#capcom15 - AT13 : Qu'attendent les publics éloignés de la communication loca...Cap'Com
Un Français sur quatre s’intéresse peu à l’information locale et s’avoue peu concerné par la communication publique. Le Baromètre de la communication locale 2015 fait apparaître des différences notables entre les attentes de ce public et celles de l’ensemble de la population française. Des différences dans l’utilisation des outils mais aussi dans les thématiques qui les intéressent. Or, pour toutes les collectivités, ces habitants, plus jeunes, plus urbains, ne peuvent être délaissés par les communicants. Mieux les comprendre, c’est mieux les toucher. Les enseignements de ce sondage grand public, réalisé par Harris Interactive et l’agence Epiceum, en partenariat avec Cap’Com et La Poste, éclaireront les stratégies à tenir.
#capcom15 - AT14 : Peut-on mutualiser la communication des territoires ? Cap'Com
Alors que la mutualisation des services communication semblait être une tendance naturelle, celle-ci s’avère moins évidente depuis les dernières élections. Les stratégies et le positionnement des intercommunalités supposent des axes de communication différents de ceux portés par la ville centre. Surtout lorsque les exécutifs ne se confondent pas, au point que certains services ont même été démutualisés. Les voies de coopération sont cependant nombreuses, notamment en ce qui concerne la coordination des outils et des prestations techniques. Elles permettent de penser une nouvelle relation entre l’agglomération et l’ensemble des communes qui la composent. Une réflexion conduite à partir des résultats du dernier Baromètre de la communication intercommunale, réalisé en avril 2015 par l’Assemblée des Communautés de France, Cap’Com, l’agence Epiceum et l’institut d’études Occurrence.
Près de 10 ans après la première édition du Baromètre de la communication locale, Epiceum et Harris Interactive ont de nouveau mesuré l’opinion des Français sur les supports édités par les collectivités locales. L’enquête, menée en partenariat avec La Poste Solutions Business et Cap’Com, est un outil indispensable aux communicants publics et aux élus pour comprendre l’usage et la perception de la communication locale par les Français.
Baromètre de la communication locale 2013 - Epiceum - Harris Interactive - Ca...Cap'Com
Document de synthèse des résultats de la 3ème édition du Baromètre « Les français et la communication locale », étude de référence qui, tous les deux ans, permet de mieux comprendre comment les Français perçoivent la communication de leurs collectivités locales, les médias locaux qu’ils utilisent et l’information qu’ils en attendent.
La pandémie et l’ampleur des défis climatiques ont fait bouger l'opinion publique. Entre défiance envers “le système” et attente d’une action publique plus proche, quelles valeurs les Français privilégient-ils, conscients d’être entrés dans une société en transition ?
En s'appuyant sur les études d’opinion qu’il mène et au regard des résultats du Baromètre Epiceum & Harris interactive de la communication locale 2020, Jean-Daniel Lévy nous dresse un tableau de l'opinion publique et des aspirations nouvelles des Français.
Avec Jean-Daniel Lévy, politologue, directeur délégué d’Harris Interactive France - stratégies politiques et d’opinion.
Décryptage de la communication digitale d'Anne Hidalgo et de Nathalie Koscius...Damien ARNAUD
Dans le cadre de son Master 2 Sémiologie et communication suivi à l'Université Paris Descartes, Damien Leborgne a réalisé un mémoire sur : ''Les pratiques de communication digitale dans la campagne pour l’élection municipale 2014 à Paris : les enjeux du discours politique''. Le Cercle des communicants francophones (CCF ) a été très intéressé par son travail d'analyse et lui a proposé de le présenter. Damien Leborgne est aujourd'hui Consultant éditorial à l'agence Babel.
#capcom15 - AT13 : Qu'attendent les publics éloignés de la communication loca...Cap'Com
Un Français sur quatre s’intéresse peu à l’information locale et s’avoue peu concerné par la communication publique. Le Baromètre de la communication locale 2015 fait apparaître des différences notables entre les attentes de ce public et celles de l’ensemble de la population française. Des différences dans l’utilisation des outils mais aussi dans les thématiques qui les intéressent. Or, pour toutes les collectivités, ces habitants, plus jeunes, plus urbains, ne peuvent être délaissés par les communicants. Mieux les comprendre, c’est mieux les toucher. Les enseignements de ce sondage grand public, réalisé par Harris Interactive et l’agence Epiceum, en partenariat avec Cap’Com et La Poste, éclaireront les stratégies à tenir.
#capcom15 - AT14 : Peut-on mutualiser la communication des territoires ? Cap'Com
Alors que la mutualisation des services communication semblait être une tendance naturelle, celle-ci s’avère moins évidente depuis les dernières élections. Les stratégies et le positionnement des intercommunalités supposent des axes de communication différents de ceux portés par la ville centre. Surtout lorsque les exécutifs ne se confondent pas, au point que certains services ont même été démutualisés. Les voies de coopération sont cependant nombreuses, notamment en ce qui concerne la coordination des outils et des prestations techniques. Elles permettent de penser une nouvelle relation entre l’agglomération et l’ensemble des communes qui la composent. Une réflexion conduite à partir des résultats du dernier Baromètre de la communication intercommunale, réalisé en avril 2015 par l’Assemblée des Communautés de France, Cap’Com, l’agence Epiceum et l’institut d’études Occurrence.
Près de 10 ans après la première édition du Baromètre de la communication locale, Epiceum et Harris Interactive ont de nouveau mesuré l’opinion des Français sur les supports édités par les collectivités locales. L’enquête, menée en partenariat avec La Poste Solutions Business et Cap’Com, est un outil indispensable aux communicants publics et aux élus pour comprendre l’usage et la perception de la communication locale par les Français.
Baromètre de la communication locale 2013 - Epiceum - Harris Interactive - Ca...Cap'Com
Document de synthèse des résultats de la 3ème édition du Baromètre « Les français et la communication locale », étude de référence qui, tous les deux ans, permet de mieux comprendre comment les Français perçoivent la communication de leurs collectivités locales, les médias locaux qu’ils utilisent et l’information qu’ils en attendent.
La pandémie et l’ampleur des défis climatiques ont fait bouger l'opinion publique. Entre défiance envers “le système” et attente d’une action publique plus proche, quelles valeurs les Français privilégient-ils, conscients d’être entrés dans une société en transition ?
En s'appuyant sur les études d’opinion qu’il mène et au regard des résultats du Baromètre Epiceum & Harris interactive de la communication locale 2020, Jean-Daniel Lévy nous dresse un tableau de l'opinion publique et des aspirations nouvelles des Français.
Avec Jean-Daniel Lévy, politologue, directeur délégué d’Harris Interactive France - stratégies politiques et d’opinion.
Décryptage de la communication digitale d'Anne Hidalgo et de Nathalie Koscius...Damien ARNAUD
Dans le cadre de son Master 2 Sémiologie et communication suivi à l'Université Paris Descartes, Damien Leborgne a réalisé un mémoire sur : ''Les pratiques de communication digitale dans la campagne pour l’élection municipale 2014 à Paris : les enjeux du discours politique''. Le Cercle des communicants francophones (CCF ) a été très intéressé par son travail d'analyse et lui a proposé de le présenter. Damien Leborgne est aujourd'hui Consultant éditorial à l'agence Babel.
"Les TIC ou le renouvellement des pratiques de développement social urbain". ...crdsu
Ce numéro des Échos reprend la trame et le contenu d'une journée régionale organisée le 14 décembre 2012 à Aix-les-Bains.
Imaginée comme un espace de débat et d'échanges sur les enjeux liés aux inégalités numériques dans les quartiers, trois thèmes ont ponctué cette journée :
* en quoi l'accompagnement des pratiques numériques revêt-il un enjeu particulier sur les territoires de la politique de la ville ?
* Comment le numérique peut-il être un outil au service d'un projet de développement social urbain ?
* Quels sont en particulier les enjeux autour de l'éducation, de l'insertion et de la citoyenneté ?
Ce numéro s'articule autour de cinq parties : La première est consacrée à une approche théorique de la question alors que les trois suivantes s'appuient sur les travaux en ateliers et croisent, pour chacune des trois thématiques, les présentations d'expériences, les points saillants du débat, les préconisations ressorties du travail collectif ainsi que les réactions des participants. Une dernière partie s'intéresse aux points de convergence entre les trois ateliers, mais aussi aux questions en suspens.
#CapCom17 : AT21 - [Etude] Les amours contrariées de la com publique et de la...Cap'Com
Une présentation de l'étude Cap'Com "La communication vue par les dircabs" réaliseé en octobre 2017.
Après les maires, et les DG, le troisième volet de la série « La communication vue par... » s’attache à la vision des directeurs et collaborateurs de cabinet. Une étude réalisée par Cap’Com et ComPol avec les associations de collaborateurs de cabinet Dextera et DirCab et l’institut d’études Occurrence. Interlocuteurs quotidiens des communicants, les dircabs ont une approche souvent plus politique de la communication. Mieux la comprendre, c’est savoir mieux travailler ensemble au service de la communication publique.
Kantar et Vox Populi a mené une analyse sémantique des tweets émis dans le cadre des Municipalest, à Paris et dans les 10 plus grandes villes de France.
Internet, outil secondaire d'information ou nouvelle scène du débat politique ? Josselin Colletta
Nous souhaitions comprendre l’incidence d’internet sur les pratiques d’information, et à isoler la place d’internet dans l’univers de l’information politique, du militantisme, du vote. Mais également à étudier l’émergence des nouvelles pratiques démocratiques de l’ère numérique.
Une étude produite dans le cadre de la L3 Science politique de l'Université de Montpellier en 2015, par Gaëtan Bonnier, Aurélie Chauveau-Caron, Josselin Colletta, Anthony Detrier, Guillaume Gomez, Mathieu Message, Jordan Proisy et Manon Riesi.
Les français et la communication locale - Synthèse du baromètre 2001Cap'Com
Document de synthèse des résultats de la 2ème vague du baromètre de la communication publique locale réalisé par l’Institut CSA et l’agence Epiceum en partenariat avec Cap’Com.
Confrontés à une conjoncture socio-économique fluctuante, les jeunes générations en butte à la précarité ne semblent pas trouver de remèdes efficaces dans les idées portées par les partis politiques traditionnels. Si bien que les fervents défenseurs des démocraties occidentales (où le vote n’est pas obligatoire) s’inquiètent...
Por qué los docentes no aceptan el 30,9Hugo Lionel
El documento expresa la insatisfacción de los docentes con el aumento salarial del 30,9% anunciado por el gobierno. Señala que el aumento no alcanza a la mayoría de los docentes como maestros de inicial, educación especial, bibliotecarios e inspectores. Además, solo beneficia al 20% de los docentes en actividad y no se incorpora al salario básico. El aumento real en los bolsillos de los docentes es menor, la infraestructura y servicios como comedores y transporte siguen siendo deficientes, y la
"Les TIC ou le renouvellement des pratiques de développement social urbain". ...crdsu
Ce numéro des Échos reprend la trame et le contenu d'une journée régionale organisée le 14 décembre 2012 à Aix-les-Bains.
Imaginée comme un espace de débat et d'échanges sur les enjeux liés aux inégalités numériques dans les quartiers, trois thèmes ont ponctué cette journée :
* en quoi l'accompagnement des pratiques numériques revêt-il un enjeu particulier sur les territoires de la politique de la ville ?
* Comment le numérique peut-il être un outil au service d'un projet de développement social urbain ?
* Quels sont en particulier les enjeux autour de l'éducation, de l'insertion et de la citoyenneté ?
Ce numéro s'articule autour de cinq parties : La première est consacrée à une approche théorique de la question alors que les trois suivantes s'appuient sur les travaux en ateliers et croisent, pour chacune des trois thématiques, les présentations d'expériences, les points saillants du débat, les préconisations ressorties du travail collectif ainsi que les réactions des participants. Une dernière partie s'intéresse aux points de convergence entre les trois ateliers, mais aussi aux questions en suspens.
#CapCom17 : AT21 - [Etude] Les amours contrariées de la com publique et de la...Cap'Com
Une présentation de l'étude Cap'Com "La communication vue par les dircabs" réaliseé en octobre 2017.
Après les maires, et les DG, le troisième volet de la série « La communication vue par... » s’attache à la vision des directeurs et collaborateurs de cabinet. Une étude réalisée par Cap’Com et ComPol avec les associations de collaborateurs de cabinet Dextera et DirCab et l’institut d’études Occurrence. Interlocuteurs quotidiens des communicants, les dircabs ont une approche souvent plus politique de la communication. Mieux la comprendre, c’est savoir mieux travailler ensemble au service de la communication publique.
Kantar et Vox Populi a mené une analyse sémantique des tweets émis dans le cadre des Municipalest, à Paris et dans les 10 plus grandes villes de France.
Internet, outil secondaire d'information ou nouvelle scène du débat politique ? Josselin Colletta
Nous souhaitions comprendre l’incidence d’internet sur les pratiques d’information, et à isoler la place d’internet dans l’univers de l’information politique, du militantisme, du vote. Mais également à étudier l’émergence des nouvelles pratiques démocratiques de l’ère numérique.
Une étude produite dans le cadre de la L3 Science politique de l'Université de Montpellier en 2015, par Gaëtan Bonnier, Aurélie Chauveau-Caron, Josselin Colletta, Anthony Detrier, Guillaume Gomez, Mathieu Message, Jordan Proisy et Manon Riesi.
Les français et la communication locale - Synthèse du baromètre 2001Cap'Com
Document de synthèse des résultats de la 2ème vague du baromètre de la communication publique locale réalisé par l’Institut CSA et l’agence Epiceum en partenariat avec Cap’Com.
Confrontés à une conjoncture socio-économique fluctuante, les jeunes générations en butte à la précarité ne semblent pas trouver de remèdes efficaces dans les idées portées par les partis politiques traditionnels. Si bien que les fervents défenseurs des démocraties occidentales (où le vote n’est pas obligatoire) s’inquiètent...
Por qué los docentes no aceptan el 30,9Hugo Lionel
El documento expresa la insatisfacción de los docentes con el aumento salarial del 30,9% anunciado por el gobierno. Señala que el aumento no alcanza a la mayoría de los docentes como maestros de inicial, educación especial, bibliotecarios e inspectores. Además, solo beneficia al 20% de los docentes en actividad y no se incorpora al salario básico. El aumento real en los bolsillos de los docentes es menor, la infraestructura y servicios como comedores y transporte siguen siendo deficientes, y la
El documento describe diferentes tipos de canales de comunicación, como la radio, televisión, chat y videoconferencia. También describe herramientas web 2.0 como blogs, wikis, YouTube y redes sociales que permiten a los usuarios expresarse, buscar y compartir información de manera interactiva. Explica cómo estas herramientas pueden usarse para la educación, permitiendo a estudiantes y profesores crear, publicar y colaborar en contenidos de manera autónoma y motivadora.
Este documento describe los controles básicos en Visual Basic, incluyendo TextBox, Label, CommandButton, OptionButton. Explica las propiedades, métodos y eventos de cada control, y proporciona un ejemplo de aplicación que utiliza estos controles para realizar cálculos matemáticos básicos.
El documento argumenta que la sociedad ha ido alejando a Dios de las escuelas y el gobierno, permitiendo cada vez más comportamientos inmorales. Esto ha llevado a una pérdida de valores y conciencia moral entre los jóvenes. Finalmente sugiere que debemos reconsiderar cómo nuestras acciones colectivas han afectado la situación actual.
En 3 oraciones:
Cristo Jesús vino al mundo para salvar a todos los pecadores, sin importar el tipo o gravedad de su pecado. Un solo versículo resume todo el evangelio, afirmando que Cristo vino a salvar a los pecadores tal como son, incluso a aquellos contaminados y bajo la maldición del pecado. Jesucristo ofrece salvación a todos los débiles pecadores que reconozcan su necesidad de un Salvador.
El documento compara dos tipos principales de cristianismo y encuentra grandes diferencias en sus creencias sobre Dios, el hombre, el plan de Dios, la obra de Cristo, la salvación, el evangelio, la regeneración y la santificación. A pesar de usar el mismo lenguaje, estas diferencias doctrinales significan que en realidad son dos religiones distintas que no pueden considerarse como parte de la misma hermandad cristiana.
El documento compara el tiempo con un banco, donde cada día se abona en la cuenta 86,400 segundos que no se pueden arrastrar al día siguiente. Se debe invertir el tiempo diario en algo provechoso para la salud, felicidad y éxito. Varias personas dan ejemplos del valor del tiempo en segundos, minutos y años cuando se pierde una oportunidad. El documento concluye instando a aprovechar cada momento y compartir el tiempo con personas especiales.
Este documento resume el primer capítulo del libro "La Vida de San Pablo" de James Stalker. Explica que Pablo fue un hombre providencialmente llamado para cumplir una obra necesaria en los primeros días del cristianismo. Proporcionó un modelo del carácter cristiano a través de su propia conversión y vida, y fue un gran pensador que explicó las enseñanzas de Cristo de una manera clara y sólida a través de sus escritos.
El documento introduce las definiciones de preordenación, predestinación, elección y reprobación. La preordenación se refiere a todos los decretos de Dios, mientras que la predestinación solo se refiere a los decretos sobre las acciones de agentes morales libres. La elección es la parte de la predestinación relacionada con los actos que conducen a la salvación, mientras que la reprobación se refiere a los actos que conducen a la condenación. La elección implica un decreto positivo de Dios que inclina activamente al
Près de 10 ans après la première édition du Baromètre de la communication locale, Epiceum et Harris Interactive ont de nouveau mesuré l’opinion des Français sur les supports édités par les collectivités locales. L’enquête, menée en partenariat avec La Poste Solutions Business et Cap’Com, est un outil indispensable aux communicants publics et aux élus pour comprendre l’usage et la perception de la communication locale par les Français.
Les grandes transformations de la communication politique en FranceDamien ARNAUD
Interview de Jacques Gerstlé, Professeur émérite au Département de Science Politique de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Il vient de publier, avec Christophe Piar, la troisième édition de son manuel intitulé "La communication politique".
Communiqué 'La communication face aux quartiers en difficulté'IDcommunes
Enquête : la communication publique face aux quartiers en difficulté
La République au milieu du gué !
Ambivalence. C’est le mot qui résume le mieux la situation relative à la prise de parole publique locale dans et sur les quartiers en difficulté. Les maires comme leurs directeurs de la communication sont embarrassés par cette question qui révèle en creux les difficultés du pays à traiter efficacement la question de l’intégration des populations de ces quartiers.
La communication publique et politique en AfriqueDamien ARNAUD
Marion Scappaticci, Directrice des communications chez AfricaFrance, ancienne membre du cabinet de la première dame du Gabon, répond à quelques questions pour le Cercle des communicants francophones (CCF).
La communication publique face aux quartiers en difficultéIDcommunes
L’association des maires Ville & Banlieue de France et le réseau Cap’Com,
en partenariat avec l’agence IDcommunes, ont décidé
de réaliser une étude inédite à ce jour sur la communication
publique dans les quartiers en difficulté.
Avec l’objectif de cerner la problématique de communication
des villes comptant des quartiers en difficulté en analysant
de façon conjointe les registres politique et institutionnel
de cette communication, cette étude invite à de vraies pistes
de réflexion et d’amélioration.
Pour une majorité de maires et de dir’coms, la
communication conduite dans ces quartiers revêt un
enjeu politique primordial non seulement vis à vis de leurs
habitants mais aussi au regard de la ville toute entière.
Plusieurs questions émergent nettement et montrent
les spécificités et les difficultés de cette communication.
Les résultats de l’enquête, révélés lors du Forum Cap’Com
le 2 décembre 2010, seront mis en débat tout au long de
l’année 2011 afin de faire émerger des solutions pour la
communauté professionnelle des communicants et des élus.
GA1 La compublique face aux nouveaux enjeuxCap'Com
En s’appuyant sur la présentation du Baromètre Epiceum & Harris interactive de la communication locale, un regard sera porté sur la perception de la transition écologique accentuée par l’impératif de sobriété énergétique, sur la demande de participation empreinte d’une toujours forte défiance, et sur la difficulté croissante de s’adresser à certains publics affectés par la crise sociale.
Zoom sur 30 ans de campagnes gouvernementales : interview d'un des rédacteurs...Damien ARNAUD
Interview de Julien Oechsli (@JulienOechsli), expert en communication publique et politique et l'un des rédacteurs de l’ouvrage Bleu, Blanc, Pub, 30 ans de communication gouvernementale en France, publié en 2008.
Méthode et fonctionnement du dialogue citoyen nantaisCap'Com
« Construire ensemble une cité solidaire, attractive et durable », tel est le préambule de la charte du dialogue citoyen élaborée par la ville dans l’objectif d’encourager une citoyenneté active et une démocratie moderne. Concrètement, comment se traduit cette ambition ?
Audit territorial : Renforcer vos atouts pour réussir
la dernière partie du mandat municipal
A deux ans de la fin du mandat municipal, la période qui s'ouvre est cruciale pour votre réussite. Les répercussions des bouleversements politiques de 2017 n'en sont qu'à leurs débuts. Les conséquences financières et institutionnelles des décisions gouvernementales s'annoncent considérables.
Les collectivités ont perdu le monopole de la production de l'information locale, au profit des réseaux sociaux. Face à ce contexte perturbé et en pleine transition, il est encore temps de renforcer les atouts de votre communication et de votre action publique.
Le bulletin municipal, un instrument de communication publique pour le market...AJHSSR Journal
ABSTRACT: This article falls within the field of public communication and is interested in governance and
the promotion of decentralized local authorities. It presents the municipal bulletin as a territorial marketing issue
for municipalities located in the Far North of Cameroon. This is an analysis of a municipal bulletin produced by
the district commune of Maroua 1er in Cameroon to communicate with its public. This municipal bulletin
combines daily information from the municipality and announcements of mayor cultural events. Thus, it is a
question of showing through this research work, how the municipal bulletin can constitute a territorial marketing
instrument for decentralized local authorities in addition to its fundamental qualities in the transmission of
municipal information.
Keywords: - Municipal newsletter, decentralized territorial community, public communication, local
development, marketing territorial.
Le bulletin municipal, un instrument de communication publique pour le market...
Barometre
1. Une communication
efficace, pratique
et civique !
UNE ENQUÊTE
DE RÉFÉRENCE
POUR ÉCLAIRER
LES ÉLUS
ET LES DIRCOMS
Depuis 2009, le Baromètre de la
communication locale est l’étude de
référence qui, tous les deux ans, permet
de mieux comprendre comment les
Français perçoivent la communication
de leurs collectivités locales, les médias
locaux qu’ils utilisent et l’information
qu’ils en attendent. Il identifie les
bonnes pratiques, repère les tendances
et éclaire les enjeux à venir. Utile pour
évaluer l’efficacité des outils déployés et
l’apport des nouvelles technologies
dans les dispositifs plurimédias, l’étude
aide à situer la place des émetteurs
publics dans les territoires et
appréhende les impacts de leurs
messages.
Le Baromètre 2013 offre en outre aux
responsables de communication des
collectivités un outil pertinent de
benchmark de leurs propres pratiques,
au plus près des attentes exprimées par
les citoyens.
une communication qui démontre son
efficacité et sa fonction pratique au quotidien
La communication des collectivités
locales remplit avant tout des missions
pratiques : les personnes interrogées
déclarent rechercher en priorité des
informations factuelles qui les aident
dans leur vie quotidienne. a titre
d’exemple, les français nous disent se
saisir des outils numériques davantage
pour les services qu’ils apportent
(45%, pour réaliser des procédures
administratives en ligne) que comme
outil démocratique (9%, pour disposer
d’une relation directe avec les élus).
plus généralement, la communication
des collectivités locales apparaît
comme un levier important
d’information des habitants.
plus on est « gros lecteur » de
supports publics, plus on est
réceptif aux messages délivrés
(avec des gains d’habitants
déclarant disposer d’une
information suffisante allant de
8 à 26 points selon les thèmes
mesurés) et influencé dans
ses comportements civiques.
ce constat d’efficacité
intervient dans un contexte où
l’offre d’information est importante
et diversifiée : en effet, quand ils
cherchent de l’information locale, les
français utilisent un support émis par
une collectivité locale pour trois qui ne
sont pas publics (pqr, tv régionales,
gratuits…).
septembre 2013 3e vague
Les suJeTs
Les MieuX
CouVerTs
EN PARTENARIAT AVEC
La vie cuLtureLLe,
Les Loisirs,
Les sorties
La vie associative
L’éducation
et Les activités
extrascoLaires
71%
61%
59%
2. en matière d’accès à l’information, les
comportements changent selon la taille
de la collectivité : plus on est urbain, moins
on utilise de supports différents pour s’informer.
Le journal de la collectivité et le bouche à oreille
sont les deux vecteurs universels, utilisés en
priorité quel que soit l’endroit. Les français
des communes de moins de 20 000 habitants
profitent davantage des événements locaux
pour s’informer que les habitants des moyennes
et grandes agglomérations. L’information par
affichage est un peu plus présente en région
parisienne qu’ailleurs. La presse gratuite ressort
davantage dans les agglos de 2 000 à 100 000
habitants. ces différences notables traduisent
l’influence des caractéristiques urbaines sur les
pratiques des habitants.
PUBLICS
a chaque taille d’agglo son profil média
Selon la taille de sa localité, un habitant n’utilise pas
le même nombre de supports d’information locale.
En moyenne, il en utilise…
avec 84% d’utilisateurs, les jour-
naux d’information des collectivités
restent le support préféré des fran-
çais pour s’informer sur la vie locale,
devant l’affichage (72%), la télévision
(68%) ou la presse régionale (50%).
Les usages numériques progressent
rapidement, notamment le recours
aux sites internet des collectivités
(+18 points en deux ans). cela traduit
l’importance attribuée à la commu-
nication digitale par les commu-
nicants publics pendant cette
période. ceci dit, papier et digital
n’entrent pas en concurrence : ils se
complètent, le web apportant une
plus-value essentiellement pratique
(accessibilité et services en ligne).
on le voit, dans un contexte de
croissance de la communication
horizontale (réseaux sociaux, etc.), la
communication institutionnelle reste
la première référence des français.
OUTILS
au côté de l’indétrônable journal
papier, les sites internet
des collectivités s’installent
Part des Français
utilisant le site
internet de leur
collectivité pour
s’informer sur
la vie locale :
- 2 -
37 %
2009 2011 2013
44 %
62 %
2011201120112011201120112011
papier et boîte aux lettres sont les canaux les plus démocratiques
Le journal papier arrive en tête des supports en terme de consultation, mais aussi pour sa capacité à bien
informer. La boîte aux lettres reste son canal de diffusion préféré, également pour tous les profils (y compris
ceux qui ont un stop-pub). La préférence pour ce choix de distribution est même en hausse par rapport à 2011.
Villes de moins de 2 000 hab.
Villes de plus de 100 000 hab.
Agglomération parisienne
8,9
8,3
6,5
3. Les trois principaux impacts
de la communication locale
une majorité de Français se déclare insuf-
fisamment informée sur le budget de la
collectivité, les impôts locaux, la répartition des
rôles entre collectivités ou le prix des services
publics. Les contenus relatifs au fonctionnement
des collectivités arrivent ainsi en dernière posi-
tion. L’exigence de transparence sur ces thèmes
semble être corrélée à la perception de la réduc-
tion des marges de manœuvre budgétaires, tant
pour les français dans leur vie quotidienne que
pour les collectivités dont la capacité d’action
est ainsi interrogée.
MESSAGES
une plus grande transparence attendue
sur le fonctionnement des collectivités et leur budget
Le CHanGeMenT
de CoMPorTeMenT
L’iMaGe PosiTiVe
des TerriToires
L’aniMaTion
de La dÉMoCraTie
LoCaLe
des Français s’estiment
insuffisamment informés sur
Le prix des services pubLics.
66%
65%
56%
65%
La communication publique
ne se limite pas à sa mission
d’information, elle produit du
changement et joue un vrai rôle
stratégique.
en effet, les deux tiers des français
reconnaissent que la communica-
tion des collectivités change leurs
habitudes et influence leurs compor-
tements (tri des déchets, économie
d’énergie, modes de déplacement,
etc.) contribuant ainsi activement
à la mise en œuvre des politiques
de développement durable. ils sont
presque autant à déclarer qu’elle
donne une image positive de leur
territoire. cette communication agit
en outre sur le civisme, en incitant à
participer aux prochaines élections
municipales (lire page 5).
a contrario, le caractère « propagan-
diste » de la communication locale
parfois décrié apparait limité : 45%
des français interrogés estiment
qu’elle renforce l’image des élus
(6e choix sur une liste de 9 impacts
proposés) et 40% qu’elle donne le
sentiment que les élus sont proches
de leurs préoccupations (dernier
choix de la liste). La communication
publique n’est pas de la communi-
cation politique : les français ne s’y
trompent pas !
IMPACTS
une communication
agissante et civique
- 3 -
4. DEMOCRATIE PARTICIPATIVE
Des dispositifs
qui peinent à convaincre
Les usages des outils digitaux sont « naturel-
lement » propulsés par les jeunes.
Chez les 18/24 ans, l’échange entre les habitants
passe, évidemment, par le web : 32% des 25/34
ans vont sur la page officielle de la collectivité sur
les réseaux sociaux (contre 25% pour la moyenne
les Français) et 13% de la même tranche d’âge
déclarent utiliser les applis des collectivités (contre
9% pour la moyenne). Les personnes âgées n’ont
pas la même conception des espaces d’échange :
la participation aux réunions publiques, très
appréciée par les plus âgés (40% des plus de 65
ans) ne convainc que 7% des 18/24 ans, soit un
écart de 33 points. C’est une véritable fracture
générationnelle qui est en train de se produire :
aux communicants et aux élus de s’adapter pour
trouver les bons vecteurs relationnels.
GENERATIONS
Les jeunes font le buzz !
des Français
déclarent
participer à
des réunions
publiques
pour s’in-
former sur la
vie locale, soit
une diminution
de 10 points par
rapport à 2011 et 2009.
Soulignons, en premier lieu, que
les Français qui participent aux
réunions publiques ou ont des
contacts directs avec les élus
manifestent un taux de satisfac-
tion très élevé (supérieur à 80%)
sur ce mode de relation.
Reste que si le mandat municipal
qui s’achève a, plus que par le
passé, été placé sous le signe de la
démocratie participative, à l’heure
du bilan, il apparaît que la commu-
nication portant sur cette « nouvelle
manière de faire de la politique »
n’a pas totalement convaincu
les Français. S’ils sont 56% à penser
que l’information locale contribue
à l’animation de la
démocratie parti-
cipative, ils ne sont
plus que 40% à estimer
qu’elle les incite à parti-
ciper à la vie publique locale.
De plus, seul un Français sur
deux juge avoir bénéficié d’une
information suffisante (par rapport
à ses besoins) sur la démocratie
locale, les conseils de quartiers ou
les réunions publiques.
Alors, est-ce la communication qui a
été défaillante ou les dispositifs qui
n’ont pas convaincu ? Sans doute
un peu les deux. La fréquentation
des réunions publiques est passée
de 35% à 25% entre 2011 et 2013 ;
le contact direct avec les élus a, pour
sa part, perdu 12 points en passant
de 44% à 32%... Quant aux supports
digitaux, dont on a beaucoup dit
qu’ils pouvaient offrir aux habitants
de nouveaux espaces de démocratie
numérique, s’ils sont déjà utilisés par
un quart des Français, ils ne servent
pas, ou très peu, à disposer d’une
relation directe avec les élus (9%)
ou d’un espace d’échange avec les
habitants (8%).
25%
déclarent avoir participé à au
moins une réunion publique
des plus
de 65 ans
40 %
contre
des 18/24 ans
7 %
- 4 -
5. Parmi les différentes institutions
qui s’expriment au plan local, les
intercommunalités sont celles
dont la visibilité et les qualités ont
le plus progressé dans l’opinion
des Français entre 2011 et 2013.
Certes, la Mairie reste, et de loin,
la collectivité qui illustre les meil-
leures pratiques de communication :
les personnes interrogées jugent
son information utile (70%), pensent
qu’elle les concerne directement
(69%) et l’estiment crédible (66%).
La collectivité qui arrive en deuxième
position sur tous ces critères
est désormais l’intercommunalité,
devant les départements, les régions
et l’Etat. Cette reconnaissance d’une
institution encore jeune (71% des Fran-
çaisdéclarentsavoirqueleurcommune
fait partie d’une intercommunalité) ne
doit pas masquer le chemin restant à
parcourir (ce sont en réalité 93% des
Français qui font partie d’une inter-
communalité). En y regardant de plus
près, on s’aperçoit que les Français
ne connaissent guère de leur interco
que le nom ou le périmètre. Sept
personnes sur dix déclarant faire partie
d’une intercommunalité ne perçoivent
pas son projet et ne connaissent pas
ses missions. Cette proportion passe
même à neuf Français sur dix chez
ceux qui utilisent peu de supports d’in-
formation publics. D’où l’importance
de l’explication dans la communication
intercommunale !
EMETTEURS
La percée des intercommunalités
des personnes déclarant
faire partie d’une intercommu-
nalité ne connaissent pas
le mode d’élection des élus
intercommunaux. Ils seront
pourtant concernés par
la question en mars 2014.
76%
52% des Français ont apprécié la communication
de leur commune à l’égard des habitants pendant le
mandat qui s’achève.
Un verre à moitié plein, mais dont les effets s’avèrent
plutôt vertueux. En effet, s’ils sont en moyenne 47%
à déclarer que cette communication les incite plutôt à
aller voter lors des prochaines élections municipales, la
proportion monte à 63% pour ceux qui ont trouvé que la
communication de la mairie était bonne, soit une « plus-
value civique » de 16 points. A l’inverse, les Français qui
n’ont pas trouvé bonne la communication de leur mairie
pendant le mandat ne sont que 10% à affirmer que cela
les incitera plutôt à ne pas voter aux élections munici-
pales, contre 6 % pour la moyenne, soit une « moins-
value civique » de 4 points seulement.
MUNICIPALES
Un effet bénéfique
de la communication
sur la participation au vote
- 5 -
savent que leur commune fait
partie d’une intercommunalité
contre 2 sur 10
qui ne l’ont pas repéré
7 Français
sur 10