d’autres pages). Le terme d’out-stream vidéo est donc
utilisé en opposition à celui d’in-stream vidéo. L’out-stream vidéo peut prendre
la forme de vidéos in-banner ou d’autres formes telles que l’intégration dans le
texte ou la visualisation obligatoire pour accéder à un contenu.
Programmatique / achat programmatique : Recouvre l’ensemble des transac-
tions publicitaires opérées de manière automatisée et à l’unité : c’est l’acheteur
qui sélectionne l’impression et le profil sur lequel il souhaite diffuser. L’achat
programmatique peut être réalisé aux enchères (RTB) ou à CPM fixe. L’achat
programmatique peut-être Non-garanti ou Garanti.
Retargeting : Technique de ciblage consistant à adresser un message publici-
taire aux profils ayant visité au moins une fois le site de l’annonceur pour lequel
la publicité est adressée
Real-Time Bidding (RTB) : le RTB est un système dans lequel les espaces
publicitaires sont mis aux enchères en temps réel.
Demand-Side Platform (DSP) : plateforme sur laquelle les acheteurs peuvent
planifier, cibler, exécuter, analyser une campagne publicitaire digitale.
Supply-Side Platform (SSP) : plate-forme sur laquelle les éditeurs peuvent
mettre à disposition leurs inventaires par le biais d’un Ad-Exchange
Data Management Platform (DMP) : système centralisé permettant de collec-
ter des données first ou third party. Les informations collectées dans ce sys-
tème permettent d’élaborer des stratégies publicitaires en ciblant par exemple
des internautes.
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