Présenté dans le cadre du 7e Congrès des milieux documentaires. Montréal 2015
Projet de diffusion numérique à l'aide d'un petit boîtier (routeur Wi-Fi modifié)
7. Historique : valeurs associées
■ Confidentialité, anonymat et protection de la vie privée
« La protection de notre vie privée et de notre anonymat est
intimement liée à la préservation de nos libertés fondamentales. Or,
sur Internet, nous acceptons d'être espionnés en permanence par
Google ou Facebook, et par des agences d‘État. En échange, nous
recevons des services très pratiques, mais, à mon sens, c'est trop
cher payé." »
-David Darts
8. Historique : valeurs associées
■ Philosophie du libre / gratuit / open source / collaboratif
9. Historique : valeurs associées
■ Accès à l’information pour tous
■ Lutte contre la censure
■ DIY
■ Esprit pirate
10. Première déclinaison : LibraryBox
■ Jason Griffey (2012)
■ Boitier identique… ou presque
■ Inconfort avec la valeur “pirate”
■ NON au téléversement
11. De BiblioBox à docuBOX
■ Appropriation
■ Agora
– Évolutif
– Innover
– Outil de médiation (culturelle, documentaire et numérique)
« [...] la médiation numérique n’est donc ni de la communication ni du marketing public
au sens strict, mais se situe au cœur des métiers de l’information-documentation,
quelque part entre l’accompagnement à la recherche documentaire, la gestion/diffusion
de contenus et l’animation de communautés. »
-MERCIER, Silvère
– Sensibilisation au CC
12. Comme à Noël avec un nouveau
jouet
■ <li><a href="/low/">LowTech</a></li>
– Pas cher et facile à trouver
■ <li><a href="/fac/">Facile</a></li>
– 1ères modifications simples
■ <li><a href="/sou/">Soutient</a></li>
– Communauté
13. Attaches ta tuque avec d’la broche !
#header #top-nav ul li a {
■ Personnalisation
– TelNet
– SSH / FTP
– HTML / CSS
– Linux
■ Soutient
– Communauté, mais embryonnaire/exploratoire
■ Pas Facile
}
#header #top-nav ul li a:hover { background: #276FE2;}
?
14. En pratique – Sur le terrain
■ Constats
– % de la population sans téléphone intelligent
– Beaucoup de publicité – visibilité
■ De personne à personne
– « Hit & run »
■ Navigation rapide plutôt que consultation
■ Plus populaire = Photos
15. Rêvons à d’autres contextes
les divers usages
■ Éducation & Formation
■ Liberté
■ Communautaire
■ Urgence
■ Loisir
16. Et en bibliothèque?
■ la BiblioBox est un moyen supplémentaire et complémentaire de produire et de
diffuser du contenu, de transférer un peu plus et au plus grand nombre, de ce
capital intangible qui est celui de l’information et de la connaissance.
■ Biblio avec son temps
■ Les grands classiques
■ Outil de promotion
■ Hors les murs
■ Animation (medialab/fablab/chasse au trésor/libre-service)
17. Conclusion
■ Qui de mieux que le
spécialiste de l’information ?
■ Outil idéal pour mettre
de l’avant les valeurs de la profession
18. Nous tenons à remercier
Mathieu Campeau, Éric Leroux, Fabien & Katya,
Benjamin Bond et Nicolas Lévesque pour votre support
tout au long du projet, Merci!
Notes de l'éditeur
Les deux
Bonjour à tous
Mon nom est Lëa-Kim.
Merci d’être présent pour assister à notre conférence portant sur un projet de diffusion numérique original qui, peut-être vous inspirera.
Mon nom est Ivana
et voici docuBOx, la petite boite aux grands pouvoirs de diffusion
Ivana
Étant du genre: Mmmm… qu’est ce qu’on ajoute à nos vie déjà bien remplis? En plus d’une maitrise à temps plein, de la famille, du travail… Pourquoi pas faire un projet personnel!
Bien plus qu’un passage obligé, nous avions envie de profiter de la réflexion entamé dans la cadre de notre maitrise en science de l’information pour réaliser un projet qui contribuerait de façon plus concrète à la communauté.
N’étant pas affilié à une organisation, nous avions toute liberté de créer un projet en écho à notre propre bagage.
On désirait s’intégrer dans la culture urbaine pour diffuser plus largement et différemment de l’information. On souhaitait avoir un projet qui stimule des réflexions tout en adhérant à l’esprit collaboratif.
LËA
C’est donc une vision originale, une interprétation différente des moyens de diffusions qui nous stimulait.
Nos intérêts se rapprochant de ceux des bibliothèques délocalisées, on a cherché autour des projets de micro bibliothèque comme bibliobus ou bibliovélo, pour finalement découvrir les « dead drops ».
Souvent initié dans le cadre de projet artistique, elles se présentent comme un truc fascinant, mais rapidement on a constaté les limites tant au point de vue de la sécurité que de l’accessibilité.
De fil en aiguille, on en est venu à découvrir un moyen de diffusion numérique novateur, sécuritaire et accessible: la pirate Box!
Images :
Des élèves de l'école St. Francis, à Richmond, qui se mettent en file à la bibliothèque itinérante McLennan de McGill, 3 septembre 1959
Mac Juster. Canada. Ministère de la main-d'ouevre et l'immigration. Bibliothèque et Archives Canada, e011055639
Video :
https://vimeo.com/16620712
(https://www.flickr.com/photos/bartholl/sets/72157625142951009/)
(https://deaddrops.com/dead-drops/db-map/)
(http://tracks.arte.tv/fr/10-000-gigas-en-pleine-rue)
(http://wiki.labomedia.org/index.php/PirateBox)
LËA
En 2011 David Darts, enseignant au département d’Art à la New York University, cherche le moyen de partager en classe du contenu artistique soumis au copyright.
N’ayant pas l’autorisation de l’université pour verser son contenu sur les serveurs, il en vient à trouver une nouvelle solution en créant la Pirate Box.
Alliant l’Art contemporain, la technologie et la démocratie, sa démarche prend les couleurs de ses propres valeurs.
Source images : http://piratebox.cc/photos
(http://pirateboxfr.com/personnalisation-de-la-page-daccueil/)
IVANA
Mais comment ca marche au juste ce boitier?
On peut le définir assez simplement comme un boitier numérique qui permet le partage de tout type de fichiers. Il permet aussi d’échanger par clavardage tout ça, à travers un réseau Wi-Fi localisé. Donc, c’est pas internet!
Il suffit à l’utilisateur d’activer le réseau sur son téléphone intelligent, sa tablette ou son ordinateur pour accéder à un contenu numérique varié.
Cet outil permet de constituer une collection unique en son genre, accessible peu importe la plateforme et qui a l’avantage d’être modulable selon les besoins, peu importe le lieux. Tout petit, il se glisse super bien dans une poche, on peut l’amener partout et l’utiliser aussi longtemps que la pile le permet.
Il suffit de le «rendre visible» et d’inciter les gens à utiliser le réseau; une façon peu coûteuse, dynamique et originale de diffuser de l’information.
LEA
D’ailleurs, on vous invite à tester le boitier. Voici la procédure. Soyez à l’aise d’explorer le contenu et d’échanger vos commentaires durant notre présentation sur le clavardage qui est affiché à l’écran. C’est anonyme, alors faite vous plaisir!
(Proposition pour la docuBox: info sur mouvement open source /creative commons / médiation / liberté d’expression / censure (photo colibri?) / thèse /nos documents & photos de projet /…)
Image: partage le fichier entre pirate et appareil. Pas internet.
LEA
(Faire le lien avec diapo avant)
Parmi les nombreuse valeurs portées par le projet de la pirate Box, on retrouve celle de la confidentialité des échanges, l’anonymat et la protection de la vie privée.
Cette prise de position est intimement liée à la préservation de nos libertés fondamentales. Pour Darts, l’accessibilité aux réseaux internet comporte des risques d’atteinte à nos libertés trop cher payé pour ce que ca rapporte.
LEA
En prolongement à cette vision et en réaction aux réglementations trop restrictives du copyright, la philosophie du libre accès et de l’Open source est favorisé. D’ailleurs, toute la documentation entourant la réalisation d’un projet pirate est disponible en ligne.
Logo opensource : https://en.wikipedia.org/wiki/Open_Source_Initiative#/media/File:Opensource.svg
Logo GNUhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_libre#/media/File:Heckert_GNU_white.svg
Creative Commons
https://creativecommons.org/about/downloads
IVANA
En s’affranchissant d’internet, la pirate Box à l’avantage de pouvoir fonctionner dans toute les zones géographiques, même les plus isolées.
Cet aspect contribue à la lutte contre la censure. Il est facile d’imaginer contourner la censure d’un gouvernement oppressif en activant un boitier. Par exemple, on pense au printemps arabe ou à la censure imposé par le grand pare-feu de Chine.
Logiquement, le principe d’autonomie est important pour s’assurer que tout individu est capable de réaliser les tâches qui sont nécessaires pour se créer un boitier et ça, sans avoir a payer un spécialiste.
Evidemment, quand on pense pirate on pense pillage exemple. Une image qui rend inconfortable ceux pour qui le respect des législations est important.
Printemps Arabe :
Alice (Tahrir square) 13 mai 2011
https://www.flickr.com/photos/26385843@N06/5722160283
Chine :
Victor Wong (香港金鐘佔領街頭運動) 28 octobre 2014
https://www.flickr.com/photos/magicketchup/15562617818/
Chine :Pedro Vásquez Colmenares (Imperial Palace, Beijing) 11 juillet 2007
https://www.flickr.com/photos/pvcg/3408825380
LEA
C’est pourquoi en 2012, Jason Griffey, un bibliothécaire, décide d’adapter le projet. Il crée la LibraryBox, aussi appellé Bibliobox dans la francophonie, pour répondre à une philosophie plus près du respect du droit d’auteur. Il se dissocie de l’image pirate en mettant de l’avant le Creative Commons et en désactivant la fonction de téléversement. Une façon de s’assurer de l’intégrité des documents partagés sur une BiblioBox.
IVANA
On a donc eu envie de créer notre propre Bibliobox. On avait besoin d’un contexte pour tester le boitier. Plusieurs idées ont surgit, mais étant donné mon parcours personnel, c’est assez naturellement que nous avons collaboré avec l’Agora de la danse pour lancer notre projet de la docuBOX.
On propose une collection évolutive qui progresse au fur et à mesure que la programmation d’automne avance. On a sollicité la participation des artisans pour qu’ils fournissent du contenu exclusifs dévoilés au moment de leur semaine de représentation.
Cette offre documentaire innove l’expérience du spectateur. Elle se présente comme une plus value (valeur ajouté) à son expérience culturelle qu’il vient vivre à l’Agora.
on peut le voir comme un bon outil pour de la médiation puisque le boitier joue un rôle d’intermédiaire dans une relation de communication.
C’est comme un nouveau lieu de rencontre entre le spectateur et l’artiste, un lieu où le spectateur est guidé vers des savoirs favorisant la construction de nouvelle connaissance.
On peut donc dire médiation culturelle et documentaire où l’accent est mis sur la participation plutôt que sur l’accès.
Et pourquoi pas ajouter médiation numérique? (citation)
LEA
Pour notre projet, on a décidé d’utiliser un des appareils disponibles le moins cher possible et le plus autonome grâce à sa pile intégrée. Le model TP-LINK MR3040 peut se trouver très facilement et pour presque rien (+/- 60$). Pour le stockage des fichiers qu’on souhaite partager, il suffit d’utiliser n’importe quelle clé USB. Comme on voulait un appareil le plus compact possible, on a opté pour une micro-clé USB. C’était ainsi plus facile de camoufler le boitier au besoin.
BiblioBox dans son livre (compacte et transportable)
C’est bien beau un nouveau joujou, mais encore fallait-il en faire un appareil fonctionnel. Il a donc fallu modifier le firmware de l’appareil (étape très facile) pour ensuite débuter la personnalisation.
LEA
La personnalisation est, au départ, relativement facile. Comme pour les premières étapes de réalisation, il existe plusieurs forums ou sites web pour trouver les informations nécessaires, mais plus on a des besoins précis, plus l’information est difficile à trouver. On a vite réalisé que l’aspect technique allait prendre pas mal de place dans notre projet. Un projet de base, sans trop de modifications, ne demande pas une grande aisance en informatique, mais si on a l’intention de rendre la navigation plus agréable, d’ajouter des fonctionnalités ou d’en enlever, alors là il faut avoir quelques connaissances informatique et être à l’aise avec la recherche d’infos et la prise de risque.
Dans le cas de notre travaille à l’Agora de la danse, on a finalement opté pour un catalogue pour les documents images et une consultation directe par navigation pour les autres types de fichiers. La prise en charge des fichiers s’est donc beaucoup faite par l’entremise de pages Web et donc par la gestion de codes HTML et CSS.
IVANA
Évidemment, notre vision s’est confronté à la réalité du terrain.
Le projet docuBox vient tout juste de ce terminer la semaine dernière.
On n’a pas encore de bilan mais certains constats sont intéressant à partager
Étonnamment, bien qu’on a l’impression que l’utilisation des téléphones intelligent est répandue, une bonne part des spectateurs n’en avait pas. Ce qui semble etre une caractéristique de cette clientèle.
Afin de s’assurer que le boitier ne deviennent une tentation pour les voleurs potentiels, on a opté de l’installer derrière le bar. Ca permettait de diffuser du réseau dans tout le lobby.
Les plus grand défis à relever sont la visibilité du boitier. Tant dans le programme de soirée, que pour l’affichage qui comprend le logo et une procédure de connexion. On a même distribué des macarons aux employés.
Nous n’avons pas pu faire une annonce au public. C’est plutôt par des interventions individuelles qu’on a fait découvrir le service. Le bouche à oreille à par la suite fait une partie du travail.
Ça prend un réel engagement de la part de l’organisation. Le service doit être dirigé avec constance et l’équipe doit croire au projet.
Le réaction des gens est positive: ils sont curieux et découvrent avec intérêt le service… on a même eu un «fanbox»!
Le comportement des spectateurs est aussi un défi a relever. En général, les gens arrivent assez près de l’heure de la représentation et certains quittent très rapidement après. Beaucoup en profite pour se rencontrer et discuter… une dynamique autour de laquelle, il faut s’adapter et qui demande du temps.
C’est pourquoi se sont les photos qui ont susciter le plus d’intérêt. Un format bien adapté pour faire du furetage.
On a aussi eu droit à une belle surprise: des étudiants ont vraiment apprécié d’avoir accès au journal de bord d’une production. Pour eux, c’était un appui inattendu pour les aider à faire une analyse de spectacle.
LEA
Comment les aspects du boitier, que ce soit sa technologie, son aspect social, son espace physique commun, son anonymat ou sa composante «hors ligne», comment un dispositif de partage de contenu numérique peut être utilisé dans le monde?
Son usage pédagogique est déjà connu. Un enseignant peut transporter sa BiblioBox de classe en classe pour permettre aux élèves d’accéder à du contenu numérique lié à son enseignement.
La diffusion est facilitée, surtout lorsque des formations sont données dans des lieux variés et que l’accès au Wi-Fi local est parfois protégé par un mot de passe ou soumis à des restrictions d’utilisation.
Deux évènements nous ont permis de tester l’usage pédagogique de la docuBox.
Le premier est l’entrée scolaire des nouveaux étudiant de l’Ebsi.
Le deuxième est une conférence sur la censure organisé par Colibri.
Dans les deux cas, nous avons mis à la disposition des participants des pistes pour « en savoir plus ».
L’usage pour la liberté
On a déjà abordé la lutte contre la censure et la possibilité de déjouer la surveillance exercé par un état. Plus près de nos réalité, la docuBox était sur place à la manifestation des enseignants qui rassemblait des dizaines de milliers de personnes.
L’usage Communautaire
Quand internet est un problème, on peut imaginer fournir des contenus comme une encyclopédie collaborative bien connu: wikipédia à l’ensemble d’une communauté défavorisé.
Ceux pour qui internet n’est pas un problème, c’est davantage une position politique et idéologique qui est endossé. Pour les communautés pour qui s’est important, l’image projeté ce rapproche des groupes qui revendique xxx
IVANA
On ne le souhaite pas, mais imaginons une Box en situation d’urgence
En cas de catastrophe naturelle ou de guerre, il peut arriver que les canaux de communication habituels soient endommagés et que toute communication par des canaux tels que internet ou le téléphone soit difficile voire impossible. La Box offre alors une solution rapide et bon marché pour que les autorités ou des entités communautaires puissent diffuser des informations sur la situation d’urgence et l’attitude à adopter.
Loisir
Idéal pour des jeux qui ont lieu en extérieur, dans des environnements ruraux où la connexion à internet n’est pas garantie.
La Public Library Association aux Etats-Unis a justement mis en place une chasse au trésor à l’aide de quatre BiblioBox, dans le cadre de sa conférence annuelle en mars 2014.
(http://2014.placonference.org/librarybox/)
IVANA
Les bibliothèques souffrent encore souvent du stéréotype d’un lieu poussiéreux, sérieux et silencieux.
Par chance, cette image négative s’oppose aujourd’hui à celle d’une bibliothèque moderne, conviviale et partisane des nouvelles technologies de l’information.
Un lieu où le savoir découle de l’interaction entre les bibliothécaires, les médiateurs, et les usagers, les consommateurs de savoir.
Par la diversification des canaux de communication, on touche un public plus large. On peut penser aux grand classique comme Jules Vernes rassemblé dans un seul livre.
(docu dans un livre caché)
Le boitier peut être très utile pour mettre en valeur un fonds particulier ou pour accompagner des expositions thématiques.
(expo en bibliothèque)
Plusieurs idées déjà proposées démontrent qu’une BiblioBox « hors les murs » permet un accès flexible et mobile aux collections d’une bibliothèque.
Nous croyons que cela mérite d’être pris en compte lors d’une réflexion sur la mise en valeur des collections.
À l’image de notre projet, la réflexion sur des partenariats possibles semble également pertinente.
Par exemple, un partenariat entre la bibliothèque et une école, un musée ou une association permettrait une présence de la bibliothèque en ces lieux par le biais d’une BiblioBox.
Animation
Les créations des participants d’un ateliers-créations peuvent se retrouver dans une box
C’est un outil bien adapté aux activités plus ludiques telles que les chasses au trésor par exemple.
Pourquoi ne pas invités les participants à venir avec leurs ordinateurs, smartphones ou tablettes se servir directement sur la BiblioBox des logiciels libres sélectionnés et présentés par les bibliothécaires. On utilise la boitier non seulement pour sa fonction de partage, mais aussi pour promouvoir la culture du «libre» qui est une valeur clé de la bibliobox.
pour ceux qui sont curieux d’en savoir plus, on vous invite a consulter les documents présent sur la docuBox. Un complément d’information sur notre projet, le creative commons, open source, la médiation, …
(http://www.gnu.org/philosophy/open-source-misses-the-point.fr.html)