Diaporama utilisé par Monsieur Jean-Pierre Marcelle, directeur général de l'AWEX, lors de sa conférence au Forum financier de Verviers-Eupen, le 26 septembre 2019
Au sommaire : les chiffres, bruts de commentaires, des parts de marché, de la profitabilité, des prélèvements obligatoires, du coût de la main d'oeuvre, du partage de la valeur ajoutée, de l'effort de recherche et de développement des entreprises et des finances publiques.
Diaporama utilisé par Monsieur Jean-Pierre Marcelle, directeur général de l'AWEX, lors de sa conférence au Forum financier de Verviers-Eupen, le 26 septembre 2019
Au sommaire : les chiffres, bruts de commentaires, des parts de marché, de la profitabilité, des prélèvements obligatoires, du coût de la main d'oeuvre, du partage de la valeur ajoutée, de l'effort de recherche et de développement des entreprises et des finances publiques.
La crise de la zone euro a révélé l’ampleur des désajustements de compétitivité et a montré l’importance des efforts nécessaires pour les corriger. Dans ce contexte, la France a mis en oeuvre ces dernières années une politique visant à rétablir sa compétitivité.
Diaporama utilisé par Olivier Vanderijst, Président du comité de direction de la SRIW, lors de sa conférence au Forum financier de Mons-La Louvière, le 29 janvier 2019
La Commission européenne a publié son Rapport 2016 pour la France. Il s’agit d’un document de travail des services de la commission fournissant un bilan approfondi sur la prévention et la correction des déséquilibres macroéconomiques
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - BretagneApec
Pour 2018, le marché de l’emploi cadre de la région devrait être à la hausse avec des recrutements qui progresseraient jusqu’à 13 %. Les entreprises bretonnes recruteraient ainsi entre 7 470 et 8 040 cadres.
Plus d’une embauche de cadres sur six s’effectuerait dans les services, une tendance portée par la bonne tenue des activités informatiques et du numérique très implantées dans la région. Les cadres informaticiens seraient les plus recherchés par les entreprises (25 % des embauches), devançant ceux des fonctions études R&D (17 %) et commercial, marketing (15 %).
La Bretagne bénéficie de l’implantation d’entreprises spécialisées en informatique, en électronique et dans le numérique comme Thales, Orange, Cap Gemini et CGI.
En lien avec ces activités, les jeunes cadres de 1 à 5 ans d’expérience (27 %) resteraient les plus courtisés par les entreprises. Très prisés également, les cadres de 6 à 10 ans d’expérience verraient leur part progresser (+3 points).
Refonder la croissance énergétique sans oublier la croissance ! Fondation iFRAP
Réduire les émissions de CO2 de 40 % en 2030 et 75 % en 2050, par rapport à 1990 ;
Réduire la consommation finale d’énergie de 20 % en 2030, 50 % en 2050 ;
Porter la part des énergies renouvelables à 23 % en 2020, 32 % en 2030 ;
Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 33 % d’ici 2025.
Un plan qui n’aurait pas dû négliger deux objectifs essentiels :
Minimiser les prix de l’énergie pour les consommateurs ;
Maximiser l’indépendance énergétique de la France.
Réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES, principalement le CO2) est un objectif clair, mais les méthodes imposées pour y parvenir soulèvent de sérieux doutes. La faisabilité de la baisse de la consommation d’énergie est peu crédible. Elle n’est pas effective malgré dix ans de crise économique, d’investissements dans les économies
d’énergie et de campagnes massives de communication. De son côté, le coût brut des nouvelles énergies renouvelables, de deux à huit fois supérieur au niveau du marché de gros en ce qui concerne l’électricité, est insupportable pour les ménages et les entreprises. Quant à la baisse d’un tiers de la part du nucléaire d’ici 2025, elle est contradictoire avec l’objectif CO2 et irréaliste.
La consommation française d’énergie est modérée par rapport aux autres pays industrialisés, et ses émissions de gaz à effet de serre sont très faibles. Avec 1 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, notre pays ne peut pas sacrifier seul son économie.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, gouverneneur de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport annuel de la BNB à Liège, le 25 février 2019.
Septembre 2017 l'emploi et l'investissement en france par trendeoTrendeo
Notre note de conjoncture de septembre 2017. Plusieurs éclairages sur la reprise dans l'industrie, le développement durable et les investissements français à l'étranger
Tableau de bord économique et social du Luxembourg.pdfPaperjam_redaction
Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine le 24
février dernier, la principale conséquence dans le
paysage conjoncturel luxembourgeois est l’accélération
de l’inflation. Mais les effets potentiels du prolongement
de la guerre, l’installation de la dynamique inflationniste
et l’environnement de hausse des taux font planer un
doute sur le scénario économique et social pour la
deuxième moitié de 2022.
Bpifrance suit et évalue les résultats et les impacts des projets qu’il soutient.
Retrouvez les principaux indicateurs d'évaluation des soutiens de Bpifrance en 2021.
La crise de la zone euro a révélé l’ampleur des désajustements de compétitivité et a montré l’importance des efforts nécessaires pour les corriger. Dans ce contexte, la France a mis en oeuvre ces dernières années une politique visant à rétablir sa compétitivité.
Diaporama utilisé par Olivier Vanderijst, Président du comité de direction de la SRIW, lors de sa conférence au Forum financier de Mons-La Louvière, le 29 janvier 2019
La Commission européenne a publié son Rapport 2016 pour la France. Il s’agit d’un document de travail des services de la commission fournissant un bilan approfondi sur la prévention et la correction des déséquilibres macroéconomiques
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - BretagneApec
Pour 2018, le marché de l’emploi cadre de la région devrait être à la hausse avec des recrutements qui progresseraient jusqu’à 13 %. Les entreprises bretonnes recruteraient ainsi entre 7 470 et 8 040 cadres.
Plus d’une embauche de cadres sur six s’effectuerait dans les services, une tendance portée par la bonne tenue des activités informatiques et du numérique très implantées dans la région. Les cadres informaticiens seraient les plus recherchés par les entreprises (25 % des embauches), devançant ceux des fonctions études R&D (17 %) et commercial, marketing (15 %).
La Bretagne bénéficie de l’implantation d’entreprises spécialisées en informatique, en électronique et dans le numérique comme Thales, Orange, Cap Gemini et CGI.
En lien avec ces activités, les jeunes cadres de 1 à 5 ans d’expérience (27 %) resteraient les plus courtisés par les entreprises. Très prisés également, les cadres de 6 à 10 ans d’expérience verraient leur part progresser (+3 points).
Refonder la croissance énergétique sans oublier la croissance ! Fondation iFRAP
Réduire les émissions de CO2 de 40 % en 2030 et 75 % en 2050, par rapport à 1990 ;
Réduire la consommation finale d’énergie de 20 % en 2030, 50 % en 2050 ;
Porter la part des énergies renouvelables à 23 % en 2020, 32 % en 2030 ;
Réduire la part du nucléaire dans la production d’électricité de 33 % d’ici 2025.
Un plan qui n’aurait pas dû négliger deux objectifs essentiels :
Minimiser les prix de l’énergie pour les consommateurs ;
Maximiser l’indépendance énergétique de la France.
Réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES, principalement le CO2) est un objectif clair, mais les méthodes imposées pour y parvenir soulèvent de sérieux doutes. La faisabilité de la baisse de la consommation d’énergie est peu crédible. Elle n’est pas effective malgré dix ans de crise économique, d’investissements dans les économies
d’énergie et de campagnes massives de communication. De son côté, le coût brut des nouvelles énergies renouvelables, de deux à huit fois supérieur au niveau du marché de gros en ce qui concerne l’électricité, est insupportable pour les ménages et les entreprises. Quant à la baisse d’un tiers de la part du nucléaire d’ici 2025, elle est contradictoire avec l’objectif CO2 et irréaliste.
La consommation française d’énergie est modérée par rapport aux autres pays industrialisés, et ses émissions de gaz à effet de serre sont très faibles. Avec 1 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, notre pays ne peut pas sacrifier seul son économie.
Diaporama utilisé par Pierre Wunsch, gouverneneur de la Banque nationale, lors de la présentation du Rapport annuel de la BNB à Liège, le 25 février 2019.
Septembre 2017 l'emploi et l'investissement en france par trendeoTrendeo
Notre note de conjoncture de septembre 2017. Plusieurs éclairages sur la reprise dans l'industrie, le développement durable et les investissements français à l'étranger
Tableau de bord économique et social du Luxembourg.pdfPaperjam_redaction
Depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine le 24
février dernier, la principale conséquence dans le
paysage conjoncturel luxembourgeois est l’accélération
de l’inflation. Mais les effets potentiels du prolongement
de la guerre, l’installation de la dynamique inflationniste
et l’environnement de hausse des taux font planer un
doute sur le scénario économique et social pour la
deuxième moitié de 2022.
Bpifrance suit et évalue les résultats et les impacts des projets qu’il soutient.
Retrouvez les principaux indicateurs d'évaluation des soutiens de Bpifrance en 2021.
Conforme aux prévisions. Tel est le constat dressé par la Fédération Française du Bâtiment sur les chiffres de l’activité du bâtiment pour 2019. Panorama complet des résultats, secteur par secteur.
MRM publie ses résultats semestriels 2021. Les points clés à retenir :
✅ Amélioration de l’ensemble des indicateurs clés
- Hausse du taux d’occupation physique de 2 points
- Hausse du taux d’occupation financier de 3 points
- Augmentation des loyers annualisés nets de 5,7% à 9,6 M€
- Progression de 2,4% de la valeur du patrimoine à 164,8 M€
- Chiffre d’affaires consolidé en hausse de 4,0%
- Cash-flow opérationnel net en hausse de 7,1% (comparé au S1 2019)
✅ Situation financière saine et maîtrisée
✅ Achèvement du programme d’investissement du centre commercial Valentin
➡️ Retrouvez les chiffres clés des résultats semestriels 2021 de MRM dans notre slideshow.
Le lien vers le communiqué de presse en ligne : https://bit.ly/2V49Ur1
29ème Observatoire de l’e-pub SRI, réalisé par Oliver Wyman, en partenariat avec l’UDECAM
[sri-france 02.02.23]
En 2022, le marché français de la publicité digitale affiche une croissance de +10% vs 2021, malgré un net ralentissement au 2ème semestre, pour atteindre 8,5 Md€.
Bpifrance suit et évalue les résultats et les impacts des projets qu’il soutient, notamment en termes de croissance des entreprises françaises et de l’emploi.
Retrouvez les principaux indicateurs d'évaluation des soutiens de Bpifrance en 2020.
FRANCE
1. Prévisions de l’INSEE pour le 2nd semestre 2014 : toujours pas de reprise, nouvelle dégradation du marché du travail
2. Immatriculations de voitures neuves en septembre 2014 : +0,2% sur un mois, -1,2% au 3ème trimestre
3. Commerce extérieur en août 2014 : nouvelle contraction des échanges, creusement du déficit industriel en glissement sur douze mois
INTERNATIONAL
4. Perspectives économiques mondiales du FMI pour 2014 et 2015 : une situation incertaine dans la zone euro
5. Climat des affaires aux Etats-Unis en septembre 2014 : repli de l’indice, à un niveau qui témoigne d’une activité toujours en expansion
6. Marché de l’emploi aux Etats-Unis en septembre 2014 : 248 000 créations d’emploi, un taux de chômage de 5,9%, proche de son niveau de plein emploi
Après la crise sanitaire et ses conséquenses visibles rapidement sur le marché du travail et l'emploi, le retour progressif à la normale a eu des effets positifs sur l'emploi.
Cette note n’a pas de vocation conjoncturelle, elle a pour objet de décrire les impacts sur les marchés du travail et de l'emploi depuis la crise sanitaire jusqu'au 4etrimestre 2022.
Matinale Tourisme de l'Observatoire Économique Social et Territorial de la Vendée. Le tourisme en Vendée. Tendances récentes et enjeux à court, moyen et long termes.
OESTV - Matinale inflation - Juillet 2022.pdfOESTV
Diaporama projeté lors de notre Matinale Inflation du 8 juillet 2022. L'inflation dans tous ses états par Isabelle JOB-BAZILLE, Directrice des Études économiques du Groupe Crédit Agricole SA.
2017 04 - oestv - enquete robotique industrielle en vendéeOESTV
En fin d'année 2016, l'OESTV s'est associé à la CCI Vendée, ORYON, PROXINNOV et la PFT pour réaliser une enquête sur la robotique industrielle en Vendée
5. Exportations de marchandises en Vendée
(données CAF‐FAB hors matériel militaire en millions d’euros, évolution T/T‐4)
6% 6%
8% 8% 5% 7% 10%
2%
‐2%
9%
‐3%
18%
‐7%
‐39%
‐10%
‐29%
3%
54%
14%
1 400
1 600
1 800
2 000
2 200
2 400
2 600
‐60%
‐40%
‐20%
0%
20%
40%
60%
T1
17
T2
17
T3
17
T4
17
T1
18
T2
18
T3
18
T4
18
T1
19
T2
19
T3
19
T4
19
T1
20
T2
20
T3
20
T4
20
T1
21
T2
21
T3
21
Millions
d'€
Montants exportés en cumul sur un an (glissement annuel)
T/T‐4
Exportations de marchandises
Poursuite du rattrapage au 3ème trimestre 2021 …
En cumul depuis janvier, les montants exportés se
rapprochent de leur niveau d’avant‐crise
Source : Direction Générale des Douanes ‐
Traitement : OESTV
1 706 millions d’€
sur janv.‐sept. 2021
comparé à
janv.‐sept. 2020
+21%
comparé à 2019
(avant‐crise)
‐3%
6. Principaux postes à l’export pour la Vendée
Janv.‐sept. 2021 /
janv.‐sept. 2020
// avt‐crise
Navires et bateaux (*21%) +19% +3%
Produits de boulangerie‐pâtisserie et pâtes alim. (11%) +35% +12%
Machines et équipements d’usage général (8%) +22% ‐13%
Viande et produits à base de viande (7%) +12% ‐12%
Autres machines d’usage spécifique (6%) +39% +4%
Total Exportations +21% ‐3%
*Poids dans l’ensemble des montants exportés depuis la Vendée sur la période considérée
Exportations de marchandises
Évolution des principales filières
exportatrices vendéennes
Source : Direction Générale des Douanes ‐ Traitement : OESTV
14. Taux de chômage
Repli du taux de chômage depuis un an …
retrouve son niveau de fin 2008
Taux de chômage – 3ème trimestre 2021
Source : Insee ‐ Traitement : OESTV
5
6
7
8
9
10
11
T3 07
T1 08
T3 08
T1 09
T3 09
T1 10
T3 10
T1 11
T3 11
T1 12
T3 12
T1 13
T3 13
T1 14
T3 14
T1 15
T3 15
T1 16
T3 16
T1 17
T3 17
T1 18
T3 18
T1 19
T3 19
T1 20
T3 20
T1 21
T3 21
6,0%
6,7%
7,9%
‐0,3 point
Comparé au
4ème trim. 2019*
(avant‐crise)
0 point
‐0,2 point
*Les comparaisons avec l’année 2020 sont compliquées dû aux diverses mesures de restrictions
sanitaires qui impactaient directement le taux de chômage (nombre de demandeurs d’emploi avaient
de fait cessé leurs recherches actives d’emploi et n’étaient donc plus considérés comme chômeurs au
sens du BIT)