Avec 687 km de côtes, s’étalant de Menton aux Saintes-Maries-de-la-Mer, la filière maritime occupe une place importante dans l’économie littorale de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui se place comme première région maritime française selon l’INSEE. Les zones d’emploi de Marseille et Toulon représentent notamment les deux tiers des emplois et de la richesse de cette économie.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
Avant la crise sanitaire, les activités économiques en lien avec le secteur maritime et fluvial étaient en plein essor et les besoins en emploi et compétences progressaient fortement. En 2020, la crise sanitaire a entraîné un net ralentissement : le nombre d’offres a diminué de 11,5% et les embauches hors métiers du tourisme de 23%.
Les emplois maritimes du pays de Lorient. Évolution 2012-2016. AudéLor, septe...AudéLor
Observatoire de l'économie maritime au pays de Lorient
L’économie maritime constitue une composante stratégique de l’économie du pays de Lorient :
> L’économie locale et la ville sont “nées de la mer”.
> Le territoire du pays de Lorient comprend des infrastructures portuaires et maritimes diversifiées :
- Un port de commerce : 2,2 millions de tonnes de trafic en 2016 ;
Un port de pêche : leader national ;
- 6 ports de plaisance : 2850 places à flot (hors mouillage) + port à sec de 280 places ;
- Ports de transport de passagers : 445 000 voyages entre le pays de Lorient et Groix,
780 000 voyages sur les lignes transrades en 2014 ;
- Base aéronavale de Lann Bihoué : la plus grande implantation aéronautique française de la Marine tant par sa superficie (800 ha), que par le nombre de flottilles (cinq) et d’emplois (2100 personnes) ;
- Construction navale :
. Site industriel de Naval Group (ex DCNS) : 2 formes de radoub et une forme couverte ;
. Anneau de Keroman + rive gauche du Scorff ;
- 20 plages qui constituent un potentiel pour le tourisme.
> Ce domaine constitue un axe stratégique de développement du territoire qui se décline en investissements et politiques publics importants tels que :
- la reconversion du site de la Base des sous marins en Lorient La Base (pôle de course de niveau européen);
- la modernisation du port de pêche et du port de commerce ;
- le développement des ports de plaisance (places à flot, zones de carénage…) ;
- une politique touristique et un soutien à l’innovation
Compte tenu de son importance pour le territoire, AudéLor a développé depuis 2010 un observatoire de l’économie maritime locale.
Cette troisième édition de l'Observatoire des emplois maritimes porte sur la période 2012-2016 et vise à mesurer le poids économique du secteur maritime du pays de Lorient fin 2016 et l’évolution des différents pôles d’activité depuis 2012.
Méthodologie de l’étude
En partenariat avec Pôle Emploi, la SEM de Keroman, Bretagne Pôle Naval (BPN), l’Interprofession du Port de Lorient (IPL), Lorient Grand Large, le Comité Départemental des Pêches Maritimes et des Elevages Marins du Morbihan, l’enquête auprès des entreprises maritimes a été menée en mai et juin 2017 par l’agence.
Le périmètre de l’étude est celui du pays de Lorient, comprenant les communes de Lorient Agglomération et de la communauté de communes de Blavet Bellevue Océan.
L’échantillon de référence se compose de 230 entreprises implantées dans le pays de Lorient, et dont le secteur maritime représente au minimum 25 % de leur chiffre d’affaires. Cette part correspond au seuil moyen qui caractérise la dépendance économique d’une entreprise à un client.
Emplois maritimes du Pays de Lorient, AudéLor 2013AudéLor
Cette étude de l'Observatoire emplois maritimes d'AudéLor, présentée au public le 13 juin 2013, analyse l'évolution 2009-2012 des emplois et de l’économie maritime du Pays de Lorient.
Les 7 principaux résultats de l'étude :
- Plus de 13 500 emplois dans 6 pôles fin 2012
- En 3 ans, 500 emplois supplémentaires dans le privé et plus 1 000 dans la Marine Nationale
- Des moteurs de croissance renouvelés par rapport à la période 2003-2009
- En 2011, 600 recrutements
- Des difficultés de recrutement persistantes
- Un tissu économique à la fois dynamique et vulnérable
- Un optimisme mesuré pour 2013
Avec 687 km de côtes, s’étalant de Menton aux Saintes-Maries-de-la-Mer, la filière maritime occupe une place importante dans l’économie littorale de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui se place comme première région maritime française selon l’INSEE. Les zones d’emploi de Marseille et Toulon représentent notamment les deux tiers des emplois et de la richesse de cette économie.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
Avant la crise sanitaire, les activités économiques en lien avec le secteur maritime et fluvial étaient en plein essor et les besoins en emploi et compétences progressaient fortement. En 2020, la crise sanitaire a entraîné un net ralentissement : le nombre d’offres a diminué de 11,5% et les embauches hors métiers du tourisme de 23%.
Les emplois maritimes du pays de Lorient. Évolution 2012-2016. AudéLor, septe...AudéLor
Observatoire de l'économie maritime au pays de Lorient
L’économie maritime constitue une composante stratégique de l’économie du pays de Lorient :
> L’économie locale et la ville sont “nées de la mer”.
> Le territoire du pays de Lorient comprend des infrastructures portuaires et maritimes diversifiées :
- Un port de commerce : 2,2 millions de tonnes de trafic en 2016 ;
Un port de pêche : leader national ;
- 6 ports de plaisance : 2850 places à flot (hors mouillage) + port à sec de 280 places ;
- Ports de transport de passagers : 445 000 voyages entre le pays de Lorient et Groix,
780 000 voyages sur les lignes transrades en 2014 ;
- Base aéronavale de Lann Bihoué : la plus grande implantation aéronautique française de la Marine tant par sa superficie (800 ha), que par le nombre de flottilles (cinq) et d’emplois (2100 personnes) ;
- Construction navale :
. Site industriel de Naval Group (ex DCNS) : 2 formes de radoub et une forme couverte ;
. Anneau de Keroman + rive gauche du Scorff ;
- 20 plages qui constituent un potentiel pour le tourisme.
> Ce domaine constitue un axe stratégique de développement du territoire qui se décline en investissements et politiques publics importants tels que :
- la reconversion du site de la Base des sous marins en Lorient La Base (pôle de course de niveau européen);
- la modernisation du port de pêche et du port de commerce ;
- le développement des ports de plaisance (places à flot, zones de carénage…) ;
- une politique touristique et un soutien à l’innovation
Compte tenu de son importance pour le territoire, AudéLor a développé depuis 2010 un observatoire de l’économie maritime locale.
Cette troisième édition de l'Observatoire des emplois maritimes porte sur la période 2012-2016 et vise à mesurer le poids économique du secteur maritime du pays de Lorient fin 2016 et l’évolution des différents pôles d’activité depuis 2012.
Méthodologie de l’étude
En partenariat avec Pôle Emploi, la SEM de Keroman, Bretagne Pôle Naval (BPN), l’Interprofession du Port de Lorient (IPL), Lorient Grand Large, le Comité Départemental des Pêches Maritimes et des Elevages Marins du Morbihan, l’enquête auprès des entreprises maritimes a été menée en mai et juin 2017 par l’agence.
Le périmètre de l’étude est celui du pays de Lorient, comprenant les communes de Lorient Agglomération et de la communauté de communes de Blavet Bellevue Océan.
L’échantillon de référence se compose de 230 entreprises implantées dans le pays de Lorient, et dont le secteur maritime représente au minimum 25 % de leur chiffre d’affaires. Cette part correspond au seuil moyen qui caractérise la dépendance économique d’une entreprise à un client.
Emplois maritimes du Pays de Lorient, AudéLor 2013AudéLor
Cette étude de l'Observatoire emplois maritimes d'AudéLor, présentée au public le 13 juin 2013, analyse l'évolution 2009-2012 des emplois et de l’économie maritime du Pays de Lorient.
Les 7 principaux résultats de l'étude :
- Plus de 13 500 emplois dans 6 pôles fin 2012
- En 3 ans, 500 emplois supplémentaires dans le privé et plus 1 000 dans la Marine Nationale
- Des moteurs de croissance renouvelés par rapport à la période 2003-2009
- En 2011, 600 recrutements
- Des difficultés de recrutement persistantes
- Un tissu économique à la fois dynamique et vulnérable
- Un optimisme mesuré pour 2013
L'AURH publie la synthèse de l'étude identifiant les dynamiques d’échanges de salaires générées par les salariés au sein du territoire de l’Estuaire de la Seine.
L’importance des flux de salaires et leur organisation permet
d’observer la redistribution des richesses dans l’Estuaire de
la Seine et de mesurer l’interdépendance des aires urbaines.
Le poids économique de la course au large dans le pays de LorientAudéLor
Objectif de l’étude
Estimer :
- Nombre d’emplois et chiffre d’affaires des
teams et skippers
- Impact sur le pays de Lorient
Une étude réalisée à la demande de Lorient Agglomération, en partenariat avec Lorient
Grand large.
Une présentation en 5 parties :
- Le pôle course au large à Lorient : une histoire particulière
- L’emploi et le chiffre d’affaires dans les teams
- Les dépenses locales des teams
- L’impact sur le tissu économique local
- Effet sur l’image et l'attractivité
Le rapport Seine Gateway propose un modèle de développement pour le territoire de la Vallée de la Seine, vu comme un dispositif d'échanges, tant pour les marchandises que pour tout autre type de flux.
Il est le fruit d'un travail collaboratif entre l'AURH et les acteurs du développement de la Vallée de la Seine (ports, agences d'urbanisme, régions, Voies Navigables de France et Logistique Seine Normandie).
En s'appuyant sur de nombreux exemples de gateway étrangers, il définit le système territorial d'un gateway sur la Vallée de la Seine, qualifie ses composantes et en donne des éléments de mise en œuvre.
Le rapprochement des atouts maritimes avec les flux et les économies, tant du bassin Parisien que de la Vallée de la Seine, constitue le socle d'un vaste projet d'aménagement du territoire national permettant à Paris de conserver son rang parmi les villes-monde et à la France de maintenir sa place économique dans le concert des nations. Seine Gateway® est une opportunité historique pour la France pour créer un espace attractif de visibilité mondiale.
Seine Gateway® peut s'appuyer sur le rapprochement entre les ports (avec HAROPA), celui entre les Chambres de Commerce et d'Industrie de Paris et de la Vallée de la Seine, et les collaborations établies entre Paris, Rouen, Le Havre et Caen.
S'appuyant sur les réelles performances maritimes des ports de l'Axe Seine, cette réflexion opérationnelle propose des solutions pragmatiques, à l'heure où le développement industriel et l'emploi sont des priorités nationales.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
Dans le cadre de la semaine de l’Emploi Maritime du 21 au 25 mars 2022, Pôle emploi diffuse un portrait du secteur maritime.
On peut principalement distinguer trois grands groupes de métiers de la mer : les activités maritimes en mer (pêches, personnel embarqué, travaux en mer), qui comptent pour 17% des emplois ; les activités maritimes sur terre (services portuaires et nautiques, défense et administration navale, maintenance et construction navale, ingénierie maritime, transformation des produits de la mer), pour 41% des emplois et les services liés à la mer (hôtellerie-restauration, activités et loisirs littoraux), pour 42% des emplois.
Le rapport, approuvé par le Conseil d'Administration du 11 mai 2017, présente succinctement l'activité de chacun des trois axes de travail, en faisant des focus sur quelques dossiers clés.
En le parcourant, vous avez un aperçu transversal de l'activité de l'Agence.
Le conseil d'administration de l'AURH, composé des principaux membres de l'association, a validé le programme de travail de l'année 2017 lors de sa séance du 9 février.
Cette année, 3 axes de travail sont développés :
Axe 1 : Analyser les dynamiques territoriales
Axe 2 : Co-construire le territoire
Axe 3 : Prospective : positionner les territoires
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014. Une série de fiches thématiques est publiée pour accompagner les réflexions.
Dans la fiche n°4, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- les zones et espaces d'activités,
- les acteurs au service du développement économique,
- les établissements publics et privés dans le pays Le Havre Pointe de Caux Estuaire,
- le positionnement géostratégique du Seine Gateway à l'échelle européenne
Observatoire de l'économie maritime en Bretagne. Septembre 2018, réseaux des ...AudéLor
Proposer, pour la première fois, une vue globale et localisée des activités maritimes et mesurer la place qu’elles occupent dans l’économie bretonne : c’est l’objectif de l’observatoire de l’économie maritime en Bretagne.
Cette première étude a été menée durant dix-huit mois, par les deux réseaux bretons des chambres de commerce et d’industrie et des agences d’urbanisme et de développement, en partenariat et avec le soutien de la Région Bretagne.
Avant une présentation plus en détails des résultats du travail mené, les partenaires vous livrent quelques chiffres et données.
Plus de 65 000 emplois directs
Pour évaluer le poids de l’économie maritime, tous les établissements dont au moins 25 % de leur activité dépend de la mer ont été comptabilisés, soit 7 160 établissements. Avec plus de 65 650 emplois directs (hors tourisme) l’économie maritime représente 5,1 % de l’emploi régional.
L’exploitation des produits de la mer regroupe 25% des emplois
4 des 16 domaines* qui constituent l’économie maritime regroupent plus de 80% des emplois.
- Les activités de Défense nationale rassemblent 30% des emplois maritimes (20 000 emplois). Ce poids s’explique par la présence de la Marine nationale à Brest et Lorient.
- L’exploitation des produits de la mer à des fins alimentaires est aussi un des piliers de cette économie (25% des emplois maritimes soit 16 570). Ces activités comprennent notamment la pêche et la culture marine, le mareyage et la transformation des produits de la mer (5 840 emplois).
- Construction et réparation navale (17% - 11 430 emplois). L’industrie navale bretonne est marquée par l’importance de la construction navale militaire notamment à Brest et Lorient
- Le nautisme, lui-même structuré autour de quatre pôles (industries nautiques, commerces & services, ports de plaisance et activités nautiques) comptabilise dans sa globalité 2 136 établissements pour 6 250 emplois
Les autres secteurs représentent moins de 5% des emplois maritimes mais illustrent la diversité de ces activités et pour certains de nouvelles filières de développement (biocosmétique, numérique dédiés à la mer, EMR, etc.)
Une économie implantée sur le littoral, mais pas uniquement
L’emploi maritime breton se concentre dans 8 pays qui comptent chacun au moins 1 000 emplois maritimes : Brest, Lorient, Cornouaille, Saint-Malo, Morlaix, Auray, Vannes et Saint-Brieuc.
Quatre autres pays comptent plus de 250 emplois dont le pays de Rennes avec 650 emplois.
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014.
Dans la fiche n°2, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- les objectifs du SCoT,
- les déplacements au sein du territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire,
- les acteurs de la mobilité,
- les enjeux mobilité pour le territoire,
- le réseau de transports interurbains
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014. Une série de fiches thématiques est publiée pour accompagner les réflexions.
Dans la fiche n°5, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- les enjeux du tourisme,
- la capacité d'accueil touristique de l'Estuaire,
- les potentiels de développement,
- les destinations touristiques de la vallée de Seine et de l'Estuaire
Destination Lorient-Quimperlé. Bilan touristique 2020. Communication AudéLor ...AudéLor
AudéLor réalise chaque année un bilan de l’activité touristique pour la destination Lorient-Quimperlé. Plusieurs indicateurs sont ainsi mesurés : offre et fréquentation des hébergements, des offices de tourisme, des équipements et événements touristiques, des transports, suivi des labels obtenus, etc.
L’activité touristique a sans surprise été touchée par la crise sanitaire de la Covid-19, mais la destination Lorient-Quimperlé, comme la plupart des territoires bretons, a mieux résisté.
Bien que la saison estivale 2020 ait affiché complet, elle n’a pas compensé la baisse de fréquentation annuelle, marquée par des « ailes de saison » creusées par les confinements.
Quelques chiffres de la destination touristique Lorient-Quimperlé :
- 170 km de côte et 22 plages surveillées
- 1700 km de randonnées, 3 véloroutes voies vertes
- 9 bases nautiques, de surf ou d’eau vive, 16 ports de plaisance
- 26 équipements touristiques majeurs de plus de 2000 entrées annuelles (hors Covid), dont : 10 musées, 8 loisirs verts, 4 visites de sites bâtis, 2 visites de sites du vivant
- 3 équipements structurants pour le tourisme d’affaires et l’événementiel
- Un parc diversifié d’hébergements : 52 hôtels, 55 campings, 6 villages de vacances, 6 résidences de tourisme, 4 auberges collectives
- Un territoire labellisé : « Ville et Pays d’Art et d’Histoire », 4 stations classées et 9 communes touristiques, 1 ville de surf, 1 cité fluviale, 4 sites Natura 2000
Ce document est le résultat d’un travail collaboratif mené avec Lorient Agglomération, Quimperlé Communauté, Lorient Bretagne Sud Tourisme, Quimperlé Terre Océane, la Sellor et la Segepex. Il présente des analyses de données à la fois quantitatives, mais aussi qualitatives, collectées notamment auprès des professionnels locaux du tourisme, gestionnaires d’équipements touristiques et organisateurs d’événements.
Nous remercions sincèrement l’ensemble de ces acteurs pour leur précieuse participation, qui permet d’inscrire cet observatoire dans la durée et d’établir des évolutions sur plusieurs années.
Observatoire de l'économie maritime en Bretagne n°2. Juillet 2021AudéLor
L’Observatoire de l’économie maritime en Bretagne est réalisé par les réseaux bretons des chambres de commerce et d’industrie et des agences d’urbanisme et de développement en partenariat et avec le soutien de la Région Bretagne.
Si la Bretagne est sans conteste une région maritime, quel est le poids de cette économie ? Quels en sont les principaux secteurs ? Combien d’établissements et de salariés en dépendent ? Quelles évolutions a-t-elle connues ?
Retrouvez les résultats par filière et par territoire, ainsi qu'un focus sur les effets de la crise sanitaire.
CHIFFRES CLÉS
➡️ 70 350 emplois fin 2019 dans l'économie maritime bretonne
Une croissance de +3% de 2016 à 2019
✅ 2100 emplois supplémentaires en 3 ans
✅ 5 pays bretons avec plus de 4 500 emplois (87% des emplois)
⚓️ 4 grands domaines : Défense liée à la mer, produits de la mer alimentaires, construction et réparation navale et nautisme
➡️ 82,1% des emplois dans ces 4 domaines
Une croissance de +7% des emplois maritimes privés
L'AURH publie sa plaquette de présentation institutionnelle.
Au sommaire :
- L'AURH, acteur des projets, de l'aménagement et du rayonnement du territoire du Havre et de l'Estuaire de la Seine
- Nos principales missions
- La valeur ajoutée de l'AURH
- Lieu de coopération et d'animation du territoire
- Les membres de l'Assemblée générale
- Le réseau français des agences d'urbanisme
2 cartes illustrent le document :
- L'emboîtement des échelles, de l'estuaire à la vallée de la Seine, et son ouverture sur l'Europe
- Les intercommunalités de l'Estuaire de la Seine
Situé au coeur de l’Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d’aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l’horizon 2017.
Dans la fiche n°1, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- le territoire du SCoT LHPCE,
- les acteurs du SCoT,
- quelques indicateurs de suivi du territoire,
- le lancement de la révision du SCoT, qui devra construire un projet de territoire ambitieux,
- les grandes dates du SCoT LHPCE.
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014.
Dans la fiche n°3, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- la dynamique de métropolisation,
- l'offre métropolitaine déployée sur les deux rives de la Seine
- la façade maritime de la vallée de la Seine
- le projet de la vallée de la Seine
- l'axe Seine dans le réseau de transport européen
Le rapport, approuvé par le Conseil d'Administration du 30 mai 2016, présente succinctement l'activité de chacun des grands métiers de l'Agence, en faisant des focus sur quelques dossiers clés.
En le parcourant, vous avez un aperçu transversal de l'activité de l'Agence.
Lorient Agglomération, 3ème agglomération de Bretagne. Un territoire maritime...AudéLor
Un territoire innovant et accueillant... productif... e t touristique
- Un tissu économique diversifié, des savoir-faire spécifiques : Pêche, Agroalimentaire, Tourisme, Construction-Réparation navale, Numérique-Électronique, Nautisme-Matériaux, ÉcoActivités-Énergies…
- Des ambitions basées sur des compétences avérées : hydrogène, propulsion décarbonée, énergies marines renouvelables, alimentation…
- 300 actions / initiatives d’économie verte identifiées, qui limitent la consommation de ressources et les émissions de gaz à effet de serre.
- L’une des 7 Technopoles de Bretagne.
- 400 projets innovants accompagnés par Lorient Technopole entre 2015 et 2020 : 92 % de taux de survie à 5 ans.
- 2 sites d’activités technopolitains : Parc Technologique de Soye et Lorient La Base.
- 4 Centres techniques : ComposiTIC, IDmer (plateforme de recherche et développement pour la transformation de produits alimentaires et la technologie
marine), IFREMER, IRMA (Institut Régional des Matériaux Avancés) et 14 laboratoires de recherche.
- 3 Pépinières d’entreprises, 17 tiers-lieux et espaces collectifs de travail.
- 1 atelier de fabrication numérique et 1 cube de réalité virtuelle « n°4 FabLab ».
- 3 équipements structurants pour le tourisme d’affaires et l’événementiel : Palais des Congrès, Parc des Expos, Salle événementielle K2.
- Le site de Lorient La Base, pôle économique et touristique majeur : Cité de la Voile Éric Tabarly, sous-marin Flore, visites guidées de La Base, Musée sous-marin, Tyrolienne, pôle course au large d’une douzaine de teams...
Axe 1 synthèse du rapport sous-traitance et fourniture du chantier de la lg...LISEA
Les résultats présentés dans cette synthèse s’appuient sur le traitement d’une base de données renseignant l’ensemble des contrats de sous-traitance et de fourniture passés par COSEA (le constructeur), et par LISEA (le concessionnaire), depuis le début des travaux jusqu’au 15 mars 2013, soient 1 883 contrats représentant 1,675 milliard d’euros. Ne figurent pas les dépenses de petites ampleurs et très locales qui représentent, selon une estimation du constructeur, environ 10% du montant total recensé dans la base de données.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
A l’occasion de la semaine de l’emploi maritime, France Travail publie sa nouvelle édition du tableau de la filière maritime et fluviale. En 2023, France Travail a ainsi proposé 418 000 offres d’emploi dans ce secteur aux 168 000 demandeurs d’emploi liés aux métiers maritimes et fluviaux.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
Si la crise sanitaire avait entraîné un fort ralentissement des activités économiques en lien avec le secteur maritime et fluvial en 2020, l’année 2022 voit se poursuivre la reprise amorcée en 2021 : le nombre d’offres a augmenté de 22,2 % en un an et les embauches de 27,0 %. Pôle emploi a ainsi proposé 370 000 offres d’emploi dans ce secteur aux 193 000 demandeurs d’emploi liés aux métiers maritimes et fluviaux.
L'AURH publie la synthèse de l'étude identifiant les dynamiques d’échanges de salaires générées par les salariés au sein du territoire de l’Estuaire de la Seine.
L’importance des flux de salaires et leur organisation permet
d’observer la redistribution des richesses dans l’Estuaire de
la Seine et de mesurer l’interdépendance des aires urbaines.
Le poids économique de la course au large dans le pays de LorientAudéLor
Objectif de l’étude
Estimer :
- Nombre d’emplois et chiffre d’affaires des
teams et skippers
- Impact sur le pays de Lorient
Une étude réalisée à la demande de Lorient Agglomération, en partenariat avec Lorient
Grand large.
Une présentation en 5 parties :
- Le pôle course au large à Lorient : une histoire particulière
- L’emploi et le chiffre d’affaires dans les teams
- Les dépenses locales des teams
- L’impact sur le tissu économique local
- Effet sur l’image et l'attractivité
Le rapport Seine Gateway propose un modèle de développement pour le territoire de la Vallée de la Seine, vu comme un dispositif d'échanges, tant pour les marchandises que pour tout autre type de flux.
Il est le fruit d'un travail collaboratif entre l'AURH et les acteurs du développement de la Vallée de la Seine (ports, agences d'urbanisme, régions, Voies Navigables de France et Logistique Seine Normandie).
En s'appuyant sur de nombreux exemples de gateway étrangers, il définit le système territorial d'un gateway sur la Vallée de la Seine, qualifie ses composantes et en donne des éléments de mise en œuvre.
Le rapprochement des atouts maritimes avec les flux et les économies, tant du bassin Parisien que de la Vallée de la Seine, constitue le socle d'un vaste projet d'aménagement du territoire national permettant à Paris de conserver son rang parmi les villes-monde et à la France de maintenir sa place économique dans le concert des nations. Seine Gateway® est une opportunité historique pour la France pour créer un espace attractif de visibilité mondiale.
Seine Gateway® peut s'appuyer sur le rapprochement entre les ports (avec HAROPA), celui entre les Chambres de Commerce et d'Industrie de Paris et de la Vallée de la Seine, et les collaborations établies entre Paris, Rouen, Le Havre et Caen.
S'appuyant sur les réelles performances maritimes des ports de l'Axe Seine, cette réflexion opérationnelle propose des solutions pragmatiques, à l'heure où le développement industriel et l'emploi sont des priorités nationales.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
Dans le cadre de la semaine de l’Emploi Maritime du 21 au 25 mars 2022, Pôle emploi diffuse un portrait du secteur maritime.
On peut principalement distinguer trois grands groupes de métiers de la mer : les activités maritimes en mer (pêches, personnel embarqué, travaux en mer), qui comptent pour 17% des emplois ; les activités maritimes sur terre (services portuaires et nautiques, défense et administration navale, maintenance et construction navale, ingénierie maritime, transformation des produits de la mer), pour 41% des emplois et les services liés à la mer (hôtellerie-restauration, activités et loisirs littoraux), pour 42% des emplois.
Le rapport, approuvé par le Conseil d'Administration du 11 mai 2017, présente succinctement l'activité de chacun des trois axes de travail, en faisant des focus sur quelques dossiers clés.
En le parcourant, vous avez un aperçu transversal de l'activité de l'Agence.
Le conseil d'administration de l'AURH, composé des principaux membres de l'association, a validé le programme de travail de l'année 2017 lors de sa séance du 9 février.
Cette année, 3 axes de travail sont développés :
Axe 1 : Analyser les dynamiques territoriales
Axe 2 : Co-construire le territoire
Axe 3 : Prospective : positionner les territoires
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014. Une série de fiches thématiques est publiée pour accompagner les réflexions.
Dans la fiche n°4, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- les zones et espaces d'activités,
- les acteurs au service du développement économique,
- les établissements publics et privés dans le pays Le Havre Pointe de Caux Estuaire,
- le positionnement géostratégique du Seine Gateway à l'échelle européenne
Observatoire de l'économie maritime en Bretagne. Septembre 2018, réseaux des ...AudéLor
Proposer, pour la première fois, une vue globale et localisée des activités maritimes et mesurer la place qu’elles occupent dans l’économie bretonne : c’est l’objectif de l’observatoire de l’économie maritime en Bretagne.
Cette première étude a été menée durant dix-huit mois, par les deux réseaux bretons des chambres de commerce et d’industrie et des agences d’urbanisme et de développement, en partenariat et avec le soutien de la Région Bretagne.
Avant une présentation plus en détails des résultats du travail mené, les partenaires vous livrent quelques chiffres et données.
Plus de 65 000 emplois directs
Pour évaluer le poids de l’économie maritime, tous les établissements dont au moins 25 % de leur activité dépend de la mer ont été comptabilisés, soit 7 160 établissements. Avec plus de 65 650 emplois directs (hors tourisme) l’économie maritime représente 5,1 % de l’emploi régional.
L’exploitation des produits de la mer regroupe 25% des emplois
4 des 16 domaines* qui constituent l’économie maritime regroupent plus de 80% des emplois.
- Les activités de Défense nationale rassemblent 30% des emplois maritimes (20 000 emplois). Ce poids s’explique par la présence de la Marine nationale à Brest et Lorient.
- L’exploitation des produits de la mer à des fins alimentaires est aussi un des piliers de cette économie (25% des emplois maritimes soit 16 570). Ces activités comprennent notamment la pêche et la culture marine, le mareyage et la transformation des produits de la mer (5 840 emplois).
- Construction et réparation navale (17% - 11 430 emplois). L’industrie navale bretonne est marquée par l’importance de la construction navale militaire notamment à Brest et Lorient
- Le nautisme, lui-même structuré autour de quatre pôles (industries nautiques, commerces & services, ports de plaisance et activités nautiques) comptabilise dans sa globalité 2 136 établissements pour 6 250 emplois
Les autres secteurs représentent moins de 5% des emplois maritimes mais illustrent la diversité de ces activités et pour certains de nouvelles filières de développement (biocosmétique, numérique dédiés à la mer, EMR, etc.)
Une économie implantée sur le littoral, mais pas uniquement
L’emploi maritime breton se concentre dans 8 pays qui comptent chacun au moins 1 000 emplois maritimes : Brest, Lorient, Cornouaille, Saint-Malo, Morlaix, Auray, Vannes et Saint-Brieuc.
Quatre autres pays comptent plus de 250 emplois dont le pays de Rennes avec 650 emplois.
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014.
Dans la fiche n°2, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- les objectifs du SCoT,
- les déplacements au sein du territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire,
- les acteurs de la mobilité,
- les enjeux mobilité pour le territoire,
- le réseau de transports interurbains
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014. Une série de fiches thématiques est publiée pour accompagner les réflexions.
Dans la fiche n°5, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- les enjeux du tourisme,
- la capacité d'accueil touristique de l'Estuaire,
- les potentiels de développement,
- les destinations touristiques de la vallée de Seine et de l'Estuaire
Destination Lorient-Quimperlé. Bilan touristique 2020. Communication AudéLor ...AudéLor
AudéLor réalise chaque année un bilan de l’activité touristique pour la destination Lorient-Quimperlé. Plusieurs indicateurs sont ainsi mesurés : offre et fréquentation des hébergements, des offices de tourisme, des équipements et événements touristiques, des transports, suivi des labels obtenus, etc.
L’activité touristique a sans surprise été touchée par la crise sanitaire de la Covid-19, mais la destination Lorient-Quimperlé, comme la plupart des territoires bretons, a mieux résisté.
Bien que la saison estivale 2020 ait affiché complet, elle n’a pas compensé la baisse de fréquentation annuelle, marquée par des « ailes de saison » creusées par les confinements.
Quelques chiffres de la destination touristique Lorient-Quimperlé :
- 170 km de côte et 22 plages surveillées
- 1700 km de randonnées, 3 véloroutes voies vertes
- 9 bases nautiques, de surf ou d’eau vive, 16 ports de plaisance
- 26 équipements touristiques majeurs de plus de 2000 entrées annuelles (hors Covid), dont : 10 musées, 8 loisirs verts, 4 visites de sites bâtis, 2 visites de sites du vivant
- 3 équipements structurants pour le tourisme d’affaires et l’événementiel
- Un parc diversifié d’hébergements : 52 hôtels, 55 campings, 6 villages de vacances, 6 résidences de tourisme, 4 auberges collectives
- Un territoire labellisé : « Ville et Pays d’Art et d’Histoire », 4 stations classées et 9 communes touristiques, 1 ville de surf, 1 cité fluviale, 4 sites Natura 2000
Ce document est le résultat d’un travail collaboratif mené avec Lorient Agglomération, Quimperlé Communauté, Lorient Bretagne Sud Tourisme, Quimperlé Terre Océane, la Sellor et la Segepex. Il présente des analyses de données à la fois quantitatives, mais aussi qualitatives, collectées notamment auprès des professionnels locaux du tourisme, gestionnaires d’équipements touristiques et organisateurs d’événements.
Nous remercions sincèrement l’ensemble de ces acteurs pour leur précieuse participation, qui permet d’inscrire cet observatoire dans la durée et d’établir des évolutions sur plusieurs années.
Observatoire de l'économie maritime en Bretagne n°2. Juillet 2021AudéLor
L’Observatoire de l’économie maritime en Bretagne est réalisé par les réseaux bretons des chambres de commerce et d’industrie et des agences d’urbanisme et de développement en partenariat et avec le soutien de la Région Bretagne.
Si la Bretagne est sans conteste une région maritime, quel est le poids de cette économie ? Quels en sont les principaux secteurs ? Combien d’établissements et de salariés en dépendent ? Quelles évolutions a-t-elle connues ?
Retrouvez les résultats par filière et par territoire, ainsi qu'un focus sur les effets de la crise sanitaire.
CHIFFRES CLÉS
➡️ 70 350 emplois fin 2019 dans l'économie maritime bretonne
Une croissance de +3% de 2016 à 2019
✅ 2100 emplois supplémentaires en 3 ans
✅ 5 pays bretons avec plus de 4 500 emplois (87% des emplois)
⚓️ 4 grands domaines : Défense liée à la mer, produits de la mer alimentaires, construction et réparation navale et nautisme
➡️ 82,1% des emplois dans ces 4 domaines
Une croissance de +7% des emplois maritimes privés
L'AURH publie sa plaquette de présentation institutionnelle.
Au sommaire :
- L'AURH, acteur des projets, de l'aménagement et du rayonnement du territoire du Havre et de l'Estuaire de la Seine
- Nos principales missions
- La valeur ajoutée de l'AURH
- Lieu de coopération et d'animation du territoire
- Les membres de l'Assemblée générale
- Le réseau français des agences d'urbanisme
2 cartes illustrent le document :
- L'emboîtement des échelles, de l'estuaire à la vallée de la Seine, et son ouverture sur l'Europe
- Les intercommunalités de l'Estuaire de la Seine
Situé au coeur de l’Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d’aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l’horizon 2017.
Dans la fiche n°1, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- le territoire du SCoT LHPCE,
- les acteurs du SCoT,
- quelques indicateurs de suivi du territoire,
- le lancement de la révision du SCoT, qui devra construire un projet de territoire ambitieux,
- les grandes dates du SCoT LHPCE.
Situé au coeur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014.
Dans la fiche n°3, document synthétique de 4 pages, vous en saurez plus sur :
- la dynamique de métropolisation,
- l'offre métropolitaine déployée sur les deux rives de la Seine
- la façade maritime de la vallée de la Seine
- le projet de la vallée de la Seine
- l'axe Seine dans le réseau de transport européen
Le rapport, approuvé par le Conseil d'Administration du 30 mai 2016, présente succinctement l'activité de chacun des grands métiers de l'Agence, en faisant des focus sur quelques dossiers clés.
En le parcourant, vous avez un aperçu transversal de l'activité de l'Agence.
Lorient Agglomération, 3ème agglomération de Bretagne. Un territoire maritime...AudéLor
Un territoire innovant et accueillant... productif... e t touristique
- Un tissu économique diversifié, des savoir-faire spécifiques : Pêche, Agroalimentaire, Tourisme, Construction-Réparation navale, Numérique-Électronique, Nautisme-Matériaux, ÉcoActivités-Énergies…
- Des ambitions basées sur des compétences avérées : hydrogène, propulsion décarbonée, énergies marines renouvelables, alimentation…
- 300 actions / initiatives d’économie verte identifiées, qui limitent la consommation de ressources et les émissions de gaz à effet de serre.
- L’une des 7 Technopoles de Bretagne.
- 400 projets innovants accompagnés par Lorient Technopole entre 2015 et 2020 : 92 % de taux de survie à 5 ans.
- 2 sites d’activités technopolitains : Parc Technologique de Soye et Lorient La Base.
- 4 Centres techniques : ComposiTIC, IDmer (plateforme de recherche et développement pour la transformation de produits alimentaires et la technologie
marine), IFREMER, IRMA (Institut Régional des Matériaux Avancés) et 14 laboratoires de recherche.
- 3 Pépinières d’entreprises, 17 tiers-lieux et espaces collectifs de travail.
- 1 atelier de fabrication numérique et 1 cube de réalité virtuelle « n°4 FabLab ».
- 3 équipements structurants pour le tourisme d’affaires et l’événementiel : Palais des Congrès, Parc des Expos, Salle événementielle K2.
- Le site de Lorient La Base, pôle économique et touristique majeur : Cité de la Voile Éric Tabarly, sous-marin Flore, visites guidées de La Base, Musée sous-marin, Tyrolienne, pôle course au large d’une douzaine de teams...
Axe 1 synthèse du rapport sous-traitance et fourniture du chantier de la lg...LISEA
Les résultats présentés dans cette synthèse s’appuient sur le traitement d’une base de données renseignant l’ensemble des contrats de sous-traitance et de fourniture passés par COSEA (le constructeur), et par LISEA (le concessionnaire), depuis le début des travaux jusqu’au 15 mars 2013, soient 1 883 contrats représentant 1,675 milliard d’euros. Ne figurent pas les dépenses de petites ampleurs et très locales qui représentent, selon une estimation du constructeur, environ 10% du montant total recensé dans la base de données.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
A l’occasion de la semaine de l’emploi maritime, France Travail publie sa nouvelle édition du tableau de la filière maritime et fluviale. En 2023, France Travail a ainsi proposé 418 000 offres d’emploi dans ce secteur aux 168 000 demandeurs d’emploi liés aux métiers maritimes et fluviaux.
Tableau de la filière maritime et fluviale en FranceFrance Travail
Si la crise sanitaire avait entraîné un fort ralentissement des activités économiques en lien avec le secteur maritime et fluvial en 2020, l’année 2022 voit se poursuivre la reprise amorcée en 2021 : le nombre d’offres a augmenté de 22,2 % en un an et les embauches de 27,0 %. Pôle emploi a ainsi proposé 370 000 offres d’emploi dans ce secteur aux 193 000 demandeurs d’emploi liés aux métiers maritimes et fluviaux.
Etude Apec - Panorama 2019 de l'emploi cadre en Provence-Alpes-Côte d'Azur et...Apec
Nous avons enregistré une forte progression des recrutements de cadres en 2018, année record en Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse : 16 070 embauches, soit une hausse de 16 % sur un an. En 2019, la dynamique devrait se poursuivre avec 17 000 recrutements selon notre hypothèse haute. Ce niveau inégalé ne doit pas masquer les difficultés qui font de l’emploi des cadres un marché en forte tension. Les cadres de un à dix ans d’expérience devraient être les plus courtisés et représenter à eux seuls 52 % des recrutements.
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en Provence-Alpes-Côte d'AzurApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Paca.
L’emploi cadre du privé en Provence-Alpes-Côte d’Azur apparaît fortement polarisé sur 4 des 18 zones d’emploi qui la composent. Les zones d’emploi de Marseille-Aubagne, d’Aix-en-Provence, de Cannes-Antibes et de Nice concentrent en effet plus de sept cadres du privé sur dix. Ce taux approche les 80 % en ajoutant la zone de Toulon. De surcroît, les spécificités sectorielles de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : le transport maritime dans la zone d’emploi de Marseille-Aubagne, la fabrication de produits électroniques dans celle d’Aix-en-Provence, l’industrie pharmaceutique pour Nice...
La réforme territoriale influera sur le positionnement de la région. Provence-Alpes-Côte d’azur, qui conservera son périmètre, reculera dans la hiérarchie des régions métropolitaines. Avec 7 % des cadres du privé, elle occupera toutefois le 4e rang des 13 nouvelles régions pour le volume de cadres.
Atlas régional Provence Alpes Côte d'Azur Juin 2016AVIE
La région Provence-Alpes-Côte d’Azur compte près de 5 millions d’habitants, la majorité concentrée sur une bande littorale très urbanisée. Après 50 ans de croissance rapide de la population, la dynamique démographique s’atténue. Dans un contexte de contrainte forte sur le foncier, le patrimoine naturel exceptionnel et la richesse paysagère de Provence-Alpes-Côte d’Azur sont autant d’atouts fragiles dont la préservation constitue un enjeu essentiel.
Sur le plan économique, la région se situe à la lisière du cœur prospère de l’Europe. La richesse économique qu’elle dégage la place au 3e rang français en termes de Produit Intérieur Brut par habitant. Son économie a mieux résisté à la crise que la plupart des autres régions et a davantage créé d’emplois. Pour autant, la région est particulièrement exposée au chômage, en raison d’une participation accrue de la population au marché du travail. Les politiques publiques favorisant l’accès à l’emploi, qu’elles portent sur la formation ou sur l’accompagnement de la croissance des entreprises, sont dès lors essentielles, d’autant plus que Provence-Alpes-Côte d’Azur compte une part importante de population en situation précaire.
Situé au cœur de l'Estuaire et à la porte de la Vallée de la Seine, le territoire Le Havre Pointe de Caux Estuaire occupe une position stratégique en façade maritime. Son schéma de cohérence territoriale précise les grandes orientations prospectives du territoire et prévoit son organisation spatiale en harmonisant les politiques d'aménagement.
Approuvé en février 2012, le SCoT va être révisé à l'horizon 2017. Les élus ont entamé l'élaboration de la révision en juin 2014. Une série de fiches thématiques est publiée pour accompagner les réflexions.
Au sommaire de la fiche n°4, document synthétique de 4 pages intitulé Penser notre économie à l'échelle Vallée de Seine :
- Vers un complexe industrialo-portuaire efficace, responsable et puissant,
- Les acteurs au service du développement économique,
- Optimiser l'outil industriel et logistique et l'inscrire comme maillon essentiel du corridor européen Le Havre / Mannheim.
Matinale Tourisme de l'Observatoire Économique Social et Territorial de la Vendée. Le tourisme en Vendée. Tendances récentes et enjeux à court, moyen et long termes.
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Nouvelle Aquit...Apec
En 2020 l’économie de la Nouvelle-Aquitaine n’a pas été épargnée par la crise mais elle dispose de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité des entreprises et emplois cadres en Paca, novembre...Apec
En 2020, l’économie de Provence-Alpes-Côte d’Azur n’a pas été épargnée par la crise mais elle dispose de nombreux atouts
Les entreprises de la région sont confrontées à des difficultés de recrutement de différentes natures
Plusieurs pistes d’action gagneraient à être renforcées pour permettre aux entreprises de se rendre plus attractives
Etude Apec - Attractivité et emploi cadre en BretagneApec
L'édition 2015 de l'étude de l'Apec sur l'attractivité et l'emploi cadre en région Bretagne.
L’emploi cadre en Bretagne apparaît fortement polarisé sur 2 des 18 zones d’emploi qui la composent.
Les zones d’emploi de Rennes et de Brest concentrent en effet plus de la moitié des cadres du privé. Ce taux dépasse les 80 % en ajoutant les zones de Vannes, Quimper, Lorient et Saint-Brieuc. Les spécificités sectorielles de chacune de ces zones d’emploi renforcent leur attractivité : l’industrie automobile et les technologies numériques à Rennes, le maritime à Brest...
La réforme territoriale en cours influera toutefois sur le positionnement de la région. La Bretagne, qui conserve son périmètre, deviendra ainsi l’une des régions les moins peuplées de l’Hexagone. Elle se placera aussi au 10e rang des 13 nouvelles régions métropolitaines que ce soit pour le nombre de salariés ou le nombre de cadres. La région
continuera de réunir 3,5 % des cadres du privé.
La durée de chômage au 4e trimestre 2023.pdfFrance Travail
Au 4e trimestre 2023, la durée d’inscription à France Travail, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 350 jours.
Les retours à_l'emploi des DE au 4ème trimestre 2023France Travail
Au cours du 4e trimestre 2023, près de 81 800 demandeurs d’emploi inscrits en catégories A et B ont accédé à un emploi d’un mois ou plus, soit une baisse de 3,7% par rapport au 4e trimestre 2022. Sur la même période, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégories A et B diminue de 0,1%.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 septembre 2023France Travail
Fin septembre 2023, 70,3 % des personnes inscrites à France Travail en catégories A, B, C ont un droit ouvert à l’indemnisation. Parmi celles-ci, 70,3 % sont indemnisées.
Ainsi, 49,4% des personnes inscrites à France Travail en catégories A, B, C sont indemnisées.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 3e trimestre 2023France Travail
Au cours du 3e trimestre 2023, 62 200 employeurs (+1,3% par rapport au 3e trimestre 2022) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés est également en hausse sur la même période (+1,4%), alors que le nombre de contrats de travail, la masse salariale et le volume d’heures travaillées sont en baisse (respectivement -2,1%, -2,4% et -2,8%).
Le contrôle de la recherche d'emploi en 2023France Travail
Au cours de l’année 2023, 523 400 contrôles de la recherche d’emploi ont été effectués, en hausse de 4,4% par rapport à 2022. 60% des contrôles ont été déclenchés par des requêtes ciblées. Un quart des contrôles sont faits sur une base aléatoire et 15% proviennent de signalements du conseiller référent.
ES Economie Verte 2023 en Région Provence-Alpes-Côte d'AzurFrance Travail
Dans la région, 16% de l’offre d’emploi concerne l’économie verte avec une évolution annuelle de +6%. La filière du bâtiment, énergies renouvelables, maîtrise de l’énergie est la plus représentée. Chiffres clés et tendances du secteur.
Plus de 58 900 offres ont été déposées à France Travail en un an au 30 juin 2023 : 5% pour les métiers verts et 95 % pour les métiers verdissants.
Demandeurs d'emploi indemnisés au 4e trimestre 2023France Travail
Au 4e trimestre 2023, 2 894 600 demandeurs d’emploi étaient indemnisés, en augmentation de 0,7% sur un trimestre et de 4,1% sur un an. Les bénéficiaires de l’Assurance chômage représentent 88,1% des personnes indemnisées au 4e trimestre 2023.
Les femmes demandeuses d'emploi inscrites à France Travail en 2023.pdfFrance Travail
Fin 2023, 48,8% des demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A sont des femmes. Depuis 2009, la part des femmes au sein des personnes inscrites en catégorie A est proche de celle observée au sein des personnes en emploi.
L'accès à l'emploi des demandeurs d'emploi inscrits à France Travail mesuré e...France Travail
Au cours des 6 mois suivant leur inscription en mars 2023, 45% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus. Vingt-quatre mois après leur inscription en septembre 2021, 75% des demandeurs d’emploi accèdent à un emploi d’un mois ou plus.
Les employeurs des salariés intermittents du spectacle au 2e trimestre 2023 .pdfFrance Travail
Au cours du 2e trimestre 2023, 61 000 employeurs (+4,6% par rapport au 2e trimestre 2022) ont employé au moins un salarié intermittent du spectacle relevant du champ d’application des annexes 8 et 10 de l’Assurance chômage. Le nombre de salariés et la masse salariale sont également en hausse sur la même période (+3,6% et +3,1%), alors que le nombre de contrats de travail et le volume d’heures travaillées sont en baisse (respectivement -1,8% et -0,1%).
La durée de chômage augmente au 3e trimestre 2023.pdfFrance Travail
Au 3e trimestre 2023, la durée d’inscription à France Travail, mesurée à partir de l’indicateur conjoncturel de durée au chômage (ICDC) s’établit à 328 jours.
Part des demandeurs d'emploi indemnisables : situation au 30 juin 2023France Travail
En 2022, les dépenses d’indemnisation au titre des annexes 8 et 10 ont diminué de 13,8% du fait de la fin de l’année blanche et de la reprise d’activité.
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
L'Observatoire politique ELABE pour Les Echos - Juin 2024
Es la-filiere-maritime-en-region-provence-alpes-cote-d-azur-en-2018
1. LA FILIÈRE MARITIME
ET SES MÉTIERS EN RÉGION
PROVENCE-ALPES-CÔTE D'AZUR
PROVENCE-ALPES-CÔTE D’AZUR
FÉVRIER 2019
SOMMAIRE
Une filière structurée autour de 10
familles
Des effectifs salariés en progression
Un niveau de recrutements en hausse
en 2018
Le marché du travail de la filière mer
Des demandeurs d’emploi formés
essentiellement aux métiers des
« services portuaires et nautiques »
Un taux d’accès à l’emploi suite à
formation de 68% en 2017
Annexe I : les chiffres clés pour la
région et les départements
Annexe II : la demande d’emploi
détaillée par appellations métiers
Méthodologie
p.2
p.3
p.6
p.9
p.11
p.12
p.16
p.20
L’essentiel à retenir
Avec 687 km de côtes, s’étalant de Menton aux Saintes-Maries-de-la-Mer, la filière
maritime occupe une place non négligeable dans l’économie littorale de la région
Provence-Alpes-Côte d'Azur, et se place comme première région maritime française selon
l’INSEE. Les zones d’emploi de Marseille – Aubagne et Toulon représentent notamment
les deux tiers des emplois et de la richesse de cette économie.
Les activités maritimes recouvrent de multiples métiers et secteurs d’activité et se
concentrent sur dix familles de métiers directement ou indirectement liées à l’économie de
la mer. On recense ainsi dans cette étude huit familles de métiers purement maritimes, et
deux familles de métiers, l’« hôtellerie restauration » et les « activités et loisirs littoraux »,
qui sont de véritables moteurs de l’emploi pour les territoires littoraux, la région Provence-
Alpes-Côte d'Azur étant la 1ère région touristique de France [cf. méthodologie p.20]. Parmi
les activités maritimes, les « travaux en mer », la « construction et maintenance
navale » font parties des familles de métiers dominantes sur le littoral de Provence-Alpes-
Côte d'Azur.
L’activité maritime représente près de 104 600 salariés au 31 décembre 2017, soit 8% de
l’emploi salarié régional, qui se répartissent sur plus de 14 600 établissements. L’activité
maritime en Provence-Alpes-Côte d’Azur n’a été que faiblement touchée par la crise de
2008, en effet, c’est à cette période que les activités du Grand Port Maritime de Marseille se
sont développées. « L’hôtellerie-restauration » et les « travaux en mer » représentent près
de 74% de l’emploi salarié de la filière mer et 6% de l’emploi total de la région.
Côté embauche, plus de 333 800 recrutements ont été réalisés en 2018 (15% de la région),
en légère hausse de +0,4% par rapport à 2017 et porté par les « activités de loisirs
littoraux ». Toutefois, hors tourisme, les recrutements ont chutés de -10,6%, notamment les
« services portuaires et nautiques » (-41,7%) en raison de la fermeture de la raffinerie de
pétrole Total La Mède qui a fait chuter le trafic annuel.
Concernant la demande d’emploi, plus de 33 900 demandeurs d’emploi en moyenne
chaque fin de mois recherchent un métier dans la filière mer. Ils représentent 7% de la
demande d’emploi de la région. Les jeunes hommes restent surreprésentés dans cette
filière.
Les formations sont également abordées dans cette étude. Hors tourisme, plus de 2 000
demandeurs d’emploi sont entrés en formation entre octobre 2017 et septembre 2018. Le
taux d’accès à l’emploi six mois après la sortie de formation est de 68% en 2017, un taux
supérieur à la moyenne régionale.
2. 2 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Une filière structurée autour de 10 familles
La filière maritime est structurée autour de dix familles de métier [cf. tableau 1]. 936 appellations métiers et 54
activités connectées à la filière maritime ont été retenues [cf. Méthodologie p.20].
Tableau 1
Illustration de la composition des 10 familles de métier maritime
Encadré 1 : certaines familles circonscrites aux cantons du littoral
En Provence-Alpes-Côte d’Azur, les métiers en lien avec les activités maritimes se concentrent sur les trois
départements que sont les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône et le Var, et sont composés de 27 cantons du
littoral [cf. méthodologie p.20]. ATTENTION : les données de cette année ne peuvent pas être comparées à celles de
l’année dernière car le périmètre géographique a été changé dans une soucis de précisions. Le choix de prendre les
cantons au lieu des bassins affine l’analyse sur les différents champs traités dans la note.
Pour éviter une intégration des ingénieurs dont l’activité est sans lien avec la mer, les secteurs et métiers des familles « travaux en
mer » et « R&D et ingénierie maritime » ont été circonscrits aux 27 cantons du littoral.
Les secteurs et métiers liés au « tourisme » ont une influence très forte sur l’ensemble de l’activité économique en Provence-Alpes-
Côte d’Azur. Afin de ne pas leur accorder un poids trop important dans l’analyse des métiers et des secteurs liés à la mer, les données
extraites pour les familles « hôtellerie-restauration » et « activité et loisirs littoraux » sont également circonscrites aux seuls cantons
du littoral de la région. Ainsi, certains résultats sont présentés en excluant les activités touristiques afin d’avoir une vision plus proche
des activités non saisonnières liées à la mer.
3. 3 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Des effectifs salariés en progression
Le transport maritime : une source d’emploi en expansion
La région Provence-Alpes-Côte d'Azur est dotée de deux centres névralgiques en termes d’ouverture maritime : le
Grand Port Maritime de Marseille (GPMM), premier port français en tonnage et second port méditerranéen, porté
par la CMA-CGM, premier recruteur de la région avec plus de 2 000 salariés au 1er janvier 2018 ; ainsi que du port de
Toulon hébergeant la base navale, moteur économique du département du Var et de la région.
Le port de Marseille-Fos, étant desservi par le réseau européen d’oléoduc, dispose d’une place privilégiée dans le
transport d’hydrocarbure et développe l’ambition d’accroître le trafic de produit raffiné ce qui a eu pour vocation une
progression constante depuis 2012 des métiers issus des « travaux en mer » et de la « R&D et ingénierie maritime ».
La base navale de Toulon, très important pourvoyeur d’emploi en Provence-Alpes-Côte d’Azur, compte 26 000
emplois militaires et civils et même à 29 000 depuis la mise en rénovation en 2017 du porte-avion français Charles de
Gaulle.
Les activités de grande (6 000 emplois directs et indirects) et moyenne plaisance ainsi que l’aquaculture
(développement de la conchyliculture qui a valu une médaille d’argent au salon de l’agriculture à Paris en 2017) ont
une place de plus en plus importante dans la région. Les ports de Toulon et de la Seyne Brégaillon sont également
dans cette dynamique d’impulser les activités portuaires et maritimes (1 250 emplois qui génèrent un chiffre
d’affaires de plus de 500 millions d’euros). Concernant la « construction et la maintenance navale », les effectifs
salariés ont progressivement augmenté depuis 2010-2011 dû à l’important trafic maritime dans la région (+13% entre
2008 et 2016).
Tableau 2
Répartition des établissements et des effectifs salariés par famille de métiers en 2017
Source : ACOSS
Les emplois de la défense et des administrations maritimes ne sont pas disponibles
* le tourisme représente ici les familles de « l’hôtellerie-restauration » et des « activités et loisirs littoraux »
« L’hôtellerie-restauration » et les « travaux en mer » pourvoyeurs de près de 75% des emplois de la région
En région Provence-Alpes-Côte d’Azur, près de 104 600 salariés travaillent dans la filière maritime, soit 8% de l’emploi
salarié de la région qui se répartissent dans plus de 14 600 établissements. Près des trois quarts des emplois se
concentrent sur « l’hôtellerie-restauration » (60%) et les « travaux en mer » (14%) [cf. tableau 2]. Même si
« l’hôtellerie-restauration » reste à considérer avec précaution, car induite par l’attractivité du littoral et non
directement une activité maritime, elle génère une importante source d’emplois (près de 62 900 salariés en 2017).
Les « travaux en mer » sont le deuxième plus important pourvoyeur d’emplois en Provence-Alpes-Côte d’Azur avec
près de 1 500 établissements embauchant plus de 14 700 salariés en 2017, notamment grâce au développement du
Grand Port Maritime de Marseille dès 2008. Hors tourisme, les « travaux en mer », portés par l’industrie
pétrochimique, regroupent la plus importante masse salariale de la région avec plus de la moitié des emplois. Il s’en
suit, malgré des volumes nettement plus faibles, le « personnel embarqué », en légère hausse de +2% sur un an. Avec
une hausse globale des effectifs de la filière mer (+2%), les principaux pourvoyeurs d’emploi sont en augmentation
par rapport à 2016 (+2% pour « l’hôtellerie-restauration » et +1% pour les « travaux en mer »).
Famille de métiers Etablissements Effectif Part hors tourisme Ecart 2017/2016
Hôtellerie-Restauration 10 998 62 898 - + 2%
Travaux en Mer 1 482 14 705 39% + 1%
Personnel embarqué 146 6 187 17% + 2%
Services Portuaires et Nautiques 449 6 062 16% - 1%
Construction et Maintenance Navale 413 5 642 15% + 5%
Activités et Loisirs Littoraux 782 4 363 - + 2%
R&D et Ingénierie Maritime 113 2 609 7% + 6%
Transformation des Produits de la Mer 79 1 347 4% + 3%
Pêches et Cultures Marines 187 782 2% - 2%
Défense et Administrations Maritimes - - 0% + 0%
Total filière mer (hors tourisme) 2 869 37 334 - + 2%
Total filière mer 14 649 104 595 100% + 2%
Total 165 306 1 306 702 - + 2%
4. 4 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Graphique 1
Effectifs salariés de la filière mer en 2017
Plus de 37 000 emplois salariés hors tourisme
En excluant les activités touristiques telles que « l’hôtellerie restauration » et les « loisirs littoraux », les salariés de la
filière maritime étaient plus de 37 000 et représentaient 3% de l’emploi salarié marchand non agricole de la région en
2017. La filière maritime est en constante hausse depuis 2010, impulsée par le développement accru des métiers de
la « construction et maintenance navale » ainsi que par les « travaux en mer » avec des évolutions respectives de
+22% et +18% entre 2009 et 2017. Cette progression est la conséquence de la mise en place du Grand Port Maritime
de Marseille et permet aux « travaux en mer » de représenter deux emplois salariés sur cinq hors tourisme en
Provence-Alpes-Côte d’Azur [cf. graphique 2].
Graphique 2
Répartition des emplois par famille de métiers (hors tourisme) en 2017
Provence-Alpes-
Côte d’Azur
France
Par rapport à la France, Provence-Alpes-Côte d’Azur se place au dessus dans quasiment toutes les familles de
métier maritimes sauf dans « l’hôtellerie-restauration » [cf. graphique 1].
Provence-Alpes-
Côte d’Azur
France
60%
14%
17%
16%
15%
2%
4%
4% 2%
Hôtellerie-Restauration
Travaux en Mer
Personnel embarqué
Services Portuaires et Nautiques
Construction et Maintenance Navale
R&D et Ingénierie Maritime
Activités et Loisirs Littoraux
Transformation des Produits de la Mer
Pêches et Cultures Marines 63%6%
1%
16%
5%
5%
1%
1%
1%
Source : ACOSS
Les emplois de la défense et des administrations maritimes ne sont pas disponibles
39%
16%
17%
15%
7%
4%
2%
Travaux en Mer
Services Portuaires et Nautiques
Personnel embarqué
Construction et Maintenance Navale
R&D et Ingénierie Maritime
Transformation des Produits de la Mer
Pêches et Cultures Marines
17%
44%
2%
13%
13%
3% 2%
Source : ACOSS
Les emplois de la défense et des administrations maritimes ne sont pas disponibles
5. 5 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
En savoir plus : étude de l’INSEE et de la DIRECCTE Provence-Alpes-Côte d’Azur
• INSEE Analyses n°46 juin 2017, « 120 000 emplois liés à la mer en Provence-Alpes-Côte
d’Azur » (LIEN)
L’emploi salarié global a augmenté sur les huit dernières années (+7% pour les familles de métiers de la mer et +8%
pour celles hors tourisme) [cf. graphique 3]. L’augmentation de la flotte mondiale de navire de loisirs (de 5 000
unités à 8 000 entre 2010 et 2012) ainsi que la rénovation des chantiers navals autour du bassin marseillais ont
contribué à la forte expansion du volume de salariés dans cette famille de métiers.
Source : ACOSS
Graphique 3
Évolution du nombre de salariés en Provence-Alpes-Côte d’Azur depuis 2009 (base 100)
Les salariés de la filière mer hors tourisme présentent certaines spécificités, ils sont le plus souvent des hommes,
pour 69% des cas, très majoritairement en CDI (93% des emplois du secteur), et ayant entre 25 et 49 ans [cf.
graphique 4]. Les jeunes et les séniors ainsi que les femmes sont quant à eux sous-représentés par rapport à
l’ensemble des filières.
Graphique 4
Caractéristiques des emplois en 2016
** Source : Acoss. Cette statistique porte sur les salariés directement employés par les établissements de la filière maritime. Elle n’inclut pas les travailleurs intérimaires (employés par les
établissements de travail temporaire) mis à disposition d’entreprises de la filière, qui eux sont comptabilisés dans le secteur « Activités de services administratifs et de soutien ».
6. 6 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Un niveau de recrutements en hausse en 2018
Sur l’année 2018, plus de 333 800 embauches, ont été réalisées par les établissements de la filière mer en Provence-
Alpes-Côte d’Azur. Elles représentent 15% des déclarations préalables à l’embauche (hors intérim) de la région. Ce
volume évolue de +0,4% par rapport à l’année 2017, contre +2% de pour l’ensemble des recrutements. Hors
tourisme*, plus de 17 000 embauches sont recensées, en baisse de -10,6% en un an [cf. Tableau 3]. Cette diminution
est en partie due à la forte baisse des recrutements au sein des « services portuaires et nautiques » (-41,7%). Chaque
année, les pics de recrutements se réalisent en avril et en juillet avec une forte activité entre mars et août. Hors
tourisme, deux familles ont un caractère saisonnier plus prononcé que les autres : les « travaux en mer » avec des
pics de recrutement sur les mois de janvier et septembre et les « services portuaires et nautiques » qui sont plus
actifs durant la période estivale. Parmi les huit régions côtières de France métropolitaine, Provence-Alpes-Côte d’Azur
se situe au premier rang en terme de volume d’embauche sur la filière mer et en cinquième position au sein de la
filière mer hors tourisme.
* Le tourisme représente dans cette étude les familles de métiers de « l’hôtellerie-restauration » et des « activités de loisirs littoraux »
Tableau 3
Répartition et évolution annuelle des embauches selon le secteur d’activité de l’établissement
Source: DPAE hors intérim / Acoss-MSA
Avec plus de neuf embauches sur dix, l’« hôtellerie-restauration » est le principal recruteur de la région dans la filière
maritime. Ce secteur est stable en un an pour afficher près de 304 000 déclarations préalables à l’embauche. Plus de
la moitié des embauches se réalisent dans le département des Alpes-Maritimes (51%), suivent les Bouches-du-Rhône
(27%) et le Var (22%).
Hors tourisme, les « travaux en mer », les « services portuaires et nautiques » et la « construction et maintenance
navale » sont les principaux recruteurs. Le département des Bouches-du-Rhône enregistre plus de la moitié des DPAE,
les Alpes-Maritimes représentent un quart du volume régional et le Var 18%. Plus d’un tiers des embauches sont des
contrats à durée indéterminée. Selon les secteurs, cette proportion varie de plus de 50% pour les « travaux en mer »
à 15% pour la « défense et administrations maritimes ». Ces types de contrats sont davantage utilisés dans le Var avec
une part de 50%.
Le secteur « défense et administrations maritimes » enregistre un faible volume car les déclarations préalables à
l’embauche concernant la défense restent « secret défense » et ne peuvent pas être représentées d’une façon
exhaustive.
L’« hôtellerie-restauration » reste le principal recruteur
Une Opération d’Intérêt Régional (OIR) en région Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Région pilote les 8 Opérations d’Intérêt Régional (OIR) en partenariat fort avec les industriels, les
collectivités, et l’ensemble des acteurs économiques concernés (pôles de compétitivité, réseau consulaire,
acteurs de la recherche, etc.). L’une d’entre elle porte sur l’économie de la mer et vise à structurer la filière
navale et maritime pour conquérir de nouveaux marchés. Plus d’information sur le site de la Région.
Famille de métiers DPAE 2018
Répartition (ensemble
de la filière mer)
Répartition (hors
tourisme*)
Evolution
annuelle
Hôtellerie-Restauration 303 961 91,1% - -0,2%
Activités et Loisirs Littoraux 12 853 3,9% - +45,9%
Travaux en Mer 7 041 2,1% 41% +5,6%
Services Portuaires et Nautiques 3 480 1,0% 20% -41,7%
Construction et Maintenance Navale 1 823 0,5% 11% +9,4%
R&D et Ingénierie Maritime 1 725 0,5% 10% -9,9%
Pêches et Cultures Marines 1 240 0,4% 7% +4,3%
Personnel embarqué 947 0,3% 6% +9,2%
Transformation des Produits de la Mer 659 0,2% 4% +5,9%
Défense et Administrations Maritimes 103 0,0% 1% -24,3%
Ensemble de la filière mer (hors tourisme*) 17 018 - 100% -10,6%
Ensemble de la filière mer 333 832 100% - +0,4%
7. 7 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Graphique 5
Part des familles de secteurs d’activité au sein de la région et des trois départements du littoral
Les trois départements littoraux présentent des spécificités : davantage de « travaux en mer » et de « R&D et
ingénierie maritimes » pour les Bouches du Rhône, et une représentation très forte des « services portuaires et
nautiques » dans le Var et les Alpes Maritimes [cf. graphique 5 et carte 1].
Aide à la lecture :
Dans les Bouches-du-Rhône, les « travaux en
mer » représentent 67% des volumes de la
région, 15% dans le Var et 18% dans les
Alpes-Maritimes.
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Alpes-Maritimes
Bouches-du-Rhône
Var
Vaucluse
Alpes-de-Haute-
Provence
Hautes-Alpes
Bouches-du-Rhône Var Alpes-Maritimes
Carte 1
Répartition des familles de secteurs d’activité au sein des trois départements du littoral
Travaux en Mer
Services portuaires et nautiques
R&D et Ingénierie Maritime
Construction et maintenance navale
Autres familles regroupées
Travaux en Mer
Services portuaires et nautiques
R&D et Ingénierie Maritime
Construction et maintenance navale
Autres familles regroupées
41%
20%
11%
10%
17%
50%
15%
13%
5%
17%
35%
33%
10%
1%
21%
44%
30%
9%
6%
11%
67%
34%
83%
26%
54%
15%
9%
2%
54%
21%
18%
54%15%
20%
17%
Ces dix métiers représentent près de
huit offres d’emploi sur dix parmi les
métiers de la filière mer hors tourisme.
22 500 offres d’emploi ont été collectées par Pôle emploi au cours de l’année 2018 pour la filière mer, soit 7% de
l’ensemble des offres d’emploi enregistrées, en progression de +4% en un an. Près de 5 700 offres ont été
enregistrées hors tourisme et plus des trois quarts viennent de la « construction et de la maintenance navale », en
évolution de +17% en un an. Les types de contrat de travail les plus proposés sont les contrats à durée déterminée
(54%), puis les contrats à durée indéterminée (30%). Un détail par famille de métiers est proposé en Annexe II. Hors
tourisme, les missions représentent près de la moitié des type de contrats et les CDI près d’un tiers.
Des offres d’emploi en hausse
Graphique 6
Top 10 des métiers les plus recherchés par les employeurs (hors tourisme)
209
229
232
333
351
395
453
643
752
856
Poissonnerie
Réalisation - installation d'ossatures bois
Peinture industrielle
Maintenance mécanique industrielle
Conduite de grue
Réalisation et montage en tuyauterie
Management et ingénierie études, recherche…
Soudage manuel
Maintenance électrique
Chaudronnerie - tôlerie
8. 8 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Construction et maintenance navale
Services portuaires et nautiques
Transformation des produits de la mer
Autres familles regroupées
Graphique 7
Part des familles de secteurs d’activité au sein de la région et des trois départements du littoral
Provence-Alpes-Côte d'Azur Bouches-du-Rhône Var Alpes-Maritimes
77%
15%
4%4%
78%
16%
2%4%
74%
18%
3%5%
67%
17%
10% 6%
Les trois départements littoraux présentent des spécificités : davantage de « construction et maintenance navale »
pour les Bouches du Rhône, et une représentation plus forte des « services portuaires et nautiques » dans les Alpes-
Maritimes [cf. graphique 7].
Les offres d’emploi enregistrées à Pôle emploi précisent les compétences requises pour exercer le futur emploi
[cf. tableau 4].
Activités et loisirs littoraux
Surveiller le déroulement de l'activité et veiller au respect des consignes de jeux, des règles de vie sociale
Organiser ou adapter la séance d'animation selon le déroulement de la journée
Préparer l'espace d'animation et guider les participants tout au long de la séance
Construction et maintenance navale
Couper les éléments et les mettre à dimensions et en forme par pliage, cintrage, oxycoupage
Contrôler le fonctionnement d'un outil ou équipement
Contrôler les pièces, l'assemblage et réaliser les finitions (meulage, ébavurage, redressage)
Défense et administrations marines
Assurer une maintenance de premier niveau
Evaluer la situation, les risques et déterminer les actions d'assistance et de secours à personnes ou de lutte contre les sinistres
Identifier une zone d'accident, de sinistre et les interventions demandées
Hôtellerie-restauration
Réaliser la mise en place de la salle et de l'office
Dresser les tables
Accueillir le client à son arrivée au restaurant, l'installer à une table et lui présenter la carte
Pêches et Cultures Marines
Définir la faisabilité et la rentabilité d'un projet
Planifier les étapes d'un projet
Procéder à des études/expérimentations
Personnel embarqué
Coordonner l'activité d'une équipe
Préparer et actionner les équipements du navire (ancres, câbles, cordages et gréement...) lors des manoeuvres d'appareillage ou d'accostage
Vérifier la conformité des équipements de sécurité (matériel de manutention, de sauvetage) et effectuer leur maintenance
R&D et ingénierie maritime
Sélectionner, traiter et réaliser l'analyse spatiale de données géographiques
Identifier et interpréter les données et caractéristiques géographiques et analyser les résultats
Restituer et mettre en forme les données géographiques pour l'édition cartographique
Services portuaires et nautiques
Contrôler l'état du matériel
Manoeuvrer une grue de chantier
Réaliser les opérations de déblocage, stabilisation sur un engin de levage
Transformation des Produits de la Mer
Trier les poissons et effectuer leur préparation
Réceptionner un produit
Entretenir un espace de vente
Travaux en Mer
Sondage de sol
Réaliser des essais géotechniques
Déterminer la densité du sous-sol rocheux
Tableau 4
Top 3 des compétences par famille de métier
9. 9 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Le marché du travail de la filière mer
Plus de 33 900 demandeurs d’emploi en catégories A,B,C sont inscrits dans une famille de métiers de la filière mer en
moyenne sur l’année 2018 [cf. Tableau 5]. Ce volume représente 7% de la demande d’emploi totale de la région, il
augmente de +0,2% en un an et évolue à un rythme moins élevé que l’ensemble de la demande d’emploi régionale
(+1,9%).
Hors tourisme, se sont près de 9 200 demandeurs d’emploi qui chaque mois recherchent une activité dans la filière
mer. Leur nombre s’améliore en 2018 par rapport à 2017 avec une diminution de -4,1%. Plus de la moitié recherchent
un métier dans la « construction et maintenance navale » puis viennent ensuite les familles de métiers des « services
portuaires et nautiques » et du « personnel embarqué ».
Tableau 5
Répartition et évolution annuelle des demandes d’emploi (en moyenne annuelle)
Une demande d’emploi majoritairement masculine
La demande d’emploi de la filière mer se caractérise par une majorité d’hommes (59%) par rapport à la moyenne
régionale (49%), elle atteint même 88% en excluant le tourisme [cf. Graphique 8]. La filière mer reste attractive pour
les jeunes avec 16% contre 12% de l’ensemble des métiers. Les séniors sont sous-représentés avec une part de 20%
contre 27% pour l’ensemble des métiers. Le niveau de diplôme de la filière mer est inférieur à celui de l’ensemble
des métiers de la région : 20% de Bac +2 et plus contre 27%. Hors tourisme, cette part atteint 30%. La part des
demandeurs d’emploi qui sont inscrits depuis plus d’un an au sein de la filière mer est moins importante que celle de
l’ensemble des métiers de la région (29% vs 45%).
Graphique 8
Répartition et évolution annuelle des demandes d’emploi (en moyenne annuelle)
Source: Pôle emploi / Demande STMT
Source: Pôle emploi / Demande STMT
Famille de métiers
Demandeur
d'emploi
Répartition (ensemble
de la filière mer)
Répartition
(hors tourisme*)
Evolution
2018/2017
Hôtellerie-Restauration 18 098 54% - +0,8%
Activités et Loisirs Littoraux 6 614 20% - +4,6%
Construction et Maintenance Navale 5 042 15% 55% -5,7%
Services Portuaires et Nautiques 1 568 4% 17% -1,2%
Personnel embarqué 1 103 3% 12% +1,0%
R&D et Ingénierie Maritime 556 2% 6% -8,1%
Pêches et Cultures Marines 406 1% 4% -6,4%
Travaux en Mer 207 1% 2% +2,3%
Transformation des Produits de la Mer 164 0% 2% -8,5%
Défense et Administrations Maritimes 147 0% 2% +9,3%
Ensemble de la filière mer (hors tourisme*) 9 193 - 100% -4,1%
Ensemble de la filière mer 33 905 100% - +0,2%
* Le tourisme représente dans cette étude les familles de métiers de « l’hôtellerie-restauration » et des « activités de loisirs littoraux »
59%
16%
20% 22%
52%
29%
88%
12%
24%
30%
48%
31%
49%
12%
27% 28%
49%
45%
Filière mer Filière mer (hors tourisme) Ensemble des métiers
10. 10 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Les 10 métiers les plus recherchés au sein de la filière maritime (hors tourisme)
Les dix métiers les plus recherchés par les demandeurs d’emploi représentent près des deux tiers de la filière mer
hors tourisme [cf. Graphique 9]. Le premier métier est celui de « soudage manuel » avec une part de 12%, suivi de
« maintenance électrique » (8%).
Graphique 9
Top 10 des métiers les plus recherchés par les demandeurs d’emploi
Hors tourisme, la « construction navale » concentre plus de la moitié des recherches d’emploi
Globalement dans la filière mer, les familles de « l’hôtellerie-restauration » et des « activités et loisirs littoraux »
représentent près des trois quart de la demande d’emploi. Hors tourisme, trois familles concentrent plus de huit
demandeurs d’emploi sur dix : la « construction et maintenance navale » (55%), les « services portuaires et
nautiques » (17%) et le « personnel embarqué » (12%). Les Bouches du Rhône concentrent plus d’un demandeur
d’emploi sur deux de la filière mer hors tourisme [cf. graphique 10].
Graphique 10
Part de la demande d’emploi (hors tourisme) dans les trois départements littoraux de la région Provence-
Alpes-Côte d'Azur
Construction et maintenance navale
Services portuaires et nautiques
Personnel embarqué
Autres familles regroupées
Alpes-MaritimesBouches-du-Rhône Var
1 5724 718 1 718
Aide à la lecture :
Au centre des disques : le nombre de demandeurs d’emploi dans la
filière maritime hors tourisme
Secteurs colorés : part des demandeurs d’emploi selon les familles
de métiers (hors tourisme)
Source: Pôle emploi / Demande STMT
Source: Pôle emploi / Demande STMT
330
350
472
500
599
608
632
662
741
1 086
Recherche en sciencesde l'univers,de la matière …
Mécanique de marine
Encadrement de la navigation maritime
Conduite de grue
Réalisation et montage en tuyauterie
Equipage de la navigation maritime
Chaudronnerie - tôlerie
Management et ingénierie études, R&D
Maintenance électrique
Soudage manuel
11. 11 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
EN SAVOIR PLUS
Des demandeurs d’emploi formés essentiellement aux métiers
des « services portuaires et nautiques »
Plus de 6 500 demandeurs d’emploi ont été formés entre octobre 2017 et septembre 2018 sur des métiers liés à la
filière maritime, dont plus de 2 000 sur le hors tourisme. Juste après « l’hôtellerie-restauration » (plus de 51% de la
filière mer), les « services portuaires et nautiques » présentent des volumes d’entrées en formation importants sur
la période de référence (22%) [cf. Tableau 6]. Plus des deux tiers des formations ont été financées par Pôle emploi
et parmi elles, les aides individuelles à la formation (AIF) comptent pour 16%.
Tableau 6
Entrants en formation d’octobre 2017 à septembre 2018
Tableau 7
Accès à l’emploi à l’issue des formations en 2017
Source : Pôle emploi, fichier des sortants de formation
* ST : secret statistique (les données inférieures à 61 unités ne peuvent pas être communiquées).
EN SAVOIR PLUS
● Requêteur de données sur les entrées et les sortants de formation (Pôle emploi)
*ST (secret statistique) : seuil de minimum 60 DE en dessous duquel il n'est pas possible de communiquer les données concernant les entrées en formation
- : absence de valeur pour la catégorie concernée
Source : Pôle emploi, fichier des entrées en formation
Eclairage :
Il n’est pas possible de comparer les deux tableaux
présents sur cette page car les périodes ne
correspondent pas à la même cohorte de
demandeurs d’emploi.
• Les demandeurs d’emploi entrés en formation
au mois M sont comptabilisés au mois M.
• Les demandeurs d’emploi sortis au mois M ne
sont comptabilisés qu’au mois M+9
(l’indicateur mesure l’accès à l’emploi six mois
après la fin de formation du demandeur
d’emploi).
Le taux d’accès à l’emploi des demandeurs d’emploi six mois après leur sortie de formation est supérieur à
l’ensemble des formations de la région (58%), il est de 68% sur la filière mer et de 67% hors tourisme [cf. tableau 7].
Les métiers du domaine des « services portuaires et nautiques » disposent d’accès à l’emploi importants, parmi eux :
o « Grue » : 240 sortants et un accès à l’emploi de près de 72%
o « Nacelle élévatrice » : 180 sortants et un accès à l’emploi de 72%
o « Transport de matière dangereuse » : 175 sortants et un accès à l’emploi de 65%
Un taux d’accès à l’emploi suite à formation de 68% en 2017
Domaine de la mer Total sortants 2017
Taux d'accès à
l'emploi d'un mois ou
plus suite à formation
en 2017
Hôtellerie-restauration 2 840 69%
Services portuaires et nautiques 1 220 69%
Activités et loisirs littoraux 680 63%
Construction et maintenance navale 300 70%
Personnel embarqué 130 51%
Pêches et cultures marines ST* 37%
R&D et ingénierie maritime ST* 33%
Transformation des produits de la mer ST* 0%
Défense et administrations maritimes ST* 0%
Travaux en mer - -
Total filière mer (hors tourisme) 1 689 67%
Total filière mer 5 207 68%
Total (toutes filières) 46 170 58%
Domaine de la mer Total AFC AIF AFPR + POEI
Autres
financements
Hôtellerie-restauration 3381 955 378 1 324 724
Services portuaires et nautiques 1448 490 447 184 327
Activités et loisirs littoraux 1114 257 161 70 626
Construction et maintenance navale 483 149 ST* 117 185
Personnel embarqué 126 - ST* ST* 84
Pêches et cultures marines ST* - ST* ST* ST*
R&D et ingénierie maritime ST* - - ST* ST*
Transformation des produits de la mer ST* - - ST* -
Travaux en mer - - - - -
Défense et administrations maritimes - - - - -
Total Filière mer 6 573 1 851 1 067 1 700 1 955
Total Filière mer (hors tourisme) 2 078 639 528 306 605
Total (toutes filières) 33 644 10 594 7 025 3 423 12 602
12. Annexe I : Chiffres clés de la filière mer en Provence-Alpes-
Côte d’Azur
12 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Travaux enMer
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 14 700 salariésen2017 (60% de la filière)
* 60 offresenregistréesen2018
* 8 300 recrutementssurunan (+20% en unan)
* 225 demandeursd'emploi enmoyenne parmoisen
2018 (+7% sur unan)
Personnel embarqué
* 6 060 salariésen2017 (4% de la filière)
* 50 offresenregistréesen2018
* 867 recrutementssurunan (+58% enun an)
* 1 093 demandeursd'emploi enmoyenneparmois
en2018 (+11% sur unan)
Constructionet Maintenance Navale
* 5 400 salariésen2017 (4% de la filière)
* 3 700 offresenregistréesen2018
* 1 700 recrutementssurunan (+20% en unan)
* 5 300 demandeursd'emploi enmoyenneparmois
en2018 (-2%sur un an)
R&D et Ingénierie Maritime
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 6 100 salariésen2017 (4% de la filière)
* 90 offresenregistréesen2018
* 2 300 recrutementssurunan (-4%enun an)
* 700 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-1%sur un an)
Défense etAdministrationsMaritimes
* Emploi salarié nondisponible
* 40 offresenregistréesen 2018
* 130 recrutementssurunan (+88% enun an)
* 130 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (+8% sur un an)
ServicesPortuaireset Nautiques
* 5 800 salariésen2017 (4% de la filière)
* 800 offresenregistréesen 2018
* 6 000 recrutementssurunan (-38% enun an)
* 1 600 demandeursd'emploi enmoyenneparmois
en2018 (+3% sur un an)
Pêcheset CulturesMarines
* 1 100 salariésen2017 (1% de la filière)
* 20 offresenregistréesen 2018
* 1 200 recrutementssurunan (+5% enun an)
* 400 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
Hôtellerie-Restauration
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 81 900 salariésen2017 (58% de la filière)
* 16 000 offresenregistréesen 2018
* 327 000 recrutementssurunan (+9% enun an)
* 20 000 demandeursd'emploienmoyenne par
moisen2018 (-2%sur un an)
Transformation des Produitsde la Mer
* 1 300 salariésen2017 (1% de la filière)
* 300 offresenregistréesen2017
* 600 recrutementssurunan (+11% enun an)
* 200 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
Activitéset loisirslittoraux
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 5 400 salariésen2017 (4% de la filière)
* 4 000 offresenregistréesen 2018
* 9 500 recrutementssurunan (+20% en unan)
* 7 000 demandeursd'emploi enmoyenneparmois
en2018 (-2%sur un an)
Activitéssaisonnièresliées autourisme
Provence-Alpes-Côte d'Azur
* 104 600 salariésen2017 (11% de l'emploi régional)
* 22 500 offresenregistréesen2018
* 333 800 recrutementssurunan (+0,4% enun an)
* 33 900 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (+0,2% sur un an)
13. 13 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Annexe I (suite) : Chiffres clés des familles de métier de la
filière mer dans les Bouches-du-Rhône
Travaux enMer
(uniquement surlescantonscôtiers)
* 9 830 salariésen2017 (21% de la filière)
* 1 580 offresenregistréesen 2018
* 4 720 recrutementssurunan (+7% en unan)
* 100 demandeursd'emploienmoyenne parmoisen
2018 (+19+% sur un an)
Personnel embarqué
* 5 950 salariésen2017 (13% de la filière)
* 90 offresenregistréesen2018
* 800 recrutementssurunan (+9% enun an)
* 420 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (+3% sur un an)
Constructionet Maintenance Navale
* 920 salariésen2017 (2% de la filière)
* 120 offresenregistréesen2018
* 470 recrutementssurunan (+27% enun an)
* 2 750 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-7% sur un an)
R&D et Ingénierie Maritime
(uniquementsurles cantonscôtiers)
* 1 450 salariésen2017 (3% de lafilière)
* 90 offresenregistréesen2018
* 1 430 recrutementssurunan (-15% enun an)
* 320 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-8% sur un an)
Défense etAdministrationsMaritimes
* Emploi salarié nondisponible
* 100 offresenregistréesen2018
* 60 recrutementssurunan (-23% enun an)
* 70 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (+8% sur un an)
ServicesPortuaireset Nautiques
* 3 740 salariésen2017 (7% de lafilière)
* 110 offresenregistréesen2018
* 1 190 recrutementssurunan (+21% enun an)
* 780 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-1% sur un an)
Pêcheset CulturesMarines
* 320 salariésen2017 (<1% de la filière)
* 40 offresenregistréesen2018
* 500 recrutementssurunan (+33% enun an)
* 200 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-10% surun an)
Hôtellerie-Restauration
(uniquementsurlescantonscôtiers)
* 21 970 salariésen2017 (48% de lafilière)
* 4 460 offresenregistréesen2018
* 76 910 recrutementssurunan (-3,1% enun an)
* 6 060 demandeursd'emploi enmoyenne par
moisen2018 (+3% sur un an)
Transformation des Produitsde la Mer
* 450 salariésen2017 (1% de la filière)
* 50 offresenregistréesen2018
* 250 recrutementssurunan (+17% enun an)
* 70 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-4% sur un an)
Activitéset loisirslittoraux
(uniquementsurles cantons côtiers)
* 1 930 salariésen2017 (4% de lafilière)
* 320 offresenregistréesen2018
* 5 120 recrutementssurunan (+10% enun an)
* 2 980 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (+9% sur un an)
Activitéssaisonnièresliées autourisme
Bouches-du-Rhône
* 45 720 salariésen2017 (13% de l'emploi régional)
* 11 100 offresenregistréesen2018
* 91 440 recrutementssurunan (-1,5% enun an)
* 13 760 demandeursd'emploi enmoyenneparmois
en2018 (+1% sur un an)
14. Annexe I (suite) : Chiffres clés de la filière mer dans les Alpes-
Maritimes
14 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Travaux enMer
(uniquement surlesbassinscôtiers)
* 2 990 salariésen2017 (9% de lafilière)
* 840 offresenregistréesen2018
* 1 290 recrutementssurunan (-1% en unan)
* 40 demandeursd'emploi enmoyenne parmoisen
2018 (-11,2% sur unan)
Personnel embarqué
* 110 salariésen2017 (<1% de la filière)
* 30 offresenregistréesen2018
* 60 recrutementssurunan (+12% enun an)
* 350 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-4,3% surun an)
Constructionet Maintenance Navale
* 520 salariésen2017 (1% de la filière)
* 60 offresenregistréesen2018
* 370 recrutementssurunan (+2% enun an)
* 600 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-5,6% surun an)
R&D et Ingénierie Maritime
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 1 080 salariésen2017 (3% de lafilière)
* 50 offresenregistréesen2018
* 260 recrutementssurunan (+35% enun an)
* 170 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-8,3% surun an)
Défense etAdministrationsMaritimes
* Emploi salarié nondisponible
* 10 offresenregistréesen2018
* 1 recrutementsurunan
* 10 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (+38,9% surun an)
ServicesPortuaireset Nautiques
* 1 690 salariésen2017 (2% de la filière)
* 110 offresenregistréesen2018
* 1 870 recrutementssurunan (-8% en unan)
* 280 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-0,7% sur un an)
Pêcheset CulturesMarines
* 200 salariésen2017 (<1% de la filière)
* 20 offresenregistréesen2018
* 280 recrutementssurunan (+6% enun an)
* 60 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-2,3% sur un an)
Hôtellerie-Restauration
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 27 430 salariésen2017 (79% de lafilière)
* 8 670 offresenregistréesen2018
* 159 540 recrutementssurunan (-0,6% en unan)
* 7 330 demandeursd'emploi enmoyenne par
moisen2018 (-1,3% sur un an)
Transformation des Produitsde la Mer
* 240 salariésen2017 (<1% de la filière)
* 30 offresenregistréesen2018
* 150 recrutementssurunan (+6% enun an)
* 50 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-13,4% sur unan)
Activitéset loisirslittoraux
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 1 490 salariésen2017 (4% de lafilière)
* 150 offresenregistréesen2018
* 5 820 recrutementssurunan (+100% enun an)
* 1 760 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-0,5% surun an)
Activitéssaisonnièresliées autourisme
Alpes-Maritimes
* 34 670 salariésen2017 (14% de lafilière)
* 10 100 offresenregistréesen2018
* 169 640 recrutementssurunan (+1,4% en unan)
* 10 670 demandeursd'emploi enmoyenneparmois
en 2018 (-1,6% sur un an)
15. Annexe I (suite) : Chiffres clés de la filière mer dans le Var
15 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Travaux enMer
(uniquement surlesbassinscôtiers)
* 2 030 salariésen 2017 (9% de lafilière)
* 780 offresenregistréesen2018
* 1 030 recrutementssurunan (+6% en unan)
* 60 demandeursd'emploi enmoyenne parmoisen
2018 (-8,4% sur un an)
Personnel embarqué
* 130 salariésen2017 (1% de la filière)
* 10 offresenregistréesen2018
* 90 recrutementssurunan (+8% enun an)
* 300 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (+3,2% sur un an)
Constructionet Maintenance Navale
* 4 130 salariésen2017 (18% de la filière)
* 100 offresenregistréesen2018
* 1 000 recrutementssurunan (+6% en unan)
* 810 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (-4,4% sur un an)
R&D et Ingénierie Maritime
(uniquement surlesbassinscôtiers)
* 150 salariésen2017 (1% de la filière)
* 5 offresenregistréesen2018
* 35 recrutementssurunan (-13% enun an)
* 70 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-6,1% sur un an)
Défense etAdministrationsMaritimes
* Emploi salarié nondisponible
* 90 offresenregistréesen2018
* 30 recrutementssurunan
* 40 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-5,6% sur un an)
ServicesPortuaireset Nautiques
* 460 salariésen2017 (2% de la filière)
* 30 offresenregistréesen2018
* 310 recrutementssurunan (-89% enun an)
* 340 demandeursd'emploienmoyenne parmois
en2018 (+1,2% sur un an)
Pêcheset CulturesMarines
* 190 salariésen2017 (1% de la filière)
* 20 offresenregistréesen2018
* 370 recrutementssurunan (-17% enun an)
* 65 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-3,1% sur un an)
Hôtellerie-Restauration
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 14 850 salariésen2017 (65% de lafilière)
* 7 730 offresenregistréesen2018
* 67 510 recrutementssurunan (+4,4% enun an)
* 4 700 demandeursd'emploi enmoyenne par
moisen2018 (+1,7% sur un an)
Transformation des Produitsde la Mer
* 340 salariésen2017 (2% de la filière)
* 22 offresenregistréesen2018
* 140 recrutementssurunan (-5% enun an)
* 30 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (-12,2% sur unan)
Activitéset loisirslittoraux
(uniquementsurlesbassinscôtiers)
* 670 salariésen2017 (3% de la filière)
* 100 offresenregistréesen2018
* 1 910 recrutementssurunan (+17% enun an)
* 1 880 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (+1,9% sur un an)
Activitéssaisonnièresliées autourisme
Var
* 22 790 salariésen2017 (15% de lafilière)
* 9 150 offresenregistréesen2018
* 72 410 recrutementssurunan (+0,9% enun an)
* 8 300 demandeursd'emploi enmoyenne parmois
en2018 (+0,8% sur un an)
16. Annexe II : DEMANDE D’EMPLOI MARITIME DÉTAILLÉE PAR
APPELLATIONS MÉTIERS
16 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Pour chaque famille, seuls les principaux métiers recherchés sont présentés (et non la totalité), en fonction du
nombre de demandeurs d’emploi triés par ordre décroissant. Les offres enregistrées par Pôle emploi sont données à
titre indicatif.
NB : un code ROME peut être composé de plusieurs appellations.
* La demande d’emploi est la moyenne mensuelle sur l’année 2018 // (1) Données soumises au secret statistique
Famille Métier (ROME) Appellation métier
Demande
d'emploi
année 2018*
Offres
d'emploi
année 2018
H2902 - Chaudronnerie - tôlerie Chaudronnier / Chaudronnière 311 439
H2913 - Soudage manuel Soudeur / Soudeuse à l'arc électrique 287 123
H2913 - Soudage manuel Soudeur / Soudeuse Tungsten Inert Gas -TIG- 255 147
F1503 - Réalisation - installation d'ossatures bois Charpentier / Charpentière 220 202
I1309 - Maintenance électrique Electrotechnicien / Electrotechnicienne de maintenance 218 258
H2913 - Soudage manuel Soudeur / Soudeuse Metal Inert Gas -MIG- 209 114
H2914 - Réalisation et montage en tuyauterie Tuyauteur-monteur / Tuyauteuse-monteuse 188 14
H2913 - Soudage manuel Soudeur / Soudeuse à l'arc semi-automatique 183 121
H2914 - Réalisation et montage en tuyauterie Tuyauteur / Tuyauteuse 181 208
H2902 - Chaudronnerie - tôlerie Chaudronnier soudeur / Chaudronnière soudeuse 135 222
H2914 - Réalisation et montage en tuyauterie Tuyauteur industriel / Tuyauteuse industrielle 105 45
I1310 - Maintenance mécanique industrielle Mécanicien / Mécanicienne de maintenance industrielle 104 152
I1309 - Maintenance électrique Electricien / Electricienne de maintenance 96 88
I1309 - Maintenance électrique Aide électricien / électricienne de maintenance 87 86
H3404 - Peinture industrielle Peintre industriel / industrielle 86 157
I1605 - Mécanique de marine Mécanicien / Mécanicienne de bateaux de plaisance 84 15
H2911 - Réalisation de structures métalliques Métallier-serrurier industriel / Métallière-serrurière industrielle 82 34
I1605 - Mécanique de marine Mécanicien / Mécanicienne de bateaux 80 42
H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développemeIngénieur / Ingénieure chimiste en industrie 67 ST(1)
I1309 - Maintenance électrique Electricien / Electricienne de maintenance en équipements industriels 66 37
Autres appellations métier 1 997 1 836
5 042 4 340
F1301 - Conduite de grue Grutier / Grutière 319 270
I1607 - Réparation de cycles, motocycles et motoculteurs de loisiMécanicien / Mécanicienne en cycles et motocycles 106 25
N3203 - Manutention portuaire Ouvrier / Ouvrière docker 90 ST(1)
N1202 - Gestion des opérations de circulation internationale desAgent / Agente de transit 83 55
F1301 - Conduite de grue Conducteur grutier / Conductrice grutière 78 21
I1601 - Installation et maintenance en nautisme Technicien / Technicienne de maintenance du nautisme 76 41
I1607 - Réparation de cycles, motocycles et motoculteurs de loisiMécanicien / Mécanicienne motocycles 54 31
I1601 - Installation et maintenance en nautisme
Maintenicien plaisance polyvalent / Maintenicienne
plaisance polyvalente
50 ST(1)
N1202 - Gestion des opérations de circulation internationale desAgent / Agente de transit maritime 47 23
N1202 - Gestion des opérations de circulation
internationale des
Agent déclarant / Agente déclarante en douane 46 22
F1301 - Conduite de grue Conducteur / Conductrice de grue 46 42
F1301 - Conduite de grue Conducteur / Conductrice de grue à tour 44 5
N1202 - Gestion des opérations de circulation internationale desCoordinateur / Coordinatrice transit -import/export- 42 7
N3201 - Exploitation des opérations portuaires et du transport maAgent / Agente d'escale en gare maritime 33 7
I1607 - Réparation de cycles, motocycles et
motoculteurs de loisi
Mécanicien-réparateur / Mécanicienne-réparatrice de
cycles et motocycles
28 ST(1)
N1201 - Affrètement transport Affréteur / Affréteuse transport routier 27 38
D1404 - Relation commerciale en vente de véhicules Conseiller vendeur / Conseillère vendeuse de bateaux de plaisance 23 3
I1601 - Installation et maintenance en nautisme Préparateur / Préparatrice de bateau 22 18
N3201 - Exploitation des opérations portuaires et du transport maAgent / Agente de port de plaisance 20 21
N3201 - Exploitation des opérations portuaires et du
transport ma
Responsable d'exploitation transport maritime 17 ST(1)
Autres appellations métier 319 245
1 569 885
Construction et
Maintenance
Navale
Services
Portuaires et
Nautiques
Total Services Portuaires et Nautiques
Total Construction et Maintenance Navale
17. Annexe II (suite) : DEMANDE D’EMPLOI MARITIME DÉTAILLÉE PAR
APPELLATIONS MÉTIERS
17 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Famille Métier (ROME) Appellation métier
Demande
d'emploi
année 2018*
Offres
d'emploi
année 2018
N3101 - Encadrement de la navigation maritime Capitaine marine marchande 171 ST(1)
N3101 - Encadrement de la navigation maritime Capitaine de yacht 155 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Marin de la plaisance professionnelle 125 8
N3102 - Equipage de la navigation maritime Marin de la marine marchande 124 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Matelot de la marine marchande 107 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Marin de la navigation maritime 75 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Matelot de la navigation maritime 61 ST(1)
N3101 - Encadrement de la navigation maritime Officier / Officière de la marine marchande 47 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Matelot polyvalent / polyvalente navigation maritime 40 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Equipier / Equipière de plaisance professionnelle 33 8
N3101 - Encadrement de la navigation maritime Second / Seconde capitaine marine 15 ST(1)
N3101 - Encadrement de la navigation maritime Chef mécanicien / mécanicienne marine 15 10
N3101 - Encadrement de la navigation maritime Officier / Officière pont de la marine marchande 12 ST(1)
N3102 - Equipage de la navigation maritime Maître / Maîtresse d'équipage 11 ST(1)
Autres appellations métier 114 28
1 103 65
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière …
Biologiste de la recherche scientifique 100 ST(1)
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière et du v
Ingénieur / Ingénieure de recherche scientifique 56 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Ingénieur / Ingénieure d'études-recherche-développement en
industrie
44 ST(1)
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière et du v
Ingénieur / Ingénieure d'études en recherche scientifique 35 ST(1)
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière et du v
Chargé / Chargée de recherche 32 ST(1)
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière et du v
Ingénieur / Ingénieure d'études en recherche fondamentale 25 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Ingénieur / Ingénieure biologiste en industrie 25 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Ingénieur / Ingénieure d'essais en études, recherche et
développement
19 ST(1)
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière et du v
Ingénieur / Ingénieure de recherche biomédicale 16 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Assistant / Assistante technique d'ingénieur en études,
recherche et développement en industrie
14 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Ingénieur / Ingénieure recherche développement énergies renouvelables en industrie13 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Ingénieur / Ingénieure en biotechnologie en industrie 13 ST(1)
K2402 - Recherche en sciences de l'univers, de la
matière et du v
Microbiologiste de la recherche scientifique 11 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Attaché / Attachée de recherche clinique en industrie 10 ST(1)
H1206 - Management et ingénierie études, recherche
et développeme
Ingénieur / Ingénieure agronome en études, recherche et
développement
10 ST(1)
Autres appellations métier 133 31
556 59
R&D et Ingénierie
Maritime
Total R&D et Ingénierie Maritime
Personnel
embarqué
Total Personnel embarqué
18. Annexe II (suite) : DEMANDE D’EMPLOI MARITIME DÉTAILLÉE PAR
APPELLATIONS MÉTIERS
18 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Famille Métier (ROME) Appellation métier
Demande
d'emploi
année 2018*
Offres
d'emploi
année 2018
A1303 - Ingénierie en agriculture et environnement
naturel
Chargé / Chargée d'études environnement 162 23
A1415 - Equipage de la pêche Marin-pêcheur 55 ST(1)
A1303 - Ingénierie en agriculture et environnement
naturel
Ingénieur / Ingénieure agro-environnement 42 ST(1)
A1303 - Ingénierie en agriculture et environnement
naturel
Chargé / Chargée de mission biodiversité 42 6
A1404 - Aquaculture Aquaculteur / Aquacultrice 15 ST(1)
A1303 - Ingénierie en agriculture et environnement naturelChargé / Chargée d'études en biodiversité 14
A1303 - Ingénierie en agriculture et environnement
naturel
Bio-ingénieur / Bio-ingénieure 10 ST(1)
Autres appellations métier 65 28
406 40
I1502 - Intervention en milieu subaquatique Scaphandrier / Scaphandrière 36 ST(1)
I1502 - Intervention en milieu subaquatique Plongeur scaphandrier / Plongeuse scaphandrière 35 ST(1)
I1502 - Intervention en milieu subaquatique Plongeur / Plongeuse subaquatique 21 ST(1)
F1105 - Études géologiques Géologue 14 ST(1)
F1203 - Direction et ingénierie d'exploitation de
gisements et de
Ingénieur / Ingénieure de production pétrolière 13 ST(1)
Autres appellations métier 89 ST(1)
207 29
D1105 - Poissonnerie Poissonnier / Poissonnière 105 158
D1105 - Poissonnerie Ecailler / Ecaillère en poissonnerie 25 16
D1105 - Poissonnerie Employé / Employée en poissonnerie 12 12
Autres appellations métier 22 23
164 209
K1705 - Sécurité civile et secours Marin-pompier 42 ST(1)
K1705 - Sécurité civile et secours Secouriste brancardier / brancardière 12 ST(1)
K1705 - Sécurité civile et secours Pompier industriel / Pompière industrielle 11 9
Autres appellations métier 81 ST(1)
147 31
G1803 - Service en restauration Serveur / Serveuse de restaurant 2 534 2 599
G1501 - Personnel d'étage Valet / Femme de chambre 2 347 2 711
G1803 - Service en restauration Chef de rang 1 488 1 066
G1605 - Plonge en restauration Plongeur / Plongeuse en restauration 1 338 1 098
G1801 - Café, bar brasserie Barman / Barmaid 1 318 609
G1803 - Service en restauration Garçon / Serveuse de restaurant 1 045 119
G1605 - Plonge en restauration Aide de cuisine 1 019 173
G1803 - Service en restauration Serveur / Serveuse en restauration 925 ST(1)
G1603 - Personnel polyvalent en restauration Employé polyvalent / Employée polyvalente de restauration 883 777
G1801 - Café, bar brasserie Serveur / Serveuse de bar-brasserie 676 269
G1603 - Personnel polyvalent en restauration Employé / Employée de restauration collective 566 152
G1801 - Café, bar brasserie Serveur / Serveuse de bar 371 159
G1605 - Plonge en restauration Aide de cuisine de collectivité 342 30
G1603 - Personnel polyvalent en restauration Employé / Employée de cantine 339 17
G1603 - Personnel polyvalent en restauration Employé polyvalent / Employée polyvalente de restaurant 328 249
G1603 - Personnel polyvalent en restauration
Equipier polyvalent / Equipière polyvalente de restauration
rapide
296 1 245
G1603 - Personnel polyvalent en restauration Agent / Agente de restauration rapide 196 96
G1801 - Café, bar brasserie Chef barman / barmaid 183 41
G1702 - Personnel du hall Voiturier / Voiturière 153 102
G1501 - Personnel d'étage Premier valet / Première femme de chambre 130 63
Autres appellations métier 1 620 2 157
18 098 13 732
Transformation
des Produits
de la Mer
Total Transformation des Produits de la Mer
Défense et
Administrations
Maritimes
Total Défense et Administrations Maritimes
Hôtellerie-
Restauration
Total Hôtellerie-Restauration
Pêches et
Cultures Marines
Total Pêches et Cultures Marines
Travaux en Mer
Total Travaux en Mer
19. Annexe II (suite) : DEMANDE D’EMPLOI MARITIME DÉTAILLÉE PAR
APPELLATIONS MÉTIERS
19 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
Famille Métier (ROME) Appellation métier
Demande
d'emploi
année 2018*
Offres
d'emploi
année 2018
G1203 - Animation de loisirs auprès d'enfants ou
d'adolescents
Animateur / Animatrice d'enfants 564 399
G1204 - Éducation en activités sportives Educateur sportif / Educatrice sportive 500 43
D1211 - Vente en articles de sport et loisirs Vendeur / Vendeuse en articles de sport 420 214
G1203 - Animation de loisirs auprès d'enfants ou d'adolescentsAnimateur / Animatrice de centre de loisirs 391 124
G1203 - Animation de loisirs auprès d'enfants ou d'adolescentsAnimateur / Animatrice d'activités périscolaires 383 328
G1204 - Éducation en activités sportives Animateur sportif / Animatrice sportive 380 153
G1204 - Éducation en activités sportives Coach sportif 303 90
G1203 - Animation de loisirs auprès d'enfants ou d'adolescentsAnimateur / Animatrice de centre aéré 279 95
G1204 - Éducation en activités sportives Maître nageur sauveteur / Maître nageuse sauveteuse 161 143
G1204 - Éducation en activités sportives Educateur / Educatrice d'activités sportives 154 20
G1203 - Animation de loisirs auprès d'enfants ou d'adolescentsAnimateur / Animatrice de centre de vacances et de loisirs 127 115
G1204 - Éducation en activités sportives Professeur / Professeure d'activités sportives 126 ST(1)
G1202 - Animation d'activités culturelles ou ludiques Animateur / Animatrice d'activités culturelles et de détente 125 15
A1202 - Entretien des espaces naturels Agent / Agente d'entretien des espaces naturels 117 79
D1211 - Vente en articles de sport et loisirs Vendeur / Vendeuse buraliste 116 49
G1204 - Éducation en activités sportives Moniteur sportif / Monitrice sportive 111 ST(1)
G1204 - Éducation en activités sportives Moniteur / Monitrice de sport 104 ST(1)
D1211 - Vente en articles de sport et loisirs Vendeur / Vendeuse en équipement de sport 97 12
D1211 - Vente en articles de sport et loisirs Vendeur / Vendeuse en produits culturels et ludiques 92 2
G1201 - Accompagnement de voyages, d'activités
culturelles ou sportives
Guide-interprète 92 ST(1)
Autres appellations métier 1 973 1 233
6 614 3 114
Activités et Loisirs
Littoraux
Total Activités et Loisirs Littoraux
20. FAMILLE DE MÉTIERS :
• On définit une famille de métiers comme un ensemble d’emplois qui concourent aux mêmes types de finalités et
d’activités dans l’entreprise (ex : la famille de métiers « Pêches et Cultures Marines » regroupe de nombreux
métiers tels que « Aide d'élevage agricole et aquacole », « Aquaculture », « Equipage de la pêche » etc.)
Méthode de constitution des familles de métiers :
10 familles de métiers recherchés en lien avec la filière mer ont été définies : « Activités et Loisirs Littoraux »,
« Construction et Maintenance Navale », « Défense et Administrations Maritimes », « Hôtellerie-Restauration »,
« Pêches et Cultures Marines », « Personnel embarqué », « R&D et Ingénierie Maritime », « Services Portuaires et
Nautiques », « Transformation des Produits de la Mer », « Travaux en Mer ».
A partir de la liste détaillée des appellations métiers (granularité plus fine que les codes ROME des métiers), 936
appellations métiers connectées à la filière maritime sont sélectionnées, puis affectées à l'une des 10 familles de
métiers.
Pour les deux familles de métiers liées au tourisme (« hôtellerie-restauration » et « activités et loisirs littoraux ») la
demande d’emploi a été restreinte aux 27 cantons du littoral, afin de circonscrire le poids très important de ces deux
familles en Provence-Alpes-Côte d’Azur à leur seul impact sur le littoral.
Pour éviter une intégration des ingénieurs dont l’activité est sans lien avec la mer, les métiers des familles « travaux
en mer » et « R&D et ingénierie maritime » ont été circonscrits aux 27 cantons du littoral : Antibes, Aubagne,
Beausoleil, Cagnes-sur-Mer, Cannes, Contes, Fréjus, Hyères, Istres, La Ciotat, La Crau, La Garde, La Seyne-sur-Mer, Le
Cannet, Mandelieu-la-Napoule, Marignane, Marseille, Martigues, Menton, Nice, Ollioules, Roquebrune-sur-Argens,
Saint-Cyr-sur-Mer, Sainte-Maxime, Saint-Raphaël, Toulon, Villeneuve-Loubet.
FAMILLE DE SECTEURS :
• On définit une famille de secteurs d’activité comme un regroupement de domaines d’activités économiques assez
proches pour être considérés comme un appareil de production unique (ex : la famille du secteur « Pêches et
Cultures Marines » regroupe 4 secteurs d’activité (« Pêche en mer », « Aquaculture en mer », « Commerce de gros
(commerce interentreprises) de poissons, crustacés et mollusques » et « Commerce de détail de poissons,
crustacés et mollusques en magasin spécialisé »).
Méthode de constitution des familles secteurs d’activité :
10 familles de secteurs d’activité en lien avec la filière mer ont été définies : « Activités et Loisirs Littoraux »,
« Construction et Maintenance Navale », « Défense et Administrations Maritimes », « Hôtellerie-Restauration »,
« Pêches et Cultures Marines », « Personnel embarqué », « R&D et Ingénierie Maritime », « Services Portuaires et
Nautiques », « Transformation des Produits de la Mer », « Travaux en Mer ».
Parmi les 732 NAF (Nomenclature des Activités Françaises), 54 NAF connectées à la filière maritime sont
sélectionnées, puis affectées à l’une des 10 familles de secteurs d’activité.
Pour les deux familles de secteurs d’activité liées au tourisme (« hôtellerie-restauration » et « activités et loisirs
littoraux ») les volets emploi salarié et déclaration préalable à l’embauche ont été restreints aux 27 cantons du
littoral, afin de circonscrire le poids très important de ces deux familles en région Provence-Alpes-Côte d'Azur à leur
seul impact sur le littoral.
Le secteur des « pêches et cultures marines » est amputé des données de la MSA (non disponibles) ce qui sous-estime
les effectifs salariés réels ; l’emploi salarié dans la « Défense et les administrations maritimes » n’est pas disponible.
Pour éviter une intégration des ingénieurs dont l’activité est sans lien avec la mer, les secteurs des familles « travaux
en mer » et « R&D et ingénierie maritime » ont été circonscrits aux 27 cantons du littoral.
Méthodologie
20 _ ÉCLAIRAGES ET SYNTHÈSES
21. Pôle emploi Direction régionale Provence-Alpes-Côte-D‘Azur
34 rue Alfred Curtel
13010 Marseille
Statistiques.13992@pole-emploi.fr
Directeur de la publication
Thierry LEMERLE
Directeurs de la rédaction
Jean-Marie ROSSICH, Nicolas BIANCO
Réalisation : Lucie CONDAMINO et Thierry LANÇON
Direction de la Stratégie, Innovation & Lab
Service Statistiques, Études et Évaluations
Sources
L’EMPLOI :
Statistiques conjoncturelles sur le nombre de salariés : Acoss, estimations trimestrielles d’emploi salarié
Ces statistiques correspondent au « nombre de salariés inscrits au dernier jour de la période » renseigné dans les
bordereaux récapitulatifs de cotisations (BRC) transmis par les employeurs aux Urssaf. Il s’agit du nombre de
salariés de l’établissement ayant un contrat de travail en cours le dernier jour de la période. Les salariés relevant
du régime agricole ne sont pas inclus dans ces effectifs.
Statistiques sur les caractéristiques des salariés : Acoss, DADS
La déclaration annuelle des données sociales (DADS) est une formalité déclarative que doit accomplir toute
entreprise employant des salariés, en application de l’article R243-14 du code de la Sécurité sociale (Décret du 24
mars 1972) et des articles 87.240 et 241 de la loi 51-711 du 7 juin 1951 du code Général des Impôts. Le champ
des DADS couvre l’ensemble des employeurs et de leurs salariés, à l’exception des agents des ministères,
titulaires ou non, des services domestiques (division 97-98 de la NAF rév. 2) et des activités extra-territoriales
(division 99 de la NAF rév. 2). Le champ retenu dans cette publication correspond à l’ensemble des
établissements ayant effectivement déclarés une assiette Assurance chômage
LA STATISTIQUE MENSUELLE DU MARCHÉ DU TRAVAIL (STMT) :
Les statistiques mensuelles du marché du travail (STMT) portent sur les demandeurs d’emploi inscrits à Pôle
emploi et sur les offres d’emploi confiées par les employeurs à Pôle emploi. Les données permettant d’établir les
statistiques du marché du travail sont constituées à partir d’extractions mensuelles des fichiers opérationnels de
gestion de Pôle emploi. Les catégories ABC des demandeurs d’emploi sont les catégories suivantes : les
demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, sans emploi au cours du mois
(catégorie A), les demandeurs d’emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d’emploi, ayant exercé une
activité réduite courte (de 78 heures ou moins au cours du mois) (catégorie B) et les demandeurs d’emploi tenus
de faire des actes positifs de recherche d’emploi, ayant exercé une activité réduite longue (de plus de 78 heures
au cours du mois) (catégorie C).
Retrouvez nos publications sur : http://www.pole-emploi.org/regions/provence-alpes-cote-d-azur/