Billet d'humeur dans le magazine Start : Retour d’expérience d’un chef d’entreprise et de ses équipes; autres considérations oiseuses sur la résilience des organisations…
Paul Boulangé nous livre son point de vue sur l'incidence de l'accélération du temps sur le marché, le métier et l'organisation des agences conseil en stratégie média.
Ce qu'il fallait retenir de la conférence Frenchweb Day RH du 17 mars 2016.
Les informations disponibles dans ce rapport peuvent être réutilisées, sous réserve de citer les sources (intervenant concerné et Report Frenchweb Day Media).
Paul Boulangé nous livre son point de vue sur l'incidence de l'accélération du temps sur le marché, le métier et l'organisation des agences conseil en stratégie média.
Ce qu'il fallait retenir de la conférence Frenchweb Day RH du 17 mars 2016.
Les informations disponibles dans ce rapport peuvent être réutilisées, sous réserve de citer les sources (intervenant concerné et Report Frenchweb Day Media).
Bpifrance Inno Génération, c’est 24h non-stop d’innovation, d’inspiration, de networking ou encore de formation…
Découvrez le programme complet de cet événement qui se déroulera les 25 et 26 mai 2016 à l'AccorHotels Arena
Quelles relations entre startups et grandes entreprises ?Fabernovel
« Quelles relations entre start-up et grandes entreprises » - Une étude réalisée par FABERNOVEL pour Neuilly Nouveaux Médias.
Neuilly Nouveaux Médias présente les résultats d’une étude exclusive portant sur les relations entre les startups et les grandes entreprises. Objectifs de cette étude : identifier les principaux apports des relations entre grands groupes et jeunes pousses, mieux comprendre les obstacles rencontrés par ces dernières, et mettre en lumière des propositions pour améliorer ces relations.
L’Atelier BNP Paribas dévoile le portrait-robot de l’entrepreneur innovant en France. Qu’il soit "inventeur", "conquérant" ou "bâtisseur", le créateur d’entreprise innovante est un homme jeune et diplômé du supérieur. Motivé par la liberté et l’indépendance, il est satisfait de ses choix.
Dans un marché en plein mouvement et en pleine mutation, l’innovation seule ne garantit pas le succès des start-up et des PME.
Il est nécessaire que les entreprises évoluent vers de nouveaux modèles où l’agilité et la réactivité sont des facteurs clés.
Valéry Naula et Claude Super présentent un Livre Blanc destiné aux start-ups et PME romandes afin de les aider à mettre en œuvre une démarche du type entreprise 2.0 pour améliorer leur compétitivité et répondre aux objectifs de demain.
Ce petit guide est là pour leur dire que la solidarité, que l’on renomme « responsabilité sociale » dans le monde de l’entreprise, est l’affaire de tous.
Bpifrance Inno Génération, c’est 24h non-stop d’innovation, d’inspiration, de networking ou encore de formation…
Découvrez le programme complet de cet événement qui se déroulera les 25 et 26 mai 2016 à l'AccorHotels Arena
Quelles relations entre startups et grandes entreprises ?Fabernovel
« Quelles relations entre start-up et grandes entreprises » - Une étude réalisée par FABERNOVEL pour Neuilly Nouveaux Médias.
Neuilly Nouveaux Médias présente les résultats d’une étude exclusive portant sur les relations entre les startups et les grandes entreprises. Objectifs de cette étude : identifier les principaux apports des relations entre grands groupes et jeunes pousses, mieux comprendre les obstacles rencontrés par ces dernières, et mettre en lumière des propositions pour améliorer ces relations.
L’Atelier BNP Paribas dévoile le portrait-robot de l’entrepreneur innovant en France. Qu’il soit "inventeur", "conquérant" ou "bâtisseur", le créateur d’entreprise innovante est un homme jeune et diplômé du supérieur. Motivé par la liberté et l’indépendance, il est satisfait de ses choix.
Dans un marché en plein mouvement et en pleine mutation, l’innovation seule ne garantit pas le succès des start-up et des PME.
Il est nécessaire que les entreprises évoluent vers de nouveaux modèles où l’agilité et la réactivité sont des facteurs clés.
Valéry Naula et Claude Super présentent un Livre Blanc destiné aux start-ups et PME romandes afin de les aider à mettre en œuvre une démarche du type entreprise 2.0 pour améliorer leur compétitivité et répondre aux objectifs de demain.
Ce petit guide est là pour leur dire que la solidarité, que l’on renomme « responsabilité sociale » dans le monde de l’entreprise, est l’affaire de tous.
Mes deux premiers posts s’intéressaient aux nouveaux acteurs qui rebattent les cartes de l’économie mondiale — obligeant les entreprises dites traditionnelles à se réinventer — et à leur capacité de devenir les leaders de demain. Je me propose dans ce nouveau billet de voir ce qu’il convient de faire afin d’éviter d’être « disrupté » ou « uberisé ».
Livre blanc "Les métamorphoses de l'entreprise face à l'imprévu - Tome 1 : la...TelecomValley
Initié suite à la Nuit du Capital Humain et de l’Intelligence Collective en septembre 2020, la communauté éponyme publie son premier Livre blanc « Les métamorphoses de l’entreprise face à l’imprévu – Tome 1 : La crise sanitaire ».
Co-écrit par un collectif de rédacteurs, l’objectif de ce Livre Blanc est d’apporter des pistes de réflexions et des solutions envisageables aux problématiques identifiées, auxquelles les entreprises font face en cette période de crise.
Les Echos - Pourquoi les générations Y et Z quittent si vite les entreprises ?Bruno A. Bonechi
Lors du recrutement de talents, les entreprises pensent qu’il su!t d’installer un espace de jeux et de repos. Mais ce à quoi ils ne s’attendaient pas, c’est que les nouvelles générations ont maintenant des besoins et des désirs beaucoup plus sophistiqués qui ne seront pas facilement influencés par un concept "start-up". Alors, comment fidéliser ces nouveaux et futurs collaborateurs ?
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Billet d'humeur dans le magazine Start : « Fais pas ci, fais pas ça, Viens ici, mets-toi là, Attention, prends pas froid, Ou sinon gare à toi, Mange ta soupe, allez, brosse toi les dents, Touche pas ça, fais dodo, Dis papa, dis maman, Fais pas ci fais pas ça » Qui aurait pu croire que l’injonction de Jacques Dutronc deviendrait le slogan de notre société déboussolée du début du 21 e siècle ? Les hérauts de l’interdiction, les chantres de la
réglementation, les régulateurs de la vie humaine ont pris le pouvoir...
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This document provides the table of contents for a training manual on Keycloak. The table of contents lists 17 chapters that cover topics like using Keycloak SPIs, debugging Keycloak, configuring logging, multifactor authentication, user federation, authentication flows, OpenID Connect, UMA, and examples of using offline tokens. It provides an overview of the content included in the training manual.
This document provides an overview of Keycloak and discusses how to set up and use Keycloak for identity and access management. It covers Keycloak concepts, installation, configuration of realms and clients, integration with applications, and examples of OAuth 2.0, OpenID Connect, and SAML usage with Keycloak. Debugging and analyzing Keycloak implementations is also demonstrated.
This document provides an overview of using the User Managed Access (UMA) protocol and Keycloak for authorization. It describes UMA concepts like request tokens, resources, and permissions. It then demonstrates a sample UMA photo sharing application implemented with Keycloak. The application allows users to create photo albums, share albums with other users, and request access that can be approved or revoked. It also shows how to interact with the UMA functionality through REST APIs to perform actions like requesting access tokens, viewing resources, and managing permissions.
This document provides an overview of training for KeyCloak - Redhat SSO advanced topics. It covers various prerequisites and then discusses several advanced KeyCloak topics like using the SPI to add a custom event listener, debugging KeyCloak SPIs using Eclipse, configuring the KeyCloak logger, enabling multifactor authentication using OTP, understanding MFA concepts in KeyCloak, mapping LDAP groups to KeyCloak roles, getting an access token from LDAP values, using client scopes, understanding client authenticators, understanding token usage including offline tokens, examples of using offline tokens, understanding KeyCloak user federation, customizing the KeyCloak authentication flow, using the Apache mod_auth_openidc module with KeyCloak
This document provides an overview of training for Red Hat Single Sign-On (RH-SSO). It covers prerequisites, installing RH-SSO, starting the RH-SSO server, creating realms and users, and examples of using RH-SSO with client applications. Specific topics covered include cloning RH-SSO examples, registering applications with RH-SSO, configuring the Keycloak adapter, and testing login flows. The document also provides pointers for understanding OAuth2, OpenID Connect, and using RH-SSO's REST API and authorization services.
This document provides an agenda and overview for an OpenIDM training covering topics like installation, configuration of connectors, reconciliation, provisioning workflows, security hardening, and more. The training includes hands-on exercises for connecting OpenIDM to data sources like XML, LDAP, SQL and Active Directory and demonstrating reconciliation, mapping, role-based access control and provisioning workflows.
Pourquoi Busit et Jaguards rapprochent leurs offres : Les deux entreprises, l'une basée à Nice et l'autre à Sophia-Antipolis, rapprochent leur offre individuelle en une offre commune. Le but, notamment, est d'adresser un marché plus large avec une solution de bout en bout. A commencer par la maintenance industrielle
JAGUARDS, éditeur de solutions de gestion opérationnelle, de maintenance et de traçabilité des évènements de sécurité, et BUSIT, éditeur de solutions de pilotage IoT, Big Data et analytique dédiées à la gouvernance et la maîtrise énergétique du bâtiment et de l’industrie, sont heureuses d’annoncer leur partenariat en vue de proposer une offre commune, pour répondre aux enjeux de maintenance industrielle.
La tribune ce que booster apporte à semantic expertsPascal Flamand
SemanticExperts à l'honneur dans la Article La Tribune à l'occasion du challenge Booster PACA avec la solution de gestion de crise et des risques Jaguards Collectivités
This document discusses the Core Token Service (CTS) in OpenAM 13.5. It provides an overview of CTS and its requirements. It also covers the architectural considerations for CTS including active/passive and affinity configurations. Additionally, it outlines the steps to configure CTS including OpenDJ setup, CTS files import, and OpenAM configuration. Managing CTS tokens and monitoring CTS with SNMP are also addressed. Pointers to documentation and knowledge base articles on CTS are provided.
Article "Un an de télétravail et de COVID" dans le magazine Start
1. st a r t A im e
L E S O P I N I O N S
84 START MAGAZINE
de BFMTV et des spécialistes, Cassandre
auto-proclamés de la médecine (qu’ils
aillent, non pas au diable, mais aider les
formidables équipes de réanimation qui se
battent jours et nuits contre la pandémie au
lieu de courir les plateaux télé), où comment
assurer la résilience de nos organisations
dans un monde sans certitudes et à l’avenir
pour le moins flou !
Ilfautcomprendrequetouteslesentreprises
sont différentes ; avec des besoins, des
contraintes et des possibilités diverses, ne
serait-ce qu’au regard de leur taille ; et
même au sein d’un même secteur d’activité,
un code APE ne veut rien dire sur les
pratiques et le management de l’entreprise.
De l’éloge de la diversité !
Pour essayer de faire une rapide synthèse et
un retour d’expérience au regard de ces
douze mois écoulés, nous pouvons
grossièrement et arbitrairement définir
quatre catégories de protagonistes et
d’expériences :
Ceux qui sont ni pour, ni contre, bien au
contraire. Et qui au fur et à mesure de cette
année écoulée, les premières exaltations de
la nouveauté s’atténuant, commencent à
trouver le temps long et migrent vers l’une
des trois autres catégories suivantes.
Ceux qui s’épanouissent dans le
télétravail, qui ont du mal a travailler au
bureau, qui ont du mal à supporter leurs
collègues en « présentiel » mais qui les
adorent à distance. On les retrouve souvent
dans des pays lointains ou des régions
reculées vivant en mode bohème...Ils
donnent le meilleur d’eux mêmes et sont
hyper-productifs dans cette situation...Ils
existent depuis plusieurs années, n’ont pas
attendus le confinement généralisé pour
s’échapper d’un système qui ne leur
convient pas...
Ceux qui sont en grande souffrance en
télétravail, la majorité autour de nous, de
notre expérience les plus jeunes, les plus
impliqués dans l’organisation, ceux qui
aiment leurs collègues et s’épanouissent
dans le collectif, ceux qui ont besoin de « voir
du monde » et ceux qui pensent le contact
humain comme un enrichissement mutuel.
Ou bien ceux qui supportent leur famille à
petite dose, où pour paraphraser Jean-Paul
Sartre quand le « Huis Clos » se transforme
en « Nausée ». Ceux qui vivent dans de
petits espaces et qui n’aspirent qu’à s’en
échapper (et pour qui le confinement est
punition) Où quand on oublie que le travail
est aussi source d’émancipation et le
contact humain source de progression (et
de bonheur). L’entreprise est pour un grand
nombred’entrenousl’endroit où nousavons
trouvé l’âme sœur et nos amis les plus
fidèles, quitte à y passer un tiers de son
temps, autant que cela soit dans la joie et
la bonne humeur.
(pénalement) de la santé de ses salariés au
travail.
La souffrance psychologique de bon
nombre de salariés en télétravail (le chef
d’entreprise est toujours responsable pénal
de la santé de ses salarié(e)s au travail).
Etl’obligationdecontinueràproduirepour
assurer un avenir financier et une pérennité
à l’entreprise et à ses salariés dans une
période compliquée au niveau business.
Un patron de TPE est déjà directeur
financier, directeur commercial, directeur
des ressources humaines, Chief Hapiness
Officer, il doit devenir en sus spécialiste en
protocoles sanitaires à mettre en œuvre du
jour au lendemain et apprendre à décrypter
des décrets abscons et sans cesse
renouvelés, raisonnablement inapplicables
en TPE/PME.
Où quand le chef d’entreprise s’apparente (il
en a quand même l’habitude et souvent la
vocation) à Atlas «à la suite de sa défaite
dans la guerre des Titans contre les dieux de
l'Olympe et Zeus pour régner sur le monde,
ce dernier le condamne à porter le monde
pour l'éternité sur ses épaules » – Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Atlas_(mythol
ogie.
Ou comment garder le cap, donner une
vision positive journalière à long terme à ses
collaborateurs en passant après les délires
A
vant toute chose, nous sommes
une TPE agile (ou à minima le
revendiquons)… Et je dis « nous »
parce que l’entreprise, surtout la TPE/PME,
est un tout, une communauté de destin et
de destinée... Nous sommes une famille,
nous sommes unis (je sais cela fait un peu
paternaliste...). Et nous pratiquions déjà
largement le télé-travail avant la pandémie,
sans cadre légal ni injonction
gouvernementale. Nous l’avons un peu
amplifié au cours de ces derniers mois et
nous avons surtout avec amusement
regardé ce qui se passait autour de nous
dans notre écosystème. En particulier dans
quelques grands groupes, que nous ne
citerons pas par charité, qui il y a un an
n’envisageaient absolument pas le
télétravail, et nous expliquaient doctement
que c’était impossible, impensable et
inenvisageable chez eux !
Cet article est écrit au début du troisième
confinement, nous ne voyons pasleboutdu
tunnel (comme tout le monde), et nous
avons honnêtement énormément souffert
(et ce n’est pas fini...) des injonctions
contradictoires de cette période
compliquée :
Le gouvernement nous demande (sans
pouvoir l’imposer) d’être tous en télétravail,
le chef d’entreprise est responsable
Un an de télétravail
et de COVID
DE PASCAL FLAMAND
Retour d’expérience d’un chef d’entreprise et
de ses équipes; autres considérations oiseuses
sur la résilience des organisations…
L E B I L L E T D ’ H U M E U R D E
P A S C A L F L A M A N D
2. st ar t Ai me
L E S O P I N I O N S
START MAGAZINE 87
Ceux pour qui le travail a peu de valeur et
est purement alimentaire, sûrement parce
que leur employeur n’a pas su leur donner
un cadre intéressant et responsabilisant,
ceux pour qui l’étymologie du mot travail
vient du latin tripalium (instrument de
torture de la Rome antique) et qui se
trouvent très bien chez eux ; ceux qui n’ont
même plus besoin de faire semblant...Où
quand l’horrible mot « présentiel » prend
toute sa signification, celui de la« présence »
en entreprise ! C’est triste et les chefs
d’entreprise ont une grande responsabilité
dans cet état de fait. J’avoue humblement
ne pas avoir ce genre de sujet au sein de
mes organisations et m’en félicite !
Le télé-travail à haute dose
imposé produit aussi d’autres effets de
bords non négligeables, à moyen et
long terme :
La créativité à distance via Zoom™ ou
Teams™ est une chimère, toutes les
sociétés ont noté une baisse dramatique de
la créativité des équipes (et de leur
implication) au bout de quelques semaines
en isolement forcé.
Le télé-travail interdit tout lancement de
nouveau projet, il permet juste à un projet
en cours de se terminer le moins mal
possible, mais ne permet en aucun cas le
lancement de nouveaux challenges. Nos
sociétés (du moins les plus modernes et
agiles d’entre elles) travaillent en mode
projet avec des équipes qui se créent le
temps ad-hoc et se dissolvent après,
chaque acteur repartant sur de nouveaux
projets dans une équipe différente. Un
travail en mode projet étant basé sur la
confiance mutuelle et la connaissance fine
de ses collègues, de leurs compétences et
de leurs contraintes personnelles.
Et, sans doute le plus important, il est
éminemment compliqué d’embaucher et
de faire démarrer un nouveau collaborateur
en mode télé-travail sans le mettre en
grande difficulté. Toute intégration, toute
adhésion à la culture et à la mission de la
société paraît hautement illusoire à
distance viacaméra etje nevousparleparle
des apprentis et stagiaires qui en sus n’ont
pas eu de cours depuis plusieurs mois et se
languissent de la vie étudiante...Je plains
sincèrement les étudiants d’aujourd’hui et
l’image de l’entreprise et l’avenir que nous
leur proposons. En résumé, le télé-travail
imposé peut éventuellement marcher dans
les entreprises qui ne fonctionnent pas en
mode projet, qui ne sont pas en croissance
et qui évoluent peu dans leurs pratiques et
process et celles qui ont une taille
certaine...En étant un peuprovocateur, celles
donc qui sont vouées à mourir lentement en
épuisant psychologiquement leurs salariés.
Il nous faut collectivement, chefs
d’entreprises, salariés, partenaires éviter que
« les sociétés à mission » ne deviennent le
dernier « washing » à la mode (après le
Green-Washing, le « xxx-washing », etc..)
mais qu’au delà des mots cela devienne
réalité ancrée dans l’ADN de nos
organisations.
Écouter les souffrances de tous les
collaborateurs, les écouter tout simplement,
et individualiser les solutions au regard des
attentes et des compétences de chacun en
corrélation avec les possibilités des
entreprises.
Individualiser les modes de travail, les RH
des grandes entreprises doivent arrêter de
penser « populations, process et
programmes » mais parler avec des
personnes, avec des humains, des individus,
en prenant en compte toutes leurs
différences et leurs complexités, bref faire
leur vrai métier !
L’humain, avant tout, doit être la règle et
le maître mot ! Sans humain, point
d’humanité !
Toutcelanesedécrètepas, toutcelanedoit
pas être une phrase pompeuse glissée dans
un rapport annuel pour les actionnaires et
la bourse, pour faire « politiquement
correct » et se dédouaner de ses
responsabilités. C’est une tâche ardue, de
tous les jours ; une expérimentation en
mode itératif sur le long terme et c’est le
travail de toutes et tous, salariés comme
chefs d’entreprises, il en va de la survie de
nos entreprises et de notre société et du
vivre ensemble !
Il nous faut vivre et améliorer le système
aujourd’hui, il nous faut nous battre contre
cette pandémie, il nous faut rire et
pleurer....Et vive les restaurants, vive les bars
avec des amis, vive la vie sociale ; si
complexe et tellement enrichissante !
Et je ne résiste pas au plaisir de partager
deux citations avec vous : « Etre humain
c'est aimer les hommes. Etre sage c'est les
connaître. » Lao-Tseu et « Pendant que
nous sommes parmi les hommes,
pratiquons l'humanité. » Sénèque.
Et le monde de demain ?
Ce poncif éculé du « monde de demain »
nous fait au mieux sourire, au pire bondir.
Ce monde « de demain » nous l’inventons,
l’expérimentons, l’itérons et le mettons en
œuvre tous les jours depuis de nombreuses
années, nous tous, collectivement, salariés
et chefs d’entreprises de Startup, TPE et
PME. De temps à autres sans cadre légal,
contre l’administration, mais pour le bien de
tous !
Le « monde de demain » est un vœu pieux
pour celles et ceux qui ne veulent pas
s’impliquer aujourd’hui et prendre de
décisions par eux-mêmes; le « monde de
demain » c’est celui de celles et ceux qui
n’ont pas envie de se battre, de se remettre
en question au quotidien et attendent tout
d’un « Deus Ex Machina » providentiel ou
d’un miracle qui n’existe que dans le monde
du théâtre et de l’illusion ! Attendre
désespérément le monde de demain, c’est
vivre dans le passé et surtout dans la
paresse et la peur de se colleter avec le
présent.
Laissez nous vivre, laissez nous inventer,
laisser nous prendre le relai sur le terrain! Le
monde d’aujourd’hui est différent (je ne
parle même pas du monde de demain), il
est divers, pluriel ; il change rapidement ; il
est pluriculturel, inclusif et mondialisé et il
n’a que faire des systèmes de
management obsolètes et des rentes de
situations séculaires !
Nous sommes responsables, nous
avançons collectivement, nos salariés ne
sont pas des tires au flanc qui s’en fichent
et viennent pointer le matin, les chefs
d’entreprises ne sont pas des profiteurs
égoïstes qui ne pensent qu’à s’enrichir,
oubliez les poncifs éculés et la lutte des
classes, laissez-nous gérer nous même
notre présent et notre futur, parions sur
l’intelligence collective des entreprises, de
leurs responsables et de leurs salariés !
Le monde de demain c’est aujourd’hui et il
existe, n’attendez que d’autres décident à
votre place, laissez lui sa chance, laissez
nous notre chance !
En guise de conclusion provisoire
Les chefs d’entreprises doivent se remettre
(le rédacteur de ce post en premier lieu!) en
question, rapidement, honnêtement et
durablement en évitant les effets de mode
éphémères, le politiquement correct et les
buzzwords :
Il nous faut collectivement, chefs
d’entreprises, salariés, partenaires,
(re)donner du sens au travail, (re)donner une
mission à l’entreprise et œuvrer pour le bien
commun.
«L’HUMAIN,AVANT
TOUT,DOITÊTRELA
RÈGLEETLEMAÎTRE
MOT !SANSHUMAIN,
POINTD’HUMANITÉ !»