Notre note de conjoncture de septembre 2017. Plusieurs éclairages sur la reprise dans l'industrie, le développement durable et les investissements français à l'étranger
L'emploi et l'investissement en france en 2017 par trendeoTrendeo
Notre note sur l'année 2017, publiée début 2018. Des éclairages sur les financements de BPI France, sur les spécialisations territoriales par aire urbaine, les grandes fonctions productives...
Bilan 2016 observatoire mondial investissement industrielTrendeo
Plusieurs conclusions peuvent en effet être retirées de l’analyse des données 2016 :
l’industrie mondiale est dynamique : dans plus de 140 pays, plus de 3600 projets entraîneront la création de 1 228 000 emplois, avec un investissement global de 2 400 milliards de dollars annoncés ;
par les montants investis, l’énergie s’impose comme le premier secteur de façon écrasante. Un indicateur parmi d’autres : neuf des dix plus gros projets par les montants investis sont dans le secteur énergétique (extraction de pétrole, liquéfaction de gaz naturel, nucléaire…) ;
pour les emplois créés, l’électronique grand public est le premier secteur. Sept des dix premiers projets par le nombre d’emplois créés sont dans ce secteur (téléphonie mobile, écrans LCD…) ;
parmi les critères de l’usine du futur, la numérisation est le plus fréquemment mis en avant dans les projets recensés, avec 17% du total des projets recensés ;
certains groupes sont des investisseurs en série, avec plus de 20 projets d’investissements recensés en 2016 (Amazon, Banas Dairy, Indian Oil, Cargill…)
Trendeo est née en 2007 de la conviction que les données disponibles en ligne pouvaient être collectées par des technologies innovantes et une méthodologie rigoureuse, pour en faire ressortir des tendances et, pourquoi pas, des séries statistiques. En 2009, Trendeo crée l’observatoire de l’emploi et de l’investissement en France, pour suivre les tendances de l’économie française. Cette base s’est imposée comme une référence notamment pour ses données sur les créations et suppressions d’usines en France.
Pour le suivi de l’investissement vert, et des emplois liés, nous identifions de façon spécifique les emplois et investissements dans vingt filières durables. Ces filières ont été définies en interne et évoluent ponctuellement.
Observatoire trendeo de l'emploi et de l'investissement s2 2016Trendeo
Les données Trendeo sur la France pour le 1er semestre 2016, avec un aperçu sur les métropoles, incluant des données sur les startups et levées de fonds.
L’année 2015 à travers l'Observatoire Trendeo de l'emploi et de l'investissem...Trendeo
Analyses issues des données de l'Observatoire de l'emploi et de l'investissement pour l'année 2015. Cette note a été diffusée en priorité aux abonnés Trendeo.
Vous désirez des informations plus récentes ? N'hésitez pas à nous contactez.
2014 10-01 Conférence de presse conjoncture AgoriaAgoria
Présentation de l'analyse conjoncturelle de l'industrie technologique et message au futur gouvernement fédéral - Marc Lambotte, CEO Agoria - octobre 2014
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - BretagneApec
Pour 2018, le marché de l’emploi cadre de la région devrait être à la hausse avec des recrutements qui progresseraient jusqu’à 13 %. Les entreprises bretonnes recruteraient ainsi entre 7 470 et 8 040 cadres.
Plus d’une embauche de cadres sur six s’effectuerait dans les services, une tendance portée par la bonne tenue des activités informatiques et du numérique très implantées dans la région. Les cadres informaticiens seraient les plus recherchés par les entreprises (25 % des embauches), devançant ceux des fonctions études R&D (17 %) et commercial, marketing (15 %).
La Bretagne bénéficie de l’implantation d’entreprises spécialisées en informatique, en électronique et dans le numérique comme Thales, Orange, Cap Gemini et CGI.
En lien avec ces activités, les jeunes cadres de 1 à 5 ans d’expérience (27 %) resteraient les plus courtisés par les entreprises. Très prisés également, les cadres de 6 à 10 ans d’expérience verraient leur part progresser (+3 points).
L'emploi et l'investissement en france en 2017 par trendeoTrendeo
Notre note sur l'année 2017, publiée début 2018. Des éclairages sur les financements de BPI France, sur les spécialisations territoriales par aire urbaine, les grandes fonctions productives...
Bilan 2016 observatoire mondial investissement industrielTrendeo
Plusieurs conclusions peuvent en effet être retirées de l’analyse des données 2016 :
l’industrie mondiale est dynamique : dans plus de 140 pays, plus de 3600 projets entraîneront la création de 1 228 000 emplois, avec un investissement global de 2 400 milliards de dollars annoncés ;
par les montants investis, l’énergie s’impose comme le premier secteur de façon écrasante. Un indicateur parmi d’autres : neuf des dix plus gros projets par les montants investis sont dans le secteur énergétique (extraction de pétrole, liquéfaction de gaz naturel, nucléaire…) ;
pour les emplois créés, l’électronique grand public est le premier secteur. Sept des dix premiers projets par le nombre d’emplois créés sont dans ce secteur (téléphonie mobile, écrans LCD…) ;
parmi les critères de l’usine du futur, la numérisation est le plus fréquemment mis en avant dans les projets recensés, avec 17% du total des projets recensés ;
certains groupes sont des investisseurs en série, avec plus de 20 projets d’investissements recensés en 2016 (Amazon, Banas Dairy, Indian Oil, Cargill…)
Trendeo est née en 2007 de la conviction que les données disponibles en ligne pouvaient être collectées par des technologies innovantes et une méthodologie rigoureuse, pour en faire ressortir des tendances et, pourquoi pas, des séries statistiques. En 2009, Trendeo crée l’observatoire de l’emploi et de l’investissement en France, pour suivre les tendances de l’économie française. Cette base s’est imposée comme une référence notamment pour ses données sur les créations et suppressions d’usines en France.
Pour le suivi de l’investissement vert, et des emplois liés, nous identifions de façon spécifique les emplois et investissements dans vingt filières durables. Ces filières ont été définies en interne et évoluent ponctuellement.
Observatoire trendeo de l'emploi et de l'investissement s2 2016Trendeo
Les données Trendeo sur la France pour le 1er semestre 2016, avec un aperçu sur les métropoles, incluant des données sur les startups et levées de fonds.
L’année 2015 à travers l'Observatoire Trendeo de l'emploi et de l'investissem...Trendeo
Analyses issues des données de l'Observatoire de l'emploi et de l'investissement pour l'année 2015. Cette note a été diffusée en priorité aux abonnés Trendeo.
Vous désirez des informations plus récentes ? N'hésitez pas à nous contactez.
2014 10-01 Conférence de presse conjoncture AgoriaAgoria
Présentation de l'analyse conjoncturelle de l'industrie technologique et message au futur gouvernement fédéral - Marc Lambotte, CEO Agoria - octobre 2014
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - BretagneApec
Pour 2018, le marché de l’emploi cadre de la région devrait être à la hausse avec des recrutements qui progresseraient jusqu’à 13 %. Les entreprises bretonnes recruteraient ainsi entre 7 470 et 8 040 cadres.
Plus d’une embauche de cadres sur six s’effectuerait dans les services, une tendance portée par la bonne tenue des activités informatiques et du numérique très implantées dans la région. Les cadres informaticiens seraient les plus recherchés par les entreprises (25 % des embauches), devançant ceux des fonctions études R&D (17 %) et commercial, marketing (15 %).
La Bretagne bénéficie de l’implantation d’entreprises spécialisées en informatique, en électronique et dans le numérique comme Thales, Orange, Cap Gemini et CGI.
En lien avec ces activités, les jeunes cadres de 1 à 5 ans d’expérience (27 %) resteraient les plus courtisés par les entreprises. Très prisés également, les cadres de 6 à 10 ans d’expérience verraient leur part progresser (+3 points).
L'emploi et l'investissement en france en 2012 par trendeoTrendeo
Les tendances de l'économie française en 2012. Fermetures d'usines, filières vertes (solaire, éolien, méthanisation, recyclage...) créations d'emplois en régions et dynamiques régionales.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Pays de la Loire 2017Apec
Pour 2017, le marché de l’emploi cadre en Pays de la Loire devrait être à la hausse avec des recrutements qui progresseraient jusqu’à 8 %. Les entreprises ligériennes recruteraient ainsi entre 9 600 et 10 640 cadres, soit un niveau inédit si la fourchette haute des prévisions venait à se réaliser. Si près de 70 % des recrutements s’effectueraient dans le secteur des services, 18 % seraient dans l’industrie, secteur aussi très présent dans le tissu économique régional avec les industries agroalimentaires, la mécanique-métallurgie et la fabrication d’équipements électriques et électroniques. Par ailleurs, la moitié des embauches prévues concernerait des
cadres ayant entre 1 à 10 ans d’expérience professionnelle, tandis que 18 % viseraient les jeunes diplômés (20 % au niveau national).
Très investies dans les activités du numérique, les entreprises de la région devraient connaître une hausse des recrutements de cadres informaticiens pour 2017. Avec 23 % des recrutements prévus, la région Pays de la Loire se situerait ainsi au 3e rang des régions les plus recruteuses d’informaticiens derrière l’Île-de-France et la Bretagne (25 % chacune).
Une dynamique de créations d’emplois cadres soutenue.
Les entreprises ont recruté 281 300 cadres en 2019, un niveau record. Les recrutements et promotions internes à des postes de cadres ont été nettement supérieurs aux sorties, aboutissant à la création de 75 000 nouveaux postes de cadres en 2019.
2020 se présente sur des bases très élevées avec un volume de recrutements de cadres qui pourrait s’établir à 296 600, soit une progression de 5 %.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - Grand EstApec
L’année 2018 s’annonce particulièrement favorable pour l’emploi cadre en région Grand Est. Amorcée depuis quelques années, la reprise de l’emploi cadre qui s’est confirmée en 2017 devrait se poursuivre en 2018. Les entreprises de la région prévoient de recruter entre 10 180 et 11 120 cadres, soit une hausse des embauches comprise entre +4 % et +13 % par rapport à 2017.
Ces recrutements se concentreraient dans les services, avec près de 6 embauches sur 10. Le secteur bénéficie du dynamisme de l’ingénierie-R&D et des activités informatiques-télécommunications, en lien avec les projets de transformation numérique et digitale engagés dans de nombreuses entreprises.
Près d’un tiers des opportunités d’embauches concernerait les entreprises industrielles. Ces activités (mécanique-métallurgie, industrie agroalimentaire, etc.) fortement ancrées dans la région se sont modernisées depuis plusieurs années pour répondre aux évolutions du marché et de la concurrence. C’est le cas notamment de l’industrie automobile avec l’intégration de la connectique et le développement des véhicules électriques.
Afin de répondre aux besoins dans ces domaines, les compétences en informatique et en études-R&D seraient recherchées par les entreprises. De nombreuses opportunités de recrutement seraient également offertes aux cadres commerciaux (1 embauche cadre sur 5).
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2016 - synthèseApec
La synthèse de l'enquête annuelle de l'Apec auprès de 11 000 entreprises du secteur privé sur les recrutements de cadres en France.
En 2016, les entreprises du secteur privé envisagent de recruter entre 182 000 et 200 000 cadres soit une évolution jusqu’à 10 % dans l’hypothèse la plus favorable.
Presque tous les secteurs d’activité devraient profiter de ce haut niveau de recrutement.
Les profils les plus recherchés resteraient les cadres ayant entre 1 à 10 ans d’expérience, mais les cadres débutants verraient également leurs embauches s’accroître. Le secteur tertiaire demeurerait le secteur le mieux orienté en 2016, porté notamment par les activités informatiques et télécommunications, l’ingénierie-R&D et les activités juridiques-comptables-conseil. Cela devrait se traduire par une hausse des embauches de cadres dans les fonctions informatique, commerciale et études-R&D. Toutes les régions devraient bénéficier de cette bonne tendance, à l’exception de la Normandie et de Bourgogne-Franche-Comté qui enregistreraient une stabilité de leurs embauches de cadres.
Olivier Garnier à la commission finances sur les prévisions économiques Franc...Soledad Zignago
Présentation d'Olivier Garnier, Banque de France, à la Commission finances de l'Assemblée nationale sur les prévisions économiques France 24/01/18 #BdFeco
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - synthéseApec
2018 se présente comme un millésime particulièrement bien orienté pour le marché de l’emploi cadre. Les entreprises prévoient ainsi de recruter entre 248 000 et 271 000 cadres en France métropolitaine, soit une progression oscillant entre +3 % et +13 %.
Si l’ensemble des secteurs d’activité tire profit de cette embellie, les recrutements de cadres seraient particulièrement élevés dans les services, notamment dans les activités
informatiques et télécommunication, l’ingénierie-R&D ou encore les activités juridiques, comptables et de conseil. Pour autant l’industrie ne serait pas en reste, avec des prévisions d’embauches cadres élevées dans la mécanique-métallurgie ou encore dans les équipements électriques et électroniques.
Dans ce contexte porteur, les entreprises continueraient à privilégier les recrutements de cadres expérimentés notamment ceux bénéficiant de 1 à 10 ans d’expérience. Les cadres informaticiens, ceux de la fonction études-R&D et les cadres commerciaux constitueraient les profils les plus recherchés.
Enfin l’ensemble des régions serait concerné par cette dynamique avec des progressions notables de recrutements de cadres en Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse, en Pays de la Loire, en Auvergne-Rhône-Alpes et en Bretagne.
Le secteur du numérique emploie près de 4% des salariés du secteur marchand non agricole et représente
2% des établissements. Il se caractérise par une part plus importante des emplois dans les établissements
de moyenne et grande tailles.
La majorité des salariés du secteur sont en CDI et sont des hommes plus jeunes que dans l’ensemble des
secteurs. Ce secteur se singularise également par un recours au CDD deux fois moins important que
l’ensemble de l’emploi salarié.
Cette étude analyse de manière très opérationnelle le volume du besoin en compétences des entreprises industrielles de 4 départements de la région Occitanie : Gers, Tarn et Garonne, Lot et Aveyron, ainsi que leur degré de maturité quant à l’industrie du futur.
A s’en tenir aux données de l’année 2018, le ralentissement de l’économie française, est limité.
Plusieurs indicatifs sont à des niveaux positifs :
Les créations nettes d’emplois sont en baisse par rapport à 2017, mais restent supérieures aux niveaux atteints en 2015 et 2016.
L’industrie manufacturière, qui était le principal secteur victime de pertes d’emplois en 2009, reste à un bon niveau. La plupart des secteurs industriels ont évolué positivement si l’on compare deux périodes, 2009-2013 et 2014-2018. Les ouvertures d’usines restent supérieures aux fermetures en 2018.
Les startups atteignent un montant record de levées de fonds.
Le secteur des banques et de l’assurance sort du rouge et crée des emplois, pour la première fois depuis 2013.
Malgré cela, quelques signes sont inquiétants.
En valeur absolue, la dégradation des créations d’emplois, 28 000 créations nettes en moins par rapport à 2017, est la plus forte depuis 2009. Une part importante de cette dégradation est liée au secteur du commerce.
En fin d’année, les trois derniers mois ont vu notre indicateur usines se dégrader et passer en négatif.
L’analyse du comportement des entreprises du CAC 40 montre que la situation difficile de l’emplois peut provenir plus d’une langueur à investir que d’une ardeur à supprimer des emplois.
Au vu de l’ensemble de ces points, il est difficile de prédire si 2019 sera une année de reprise, après une pause en 2018, ou si la baisse de régime de 2018 se prolongera, voire s’amplifiera, en 2018.
Une bonne raison pour suivre en continu nos données tout au long de l’année…
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Centre Val de Loire 2017Apec
Pour 2017, les entreprises de la région Centre-Val de Loire envisagent de recruter entre 4 360 et 4 710 cadres, soit une évolution jusqu’à +8 % dans l’hypothèse la plus favorable. Près d’une embauche sur deux s’effectuerait dans le secteur des services, grâce à la bonne orientation des activités informatiques et télécommunications. Avec des activités surreprésentées dans la région comme la fabrication de produits métalliques, de machines ou encore de produits de caoutchouc, plastiques, l’industrie concentrerait plus d’un tiers des recrutements de cadres ; ce qui placerait le Centre-Val de Loire comme la région qui recruterait en proportion le plus de cadres dans ce secteur par rapport à l’ensemble des régions (15 % au national).
Les cadres commerciaux seraient les plus recherchés avec 22 % des embauches, et 19 % des recrutements prévus concerneraient les informaticiens. Avec près d’un recrutement sur deux, les jeunes diplômés et les cadres de 1 à 5 ans d’expérience resteraient la cible privilégiée des entreprises de la région. À noter, 23 % des embauches concerneraient les jeunes diplômés, soit la part la plus élevée de toutes les régions.
L'emploi et l'investissement en france en 2012 par trendeoTrendeo
Les tendances de l'économie française en 2012. Fermetures d'usines, filières vertes (solaire, éolien, méthanisation, recyclage...) créations d'emplois en régions et dynamiques régionales.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Pays de la Loire 2017Apec
Pour 2017, le marché de l’emploi cadre en Pays de la Loire devrait être à la hausse avec des recrutements qui progresseraient jusqu’à 8 %. Les entreprises ligériennes recruteraient ainsi entre 9 600 et 10 640 cadres, soit un niveau inédit si la fourchette haute des prévisions venait à se réaliser. Si près de 70 % des recrutements s’effectueraient dans le secteur des services, 18 % seraient dans l’industrie, secteur aussi très présent dans le tissu économique régional avec les industries agroalimentaires, la mécanique-métallurgie et la fabrication d’équipements électriques et électroniques. Par ailleurs, la moitié des embauches prévues concernerait des
cadres ayant entre 1 à 10 ans d’expérience professionnelle, tandis que 18 % viseraient les jeunes diplômés (20 % au niveau national).
Très investies dans les activités du numérique, les entreprises de la région devraient connaître une hausse des recrutements de cadres informaticiens pour 2017. Avec 23 % des recrutements prévus, la région Pays de la Loire se situerait ainsi au 3e rang des régions les plus recruteuses d’informaticiens derrière l’Île-de-France et la Bretagne (25 % chacune).
Une dynamique de créations d’emplois cadres soutenue.
Les entreprises ont recruté 281 300 cadres en 2019, un niveau record. Les recrutements et promotions internes à des postes de cadres ont été nettement supérieurs aux sorties, aboutissant à la création de 75 000 nouveaux postes de cadres en 2019.
2020 se présente sur des bases très élevées avec un volume de recrutements de cadres qui pourrait s’établir à 296 600, soit une progression de 5 %.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - Grand EstApec
L’année 2018 s’annonce particulièrement favorable pour l’emploi cadre en région Grand Est. Amorcée depuis quelques années, la reprise de l’emploi cadre qui s’est confirmée en 2017 devrait se poursuivre en 2018. Les entreprises de la région prévoient de recruter entre 10 180 et 11 120 cadres, soit une hausse des embauches comprise entre +4 % et +13 % par rapport à 2017.
Ces recrutements se concentreraient dans les services, avec près de 6 embauches sur 10. Le secteur bénéficie du dynamisme de l’ingénierie-R&D et des activités informatiques-télécommunications, en lien avec les projets de transformation numérique et digitale engagés dans de nombreuses entreprises.
Près d’un tiers des opportunités d’embauches concernerait les entreprises industrielles. Ces activités (mécanique-métallurgie, industrie agroalimentaire, etc.) fortement ancrées dans la région se sont modernisées depuis plusieurs années pour répondre aux évolutions du marché et de la concurrence. C’est le cas notamment de l’industrie automobile avec l’intégration de la connectique et le développement des véhicules électriques.
Afin de répondre aux besoins dans ces domaines, les compétences en informatique et en études-R&D seraient recherchées par les entreprises. De nombreuses opportunités de recrutement seraient également offertes aux cadres commerciaux (1 embauche cadre sur 5).
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2016 - synthèseApec
La synthèse de l'enquête annuelle de l'Apec auprès de 11 000 entreprises du secteur privé sur les recrutements de cadres en France.
En 2016, les entreprises du secteur privé envisagent de recruter entre 182 000 et 200 000 cadres soit une évolution jusqu’à 10 % dans l’hypothèse la plus favorable.
Presque tous les secteurs d’activité devraient profiter de ce haut niveau de recrutement.
Les profils les plus recherchés resteraient les cadres ayant entre 1 à 10 ans d’expérience, mais les cadres débutants verraient également leurs embauches s’accroître. Le secteur tertiaire demeurerait le secteur le mieux orienté en 2016, porté notamment par les activités informatiques et télécommunications, l’ingénierie-R&D et les activités juridiques-comptables-conseil. Cela devrait se traduire par une hausse des embauches de cadres dans les fonctions informatique, commerciale et études-R&D. Toutes les régions devraient bénéficier de cette bonne tendance, à l’exception de la Normandie et de Bourgogne-Franche-Comté qui enregistreraient une stabilité de leurs embauches de cadres.
Olivier Garnier à la commission finances sur les prévisions économiques Franc...Soledad Zignago
Présentation d'Olivier Garnier, Banque de France, à la Commission finances de l'Assemblée nationale sur les prévisions économiques France 24/01/18 #BdFeco
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - synthéseApec
2018 se présente comme un millésime particulièrement bien orienté pour le marché de l’emploi cadre. Les entreprises prévoient ainsi de recruter entre 248 000 et 271 000 cadres en France métropolitaine, soit une progression oscillant entre +3 % et +13 %.
Si l’ensemble des secteurs d’activité tire profit de cette embellie, les recrutements de cadres seraient particulièrement élevés dans les services, notamment dans les activités
informatiques et télécommunication, l’ingénierie-R&D ou encore les activités juridiques, comptables et de conseil. Pour autant l’industrie ne serait pas en reste, avec des prévisions d’embauches cadres élevées dans la mécanique-métallurgie ou encore dans les équipements électriques et électroniques.
Dans ce contexte porteur, les entreprises continueraient à privilégier les recrutements de cadres expérimentés notamment ceux bénéficiant de 1 à 10 ans d’expérience. Les cadres informaticiens, ceux de la fonction études-R&D et les cadres commerciaux constitueraient les profils les plus recherchés.
Enfin l’ensemble des régions serait concerné par cette dynamique avec des progressions notables de recrutements de cadres en Provence-Alpes-Côte d’Azur et Corse, en Pays de la Loire, en Auvergne-Rhône-Alpes et en Bretagne.
Le secteur du numérique emploie près de 4% des salariés du secteur marchand non agricole et représente
2% des établissements. Il se caractérise par une part plus importante des emplois dans les établissements
de moyenne et grande tailles.
La majorité des salariés du secteur sont en CDI et sont des hommes plus jeunes que dans l’ensemble des
secteurs. Ce secteur se singularise également par un recours au CDD deux fois moins important que
l’ensemble de l’emploi salarié.
Cette étude analyse de manière très opérationnelle le volume du besoin en compétences des entreprises industrielles de 4 départements de la région Occitanie : Gers, Tarn et Garonne, Lot et Aveyron, ainsi que leur degré de maturité quant à l’industrie du futur.
A s’en tenir aux données de l’année 2018, le ralentissement de l’économie française, est limité.
Plusieurs indicatifs sont à des niveaux positifs :
Les créations nettes d’emplois sont en baisse par rapport à 2017, mais restent supérieures aux niveaux atteints en 2015 et 2016.
L’industrie manufacturière, qui était le principal secteur victime de pertes d’emplois en 2009, reste à un bon niveau. La plupart des secteurs industriels ont évolué positivement si l’on compare deux périodes, 2009-2013 et 2014-2018. Les ouvertures d’usines restent supérieures aux fermetures en 2018.
Les startups atteignent un montant record de levées de fonds.
Le secteur des banques et de l’assurance sort du rouge et crée des emplois, pour la première fois depuis 2013.
Malgré cela, quelques signes sont inquiétants.
En valeur absolue, la dégradation des créations d’emplois, 28 000 créations nettes en moins par rapport à 2017, est la plus forte depuis 2009. Une part importante de cette dégradation est liée au secteur du commerce.
En fin d’année, les trois derniers mois ont vu notre indicateur usines se dégrader et passer en négatif.
L’analyse du comportement des entreprises du CAC 40 montre que la situation difficile de l’emplois peut provenir plus d’une langueur à investir que d’une ardeur à supprimer des emplois.
Au vu de l’ensemble de ces points, il est difficile de prédire si 2019 sera une année de reprise, après une pause en 2018, ou si la baisse de régime de 2018 se prolongera, voire s’amplifiera, en 2018.
Une bonne raison pour suivre en continu nos données tout au long de l’année…
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Centre Val de Loire 2017Apec
Pour 2017, les entreprises de la région Centre-Val de Loire envisagent de recruter entre 4 360 et 4 710 cadres, soit une évolution jusqu’à +8 % dans l’hypothèse la plus favorable. Près d’une embauche sur deux s’effectuerait dans le secteur des services, grâce à la bonne orientation des activités informatiques et télécommunications. Avec des activités surreprésentées dans la région comme la fabrication de produits métalliques, de machines ou encore de produits de caoutchouc, plastiques, l’industrie concentrerait plus d’un tiers des recrutements de cadres ; ce qui placerait le Centre-Val de Loire comme la région qui recruterait en proportion le plus de cadres dans ce secteur par rapport à l’ensemble des régions (15 % au national).
Les cadres commerciaux seraient les plus recherchés avec 22 % des embauches, et 19 % des recrutements prévus concerneraient les informaticiens. Avec près d’un recrutement sur deux, les jeunes diplômés et les cadres de 1 à 5 ans d’expérience resteraient la cible privilégiée des entreprises de la région. À noter, 23 % des embauches concerneraient les jeunes diplômés, soit la part la plus élevée de toutes les régions.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Nouvelle Aquitaine 2017Apec
L’année 2017 devrait être un bon cru sur le marché de l’emploi des cadres en région Nouvelle-Aquitaine. Entre 9 090 et 10 020 cadres devraient être embauchés, soit une progression pouvant aller jusqu’à 10 % dans l’hypothèse la plus favorable. L’Aquitaine fait figure de locomotive : ce territoire concentre 66 % des recrutements de cadres de la région, notamment autour de la métropole bordelaise.
En lien avec la présence des entreprises de l’aéronautique et de ses sous-traitants, les cadres des fonctions études-R&D et production industrielle-chantier seraient particulièrement recherchés. La part des recrutements en 2017 dans cette dernière fonction serait la plus élevée toutes régions confondues (15 %). Pour 2017, le poids du secteur industriel serait en légère hausse et concentrerait près d’un quart des embauches de cadres. Cette progression s’explique par la présence du secteur de l’aéronautique et de ses sous-traitants dans le sud de la région, mais également des développements des projets liés aux véhicules électriques pour l’industrie
automobile. Fonction transverse à tous les secteurs d’activités, le commercial resterait la première fonction d’embauche. Les recruteurs privilégieraient les embauches de cadres de 1 à 10 ans d’expérience.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Bretagne 2017Apec
Pour 2017, les entreprises bretonnes prévoient de recruter entre 5 600 et 6 170 cadres, soit une progression des embauches parmi les plus fortes au niveau national. Avec près des deux tiers des recrutements prévus, le secteur des services resterait prédominant.
Portés par la bonne tenue des activités informatiques et du numérique, les cadres informaticiens seraient les plus recherchés par les entreprises (25 % des embauches). Avec l’Île-de-France, la Bretagne est la région qui recrute, en proportion, le plus de cadres informaticiens. Les recrutements de cadres commerciaux et en études-R&D représenteraient respectivement 18 % et 19 %. La région se caractérise par une forte présence des activités de télécommunication et de fabrication de produits électroniques, avec notamment Orange Labs à Lannion ou encore Thales Systèmes Aéroportés à Brest.
En lien avec ces secteurs, les opportunités d’embauches pour les jeunes diplômés seraient plus fréquentes par rapport à 2016. Les cadres de 1 à 10 ans d’expérience continueraient d’être la cible privilégiée des recruteurs en 2017 ; ceux de 6 à 10 ans d’expérience verraient leur part progresser (+3 points).
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Grand Est 2017Apec
L’année 2017 s’annonce de bon augure pour l’emploi cadre en région Grand Est. Les entreprises de la région prévoient de recruter entre 7 940 et 8 800 cadres, soit une évolution entre -2 % et +9 % par rapport à 2016. Les opportunités d’embauches se situeraient plus particulièrement dans les services. Le secteur profite de la très bonne santé des entreprises des secteurs des activités juridiques-comptables-conseil et des activités informatiques-télécommunications, liée aux plans de transformation numérique et digitale engagés dans de nombreuses entreprises.
L’industrie, encore très présente dans la région, représenterait 3 embauches cadres sur 10. Le secteur bénéficie du regain de dynamisme de l’industrie automobile, très engagée dans la connectique et les véhicules électriques. Plus largement, les entreprises industrielles prennent le virage du numérique afin d’optimiser leur productivité et de s’adapter à leur marché. Cela implique des besoins de compétences hautement techniques d’où des opportunités pour les cadres informaticiens et les cadres en études-R&D.
Première région exportatrice après l’Ile-de-France, le Grand Est offre des opportunités dans le secteur du commerce et pour les cadre commerciaux qui restent les profils les plus recherchés (1 embauche cadre sur 5).
Le Seimat présente son analyse du marché des matériels TP 2015 et prévisions ses pour 2016.
Voici les slides présentées lors de la conférence de presse du 11 février 2016.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Bourgogne France-Comté 2017Apec
En 2017, entre 3 870 et 4 370 cadres seraient embauchés dans la région, soit une hausse qui pourrait atteindre 10 % dans l’hypothèse la plus favorable.
Les secteurs des services et de l’industrie concentreraient 85 % des recrutements dans la région. En lien avec ces activités, les cadres commerciaux et en études-R&D seraient les plus recherchés, avec respectivement 21 % et 20 % des embauches. Une part parmi les plus élevées par rapport à l’ensemble des régions pour la fonction études-R&D, qui s’explique par la surreprésentation dans la région d’activités de R&D scientifique, avec notamment la présence du CEA Valduc, à Salives.
Avec un recrutement sur deux, les jeunes diplômés et les jeunes cadres resteraient la cible privilégiée des recruteurs. Après un recul en 2016 (-8 points), les cadres de 6 à 10 ans d’expérience verraient leur poids progresser de nouveau sur le marché de l’emploi cadre.
L'Insee a publié, le 9 mars 2017, les données sur l'emploi salarié au 4e trimestre 2016.
Selon l'Insee, au 4e trimestre 2016, l'emploi continue de croître dans les secteurs marchands non agricoles avec + 64 400 soit +0,4%, après + 50 500 au trimestre précédent.
L'Insee révèle qu'il l s’agit du septième trimestre consécutif de hausse. La légère accélération au quatrième trimestre 2016 repose essentiellement sur l’intérim (+37 600, soit +6,1 %, après +28 600). Sur un an, les créations nettes d'emploi dans les secteurs principalement marchands atteignent 187 200 (+1,2 %).
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - Centre-Val de LoireApec
En 2018, le marché de l’emploi cadre en région Centre-Val de Loire afficherait de belles perspectives après une année 2017 déjà dynamique. Les entreprises anticipent une hausse des embauches de cadres oscillant entre +4 % et +12 % par rapport à 2017.
Ainsi, entre 5 220 et 5 630 opportunités d’emploi pourraient se présenter aux cadres en 2018 dans la région. Une embauche sur deux s’effectuerait dans le secteur des services. Pour autant, l’industrie ne serait pas en reste avec près du tiers des recrutements de cadres régionaux alimentés notamment par les besoins de compétences cadres des industries pharmaceutique et cosmétique très présentes sur ce territoire.
Les cadres commerciaux seraient les profils les plus recherchés suivis des cadres en R&D et de ceux de la fonction exploitation tertiaire (métiers spécifiques de production dans les secteurs comme la banque, assurance, et les professions médicales et socio-culturelles...).
Pour 2018, les jeunes cadres de 1 à 10 ans d’expérience resteraient la cible privilégiée des recruteurs (57 % des embauches de cadres). Les jeunes diplômés (moins d’un an d’expérience) ne seraient pas en reste, 2 embauches sur 10 pourraient les concerner.
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre en Hauts-de-France 2017Apec
Pour 2017, entre 12 690 et 13 970 recrutements de cadres sont prévus en Hauts-de-France, soit un volume parmi les plus hauts enregistrés. Les secteurs qui recruteraient le plus de cadres seraient les services, principalement tirés par les activités informatiques et télécommunications, les activités juridiques-comptables-conseil et l’ingénierie-R&D.
Le commerce, en lien notamment avec la bonne tenue du secteur de la distribution spécialisée, se maintiendrait comme 2ème secteur recruteur. C’est d’ailleurs dans les Hauts-de-France que la part des embauches de cadres dans le secteur du commerce serait la plus élevée : 19 % contre 9 % au niveau national. Dans ce contexte, les cadres commerciaux seraient les plus recherchés, suivis des cadres en informatique et
études-R&D. En termes de profils, les cadres ayant acquis 1 à 10 ans d’expérience devraient rester les plus courtisés par les recruteurs (plus de la moitié des embauches).
Portrait de territoire midi-pyrenees 2019MagdaMojica1
Cette étude mise à disposition par l’Observatoire national de la métallurgie, présente les principaux chiffres clés de l’industrie métallurgie, le profil des ses salariés, les besoins en recrutement et la formation
Etude Apec - Perspectives de l'emploi cadre 2018 - Ile-de-FranceApec
Après une année 2017 très dynamique, le marché du recrutement de cadres en Île-de-France continuerait sur sa lancée en 2018. Les entreprises de la région anticipent une hausse des embauches de cadres entre +3 % et +13 %, soit un niveau jamais atteint avec plus de 126 000 recrutements dans l’hypothèse la plus favorable.
La région Île-de-France se caractérise par une forte implantation des sièges sociaux sur son territoire, mais également par la prégnance des activités informatiques-télécommunication, juridiques-comptables ou de conseil, ou encore l’ingénierie-R&D. Dans cette configuration, le secteur des services concentrerait plus de 80 % des embauches.
En lien avec la diversité du tissu économique et la présence d’activités industrielles de pointe et à forte valeur ajoutée en Île-de-France (implantation de centres de recherche et développement scientifiques, de pôles de compétitivité, d’entreprises de services numériques...), les cadres informaticiens et ceux en études-R&D seraient en proportion les plus recherchés (respectivement 24 % et 19 % des recrutements prévus).
Les entreprises privilégieraient les cadres de un à cinq ans d’expérience. Ces derniers représenteraient 34 % des embauches en l’Île-de-France, soit la proportion la plus élevée sur l’ensemble des régions.
Similaire à Septembre 2017 l'emploi et l'investissement en france par trendeo (20)
Capital investment in Africa, 2016-June 2019.Trendeo
Capital investment in Africa, 2016-June 2019. Details by country, industry, origine, FDI, region, product. Data from Trendeo's Industries & strategies database.
This document provides an overview and analysis of data from a global industrial investment tracking tool created by EDF, Fives, and the Institut de la réindustrialisation to monitor "factories of the future". The tool tracks over 12,000 industrial investment projects worth $4.8 trillion that were announced between 2016-2019. It analyzes the projects based on six "Factory of the Future" criteria: flexibility, digitalization, energy efficiency, social efforts, territorial efforts, and environmental efforts. The document outlines trends seen in the data, including which sectors have the highest rates of investments involving criteria like digitization, flexibility, and energy efficiency. It also provides regional and country-level breakdowns of the numbers of projects and
The Industries & Strategies Database tracks, since 2016, every industrial investment (Manufacturing, Energy, Logistics, R&D) announced worldwide (over 30 MUSD or 50 jobs). Each investment project is classified by product, sector, company, country, and a qualitative score (factories of the future score). Since January 2016, 10,208 investments have been tracked, among them 1,718 in the energy sector (energy production and mining and quarrying projects linked to energy production - coal, gas, oil, uranium…) Since the database is updated weekly, our users benefit from a more detailed information, including cancelled investments, factories of the future score details, capacity…
Trendeo R&D investments worldwide, may 2018Trendeo
The document describes data from the Industries & Strategies database tracking R&D investments worldwide from January 2016 to April 2018. It includes details on 418 R&D projects totaling $37 billion and 134,541 jobs. Key findings highlighted include the concentration of R&D investments in a few countries and regions like the UK, India, California, and Karnataka state. The automotive and electronics sectors received the most R&D funding while companies in those industries like LG, Dyson, and TSMC invested the largest individual amounts.
Trendeo industrial investment in asia may 2018Trendeo
The document summarizes data from an industrial investment database tracking over 4,292 projects announced in Asia between 2016-2018, totaling $2.045 trillion and creating over 1.2 million jobs. India and China accounted for over half the investment amount and number of projects. The top ranked regions by investment were in India, China, and Saudi Arabia. Cities like Penukonda, India and Petaling Jaya, Malaysia received the highest investments, while cities like Hyderabad, India and Bengaluru, India had the most projects.
Trendeo Industrial investment in Africa may 2018Trendeo
This document summarizes data from the Industries & Strategies database tracking industrial investments in Africa from January 2016 to April 2018. It finds that during this period there were 569 projects announced worth $391 billion that were expected to create 184,241 jobs. The top four recipient countries - Egypt, South Africa, Morocco, and Nigeria - accounted for 33% of jobs, 39% of projects, and 56% of investment. Majority of investments came from within Africa, followed by France, China, and the United States.
The document provides analysis of industrial investment trends in 2017 based on data from the World Industrial Investment Monitor database. Some key findings include:
- Over 3,400 investment projects totaling over $1 trillion were tracked across 162 countries in 2017.
- Major projects concentrated in energy, manufacturing, and logistics accounted for a disproportionate share of total investment.
- Asia received the largest share of investments at around 58% of the total, with Europe as the largest outward investor region.
- Project timelines between announcement and production averaged 1.8 years for smaller deals but up to 7 years for mega-projects over $5 billion.
Trendeo - la conjoncture de l'investissement et de l'emploi en France en sept...Trendeo
Un point sur la conjoncture de l'économie française à la rentrée 2012, diffusé en septembre 2012 aux abonnés de l'observatoire de l'emploi et de l'investissement de Trendeo.
Dans un contexte où la transmission et l'installation d'agriculteurs sont des enjeux cruciaux pour la profession agricole, de nouveaux agriculteurs s'installent chaque année et, parmi eux, certains Bac+5 ou plus. Les cursus des écoles d'ingénieurs n'ont pas vocation à former de futurs agriculteurs. Pourtant, certains apprenants ayant suivi ces cursus BAC + 5, qu'ils soient ou non issus du milieu agricole, tentent l'aventure de l'entrepreneuriat agricole. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations et visions ? Comment travaillent-ils ?
Si la baisse de la productivité est effective dans toutes les économies développées... elle est particulièrement marquée en France. Au niveau national, cet essoufflement touche tous les secteurs, et plus particulièrement celui de l’industrie, usuellement caractérisé par des gains de productivité élevés. Depuis la crise Covid, le secteur industriel contribue pour 35 % environ à cette perte, alors qu’il ne représente que 9,3 % de la valeur ajoutée nationale brute en 2023. Dans ce contexte, est-il possible de mener une politique de réindustrialisation du pays sans y associer un objectif de hausse des gains de productivité ?Non rappelle ce Cube. Au contraire, ces deux objectifs, jusqu’alors indépendants l’un de l’autre, sont désormais deux défis à relever conjointement. En analysant les différents explications à la baisse de celle-ci observée en France et dans les autres économies développées, ce Cube suggère que l’augmenter en parallèle d’une politique de réindustrialisation sous-entend une réallocation des facteurs de production vers les entreprises industrielles à fort potentiel. Elle suppose également une une meilleure affectation des ressources.
Productivité et politique industrielles: deux défis à relever conjointement
Septembre 2017 l'emploi et l'investissement en france par trendeo
1. Rentrée 2017, la reprise enfin solide ?
Les données de l’observatoire Trendeo de l’emploi
et de l’investissement - France
Données sous embargo jusqu’au 28/09/2017, 0h00
2. La reprise se prolonge et s’étend à l’industrie
La reprise entrera bientôt dans sa quatrième année. Son ampleur
s’intensifie trimestre après trimestre. Depuis un peu plus d’un an,
l’industrie participe à cette reprise : les données collectées par
Trendeo sur les emplois dans les activités industrielles et de
production d’énergie sont dans le vert. Notre indicateur sur les
créations d’usine est également dans le vert.
C’est l’industrie automobile qui participe d’abord à cette reprise
industrielle. Les grands constructeurs ont recommencé à
embaucher. Géographiquement, cette reprise bénéficie aux
régions du Nord et de l’Est qui souffraient de la crise des
industries traditionnelles et bénéficiaient peu de la bonne santé du
secteur aéronautique.
Nous pensons que cette reprise est une opportunité pour les
villes moyennes : les coûts du foncier, les diverses nuisances qui
restent associées aux activités industrielles, rendent les activités
industrielles peu compatibles avec les plus grandes métropoles.
Nos données montrent que les emplois industriels se développent
principalement dans des villes moyennes.
Nos données sur les startups, collectées depuis 2014, montrent
que ces entreprises représentent un secteur important, qui prend
rang parmi des secteurs comme le commerce de détail. A l’inverse
de l’industrie, les startups sont très concentrées dans les dix plus
grandes métropoles françaises.
La tendance est indéniablement positive. Pour qu’elle dure, il faut
cependant veiller sur les secteurs en difficulté. Parmi les secteurs
un peu à contre-courant de l’amélioration constatée, on trouve le
commerce de détail. Les points de vente continuent à créer plus
de 7 000 emplois nets en 2017. Mais c’est un ralentissement assez
net par rapport aux années précédentes. 2
Nous suivons également les investissements dans les filières du
développement durable. Si certaines filières se portent bien, comme le
recyclage ou la méthanisation, les secteurs principaux comme le solaire
ou l’éolien ont créé très peu d’emplois en 2017. Dans les trois
dernières années, le contenu en emploi des filières liées au
développement durable a baissé des trois-quarts.
Enfin, nos données sur la France, commercialisées sur une base de
données spécifique, sont maintenant rejointes par une nouvelle base de
données consacrée à l’investissement industriel mondial. Nous avons
extrait quelques informations de cette base, pour montrer que les
grands groupes français sont engagés dans des stratégies qui dépassent
largement le territoire national.
En ajoutant une dimension internationale à notre collecte, nous
souhaitons apporter de nouveaux éléments pour une meilleure
compréhension des dynamiques économiques. Notre plus grand plaisir
est que nos utilisateurs poursuivent cette recherche pour leur propre
compte, grâce à nos deux bases de données.
Bonne lecture,
David Cousquer, créateur et gérant deTrendeo
Septembre 2017
3. 3
3. Solde net des annonces de créations et de suppressions d’emplois
recensées par l’Observatoire Trendeo de l’emploi et de
l’investissement, t1 2009 – t2 2017. Nombre trimestriel (histogrammes)
et données lissées (pointillés).
1. Créations d’emplois annoncées et recensées par l’Observatoire
Trendeo de l’emploi et de l’investissement, t1 2009 – t2 2017.
Nombre trimestriel (histogrammes) et données lissées (pointillés).
2. Suppressions d’emplois annoncées et recensées par l’Observatoire
Trendeo de l’emploi et de l’investissement, t1 2009 – t2 2017. Nombre
trimestriel (histogrammes) et données lissées (pointillés).
La reprise se poursuit, avec le onzième trimestre consécutif où les
créations d’emplois dépassent les suppressions. Depuis la fin de
l’année 2014, les créations d’emplois sont orientées à la hausse et les
suppressions en légère baisse.
A la mi-septembre 2017, cette tendance profonde à l’amélioration se
poursuit, le troisième trimestre devrait être meilleur que celui de
2016. Il reste de plus une marge de croissance puisque les créations
d’emplois pour les trois premiers trimestres de 2017 seront
probablement inférieures au niveau atteint en 2010, où la reprise
avait été plus forte.
0
10 000
20 000
30 000
40 000
50 000
60 000
70 000
t12009
t22009
t32009
t42009
t12010
t22010
t32010
t42010
t12011
t22011
t32011
t42011
t12012
t22012
t32012
t42012
t12013
t22013
t32013
t42013
t12014
t22014
t32014
t42014
t12015
t22015
t32015
t42015
t12016
t22016
t32016
t42016
t12017
t22017
0
20 000
40 000
60 000
80 000
100 000
120 000
140 000
t12009
t22009
t32009
t42009
t12010
t22010
t32010
t42010
t12011
t22011
t32011
t42011
t12012
t22012
t32012
t42012
t12013
t22013
t32013
t42013
t12014
t22014
t32014
t42014
t12015
t22015
t32015
t42015
t12016
t22016
t32016
t42016
t12017
t22017
-80 000
-70 000
-60 000
-50 000
-40 000
-30 000
-20 000
-10 000
0
10 000
20 000
t12009
t22009
t32009
t42009
t12010
t22010
t32010
t42010
t12011
t22011
t32011
t42011
t12012
t22012
t32012
t42012
t12013
t22013
t32013
t42013
t12014
t22014
t32014
t42014
t12015
t22015
t32015
t42015
t12016
t22016
t32016
t42016
t12017
t22017
4. 4
Évolution de l’emploi net par grandes fonctions
Le solde net de l’année 2017, arrêté au 31 août, est d’ores et déjà le plus élevé depuis 2009, et il devrait encore s’améliorer d’ici la fin de
l’année. Le redressement le plus spectaculaire depuis 2009 est celui, régulier, de la production industrielle, qui dépasse même les points de
vente, en 2017, pour la première fois. Dans les services, le logiciel continue à se tenir à un niveau positif élevé. Les services publics restent
largement positifs, même si le solde diminue par rapport à 2015 et 2016. Les centres d’appel, comme les projets de production d’énergie,
repassent en positif, mais très faiblement, après une année 2016 négative – la première depuis 2009. Seule fonction encore en perte nette, les
activités de siège sont en négatif, du fait de la poursuite de restructurations dans les grandes entreprises (EDF, Michelin, PSA, Alcatel,
Veolia…)
Solde net des annonces de créations et suppressions d’emplois par grandes fonctions, 2009-2017.
Les deux fonctions « Production de services » et « Production industrielle » sont détaillées par secteur.
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2009-2017
Point de vente 19 896 26 810 21 035 14 280 9 218 5 127 13 061 13 124 7 532 130 083
Production de services -39 966 -14 993 10 924 15 659 12 833 6 113 37 938 30 807 37 625 96 940
(62) Développement de logiciels 944 7 555 14 546 10 057 6 285 8 667 11 586 15 293 13 085 88 018
(56) Restauration 6 453 9 383 6 024 7 659 7 073 5 862 6 963 7 130 4 304 60 851
(96) Services à la personne divers 7 785 8 930 3 628 4 044 1 677 2 417 2 260 1 354 1 916 34 011
Autres services, dont administration (défense, éducation…) -47 840 -4 574 4 024 -2 331 4 414 8 415 25 951 17 099 14 868 20 026
(49)Transports terrestres (trains, bus, camions) -3 450 -11 999 -2 020 -1 886 -2 909 -3 705 -3 595 -1 786 1 157 -30 193
(84.1) Administration générale -3 687 -12 364 -5 194 -2 001 364 -10 128 -397 -1 278 674 -34 011
(53) Poste et courrier -171 -11 924 -10 084 117 -4 071 -5 415 -4 830 -7 005 1 621 -41 762
Site logistique 3 261 3 257 1 579 3 651 549 2 797 3 454 6 134 5 884 30 566
Centre de recherche et développement 2 475 5 540 942 2 726 1 676 2 454 2 790 2 174 2 907 23 684
Centre d'appel et services en ligne 3 564 3 596 3 670 2 236 518 1 094 1 354 -1 182 129 14 979
Production d'énergie et/ou traitement des déchets 1 864 2 728 2 906 4 044 526 1 175 2 591 -2 755 409 13 488
Production agricole et IAA 278 250 423 143 121 79 732 271 364 2 661
Hébergement de serveurs 321 152 41 174 390 391 125 38 225 1 857
Siège, quartier général ou services internes -40 003 -3 343 -878 -7 140 -7 079 -2 650 -1 061 -3 634 -2 436 -68 224
Production industrielle -68 309 -5 895 3 712 -17 784 -19 985 -14 664 -8 422 3 363 13 629 -114 355
(30.3) Construction aéronautique et spatiale 716 944 501 1 613 1 213 198 1 196 1 399 358 8 138
(35) Production et distribution d'électricité et de gaz 184 96 -15 6 407 250 20 -50 10 6 902
(15) Industrie du cuir et de la chaussure -484 984 722 575 360 465 84 167 503 3 376
Autres secteurs industriels (électronique, chimie, moteurs etc.) -42 785 -1 082 3 102 -11 562 -9 791 -9 330 -4 087 -133 8 224 -67 444
(22) Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique -5 511 -718 927 -1 692 -2 581 -361 -543 290 -83 -10 272
(24) Métallurgie -3 633 -1 378 -1 465 -508 -188 -1 976 -2 151 -950 12 -12 237
(29) Industrie automobile -16 796 -4 741 -60 -12 617 -9 248 -3 680 -2 921 2 640 4 605 -42 818
Total général -116 619 18 102 44 354 17 989 -1 233 1 916 52 562 48 340 66 268 131 679
5. 5
Les usines en positif
Depuis 2009, notre indicateur décompte les ouvertures de sites industriels
employant plus de dix personnes (les « usines ») et les fermetures. En
2017, au 31 août, l’indicateur devient nettement positif, avec 26 usines
créées (87 créations et 61 fermetures).
Ces usines nouvelles sont légèrement moins capitalistiques,
avec un montant moyen de 10 M€. Cela s’accompagne et
s’explique par deux mouvements de sens contraire :
l’investissement moyen par emploi est à la hausse, mais le
nombre d’emplois moyen est plus faible.
-
5
10
15
20
25
30
2009
2010
2011
2012
2013
2014
2015
2016
2017
Investissement moyen
par usine, en M€
-
100 000
200 000
300 000
400 000
500 000
200920102011201220132014201520162017
Investissement moyen
par emploi, en €
-
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Emploi moyen
par usine
-400
-200
0
200
400
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Créations Fermetures Solde net
Comme l’indique le graphique
ci-contre, ce rétablissement tient
à une baisse des fermetures
d’usines, les ouvertures ne sont
pas encore en hausse en 2017.
6. La filière automobile reprend
Nous rattachons, depuis 2009, à une filière automobile large, des opérations des secteurs en amont et en aval de la production : commerce
d’automobiles, fournisseurs plasturgistes, mécaniciens et autres. Cela nous permet d’identifier des projets au-delà du seul secteur 29 de
l’INSEE (constructeurs et équipementiers).
Ce que montre le tableau ci-dessus est que la filière repasse en positif en 2016 et y demeure en 2017, grâce au rétablissement des
équipementiers et constructeurs, mais que le caoutchouc/plasturgie, reste en négatif (avec notamment Michelin et Nobel Plastiques).
Nous avons enregistré, de 2009 à 2017, 64 208 créations d’emplois dans l’automobile, soit 4,9% des créations d’emplois enregistrées dans
l’ensemble des secteurs de l’économie française. Cela fait de l’automobile le quatrième secteur français pour les créations d’emplois,
derrière le commerce de détail, le logiciel et la restauration.
6
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2009-2017
(45) Commerce d'automobiles et motos 526 416 421 426 794 -128 1 206 995 869 5 525
(25) Produits métalliques divers hors machines -1 442 122 -23 31 -92 -575 1 106 24 -1 848
(28) Moteurs hors automobile et aéronautique -1 838 63 4 46 -568 -581 48 -4 -53 -2 883
(24) Métallurgie -1 307 -309 -545 -57 -251 -110 -140 -442 150 -3 011
(22) Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique -3 936 -513 -88 -794 -428 -383 -181 920 -1 195 -6 598
(29) Industrie automobile -23 452 -5 535 -775 -12 652 -8 639 -3 474 -3 404 3 093 4 438 -50 400
dont constructeurs -12 097 -3 971 -1 342 -11 607 -6 765 -2 541 -2 955 2 853 4 245 -34 180
dont équipementiers -11 355 -1 564 567 -1 045 -1 874 -933 -449 240 193 -16 220
Autres -5 764 37 76 381 501 256 175 822 812 -2 704
Total général -37 213 -5 719 -930 -12 619 -8 683 -4 995 -2 295 5 490 5 045 -61 919
Évolution annuelle des emplois de la filière automobile suivie par Trendeo, décomposée par secteurs INSEE, 2009-2017.
7. 7
Les startups par zone d’emploi
La zone d’emploi de Paris s’impose en première place, avec plus de 10 fois plus d’emplois créés que les villes suivantes
(Bordeaux et Toulouse en 2017). On retrouve les grandes métropoles françaises dans les dix premières zones d’emplois
(Nantes, Lyon, Aix-Marseille, Rennes, Grenoble, Lille, Montpellier…) Avec plus de 40 000 emplois créés, les startups se
placent au même rang que des secteurs comme le commerce de détail ou le logiciel (même si startups et secteurs du logiciel
se recoupent en partie, avec 30% d’emplois dans le secteur du logiciel provenant de startups).
Plus de 19 370 emplois, 1 zone d’emplois
De 1 614 à 19 370 emplois, 4 zones d’emplois
De 934 à 1 614 emplois, 4 zones d’emplois
De 238 à 934 emplois, 14 zones d’emplois
De 1 à 238 emplois – 130 Zones d’emplois
Aucune information
2014-2017
2 376 startups identifiées
42 826 emplois créés
5,2 milliards d’€ de fonds levés
2014-2017
2 376 startups identifiées
42 826 emplois créés
5,2 milliards d’€ de fonds levés
Carte réalisée avec Philcarto
www.philcarto.free.fr
Nombre d’emplois créés par des startups, de 2014 à 2017, par zone d’emploi.
8. La reprise de l’emploi industriel
8
Cartes réalisées avec Philcarto
www.philcarto.free.fr
2014-2015
-19 320 emplois nets localisés par Trendeo
2014-2015
-19 320 emplois nets localisés par Trendeo
2016-2017
+14 646 emplois nets localisés par Trendeo
2016-2017
+14 646 emplois nets localisés par Trendeo
Cercles rouges : solde net positif pour les emplois industriels
Cercles bleus : Solde net négatif pour les emplois industriels
En 2014-2015, nous avons enregistré une perte nette de 19 320 emplois industriels en France, et en 2016-2017 un solde
net positif de 14 646 emplois industriels créés. Cette amélioration profite y compris aux régions industrielles
traditionnelles du Nord et de l’Est. Dans les secteurs responsables de cette reprise, l’automobile est au premier rang,
suivie de la métallurgie, de l’électronique, des produits métalliques divers et de l’industrie alimentaire.
9. Industrie et villes moyennes
9
Lecture : à Flers, la population employée en 2008, de 38 888 personnes, représente 0,1% de la population employée française. Les 1 954 emplois industriels créés là, entre
2009 et 2017, représentent 0,91% des emplois industriels créés sur la période, soit une surreprésentation de 632% de la zone d’emploi de Flers dans les créations
d’emplois industriels en France. Le premier groupe en termes de création d’emplois sur la période est PSA, avec 71% des emplois industriels créés localement.
Lire notre papier présenté au séminaire sur la question métropolitaine : http://www.trendeo.net/industrie-et-metropoles-une-serie-de-12-articles
Invités - par le laboratoire Economix de Paris X Nanterre - à présenter des données sur le thème « écosystèmes industriels en milieu métropolitain », nous
avons montré que les territoires les plus fortement spécialisés dans l’industrie sont des villes moyennes : Vitré, Cherbourg-Octeville, Saint-Nazaire,
Flers… Comme les startups, en sens inverse, sont très fortement concentrées, il nous semble qu’il y a matière à organiser une complémentarité entre
des métropoles orientées vers le tertiaire supérieur et des villes moyennes réservant une place à l’industrie, y compris dans son développement vers
l’industrie du futur.
Nb d'emplois 2008 (A) % de la
population
française employée
Nb d'emplois
industriels créés
2009-2017
(B) % des
emplois
industriels
créés en France
de 2009 à 2017
Sur-
représentation
des emplois
industriels
(B/A)
Premier groupe en termes de créations
d'emplois (diversifié = le 1er fait 20% ou
moins)
Part du
premier
groupe
1 Vitré 22 667 0,1% 1 574 0,74% 873,7% Thalès 44%
2 Cherbourg-Octeville 75 963 0,3% 4 783 2,24% 792,2% éolien offshore 52%
3 Saint-Nazaire 106 392 0,4% 6 610 3,09% 781,7% éolien offshore + Airbus 52%
4 Flers 38 888 0,1% 1 954 0,91% 632,2% PSA 71%
5 Sarreguemines 35 455 0,1% 1 695 0,79% 601,5% Diversifié
6 Le Creusot - Montceau 36 075 0,1% 1 469 0,69% 512,4% Diversifié
7 Belfort - Montbéliard - Héricourt 139 777 0,5% 5 532 2,59% 498,0% PSA 50%
8 Coutances 20 703 0,1% 811 0,38% 492,9% Diversifié
9 Fougères 25 614 0,1% 997 0,47% 489,7% PPR (tanneries) 30%
10 Valenciennes 128 028 0,5% 4 801 2,25% 471,8% Safran 42%
11 Châtellerault 30 925 0,1% 1 052 0,49% 428,0% Atmec 40%
12 Foix - Pamiers 42 321 0,2% 1 388 0,65% 412,7% Diversifié
13 Segré 20 143 0,1% 612 0,29% 382,3% Continental 29%
14 Saint-Louis 31 867 0,1% 902 0,42% 356,1% Novartis 29%
15 Saumur 34 462 0,1% 912 0,43% 333,0% Diversifié
16 Bressuire 28 484 0,1% 723 0,34% 319,4% Diversifié
17 Haguenau 66 004 0,2% 1 673 0,78% 318,9% SEW 36%
18 Le Havre 163 881 0,6% 4 083 1,91% 313,5% Renault 30%
19 Cholet 85 862 0,3% 2 083 0,97% 305,2% Diversifié
20 Bagnols-sur-Cèze 24 897 0,1% 600 0,28% 303,2% Areva 65%
10. Les investissements français à l’étranger
Depuis juin 2017, Trendeo commercialise une base de données, Industries & Stratégies, qui recense les investissements industriels et
énergétiques dans le monde. Nous avons enregistré 150 projets d’investissement par des industriels français, hors de France, de
2016 à 2017, qui marquent le dynamisme des grands groupes (90% de ces investissements sont le fait de grands groupes, même si
des ETI dynamiques, comme OVH, Sonnedix ou Figeac Aerospace s’y joignent). Les deux-tiers de ces projets concernent l’énergie,
l’automobile, la chimie, l’aéronautique et l’industrie alimentaire. 10
2016-2017 22 243 emplois industriels créés par des entreprises françaises à l’étranger
88 milliards de dollars investis
2016-2017 22 243 emplois industriels créés par des entreprises françaises à l’étranger
88 milliards de dollars investis
11. Développement durable
11
Depuis 2009, nous suivons une filière « développement durable », divisée en 21 secteurs liés aux énergies renouvelables, aux circuits bio, aux
biomatériaux etc. Depuis 2009, cela représente autant d’emplois créés que les services à la personne. L’éolien est le premier secteur, depuis 2009,
mais le secteur a perdu des emplois en 2017 : les annonces dans l’éolien en mer de 2012 n’ont pas été suivies d’autres projets aussi importants. La
filière solaire n’a pas résisté véritablement à la baisse des tarifs de rachat survenue en 2010. Des filières plus discrètes comme le recyclage ou la
méthanisation amènent un flux régulier, quoique plus faible, de nouveaux emplois. Dans l’ensemble, le développement durable a perdu 75% de
son contenu en emploi dans les trois dernières années (2015-2017) - l’année 2017 n’est pas encore terminé et ce pourcentage devrait baisser
quelque peu cependant.
2009-2017
39 134 emplois nets
2009-2017
39 134 emplois nets
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Eolien 729 294 1 151 7 051 55 199 1 132 262 -249 10 624
Recyclage 722 725 447 40 307 675 712 461 276 4 365
Véhicule électrique 312 1 228 336 146 444 476 530 353 156 3 981
Méthanisation, biomasse et biogaz 512 395 1 516 602 -25 130 513 222 109 3 974
Solaire 2 748 1 689 4 -183 -194 -15 -638 241 -77 3 575
écoconstruction 381 2 679 237 194 -1 -76 118 -122 129 3 539
économies d'energie 50 110 28 95 499 415 468 132 1 797
Traitement des déchets -94 425 218 171 1 62 496 92 213 1 584
Jardinage et espaces verts 161 866 108 235 304 47 -55 -42 -107 1 517
Biomatériaux 95 71 4 138 440 116 323 109 93 1 389
Bois chauffage 95 369 121 20 39 102 64 37 189 1 036
Alimentation bio 125 145 125 56 -3 174 108 53 149 932
Hydrolien 30 400 20 80 328 124 -345 637
Biocarburants 272 106 10 8 14 31 55 496
Hydrogène 15 35 30 117 18 241 456
Cogénération 150 25 125 40 38 378
Géothermie et aérothermie -62 -12 45 126 277 -27 -64 283
Récupération de chaleur 80 42 18 140
Stockage énergie 19 19 34 72
Dépollution 80 35 58 9 -470 143 76 -19 99 11
Divers et mixtes -880 -1 086 441 -377 -342 27 209 237 119 -1 652
5 346 8 049 4 931 8 699 1 166 2 703 4 452 2 623 1 165 39 134
12. A propos de Trendeo
L’observatoire Trendeo de l’emploi et de l’investissement collecte
maintenant des données depuis 2009. Ces informations servent à
nos clients à détecter des opportunités commerciales mais aussi à
analyser les tendances par secteur ou par territoire.
Nous constatons, année après année, que ces données ont la
capacité de refléter, en temps réel, les évolutions de l’économie
française. Cela montre la pertinence de notre vocation, qui est de
créer des séries de données à forte valeur ajoutée à partir d’une
information disparate, collectée de façon systématique.
Le suivi des startups, introduit en 2014, permet de mieux
comprendre l’importance de ce phénomène.
En 2017, nous ajoutons un suivi mondial des investissements
industriels, avec une notation des projets recensés selon les
critères de l’Usine du Futur.
Nous continuerons, pour permettre à nos utilisateurs de mieux
comprendre les évolutions de l’économie, à ajouter d’autres types
de données.
12
Les données Trendeo constituent un indicateur avancé,
permettant d’estimer les tendances de façon immédiate et ne
peuvent en aucun cas prétendre à l’exhaustivité des données
publiques.
Nos chiffres sont en effet inférieurs, pour les créations d’emplois
comme pour les suppressions. Nous prenons en effet moins bien
en compte l’évolution des emplois intérimaires, ainsi que les
embauches ou réductions d’effectifs par petit nombre, ou encore
les mouvements des TPE, qui ne sont que très difficilement
repérables.
Certains secteurs peuvent être également sous-représentés ou
surreprésentés, en fonction de leur présence médiatique (le
secteur automobile, par exemple est mieux couvert que celui du
BTP).
Globalement, nos données sont cependant corrélées avec
l’indicateur emploi trimestriel de l’INSEE.
Elles ont été utilisées à de nombreuses reprises par la presse (cf.
http://www.scoop.it/t/press-book-trendeo ).
L’observatoire est également utilisé quotidiennement comme instrument de veille commerciale, territoriale ou sectorielle, par de
nombreux clients des secteurs du conseil, de l’industrie et des administrations nationales et locales
www.observatoire-investissement.fr
Voir aussi nos données sur l’investissement industriel mondial, soutenues par EDF, FIVES et l’Institut de la réindustrialisation, dans le
cadre du Programme d’Investissements d’Avenir Defi&Co
www.industries-strategies.com
13. 13
TRENDEO 166 boulevard du Montparnasse 75 014 Paris
www.trendeo.net 01 42 79 51 26 contact@trendeo.net