Projet Erasmus+ La classe en action! Échange de bonnes pratiques innovantes dans l'enseignement des langues étrangères. Rencontre en Belgique début février 2017. Visite au musée pour découvrir l'histoire des refugiés pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918). Présentation faite par Ann-Sophie Coene du Centre Educatif du Musée.
17. Musée In Flanders Fields
Un musée pour une nouvelle génération
•Une introduction au paysage de guerre de la Flandre occidentale
•Une introduction à la Première Guerre mondiale en Belgique
•Les éléments principaux: le paysage, les histoires de nombreux
individus, une perspective mondiale
18. • 1ière partie: Introduction & Invasion
2ième partie: La Grande Guerre ‘In Flanders Fields’
3ième partie: La guerre qui ne finit pas…
19. Plusieurs parcours à suivre dans le musée:
• chronologique (1914 -> 1918 -> 2018)
• personnel : petites histoires; rencontres individuelles ou générales
(personnage iconique, personalia)
• thématique (propagande, les réfugiés, la trêve de Noël, les prisonniers
de guerre, l’aspect multiculturel
• méditatif: balises (constructions grises) et contre-voix…
Dès le début de la guerre des milliers de Belges étaient poussés sur les routes de l’exil. Au plus fort des combats, en octobre 1914, 1,5 million de Belges, soit un quart de la population, trouvait refuge aux Pays-Bas, en France ou en Grande Bretagne.
Pourquoi?
Ceux qui étaient confrontés immédiatement et directement avec la guerre prenaient la fuite.
Dès qu’ils arrivaient en Belgique, les troupes allemandes ont commis des abus contre la population civile. Chaque fois que leur avance était retardée, ils cherchaient des boucs émissaire (des coupables). Des exécutions, des emprisonnements, des pillages (plunderingen), l’utilisations des boucliers humains, ...
Les citoyens et leurs maisons mais aussi des symboles culturels majeurs, des bâtiments historiques, des oeuvres d’art, des bibliothèques n’échappaient pas à cette terreur organisée.
Livre de la bibliothèque communale d’Ypres perforé par des tirs…
La panique à cause du comportement allemand se propageait rapidement à travers le pays. Les premiers témoins pouvaient raconter leur histoire pendant leur fuite. Au cours des dix derniers jours d‘août 1914, les Belges qui vivaient dans les zones qui ont été pratiquement épargnées par les combats, prenaient la fuite aussi.
De fin Août jusqu'à la chute d'Anvers le 8 Octobre 1914, la ville semblait un endroit sur. La foule venait de tout les coins de la région.Pendant les heures qui ont précédé la chute de la ville, les gens stupéfaits entendaient la nouvelle du départ du gouvernement belge. Le gouverneur militaire d'Anvers donnait le conseil de quitter la ville. En quelques heures, une foule immense remplissait les routes. Certains sont partis pour Gand, la plupart ont choisi la frontière néerlandaise.
Fin août, le gouvernement belge lançait le Comité officiel de l’aide au réfugié. Au début, ce comité essayait de pourvoir les réfugiés de nourriture et d’un logement.
Mais bientôt l'évacuation des réfugiés était sa principale préoccupation. Ils ont donc contacté le gouvernement britannique. Début septembre 1914, une connexion en bateau était organisée entre Anvers et Tilbury.
A partir d’août 1914, Ostende commençait à héberger les premiers réfugiés. Mais dans les jours après la chute d’Anvers, des trains surpeuplés sont arrivés. Au moment où Gand tombait dans les mains des Allemands, des milliers de gens se sont dépêchés vers la côte, à la recherche d’un bateau qui pouvait les emmener vers l’autre côté du Canal. La panique a atteint son apogée pendant les heures juste avant l'arrivée des Allemands. Ceux qui ne pouvaient plus prendre place dans un bateau, suivaient la côte littorale dans la direction des Pays-Bas ou la France où ils arrivaient en masse à Calais et Dunkerque.
A Calais tout les endroits libres étaient revendiquer, mais la ville n’était plus capable de gérer le nombre des réfugiés. Un grand groupe était rapatrier vers La Rochelle, depuis là leurs routes vers les différents départements dans le sud- sudouest de la France était organisé. Les autres réfugiés répandaient dans les diverses départements dans le nord, l’ouest, et dans le centre de la France. Ils se sont établi là-bas volontairement ou selon les instructions de la gouvernement français.
Het einde van de bewegingsoorlog remde de massale vluchtelingenstroom naar het buitenland sterk af. Maar tot het einde van de oorlog bleven de Belgen hun land ontvluchten: vrouwen die verlangden zich bij hun opgesloten echtgenoten te voegen, jongemannen die in het leger wilden treden of arbeiders die bedacht waren op een baan in het buitenland.
Fourteen years ago the focus of the scenography was already on the human experience in the war, on the personal testimonial of the war experience, as this brings the greatest possible public into contact with this subject. War demands such a public, in the facts as well as in the reflection or the commemoration.
Fourteen years ago the focus of the scenography was already on the human experience in the war, on the personal testimonial of the war experience, as this brings the greatest possible public into contact with this subject. War demands such a public, in the facts as well as in the reflection or the commemoration.