L’utilisation des technologies dans les organisations publiques et privées des états africains notamment le Cameroun, permet d’apporter non seulement la performance mais également d’améliorer les conditions de travail des salariés. Cela traduit la volonté des Etats de s’inscrire dans cette mutation technologique qui a bouleversé les structures traditionnelles tant organisationnelle que professionnelle.
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La digitalisation de l’entreprise et le risque comportemental: cas de la CNPS
Les nouvelles technologies d’information et de communication, un outil de performance des conditions du salarié dans les organisations au Cameroun
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technologies d’information et de communication, un outil de performance des conditions
du salarié dans les organisations au Cameroun
Par:
Mr. Moussa Yerima
Email : moussayerima2011@yahoo.com
Résumé :
L’utilisation des technologies dans les organisations publiques et privées des états africains
notamment le Cameroun, permet d’apporter non seulement la performance mais également
d’améliorer les conditions de travail des salariés. Cela traduit la volonté des Etats de s’inscrire
dans cette mutation technologique qui a bouleversé les structures traditionnelles tant
organisationnelle que professionnelle.
D’après Loukou (2012), les technologies d’information et de communication vise à encourager
l’intégration de ces outils dans les différentes activités de la vie humaine, qu’il s’agisse de des
secteurs de la santé, de l’éducation ou même des grands projets innovants permettant le
développement électronique ou alors le numérique. Aujourd’hui, comme l’affirme toujours cet
auteur, les NTIC sont devenus nu outils incontournable des pays développés et émergents d’où
la question à savoir est-il autant un outil de vecteur de développement pour les pays pauvres
d’Afrique ?
Pourtant, les NTIC n’apporte pas seulement des avantages ou progrès mais aussi de nombreux
revers. Pour ce faire, la littérature fait état de plusieurs apports, mais aussi d’une multiplicité
d’inconvénients. Ainsi notre objectif est de montrer l’impact de ces mutations technologiques
dans l’amélioration non seulement des conditions de travail, l’accroissement de la productivité
mais aussi d’analyser les nouveaux défis sur le plan de la santé que sur celui la performance.
Dans cette perspective, la première partie présente les nouvelles formes d’organisation et de
transformation du travail en apportant une définition aux Nouvelles technologies d’Information
et de la Communication et son introduction au Cameroun.
La seconde met en lumière l’impact des innovations technologiques sur l’amélioration des
conditions de travail en entreprise. Notre analyse tout au long de cet article a montré que
l’acquisition et l’usage des outils technologiques ont engendré de profond changement face aux
défis da la compétitivité de l’heure.
Toutefois, ces innovations technologiques que beaucoup considère comme positives pour le
bien être de l’entreprise et de tous, il est également source d’inconvénients notamment les
troubles musculo-squelettiques, le stress etc.
Mots clés : NTIC, Cameroun, Compétitivité, Performance, Bien-être.
2. INTRODUCTION
Bien que les nouvelles technologies de l’information et de la communication se situent au cœur
de l’évolution des transformations des sociétés du point de vue économique et social, elles ont
aussi facilité l’essor économique des entreprises dans le monde et en Afrique.
L’acquisition et la diffusion à grande échelle des Nouvelles Technologies de l’Information et
de la Communication (NTIC) ont contribué au profond changement du fonctionnement des
organisations publiques et privées. Par ailleurs, cette dynamique de changement influe sur les
conditions de travail des individus en entreprise qui voient amélioré leur manière de travailler
quotidiennement. Dans ce contexte, les NTIC deviennent un outil incontournable pour la
réussite non seulement de l’ensemble de la structure mais également un outil de renforcement
des relations interpersonnelles. Ainsi, qu’est-ce que les NTIC et quel est donc l’impact de son
utilisation pour les salariés de l’organisation au Cameroun ? Dans quelle mesure et sous quelles
conditions les NTIC participent-elles à l’amélioration du travail dans les organisations
camerounaises, d’où la question de s’interroger sur la question de la performance ?
Dans la littérature académique, la performance est une notion abstraite et floue. Elle est une
polysémique. Cependant, même si cette notion est difficile à saisir, certains auteurs ont essayé
de la définir de façon précise. C’est ainsi que Bourguignon (2000) peut définir la performance
« comme la réalisation des objectifs organisationnels quelles que soient la nature et la variété
de ces objectifs ». Pour Emmanuel Maire et Dubost (2004) : « c’est l’exigence de parvenir à
ses fins propres ».
Les NTIC facilitent également l’internationalisation des économies et la convergence des
informations dans un contexte de globalisation des échanges. C’est dans ce sens qu’Herbert
Simon (prix Nobel des sciences économiques 1998) définit les NTIC comme
étant : « l’ensemble des technologies d’informatiques et de télécommunication, elles sont les
résultats d’une convergence entre technologies. Elles permettent l’échange d’informations
ainsi que leurs traitements. Elles offrent aussi de nouveaux moyens et méthodes de
communication ».
Le développement de ces nouvelles technologies a révolutionné le monde à tel point qu’on parle
aujourd’hui de la révolution numérique. Il s’agit non seulement de l’informatique mais
également de l’internet, de la téléphonie mobile, des multimédias, des télécommunications etc.
Tout document est aujourd’hui susceptible d’être numérisé, c’est-à-dire converti dans un
langage structuré en bits, qui est une unité d’information électronique. L’information et la
communication a subi une transformation si rapide qui rassemble sur un même support les
images, les vidéos, les sons, les programmes et animations. Aussi on peut désormais transmettre
et stocker des informations sur des supports physiques tels les câbles électriques, les ondes
satellites, fibres optiques etc. La structure de l’internet permet de joindre aussi rapidement que
possible par l’écrire ou le son toute personne partout où elle se trouve. Dans les entreprises, de
nombreux progrès ont été observés notamment dans la facilitation du traitement des dossiers et
la mobilité interpersonnelle pour ne citer que ceux-là. Pourtant, malgré le progrès considérable
des nouvelles technologies d’information et de la communication dans tous les secteurs, leurs
utilisations posent parfois des problèmes non seulement à la santé du personnel mais porte
souvent atteinte à la vie privée des personnes, des dérives économiques, sociales et
commerciales.
Par ailleurs, comme le souligne Loukou (2011/2012), les NTIC sont devenues un vecteur, une
ressource stratégique pour les organisations des pays développés et émergents, d’où la question
3. de savoir est-ce pour autant de l’Afrique dont les priorités sont plutôt accordées aux besoins
classiques telles que la nourriture, l’eau potable, la santé, l’éducation, les routes etc.
Pour cet auteur, les NTIC sont considérés en Afrique comme un besoin de luxe improductif,
très coûteux Ils se classent comme des besoins secondaires.
Pour répondre à ces interrogations, nous avons structuré l’étude en deux parties :
La première consistera à présenter les nouvelles formes d’organisation et de transformation du
travail tout en définissant les NTIC et son introduction au Cameroun.
La seconde analysera les impacts des NTIC, l’amélioration des salariés en entreprises et les
risques de leur utilisation.
Première partie : Les nouvelles formes d’organisation et de transformations du travail.
L’informatique, la télécommunication, les multimédias et l’internet ont modifié le travail
quotidien au sein des organisations. Elles disposent aujourd’hui d’un outil important de travail
permettant d’informatiser tout document, de stoker les données, de les enregistrer, aidant ainsi
au mieux les entreprises ou organisations camerounaises à se débarrasser des lourdeurs dans le
traitement des dossiers et dans la prise des décisions utiles. Aussi elles facilitent les échanges
d’information à l’intérieur de l’organisation comme à l’extérieur.
1- Qu’est-ce que les Nouvelles technologies d’information et de la communication
Comme le rappelle Michaud(2001) cité par certains auteurs tels que Mathieu Pierre et Sylvain
Loizeau, le terme nouvelles technologies est apparu et devenu courant depuis les
dernières décennies. Il désigne un vaste ensemble de techniques de pointes, qui se sont
développées au cours des années antérieures, et sont devenues compliquées dans son emploi. Il
renferme des domaines assez variés, notamment les biotechnologies ou encore les
nanotechnologies.
En effet, les NTIC représentent tous les outils de travail mis à notre disposition en termes de
télécommunication, d’informatique, d’audiovisuel, d’internet et de multimédias etc.
Pour le Centre d’Analyse Stratégique (2012) : « les NTIC regroupent toutes les techniques
utilisées dans l’informatique, les télécommunications ou Internet permettant de produire, de
transformer, de stocker ou de transmettre l’information ».
D’une manière générale, ces outils ont été introduits au Cameroun durant la décennie 1990 et
peine encore à améliorer la performance des entreprises et celle des salariés.
2- Son avènement au Cameroun
En Afrique et au Cameroun en particulier, l’introduction dans les années 1990 de l’internet et
son mode de diffusion a été semblable à celui des réseaux de Téléphonie mobile. D’abord, une
faible diffusion et un coût très élevé ne permettant pas à tous les citoyens d’en acquérir sauf les
plus nantis. On assistait à la création par l’Etat des cabines téléphoniques payantes situées aux
abords des artères des villes et les cybers café détenus par les opérateurs privés.
Ensuite vint l’appropriation par l’Etat de la NTIC dans le cadre de la déconcentration de la
gestion du personnel de l’Etat. Il s’agissait de la réforme de la déconcentration qui se traduit
par le transfert à chaque entité ministériel d’une partie des compétences actuellement exercées
par les ministères des Finances et de la Fonction publique. Il était question de l’utilisation des
outils d’informatique et de l’internet pour recueillir les opérations liées à la gestion des
ressources humaines que chaque ministère disposait. Il était aussi question d’interconnexion
entre les ministère pour une harmonisation des fichiers soldes et personnels, la planification de
la gestion des ressources humaines, la sécurisation et la disponibilité des informations en temps
réel et l’établissement des liaisons d’échanges électroniques entre les administrations.
4. En plus, les usagers pourront facilement consulter leur dossier par voies électroniques.
Deuxième partie : Impact des NTIC sur l’amélioration des conditions de travail en
entreprise et les risques liés à leur utilisation
L’ère de l’informatique et de l’internet a eu un impact sur la performance notamment de
l’entreprise et de son personnel. Les conditions de travail se sont considérablement améliorées
induisant une performance sur le plan économique, sociale, organisationnelle ou commerciale.
Leur utilisation pose encore des problèmes au sein de la société camerounaise à tel point que
la performance ne se ressent pas véritablement et les informations sont souvent fausses (fâche
news).
1-impact des NTIC sur la performance du salarié et de l’entreprise camerounaise.
L’introduction des nouvelles technologies d’information et de la communication est l’occasion
de revoir profondément la structure de l’entreprise et de transformer les processus vers plus de
rigueur et plus d’efficacité et de pouvoir rendre nécessaire quand la concurrence s’accroît, elle-
même entretenu par l’esprit de créativité et d’innovation. Bref une reconsidération des pratiques
managériales par les dirigeants des structures pour une adaptation aux contextes de l’heure. En
ce qui concerne les administrations publiques camerounaises, les NTIC ont affecté positivement
le comportement du personnel administratif qui a de moins en moins de contact physique avec
les usagers, réduisant l’engorgement des administrations par des personnes qui viennent de très
loin du pays. Ceci réduit considérablement les tâches jadis très difficiles pour le personnel.
La mobilité physique interne se réduit considérablement, on peut désormais transmettre et
stocker une information sans se déplacer sur des supports physiques variés tels la clé USB, les
disques durs etc. Dans les entreprises, on est face non seulement au renforcement des capacités
traditionnelles du personnel mais aussi et surtout à l’acquisition de nouvelles compétences et
de nouveaux métiers. Les entreprises camerounaises qui ont intégré les techniques
d’information et de communication dans leur fonctionnement sont contraintes de renforcer les
capacités managériales actuelles du personnel dans de nombreux domaines notamment
l’apprentissage de l’outil informatique et la maîtrise de certaines langues étrangères telles
l’anglais ou le chinois. A ce renforcement des capacités traditionnelles, on pourrait ajouter les
nouvelles connaissances relatives aux technologies nouvelles de l’internet. Avec l’utilisation
des NTIC, la gestion de l’espace devient de plus en plus facile. A cet effet, on travaille n’importe
où et n’importe quand que l’on le désire. Le travailleurs peut être saisi par son manager même
dans les heures hors service et pourrait lui transmettre le dossier aussitôt pour le traitement
Le département en charge de la gestion des ressources humaines voit la lourde tâche diminuer
considérablement en ce qui concerne la masse croissante de traitement des dossiers, car on
adopte par voie d’internet le recrutement et la formation en ligne. Par ailleurs, on note une
meilleure structuration du travail, une amélioration de la gestion des congés, la gestion des
carrières et une mobilité interpersonnelle croissante. Il en est de même de la planification des
activités de l’organisation. Dans le secteur des banques au Cameroun, cet outil a permis de
désengorger les files d’attente de paiement des salaires qui se fait par le moyen des cartes
électroniques.
Un accès plus rapide à l’information car les NTIC facilitent une diffusion claire et efficace de
l’information à tout le personnel. C’est dans ce sens que AISA (2010/2011) dit que : « Grâce
à la nouvelle technologie de l’Information et de la Communication que l’information est
décentralisée et son accès est à la portée de tous ».
En plus, l’utilisation des NTIC facilitent également une réduction des coûts. C’est dans ce sens
que Humanis (2016) a soutenu que la réduction des coûts par la: « dématérialisation,
5. l’automatisation de certains aspects de travail peuvent permettre de réduire les frais d’activités
d’une entreprise ». Les NTIC améliorent également la qualité du travail et de la performance
des salariés en entreprise. Malgré les impacts positifs des NTIC, leurs utilisations soulèvent de
nombreuses difficultés, d’où les problèmes de risques.
2-les risques liés à l’utilisation des NTIC
Les nouvelles technologies d’information et de la communication introduisent des pratiques
permettant d’améliorer non seulement les conditions des salariés mais de gérer de manière
efficace et efficiente les ressources humaines dans les organisations afin d’atteindre les objectifs
de performance. Cependant, les risques liés à l’utilisation des NTIC sont nombreux.
D’abord, sur le plan du coût de l’informatisation du travail, il en résulte que les NTIC
demandent des investissements importants. Le coût très élevé de l’investissement et le besoin
exprimé par les entreprises qui n’ont pas suffisamment de moyens comme c’est le cas des
petites et Moyennes Entreprises au Cameroun. Ainsi, dans ce contexte où les ressources
financières sont rares, ce sont des choix difficiles à opérer mais que l’entreprise est contrainte
de faire pour s’insérer dans un environnement de concurrence où la technologie de pointe est
incontournable.
Le processus de changement structurel, né de l’informatisation a une incidence non seulement
sur l’aspect organisationnel mais également sur le personnel de l’entreprise. Cela dit, avec les
NTIC, beaucoup d’emplois de base sont supprimés moins qu’il ne crée.
Aussi le salarié âgé sera réticent à l’adaptation de la nouvelle technologie car il n’a plus les
capacités physiques d’être formé à nouveau. Cela crée un sentiment d’incompétence. D’après
TREMBLAY (2011) « cette situation est source de blocage et de stress pour beaucoup
d’utilisateurs des TIC ». Du coup, la performance n’est plus de mise chez cette catégorie de
salariés.
Selon le centre d’analyse stratégique (2012), l’usage des NTIC a un impact difficilement
mesurable mai semble moins important que ceux causés par d’autres technologies. C’est ainsi
que les NTIC ont un impact considérable sur le bien-être et la santé du travailleur. Le bien-être
au travail est le fait de se sentir satisfait ou très satisfait de son travail. Pour l’Organisation
mondiale de la santé (1946) : « la santé est un état complet de bien-être physique, mental et
social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité » autrement dit,
elle concerne tous les besoins fondamentaux de la personne satisfaits qu’ils affectifs, sanitaires,
nutritionnels, socioculturels. Pour l’Afrique, le bien-être au Travail est une réalité factice car ce
sont la plupart des pays pauvres qui vivent avec moins de un dollar par jour. C’est pour dire
que les conditions ne peuvent pas être réunies pour le bien-être quand le travailleur recherche
encore le besoin première.
Par ailleurs, certains auteurs comme Tekleab et Tafalla(2012) soulignent que, dans les milieux
socioprofessionnels, les nouvelles technologies d’information et de la communication apportent
des nouvelles maladies notamment comme les troubles musculo-squelettiques. En fait, c’est le
travail répétitif dans la même posture qui crée cette malformation chez le travailleur. C’est dans
ce sens que le centre d’analyse stratégique (2012) soutient que : « le travail répétitif et le
manque de contrôle sur le travail sont des facteurs déterminants de stress qui peuvent être
présents dans les activités de saisie ou des activités très prescriptives ».
Ensuite, à cela s’ajoutent d’autres maladies telles que la fatigues oculaire, le mal à la nuque, le
syndrome du canal carpien et les problèmes de dos.
En outre un autre risque s’est développé et diffusé de nos jours dans les milieux professionnels,
celui des risques psychosociaux. Il s’agit des risques pour la santé mentale mais aussi physique.
Plus encore, les utilisateurs des NTIC sont exposés aux problèmes de visualisation, malgré les
améliorations apportées à l’affichage sur écran. Cela produit une fatigue visuelle qui finira par
causer un problème de santé à l’œil.
6. Conclusion
Depuis un peu plus d’une décennie, une rupture majeure s’est opérée dans la manière de
fonctionner des administrations et des entreprises camerounaises. En dépit de nombreux
problèmes qui entravent son développement t, n’échappe pas à la rupture caractérisée par la
dynamique de changement issue des nouvelles technologies d’information et de la
communication. Ces outils ont tellement bouleversé et façonné notre mode de vie, structurés
nos activités humaines.
L’effet de la Nouvelle Technologie d’Information et de la Communication sur les conditions
de travail du salarié et son importance n’est plus à démontrer. Son introduction en Afrique et
en particulier au Cameroun a transformé non seulement la structure de l’entreprise et de l’Etat
mais surtout amené aux changements des habitudes des individus. Cette dynamique de
changement a impacté les conditions du travail des salariés à tel point que l’on pourrait dire que
le volume de travail jadis énorme a considérablement été allégé dans les administrations.
Pourtant, malgré l’apport très satisfaisant des NTIC dans les pays dits développés et émergents,
il n’en demeure pas moins que cette technologie reste encore un besoin de luxe très coûteux
pour les pays africains dont les priorités et les urgences restent sont accordées au besoin
primaire.
De manière générale, l’impact des NTIC sur les conditions de travail des salariés n’est pas
encore satisfaisant au Cameroun car les anciennes habitudes perdurent. Malgré cela, il serait
favorable que les entreprises puissent faire des efforts pour l’utilisation de cette technologie,
véritable levier de développement.
7. Références bibliographiques
AISA (2010/2011), « l’impact des NTIC sur la GRH »
HUMANIS, « l’impact des TIC sur les conditions de travail en entreprise » publié le 20 mai
2016.
Loukou, A.F ; (2012), « les TIC au service du développement en Afrique, slogan, illusion ou
réalité ? », TIC et Société, vol 5, n°2-3.
Tristan Klein, Daniel Ratier (2012), « Rapport - l’impact des TIC sur les conditions de travail »
MICHAUD Yves (2001), qu’est-ce que les technologies édition Odile Jacob, Paris, ISBN 2-
7381-0935-7 ;
TREMBLAY D- G, (2007), « le télétravail comme nouvelle forme d’organisation du
travail » », chaire bell en technologies et organisation du travail.
Tekleab, A et Tafalla, G (2012), « impact des nouvelles technologies sur l’entreprise »,
Intégration des NTIC dans les entreprises